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[WIP] Centurie Vindictae


Azrael_404

Messages recommandés

Hello à tous , et à toute ! Dans le cadre d'achat de mon Chevalier Imperial ( et dans l'optique de lui rajouter des petits copains par la suite) , j'ai décidé d'écrire le fluff de mon groupe de combat. Voici la première "partie" qui correspondrait à la création d'un chapitre SM, c'est un peu mon initialisation de récit. Les prochaines étapes seront la rédaction de la rencontre entre mon chapitre SM et des IK :)
Comme d'habitude, toutes les remarques sont les bienvenues, bonne lecture !

 

Maison Vindictae

 

Peu de gens connaissent la maison Vindictae, et encore moins peuvent témoigner de son origine. Le groupe de chevalier n’a adopté ce nom que récemment, afin de marquer une page dans son histoire et affirmer sa détermination et sa soif de vengeance.
Tout à commencé sur le monde de Cerhès, découverte pendant le Moyen Âge Technologique, la planète était propice à la vie, et plus étonnant encore , une société humaine s’y était développée, les colons furent accueillis avec méfiance mais se firent accepter peu à peu par les locaux. Les grandes machines dont se servaient habituellement les colons pour explorer des zones hostiles ou de grands prédateurs n’étaient jamais sorties du vaisseau colon, puisque le besoin ne s’en était jamais fait sentir. Puis vint l’ère des luttes, et Cerhès fut laissée à son sort, les colons perdant espoir d’obtenir des nouvelles de Terra.
Plusieurs millénaires plus tard, la planète fut retrouvée par la Croisade impériale et renoua avec l’Humanité, découvrant une civilisation guidée par l’Empereur.
Avec le temps les colons et la population locale s’étaient rassemblés en une seule communauté qui vénérait dorénavant l’Empereur de l’Humanité. Il faudra attendre plusieurs millénaires pour que des évènements tragiques forcent les chevaliers impériaux à sortir de leur long repos.

La société de Cerhès était organisé selon un système féodal de grades militaires, et l’autorité d’un citoyen était dicté par son rang au sein de l’armée cerhesienne. Bien entendu cette armée n’était pas réellement une armée de métier et ne partait pratiquement  jamais au combat, défendant de temps en temps le territoire contre des tribus autochtones ou des rebelles ayant fui la société impériale.
Après son ralliement à l’Imperium, des membres du Mechanicus arrivèrent sur la planète et firent l’état des lieux de ce qu’il était récupérable sur l’épave du  vaisseau utilisé par les colons lors de leur transit spatial. Au plus profond des cales du vaisseau séjournaient les antiques machines apportées par les colons pour faciliter leur insertion en milieu hostile. Aussitôt les adorateurs du Dieu Machine tentèrent de garder le plus grand secret sur leur découverte, les Chevaliers avaient été oubliés de la population et le Mechanicus avait la possibilité de récupérer discrètement une technologie ancienne d’une valeur inestimable : si les colons avaient amenés avec eux ces machines ils devaient aussi en posséder les SCS, des bases de données datant du Moyen Age technologique permettant la construction en série d’un objet précis. Produire des armées entières de ces immenses guerriers de métal serait d’un renfort immense pour le Mechanicus. Dès lors lors le culte de Mars aida Cerhès de multiples manières : des cargos transitaient de Kaelus, le monde forge le plus proche vers la planète humaine afin de les approvisionner en armes et en matériaux. Mettant en avant le soutien qu’il apportait à Cerhès, le culte Mechanicus demanda l’autorisation de récupérer le vaisseau colon dans les plus brefs délais, arguant qu’il était devenu une ruine couverte par la nature, et qu’eux seuls pourraient en tirer quelque chose. Les généraux de Cerhès n’y voyaient aucun inconvénient, plus intéressés par les armes des mondes forges proches que par une vulgaire ruine lointaine. Mais un des centurions de l’armée, récemment promu au rang de centurion primipile s’opposa à cette décision, son intuition lui dictant que le Mechanicum montait cette mascarade par intérêt. Le primipile Alezandro Corvus fit jouer ses relations au sein de l’armée et contracta des dettes d’honneurs envers certains de ses supérieurs afin de gagner du temps avant que les serviteurs de Mars commencent à exploiter l’épave du vaisseau.

