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[Divers] Comment parler du hobby autour de soi ?


skinless77

Messages recommandés

Bonjour à tous,

 

Voilà comme beaucoup ici je suis dans le hobby depuis longtemps, et possède une grande collection 40k et je fais de temps en temps des parties en club ou en magasin GW.

 

Mais mon problème est d'en parler aux gens autour de moi. Pour ce qui est de mes amis proches, je leur ai parlé de mon hobby et montré mes figurines. Ils respectent ma passion, même si ça ne les intéresse absolument pas, aux moins ils évitent de me juger. De même pour ma femme qui elle trouve plutôt des points positifs à cette passion même si "un peu chère :)"

 

Par contre, quand il s'agit de connaissances ou simples potes, je n'assume absolument pas de "jouer encore aux petits soldats" à presque 30 ans. J'avais un collègue qui parlait ouvertement de sa collection de warhammer battle, il a directement été catégorisé par les autres comme "immature" "asocial" "bizarre" et un tas d'autres mots pas flatteur, suite à quoi je n'ai jamais osé dire que moi aussi je baignais là dedans.

 

Je sais que vous allez me dire d'éviter d'en parler à ceux qui jugent, mais difficile de savoir comment chacun va réagir avant de l'avoir partagé avec eux.

 

Je me demandais comment vous présentiez votre hobby aux autres ? En parlez-vous à vos collègues par exemple ? Comment montrer le côté attirant et fun du hobby, en évitant les stéréotype dans lesquels certains s'empressent de tomber ?

 

 

 

 

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Bonjour,

 

Je pense que dans la vie il faut choisir ses combats : au fond on reste de grands gosses qui joue avec de petites soldats mais c'est un choix et il faut comprendre qu'au delà des jugements facile, cela peut tout simplement ne pas intéresser les gens....comme d'autres activités comme le foot, la pêche, le tricot, le bingo....

 

Sur un thème différent je pratique une activité professionnelle qui n'a pas la sympathie des foules (je ne suis pas inspecteur des impôts!) et c'est un sujet que je ne vais pas aborder de la même façon avec tout le monde, voir que je vais éluder si je considère que la discussion n'aura comme seule intérêt que de me juger faussement sur des aprioris.

 

 

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Salut,

 

C'est vrai que ce n'est pas toujours évident de parler ouvertement du fait de jouer "aux petits soldats" autour de soi, parfois. Tout dépend de comment tu présentes la chose en fait.

Déjà éviter l'écueil réducteur du "je joue aux petits soldats" mais parler de modélisme en premier lieu. Les gens cela leur parle plus que les petits soldats. Mais t'auras beau faire, t'auras beau dire, tu tomberas toujours sur des gens qui trouveront cela immature, sans intérêt, etc. Pas grave. Faut de tout pour faire un monde.

Moi je présente régulièrement la chose ainsi:

- Modélisme (ça parle à tout le monde, la maquette, c'est comme le puzzle)

- Lecture ( et vu comme ça se perd, rien que de lire de la fantasy ou de la sf, ça fait de toi un "intello" dans la plupart des cas)

- Peinture ( y a un coté artistique)

- Jeu (et là, même dans ma tranche d'âge, j'en ai 42 bientôt, la plupart des gens que je croise ont au moins joué aux jeux vidéos ou de société, de cartes etc, et continuent de le faire) et surtout le coté stratégie. Je présente souvent le coté jeu comme un apprentissage de la stratégie, et je leur rappelle que leur grands parents aussi jouaient aux petits soldats de plomb et qu'aussi souvent, même nos grands généraux représentaient un champs de bataille modélisé pour mettre au point leur stratégie. Et je présente aussi le jeu comme un jeu d'échec, de go ou autre, version ++

 

Mais même ainsi, tu n'éviteras jamais le fait d'avoir en face des réactions négatives. Et cela marche pour bien d'autres hobby. Par exemple, j'ai fait de la boxe (anglaise et française), certains admirent, respectent, s’intéressent, d'autres aussi trouvent ça bourrin, violent, déplacé... Pareil, j'ai fait du théâtre et de la reconstitution de combat médiéval, et je ne compte pas les fois où je me suis fait qualifier de "saltimbanque" et ni les fois ou l'on m'a dit:  quoi ça sert?

