Aller au contenu
Warhammer Forum
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt

J-C

Membres
  • Compteur de contenus

    457
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par J-C

  1. Salut ! MP pour les hommes du rohan !
  2. Ça m'embête cette nouvelle. Je faisais mes achats de bits sur un peu toutes les boutiques que je trouvais, selon la disponibilité des pièces au moment où je cherchais, mais le garage à bitz était un de mes préférés. Je me souviens même avoir eu un petit mot il y a quelques années parce que l'enveloppe avait été mise directement dans ma boîte aux lettres au gré d'un passage fortuit pas loin de mon adresse. Du coup je m'étais fait remboursé les frais d'envoi. C'est toujours sympa d'avoir un peu de communication de ce genre avec les vendeurs, et ça nous fait se sentir reliés par un hobby commun plutôt que d'avoir juste un rapport acheteur/vendeur. Bref je suis un peu triste. Digression à part, comme certains de mes vdd les moins optimistes, je crains que ça ne soit qu'un début. Alors pour sûr même si d'autres boîtes de bits ferment on pourra toujours échanger/acheter avec le surplus des copains, mais passer une annonce sur forum ou facebook et attendre que quelqu'un ait LA (ou les) pièce en stock, et voulant bien s'en débarrasser, réponde, et valide la transaction, c'est quand même moins pratique que faire ses courses sur un site dédié et remplir son panier au gré de ses besoins (en plus de craquer pour quelques pièces supplémentaires sympas qui pourront toujours agrémenter la boîte à rabiots pour les projets futurs) Mon intuition me fait dire que c'est l'impression 3d qui va tirer son épingle du jeu, on imprimera à la demande les morceaux qu'il nous faut pour nos projets de modélisme.
  3. Salut ! je te mp pour les intercessors !
  4. J-C

    VERROUILLE

    MP pour ce qu'il reste en homme lézard, je recherche du bits que tu as peut être encore.
  5. Salut tout le monde, je remets le nez dans le futur très sombre ousskya que la guerre suite aux récentes annonces, et je me décide donc à terminer ma compagnie. Il me reste quelques petites choses à peindre mais surtout j'ai 5 primaris à jetpack en attente de conversion. (j'ai plus le nom, les petits gars avec leurs patins antigrav et deux flingues en bolter ou plasma) Je suis pas spécialement emballé par les marines en question et j'ai déjà une escouade convertie en suppressors, pour la variété j'aurais aimé convertir ma dernière escouade en autre chose mais... Les suppressors ne sont toujours pas sortis en boîte séparée ? Du coup on ne sait pas ce que sera l'autre facette du futur double kit. Y a t il des rumeurs sur le sujet ? Tout ce que j'ai vu dans les cinématiques récentes n'aborde pas de primaris volant avec une nouvelle arme. (je pensais au lance missile, mais vraisemblablement ça a été dédié à des piétons) Si vous avez des pistes, je suis preneur !
  6. Bon sang je sais pas quoi raconter et pourtant j'aimerai vraiment clôturer l'histoire de Throndir ! Promis j'essaie ! Mais je ne pense qu'à la victoire magistrale des nains et à toute cette bière ! C'est dur ! ^^
  7. Nom di djou que c'est beau à voir ! =D Bon Throndir est sûrement dans le régiment des rangers, en train de tendre aux blessures de son capitaine, c'est même sûrement lui qui a mis en fuite les gobelins, enragé par la chute de Kronam ! xD Vivement la suite, j'ai de voir du sang et des crânes de gobelins ! Pour Khor... Euh, Grungi ! Ah mince c'est que c'est contagieux la présence de ChaosDivine !
  8. Ah ça, la bière ça maintien en forme, et la bugman xxxxxx relève même les morts ! Sympa d'avoir fait le bilan, sur la campagne entière ça fait effectivement de sacrés chiffres !
  9. Stop !!! Arrêtez tout ! carton orange pour les gobelins ! Utiliser des vélos à moteurs comme munition de catapulte est strictement interdit par la convention de Grünburg !!!
  10. Boudiou ça donne envie de se faire une liste full tueurs et d'avancer crête baissée dans les régiments adverses ! Santé aux survivants et trinquons à ceux qui ont accompli leur serment ! Même si c'est en mettant un coup de boule à un trait de baliste ! xD
  11. Waah, j'y croyais pas jusqu'au tout 5 ! Les mineurs qui perdent d'un point et fuient au premier tour de combat, l'artillerie sabotée par des espions grobis (je vois que ça !), un géant à 12PV qui paraît increvable, et même les rangers strikés par le fanatique, ça s'annonçait mal de toutes part ! Mais après ça ! Les barouds d'honneur de droite à gauche, qui tiennent les gobs en respect tout du long de la partie, et l'effondrement de la ligne peau verte avec la succession de coups du sort, c'était beau à voir ! Le dieu des dés (Dédé ?) donne et reprends ! En tout cas un superbe rapport de bataille comme toujours, haletant jusqu'au bout ! Et des chevaucheurs de loups en fuite, j'espère qu'ils ne vont pas s'égayer trop loin dans la nature, ils pourraient croiser Throndir et Daniel par hasard, au détour d'un sentier...