Il monta immédiatement une expédition avec la 1ère centurie sous son commandement, bien qu’il aurait pu mobiliser plus d’hommes par son autorité il savait que le danger était faible et que si ils venaient à faire une découverte, il préférait être entouré d’hommes de confiance. Après une dizaine de jours de trajet à cheval jusqu’au vaisseau ils arrivèrent devant l’immense structure de métal, des légendes parlaient de ce vaisseau provenant de Terra traversant les étoiles jusqu’à Cerhès mais Corvus s’était toujours montré septique à ce sujet, et d’autant plus maintenant : si il ne pouvait nier l’existence du vaisseau , il ne pouvait s'imaginer une telle masse s’élever ne serait-ce que d’un centimètre au dessus du sol.
S’en suivi l’exploration, longue et pénible dans une pénombre quasi permanente et un dédale de couloirs et de coursives. Il perdit 22 hommes la première journée. De braves soldats perdus , dévorés par d’immondes prédateurs qui avaient fait du vaisseau leur tanière ou encore rendus fous par ce labyrinthe de métal. Corvus et ses hommes réussirent néanmoins à mettre au point un système d’orientation au sein de vaisseau , en rédigeant des cartes au fur et à mesure de leur progression.
Il leur fallu 2 semaines pour explorer l’intégralité du vaisseau, seule une immense porte d’une vingtaine de mètre de haut , au plus profond des cales du vaisseau leur avait résisté.
Le centurion avait perdu beaucoup trop d’hommes pour une simple mission d’exploration, environ 60 sur les 80 qu’ils avaient emmenés avec lui dans cette expédition , et il dut se rendre à la dure évidence : ils ne trouveraient rien de plus d’ici le lendemain, date d’arrivée prévue des serviteurs de Mars.
Corvus avait négocié avec ses supérieurs de décaler l’intervention du culte mechanicus jusqu’à la fête de Mamuralia, mettant les forgerons à l’honneur. Le culte serait invité aux réjouissances et serait mis en valeur par ses créations issues des mondes forge. Ce serait considéré comme un bon présage qu’ils commencent les fouilles après des célébrations en leur honneur, c’est pourquoi le culte, piqué par une pointe d’orgueil accepta ces conditions sans rechigner.

Les réjouissances devaient s’être terminées depuis 4 jours estimait Corvus, et la centurie se préparait à lever le camp quand des bruits mécanique les surprirent tous. Les serviteurs du dieu machine les encerclaient, manifestement prêts à tous les exécuter.
Ils avaient été trop lents. Alezandro Corvus n’avait pas imaginé une seule seconde que le culte serait si rapide à rejoindre l’épave après les réjouissances. En observant de plus près les serviteurs qui leur bloquait la route il comprit mieux : ces humanoïdes semi cybernétiques étaient équipés de chenilles reliées à des moteurs imposant dans leurs dos.
Les serviteurs s’écartèrent pour laisser passer une grande forme encapuchonnée : un technoprêtre en chef selon les marques sur sa robe. Corvus se présentât en tant que chef des hommes de Cerhès présents et fut longuement interrogé par le technoprêtre qui se garda de dévoiler son propre nom. Conscient de sa position vulnérable et voulant éviter l’incident diplomatique, le centurion donna toutes les précisions souhaitées par le culte, indiquant quels pont étaient en bon état , ceux qui étaient impraticables , la nature des prédateurs qu’ils avaient trouvés au sein du vaisseau ainsi que la grande porte, immuable malgré leurs efforts combinés. Le technoprêtre lui demanda si il savait ce qui se cachait derrière la porte, et naturellement Corvus exposa son ignorance ainsi que son étonnement sur la taille de cette porte, quelle monstruosité pouvait en sortir ?

Le technoprêtre étudia rapidement les cartes dessinées par les hommes de la centurie puis demanda aux survivants de le suivre. Corvus était soulagé car la tension descendait, lui et ses 11 compagnons encore vivant s’engagèrent donc dans l’épave à la suite des serviteurs de Mars. Arrivés devant l’immense porte, le technoprêtre produisit une sorte de carte à puce qu’il posa sur un lecteur proche, et les serrures magnétiques se désactivèrent dans un bruit sourd . Il fallu deux bonnes heures aux serviteurs pour alimenter la cale et l’ouverture de la lourde porte, et enfin ils entrèrent dans le saint des saints.

Corvus fut d’abord horrifié par les géants de métal qui se tenaient devant lui, puis fut prit d’admiration en comprenant ce qu’ils étaient vraiment, les antiques Chevaliers dont certaines légendes louait la puissance et la résistance même face au pires conditions climatiques. Ils étaient vingts , vingts machines presque divines qui faisaient chacune la taille de dix hommes, représentant chacune un potentiel de destruction sans équivalent. L’émissaire de Mars lui expliqua alors que ces machines avaient été envoyées avec les colons pour les aider et que normalement cette technologie revenait aux habitants de Cerhès, mais la présence des soldats humains lui posait problème.
Il lui laissa le choix : quitter le vaisseau avec ses légionnaires ou mourir ici même.  

