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haldu

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Tout ce qui a été posté par haldu

  1. haldu

    [Warmachine] Kommandos

    Alors, je vais être bref : Les moins : ton héros est un peu trop bourrin à mon goût, le coût du commando qui explose tout-le-monde alors que ses camarades meurent et que les ennemis sont étrillés à déjà été fait 10000 fois au moins. Il y a également quelques fautes de répétition et d'orthographe, mais rien de dramatique Le plus : tu arrives à nous faire comprendre facilement un univers qui nous est pourtant totalement étranger. Et ça, c'est une preuve d'un certain talent.
  2. Tout dépend de ta volonté. Si tu veux qu'on puisse comparer, ajoute le nouveau texte. Si tu ne veux pas, modifie l'ancien.
  3. [b]Ah, pouvoir modérer un autre modérateur, le plaisir suprême ! [/b] Non, je rigole Jehan Mais sache qu'ici, il est conseillé de poster des texte qui fassent au moins 1 page Word taille 9 ou 2 pages OpenOffice standards taille 12. Sinon, le principe est intéressant, et mériterait d'être creusé.
  4. haldu

    Le Royaume du Chaos [TERMINÉ]

    Ah, Malékith reprend son caractère d'Elfe Noir. Ca fait plaisir ! Sinon, rien à ajouter d'autre que l'habituel : descriptions fluides et très plaisantes, et histoire passionnante. Suite !
  5. haldu

    [40k] les anciennes colonies.

    Toujours un poil bourrin tes personnages. Mais l'histoire est passionnante et se suite facilement. Et mention spécial à l'Ork qui dit, à propos d'Alice "t'avises pas de la bouffer, ça pourrait te tuer" Niveau orthographe, de grosses améliorations. Cependant, tu as toujours tes problèmes d'accord. Et aussi, tu remplaces systématiquement le mot "peu" par "peut". Voilà, rien d'autre à dire. La suite !
  6. haldu

    (40K) Ascension

    "La chose qui l'avait envoyé à terre", sans E. Parceque c'est le soldat qui est envoyé, et comme il me semble que c'est un homme, l'accord se fait au masculin. Bon, pour ton introduction. Elle est simple, clair, et se lit bien. Nous avons déjà envie d'en savoir un peu plus. Toutefois, je ne peut que déplorer le fait qu'elle soit un peu trop courte. N'oublie, la taille minimale ici pour poster est de 1 page Word taille 9 ou 2 pages Open Office standards taille 12.
  7. haldu

    [40k] les anciennes colonies.

    Alors, déjà, permet-moi de remarquer ton orthographe. Même si elle est encore loin d'être parfaite, et notamment au niveau des accords (plein de E et de S sont ou ne sont pas là lorsqu'il le faut ), je ne peux que constater que tu l'as grandement amélioré. Tes efforts payent, continue comme ça ! Ah, j'allais oublier. Il vaudrait mieux que tu évites de mettre des chiffres dans tes textes. Personnellement, ça ne me gêne pas, mais c'est une convetion d'écriture. Quand à ton histoire. A la fois j'apprécie la complexité qui est en train de se mettre en place. Et les anachronismes qui permettent de créer tout un univers de science-fiction original, avec des ajouts précieux d'éléments de Warhammer 40000. Cependant, à propos de tes situations, et surtout de ton dernier personnage, Boris, je n'ai qu'une chose à dire : BOURRIN !
  8. Je ne saurais rien ajouter à votre discussion. Je fais juste un petit HS pour rebondir sur les Vikings : [quote]Certaines saga évoquent également une pierre spéciale qui montrait la position du soleil (par certains reflets) même par mauvais temps, mais ça n'a jamais été confirmé qu'ils avaient bien ce genre de choses.[/quote]Et si ! La pierre a bien été confirmée, vers le milieu de l'année dernière. On en a retrouvé une. Il s'agissait de pierre avec des veines de minerais semi-précieux translucides. En la tournant vers le ciel, les veines étaient plus claires lorsqu'elles étaient placées entre celui qui tenait la pierre et le Soleil. Du coups, les Vikings savaient où était le Soleil.
  9. haldu