  12. J-C

    [GW] The Rumor Engine

    Ou alors elle est portée sous le bras façon baguette de commandement comme on peut le voir sur le chef scion de l'astra militarum. Dans ce cas le corps de la figurine qui devrait apparaître derrière a été effacé, je crois qu'ils ont déjà fait ça.
  13. Hâte d'y être ! La baston est prometteuse ! En attendant que les gobelins se jettent sur les hanches des dawis, je me permets de relater la suite des aventures de Daniel et Throndir qui sont sur place. Même au travers du tumulte qui secouait le géant éthylique, les plaintes de Throndir ne cessaient de se faire entendre. Au loin, les cris de guerre et le son des tambours gobelins résonnaient, indiquant que les créatures n’étaient plus qu’à quelques lieux de l’auberge. A l’intérieur du grand bâtiment, le bruit des bottes des nains qui courraient en tout sens pour se mettre à leurs postes de tir ou rejoindre la ligne de front qui s’organisait à l’extérieur ressemblait à un roulement continu, comme si une machine s’était mise en marche. Les aboiements du capitaine Kronam qui donnait ses ordres à la volée étaient presque aussi forts que les cris de Bracchio, qui jurait dans son dialecte personnel, mélange de Khazalid et de Tiléen, semblant maudire la prétendue lenteur de ses employés à se préparer à l’action maintenant imminente Et pourtant, malgré ce brouhaha assourdissant, Throndir se faisait entendre, inlassablement. « Capitaine, je vous en prie laissez-moi rester ! Vous savez bien que je peux vous aider ici ! Je peux démolir des dizaines de gobelins à la hache, et j’en percerait deux fois plus à l’arbalète, j’ai pris le temps de m’entraîner, j’vous assure ! Allez !! Capitaine Kronam ! Il FAUT que je reste ici avec mes compagnons ! Il est hors de question que je les laisse derrière moi, je VEUX me battre !" Daniel, dans un des coins de la pièce, était en train de finir de s’équiper. Il avait d’abord haussé les sourcils lorsque le jeune nain avait commencé à se plaindre de son sort, n’étant pas habitué après son séjour au géant éthylique à voir les nains discuter les ordres de leurs aînés, mais la rengaine durait depuis maintenant plusieurs longues minutes, et les sourcils de Daniel avaient fini par retomber, de guerre lasse. Donnant un dernier ordre à un groupe de rangers qui installaient des dizaines d’arbalètes déjà bandées aux abords d’une fenêtre, Kronam se retourna enfin vers le jeune Throndir qui s’immobilisa avec un regard de chiot qui quémanderait une friandise. Le capitaine des rangers tonna d’une voix impérieuse, ses bras épais croisés sur son large torse pour se donner une carrure la plus impressionnante possible. « Mais tu vas finir par me lâcher les bottes à la fin, nom de nom !? Quand je t’ai fait intégrer les rangers c’est parce que je pensais que tu étais plus malin que la moyenne, et là tu me fais une scène depuis vingt minutes parce que t’es pas foutu de comprendre les enjeux de ta mission ?!" Throndir baissa les yeux, visiblement intimidé par le sermon de son supérieur qui enchaina afin d’enfoncer le clou. « J’ai pas besoin de toi au front j'te l’ai déjà dit trois fois ! Un nain de plus ou de moins ne changera pas la donne ici ! J’ai besoin que tu escorte Daniel à la forteresse parce que tu connais le chemin et que je t’ai montré comment éviter les patrouilles grobis ! On parle d’un artefact de la plus grande valeur à mettre en sécurité, et môssieur Throndir ne pense qu’à tailler dans les peaux vertes ! Si môssieur Throndir voulait vraiment agiter sa hache bêtement de gauche à droite, môssieur Throndir n’avait qu’à rester dans les régiments de guerriers plutôt que de venir me casser les oreilles chez les rangers ! On a parfois besoin d’un peu plus de subtilité que de force brute par chez nous !" « Kronam ! Ils arrivent ! Bougeuh toi un po et envoi ton arpète aux poneys !" Bracchio venait de tirer le capitaine par la manche, et lui fourra dans les mains le fourquet runique aussitôt que ce dernier s’était retourné. « Aller fiston, c’est l’heure ! Toute la brasserie compte sur toi alors porte cet artéfact en lieu sûr ! Rappelle-toi ! Il y a là des siècles et des siècles d’héritage brassicole en jeu, c’est une mission que je ne te confierais pas si je n’avais pas confiance en toi ! File, maintenant !" Daniel terminait tout juste d’ajuster les sangles de son plastron et saisi sa cape. Regardant le jeune nain, il s’adressa à lui d’un air plein de compassion. « Prêt au départ messire Throndir ? Les poneys qui nous attendent doivent piaffer d’impatience !" « Oui Sire Daniel, allons-y." Ce jeune nain plein de fougue rappelait à Daniel ses début dans les ordres. Il se revoyait il y a plusieurs années de cela, plein d’espoir et de rêves, confrontés à ses supérieurs à l’œil morne et à la machine administrative implacable des temples