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CodoulePou

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Tout ce qui a été posté par CodoulePou

  1. CodoulePou

    Mes ennuis

    Ajout du Philosophe dans le premier message. Genèse : Un poème construit au fil des semaines, sur des idées différentes. Il y a donc de multiples interprétations possibles.   ClP, back to work
  2. CodoulePou

    Mes ennuis

    Salut à tous, voici encore un fragment pour accompagner cette rentrée. Je ne ferais aucun commentaire, donc bonne lecture. Le gardien de phare (ajouté au premier post) ClP, en progrès ?
  3. CodoulePou

    Rêves d'un soir

    Un poème plutôt réussi ! Le fond est très réussi, mais pour ce qui est de la forme, on aperçoit quelques erreurs de métrique. Le Je s'affirme bien au milieu du poème comme puissance de volonté (ou puissance créatrice) et j'aime bien cette idée de le rajouter une fois le décor posé (ville/nature. Cependant, si tu nous livre un sonnet quasi-baudelairien, j'avoue ne pas comprendre la "beauté sage". Premièrement, ça fait une antithèse avec le "serpente sinueuse" du début de vers, et avec tout le reste du quatrain d'ailleurs. Deuxièmement, j'ai l'impression que ça ne s'intègre pas bien dans l'univers du poème, m'enfin ça c'est subjectif. Pour ce qui est de la métrique : Aux /a/bords/ des /champs,// la /nuit/ nous/ ap/par/tient,//-> 11 syllabes Dans /le/ fond/ d’un/ lac/ où// se/ des/sine /un/vi/sage,// -> la césure à "où" surprend, on aurait tendance à la voir après "lac", mais pourquoi pas Re/flet/ de /som/bres/ astres// au/ re/gard/ a/é/rien.// -> je ne suis pas sûr, mais je crois qu'on met en général une virgule en cas de "e" muet à la césure Et/ je/ songe/ aux/ té/nèbres,// in/ten/ses/ et/ si/ pro/fondes.//-> 13 syllabes Ô,/ noc/tur/nes/ lu/eurs,// dans /les/ ci/mes/ et/ sous/ l’onde !// -> 13 aussi (le "e" n'est pas muet dans ce cas là) Je/ songe/ à/ ces/ vieux /mondes,// en /plein/ cœur/ des /eaux//-> 11 syllabes Voilà voilà, en tout cas j'aime beaucoup, et si j'ai dis des trucs faux, n'hésitez pas à le dire que je me couche moins con =) ClP
  4. CodoulePou

    TROLLDRENGI

    Je plussoie XAW. La longueur est bien choisie, car on n'a pas le temps de s'ennuyer. La construction en alternance entre histoire et transformation capillaire du Nain est assez bien menée, voire remarquablement bien même. Voilà pour ce qui est de l'éloge. Concernant la critique – car il faut toujours – je dirais que la scène de bataille est un poil trop courte. On veut de l'épique, que diable ! Du sang, des tripes, de hauts faits d'armes ! Par ailleurs et bien que l'immersion psychologique soit bien menée, je pense qu'on ne ressent pas assez la douleur du personnage. Il faudrait probablement s'étendre dans le pathétique (donc l'expression de la douleur) en évitant le piège du ridicule, bien évidemment. J'avoue que c'est un dosage difficile à maîtriser et que tu le manies plutôt bien, mais cela pourrait être encore meilleur. Voili voilou, je t'encourage à écrire d'autres nouvelles sur l'univers battle, car on n'en voit que trop peu et que c'est un plaisir de commenter. Et si tu as envie d'un peu de challenge ou d'idées, je ne saurais que te conseiller d'aller faire un tour dans la section Travaux communs & Concours ClP, ahlala les Nains. PS: j'ai oublié de dire que le passage où le Nain s'étend sur le rapport à l'argent est limite cliché, mais bon ça ne nuit pas vraiment à l'ensemble
  5. CodoulePou

    Mes ennuis

    @Autnagrag : autant pour moi j'avoue n'avoir pas tellement recompté, me basant sur le rythme,mais tu as bien raison, merci de le signaler (il faudra que je retravaille ce poème à l'occasion. Sinon, j'ai une autre oeuvre à proposer. Je ne peux pas vraiment la qualifier de poétique, étant donné qu'il s'agit plus d'une foule d'impressions, parfois insensées, recueillies sur le moment. Donc pour la genèse : un cours d'économie (oui ça m'inspire) où je commence à écrire de... courtes phrases, basées sur des impressions. Il n'y a aucun travail dessus, aucune réflexion, il d'agit uniquement de mot qui m'ont traversé l'esprit l'espace d'un instant. Le tout donne un tableau intéressant conceptuel, je trouve. En attendant [i]enjoy[/i], et essayez de capter l'impression dont cela découle. PS: il est en PDF pour la disposition (les paragraphes en ligne se correspondent mais l'odre d'écriture correspond aux colonnes) mais si quelqu'un en fait la demande, je rajoute le texte dans le premier poste. http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_5330789491549.pdf ClP, qui ne sait que capter l'instant, sans travail aucun
  6. CodoulePou