    L'Astra Militarum

    Bon, ce que je vais dire ça vient d'un fluff perso. Mais j'ai lu dans une fanfic le récit d'un bataille, où une escouade d'enfant enrôlés par le Chaos y prenait part. Ils avaient pour rôle de garder l'entrée d'un bâtiment contre la Garde Impériale. Bon, ça ne prenait qu'un paragraphe, avant qu'une grenade ne les explose. Et ce n'est pas une source officielle. Mais c'est tout ce que je peut te fournir. Et quand au rôle officiel des enfants, dans cet univers froid et impitoyable, mieux vaut surtout ne pas spéculer dessus. Surtout lorsqu'ils sont collés juste à côtés des "femmes maquillées".
  10. haldu

    [40k] Winged Fists

    Le fluff est plutôt bien construit, et ton orthographe est bonne. D'un point de vue littéraire, je n'ai rien à redire. Par contre, au niveau histoire, je n'aime pas trop ton chapitre, notamment le côté corrompu. Là, ça manque vraiment de précision sur ce qui se passe. Je voudrais aussi te faire remarquer que tes images ne s'affichent plus. Peut-être devrais-tu les reposter.
  11. En fait, il est vaguement sous-entendu que la citée soit affiliée à Khorne ou à Slaanesh, puisqu'elle apparait dans le Realms of Chaos traitant de ces deux dieux (Slaves to darkness). Mais il n'y a absolument rien d'autre pour appuyer cette théorie à ma connaissance. Si tu veux savoir ce qu'en dit le old-fluff, dans justement Realms of Chaos : [quote]La Cité était construite de sombre folie et elle s'étendait à travers les terres pour m'emplir de peur, car le chemin sur lequel je marchais m'amènerait à ses portes. La carrière d'où étaient tirées ses pierres était la nuit et tous ses détails, tous ses ornements, glorifiaient la démence. Aucune pluie ne pourrait nettoyer cet endroit de la poussière du mal et aucun vent n'en pourrait vivifier l'air corrompu. La folie avait servi d'architecte, d'ingénieur, de maître aux maçons de la Cité et elle avait guidé leurs niveaux et leurs fils à plomb. Je détournais mes pas vers l'horizon lointain et, à nouveau, la Cité était devant moi. Une fois de plus, je tournais, et encore, puis une autre fois encore. Avec chaque destination nouvellement choisie, je m'approchais encore des portes de la Cité et ses tours et ses murs m'apparaissaient plus hauts. Les portes fatidiques étaient la fin de toutes routes et le désespoir saisissait mon coeur. Alors que je faisais une pause pour chercher un échappatoire, je vis que je n'étais pas seul sur ce chemin hideux et inévitable. Entre moi et la Cité, se tenait un homme, la tête courbée, les yeux baissés, perdu dans une profonde contemplation. Comme je le regardais, il se tourna vers la Cité. Son pas était ferme, mais il ne s'approchait plus des portes et je le regardais passer à coté de moi, et s'éloigner encore des portes jusqu'à ce qu'il s'évanouît dans les brouillards lointains. Ainsi, il était possible d'éviter la Cité et sa troublante noirceur et je me résolus, contre toute raison, à marcher vers la Cité. Quand je le fis, la Cité ne s'agrandissait plus et, bientôt, se perdit dans le lointain. Liber Maleficus, Livre des visions du Chaos, Marius Hollseher[/quote]
  12. haldu