impériaux. Le devoir doit être accompli, et cela ne laisse bien souvent que peu de place à l’insouciance et la gaité. Mais Daniel s’était vite habitué à la rigidité des instances du temple, la hiérarchie monolithique et aux rapports monotones et solennels. Cela ne l’avait pas empêché de garder au fond de lui sa bonne humeur et son bon cœur, surtout auprès des petites gens qu’il fréquentait souvent au cours de ses voyages. Il fallait juste savoir quand revêtir son masque et prendre un air sérieux, mettre de coté ses émotions et agir méthodiquement. Sortant de ses pensées en arrivant à l’écurie, Daniel attrapa les rênes du plus grand poney et le conduisit au petit trot jusqu’à l’extérieur de l’enceinte, suivi de près par Throndir et son propre poney. Les cris des gobelins au loin se faisaient de plus en plus pressants, et Daniel enfourcha sa monture prestement. Throndir fixa le fourquet au bât de son poney et se mis en selle également, claquant les rênes aussitôt. A peine à quelques centaines de mètres de l’auberge, le chemin se séparait en plusieurs sentiers, chacun menant à différents cols des montagnes alentours. Throndir et Daniel arrêtèrent leurs montures et en descendirent. Brisant quelques branches de pins environnants, ils entreprirent d’effacer leurs traces avant de remonter sur leurs poneys. Attachant les branches à l’arrière de leurs selles, ils repartirent alors tout en agitant leurs balais de fortune, afin de masquer tant que possible leur destination. Le curieux duo s’éloigna aussi vite que les poneys pouvaient les porter, et ils disparurent bientôt dans une forêt de pins par laquelle le chemin sinueux s’aventurait.
  14. RdT contre brétos, au début je me suis dit que c'était totalement improbable, mais j'ai ensuite pensé au thème de la croisade comme certains de mes VDD. Du coup pourquoi pas, en revanche une boîte avec deux armée pour le lancement de the old world je ne veux pas croire qu'il y aura de la résine ! Comme dit par certains, les figs de base bretos ont pas trop mal vieilli. On pourrait avoir une unité de chevaliers du royaume avec des paysans (hommes d'armes et/ou archers) et refaire à coté des graaleux/quêteux et une grosse pièce avec un seigneur sur hypogriffe, ça me semblerait pas déconnant. En face les chevaliers des nécropoles/rôdeurs et le necrosphinx/sphinx de guerre ont bien vieilli aussi, et c'est plutôt les unités de base qui pourraient être refaites (un double kit lanciers/archers squelettes me semble assez évident) avec un ou deux persos mis au goût du jour en plastique. Je me dit pourquoi pas, et c'est vrai que ça prendrait le contrepied d'AoS en balançant deux armées oubliées et absentes de cet univers pour ne pas mélanger les deux et bien faire la distinction...
  15. Throndir Hruldirsson est bien rentré à la forteresse et il voudrait s'assurer que notre cher Zugrub se porte bien. Il ne faudrait pas que notre conteur de bataille préféré succombe aux bienfaits de Nurgle si on veut continuer de voir les nains occire du peau-verte à tour de bras ! ^^ Voici en attendant un petit récit du retour à la forteresse de notre impétueux poil au menton ! Après de longues journées de marche et de courtes nuits de repos, les guerriers nains qui avaient vaillamment défendu le guet contre l'avant-garde grobi avaient fini par couvrir la distance qui les séparaient de leur forteresse. Alors que le capitaine Kronam partait d'un bon pas vers le hall du roi où se tenait le conseil de guerre, les guerriers et les arbalétriers survivants regagnaient leurs quartiers pour inspection, tandis que les éléments les plus grièvement blessés recevaient les soins adéquats par les prêtresses de Valaya. Une nuit de sommeil réparatrice au sein de la garnison rendit ses forces à Throndir, qui avait largement puisé dans ses réserves pour suivre le rythme des rangers auprès de Kronam. Ils avaient pris le temps de piéger les sentiers les plus susceptibles d'être empruntés par les gobelins, mais aussi de camoufler autant que possible leurs traces et celles de leurs compagnons partis en avant, avant de redoubler d'effort pour rattraper la colonne de guerriers en marche vers la forteresse. Ce travail d'arrière-garde fut épuisant, surtout pour le jeune nain qui n'était pas habitué à un tel rythme, ses rares sorties de la forteresse se bornant à de rares promenades. Mais il fut félicité et encouragé par Kronam, ce qui lui permit de puiser dans ses réserves afin de tenir la cadence. Désormais revigoré, il s’éveilla de bon matin et profita de la permission accordée à tous les braves volontaires de la bataille du guet pour regagner la maison de ses parents. C’est avec une appréhension grandissante qu’il traversa son quartier natal, en pleine ébullition depuis l’annonce de la menace gobeline. Les forgerons redoublaient d’efforts pour