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M3mn0ch07

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À propos de M3mn0ch07

  • Date de naissance 19 avril

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    Warhammer 40 K - Spaces marines et Orks
  1. Et me revoilou... C'est que ça commençait a me manquer Merci pour le rétablissement, en souhaitant qu'il n'y ai aucune rechute... Du coup, après un passage sur le profil et un changement de mot de passe, direction la section récit... ++
  2. M3mn0ch07

    Petite histoire sur la GI

    Yop, Me revoilou... Je vois que tu souhaite présenter ce texte à un concours de nouvelles alors je viens commenter à nouveau avec cette idée en tête : - Déjà, relis ou fais bien relire ton texte à une personne qui maitrise l'orthographe et la langue française, je ne suis pas un pro et je relève encore de nombreuses fautes qui feront tâches dans un concours... Quelques exemples en vrac : C'est six... pelotons au pluriel si ils sont deux...- Ennemi sans 'e' aussi... Bref, un effort sur ce point sera nécessaire je pense, d'autant que même un correcteur automatique devrait en éliminer certaines, non ? [Edit] Je confirme, word se fache tout rouge quand on lui fait lire ton texte... [/Edit] - Ma deuxième remarque sera d'ordre beaucoup plus subjectif : Y a-t-il un thème au concours de nouvelle ou des restrictions ? Je demande ça car autant ton texte est agréable à lire ici en section Récits SF d'un forum warhammer car notre passion commune nous donne les bases qui nous permettent d'apprécier ton texte, autant tous ceux qui jugerons vos œuvres ne seront peut être pas en mesure d'en apprécier le fond... Tu vois ce que je veux dire ? Du coup je pense qu'il manque encore beaucoup d'explications pour rendre ton texte agréable à la lecture du néophyte. Petit conseil que j'essaye d'appliquer à mes textes : pour que le lecteur apprécie, il faut que l'auteur réponde à ses éventuelles interrogations. Si le lecteur se pose plus de questions qu'il n'obtient de réponses, il risque de ne pas adhérer à ton œuvre. Sinon la description des combats est plus fluide qu'avant et mieux amenée, je préfère. Je reste tout de même un peu sur ma fin quant à la description du silence et des ennemis... Pour résumer mon sentiment, c'est bien écrit (excepté pour les fautes) mais je ne suis pas certain que le fond séduise dans un concours généraliste... Voilà, en espérant avoir été utile, tiens nous au courant et n'hésite pas à poster de futures versions si tu en fais d'autres. Je les lirais volontiers si je peux aider. ++
  3. M3mn0ch07