    [Aide][HElfes] Gardes Maritimes

    Eh bien ! Depuis le passage à la V8, il y a un an donc, c'est la première fois que je poste à nouveau dans la section stratégie. Au passage, d'un modérateur à un autre, je tiens à remercier Arandir sur la manière dont il remplit sa fonction avec talent. Bon, assez papoté, je passe au but de mon message. Personnellement, je n'ai jamais joué HE au dessus de 2000 points en V8 (2500 en V7 pour la précision totalement inutile), je ne m'aventurerais donc pas dans cette voie. Par contre, j'ai de l'expérience dans les petites tailles. Je plussoye totalement ceux qui disent que les GML sont utiles en petites armées, si la liste est taillée autour d'eux. Ils peuvent former un bon réservoir à point, plutôt résistant pour des HE s'ils se tiennent à distance. J'insiste sur cet éloignement, histoire qu'ils ne soient pas des cibles tentantes au tir, et qu'ils ne se fassent pas engager directement au CàC par des unités costaudes. Je préconise de déployer plutôt au fond de la table (pas trop non plus), par groupe de 15 ou plus, et de les faire avancer normalement (donc pas de [i]marche forcée[/i]), afin qu'ils se retrouvent dans les combats au 3° ou 4° tour. Entretemps, ils pourront se servir de leurs arcs. S'ils résistent bien au tir, ils pourront alors se tailler une part du lien dans la mêlée, surtout contre de l'infanterie ou de la cavalerie déjà affaiblie.
  13. Tiens donc ? Ce qui s'est passé au centre d'instruction se reproduirait-il sur le champ de batailler ? (Ou l'inverse, vu comment le récit est construit). En tout cas, je n'ai rien à redire, je trouve que c'est toujours aussi prenant. Cependant, il ne se passe pas grand-chose, alors je suis content que ça commence à s'agiter enfin un peu.
  14. haldu

    Le Royaume du Chaos [TERMINÉ]

    Bon, ça fait un moment que je n'ai pas posté de commentaire. Mais sache que j'ai suivi ton histoire depuis le début. Que je la trouve très bien écrite et affarante d'inventivité. Et en tant que grand fan de Tzeentch, je pense que ça ve devenir encore bien mieux là !
  15. haldu

    Tyranides & Chaos

    Je vous fait juste rappelle qu'à Warhammer et 40K, il y a vraiment très peu de différence entre une grosse âme et un dieu. Ensuite, Khorne a déjà énormément à faire avec les autres Dieux. Il n'a même pas pris la peine d'aller tuer l'Empereur (ou son embryon, je sais plus trop ce que c'est).
  16. haldu

    Autres nouvelles de Kritislik

    Bon, j'avoue que je n'ai pas reconnu tout-le-monde. mais l'histoire est vraiment bien écrite, et plutôt amusante à lire. J'adore le fait que tu rappeles en permanance à quel point les héros sont absurdes. Au plaisir d'en avoir de nouvelles comme celle-là !
  17. [quote]Euh, je te met au défi de me donner une seule liste qui ait restitué (soit qui ait permis d'aligner des dizaines de milliers de figurines selon les bonnes proportions de troupes, et seulement avec les personnages succeptibles de s'y trouver) exactement la réalité backrounesque de Warhammer..... à ma connaissance aucune (je n'ai pas connu la V1, ni la V2, mais il y avait à peine de listes à l'époque, et on pouvait, jusqu'en V5 quasiment, aligner des tas de monstres hyper rares aux côtés d'une armée de quelques dizaines d'individus).[/quote]Mode anecdote ON Unefois, en V7, lors d'une partie d'une vingtaine de joueur où chacun avait rameuté 2500 pts de liste. Dans le camp adverse, il y avait un Archaon (qui a joyeusement massacré mon seigneur nain). Mais c'est vrai que dans un partie avec chaque camps à 25000 pts, sur une table de 6 mètres de long, on avait le droit Mode anecdote OFF Non, plus sérieusement, pourquoi est-ce que vous vous prenez la tête ? Je prend mon propre exemple. Quand je ne suis pas sur la table de jeu, j'aime m'intéresser au fluff, recouper les morceaux, reconstruire l'univers, fabriquer mes petites histoires. Lorsque je suis dans une partie, j'aime voir les pélégrinations des figurines, les féliciter devant leurs exploits (mon seigneur nain à survécu à 2 round de duel face à Archaon), sans me demander une seconde si c'est fluff ou non. En gros, je m'éclatte avec les 2 aspects, à des moments différents, sans les mélanger, et je suis très heureux comme ça.
  18. Les gars, le monde Warhammer baigne littéralement dans les énergies du Warp, et seul le Vortex des Hauts-Elfes sur l'Île des Morts l'empêche d'être submergé. Donc je pense que la proportion de Sorciers est un tout petit peu plus grande ATTENTION je ne dis pas qu'on en a un à tous les coins de rue, mais plutôt qu'on devrait compter dix mille impériaux pour un sorcier, et non un million contre un. Et pour répondre à ta question Zugrub : depuis quand les listes d'armées font-elles parties du fluff ?
  19. Attention. Ceci est le premier post que je fais dans la section figurine depuis sa création. Et c'est toi qui a l'immense honneur d'en être le récepteur Je trouve que ton idée de véritables pièces d'appareils est simple mais très efficace ! L'incorporation des éléments du Talos et du Broyeur d'Âmes sont judicieux et bien proportionnés. Bravo. Lez forme générale rend bien, et j'attend la suite avec hâte. Je me permet de te poser une petite question. Quelles tailles font les véritables pièces que tu ajoutes ?
  20. haldu