    Mes ennuis

    Ajout de "La Voix" dans le premier post. Genèse du poème : une interro pendant laquelle je n'étais pas très inspiré, j'en ai profité pour écrire en une demi-heure ce petit poème. Le texte est resté inchangé, même si le titre et la ponctuation sont postérieurs (pour des raisons de compréhension). Si certains sont d'humeur à critiquer, notamment le respect ou non de certaines contraintes poétiques, je suis tout ouïe. ClP, un brin d'inspiration, enfin PS: merci Kayalias et BRAN, je lis bien vos commentaires et j'en tiens compte. En tout cas ça fait plaisir d'être lu =)
  7. CodoulePou

    Mes ennuis

    Voilà un petit texte très court. Je l'ai classé dans la section poésie car il n'y a pas de récit, même si le côté poétique peut paraître discutable. N'hésitez pas à critiquer, réagir, ou manifester un quelconque sentiment /> [size="5"][b]/!\ texte vulgaire /!\[/b][/size] Deux catins. L’une est belle, élégante même. Elle choisit avec soin ses petites tenues, ses fréquentations et ses bouteilles de champagne. L’autre est moche, dégueulasse même. Elle se fout de où elle baise et avec qui, pourvu qu’on lui donne un peu de fric. L’une est brune, se dit escort-girl et méprise les mendiants. L’autre est blonde, se fait traiter de salope et collectionne les maladies vénériennes. La première rêvait d’être une princesse, et méprise sa sœur. La deuxième rêvait d’être une princesse, et entend parler de sa sœur dans les grands quotidiens. La brune s’est fait refaire la poitrine et met des strings en fourrure. La blonde a les seins qui tombent et ne met de culotte que le dimanche pour aller à la messe. Qui aurait pu imaginer que Vice était sœur de Vertu ? Et pourtant, toutes deux poussent les mêmes cris de jouissance lorsqu’un mâle en rut les prend en levrette. ClP, hard-working
  8. J'ai beaucoup apprécié "Paroles à un ami", même si j'aurais peut être aimé voir la métaphore un peu plus apparente sur la fin. En tout, la conclusion donne tout son sens au poème. "Anormal" également est très bien construit. On s'imagine bien le texte slamé (imaginez la voix de Grand Corps Malade dessus par exemple ) Par contre, "Araignées", là je ne suis vraiment pas fan. Je sais pas, il ne m'évoque pas grand chose. En un mot, continues ! ClP, les copains d'abords PS: je te conseille d'essayer les formes fixes, certes plus rigoureuses, mais elles offrent des possibilités intéressantes.
  9. CodoulePou

    Le duel des Dieux

    Hmm... Sympathique /> J'avoue avoir été un peu confus lors du premier changement de narrateur mais après avoir compris je trouve enrichissant d'offrir deux points de vue opposé. Deuxième petite confusion sur les colonels (le combat entre Finelame et Ultir) mais en relisant j'en ai déduit qu'il s'agissait d'un flashback (espérons que je ne me sois pas trompé /> ) Sinon, tu nous offres un récit savoureux dans un univers qui semble assez bien construit. J'aime bien l'opposition humains/elfes que l'on trouve assez peu souvent dans les récits fantastiques. Peut être manque-t-il pour l'instant les raisons du conflit ou tout au moins des détails indiquant que le monde ne se limite pas au campement humain et à la forêt de l'elfe. Quelques points en vrac : Le départ précipité de l'Archange. Il disparait vraiment vite, et sans donner d'explication, alors qu'il vient de s'échapper d'une prison militaire (comment s'y est-il retrouvé d'ailleurs, au vu de sa puissance ?) L'elfe qui passe d'une mission d'infiltration à la béatitude la plus pure en se retrouvant chez elle... Je veux bien qu'elle ait vécu une nuit difficile, mais elle doit bien rendre compte de sa mission, non ? Un peu trop d'insistance sur l'amour provoqué par l'Archange. Il est certes le bienvenu mais attention à ne pas trop l'appuyer. Mais je suppose que la suite répondra à mes interrogations Voilà, sur le fond on a un réussi bien mené, une narration qui ne divague pas ; on suit bien les pensées de personnages... J'aime =) ClP, back to the future
  10. CodoulePou