 

Bref, fais toi plaisir. L'opinion des autres, tu fais avec. L'important c'est que toi tu y trouves ton compte, et si j'ai bien compris, ceux qui te sont proches ne te le jette pas à la figure. Même ta copine trouve ça pas mal. What else?

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Par contre, quand il s'agit de connaissances ou simples potes, je n'assume absolument pas de "jouer encore aux petits soldats" à presque 30 ans. J'avais un collègue qui parlait ouvertement de sa collection de warhammer battle, il a directement été catégorisé par les autres comme "immature" "asocial" "bizarre" et un tas d'autres mots pas flatteur, suite à quoi je n'ai jamais osé dire que moi aussi je baignais là dedans.

 

Je sais que vous allez me dire d'éviter d'en parler à ceux qui jugent, mais difficile de savoir comment chacun va réagir avant de l'avoir partagé avec eux.

 

Je me demandais comment vous présentiez votre hobby aux autres ? En parlez-vous à vos collègues par exemple ? Comment montrer le côté attirant et fun du hobby, en évitant les stéréotype dans lesquels certains s'empressent de tomber ?

Moi, je te dirais plutôt de choisir tes fréquentions...

Si les gens sont assez c*$ pour juger et cataloguer, bah, laisses-les...

Je taffe avec des gosses et je suis même arrivé à monter un "groupe figurine" au taff, donc la question se pose pas trop dans mon cas...

Et mes potes, béh, au mieux ils me jugent comme un "grand nenfant", ce que je revendique même parfois, au pire, ils sont aussi accro que moi, donc ça pose encore moins de soucis...

Mais s'assumer, ça fait jamais de mal...

 

Et peut-être que si tes collègues avaient vu que ton collègue "associable" était pas le seul à pousser du pitout, ça leur aurait peut-être ouvert l'esprit...

 

Barbarus : j'en parle et "même pas honte" qui plus est... Mais j'en suis pas "fier" non plus, je revendique rien et ne cherche pas à faire changer les gens, ni à les "convaincre"...

 

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il a directement été catégorisé par les autres comme "immature" "asocial" "bizarre"

 

Donc les autres le discriminent, le mettent à l'écart, et le taxent d'asocial ? Désolé, mais tes collègues n'ont pas de sens logique, sont asociaux, et n'ont aucune ouverture d'esprit. Peut-être pas si mal de ne pas "sociabiliser" avec des personnes qui veulent juste te faire entrer dans leur moule (pas de blague salace, merci) et adopter leur vision restreinte.

 

Oui, on joue au petit soldat. Certains regardent des gens taper dans un ballon, ou jouer à faire la courses en voiture, vont voir des films avec des vampires, ou des vaisseaux, ou vont se plonger dans un livre, vont s'immerger dans un jeu vidéo online, vont se déchainer en écoutant un concert de leur groupe favori, ou s'enivrer avec leurs amis. Il y a juste des loisirs plus "socialement acceptés" que d'autres. Désormais on blâme moins quelqu'un qui jouera à wow, par exemple. De même, on taxera de vil drogué quelqu'un prenant occasionnellement des substances illicites, alors que se défoncer les poumons à la clope, bien plus addictive, est considéré comme "normal".

 

Dans un exemple, bien pire, compare ce que c'était d'être homosexuel il y a trente ans, niveau social, par rapport à maintenant où, malgré encore des gens à l'esprit très étroit, c'est considéré comme beaucoup plus normal.

 

Pour moi, il faut juste soit expliquer aux gens que ce n'est pas plus "bizarres" que ce qu'ils font, juste que c'est moins connu et donc pas tant socialement accepté, mais que justement il faut s'ouvrir.

Parfois j'explique ce qui m'attire dans le jeu, et j'ai fais découvrir quelques jeux à des amis qui en étaient resté aux monopoly et autres pseudo jeux en famille. Ils ont aimé, vu que les jeux de société et wargames étaient un univers bien plus grands qu'ils ne pensaient, et qu'on y trouvait de tout.