    [40k] les anciennes colonies.

    J'aime bien ton histoire. Mais : [b]sujet fermé jusqu'à ce que tu corriges les fautes d'orthographe ![/b] [color="#006400"][b]EDIT Celt : Cf. Le règlement de la section en épinglé, clause d'orthographe et correcteur automatique [/b][/color]
  21. haldu

    Autres nouvelles de Kritislik

    Méchant Kayalias qui a repris exactement tout ce que je voulais dire ! Maintenant, je n'ai plus qu'à plussoyer l'intégralité de son commentaire, sans pouvoir rien y ajouter. Ah si, j'ai une question à poser : Horst et Tania, ce sont des références à [i]Eragon[/i] ?
  22. haldu

    Lutter contre ses démons.

    Ça va te faire rire mais : non, je ne peux pas déplacer ton sujet. Faut voir avec Celt pour ça. [color="#006400"][b][EDIT Celt : Normalement, si, tu peux. Sinon, il faut en parler avec Kurt Helborg, c'est une histoire de droits ! Bref, je déplace ou non ?][/b][/color] Et puis, à la limite, ton récit à aussi très largement sa place ici. C'est pas grave. D'ailleurs, l'emplacement n'impacte pas du tout la qualité de ton histoire.
  23. haldu

    Lutter contre ses démons.

    Pour le coup, je me demande si ton récit n'aurait pas plutôt sa place dans la section fantastique. Enfin, c'st pas grave. Je l'ai trouvé très bien. Beau style, bon contenu. Rien à redire, sauf : [quote]Les autres créatures me scrutaient elles aussi de leurs yeux d'obsidium[/quote]D'obsidienne peut-être ? Parceque les définitions du mot "obsidium" sont : [quote] 1.Siège pour prendre une place forte, occupation, attaque. 2.Condition d'otage. [/quote]Alors que le mot obsidienne : [quote]1.Roche éruptive à structure vitreuse, sans cristaux, de couleur noire (parfois verte). Elle est très dure. 2.(Minéralogie) Ensemble de variétés de laves (rhyolite, trachyte et andésite) ressemblant au verre, de couleur foncée (rouge, vert, noir…). Les obsidiennes sont des silicates complexes comme le feldspath; on les appelle parfois agate d’Islande, verre des volcans[/quote]
  24. haldu