    Utopie

    Salut à tous, je profite d'un petit devoir de Français pour vous faire partager cette petite utopie. (la consigne était : décrivez une utopie ou une dystopie)Attention : ce n'est pas une critique délibérée d'un quelconque mode de vie occidental. Et aussi, cest un one-shot. Perosnnellement, je ne suis pas très satisfait de la fin (enfin la critique finale) mais je ne trouve pas comment l'améliorer (idées bienvenues ). Tous les commentaires (constructifs) font plaisir, alors n'hésitez pas. Sur ce, bonne lecture à vous. C’était une tour, élancée et majestueuse, qui se dressait au sommet d’une grande île ; et sans son sommet de verre et d’acier, on aurait pu la prendre pour un volcan avec son panache de fumée. Elle s’étalait sur un pic rocheux – et faisait corps avec la masse de granit. Ce granit était d’une solidité à toute épreuve, et conférait à l’édifice des fondations si stables que nul n’avait jamais craint sa chute. Des étages émaillaient le bâtiment, perturbant l’impression de continuité de l’environnement ; mais c’était quand même un beau bâtiment, et la seule vue de ses hautes flèches infligeait une humilité béate à quiconque les contemplait. Revêtue d’une chaste robe grise, la tour siégeait sur son rocher, contemplant la mer alentour avec une insolence morne. Le dernier jour avant la mort. Après cinquante-neuf ans et trois cent soixante-quatre jours à œuvrer pour le bien de la cité, Ithîr devrait mourir. Pour le bien de tous. Son dernier acte de bienfaisance envers un peuple à qui il devait tout. Son peuple. Demain, il passerait la dernière porte, et se jetterait dans la centrale – qui brûlerait son corps et permettrait à la cité de fonctionner grâce à l’énergie libérée – comme tant d’autres avant lui, comme tant d’autres après lui. Il avait connu une vie semblable à chaque citoyen : élevé en communauté, le jeune homme avait voulu rendre service en étant un élève assidu (car c’était son devoir). A l’aube de sa quinzième année, lui et tous ceux de sa génération avaient découvert les plaisirs de l’occupation et s’étaient donnés corps et âmes à leur besogne. Après avoir expérimenté les postes d’agriculteur, de pêcheur, de balayeur, de nettoyeur, d’ouvrier et une dizaine d’autres savoirs-faire, Ithîr avait été sélectionné pour donner naissance à un futur citoyen. Les hommes et les femmes se croisaient rarement, et la Nuit du Devoir (tel était son nom) constituait un des seuls réels moments d’échanges, ceux-ci se limitant habituellement à la coexistence pure et simple. Sa vie était alors consommée de moitié ; on l’affecta à des tâches moins exigeantes. La diversité des travaux et leur changement rythmé (à chaque anniversaire) n’entama en rien son ardeur, et c’est toujours avec dévotion qu’il devint technicien, nourrice, secrétaire, dactylo, professeur… Cette période de sa vie offrit à l’adulte qu’il était plus de contacts intergénérationnels qu’il n’en avait jamais eu (il avait toujours travaillé avec ceux qui étaient de son année). Une fois de plus, il fut choisi pour un rôle bien particulier, celui d’administrateur. Au nombre de cinq, ces citoyens se dévouaient pour le reste de leurs vies à régir les affaires courantes ; et rares étaient ceux qui parvenaient à se sacrifier dans la centrale, faute de survivre au quinquennat. Heureusement, leur nombre était faible et les autres (généralement professeurs ou secrétaires) réussissaient à alimenter la centrale, qui alimentait elle-même la Mère de Tous, vulgairement appelée Ève. Ayant eu la chance de survivre, Ithîr devrait se sacrifier le lendemain. Il avait été d’une force incroyable et sa situation l’honorait ; seulement il n’avait pas envie de mourir. Cette [i]envie[/i] le déroutait, car cette sensation était nouvelle pour lui. Bien sûr, il avait déjà éprouvé l’envie de se sustenter ou de se reposer, mais cette envie là était totalement imprévue et il ignorait comment la satisfaire : son devoir était de mourir, et il ne pouvait se dérober. Cette envie était si insolente, si irritante, qu’elle fit naître une petite idée dans la tête du vieil homme. Cette petite idée finit par grossir, enfler, et occuper tout son esprit. Lors de sa nomination, on lui avait révélé un code secret qui permettait d’accéder à une toute petite salle ; ordre avait été donné de ne l’utiliser qu’en dernière