    Kyrielle

    Yop, Heu, moi une inquisitrice qui bois ça ne me choque pas... Il y a bien des inquisiteurs qui se servent d'armes démon ou autres méthodes border-line... A côté de ça, boire un petit coup me semble très possible. Ceci étant dit, qui à dit que Kyrielle était une inquisitrice ou une assassine ? Sinon voilà la suite... J'ai hésité à scinder en deux vu la longueur mais vu que les évènements s'enchainent, j'ai préféré tout vous livrer... Bon courage et merci d'avance pour votre lecture. --------------------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 1 : Suite... et fin. En bas de l’immeuble, dans la rue mal éclairée par de vieux lampadaires, Dalme vérifia une dernière fois tout son équipement. Il était tendu à l’idée de décevoir le vieux. Du coup, il ruminait ses pensées pour ne pas avoir à se soucier de sa prochaine mission ; il en vint à se demander une nouvelle fois pourquoi tout le monde, lui y compris, surnommait son maitre « le vieux » ? C’était une interrogation qui lui revenait souvent et il aimait y trouver des tas de réponses saugrenues. Evidemment, le visage d’Alphias Siderian évoquait bien un certain age. Marqué par les rides et quelques cicatrices, il n’avait plus l’air tout jeune. Mais à côté de ça, ses cheveux pourtant blonds n’avaient même pas commencés à grisonner et sa carrure musclée aurait plutôt évoqué celle d’un jeune homme athlétique. Alors se dit Dalme, ce sobriquet devait faire référence à son savoir et à son expérience plus qu’à son physique… A moins que ce ne soit son côté énigmatique et incompréhensible qui lui ait valut cette dénomination. Toujours était-il que le vieux était parfaitement au courant de son nom officieux et qu’il n’avait jamais émis la moindre protestation à l’encontre de son emploi. Alors personne ne se gênait pour l’utiliser mais rarement en sa présence tout de même ; Le vieux restait quand même bien trop impressionnant. Cette fois, Dalme imaginait que le vieux avait peut être plus de cinq cents ans et qu’une bonne chirurgie reconstructrice avait pu le maintenir dans cette état… Envisager un squelette avec un chapeau souple, un long manteau gris et des sourcils broussailleux le fit rire intérieurement… Soudain, il fut sortit de ses pensées par un grésillement de son oreillette et une voie qui murmurait : - Ici Troyin, l’indic nous a montré la porte et redescend vers vous, on est en place. - Bien reçu, répondit Dalme calmement, je vous rejoins tout de suite, restez sur vos gardes. Dalme empoigna son fusil à pompe et tourna la tête en direction des ombres de la ruelle où la lueur d’un cigare trahissait la présence de son maitre. Il fit un bref signe de la main pour signaler qu’il montait et partit sans attendre de réponse de la part du vieux ; Dalme savait ce qu’il avait à faire. En entrant dans le hall de l’immeuble, il fit signe aux deux autres mercenaires qui l’attendaient de le suivre. Les trois hommes armés partirent en direction de l’escalier pour attendre que l’indic les rejoigne en bas. Quand celui-ci apparu, Dalme s’avança vers lui en accrochant son fusil en bandoulière dans son dos. - Bravo, mec, tu as bien bossé… Tu n’as plus rien à nous apprendre ? Demanda-t-il. - Heu, non, hésita l’autre, je… pourquoi ? - Non non pour rien, repris Dalme en lui tendant un billet de la main gauche. Voilà ta récompense, comme promis. L’homme attrapa le billet mais il n’eu pas le temps d’en apprécier la valeur. Dalme avait profité de son insouciance pour l’agripper, le contourner rapidement et l’étrangler avec son bras droit. Et pendant que l’indic s’étouffait sans même pouvoir crier, Dalme se saisi de son couteau et lui perfora la carotide pour en finir rapidement. - Débarrasse moi de ça, Shon, ordonna Dalme à l’un de ses acolytes en relâchant le corps inerte. - Oui chef, répondit ce dernier avant de saisir la dépouille et de la traîner jusqu’au local à déchets. Accompagné de l’autre soldat, Dalme entreprit l’ascension des marches de la cage d’escalier du bloc B. Il continua jusqu’au cinquième étage, en prenant soin de ne pas faire trop de bruit. Il redoutait de se faire surprendre par un habitant paniqué qui aurait pu donné l’alarme mais la chance leur sourit ce soir là ; ils ne croisèrent pas même un insecte. Sur le pallié du cinquième étage, il se retourna pour parler à Shon qui les rejoignais déjà. - Tu as pris soin de le défigurer histoire qu’on ne l’identifie pas dès demain ? - Oui chef, affirma Shon dont les mains étaient tâchées de sang. - Bien. Alors reste là et monte la garde, tu ne laisses personne passer et surtout pas la cible si par miracle elle nous échappait. - A vos ordres chef. - Allé, c’est partit, grommela alors Dalme pour lui-même en pénétrant dans le couloir qui menait aux numéros supérieurs à cinq cent cinquante. Meron, ajouta-t-il, toi tu me suis… et discrètement, ok ? Dalme et Meron rejoignirent alors sans un bruit le reste du groupe qui était déjà posté devant la porte du numéro cinq cent cinquante-trois. En tout, ils étaient cinq pour envahir l’appartement et neutraliser la cible ; Dalme savait que c’était largement trop d’hommes pour une bonne femme mais le vieux avait insisté pour qu’ils soient professionnels. Du coup ils avaient pris toutes les précautions nécessaires ; la cible ne pouvait pas se douter une seconde de ce qui l’attendait ce soir. Dalme vérifia encore une fois son arme à feu puis fit quelques signes précis pour ordonner au commando de pénétrer dans l’appartement. Ekon, qui se tenait le plus prêt de la porte, entama un compte à rebours avec sa main droite et synchronisa ses gestes pour appuyer sur un détonateur en même temps qu’il arrivait à zéro. Sur la porte, une charge longiligne collée autour du bloc de la serrure émit un bref sifflement avant de détonner violemment par l’intérieur en ouvrant la porte qui claqua contre le mur. Le reste s’enchaîna très rapidement. Les soldats pénétrèrent dans l’appartement deux par deux pour en fouiller tous les recoins mais ils se rendirent vite à l’évidence : il n’y avait personne ici. Cependant, avant même que ses hommes ne lui signalent cette anomalie, Dalme avait déjà repéré