    L'invocation

    Je suis désolé pour 3 choses : [list=1] [*]Le temps que j'ai mis pour poster, une fois de plus. Parceque j'ai été très occupé, et je le suis encore actuellement. Et j'ai aussi passé une semaine à l'étranger. [*]D'avoir fait un trop gros contraste d'intelligence entre le début et la fin du précédent chapitre. Surtout qu'à moi aussi ça m'avait paru bizarre ! [*]Et pour le manque d'enrobage du plan. Mais d'un autre côté, c'est vraiment pour les lecteurs que j'ai rajouté cette partie-là. [/list] Sinon, rien à dire d'autre. Je suis plutôt content de ce chapitre que je poste. Bonne lecture : XXXIX-L'assaut massif Lorsque le Gardien d'Émeraude manipulait Nazgarub Briz'Nuk, et par son intermédiaire la Waaagh !, il avait instauré un usage tzeentchi. En fait, il s'agissait tout simplement d'élaborer une stratégie avant chaque bataille. Cette habitude était très loin d'être réservée aux adorateurs du Grand Architecte. Mais ils l'avaient portée à son paroxysme. Tout aux contraire des orques, chez qui elle était quasi-absente. Une fois que le Duc de Changement eut déserté la Réalité, Nazgarub, tous ses subordonnés, et en fait l'immense majorité de sa bande de guerre, avaient retrouvé les bonnes vieilles habitudes. La seule tactique était là : les Peaux-Vertes allaient attaquer trois camps. Ils s'étaient donc partagés en trois groupes différents pour pouvoir s'en prendre à tous. Et encore, la répartition s'était effectuée au gré des humeurs et des envies de chacun. Ce qui créait de grandes disparités tactiques entre-eux. Ce dont ils se fichaient totalement. En plus de se moquer des stratégies d'attaque, les orques ne se préoccupaient que peu d'une autre chose. A savoir la discrétion. Le camp du général Harsbourg avait eu le temps longtemps à l'avance de les entendre venir. Mais malgré leur préparation, la férocité de leurs adversaires ne fut en rien diminuée. Ni quand les mortiers bombardèrent la forêt d'où sortait les factions de l'armée commandées directement par Nazgarub lui-même. Ni lorsque les canons prirent le relai une fois que la Waaagh ! commença à courir à travers la plaine la séparant du camp. Ni camp les arquebuses et les arbalètes vinrent ajouter leurs voix à cette grêle de mort. Les Peaux-Vertes succombaient par poignées entières. En une minutes, plusieurs douzaines pouvaient périr, ou être mutilés trop gravement pour poursuivre l'assaut. Mais rien ne semblait pouvoir arrêter le raz-de-marée vert. Car à sa tête, son seigneur de guerre était là pour le mener. Juché sur son char tiré par des sangliers, protégé par une amulette runique volée sur le cadavre d'un mercenaire nain particulièrement riche, Nazgarub menait l'assaut. La magie des runes l'entourait, lui et son char, d'une protection impossible à passer. Les boulets du canon se plantaient dans la terre, à moins de deux mètres de lui. Les balles ricochaient, les carreaux se brisaient. Galvanisés par leur chef invulnérable, les sauvages couraient derrière lui, ne se souciant absolument pas de leurs pertes, allant même jusqu'à piétiner à mort de nombreux blessés. Peu importe le fait que le quart des orques et des gobelins périt avant même d'avoir atteint les Impériaux, leur barbarie resta intacte. Ils parvinrent à percuter la ligne adverse. Et le massacre commença. Le char pénétra dans un groupe dense de lanciers. Les piques se brisèrent inutilement contre la structure en bois, tandis que Nazgarub était trop expérimenté pour se laisser empaler. Il se baissa, pour se mettre à l'abri, à la dernière seconde. Son aurige fit de même. Les sangliers, eux, furent écorchés par de multiples lames, mais cela ne fit que les enrager. Ils commencèrent à piétiner, et éventrer avec leurs défenses les impudents humain devant eux. L'aurige se releva, et embrocha le porte-étendard adverse d'un coup de son aiguillon primitif. Nazgarub, lui, décapita le premier humain qu'il vit, avant de briser le crâne de son infortuné voisin, puis de planter