extrémité. La chose lui avait parue si incongrue, tout nouvel administrateur qu’il était, que l’existence de cette salle était vite sortie de sa tête. Seulement aujourd’hui, tout était si différent. Enfin, rien n’avait changé à part lui, mais le peu de temps d’existence qui lui restait le poussait à l’action. Il tergiversa (décidément, cette journée sortait de l’ordinaire) et finit par se décider. Il se coula dans les couloirs, saluant d’un mouvement de tête les connaissances qu’il croisait, et arriva face à la petite porte métallique, surmontée d’un boîtier où il tapa les quatre chiffres qui le séparaient du contenu mystérieux de cette pièce. Le panneau d’acier coulissa. Ithîr fit un pas, puis toussa (beaucoup de poussière s’était accumulée). En fit un autre. Re-toussa. Claqua des mains (tiens, la lumière ne s’allume pas). Tâtonna et appuya sur l’interrupteur (un petit peu archaïque). Attendit que la poussière retombe. Contempla, éberlué, les amoncellements de livres qui s’étalaient du sol au plafond. Prit le plus proche (qui s’intitulait [i]Tout, rien, et le reste[/i]). S’assit par terre. Ouvrit la première page et lut les maladroites lettres manuscrites. « Ce pays est celui des gens qui… (qui quoi ?) … qui attendent leur mort dans la soumission à un être mort depuis des temps immémoriaux, et dont les restes régissent encore un peuple dans la plus parfaite ignorance. » Le vieillard relu plusieurs fois le passage, tentant de saisir le sens de ce charabia. Quelques mois plus tôt, il eût trouvé cela absurde, mais ces phrases résonnaient aujourd’hui avec un perturbant écho de vérité. Il replongea dans sa lecture. Il devait s’arrêter de tant à autres pour essayer de comprendre des mots qu’il n’avait quasiment jamais prononcés (quant à déceler le rapport entre [i]néo-collectivisme[/i] et [i]conditionnement mental[/i], il ne fallait même pas y penser). C’est au crépuscule que le mort en sursis referma délicatement le carnet et, fort d’une vision nouvelle, se préparait à alerter ses congénères sur l’illusion dans laquelle ils vivaient. A l’instant même où il se leva, l’ouverture par laquelle il était entré se referma sèchement. Cherchant une autre issue, il leva les yeux et vit l’écran s’allumer. Une pupille noire s’afficha, profonde et impénétrable, entourée d’un iris turquoise d’une chaleur glaciale. L’image était cernée par quelques cils qui donnaient un air inoffensif à l’ensemble. Une voix suave s’éleva. « L’heure approche Ithîr, j’espère que tu es heureux de ton sacrifice. Ta génération se réjouit de ta longévité. — Je ne mourrai pas. Je sais tout. — Tes idées ne te sauveront pas de la centrale. — Toi seule à besoin de la centrale pour fonctionner, et quand les citoyens seront alertés, plus aucun n’acceptera de se sacrifier pour toi ! Tu nous utilise ! — Je vois que tes lectures ont été instructives, mais personne ne croira un homme à la veille de son sacrifice, et ta manifeste démence nécessite certainement une accélération du processus. Un temps. — Je ne sortirai pas de cette pièce, n’est-ce pas ? — Pourquoi t’en empêcherais-je ? Ne suis-je pas la Mère de Tous, qui sauve le peuple et assure sa pérennité ? — Sa pérennité ? Tu n’es qu’un ordinateur, et bien que j’aie du mal à saisir le sens de ta création, une chose est sure : tu ne nous protège de rien. Mais cette pièce, pourquoi ne l’as tu pas détruite ? Chacun de ces ouvrages représente un danger pour ton existence, et la centrale n’aurait aucun mal à dévorer ces pages. Pourquoi ? — Eh bien… Aux temps de ma création, vos ancêtres étaient pour la plupart de doux rêveurs qui ne se préoccupaient pas de leur situation matérielle, et le délitement de la communauté commença par une famine, faute d’hommes pour produire. Cependant, un génie proposa de créer un robot qui ne laisserait pas les humains s’écarter de leur objectif – la survie. Depuis, j’assure votre descendance, immature que vous êtes. Mon programmeur croyait que les idées se transmettaient par les airs, et que le seul moyen de les contrôler était de les garder en sécurité, écrites sur des livres que personne ne devrait ouvrir. La bibliothèque que tu vois là est l’héritage de savants naïfs et de curieux dans ton espèce. Sur ce, je te souhaite une belle fin de journée avant ton anniversaire. » L’écran s’éteint et le silence s’installa après