Alezandro n’était pas quelqu’un qui se laissait facilement intimider, il devait sa promotion au rang de primipile à ses analyses critiques très aiguisées, à une ambition à peine dissimulée ainsi qu’a sa témérité frisant l’inconscience parfois. Il tenta de retourner la situation à son avantage : ses supérieurs étaient au courant de l’opération, son retour était programmé pour la semaine suivante pour un debriefing, si personne ne revenait une cohorte serait envoyée sur leurs traces , et malgré un temps de voyage élevé, le centurion doutait que le culte mechanicus puisse quitter la planète avec les Chevaliers en moins de deux semaines. De plus il lui semblait se souvenir que ces machines devaient être pilotées par des humains, et malgré que les serviteurs robotisés qui l’entouraient aurait pu remplir cette fonction lui et ses hommes étaient de véritables soldats, entraînés à l’art de la guerre. Aussi formula-t-il la contre-proposition suivante : lui et ses hommes monteraient chacun dans un des Chevaliers et les piloteraient à la guerre, tous les Chevaliers restants seraient conservés et acheminés vers Mars, de plus la 1ère centurie entière contracterai une dette d’honneur avec le monde forge Kaelus proche, dont était issu les serviteurs du Dieu Machine. Après de longues minutes de réflexion le technoprêtre les amenait dans une grande salle en hauteur de la cale, contenant deux rangées de dix trônes imposants. La centurie de Cerhès était née.

 

Corvus à leur tête, les chevaliers Imperiaux s’étaient battus sur différents monde du systèmes afin d'asseoir la puissance de l’Imperium, les béhémots de métal étaient entretenus par les sacristains du culte de Mars, tandis que les Chevaliers inutilisés avaient été envoyés sur Kaleus. Mais la grande Trahison d’Horus changea la donne.
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Les informations étaient imprécises et parfois contradictoires, la centurie ne savait pas réellement ce qui se passait ailleurs dans la galaxie, mais il semblait que l’Astartes se soit retourné contre l’Empereur. A la demande des technoprêtres de Kaleus, Corvus et ses chevaliers se rendirent sur une planète proche afin d’étouffer un faible rebellion, de simples paysans qui détalèrent à l’approche du groupe de combat, il était d’autant plus difficile de tous les éliminer.

Cela leur prit une journée entière pour sécuriser l’avant poste du mechanicus sur la planète, et ils retournèrent dans les baies de chargement du vaisseau que leur avait assigné le culte de Mars afin de rentrer sur Cerhès. Par devoir Corvus était toujours le dernier à se déconnecter de son Chevalier, et c’est ce qui lui sauva la vie.
Le culte Mechanicus avait trahi, ils s’était détourné de la cohabitation avec l’Empereur. Ses hommes avaient été tués dès leur sortie du trône Mechanicum. Corvus n’avait pas le temps de se demander la raison d’une telle trahison et stoppa la procédure de déverrouillage de son armure, et fit feu de toute part. Partout où l’hérétique se dressait devant lui il fit parler sa colère et son mépris, apportant la justice de l’Empereur avec sa tronçonneuse Reaper et son canon thermique.

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Six jours, il lui avait fallu six jours pour nettoyer la planète des immondices qu’étaient devenus les anciens serviteurs de Mars. Partout des corps bionique était éparpillés, son Chevalier était constellé d’impacts. Il avait failli échouer, mais par chance quatre autres légionnaires étaient encore en vie, laissés pour morts par les serviteurs machine lorsque Corvus avait fait feu de toute part, ils avait réussi à retourner à l’intérieur de leur Chevalier et avaient pris part à la purification. Chacun était habité par la vengeance, nul ne comprenait pourquoi un tel retournement, mais il leur restait un peu d’espoir, malgré la traîtrise massive ils retrouvèrent certains sacristains qui leur était restés fidèles, formant des poches de résistances dans les immenses hangars du vaisseau. Les sacristains survivants ne pouvaient pas réparer tous les chevaliers, et encore moins piloter le vaisseau pour aller jusqu’à Cerhès afin de reformer la maison avec les apprentis pilotes qui s’y formaient.

Corvus était contraint de choisir entre attendre la mort sur cette planète dénuée d'intérêt en espérant qu’un jour une troupe loyaliste vienne les chercher ou alors partir avec un vaisseau plus petit , ne pouvant contenir à peine plus que les cinq survivants et leurs sacristains.
Suivant son sens du devoir, il demanda aux sacristains de replacer les corps des centurions morts sur leurs trône, puis le reste de la centurie fit feu et immola les restes de leurs compagnons, afin qu’ils reposent à jamais avec leur chevalier.

Cerhès avait subit le même sort que la planète qu’ils venaient de quitter : sa surface et ses villes avaient été ravagées par les traîtres et les hérétiques.

L’heure de la vengeance avait sonnée, la maison de Cerhès n’existait plus. La Centurie Vindictae était née, ils étaient maintenant des Errants, sans personne pour les gouverner. Ils ne faisaient plus confiance au culte de Mars, et l’Imperium semblait ne plus exister. La Centurie explorerait donc l’espace, sans autre réel but que la vengeance aveugle.