profondément sa hache dans le torse d'un troisième. Le sergent de l'unité laissa tomber sa lance pour tirer son épée. Il avait l'intention de se jeter sur Nazgarub pour lui faire payer ses crimes. Mais un autre adversaire lui barra la route. Le reste de l'armée Peaux-Verte rejoignit son chef, avec à sa tête un troll des marais. La bête nauséabonde fondit sur le sergent, l'attrapa en restant insensibles aux entailles causées par l'épée, puis l'avala en quatre bouchées. Mais il eut un peu de mal à avaler l'armure, et finalement vomit sur les derniers lanciers divers bouts de leur défunt sergent, mêlés à des sucs digestifs d'une acidité inconcevable. L'éclaboussure atteint tous les survivants, qui commencèrent immédiatement à se liquéfier. Frustré de ne pas avoir pu tuer lui-même les derniers humains de ce groupe, Nazgarub ordonna à son aurige de lui trouver de nouveaux adversaires. Frustré d'avoir à nouveau le ventre vide, le troll décida de le suivre. Et frustrés de ne pas avoir pu participer aux premiers sangs, les autres Peaux-Vertes s'égayèrent dans tous le campement. Les tentes étaient piétinées, les barricades incendiées, les provisions pillées. Abandonnant toute discipline, les hommes se jetèrent sur les orques avec autant de rage que ces-derniers. Des petits groupes éparts s'affrontèrent de partout. Très vite, la terre devient rouge du sang humain, et noire du sang des assaillants. Des têtes, des membres et des cadavres, beiges ou verts, jonchèrent bientôt le champ de bataille. Les impériaux s'aménageaient au fur et à mesure de nouvelles barricades avec les massifs corps des orques pour se protéger, et utilisaient les tripes des gobelins pour rendre les obstacles glissants. Derrière ces murs de chaires mortes, ils repoussaient leurs ennemis, en abattant plusieurs dizaines au tir, et autant au combat rapproché. Mais tôt ou tard, les Peaux-Vertes finissaient par réussir à contourner ou escalader les barricades. Dans les combats acharnés qui suivaient, de nombreux attaquants perdaient la vie, comme tous les défenseurs. Le troll qui suivait le char de Nazgarub s'écroula. Ou plutôt, son corps sans sa tête. En effet, cette dernière avait subtilement été explosée d'un tir de canon. Prenant ceci comme un signe du destin qui lui indiquait son prochain adversaire, Nazgarub ordonna à son aurige de le mener à la machine de guerre qui venait de tuer le troll. Le char percuta le fût de bronze du canon, et renversa la pièce de guerre toute entière, explosant son essieu et ses roues. L'un des canonniers n'eut que le temps de voir les sangliers, avant qu'ils ne l'écharpent avec leurs sabots. Un autre impérial tenta de fuir, mais l'aiguillon du cocher lui perça le cœur avant. Un troisième canonnier fut tranché en deux, à la taille, par un coup de Nazgarub. Le seigneur de guerre tenta ensuite de s'en prendre au quatrième et dernier servant de la machine. Mais cet humain fut plus vif que ses congénères, et se jeta à terre, évitant la mort de peu. Il se réfugia naïvement derrière un tonneau de poudre. Avec un sourire mauvais, Nazgarub sauta de son char, dans l'intention de briser à main nue la nuque de ce couard qui cherchait à se cacher. Mais il ne s'attendit pas à ce qui allait se produire. Pris de panique, le canonnier enroula autour de son épée courte un bout de tissu, et l'enflamma à l'aide de son tison. Il brandit son arme improvisée devant le seigneur de guerre. Sur le coup de la surprise, l'orque fit un pas en arrière, avant de tout simplement taper sur les doigts de l'impérial. Celui-ci lâcha son arme enflammée, qui tomba dans le baril de poudre noire, ouvert. L'énorme explosion qui eut lieu pulvérisa le canonnier, disloqua le char, rôti les sangliers, et occis l'aurige. Nazgarub, s'en sortit indemne, grâce à son amulette qui détourna les flammes autour de lui. Il en fut néanmoins sérieusement sonné. Il ne reprit conscience que lorsqu'un hallebardier planta la pointe de son arme dans son épaule. Avec