 

 

Donc je dirais, parles en si tu veux à ceux qui sont curieux, ouverts, et évite ceux qui se contenteront de porter un jugement tout aussi inutile que mal renseigné.

 

 

 

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  • Crilest a modifié le titre en [Divers] Comment parler du hobby autour de soi ?
il y a 3 minutes, Tezlat a dit :

 

Donc les autres le discriminent, le mettent à l'écart, et le taxent d'asocial ? Désolé, mais tes collègues n'ont pas de sens logique, sont asociaux, et n'ont aucune ouverture d'esprit. Peut-être pas si mal de ne pas "sociabiliser" avec des personnes qui veulent juste te faire entrer dans leur moule (pas de blague salace, merci) et adopter leur vision restreinte.

 

Oui, on joue au petit soldat. Certains regardent des gens taper dans un ballon, ou jouer à faire la courses en voiture, vont voir des films avec des vampires, ou des vaisseaux, ou vont se plonger dans un livre, vont s'immerger dans un jeu vidéo online, vont se déchainer en écoutant un concert de leur groupe favori, ou s'enivrer avec leurs amis. Il y a juste des loisirs plus "socialement acceptés" que d'autres. Désormais on blâme moins quelqu'un qui jouera à wow, par exemple. De même, on taxera de vil drogué quelqu'un prenant occasionnellement des substances illicites, alors que se défoncer les poumons à la clope, bien plus addictive, est considéré comme "normal".

 

Dans un exemple, bien pire, compare ce que c'était d'être homosexuel il y a trente ans, niveau social, par rapport à maintenant où, malgré encore des gens à l'esprit très étroit, c'est considéré comme beaucoup plus normal.

 

Pour moi, il faut juste soit expliquer aux gens que ce n'est pas plus "bizarres" que ce qu'ils font, juste que c'est moins connu et donc pas tant socialement accepté, mais que justement il faut s'ouvrir.

Parfois j'explique ce qui m'attire dans le jeu, et j'ai fais découvrir quelques jeux à des amis qui en étaient resté aux monopoly et autres pseudo jeux en famille. Ils ont aimé, vu que les jeux de société et wargames étaient un univers bien plus grands qu'ils ne pensaient, et qu'on y trouvait de tout.

 

 

Donc je dirais, parles en si tu veux à ceux qui sont curieux, ouverts, et évite ceux qui se contenteront de porter un jugement tout aussi inutile que mal renseigné.

 

 

 

 

Justement tu parles de WoW (auquel je joue également à forte dose !), c'est très facile de faire accepter cette passion surtout aujourd'hui car le jeu a une certaine réputation et qu'on a vu énormément de gens à la TV ou autre en parler en bien comme en mal. Les gens ne sont plus autant catégorisé car c'est presque devenu une passion "main-stream".

 

Par contre Warhammer, malgré ses dizaines d'année d’existence, n'a jamais fait l'objet d'une quelconque publicité médiatique et reste donc une passion totalement opaque pour certains. Pour moi c'est presque normal de ne pas en parler et je suis persuadé que d'autres hobbyistes le taise même dans notre entourage.

 

Ce qui est triste d'après moi, c'est qu'en évitant d'en parler, on a aucune chance de trouver quelqu'un qui joue aussi, car sur les centaines de personnes de nous croisons chaque jour il y a certainement un ou deux joueur comme nous avec qui on aimerait partager cela.

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Perso j'ai deux trois avis / solutions :

 

- soit tu n'en parles pas car tu le sens pas (tu dois bien avoir d'autre centres d'intérêt plus "compatible" et plus facilement partageable)

- soit si tu veux vraiment tu commence soft : modélisme, puis tu déclines (perso j'ai jamais rencontré de pb là dessus, le hobby s'étant pas mal démocratisé). De plus la génération des 30aires  joue énormément au jeu de plateau qui se rapprochent de plus en plus du jeu de figs

- soit, si des gens qui ne savent pas, viennent chez moi, je les fait descendre dans mon garage et entrer dans mon antre... et là ils se calment tout de suite en voyant ce que ça représente (table / décor / armée. Une petite partie d'initiation aide pas mal aussi

 

Mais bon chacun est ce qu'il est, tu n'es peut-être pas aussi alaise que moi, ou ton entourage ne t'y aide pas, bref de l'humain en quelque sorte :wink:

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Personnellement je n'en parle pas.