équiper en armes et armures de qualité les combattants qui se faisaient de plus en plus nombreux à mesure que les clans fournissaient de nouvelles recrues aux régiments de la forteresse. Des porteurs allaient çà et là, délivrant tantôt du métal brut et du charbon, tantôt des haches et des marteaux de guerre. Ici, un livreur fatigué essuyait son front de la sueur qui perlait jusqu’à ses sourcils, avant de reprendre sa charrette à bras chargée de lourds hauberts de maille. Là, des longues barbes marmonnaient à l’entrée d’une taverne, grommelant à propos de l’empressement inutile des plus jeunes nains, arguant qu’une grande quantité de travail bâclé n’égalerais jamais une petite mesure de travail de qualité. Un sifflement de vapeur sorti Throndir de sa contemplation, et un régiment de brisefers marchant au pas cadencé émergea d’un nuage opaque, visiblement provoqué par les cuves de refroidissement d’une fonderie toute proche. Le bruit des bottes ferrées claquant sur le sol de pierre et le cliquetis des harnois de gromril avaient quelque chose de rassurant, un rythme régulier comme un métronome qui semblait chanter aux oreilles de Throndir « Tout ira bien. Tout est sous contrôle. La machine de guerre bien huilée des dawis ne fera qu’une bouchée des hordes désorganisées des grobis. » Il arriva finalement au seuil de sa maison, et hésita à en ouvrir la lourde porte de pierre renforcée de ferrures dorées. Il se doutait que la réprobation de ses parents à son désir de partir guerroyer si jeune ne se serait pas calmée après sa fugue. Mais il espérait que la victoire de son contingent face aux gobelins atténuerait la colère de son paternel. Il se souciait moins de la réaction de sa mère, qu’il savait pressée de revoir son fils unique sain et sauf et lui pardonnerait son élan de fougue martiale après une brève réprimande. Inspirant à fond, il ouvrit finalement la porte et pénétra la demeure familiale, les épais murs de pierre tapissés de peaux de bêtes et de bannières aux couleurs de son clan étaient faiblement éclairés par des bougies qui semblaient s’être consumées toute la nuit durant. Quittant le hall d’entrée pour la salle à manger, pièce centrale de la maison donnant sur les différentes chambres et pièces utiles telles la cuisine ou la salle de bain, il tomba nez à nez avec son père, assit à la grande table de granit familiale. Ce dernier finit la gorgée de lait de chèvre épicé qu’il venait de prendre, l’odeur des herbes et champignons qui agrémentaient ce breuvage plus proche du potage que de l’infusion embaumait la salle, signe qu’une belle quantité avait été cuisinée récemment. Posant son verre sur la table, le père de Throndir plongea son regard dans celui de son fils. Pensant tout d’abord assister au calme précédant la tempête, Throndir s’attendait à être rabroué séance tenante et commença à se tasser sur lui-même, comme s’il pouvait se faire assez petit pour se soustraire au regard perçant de son paternel. Cependant, c’est une voix calme et douce, bien que chargée d’autorité, qui s’adressa à lui. « C’est bon de te revoir fils, et tu as l’air en bonne santé. » Il rigola doucement avant de poursuivre : « Mais c’est mauvais signe quant à ta détermination à poursuivre le métier des armes. Une bonne blessure aurait peut-être pu te donner une leçon et te faire abandonner cette idée. » Conscient que cette gentille pique de la part de son père appelait à une conversation d’importance, Throndir s’installa à la table. Une silhouette potelée se précipita dans la pièce, portant un plateau chargé de charcuterie, de petits pains de formes variées et d’un gobelet plein de lait de chèvre épicé, le déjeuner par excellence depuis qu’il avait ses premiers poils de barbe et était capable d’avaler de la nourriture solide. Sa mère posa vivement le plateau devant lui et le serra aussitôt dans ses bras, l’embrassant sur la tête comme une petite fille qui viendrait de retrouver son poupon favori après de longues semaines. « Vilain marcassin ! Tu m’as fait une de ces peurs ! Je t’imaginais déjà percé de flèches de part et d’autre, ou capturé par ses maudits grobis ! Qu’est-ce qui t’as pris de faire une telle frayeur à ta pauvre mère ? Je n’ai pas trouvé le sommeil jusqu’à hier soir, quand le capitaine Kronam est venu nous donner de tes nouvelles ! » « Je vais bien maman, ne t’en fais pas ! … Eh ! … Le capitaine Kronam est venu ici ? » « Oui, il est venu personnellement nous compter tes exploits. Le jeune marcassin se serait-il vu pousser des défenses ? » Son père arborait un sourire peu commun, étant d’habitude très réservé dans l’expression de ses sentiments. Cela intrigua Throndir, mais surtout lui réchauffa le cœur. « Et que vous a t’il dit ? Vous n’êtes pas fâchés ? J’ai vraiment pensé à vous tout le long de notre marche vers le champ de bataille, et