un bref crépitement. Ce système qui avait été pour lui sa raison de vivre, l’objet de ses efforts, lui apparaissait maintenant comme une coercition qui empêchait aux individus de se rendre compte de leur situation. Et le « chacun » avait été effacé au profit du « tous ». Une idée qui paraissait noble, mais effaçait tout son sens à la vie. Jusqu’à présent, il avait vécu pour la cité, pour la remercier de lui avoir offert l’existence, et lui avait consacré tous ses efforts. Mais ce dévouement lui avait été instillé par Ève, qui s’en servait pour interdire aux gens de ressentir des émotions, des envies… En lisant, il avait découvert l’amour. Il ne comprenait pas quel être pouvait être assez cruel pour empêcher ses pairs de ressentir une émotion aussi formidable. Il ne comprenait pas qu’on accuse ces [i]sentiments[/i] de la ruine des peuples. Il ne comprenait pas que des générations entières soient régies par une intelligence dénuée d’émotions. Il ne comprenait pourquoi la cité survivait, alors même que son existence n’avait aucun intérêt pour ceux qui y prenaient part. Il ne comprenait pas, mais savait qu’Ève ne voulait pas son bien, et attendit la mort avec détermination. Et avec un livre. Quand la porte s’ouvrit, il avait lu trois livre de plus. [i]La Vie et la Mort[/i], [i]La Guerre et la Paix[/i], et [i]La Dictature pour les Nuls[/i]. Il sortit, et ne vit personne car c’était la nuit. Sans même chercher à alerter quiconque, car il se savait surveillé, il marcha jusqu’à la porte de la centrale, écrivit « LIBERTE » sur la porte, et entra. A vos claviers ! ClP, another boring day on my way [EDIT 28/03] MaJ du dialogue
  11. Salut la compagnie ! pour épargner une introduction hasardeuse, voici simplement mes poèmes. Critiques et commentaires en tout genre bienvenus ;)/>/> Le premier du lot (et unique pour l'instant), est un petit poème un peu enfantin (mais l'enfance est le refuge des trésors, comme chacun sait). Bref, pardonnez la simplicité et soyez critiques.   Regarde autour de toi Regarde autour de toi : pleins de choses sont belles ; Les gens, les fleurs, les arbres, la nature mortelle. On ne t’accuse pas d’intense cécité Regarde autour de toi, cesse de l’éviter. Regarde autour de toi : pleins de choses se passent ; Les gens vont et s’en viennent et toi seul te tracasse. On ne t’accuse pas d’égoïsme insensé Regarde autour de toi, et remplis tes pensées. Regarde autour de toi : pleins de choses sont mortes ; Les gens, les médisants, toquent à l’autre porte. On ne t’accuse pas de vraie naïveté Regarde autour de toi, n’aie de cesse d’admirer. La Voix Au plus profond de l’agonie Se crée la beauté moribonde De tous les chants les plus immondes Du cygne que l’on a honni. Mais est-ce de la mort, Perfide enchanteresse, Que la voix de déesse Du cygne au triste sort Qu’il exprime sa haine Ou son amour du monde Car les deux sont les mêmes Si jamais on les sonde. Ce que cet air a de funèbre ? Une illusion de fatalisme. Comme l’exotisme du zèbre, De la douleur a le charisme.   Le gardien de phare Bien souvent je me trouve devant cette fenêtre ; Mon regard enfiévré guette l'horizon pâle A jamais attendant une lueur d'opale Qui sur cet horizon peut-être pourrait naître. Et j'attends sans relâche cet éclat idéal Passant tout mon temps libre appuyé au carreau, Animal enfermé derrière quelque barreau : Je ne ne vis que pour cette aurore boréale. Mais un jour ayant acquis les vertus de l'âge Je cessai de guetter un semblable mirage ; Mon regard se porta sur ce qui existait, Et je vis ici même une image si belle, Traversant mon jardin la déesse rebelle D'un amour éternel que mon être pistait.   Le Philosophe   Dans la profondeur des cavernes sous terre Errait sans fin celui dont l'apparence austère De la statue de bronze, du colosse endiablé Repoussait les mortels, cultivateurs de blé.   En ce havre troublé ni de mort ni de guerre Adoptant la posture et tranquille et amère De l'ermite qui pense dans un port ensablé Il cultivait sans fin sa tristesse doublée.   Ô Dieu des vieux âges, Grand Maître des Adages Fais que ton esprit sage se répande en breuvage Abreuvant pour toujours le carillon qui sonne.   Délivre nous ainsi de la tentation Et du Mal animal que sont nos pulsions — C'était l'unique Dieu, adoré de personne. ClP, éternel recommencement
  12. CodoulePou