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Corvus observait la bataille du haut de son immense silhouette, Petrus combattait sur son flanc droit et Kerbo sur le gauche , au loin il apercevait Memnos et Ultran qui avaient fait une percée dans les rangs ennemis. C’était un massacre, un réel déchaînement de fureur et de vengeance. Les chevaliers avaient été repeints en noir , abandonnant ainsi le rouge éclatant qui les caractérisait autrefois, les aigles dorés d’autrefois avaient été remplacés par des crânes blancs. Ils ne représentaient plus Cerhès, ils étaient la Mort.

Corvus s’amusa de l’image que devait donner la bataille vu de loin, d’immense silhouettes noires fauchant la vie tout autour d’eux. Un Leman Russ s’approchait sur sa gauche, Corvus était exaspéré de voir que ces renégats avaient emmenés tant de véhicules avec eux. Sans lui accorder plus d’attention il l’écrasa faisant feu de toute part.
Le champ de bataille était remplis de cratères de plusieurs mètres de profondeurs, là où les canons thermiques avaient frappés, d’autres impacts moins profonds mais plus rapprochés venaient de leurs obusiers.  

Des tirs d’une puissance égalant les armes des titans criblèrent le sol autour d’eux, Corvus connaissait ces armes, montées sur des châssis dont le poids rivalisait pratiquement avec celui d’un Chevalier Impérial. Un escadron de 35 Baneblades approchait, la plus grosse armée qu’ils aient eut à affronter depuis toujours. Ils ne réussiraient pas, pas cette fois ci. Corvus songea que c’était un beau jour pour mourir, dans le fracas d’une immense bataille contre les ennemis de l’Humanité.

D’un coup d’oeil Corvus afficha son journal de combat, ils en était à leur 170ème jour de campagne, environ 2,7 milliards d’âmes envoyées vers l’Empereur, et 19 planètes purifiées. Avant de partir au combat ils avaient fait le compte de leur munitions, tous étaient presque à sec. Et malgré que trois d’entre eux aient des armes de combat rapproché, leur puissance de frappe allait s'essouffler rapidement. Ralliant la centurie autour de lui, il chargea la colonne blindée.

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Jamais les chevaliers n’avait été si endommagés, seul Memnos était encore reconnaissable en tant que machine de guerre, tous les autres ressemblant plus à des tas de débris qu’autre chose. La centurie ne se releverait pas de cette bataille, aussi glorieuse fut-elle. Les béhémots sur chenille avaient tous été démantelés par les Chevaliers, malgré leurs blessures colossales ils n’en avaient épargnés aucun lorsque les renégats avaient tenté de fuir. Ils les avait chassé pendant près de 8 heures avant de rentrer à leur camp de base.
Petrus ne pouvait plus marcher : le châssis de son Chevalier était découpé au niveau de son bassin. Il était donc porté par ses camarades, refusant de l’abandonner malgré son insistance, ils avaient survécu ensemble jusqu’ici et mourraient ensemble ou ne mourraient pas.

Les sacristains les attendaient mais ils étaient loin d’imaginer l’état des machines de guerre. Tous savaient qu’ils n’avaient plus assez de matériel pour remettre en état de combat la centurie mais ils se gardèrent de tout commentaire, par respect pour les guerriers qui leur faisaient face. Même si ils honoraient Mars, les sacristains portaient un très profond respect à ces soldats qui pilotaient les Chevaliers, que ce soit pour leur détermination ou leur férocité au combat.
Corvus ordonna que le vaisseau de la centurie se dirige vers Cerhès leur planète d’origine, tout le secteur avait été nettoyé et ils auraient un peu de répit là bas. Lors de son départ en croisade, le centurion avait ordonnés à certains sacristains de rester sur la planète pour consolider leur forteresse sous la direction d’un technoprêtre loyal, mais aussi pour tenter de préparer des pièces de rechange, de plus le technoprêtre devait travailler sur un système de stase afin de conserver les pilotes hors de l’usure du temps pendant que leur machine seraient réparées. Cette pensée l'obséda pendant tout le trajet du retour, il ne voulait pas nourrir de vieillesse.

 

La base était déserte en apparence, c’est ainsi qu’ils était sûrs de se dissimuler contre des vaisseaux en orbite, et les forces de la centuries ne stationnaient que 14 niveaux plus bas.
Corvus se tenait devant une immense porte, la même que celle qu’il n’avait pas pu ouvrir avec ses hommes des décennies auparavant. Tout le complexe avait été construit autour de l’ancien emplacement du vaisseau de colons, qui avait été cannibalisé par le mechanicus à l’époque. Mais les profondes cales n’avaient pas bougées, elles avaient même été aménagées par les sacristains afin de permettre l’entretien des Chevaliers.
Le protocole de stase semblait fonctionner et il en fut réjouit. Il aurait l’occasion de servir à nouveau l’Imperium, du moins l’esperait-il. Il avait confiance dans les sacristains qui l’entourait et même si il n’oublierait jamais leurs frères dévoyés, il savait que ceux ci étaient loyaux à l’Empereur et au Dieu-Machine. La salle de stase était en fait la salle des trônes mechanicum, Corvus appréciait cette imitative du technoprête, il n’y avait aucun endroit de la galaxie où Corvus se serait senti mieux que sur son trône.
Un par un les centurions s’installèrent et le dispositif se mis en marche dans un bourdonnement, une lumière ambrée les enveloppa tous et ils sombrèrent dans un profond sommeil.
Le technoprêtre verrouilla ensuite la chambre des trônes, puis parti à sa besogne, il avait 5 Chevaliers à restaurer entièrement pour la gloire du Mechanicus.