autre chose. Alors qu’il tenait la porte en joue du bout de son canon court, son attention avait été attirée par un bruit discret de pivot électronique provenant de la grille d’aération au dessus de lui. - Sortez ! c’est un piège ! S’égosilla-t-il. Mais il était déjà trop tard. Meron et les trois autres brutes n’eurent que le temps d’entendre un déclic signalant l’ouverture de petites trappes dans les plafonds de chaque pièce… et d’en voire s’échapper des grenades offensives au mécanisme déjà armé. L’explosion simultanée des trois charges fut d’une rare violence. Dans l’appartement, tout fut dévasté. Les corps de ceux qui y étaient rentré furent instantanément disloqués. Sur le pas de la porte, Dalme se fit souffler comme une vulgaire feuille de papier et son corps partiellement brûlé alla s’effondrer à plusieurs mètres de là. En même temps, la fumée envahissait le couloir et déclenchait de vieux systèmes d’alarmes aux cris stridents surdimensionnés. De l’autre côté, dans la rue, la fenêtre fut pulvérisée en milliers de petits éclats de verre fondus mêlés de morceaux de chaire calcinée. La lumière de l’explosion avait brièvement illuminé la ruelle où le vieux attendait ; et il du arrêter de regarder en l’air pour se protéger de la pluie macabre qui arrosait maintenant sa cachette. Alors, tandis qu’il regardait les cendres tourbillonner follement aux grés du vent, il murmura, mais pas que pour lui-même : - Toujours aussi efficace ma chérie hein ? C’est bien ça, j’aime beaucoup… On va bien s’amuser… --------------------------------------------------------------------------------------------- La porte dissimulée du placard avait trop souffert de l’explosion et Kyrielle du l’enfoncer à grands coups d’épée pour l’ouvrir. De l’autre côté, elle se retrouva dans l’appartement dévasté dont le sol et les murs qui brûlaient encore par endroit produisaient une chaleur presque insoutenable. Heureusement pour Kyrielle, ses bottes et son manteau la protégeaient assez efficacement de cette fournaise. Un bref regard lui permis de prendre la mesure de l’efficacité de son dispositif ; elle était assez fière d’elle. Kirielle afficha par contre une expression de mépris en distinguant les restes osseux calcinés de ses agresseurs. Depuis qu’elle les avait vu sur son poste de contrôle, Kyrielle avait rassemblé ce qu’elle devait impérativement emporter, délaissant le reste à grand regret. Finalement, elle n’avait que son « sac à dos d’urgence » comme elle l’appelait et une grande mallette qui contenait tout ce qu’elle jugeait indispensable ; pour plus de confort, elle avait accroché celle-ci sous son sac à dos ce qui lui permettait de brandir un pistolet bolter ouvragé en plus de sa lame énergétique. Kyrielle ne voulait pas perdre trop de temps, si quelqu’un l’avait retrouvée ça ne pouvait être que le vieux ; elle devait prendre les bonnes décisions et elle devait les prendre vite. Kyrielle rengaina temporairement son épée pour se saisir d’une grenade incendiaire dans sa ceinture. Elle la dégoupilla et la jeta dans la rue par la fenêtre sans hésiter une seconde. L’idée de blesser des civils la répugnait mais elle savait qu’il valait mieux qu’elle mette toutes les chances de son côté pour échapper au vieux ; un peu de confusion supplémentaire lui apporterait toujours une aide bienvenue. Quand elle entendit le bruit caractéristique de l’inflammation du combustible haute sensibilité, Kyrielle était déjà prête à sortir de l’appartement toutes armes dehors. Un vieux réflexe lui sauva alors la vie : elle observa le couloir grâce au reflet de sa lame et elle vit un autre homme s’approcher lentement en braquant une arme automatique vers la sortie de son appartement. Une rafale de son pistolet mitrailleur vint d’ailleurs s’écraser contre le montant de la porte pendant qu’elle ramenait son épée à elle. Mais le pauvre homme n’avait aucune chance ; le couloir ne lui offrait aucun couvert et le bolter de Kyrielle était bien plus puissant. Il lui suffit de tirer au juger dans le couloir pour l’atteindre plusieurs fois. Kyrielle entendit les cris de l’homme quand les bolts mordirent sa peau avant de le déchiqueter et de le faire taire définitivement. Kyrielle s’assura ensuite que le couloir était définitivement calme avant de sortir. Elle s’approcha de l’homme qu’elle venait d’abattre pour vérifier s’il ne portait pas un quelconque indice sur son employeur mais une fouille rapide ne révéla rien et Kyrielle ne voulait pas s’attarder ici. Elle se demanda quand même quel crime venait de commettre cette brute en voyant du sang tout juste séché sur ses mains mais elle n’avait pas le temps d’enquêter. Kyrielle fit demi tour et partit dans la direction opposée aux escaliers principaux car elle se doutait bien que cette voie serait déjà surveillée. Elle repassa donc devant sa porte puis enjamba un autre cadavre brûlé profondément. Kyrielle ne compris son erreur que quelques mètres plus loin quand elle s’effondra en avant sur le carrelage jaunâtre. Le coup de feu avait retentit d’un coup ; c’était celui d’un fusil à pompe. Par chance son sac à dos et son manteau renforcé avaient absorbés la puissance de l’impact mais la vélocité des plombs l’avait projetée violement sur le sol alors que quelques projectiles parvenaient à lui lacérer l’omoplate. Kyrielle reprit rapidement ses esprits et fit volte face pour mettre en joue le tireur mais elle sut rapidement qu’il n’y avait plus aucun danger. Celui qu’elle avait pris pour un cadavre s’était retourné et lui avait tiré dessus mais il n’avait pu se servir que d’une seule main. L’homme n’avait donc pas réussi à encaisser la force du recul et son fusil l’avait violemment percuté avant qu’il ne le lâche. Maintenant il se tordait de douleur, à moitié brûlé et lourdement commotionné ; Kyrielle s’en approcha sans craintes. - Comment tu t’appelles ? lui demanda-t-elle fermement. - Va te faire mettre, salope ! Fut tout ce que l’autre lui répondit entre deux gémissements. Kyrielle ne s’attendait pas vraiment à une réponse plus pertinente que ça, alors elle reprit sans se laisser décontenancer : - Alors écoute moi bien mercenaire… Elle