un rugissement de colère, le seigneur de guerre arracha le fer de sa chaire, puis le manche des mains de son adversaire. Et il se servit du plat de la lame pour briser le cou de l'humain. Ramassant sa hache, il fonça sur un chevalier, et le fit chuter de selle. Il réduisit son crâne en miette, avant de faire pareil des côtes du cheval. Par la suite, il se tailla un chemin dans la masse, parfois seul, parfois rejoint par d'autres orques jusqu'à ce que ceux-ci trépassent. Le carnage continua une heure. Les humains prélevèrent un lourd tribu à leurs agresseurs. Mais cela n'empêcha pas leur extermination. Finalement, il ne resta plus qu'un vingtaine de soldats impériaux. Le général Harsbourg et ses Joueurs d'Épées. Quiconque les approchait finissait débité en plusieurs morceaux. Avant que Nazgarub ne les atteigne, des orques montés sur des sangliers fondirent sur eux. Leurs montures s'empalèrent sur les longues lames, tandis que les monteurs furent embrochés aussitôt qu'ils tombaient de selle. Ensuite, des squigs affamés tentèrent d'en faire leur prochain repas, mais un parfait ballet de fer eut vite raison d'eux. Des gobelins furent forcés à tenter une attaque, mais ils n'avaient aucune chance. Le dernier d'entre-eux venait d'être décapité, quand Nazgarub fondit sur les Joueurs d'Épées. A sa suite, des Orques Noirs s'élancèrent, contents de trouver des ennemis à leur hauteur. L'élite des deux armées s'affronta dans une sauvage cacophonie de mort, chacun déployant ses talents de militaire. Les deux se valaient, et autant d'Orques Noirs que de Joueurs d'Épées tombèrent au champs d'honneur. Jusqu'à ce que le dernier humain déjoue dans son dernier souffle l'armure du dernier Orque Noir, et lui enfonce sa flamberge dans une faille qui menait directement au cœur. Nazgarub, lui, n'avait d'yeux que pour le général Harsburg. Ce haut-gradé commençait à vieillir, mais restait néanmoins un adversaire doué. Et surtout était le commandant. Le seigneur de guerre lui fit même l'honneur de le saluer avec son arme, avant de se jeter sur lui dans un duel singulier. Les coups fusèrent plus vite que le regard ne pouvait suivre. La hache para l'épée, ou fut déviée par elle, à de multiples reprises. La cotte de maille de l'orque comme l'armure de plates de l'humain bloquèrent d'innombrables coups mortels. Mais, à la septième minute de ce combat désespéré, Nazgarub vainquit. Il envoya un coup de pied dans le menton du duelliste. Le guerrier fut projeté en arrière et perdit l'équilibre. Saisissant l'occasion, le seigneur de guerre donna un grand coup de pied dans l'épée pour l'éloigner du général. Puis, d'un horion de sa hache, décapita son adversaire. Il prit sa tête, et la brandit bien haut en signe de victoire. Dans le camp du capitaine Heitburg. -Plus vite ces tonneaux. Remplissez-les moi de gravats ! Entassez-les ! Nous n'avons plus beaucoup de temps ! Ainsi hurlait Heirich, tandis que ses subordonnés tenaient a peu près le même langage. Là encore, les Peaux-Vertes s'étaient fait entendre de loin. Les soldats de l'Empire étaient donc en train de s'affairer à monter des barricades ordonnées, à l'aide de barils remplis de cailloux, ou de tous ce qui était lourd et n'aurait pas d'autre utilité lors de la bataille à venir. Ils n'oublièrent pas de laisser des espaces, afin de pouvoir donner du feu à l'aide de leur unique canon et nombreux mortiers. Un cavalier revint au camp, au galop. -Ils ont presque atteints l'orée de la forêt. Ils arrivent ! Sans qu'aucun ordre n'eut besoin d'être donné, les mortiers firent feu. Des pans entiers de la lisières furent abattus. Les boulets et la chute des arbres s'occupèrent d'un certain nombre d'assaillants. De plus, ceci dégageait le terrain. Aussitôt que les orques furent à découvert, les tireurs postés aux barricades firent feu. Leurs filèrent à travers l'air, et s'arrêtèrent en prenant la vie de nombre d'ennemis. Puis, avec une discipline parfaite, les soldats se retirèrent, afin de