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Ils était restés cachés pendant près de 10.000 ans, pourquoi l’Ennemi les traquaient maintenant ? Le technoprêtre Sigmund ordonna le verrouillage de tout le complexe, il savait qu’il condamnait les serviteurs qui travaillaient dans les gisement de métal proches, mais leur vies étaient insignifiantes comparées aux Centurions. Il se dirigea vers la salle de contrôle deux étages plus bas, afin d’avoir une vue d’ensemble de la situation. Ils étaient cinquante quatre hors du complexe, Sigmund évalua leur position sur les scanners. Sans hésiter il déclencha leur auto destruction afin de s’assurer qu’aucun ne divulguerait d’informations sur leur position. Il fouilla dans les dossiers d’archives stockés dans son cerveau afin d’accéder aux protocoles dé sécurité, maître Corvus avait été très clair avant sa stase : on ne pouvait demander de l’aide à l’exterieur qu’en cas de force majeure, car personne ne savait qui arriverait , alliés à la rescousse ou archi-ennemis pour finir le travail.
Les scanners longue portée indiquaient 3 vaisseaux qui venaient de sortir du warp juste au dessus de la planète. Etaient-ils là pour eux où allaient-ils passer leur chemin ? Un message de détresse attirerait surement leur attention et les pousserait à prendre la planète d’assaut.
Il devait gagner du temps, d’une pensée il brancha sa mecadentrite sur la console afin de désactiver toutes les armes de défense de leur base, néanmoins par précaution il n’imposa qu’un protocole très simple pour toutes les réactiver en cas de besoin. Pour l’instant il voulait seulement ne pas attirer l’attention des forces ennemies, et le bruit des engrenages de la base le rassurait : toutes les tourelles armées en surface s’étaient désactivées et leurs écoutilles de sorties verrouillées.
Pendant ces 10 derniers millénaires, les sacristains s’étaient employés à fortifier le complexe et à réparer les Chevaliers, en attendant le réveil des Centurions.

Sigmund fut distrait par un message radio émis sur toutes les fréquences dans un langage incompréhensible mais clairement obscène et insidieux, il la désactiva sur le champ. Aucun être normal ne devrait endurer les messages des Puissances de la Ruine, et au vu des scanners ils n’allaient pas endurer que ça.
Deux des vaisseaux se mettaient en position afin de bombarder la planète, ce qui rassura Sigmund, leur complexe était trop enterré pour craindre un bombardement, et toute arme suffisamment puissante pour les atteindre détruirait aussi les chevaliers.
Les premiers tirs frappèrent le sol avec un bruit sourd au dessus de sa tête, Sigmund n’aimait pas ça, ces frappes étaient beaucoup trop précises pour être dues au hasard, l’ennemi connaissait leur position exacte. Il lui fallait de l’aide.
Avec précaution il mis en forme un message de demande d’aide à toute force Impériale du secteur, il ne pouvait apporter aucun sceau d’autorité au message car tout ceux dont il disposaient avaient été désactivés avec le temps. Il précisa aussi que si la demande ne reçoit pas de réponse ils feraient sauter le complexe tout entier afin de priver l’ennemi de la technologie que le complexe protégeait. Celà ne valait pas un sceau d’autorité mais celà prouverait au moins leur bonne foi.
Les impacts étaient toujours plus violents au dessus de lui, les scanners commençaient à défaillir , et il se pressa d’envoyer le message avant que le bombardement ne l’en empêche .
Leur base ne disposait pas d’astropathe, le message était donc transmis uniquement par radio à longue portée, avec une demande jointe de transmissions par voie warp.
Sigmund avait fait son devoir, maintenant il lui fallait tenir cette base avec l’espoir de ne pas avoir à la faire sauter.

Modifié par Azrael_404
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Sympathique ce petit pavé! vraiment cool ton histoire! j'ai decouvert les chevaliers il y'a peu et j'ai été bluffé a vrai dire.

C'est un super fluff que tu nous as pondu, il est fidèle et cohérent vis à vis de w40k en plus!

 

joli boulot :)

 

quelques petites fautes de syntaxe cependant, comme des répétitions ou des phrases trop longues à lire! à corriger ;)

Modifié par Sprotch!
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Plus exactement ton monde a été redécouvert pendant la grande croisade. Sinon ce n'est pas cohérent chronologiquement :

 

La galaxie a été exploré et colonisé de long en large pendant le MAT.