attendit que l’autre la regarde dans les yeux pour continuer. Si tu me répond j’abrège tes souffrances, sinon je te laisses aux mains du vieux… Tu sais ce que ça signifie non ? Cette fois non plus elle n’attendait pas de réponse mais la lueur d’inquiétude qu’elle avait vu sur le visage du blessé lui suffisait. - C’est bien Alphias Siderian, celui qu’on appelle le vieux, qui t’a payé pour me tuer hein ? Le soldat hocha simplement la tête en signe d’affirmation ; Kyrielle voyait la douleur décomposer de plus en plus son visage tuméfié. - Bien, sais-tu quelque chose sur Khug’Loar et son culte ? - Que… Qui ? Khug quoi ? Demanda l’autre. - Un hérétique qui voue un culte aux puissances de la ruine, précisa Kyrielle, Siderian ne t’en a pas parlé ? - Non, jamais… Le mercenaire avait même eu du mal à articuler ses derniers mots et Kyrielle n’avait plus le temps de l’interroger ; elle décida quand même de poser à nouveau sa première question : - Allé, dis moi comment tu t’appelles et je te laisse tranquille. - D… Dalme, répondit l’autre en crachant du sang. - Alors que l’Empereur de l’humanité te pardonne Dalme le mercenaire. En prononçant ces mots, Kyrielle avait fixé l’homme droit dans les yeux pour ne pas qu’il prête attention à l’épée énergétique qu’elle avait approché de son cou. Ainsi, dans un mouvement rapide et précis, elle poussa la lame au travers de ses chaires pour que sa souffrance sois la plus brève possible. Kyrielle n’attendit même pas que la tête ait finie de rouler au sol pour repartir. Elle pu voir quelques portes qui commençaient à s’ouvrir mais qui se refermèrent sur son passage ; les gens s’inquiétaient mais ils avaient trop peur pour risquer de sortir après les explosions. Elle passa un angle du couloir et se dirigea vers le fenestron qui se trouvait au bout de ce cul de sac. Kyrielle brisa la vitre d’un coup de pied et fit tomber avec son épée les morceaux qui restaient accrochés aux montants pour ne pas se blesser en passant au travers. Elle savait pertinemment où elle allait puisqu’elle avait envisager ce scénario (et bien d’autres) plusieurs centaines de fois. Assise sur le rebord de la fenêtre, Kyrielle entendit l’agitation de la rue provoquée par ses soins. Plusieurs alarmes retentissaient toujours en même temps que celle de l’immeuble. Kyrielle finit par se laisser tombé deux mètres plus bas pour se réceptionner adroitement sur le toit terrasse d’un autre bloc d’habitations. A partir de là, Kyrielle courut plusieurs minutes en passant de toits en toits avant de s’arrêter à environ un demi kilomètre de son ancien logement. Elle venait d’emprunter une dernière échelle pour monter jusqu’au toit de la plus grande tour de logements des environs. De cet endroit, elle pouvait observer tout le quartier et possédait plusieurs points de fuite ; Kyrielle s’accorda quelques instants de repos. Elle décrocha la mallette de son sac à dos et déposa ses deux paquetages devant elle. Kyrielle fit tombé les plombs de chasse incrustés dans les renforts de son sac à l’aide de la lame de son épée puis elle l’ouvrit pour en sortir des jumelles et un petit poste de transmissions intra planétaire. Il ne lui fallut pas longtemps pour qu’elle repère son ancien appartement au travers des lentilles grossissantes. Depuis cet endroit éloigné, elle pouvait encore voir la fenêtre brisée et les lueurs des flammes du numéro cinq cent cinquante trois. Sur la seconde façade qu’elle voyait d’ici, elle pouvait aussi observer la fenêtre du couloir par laquelle elle était partie ; une personne s’y penchait et montrait du doigt le chemin qu’elle avait emprunté à un homme portant un large chapeau. - Vieille carne, ragea-t-elle, puisse l’Empereur nous débarrasser de toi… Et je l’y aiderais avec plaisir. Elle vit finalement le vieux disparaître de l’encadrement puis l’homme qui venait de l’aider passa à travers la fenêtre, la tête explosée par ce qui devait être un bolt… - Maudit sois-tu, tu paieras pour tous tes crimes en temps voulut, promit une fois de plus Kyrielle. Mais une autre préoccupation s’empara d’elle. L’affichage numérique de ses jumelles indiquait l’heure, il était vingt et une heures vingt-sept minutes. Kyrielle visa alors de nouveau les fenêtres des deux appartements qu’elle occupait et attendit patiemment que son affichage indique vingt et une heures vingt-huit minutes ; elle fut alors pleinement soulagée. Une dernière explosion dont elle était l’auteur venait de pulvériser le numéro cinq cent cinquante quatre ; elle avait utilisé une bombe à fusion parfaitement dimensionnée pour effacer toute trace de sa présence et de ses activités. Du coup, à la place des deux numéros qu’elle louait jusqu’à ce jour, on ne voyait plus qu’un trou béant dans la façade fumante ; c’était comme un visage auquel il manquerait un œil une orbite vide et sans vie puant la mort. Kyrielle reposa alors ses jumelles et s’empara du combiné de l’unité de communication en composant un numéro à quinze chiffres sur le clavier. Elle ne se préoccupait plus du bruit ambiant des sirènes de la ville et de toute l’agitation qu’elle avait causée ; elle devait contacter quelqu’un sur qui elle espérait pouvoir compter. Kyrielle prit son mal en patience pendant que le module se synchronisait sur les fréquences vocales. Elle entendit finalement le signal qui indiquait que son interlocuteur acceptait son appel. - Oui ? Demanda une voix d’homme. - L’Empereur seul sait qui je souhaite contacter, dit Kyrielle. - Et il vaut mieux qu’il en soit ainsi, répondit son interlocuteur. Le protocole était respecté, Kyrielle sentit ses nerfs se relâcher un peu plus et esquissa même un léger sourire. - C’est Kyrielle, il faut qu’on se voit, reprit-elle. - Ha, il y a du nouveau ? s’enquit la voix. Kyrielle hésita un instant mais les évènement de ce soir ne lui laissaient plus vraiment d’autre choix. - Oui, affirma Kyrielle, je crois que je suis prête à accepter votre offre. --------------------------------------------------------------------------------------------- Voilà pour ce premier chapitre, comme toujours, tous vos commentaires seront les bienvenus. Merci d'avance. ++
  4. M3mn0ch07