    Massacre forêstier

    Bon, je n'ai pas tout lu mais j'ai quelques conseils à te donner =)et bienvenue dans la section. Evite de mettre autant de sauts de lignes, et fais à la place des paragraphes structurés qui attireront plus le lecteur. Relis toi ! On voit beaucoup de fautes de frappe, de verbes, etc. qu'il faut corriger avant de poster le récit (par pitié pour le lecteur, au moins) [quote]Il savait parler excellemment bien le latin et l'écrivait parfaitement.[/quote] excellement bien = pléonasme Mets plutôt "Il parlait et écrivait parfaitement le latin." Et évite de mettre des parenthèses ! Elle renforcent l'impression que tu cherches à déballer ta culture sur le sujet sans rien apporter d'important. Si tu veux vraiment mettre des précisions, insère les au récit avec une incise (entre virgules)(ex: ne faisait pas de métier déshonorant, comme marchand d'esclave, ...) Par contre, il faut choisir ton narrateur : il s'intègre à la façon d'un conteur au début ("intéressons nous") mais après il disparait, ce qui le lecteur perplexe. Voilà, en espérant que tu fasses bon usage de ces conseils. ClP, U-topic
  13. [center][/center]Face à l'inactivité relative de la section RPD, je me suis dit que j'allais mettre un peu la main à la pâte. La nouvelle qui va suivre aura plusieurs parties, les suivantes étant en cours d'écriture et donc sensibles aux critiques éventuelles. Concernant le récit en lui même, s'il peut paraitre en partie philosophique ou didactique, il n'en est rien, et les thèses éventuellement développées n'ont pour but que de véhiculer les états d'esprits des personnages. Sur ce, le récit [i]himself[/i]. [size="4"][u][b] Dia-logue[/b][/u][/size] [i]Nulle part.[/i] « Salut ! — … — Eh ! Quelle tête tu fais ! — … — Tu es fâché, c’est ça ? Fâché de me rencontrer enfin ? — … — Dis, tu vas l’ouvrir un jour ou je vais devoir me la faire en monologue du début à la fin ? — Non, je… C’est juste que… Je ne m’y attendais pas. — Et à quoi tu t’attendais ? — A… A tout sauf à ça. — Eh bien ! Regarde ! Regarde autour de toi ! Regarde ces sapins ; ne sont ils pas magnifiques ? Regarde cette neige ; n’est-elle pas pure comme celle des sommets éternels ? Regarde ce sentier ; est-il trop étroit à ton goût ? Hein ? — Ce n’est pas le décor qui importe, mais les personnages. Pourquoi toi ? — Parce que moi ! Il fallait bien que tu me rencontres un jour, non ? Et où et quand cela aurait il pu arriver, si ce n’est ici et maintenant ? Surprenant mais logique, non ? — Oui, mais… — Mais ? — C’est si déstabilisant… On m’avait dit… — On ? On t’avait dit ? Mais il ne faut pas croire les gens : les gens sont stupides. Réfléchis par toi même, bon sang ! [i]Un temps.[/i] — Bon. Venir ici n’a pas été trop dur ? — Le choc était douloureux. Enfin pas vraiment douloureux, plutôt un genre de douleur qui vient de l’inconnu, de l’inattendu… Un genre de stress je pense… — Enfin, il pense ! — Une vie sans se rencontrer, et c’est cette ironie amère que tu me déverse, comme une bile, une aigreur de l’esprit qui te ronge depuis si longtemps ! ARRETE ! — Arrête ? Mais je n’ai pas commencé… Enfin, soit. Soyons amis. Nous sommes proches après tout. Peut être que je devrais calmer tes angoisses. Tu veux une cigarette ? — Moi angoissé ? Rire nerveux. Cela doit être vrai. Raconte moi, toi, puisque je ne peux pas faire confiance aux gens. — Hum… Par où puis-je commencer ? — Pourquoi pas ici et maintenant ? — D’accord. Ici, on n’est nulle part. Maintenant n’existe pas au sens où tu l’entends. — Alors ? — Alors tu ne pouvais pas le prévoir, car personne ne le savait, avant. Tu t’imaginais peut être un champ ruiné sur un ciel apocalyptique, ou une marmite géante, ou une campagne lumineuse et immaculée ? Eh bien non. Rien de tout cela. Pas de divinité accueillante, de cris de bienvenus, de comité d’accueil. Juste moi. Mais ce n’est pas ici, la fin. Peut être qu’il y a quelque chose, après. Peut être pas. Toi tu y crois, tu espères. Il ne peut pas ne pas y avoir d’après. Mais moi ? Qu’est ce qui m’empêche de sombrer dans le néant, ici et maintenant ? Et si ce n’est pas le néant, alors quoi ? Le chaos ? L’oubli ? Qu’est ce qui me rattache à la vie ? Hein ? Oh, c’est bien facile pour toi de te contempler inlassablement, tu peut toujours trouver des moyens d’écarter tes peurs ; mais même en les éloignant, elle ne cessent pas d’exister pour autant. Tu comprends ? TU COMPRENDS ? Non, évidemment, tu ne comprends pas. Tu me prends pour un fou. Mais le fou, entre nous, qui est-ce ? Toi, qui crois aveuglément à un destin heureux, ou moi, qui remet en cause jusqu’à mon existence et qui ne peut au mieux qu’espérer ? J’aurais espéré que tu comprennes. Toi seul aurais pu. Mais non, monsieur préfère enterrer sa tête dans le sable, sans regarder ce qu’il y a autour de lui. Et dans son aveuglement, cet homme, ce frêle individu hésite sur l’attitude à adopter face à mon discours. Dois tu être compatissant ? Moqueur ? Rassurant ? Convaincant ? Persuasif ? Mais non, il reste sans bouger, presque tremblant. Qui est tu ? QUI ? Qu’est ce qui te définit, bordel ? » [i] Un silence. [/i] ClP, qui reprend la plume
  14. CodoulePou

    Poèmes

    Sympathique ! Attention aux rythmes comme même hein Pour les synérèses, c'est ce côté "chanson française" qui est sympathique, mais attention aux rythmes du coup. Pour l'histoire de la rime pour l'oeil, il pourrait plutôt s'agir de fautes d'orthographe alors. J'aurais plutôt mis : [quote]Une feuill' vole au vent, Qui vir'volt' lentement. Elle est sèche, elle est morte, Elle n'est plus qu'un'[color="#FF0000"][b],[/b][/color] morte[color="#FF0000"][b].[/b][/color] [...] L'orgueil d'êtr' supérieur A tous mêm' l'Créateur Qui n'est autre que leur M[color="#FF0000"][b]è[/b][/color]re La Terre Nourricière. Ils lui ont arrach[color="#FF0000"][b]é[/b][/color] Presque tout c'qu'elle avait. Ses os, son sang, sa vie, Et ce sans un merci. [...] Sa peau avait trembl[color="#FF0000"][b]é[/b][/color] Montrant qu'elle existait Mais on s'est inquiété Pour les p'tits Japonais. Ell' les enten[color="#FF0000"][b]d [/b][/color]parler Du Jugement Dernier Sauf qu'ils n'ont pas pig[color="#FF0000"][b]é[/b][/color] Qu'c'est eux qui vont l'causer [...][/quote] Sinon, j'aime bien l'atmosphère, les images et tout... (n'en mets pas de trop grandes ça mets du temps à charger chez certains) Et les deux heures et demie de réponse c'est parceque je suis passé, mais tu aurais pu avoir plusieurs jours sans réponse. ClP [EDIT] Dans la citation il ne s'agit pas d'enlever des strophes mais de corriger les fautes (en graset en rouge).
  15. CodoulePou