Ta planète a été colonisé pendant cette période, ptite planète sympa de classe "M" ou l'écosystème n'est pas dangereux.

Puis vint l'ère des luttes, impossibilité des voyages war patati et patata.

Puis vint la grande croisade de papy et la redécouverte des cousins germains qui se la coulaient douce sur leur ptite planète paisible.

Allé zou et hop ils rejoignent la grande famille de l'humanité et en plus ils sont kwels ils ont une banque de donnée informatique complète. L'AM et son monde-forge situé dans le système stellaire d'a coté salive à en baver le bas de sa robe et s'empresse de nouer des liens commerciaux.

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Ce qu'y m'a fait tiquer, c'est ce passage

 

Tout à commencé sur le monde de Cerhès, découverte lors de la Grande Croisade par un vaisseau de colons, la planète était propice à la vie, et plus étonnant encore , une société humaine s’y était développée, les colons furent accueillis avec méfiance mais se firent accepter peu à peu par les locaux.

 

Si tu n'emploie pas le terme "redécouverte", implicitement on a l'impression que des humains se sont développés localement, sans lien avec l'humanité terrienne. De plus les SCS ont été développés pendant le MAT (Moyen Age Technologique) et on a perdu la technologie pendant l'ère des Luttes. Donc durant les grandes croisades, il n'y a pas de vaisseaux de colons dans un premier temps mais des expéditions militaires de l'armée impériale plus de légion maroune.

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Le but était vraiment ça : qu'une société humaine se soit développée , sans trop de technologie sur cette planète, sans forcément provenir de la terre.

 

Les SCS ont été apportés par les colons de la grande Croisade donc après l'avènement de l'Empereur. 

 

Concernant la grande croisade si mes souvenirs sont bons, en effet les légions Astartes passent là où il faut mais si la planète a été explorée 'sommairement' par un expédition ça passe non ?  je pense que des Astartes ont autre chose à foutre qu'a ratisser toute la planète, ils ont vu qu'elle était viable, et ils fait un tour vite fait et sont retourné dans l'espace pour aller vers une planète leur offrant de la baston.. 
 

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Oui mais justement le bat blesse, tes colons ne peuvent apporter la technologie du SCS pendant la grande croisade.

 

La majorité des SCS ont été développé pour aider l'humanité à coloniser les étoiles durant le MAT, le but étant bien de développer une colonie avec les ressources sur place, et de fournir tout une réponse aux besoins des colons, exploration, défense, production de nourriture etc...

Grosso Modo traduit dans notre réalité, dans un futur d'exploration spatiale, ce serait un prog informatique qui nourrit des relevés "terrain" te pondrai un plan d'instruction genre "pas de pétrole ? Production d'un moteur gazogène à partir de gaz de charbon" etc....

 

Mais ils ont été aussi majoritairement perdu pendant l'ère des Luttes d'où le fait qu'ils sont devenus extrêmement précieux.

 

Au sortir de cet ère, toute technologie est devenu chasse-gardé de l'AM et encore plus les précieux SCS.

 

Les SCS sont gardé précieusement par l'AM, qui ne vont pas le filer comme ça à des colons en voyage. Quand bien même, cela invalide l'autre partie de ton récit sur le fait que l'AM devient grande copine de tes colons à cause du SCS découvert.

 

Il faut donc revenir à ce que j'ai développé précédemment, la colonisation doit être antérieur à la croisade et doit venir de l’expansion de l'humanité dans les étoiles pendant le MAT. Et si cela te gêne parce que tu veux axer ton récit sur un développement autochtone d'un genre humain particulier sur ta planète complétement différent des terriens, tu peux quand même les rattacher à des descendants de colons issu du MAT.

Le temps et l'éloignement, des conditions de vies différentes peuvent avoir changé drastiquement tes "humains". Après tout on a bien les Squats qui sont "nés" de la même manière, ou bien les Ogryns ou les ratlings.

 

 

Concernant la grande croisade si mes souvenirs sont bons, en effet les légions Astartes passent là où il faut mais si la planète a été explorée 'sommairement' par un expédition ça passe non ?  je pense que des Astartes ont autre chose à foutre qu'a ratisser toute la planète, ils ont vu qu'elle était viable, et ils fait un tour vite fait et sont retourné dans l'espace pour aller vers une planète leur offrant de la baston.. 

 

 

Justement tu ne comprends pas le but de la grande croisade, il ne s'agit pas simplement d'explorer la galaxie puis de trouver un mec à flinguer mais de retrouver les rameaux de l'humanité perdu pendant la grande croisade pour les réunir avec la grande humanité de Papy.