    Mais... Que sont-ils ?

    Hello, Voilou, j'ai lu ton texte jusqu'ici et je me lance dans un petit commentaire... Je vais commencer par les points négatifs : - Alors déjà Le classicisme de l'histoire de gardes impériaux ne dessert pas vraiment l'ensemble... Mais si c'est l'histoire que tu veux nous raconter, tu devra faire avec... - Je trouve les dialogues un peu... plats ? je ne sais pas ce qui me dérange mais ils me semblent un peu faux... Je concède par contre volontiers que c'est clairement pas le plus simple à écrire... Un exemple prit au hasard : Ici, le "Autrement dit, ce pognon ne sert à rien actuellement." ne fait vraiment pas naturel. On dirait une réflexion de l'auteur plus que du personnage et c'est une répétition maladroite de la première partie dont le ton rend bien plus "garde impérial" même si le côté désabusé et caustique du garde désespéré reste un peu cliché...- fluffiquement parlant, j'était un peu étonné de voir les connaissances du commissaire : Je ne suis personnellement pas convaincu que les commissaires connaissent ce genre choses et encore moins de ampleur réelle du phénomène, à moins que le tiens soit "particulier" et que tu n'ai rien révélé pour l'instant... Bon sinon il reste des points positifs, hein... D'abord j'ai tout lu, c'est pas mauvais signe. Et tu as l'air motivé et efficace. De plus l'écriture reste fluide en dehors des dialogues. Je lirais donc la suite avec plaisir en espérant que tu sauras amener une touche d'originalité supplémentaire dans cette histoire. Bonne continuation. ++
  5. M3mn0ch07