sur le trajet de retour. Je suis désolé si je vous ai fait du souci, mais je ne pouvais pas laisser mes compatriotes partir à la guerre sans participer à l’effort. Il fallait que je prouve que je suis moi aussi apte à me battre ! Je devais… » Son père l’interrompit. « Du calme, fils. Du calme. Tu as prouvé ta valeur s’est indéniable. Même si j’aurais voulu t’écraser la tête quand j’ai vu la lettre sur la table le matin suivant ton départ. Mais nous sommes heureux que tu sois de retour sain et sauf, ta mère et moi » Une nouvelle effusion de tendresse de la part de la matrone naine envers son fils chéri mis en pause la conversation. Après quelques baisers sur les joues et un re-coiffage de la tignasse toute ébouriffée de son fils, la mère enchaina : « Le capitaine Kronam nous a raconté comme tu as été courageux, et comme tu as aidé tes camarades blessés. Il nous a aussi dit que tu avais de belles dispositions pour le métier de ranger ! » Le père pris le relai, avec entrain : « Mon fils unique, héritier d’un commerce prospère de gemmes et de bijouterie, courant la montagne l’arbalète à la main, avec pour seuls vêtements une cape rapiécée et une peau de bête mitée ! Je serais mort rien que de l’entendre si on m’avait dit ça il y a une semaine ! » Il coupa sa diatribe d’une nouvelle gorgée de lait de chèvre, puis reprit : « Mais maintenant que je sais que l’on ne te fera pas changer d’avis quant à ton désir de guerroyer, tête de rhinox que tu es, je me dis qu’il vaut mieux te voir partir chez les rangers pour tendre des embuscades aux grobis et leur en faire voir, plutôt que de te perdre en première ligne face aux horreurs que ces vermines peuvent déployer sur un champ de bataille ! » Sa mère renchérit, tout en lui remplissant son gobelet : « Nous nous sommes entendus avec ton père, ce qui est devenu rare après des années de mariage ! Tu peux servir auprès des rangers le temps que cette recrudescence de gobelins soit étouffée. Et tu reviendras tenir le commerce avec nous ensuite. Tu as encore beaucoup à apprendre pour reprendre la boutique après nous. » « Et si tu veux continuer à porter les armes, ton passage chez les rangers t’assurera une bonne place dans la garde en tant qu’arbalétrier et tu pourras participer aux rondes et au guet régulièrement si ça te chante. Mais n’oublie pas que tu es notre fils unique, tu es destiné à reprendre le flambeau et nous avons besoin de toi à la boutique. » Son père avait repris un air sérieux et moins enjoué en tenant ces dernières paroles. A la fois submergé de joie par la réaction bien plus positive de ses parents qu’il n’aurait pu l’espérer, mais aussi quelque peu amer de leur décision quant à son avenir prise sans son avis, Throndir sourît timidement. « Merci p’pa, merci m’man. Je n’en reviens pas que j’ai une chance de rejoindre les rangers ! Est-ce que le capitaine Kronam a dit quand je devais me présenter à lui ? » « Eh bien, tu as de l’entraînement à subir avant de pouvoir accompagner officiellement les rangers du capitaine Kronam, et je crois qu’il ne va pas rester longtemps à la forteresse avec le travail qui l’attends. Il nous a dit que tu devrais te présenter à la taverne du géant éthylique si tu acceptais sa proposition, et que ses hommes qui restent en faction là-bas se chargeraient de ton instruction. » Son père affichait à nouveau un sourire satisfait en prononçant ces mots, et arborait même une certaine malice dans son regard. « Je crois que ta première affectation ne sera pas aussi proche des combats que tu ne l’aurais souhaité, mais on ne peut pas refuser une telle offre de la part d’un capitaine qui vient de remporter une si grande victoire, il y a du prestige à saisir dans cette histoire ! Et puis tu auras tout de même ton rôle à jouer j’en suis certain ! » Sa mère termina la conversation : « Allons, va te faire couler un bon bain, tu es encore tout crasseux ! Tu dois être présentable aujourd’hui, nous allons t’acheter une cape solide et une bonne arbalète au troll borgne, je ne veux pas que tu partes jouer au chasseur de grobis avec une arme au rabais ! » Il semblait à Throndir que son aventure ne serait pas si grandiose que ça, après tout, enveloppée des précautions et du conforts que ses parents avaient probablement négociés auprès de Kronam en échange de leur accord de laisser partir leur cher fils une fois de plus. Mais au moins, il allait s’entraîner auprès des rangers, et peut être bien faire partie de leur régiment avant la fin de la guerre. Pour le reste, il aura tout le temps de voir venir. Se levant de sa chaise et prenant la direction de la salle de bain, il se fendit d’une franche accolade auprès de ses parents. « Je vous aime ! »