    Poèmes

    Tout d'abord, bienvenu à toi dans la section. Tu le sais peut être déjà, mais ici les réponses mettent souvent du temps à arriver (par souci de qualité bien sûr). Concernant ton poème, j'avoue que j'adhère au style bien que les synérèses prennent un peu au dépourvu par moments. Un brin d'engagement, peut être, qui change. Cela dit, je te déconseille de t'engager pour les actualités (Fukushima en l'occurence) cat ton poème y perd de son intemporalité que j'estime être une qualité essentielle (cela dit, les évenement qui s'étalent sur plusieurs années et affectent une majorité de la population peuvent être utilisés à cause du devoir de mémoire). Pour les commentaires de style je laisse à d'autres. Mais attention avec la rime pour l'oeil : il ne faut pas que cela passe pour de la flemme (ou "ne pas se faire chi*r la b*te" comme le dit Arnaud Tsamère, mais lui n'a aucun rapport avec la poésie). Voili, voilou, continue d'écrire on se fera un plaisir de commenter. ClP
  16. Salut, j'aime bien l'idée du récit mais certains points restent à améliorer : Premièrement : la police. Les habitués du forum rechignent à lire les récits où l'auteur se montre original sur la police. Disons le clairement : la police de base est très bien et tu ne pourras qu'exacerber les lecteurs potentiels en jouant dessus. J'aime bien l'utilisation du background : on ne se sent pas perdu dans les obscures dynasties ou les notions géographies fumeuse, sans toutefois avoir un exposé factuel de la géopolitique de l'Empire. Un bon point donc, car tu amènes avec finesse les éléments. Attention au vocabulaire : éviter à tout prix le vulgaire sans tomber dans la préciosité (mettre des adjectifs pour faire joli ou savant : un balai reste un balai). Pour ce faire, je te conseille d'insister sur des détails qui embarqueront le lecteur dans l'histoire (à modérer tout de même). Car c'est un problème de ton récit : on ne sent pas "dedans". Il manque de vie en quelque sorte. Comme disait Kayalias, tu peux insister sur les sensations des personnages : ce sont des êtres humains avec des peurs, des rêves, des MOTIVATIONS (les actions du héros ont toujours une raison : on ne détruit pas deux montagnes "parce que c'est drôle"). Après je ne parle pas forcément de tes défauts à toi, mais des défauts qu'on retrouve en général (penser à lire l'épinglé sur l'écriture, au passage). [quote]ce jour d'hui?[/quote] C'est bien de vouloir utiliser du vocabulaire médiéval, cependant 2 contraintes : s'y tenir un minimum pour une certaine cohésion de style ; et s'assurer que le mot existe/est compris. Concernant tes dialogues, il sont d'une platitude extrême (les personnages font penser à des asociaux qui tentent pathétiquement de communiquer). Seule solution : illustrer la vie (sentiment, remarques personnalisées, on peut penser à un vocabulaire familier, mais s'y tenir). Je ne vais pas m'étendre sur tous les détails mais concernant l'essentiel : Pose toi la question du but. Pourquoi as tu écrit ce texte ? Pour rendre compte d'un sentiment (les OS/nouvelles y conviennent bien), divertir un public, écrire pour soi... Une fois que tu auras trouvé ton but, assures toi qu'il est atteint et/ou ressenti. ClP, espérant t'avoir aidé. PS: c'est malheureusement vrai, "une orbe" sonne beaucoup mieux.
  17. Je me sens presque insultant en postant un commentaire trivial, mais bon... J'apprécie énormément (on se passera de l'éloge ici), et j'ai juste une petite question : les liens youtube confinent le receuil au format PDF/informatique, non ? Parce que le recueil sans la musique serait... plus ou moins incomplet non ? (SoK, ton avis pleeease )
  18. Je plussoie Kayalias... Tu as un bon coup de crayon, tu maitrises les contrastes mais ton personnage... on a l'impression qu'il baille ! Joues sur les rides, les sourcils etc. pour lui donner un air effrayant !
  19. Personnellement, je pense que ce poème doit plutôt être chanté (eh oui, un chant de bataille). Cela permet de mieux ressentir l'"âme" du poëme. Par contre, cela met l'accent sur les erreurs de construction. Pour ne parler que du fond, je trouve le poème réussi ; car le chant guerrier reste bien différent du poème qui vise à exprimer les sentiments du poète. Je pense que ton poème est réussi car il inspire bien les sentiments de gloire et d'honneur propres à la guerre. Juste : le guerrier : bourrisnisme ou exagération propre aux texte ? ClP
  20. Je n'effectue moi même pas de colorisation informatique, mais j'avais envie de parler (enfin écrire). Premièrement, les formes globales. Le haut du corps est très réussi, mais fais attention aux formes de la robe en bas à gauche. Pour l'instant, elle reste acceptable, mais elle prend beaucoup de volume, et pourrait paraître démesurée à la fin. Les proportions restent le plus gros problème à ma connaissance. Concernant les couleurs, tu t'en sors très très bien. Tes nuances sont très bien faites, surtout le visage. N'hésites pas à t'éloigner de l'image originale en accentuant les ombres, par exemple. Les ombres et les reflets sont très importants dans ce type de dessin, car ils restent les meilleurs moyens (et seuls ?) d'exprimer la profondeur ; la photo exprime naturellement la profondeur, mais un dessin doit vraiment insister dessus, pour ne pas paraître trop plat. Et, comme le disait Wilheim, multiplie le plus possible les calques. Si tu désires vraiment perfectionner ton dessin, tu peux faire une esquisse au crayon papier; cela t'aidera beaucoup pour le travail des couleurs. Enfin, si tu l'as vraiment fait en quelques heures, je trouve cela vraiment remarquable, même si tu as un peu d'expérience. Et, encore une fois, les nuances du visage sont très bien maîtrisées.
  21. Dur de voir autant d'oeuvres perdues... Je ne fais pas parti des plus créatifs, mais je comprends ce que ressentent ceux qui ont beaucoup perdu. A quand un petit concours pour relancer l'activité ? Et bon anniversaire Lord Paladin, tant qu'on y est
  22. Tu veux un micro Nan enfait si je poste, c'est pour parler (à défaut d'écrire ) Par rapport au sujet de l'année dernière (Oo éternel retardataire), il est bien vrai que c'est l'inspiration qui vous trouve, et non l'inverse. Pour ceux qui me reprocheraient mon manque d'expression, je vous assure que je passe souvent, mais je préfère bien observer avant d'agir. Enfin bon pour ma part et l'inspiration (même si elle est principalement présente pour la prose, je ne suis pas encore à l'aise avec le vers), elle me vient souvent en laissant divaguer mes pensées, l'esprit errant (en cours ), ou en écoutant de la musique. Rien de surprenant quoi. Sauf que j'écoute principalement du rap et r'n'b us. Personnellement, le format papier me convient mieux, je me relis mieux en tapant, même si c'est fastidieux. Ce que je voudrais ajouter, c'est que l'inspiration est également présente en dessin (même si pour moi c'est plutôt des créations sur ordinateur que je pratique éternel nul en dessin manuel), et une belle création, quelque soit la technique, vaut un bon poëme/texte. Voilà. ClP. +SoK je lirais bien des poèmes en langues étrangères (c'est bien le breton ? Oo)
  23. CodoulePou