 

Non pas que j'en ai honte, juste que mes passions ne regardent que moi. Il faut essayer de réfléchir à l'envers... Personnellement, je ne sais pas comment je réagirai si un collègue m'annonçait qu'il adore le tuning :lol: 

 

Aprés effectivement si, en venant chez moi, un ami tombe en arret devant mes chevaliers imepriaux et mon storm eagle sur l'étagère je leur explique. Généralement je dis juste que c'est des échecs améliorés avec 2 principales différences : on peint ses pions et on ne joue pas sur des cases. J'ajoute enfin que la résolution des actions se fait par des multiples jets de dés ce qui implique une bonne connaissance des mathématiques et en particulier des probabilités.

 

Et je m'arrête là. Là 2 solutions : Ou la personne est intriguée et pose des questions auxquelles je répond en allant au plus simple. Ou alors la personne n'est pas intéressée et j'évite de la saouler avec moult détails qui peuvent laisser à penser qu'elle va assister à un diner de cons et qu'en plus c'est le con qui l'invite :wink: 

 

Le fait d'avoir prononcé les mots magiques "échecs" et "mathématiques" fait que même si la personne nous prend pour un malade d'aimer les mathématiques, elle ne nous verra pas forcément comme quelqu'un d'immature car les échecs et les maths sont perçues comme des choses "sérieuses".

 

Mais bon voilà je ne rentre pas dans les détails, mon jardin secret c'est mon jardin secret...

 

 

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Le problème se pose souvent car GW a visé et vise encore les ados et pré-ado, que les centres hobby étaient (ou sont encore) rempli d'ado et pré-ado et que ton collègue qui juge à la va-vite a sans doute eu dans son entourage un neveu ou un cousin ado ou pré-ado qui collectionnait du GW

 

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Quand j'en parle je dis systématiquement que je peints des trucs ^^

Parce que "peindre" c'est cool et bien vu.

 

Après perso je suis pas sûr qu'il y ai beaucoup de situations dans lesquelles il serait parfaitement normal et évident de dire "hey moi je joue à des wargames !"... 'fin soit la conversation tourne autour de ça et il doit y avoir moyen d'en parler un peu sans en faire trop, soit c'est pas du tout l'ambiance et alors autant ne rien dire.

Et c'est bien d'assumer sans en faire trop. Un mec qui casse les couilles avec ses parties de tennis sera aussi pénible qu'un amateur de voitures ou de foot qui parle que ça, et un hobbyiste beaucoup trop centré sur son armée naine sera lourd ^^.

 

Juste, évite de parler avec moultes détails de ta liste eldar et des complexité du jeu et du fluff :D

 

Puis bon, ya aussi des bouquins, lire de la SF c'est pas honteux.

 

(Et j'admets que parfois c'est frustrant de se forcer à ne surtout pas s'étendre sur un sujet qu'on aime ^^').

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Personnellement, je dis que je suis figuriniste, et devant un éventuel sourcil levé d'incompréhension, je rajoute que je fais du modélisme. Je précise l'échelle, figurines en 28 mm ou 1/56e (ça fait "matheux", donc "sérieux"), j'indique ensuite que je fabrique aussi des décors, le tout pour "reconstituer" de batailles à l'échelle tactique ou stratégique...

Généralement, ça passe bien, surtout en montrant quelques photos choisies sur mon iPhone...

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Idem que Dame du Lac, figuriniste ou maquetiste passe très bien, c'est sérieux, minutieux et réflechie. Et en argumentant avec une belle pièce qui claque, ça calme et ça fait moins "gamin qui pousse des pitoux".

La dimension SF/fantastique fait malheureusement pas sérieux en France, aussi bien en jeu qu'en littérature, j'évite d'aborder la thème, en première approche

 

Par ailleurs, mes autres "zobby", c'est : boire de la bière, ecouter du thrash et du death, trouver et porter les teeshirt les plus craignos possible, tirer au pistolet et me battre dans la boue avec mes potes (paintball). La figurine passe du coup pour une activité "compréhensible" et "accessible".