  16. Oh oui ça serait pas mal ça ! Un duo qui finira sans aucun doute plus célèbre encore que Gotrek et Félix ! @Skalde j'adore ton petit récit, je visualise très bien le gobelin accroché désespérément à sa branche et les deux nains le regardant avec "malice" ^^
  17. En espérant que ça ne soit pas trop lourd, je vous propose la suite des aventures de Throndir, que la descente d'adrénaline après la bataille nous le fait découvrir quelque peu vidé de son énergie, jusqu'à ce que... Le regard dans le vide, titubant ça et là, Throndir arpentait le champ de bataille l’air hagard et les bras ballants. La victoire des nains était indiscutable. Les gobelins avaient reflué sur l’autre rive en constatant la défense acharnée que leur offrait le peuple des montagnes. D’autres viendraient. Ils renforceraient leurs effectifs avant de franchir à nouveau la rivière et cette fois une poignée de dawis ne sera pas suffisante pour les repousser. Mais la poignée en question avait frappé fort, et en plein dans les gencives du monstre vert. L’avant-garde repoussée, le roi Dürak s’était vu offrir un temps précieux pour organiser ses défenses. Une voix tira Throndir de sa contemplation morbide. « Par les nattes de Valaya, il est encore en vie ! V’nez m’aider !» Un des guerriers qui s’était approché du guet pour récupérer les cadavres de ses frères nains et leur donner une sépulture honorable faisait de grands gestes à l’attention de ses camarades. L’agitation redonna de la vigueur aux bras de Throndir, et d’une âme errante vidée de toute énergie, comme anémié dans son esprit comme dans sa chair, il redevînt un solide guerrier à l’œil vif et à la main sûre. Le contrecoup de la bataille s’effaçait alors que l’adrénaline l’envahissait de nouveau, et il courût en direction du guerrier qui l’avait interpelé lui et les autres membres du régiment. Le gué était rouge du sang de l’affrontement qui y avait pris place. Le bon sang des dawis mêlé à l’ichor crasse des grobis, souillant l’eau auparavant claire qui descendait des montagnes. Et au milieu des corps désarticulés et grimaçants de douleur, comme un instantané du moment où ils réalisaient que la vie les quittait, un imposant guerrier arborant des tatouages, de nombreux bijoux et une crête orange vif gisait au sol, entouré d’ennemis abattus. Un souffle rauque et faible relevait sa poitrine de manière irrégulière, entrecoupé d’une toux salissant sa barbe de postillons rouge foncé. Akzrak le grand tueur nain n’avait pas succombé à ses multiples blessures, bien qu’il soit mal en point. Grimnir lui-même aura jugé que l’heure de recouvrer son honneur n’était pas encore venue. En ses heures sombres, son bras vengeur serait encore utile aux nains, et des adversaires plus puissants croiseraient peut-être sa route avant que la flamme qui l’anime ne s’éteigne pour de bon. Throndir aida son camarade à tirer Akzrak hors de l’amas de corps, et d’autres guerriers les rejoignirent pour panser les blessures les plus importantes du tueur. Le capitaine Krönam s’approcha tout en continuant à donner ses directives à la troupe. « Par ma barbe, il est solide comme l’enclume de Grungi ! Fabriquez-moi un travois pour le transporter, on va tâcher de l’emmener à la forteresse. Borïk, ça vient cette fosse ?! Hors de question de quitter les lieux tant que nos frères ne sont pas dignement enterrés, hors de portée des charognards et de ces sales grobis ! Gunnar, te laisse pas distraire, termine de graver la stèle ! Il reste des survivants ? Rassemblez les blessés, Jork et Fafnür vous partez en avant avec ceux qui sont en état de marcher. Et vous deux là, taillez moi quelques piquets, je veux voir les têtes de ces saloperies vertes plantées autour du guet en signe d’avertissement ! » L’activité intense qui avait lieu après la bataille ne laissa pas de répit à Throndir et les autres, ce qui lui permit de ne pas trop penser aux évènements qu’il venait de vivre. Alors que la nuit était tombée depuis près d’une heure, une des sentinelle marcha d’un pas vif en direction des guerriers. Certains étaient affairés à décapiter des gobelins pour disposer leurs têtes sur des piques, d’autres s’occupaient des blessés restants. Krönam, qui se recueillait sur la stèle qui protégeait la fosse commune où les braves tombés au combat reposaient désormais, se releva et alla à la rencontre du guetteur qui s’exprima à voix basse. « Il y a du mouvement dans les fourrés capitaine, à une trentaine de mètres de la rive, presque en face du gué. » D’un signe de la main, Krönam héla ses guerriers qui se rassemblèrent autour de lui. « Très bien les gars, vous avez fait de l’excellent travail. Les gobelins ont eu le temps de se reformer et leurs renforts sont probablement tout prêt, ils vont sûrement tenter d’assaillir le gué à la faveur de la nuit. Il n’y a plus rien à faire désormais, on plie les gaules ! » Throndir sembla interdit l’espace d’un instant, et il se risqua à prendre la