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Le contexte hystérique : Hié Sui Khan, big boss des moustachus pour qui c'est pas la taille qui compte a eu vent (divin) d'un temple sur les côtes nippones, où, d'accortes gourgandines ont reçu une éducation qui fit d'elles les supra championnes du monde de l’écrémage du sub-affectif, il n'eut plus alors qu'un seul but : tester l'produit ! L'armée Khitan Liao a débarqué à l'aube, elle a les flots à ras des meules, sur la plage, sauf les pécores tirailleurs, qui venus à la nage, ont 12" d'avance. Le temple, la haut sur la montagne, est gardé par une unité de moines (les bonzes apôtres) Le village de Tathonkiki Kakapoté, lui, a mobilisé sa milice une bande des péquenots bien décidés à pas se laisser piller, massacrer ou incendier (le viol y z'ont rien contre le principe, mais on touche pas au grisbi !). Le saigneur local, (selon les archives locales, il ferait partie de la lignée des Tulami ) arrive avec son ost, à brides et testicules rabattues. Bref, les Khitan ouvrent le bal, collés aux flots sur la plage (sauf la biffe en tirailleurs infiltrée à 12") Une unité de paysans (stubborn) défend le village, une unité de moines défend le temple aux geishas (devant, pasque dedans, les pôv' ecclésiastiques subiraient une grave crise de foi, nus sous leur toge, ils sont une proie facile pour Slanneesh ) L'ost nippon démarre en rentrant de table (ou en sortant de table en fonction eud'l'heure de l'apéro :drunken: ) par le côté opposé aux Khitan. Si Hié Sui Khan pénètre le temple (et du coup tout ou partie de ses occupantes :pig: ) victoire chinoise par (petite) mort subite. Le contrôle du village (les superbes bâtiments John Jenkins d'Olivier :bounce: ) est un objectif secondaire. Et sinon, ben, de la marave quoi... :bball: Le tout en 2000 points, WAB (supplément Vent Divin pour les Nippons d'Olivier, Art of WAr, liste Xian Bei pour mes Khitan) :study: (deux unités obligatoires pour je Japon : moines et paysans, le "stubborn" de ces derniers étant un bonus lié au scénario, donc, pas à rajouter dans les points d'armée et annule aussi les règles désastreuses des paysans nippons) Le temps d’honorer les Dieux en se pétant le bide à grands coups de galettes des rois, apportées par Olivier... Une galette des rois dans les locaux de la Garde... républicaine ! Un affront qui devait être lavé dans le plomb peint, et la Grimbergen (publicité gratuite, mais s'ils veulent m'en envoyer un caisse ou deux on est preneurs ) Avancée générale des troupes chinoises, une attention particulière est portée sur les ailes, où sont cantonnées les deux seules troupes nipponnes présentes face aux cantonais Paysans et bonzes apôtres paient lourd tribu aux flèches et javelots ennemis, mais tiennent leurs rangs. Entrée de l'ost du Daymo local, mise en batterie et autres ordres de bataille... Quelques flèches de moines abattent un archer à cheval, dont la troupe avait oublié son second mouvement (règle WAB du tir parthe) qui l'aurait mis à l'abris sous la falaise. A mon tour, je me rue sur l'objectif, regard apoplectique et bave aux lèvres, Hié Sui Khan entraîne sa garde sus à l'objectif, mais prend soin de se couvrir les arrières en envoyant au sacrifice une unité de nobles ! Mes tirs font fondre le régiment de moines, et mettent en déroute les ikko iki du village ! Samouraïs à pieds et piquiers chargent alors mes nobles sacrifiés. Les tirs d'Olivier ne me font que des dégâts anecdotiques, les trois touches sur mes cataphractes de la part de ses canons feront... zéro dégâts ! (Un superbe triple 1 !), plus heureux ses samouraïs montés trouveront de leurs flèches, la faille dans trois cuirasses de cette unité. Mais le pire restait à venir, sa charge sur mes nobles, conscients pourtant qu'ils allaient prendre cher, se croûte de façon catastrophique, alors que mes cavaliers lui rendent la monnaie de sa pièce en grosses coupures (Niko jouait Slannesh dernière moi, et cette illustre et au combien lubrique divinité, au vu des objectifs de mon Khan, m'a fait sentir son souffle chaud dans la nuque toute la soirée !). Et comme mes nobles gagnent le combat (et qu'après c'est mon tour), je les désengage grâce à la règle Eastern Shock Cavalry 8) A mon tour, je charge avec Hié Sui Khan et ses gars, les samouraïs montés, qui pour cause de Yabusame, me présentaient leur flanc (après m'avoir présenté leurs flèches !) Il faut dire Slannesh, qui ce soir avait pris l'apparence de Niko a convaincu Olivier de tirer et tenir, las cataphractes avec boss VS cavaliers légers (même d'élite) égal massacre sans appel ! Sortie de table des samouraïs survivants et surtout sortie de l'arc de tir des canons d'Olivier (Hié Sui Khan était bien conscient qu'il avait déjà assez tapé dans le stock de malchance de son adversaire, et pourtant...) Et durant ce temps, le reste de mes troupes fait fondre celles de l'adversaire par une palanquée de tirs efficaces (et chanceux !) Prenant le taureau par les baloches, les samouraïs chargent ma seconde unité de nobles à travers le village, et ceux à pieds entament l'escalade de la colline du temple pour voler au secours des pov' Geishas qui commencent à comprendre qu'elles vont prendre cher ! Et ses canons pivotent vers mes cataphractes ! Las, ses samouraïs ne peuvent défaire mes nobles malgré un beau combat, les laissant en fâcheuse posture. Et, alors que mes troupes légères vont jouer à cache cache avec celles d'Olivier, leur faisant payer le prix du sang (fuite des samouraïs au pied de la colline), mes tirailleurs dans le village tombent sur les miches des samouraïs engagés contre mes nobles, et arrivent à désarçonner l'un de ces cavaliers d'élite, d'autres tomberont sous les kontos des nobles, les survivants foirent leurs attaques et le contrôle de leurs sphincters... ils ne seront alors plus remarquables que dans la célérité de leur fuite... La seconde unité de nobles charge les piquiers, pour un combat d'usure qui laissera les deux camps exsangues... Hié sui khan reforme ses gars face au temple, dos aux canons, pour l'assaut final ! Olivier rallie ses samouraïs en fuite, et ses canons prennent à nouveau mes cataphractes pour cible. La seule touche sur iceux ne donnera nulle blessure à nouveau... sabotage ou intervention divine ? Alors que sa garde se retourne pudiquement (en profitant pour décocher quelques traits inefficaces sur l'artillerie nippone) Hié Sui khan, pantalon sur les chevilles, pénètre alors triomphant et turgescent dans le temple des Geishas, fredonnant une chanson d'un barde local, Djo-ni "Allumez le feu ! Allumez le feueeehhhhuuueuuuhhh...." Merci à Olivier qui est toujours un super adversaire à WAB, et aussi à Slannesh qui m'a offert ma première victoire avec mes Khitan Liao (depuis près de 8 ans que je possède cette armée !)