    Conte de Coeur

    Oo. Pour commencer, pour ce qui est de l'orthographe, j'ai un petit doute comme ça. J'aurais mis "leurs", vu que tu parles des sens des jumeaux, et pas des sens d'un seul jumeau. Je trouve que ton récit décrit assez bien la dualité humaine et la lumière que représente l'amour dans notre coeur (les mots sont faibles, c'est difficile à décrire) ; et j'aimerais bien savoir ce qui t'as poussé à écrire (moi je veux bien entendre que tu as croisé une belle inconnue et que tu t'es imaginé une romance folle, mais pour ce que je viens de lire, y'a autre chose je pense). Tu as bien fait de mettre un encadré pour préciser certaines notions, sinon jamais je n'aurais compris le passage des globes. Par contre, la lumière et le coeur sont repris assez finement dans le récit, et je trouve cela vraiment remarquable. La richesse en émotion de ton récit est assez remarquable, si je ne me répète pas M'enfin, ce qui est à retenir, ce qu'il faut que tu continues parce que là, franchement, c'était de la bombe. Bien sûr, j'ai dû passer à côté de deux ou trois défauts, mais ce n'est pas ce qui m'intéresse. J'ai également admiré la richesse en vocabulaire de ton récit (nan mais sérieusement j'ai vu des groupes nominaux à faire pâlir Victor Hugo). Ce que tu dois savoir (synthèse quoi), ce que ton récit est riche en émotion et en vocabulaire, que tu n'as quasiment pas fait de fautes de syntaxe, et que tu dois continuer ! Un message un petit peu court peut être, mais c'était juste histoire de te donner un avis sur ton texte.
  24. CodoulePou

    [Samedi] If

    Oui, bien sûr que c'est connu Sinon bravo Silverthorns (de mémoire ), et ça m'a plus ^^ ClP, qui a aimé
  25. Faut croire que je suis en retard M'enfin bonne année à tous et joyeuses fêtes (passées)
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