    Kyrielle

    Yop, Et voilà un bon gros déterrage de sujet... Mais c'est pour la bonne cause hein, puisque je n'est jamais oublié Kyrielle et que l'idée de faire une suite me trottait dans la tête depuis un petit moment... Alors voilà, je me lance. Je ne sait pas trop si ça vous plaira ni ce que ça donnera au final, c'est mon premier essai plus long qu'une nouvelle... Vous me direz ce que vous en pensez. Je pense poster au moins tous les quinze jours, ça sera le minimum pour maintenir le rythme mais je ne peux pas garantir mieux tout de suite... Bonne lecture et merci d'avance pour votre passage et vos éventuels commentaires. ++ --------------------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 1 : première partie. Kyrielle avait une respiration rapide et saccadée au moment où elle franchit la dernière volée de marches qui menaient à son pallier. Elle était retournée d’un pas pressé jusqu’à l’appartement qu’elle louait dans la banlieue de Mineros, en prenant de nombreuses précautions pour ne pas être suivie. Sa mésaventure du marché accaparait encore toutes ses pensées et Kyrielle ne serait pas tranquille avant de s’enfermer dans son logement. Elle habitait un vieil immeuble mal entretenu des quartiers populaires de la cité impériale. L’endroit n’était vraiment pas agréable mais il présentait de nombreux avantages pour une personne comme elle ; passer inaperçue demandait quelques sacrifices que Kyrielle n’avait pas hésité à faire. Le soleil avait déjà disparu derrière les hautes spires des quartiers riches et la luminosité blafarde des balises de secours qui longeait les couloirs rendait l’endroit trop sinistre. Kirielle s’arrêta finalement devant la porte du numéro cinq cent cinquante-trois et jeta un coup d’œil furtif dans le couloir ; il n’y avait personne et l’on entendait tout juste le bruit d’une grille de ventilation au dessus de la porte. Rassurée, elle sortit une petite clef d’une de ses poches et la fit jouée dans la serrure avant de pénétrer dans l’appartement et de s’y enfermer. L’intérieur était plus que sobre, à la limite de l’insalubre. Le logement, tout en longueur, était constitué d’un petit couloir servant d’entrée qui donnait en face sur la pièce principale et à gauche sur une petite salle d’eau. C’était triste et tout semblait indiquer qu’il était inhabité. Il n’y avait pas de draps sur le lit, aucune décoration et pas un seul effet personnel qui traînait. Mais Kyrielle était soulagée, tous les éléments de références qu’elle avait intelligemment disposés étaient en places et indiquaient que personne n’avait pénétré chez elle. Elle enjamba soigneusement un laser invisible qui traversait le vestibule et se baissa pour éviter celui qui barrait la porte de la pièce à vivre. Kyrielle prit à nouveau quelques secondes pour inspecter les lieux avant de se diriger vers un placard encastré dans le mur. Elle y pénétra et tira la porte derrière elle ; elle pouvait tout juste tenir debout sans se baisser et à peine tourner sur elle même. Là, Kyrielle sortit une plaque métallique qu’elle portait au bout d’une chaînette accrochée à son du coup et l’approcha de la paroi sur sa gauche jusqu’à ce qu’un déclic se fit entendre de l’autre côté. En poussant la paroi, elle parvint aisément à la faire pivoter sur une charnière dissimulée et se retrouva dans un autre placard. C’était celui de l’appartement voisin, construit en quinconce du précédent et qu’elle louait aussi mais sous un nom différent. Cette fois, Kyrielle put réellement se relâcher, elle était vraiment chez elle. Elle referma la paroi escamotable en rabattant le loquet magnétique et pénétra dans la pièce principale du numéro cinq cent cinquante quatre qui n’avait vraiment rien à voir avec l’appartement voisin. Ici, Kyrielle avait pris le temps de tout aménager selon ses besoins. Même s’il n’y avait pas de décorations ou de fioritures, l’ensemble était propre. Il y avait une armoire pleine de vêtements de toutes sortes, un lit bien fait et deux tables dont une remplie de divers appareils sophistiqués. C’était son cocon ; Kyrielle avait mis presque six mois à tout aménager pour se créer cette base de repli d’où elle planifiait ses opérations. Il manquait encore quelques petits aménagements de confort, mais rien d’essentiel. Kyrielle posa son manteau sur le dossier d’une chaise et sortit son épée de son fourreau dorsal pour la ranger à sa place dans un tiroir sous le lit. Elle ouvrit ensuite un placard au dessus de l’espace de cuisine pour y prendre un verre et une bouteille d’alcool local ; Elle remplit le petit contenant trois fois avant de le vider aussi sec. Finalement, au bout de quelques minutes, elle se décida pour aller prendre une douche bien chaude ; Elle se disait que ça lui éclaircirait certainement les idées. Elle se déshabilla donc au pied du lit et jeta ses vêtements et son manteau tâché de sang impie dans une unité de lavage qu’elle mit en route immédiatement. Kyrielle traversa nue la petite pièce et passa par le couloir en vérifiant machinalement l’état de sa porte d’entrée fermée et barricadée de l’intérieur. Trois petits pas de plus l’amenèrent dans la salle d’eau. Kyrielle resta un instant à contempler son reflet devant un miroir vieillissant et rayé. Elle n’était pas très grande, un mètre soixante quatre pour être précis, et son corps fin aurait paru maladif si elle n’avait pas eu la chance d’avoir des formes féminines bien dessinées. Ses yeux sombres, presque noirs, s’attardèrent aussi sur son visage aux traits fins. Kyrielle retira sa perruque blonde pour la ranger avec d’autres exemplaires de toutes les couleurs et elle passa sa main dans ses cheveux noirs pour les démêler. Ils retombèrent ainsi en cascades jusque sur ses épaules… Et Kyrielle du fermer brièvement les yeux en voyant la profonde cicatrice mal guérie qui partait de sa clavicule pour s’arrêter sur son sternum. En les rouvrant, elle fixait la photo du « vieux », coincée négligemment entre le miroir et la faïence du mur. C’était son mentor, celui qui l’avait recueillie et qui lui avait enseigné une grande partie de ce qu’elle savait. Il l’avait pratiquement construite… avant de la trahir comme si elle n’était rien à ses yeux. Mais Kyrielle préféra oublié ça pour l’instant et se concentrer sur ce qui c’était passé au marché alors qu’elle suivait Khug’Loar. Kyrielle s’enferma dans la douche et tapota sur le pavé mural pour régler l’intensité et la chaleur de l’eau qui se mit à ruisseler sur sa peau mate. Kyrielle laissa la sensation de bien être se répandre en elle en même temps que la vapeur envahissait l’espace confiné. Quand elle fut suffisamment détendue, elle bascula sa tête en arrière et commença à travailler ; Sa mémoire photographique artificiellement augmentée lui permit de se remémorer de nombreux détails de la journée. Elle revit Loar sortir des locaux officieux de son culte puis le numéro des rues qu’ils avaient emprunté lui revint sous la forme des panneaux signalétiques. Ensuite elle se remémora le marché et la foule dense, tellement dense qu’il y avait eu beaucoup trop d’informations à gérer sur le coup… mais maintenant elle avait tout son temps. Et alors que l’eau continuait de rythmer lentement le fil de sa prospection mentale, elle pris doucement conscience qu’un détail la gênait. Kyrielle n’arrivait pas à mettre le doigt dessus mais elle savait que quelque chose d’anormal était survenu ; elle devait déterminer ce qui perturbait ses souvenirs… Ce n’était pas ce groupe de femmes aux cheveux roux, ni ces enfants qui jouaient avec des carcasses de bicycles motorisés, pas plus que l’ensemble des commerçants aguicheurs… Les images défilaient dans sa tête et elle prenait le temps de les analyser distinctement, une par une. - Bon, se murmurât-elle, tu vas bien trouver quelque chose hein… Un indice, un petit rien… Par l’Empereur, fais un effort Kyrielle ! Mais rien ne se présentait, rien de bien intéressant, à moins que… une image retint son attention, un homme brun au visage sec la dévisageait puis détournait le regard sur l’instantané suivant. Mais ce n’est pas ce qui l’avait marquée, non, c’était surtout le fait qu’elle l’aie déjà vue plus tôt dans le défilement des clichés. Son esprit força les images à revenir en arrière jusqu’à la sortie de Loar de son établissement… Oui, là, le même homme était présent, il semblait mendier et… - Et merde ! Jura-t-elle à voix haute. Kyrielle avait vu les yeux de l’homme se poser plusieurs fois sur elle dans différentes images, et elle avait prit brutalement conscience que ce discret personnage la suivait ; elle était en danger ! Kyrielle avait à peine intégré et analysé cette information qu’elle sortait déjà de la salle d’eau en se séchant pour aller se rhabiller. Elle jeta sa serviette en boule sur le lit et ressortit ses vêtements propres de l’unité de lavage pour les passer rapidement. Les tissus se collèrent à sa peau encore moite et elle du nouer ses cheveux humides en un chignon vite dressé. Kyrielle avait profité de ces instants pour surveiller la rue par la fenêtre ; elle n’y voyait rien d’anormal mais cela ne la rassura pas pour autant. Kyrielle alla même jusqu’à renfiler son fourreau dorsal et son manteau puis elle ressortit son épée énergétique de sous le lit pour la poser à côté d’elle sur le petit bureau. Là, elle ouvrit l’écran de contrôle d’un terminal et tapota sur les touches lumineuses jusqu’à ce que l’affichage lui montre ce que voyait ses caméras installées dans les grilles d’aération du couloir. - Saint Empereur, protégez moi… implora-t-elle. Ce qu’elle voyait en train de se préparer devant la porte du numéro cinq cent cinquante trois ne présageait rien de bon et elle n’avait plus beaucoup de temps pour se préparer… à suivre... ps : si quelqu'un sait comment indenter juste la première phrase d'un bloc, ça m'éviterais tous ces sauts de lignes...
  6. Hello, Je passe rapidement pour te dire que j'ai lu et que j'ai bien aimé.Le décalage de ton personnage est agréable et bien mené. Personnellement, le grossier ne m'a pas choqué, il me semble suffisamment naturel ici. Par contre j'ai le même regret que Silverthorns quand au retour brutal à la réalité... Tu dis que tu as coupé ton texte, tu n'aurais pas la version longue à nous proposer du coup ? Ça serait peut être sympa puisque tu n'est plus dans le cadre d'un concours... Note aussi que j'aime bien tes citations du livre impérial. Elles sont bien ficelées et suffisamment crédibles, elles contribuent pleinement à l'ambiance de ton texte. A bientôt dans la section j'espère... ++
  7. M3mn0ch07