laisser place aux autres. Avec la même précision, ils tirèrent une salve, et se replièrent. Les premiers militaires retournèrent à leurs postes, et recommencèrent. Le tout sous le bombardement incessant de l'artillerie. Le roulement était perpétuel. Les projectiles d'un nombre infernal empêchaient quiconque de s'approcher vivant. Le sol lui-même, jonché de corps, commençait à devenir l'allié des Impériaux. Devant une telle résistance, et à cause de l'absence de véritable meneur, l'assaut de l'armée verte se stoppa, puis reflua. Laissant les morts et les blessés baigner dans leur propre sang. Les humains arrêtèrent alors provisoirement leurs tirs. Un orque noir s'avança alors, seul, ses armes rangées dans leurs fourreaux. Intrigué, Heirich donna l'ordre de ne pas lui tirer dessus dans l'immédiat, et remit son pistolet à la ceinture. L'orque s'approcha des barricades, en marchant lentement, mais s'arrêta à une distance raisonnable. Il enleva son casque, laissant voir son visage, dont la peau sombre était couverte de cicatrices. Il rejeta la tête en arrière, puis poussa un hurlement titanesque. Puis il se saisit d'une hache, et la pointa en direction des Impériaux. -Vous ! Vou utilizé dé métode de gobelins pour vou batre. Vou avé tro peur. Je défie tou ceu ki veulent pour m'affronter un par un. J'attends. Sinon, je relance l'attake, et je ne laisserais aukun ork fuir cette fois ! Heirich regarda plusieurs de ses officiers. Aucun ne tenait à ce que les orques reviennent, surtout si cette fois les tirs ne les arrêteraient pas. Plusieurs lieutenants firent mine de vouloir répondre au défi de l'orque noir, mais Heirich les arrêta, en leur expliquant : -Vous êtes tous sous mon commandement, c'est mon devoir d'y aller en premier. Si jamais je meure, alors, ne vous gênez pas pour venir vous battre, et me venger. Il enjamba la barricade, sa hallebarde à la main. Il trotta vers l'orque, avant de s'arrêter à deux bons mètres de lui. Ce-dernier se contenta de remettre son casque, et resta immobile. Le capitaine ne fit pas plus de mouvement. Chacun se contenta de fixer l'autre. Puis, prenant l'immobilité de son adversaire pour de la peur, l'orque noir se jeta sur lui. Heirich eut juste le temps de faire un pas de côté pour éviter de se faire trancher en deux. Mais il ne parvint pas à éviter un vicieux coup de coude dans le ventre. L'orque leva sa hache pour mettre un terme au duel à peine commencé. Mais, malgré sa douleur, le capitaine fut plus rapide. Il frappa avec le plat de la lame de sa hallebarde directement dans le poitrail de son adversaire, le forçant à reculer d'un pas. Profitant de son avantage, Heirich frappa avec une vivacité surprenant le heaume de son ennemi, avec le bout du manche de son arme, suivit d'une succession de coups dans les côtes, la tête, les bras, et les épaules, toujours à l'aide du manche. Quand l'orque fut déséquilibré de toutes parts, Heirich frappa enfin avec le tranchant, à la hauteur du genoux. La lame ne pénétra pas l'armure, mais fit chuter son adversaire. Avant qu'il ne se relève, le capitaine lui posa le pied sur le torse, et enfonça la pointe de la hallebarde dans une faille au niveau de la gorge. Alors que l'orque agonisait, une nouvelle salve de mortier fut tirée. Forcée, l'armée se replia, pour porter la nouvelle de la défaite infamante au seigneur Nazgarub.
  25. haldu

    [40k] Skryn

    Rien à dire en particulier sur l'histoire. Elle est un peu morbide, mais bon, c'est Warhammer 40000 et Necromunda. Au moins, tu retranscris bien cette ambiance. Pour ton problème, je ne peux pas t'aider. Mais si tu veux savoir, Open Office est téléchargeable gratuitement sur Internet, et depuis que j'utilise ce programme, je n'ai jamais eu de problème de copier-coller. Sinon, la seule autre solution, c'est de faire attention. (Au passage, même si il reste quelques espaces manquants, je tiens à te féliciter pour ton orthographe)
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