parole. « Mais … ? On les laisse franchir la rivière ? Après tout ça, on s’en tient là, c’est tout ? » « Et que veux tu faire d’autre poil au menton ? » Le capitaine l’avait coupé dans son élan, mais il s’exprimait d’un air paternel, rassurant bien qu’autoritaire. « La mission est accomplie, on les a désorganisés et ralentis autant qu’on pouvait. Nos messagers ont dû porter la bonne nouvelle au roi à l’heure qu’il est, le reste va se jouer sur un autre champ de bataille. » Le regard presque déçu du jeune guerrier poussa le capitaine à poursuivre. « Mais si tu veux te rendre encore un peu utile tu peux rester à l’arrière garde avec moi, on ne va pas quitter les lieux sans laisser quelques surprises de bon goût à ces pourritures ! » Alors que la troupe repartait en direction de la forteresse, les valides transportant les blessés sur des travois ou soutenant les moins affaiblis bras dessus bras dessous, Throndir restait aux cotés de Krönam et de trois autres rangers équipés de pelles et de pioches. L’un d’eux sorti une solide corde de son sac, et s’adressa au capitaine. « Où est-ce qu’on installe le piège, chef ? » Désignant un passage entre deux bosquets à quelques dizaines de mètres de la rivière, Krönam lui répondit tout en marchant aux coté de Throndir. « Là-bas. Les grobis sont feignants, ils empruntent toujours le chemin le plus évident. Vous me creusez une fosse assez profonde pour y planter des petits pieux d’une coudée de long, moi je vais montrer au poil au menton comment on installe un tronc balançant, passe-moi ta corde. » S’avançant silencieusement dans le bosquet, quelques mètres après l’emplacement qu’il avait désigné à ses rangers, Krönam entraîna Throndir à sa suite. « Alors gamin, pas pressé de rentrer à la forteresse ? Dis-moi… Tu sais manier une arbalète ? »
  18. *Craquements de doigts* ... Bon eh bien on va faire chauffer le clavier... J'ai quelques pirates nains à peindre, mais je vais tâcher de caler quelques lignes entre les temps de séchage pour un petit récit. Je te rassure mon cher Zugrub, le brave Throndir n'est pas destiné à passer de vie à trépas, je me demandais juste si il allait être blessé ou non. La réponse viendra dans quelques heures ^^
  19. Hahaha ! Victoire par Grungi ! Ces sales peaux vertes ont eu de la chance, encore un tour et les rangers faisaient carton plein pendant que les guerriers massacraient les gobelins qui ont osé mettre pied sur leur rive. Les chevaucheurs de loups seraient probablement tous morts en se prenant la tête dans des branches, j'en suis sûr ! xD Je suis flatté mon cher @Zugrub, ce sera avec plaisir que je rédigerais le retour de ce brave Throndir. D'ailleurs il va falloir que j'inspecte les photos du dernier tour où quelques guerriers sont tombés, peut être est-il de ceux là et a été blessé ? Tout dépendra si une des figurines ressemble à l'idée que je me fait de ce poil au menton !
  20. Ha ! Quel suspens mes amis ! Un sacrifice héroïque des arbalétriers après avoir repoussé par trois fois des loups géants enragés (et montés par des gobelins, anecdotiquement), des tueurs qui rachètent leur honneur dans le sang, et un véritable massacre en règle par les rangers qui ont dû exploser le record de chasse au gobs, dommage que la saison soit passée ! J'ai hâte de voir si un tour supplémentaire sera joué, mais à mon avis les défenseurs nains ont fait leur office. L'avant garde des gobelins est réduite à trois ou quatre régiments affaiblis et/ou en fuite, et les guerriers nains et les rangers sont encore en pleine forme ! J'en serais presque prêt à m'offrir une bugman xxxxxx dès maintenant ! Mais comme tout bon nain je reste sur mes gardes jusqu'au bout, on fêtera la victoire et on honorera les morts en temps voulu !
  21. Oui c'est vrai, j'y ai un peu pense en cours de rédaction, mais les LA nains parlent bien de "citoyens" nains dans les rangs des guerriers de base. Effectivement sur un enrôlement rapide on peut se dire que la priorité serait donnée a des régiments professionnels mais bon. Encore que! Si le but est de garder les troupes expérimentées en réserve pour la bataille finale, mobiliser les soldats citoyens pour ralentir l'ennemi n'est pas dénué de sens...
  22. Eh bien, merci de l'enthousiasme pour mon bout de récit, je n'en demandait pas tant ! c'est pour me pousser à continuer c'est ça ? ^^ Je suis content que les arbalétriers ait bien tenu le choc ! Seulement trois pertes c'est ça ? Leur puissance de feu n'est pas trop diminuée c'est bon ! Et même si les premiers chevaucheurs de loups ne se sont pas noyés, il y a eu une branche bien placée, ça me plaît ! xD Les chevaucheurs suivants sont à bonne portée pour un tir de contre charge ou ils arrivent d'un peu trop près ? Bah, on mise sur le cours d'eau une fois de plus ! Hâte de voir les tueurs en action également !