    Fluff Blood Angels

    Hello, Je passe par là et la lecture de ton texte m'a donné envie de le commenter... Allons y donc par étapes : Arg... Honnêtement, j'aurais préféré que tu prenne cinq minutes pour tout relire plutôt que de te dédouaner de cette petite phrase...En effet, ce n'est pas tant l'orthographe qui a éraillé ma lecture mais plutôt les mots manquants / en trop / remplacés... etc. quelques exemples pris au hasard : Bref, il y en à d'autres qui viennent s'ajouter à des fautes un peu grossières... C'est dommage.Mais si je me suis permis de soulever ce point c'est parce que l'ensemble de ton texte est plutôt sympa. Alors oui, le scénario reste basique, tu ne développe pas les sentiments des personnages etc. C'est de la baston, point. Mais tu prends le temps de faire des descriptions intéressantes des lieux et des actions, ça reste du coup plaisant à lire. Attention toutes fois, tu as réussi à me perdre un peu à la fin, dans l'enchainement des trois dernières parties... On ne sait pas si l'apparition de l'être démoniaque est due aux pouvoirs de l'archiviste où si ça n'a rien à voir ?!? Et tout finit de façon très vague... C'est peut être délibéré mais ça m'a laissé un peu sur ma fin. Pour conclure, je dirais donc que pour du fluff écrit rapidement, il n'y à rien à dire, mais tu pourrais très bien transformer ça en texte sympa avec juste un peu d'efforts selon moi. J'espère que tu nous rajoutera un début ou une suite où l'on pourra découvrir un peu plus les personnages et leurs motivations par exemple et si tu le fais je lirais ça avec plaisir. ++
  8. M3mn0ch07

    La battaille d'Hurlécius II

    Yop, Je plussois mes collègues au dessus concernant la longueur de ton texte qui est son principale défaut. Je tiens surtout à souligner ta dernière phrase : Ça me fait penser à un soufflet au fromage... Tu prépare tout, tu le passe au four, ça sent bon, ça gonfle, et quand tu le sort tout retombe ! :'( Grosse déception... Bref, ça finit trop vite, ça donne l'impression que tu as voulut éviter le gros du boulot... Mais c'est un premier texte, et il reste très intéressant. Du coup, puisque tu le propose, tu nous ferais pas une petite suite histoire d'améliorer tout ça ? Allé, STP... ++ ps : Un projet sur les rails Celt ?
  9. M3mn0ch07

    Le Commencement de la Fin

    En passant... Ou alors il n'y a pas de réponses parce que ceux que ça intéresse ont déjà participer au sujet et ne souhaite pas flouder de messages monolignes genre "toujours aussi intéressant, envois la suite". Je sais, un monoligne de ce genre ça fais toujours plaisir, mais note que de toute façon, pour partager une œuvre personnelle sur un forum, il faut mettre son ego de côté et s'attendre à ce que ça ne plaise pas à tout le monde. Attention aussi, un sujet délaissé par son auteur à plus de chance de n'avoir aucune réponse, déjà parce qu'on lit souvent les derniers sujets remontés... Et ensuite parce que l'enthousiasme de l'auteur se voit aussi dans sa façon de tenir son sujet... Bref, envoie la suite, je lirais ça volontiers. ++
  10. M3mn0ch07

    Petite histoire sur la GI

    Hello, Alors un petit com rapide en passant sur le forum (où ça sent les vacances en section SF...) J'ai bien apprécié l'ensemble mais j'ai deux trois remarques qui me semblent constructives : - Les descriptions sont bonne car on sent que tu as pris ton temps pour l'écrire, du coup quand l'action arrive, j'ai l'impression que tu as écrit plus vite et du coup...moins bien ? - Pour justifier ma première remarque, j'ai relevé plus de fautes et plusieurs répétitions sur la fin du texte, deux exemples de répétition flagrants; Là, avec "arme" : Et là, "explosion" : - Sinon, concernant le scénario, on reste ici dans du classique. Ce n'est pas forcément une critique, et c'est toujours plus facile pour commencer, mais ça génère forcément moins de passions ou d'émotions au lecteur... Du moins pour mon cas. - tu ne fais aucune description de l'ennemi(sans e, à moins que se soit volontaire ?) et aucune description / explication / justification du silence au début. Est-ce un silence abstrait ? réel ? imaginaire ? ressentit par les gardes ? J'ai eu un peu de mal à me l'imaginer... Bref, i l y a du bon mais je pense quand même qu'un peu de travail supplémentaire rendrait ton récit bien meilleurs. ++
  11. M3mn0ch07