Si détection forme de vie humanoïde sur ta planète, l'expédition va pas juste faire " coucou on est vos nouveaux voisins, à la prochaine". Ils vont l'étudier de fond en comble et faire pression militairement ( plusieurs milliers de surhommes en armure) pour que la planète rejoigne aussi sec l'Imperium, encore plus s'il s'agit de descendants de colons terriens.

Reformer l'humanité sous un seul drapeau est une des visions de l'Empereur et bien un des grand buts de la GC.

Modifié par Conan
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Bon j'ai dû télécharger la VF du codex Chevalier Impériaux histoire d'avoir le cœur net.

 

L'origine des chevaliers impériaux s'ancre des millénaires en arrière. Les premiers mondes chevaliers furent fondés à l' aube de l'Âge de la Technologie, lorsque des éclaireurs de Terra sillonnèrent la galaxie à la recherche de planètes

pouvant servir de grenier à la population humaine en pleine croissance, voire comme colonie minière afin de procurer les matériaux nécessaires pour alimenter l'expansion stellaire de l'humanité. Ainsi, les mondes chevaliers étaient-ils établis
plusieurs millénaires avant l'avènement de l'Imperium. Lorsque les éclaireur s découvraient une planète propice à la colonisation , de gigantesques nefs étaient envoyées pour s'y établir.
[...]
Sur d'autres mondes, des conditions climatiques extrêmes ou une atmosphère irrespirable rendait impossible toute sortie hors des dômes d'habitation. Toutefois, de tels problèmes avaient été anticipés, et pour y remédier, les colons disposaient des schémas de construction standardisés leur permettant de produire de puissants exosquelettes blindés.

On est d'accord que c'est avant l'erre des luttes ?

 

Concernant ton deuxième paragraphe je suis assez d'accord, mais en lisant l'hérésie d'Horus j'ai remarqué qu'ils ne passaient pas forcément par chaque planète , si la société humaine présente à cette époque n'avait pas de grosse technologie qui brille dans le noir et à travers l'espace il se peut que leur existence soit passée inaperçue. Imagine un monde sans cités et avec juste un petit empire de la taille de la Suisse, c'est pas "si simple" de le voir. Mais ça veut aussi dire que je l'ai mal développé dans mon récit donc c'est une très bonne chose que tu me le fasse remarquer de cette manière.

 

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Exactement c'est avant l’ère des Luttes, pendant le MAT ou l'humanité a essaimé les étoiles.

 

Pour la deuxième question :

Encore une fois la grande croisade a pour but à nouveau d'explorer la galaxie et de retrouver tous les mondes humains éparpillé. Et une flotte d'expédition, ce ne sont pas simplement une légion de maroune ou bien un chapitre détaché, mais aussi l'armée impériale et sa flotte, une flotte de l'AM, des civils fonctionnaires, la logistique etc... Tous ce bon monde dédié à recenser de fond en comble les systèmes stellaires. En planète habitable, en ressource minière, en poche de prométheum. Tant pour fournir des donnés pour l’expansion de l'humanité que pour ravitailler la grande croisade en elle-même.

Ils ont assez en force de frappe pour détecter la moindre présence dans un système, soit en satellite pour détecter les émissions électromagnétiques soit en capteurs thermiques.

On parle de vaisseaux spatiaux presque aussi gros que des villes, ils sont forcément bardés de capteurs, de censeurs en tout genre.

Modifié par Conan
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Donc mes colons sont arrivés pendant le MAT, avec en leur possession les SCS de chevalier. Ils s'en sont juste pas servis car pas besoin et les ont "oubliés" dans leur vaisseau qui a été laissé à l'état de ruine. Ils font leur petite vie pendant l'ère des luttes , puis sont retrouvés par l'Imperium pendant la grande croisade.

C'est plus logique du coup non  ?

Merci pour ton aide en tout cas :)
 

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Juste un petit truc

 

Après son ralliement à l’Imperium, des membres du Mechanicus arrivèrent sur la planète et firent l’état des lieux de ce qu’il était récupérable sur l’épave du  vaisseau utilisé par les colons lors de leur transit spatial. Au plus profond des cales du vaisseau séjournaient les antiques machines apportées par les colons pour faciliter leur insertion en milieu hostile. Aussitôt les adorateurs du Dieu Machine tentèrent de garder le plus grand secret sur leur découverte, les Chevaliers avaient été oubliés de la population et le Mechanicus avait la possibilité de récupérer discrètement une technologie ancienne d’une valeur inestimable : les SCS de ces machines.

 

Plus exactement tu devrais rediger de la manière suivante

 

Au plus profond des cales du vaisseau, plus que les antiques machines qui y avait été oublié, y tronait le plus grand trésor qu'il soit pour l'AM, un ordinateur avec une base de donnée préservée comportant un SCS complet.

 

Parce que un SCS n'est rien d'autre que ça, une base de donnée informatisée, qui est capable en fonction des ressources locales, d'adapter la construction d'un bien précis : rhino, razorback, chevalier etc....