  23. Ah une belle entame ! La panique des chevaucheurs de loups emmène du monde avec eux, si ils ne se rallient pas vite, il y a une bonne partie des gobs qui ne vont pas participer à la bataille ! Mais ce ne sont pas ces éléments là qui m'inquiètent le plus. Bon il suffit que les chevaucheurs prêts à traverser la rivière se noient un peu et le flanc sera tranquille quelque temps, les arbalétriers pourront concentrer leurs tirs sur le gros de la troupe. Allez les dawis, serrez les rangs ! "Throndir Hruldirsson serrait le manche de sa hache avec nervosité. C'était sa première bataille d'envergure et pas n'importe laquelle, ses camarades et lui même étaient presque sûrs de partir en mission suicide, mais tous étaient volontaires. Il raffermit sa prise sur la manipule de son bouclier et jeta un regard sur les guerriers du clan Snodri qui l'encadraient. Le premier rang rassemblait des nains d'âge mûr, rompus au combat et prêts à en découdre, mais l'arrière de la formation était plutôt constitué de courtes barbes, certains aussi inexpérimentés que lui. C'était une chose de chasser le grobi dans les montagnes ou en dessous, ces combats s'apparentaient plus à des battues qu'à des batailles rangées, et les peaux vertes prenaient souvent la fuite aux premières pertes, voir même avant le choc des boucliers ! C'en était une autre d'affronter une marée de gobelins déterminée à envahir la forteresse et la réduire en poussière. Il n'empêche qu'il était prêt à donner sa vie pour les siens. Nerveux à l'idée de rejoindre ses ancêtres si tôt, certes, mais disposé à le faire néanmoins. Avec une certaine appréhension, Throndir tendit le cou pour essayer de voir par dessus l'épaule de ses camarades. Une rumeur commençait à se faire entendre dans les rangs, et le jeune nain voulait s’enquérir de sa provenance. Il crû entendre un des guerriers du premier rang marmonner quelque chose comme "ils arrivent enfin", ce qui lui mis la puce à l'oreille quant à l'origine de l'agitation grandissante au sein du régiment. Finalement, après quelques minutes qui lui parurent une éternité, un brouhaha parvint à ses oreilles. Un mélange de piaillements, de grognements, de piétinement désordonné, un tohu-bohu grandissant se faisait entendre, et il sut avec certitude que l'avant garde des gobelins était arrivée au abords de la rivière. La nervosité des guerriers nains montait, les mains caleuses des forgerons, des mineurs, des tailleurs de pierre, de tous ces braves habitants de la forteresse rassemblés ici pour combattre l’ennemi, se crispaient sur leurs armes. La puissante voix du vétéran qui menait la troupe se fit alors entendre, rappelant les guerriers au calme à la maîtrise de soi : "Tenez bien votre position ! Souvenez vous qu'il faut rester groupés et agir de concert, ne vous laissez pas embarquer à l'extérieur de la formation ! Serrez les boucliers et frappez quand une de ces sales morves encapuchonnées pointe le bout de sa trogne ! On ne charge qu'à mon ordre, c'est bien compris ?! On va leur montrer ce qu'il en coûte de venir salir nos belles terres ! Baruk Khazâd! Khazâd ai-mênu!" Le cri de guerre fût repris en cœur par les guerriers, marteaux et haches cognant de concert sur les umbos dans un fracas de métal assourdissant. L’appréhension se changea en impatience, et Throndir ressenti alors une sorte de béatitude jusqu'alors inconnue. Il sentait que ses ancêtres le regardaient, qu'ils allaient juger de sa valeur, mais aussi qu'ils guideraient son bras au moment crucial. Il avait hâte de plonger sa lame dans le crâne d'un gobelin, et faisait balancer son arme de haut en bas dans un mouvement régulier, comme un battement de cœur. Il se tourna vers son voisin de droite, un grand nain brun d'une vingtaine d'années son aîné tout au plus, et lui lança : "Si j'y passe, tu pourras ramener ma hache à mes parents ?" Son voisin le considéra un moment, puis le bouscula amicalement de son bouclier : "Te fais pas de bile, tu la ramènera tout seul comme un guerrier, poil au menton ! Tes anciens t’accueilleront en héros quand on rentrera victorieux, couverts de trophées de grobis !" Throndir eut un léger sourire puis baissa la tête et murmura pour lui même : "Ça, c'est loin d'être sûr. Pas après que je soit parti sans leur accord avec juste une lettre déposée sur la grande table en guise d'adieu..." Ses pensées allèrent à ses parents, ses amis, ses ancêtres, et sa volonté se raffermit encore, un lueur métallique brilla dans son regard qui témoignait de son envie de prouver sa valeur sur le champ d'honneur, alors que la horde verte se mettait en branle sur l'autre rive." Edit : zut ! ils se sont ralliés un peu vite, et pas de perte pour les loups-tres qui semblent bien à l'aise dans l'eau ! Bon ils ne sont que 6, mais ils vont empêcher les arbalétriers de tirer un tour ou deux...
  24. Haaa de braves nains en sous nombre prêts à se sacrifier pour retenir le plus longtemps des hordes peaux vertes anarchiques ! Un grand poncif, que j'ai hâte de voir en action ! Je vais essayer de m'impliquer cette fois en tentant un petit récit d'un nain porté volontaire pour endiguer l'invasion, une lettre à un proche peut être, en guise de testament au cas où le courageux dawi ne reviendrait pas vivant à sa forteresse ...?
  25. Nom d'un petit mineur, ils ont mangé quoi ces gobelins ? Les nains sont cc4 endurance 4 et armure 4+, parade 6+, et ils tombent comme des snotlings ! Ah mais je sais ! Tu as bien dit qu'ils étaient sobres ? Ils ne tombent pas au combat, ils s'évanouissent du manque de bière ! Monstre ! Envoyer ses braves dawis en plein air sans un tonneau de bugman à portée de hache ! Ça vaut bien une rancune !
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.