    Dureté d'une liste

    En passant, je fais une petite précision pour Ashrael : Tu auras certainement compris avec les explications ci-dessus que l'on doit évaluer la dureté d'une liste d'une façon qui se doit de rester la plus objective possible. Ceci dit, je pense savoir d'où provient ton impression que les jugements sont pondus comme ça, par miracle. Simplement parce qu'aucune liste d'armée, aussi bien optimisée qu'elle soit, ne devient imbattable. C'est un fait, d'abord parce qu'il suffit de faire s'affronter deux listes identiques dites imbattables pour en rendre une (et donc les deux...) "battables". Ensuite par ce que de nombreuses listes ont des Némésis... Par exemple une armée complétement mécanisée (beaucoup de véhicules, troupes transportées etc...) dite "dure", se fera certainement retournée contre une armée remplie d'armes à fusions et autres canons lasers, qui elle même aura certainement du mal contre une armée complétement piétonne qui elle même aura du mal face à une armée n'alignant que des armes à gabarit, qui elle même aura certainement du mal face à la première armée mécanisée etc... Bref, la "dureté" malgré toute la bonne volonté que l'on mettra à la rendre objective ne pourra jamais l'être complètement. Ceci dit, moins les listes seront "dures", et moins les parties risques d'être à sens unique et inintéressantes... Du coup, évaluer la dureté, c'est évaluer la possibilité laissée par une liste de jouer une partie équilibrée et intéressante pour le deux joueurs. Car il faut bien comprendre aussi qu'il n'y a pas plus d'intérêt à gagner une partie sans forcer qu'à la perdre... Si les deux joueurs connaissent le résultat, autant trouver autre chose à faire en attendant, hein. Voilà, c'était mes deux sous du jour... ++
  12. Hum... Si les concepteurs avaient voulut que toutes leurs règles ne comportent aucune incohérence, ils en seraient encore à la traduction de la V1...Il ne faut pas oublier que les concepteurs n'écrivent pas les règles pour les brutes de tournois ou pour nous autres aficionados de la section règle, hein. Ils écrivent juste un truc qui est pour eux parfaitement compréhensible, puisqu'ils l'ont certainement discuté / testé / approuvé entre eux avant de l'écrire. Malheureusement pour nous, il reste forcément quelques coquilles de ci de là, à nous de nous en dépêtrer... ou pas. Oublions dons une fois de plus d'invoquer la volonté des concepteurs... Pitié. Concernant le sujet, je ne pense pas qu'une étude approfondie des termes utilisés puisse déterminer l'obligation ou non d'avancer en ligne droite, chacun pourra l'interpréter selon son envie (ou son codex... ) Après, et selon moi, si le contournement d'un terrain difficile/dangereux permet d'arriver à 1 pas, alors c'est clairement la méthode la plus rapide (car la moins risquée), par contre, si le contournement ne permet pas d'arriver à 1 pas, alors la ligne droite est la méthode qui permettrait d'être le plus rapide et je dois choisir celle-ci, avec les risques de ralentissement que cela comporte... Ce n'est que mon avis, hein, c'est ce que je proposerais à mon adversaire. ++
  13. En passant pour essayer de faire plus simple que les camarades du dessus (dont les réponses restent tout à fait correctes hein ) Il ne faut pas raisonner en figurines, mais en emplacements disponibles sur le schéma de structure d'armée. En général (i.e. pour les missions standards) on à le droit de sélectionner deux choix de QG (dont un est obligatoire). Toujours en général, une figurine remplie un de ces choix (par exemple un capitaine space marine ou un big boss ork). Après, dans la pratique, les codex permettent souvent d'avoir plus d'une figurine pour un seul choix de QG, voilà plusieurs exemples : - Les Démons peuvent avoir deux hérauts pour un seul choix QG (et qui joueront indépendament lors de la partie hein). - De nombreux QG peuvent être accompagnés d'une suite composée de plusieurs figurines qui n'utilise pas d'emplacement dans le schéma de structure d'armée. - un choix de QG peut avoir une restriction de nombre comme les prêtres de la GI (0-5) et dans ce cas, que tu joue un ou cinq prêtres bouffe un emplacement QG. - Etc. ++
  14. Yop, en passant : Je pense que TheBoss™ veut montrer une autre subtilité du "à la place d'un Nob" : Si tu prend les 15 commandos ou les 20 chokboys, il te reste la possibilité d'en transformer un en Nob qui fera donc partie des 20. Le boss remplaçant le Nob doit donc faire partie des 20. Autrement dit, si tu prend 20 chokboys et que tu te paye Nazbidule, il ne vient pas "à la place" d'un Nob... Mais ça me donne envie de poser une autre question, puisqu'on pourrait interpréter le "à la place" par : "au lieu de promouvoir un boy en nob, vous pouvez faire diriger votre unité par machin"... Je divague ou pas ? (Car je n'est pas le dex sous les yeux là tout de suite... Mais si je ne divague pas, ça ramène les limites à 6-21... ) ++
  15. M3mn0ch07

    Fluff World Eaters

    Re... Ha bah voilà qui répond clairement à ma deuxième remarque... Non, sans rire, tu aurais peu être du commencer par là, on se sent moins largué du coup. Si on fait abstraction du scénario difficile imposé par le contexte du CDA (nombreuses races au même endroit au même moment... Pas facile de rendre tout ça crédible même si tu t'en sors plutôt bien), le texte est vraiment très agréable. Comme tu le dis toi même, tu es à l'aise avec les descriptions et ça contribue vraiment à l'atmosphère bien rendue de ton récit. Il y a bien quelques petites fautes (ou des mots oubliés) mais rien de bien grave vu le bon niveau global. Sinon, je continu à dire que tes dialogues sonnent moins bien que le reste du coup, c'est dommage. Si tu souhaites reprendre quelque chose, commence par là à mon avis. Ah, et si tu ne le fais pas déjà, n'hésite pas à parcourir et commenter la section, c'est comme ça que tout le monde progresse ++
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