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  • 1 mois après...
  • 4 semaines après...

Pardon de laisser un commentaire après tout ce temps. Je l'avais vu lu peu de temps après la dépose sur le site, mais par oubli et flemmardise, j'avais oublié de poster.
 
Pour la suite et sur la forme, je trouve le texte assez fluide, facile à lire.
 
Sur le fond et la trame, j'ai beaucoup plus de problèmes.
Particulièrement sur l'unité de temps. 10 000 ans, c'est énorme, trop même. La seule comparaison background que nous pouvons trouver sont les Dreadnoughts SM, particulièrement Bjorn  The Fell-Handed. Qui, comme tes chevaliers, est contemporain de l'HH. Mais même Bjorn n'a pas subi une stase aussi longue car il est réveillé chaque début de siècle pour effectuer la maintenance de ses systèmes, raconter ou vérifier les sagas du chapitre ou est parti à la guerre.
10 000 ans c'est long, quel est l’intérêt de l'AM de maintenir un détachement aussi longtemps, car cela coûte en terme de ressources logistiques et humaines. Il en faut des adeptes et techo-adeptes pour surveiller tes beaux-endormis, c'est-à-dire des contingents AM à renouveler régulièrement, car ils ne sont pas immortels. Il faudrait un laïus pour expliquer l’intérêt et la raison de l'AM. Encore que selon ton récit, Corvus ne sembla plus faire confiance à l'AM ou à quiconque d'ailleurs suite aux trahisons de l’hérésie, ne se reposant uniquement sur les ressources fiables à disposition.
Mais il a bien fallu au contingent restant de reprendre contact avec l'AM et dissiper les craintes de Corvus d'une manière ou d'une autre.
 
Une des possibilité que l'on pourrait entrevoir, c'est le développement d'une façon ou d'une autre de Cerhès sous l'égide de l'AM, redevenu stratégique et cachant un secret connu seulement des plus hautes instances, la dernière ligne de défense de la planète, la Centurie Vindictae.

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  • 3 mois après...

Pardon de laisser un commentaire après tout ce temps. Je l'avais vu lu peu de temps après la dépose sur le site, mais par oubli et flemmardise, j'avais oublié de poster.
 
Pour la suite et sur la forme, je trouve le texte assez fluide, facile à lire.
 
Sur le fond et la trame, j'ai beaucoup plus de problèmes.
Particulièrement sur l'unité de temps. 10 000 ans, c'est énorme, trop même. La seule comparaison background que nous pouvons trouver sont les Dreadnoughts SM, particulièrement Bjorn  The Fell-Handed. Qui, comme tes chevaliers, est contemporain de l'HH. Mais même Bjorn n'a pas subi une stase aussi longue car il est réveillé chaque début de siècle pour effectuer la maintenance de ses systèmes, raconter ou vérifier les sagas du chapitre ou est parti à la guerre.
10 000 ans c'est long, quel est l’intérêt de l'AM de maintenir un détachement aussi longtemps, car cela coûte en terme de ressources logistiques et humaines. Il en faut des adeptes et techo-adeptes pour surveiller tes beaux-endormis, c'est-à-dire des contingents AM à renouveler régulièrement, car ils ne sont pas immortels. Il faudrait un laïus pour expliquer l’intérêt et la raison de l'AM. Encore que selon ton récit, Corvus ne sembla plus faire confiance à l'AM ou à quiconque d'ailleurs suite aux trahisons de l’hérésie, ne se reposant uniquement sur les ressources fiables à disposition.
Mais il a bien fallu au contingent restant de reprendre contact avec l'AM et dissiper les craintes de Corvus d'une manière ou d'une autre.
 
Une des possibilité que l'on pourrait entrevoir, c'est le développement d'une façon ou d'une autre de Cerhès sous l'égide de l'AM, redevenu stratégique et cachant un secret connu seulement des plus hautes instances, la dernière ligne de défense de la planète, la Centurie Vindictae.

 

Salut Conan ! Ton commentaire était passé totalement inaperçu parmis les notifs , je le remarque qu'aujourd'hui, c'est pour dire ! :o

Merci pour le récit, c'est rassurant de voir que l'écriture n'est pas trop lourde.
Effectivement en relisant 10.000 ans ça fait beaucoup, l'idée était surtout que la base vivait presque coupée du monde et du méchanicus en lui même pour réparer les chevaliers, car dans leur état d'esprit tout le monde extérieur est plus ou moins renégat.
Je pensais que la base pouvait tenir dans le temps en produisant de nouveaux serviteurs mécanisés et en conservant ses ressources au maximum, mais si je veux conserver cette optique de récit, il est vrai qu'il va falloir réduire la durée d'isolement, l'ensemble n'est pas cohérent.

J'étudie ta proposition et je vois si ça colle avec l'idée que je me fais du récit et j'édite un peu au fur et  à mesure. En tout cas merci encore pour tes conseils :)

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