 

Modifié par spud
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Pas mal le coup de l'Iphone !

 

Perso, j'utilise le smartphone du gars et je le connecte à mon blog, avec une petite recherche google qui te trouve ligne 1. Je le laisse se débrouiller du reste.

 

C'est vrai que le coté SF est bizarrement perçu spécialement en France. Je me souviens de discutions avec des gens qui n'avaient jamais voulu voir StarWars tout simplement parce que c'était SF et qu'isl detestaient ce thème. Ils étaient bien plus sérieux et préféraient les thèmes d'actualité. J'ai donc parlé de 1984. Et ça résonne terriblement aux années 2010 que nous vivons. Finalement, ils comprennent que la SF n'est qu'une alégorie ou un "artifice" pour mettre en scène des thèmes universels bien serieux.

 

Généralement, ils confondent SF et fantastique. Au fil d'une discution adulte, le pousseur de plomb que tu es deviens un individu plus brillant qu'ils ne l'avaient imaginé de prime abord. Après si tu as la dialectique facile, le "hobby" devient beaucoup moins une "affaire de jouets".

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Je pense que le problème ne se situe pas dans le hobby mais dans le fait que beaucoup ne font QUE ça de leur vie. Franchement je n'ai absolument aucune honte à parler de cela aux gens, peut importe qui ils sont ( que se soient des amis, de nouvelles connaissances... ). Parce que de un ce n'est pas ce que je mets en premier sur une conversation. Si on me demande ce que je fais dans la vie je réponds pas je peint des figurines, je leur parle d'abord de mes études, du boulot que j'ai a coté, du sport que je fais, et si jamais par hasard le sujet arrive, ou si quelqu'un voit dans ma chambre des marines trainer, ben oui je vais en parler sans aucune gène, sans aucune appréhension ni peur des remarques parce que : De un j'assume entièrement, et un mec qui a confiance en lui peut difficilement être destabilisé, et de deux ils savent que j'ai une vie, que cela reste une activité. 

 

Si on le présente comme un passe temps, une occupation, voire même comme une passion (ce que c'est censé être), il ne doit pas y avoir de soucis.

Si on le présente comme une activité qui nous coupe du monde, oui les remarques ne seront pas positives. (mais dans ce cas, ce n'est pas les remarques le problème, il faudrait se remettre en question), je ne parle pas bien sur de ceux qui s'investissent de manière professionnelle dans le hobby. 

 

et enfin, s'il reste des licornes pour juger ou se moquer, avec un peu de répartie ils se calment direct. Puis de toute façon... c'est pas une activité pratiquée dans le but de se faire briller en société. C'est un jeu, faut le prendre comme un jeu. 

Modifié par Xoudii
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Je ne vois pas trop en quoi le fait d'y consacré sa vie entre en ligne de compte. Il y a des fondus de ta de chose et seulement certaines activité sont critiqués. Quelqu'un a déjà entendu des moqueries contre un passionné de jardinage ou un mec qui s'est éclaté à faire sa maison de A à Z? Alors pourquoi certaines passions devraient être présentées comme étant fait avec mesure et modération? Elles n'ont pas d'effet secondaire que je sache (sauf mâcher de la green stuff :wink: ). C'est, à mon avis, surtout une conséquence de la pression sociale et une tentative d'excuse pour montrer patte blanche en collectivité (et se faire accepter).

 

La plupart des jugements de valeur sont fait par des gens qui ne connaissent tes activités de la personne dans le détail (donc le temps consacré). En plus, ils ne portent presque jamais sur le surinvestissement mais sur la pratique elle même et l'image déformé qu'ils en ont. Dans le cas du collègue typiquement on a un mec qui sociabilise et partage sa passion mais qui est quand même traité d’asocial...

 

C'est bien d'assumé totalement et d'avoir de la réparti mais ce n'est pas vraiment une solution quand on a peur du regard des autres. Je ne pense pas que c'était ce que tu voulais dire, mais cela donne un peu l'impression que ton conseil c'est "Soit différent!". Il faut passer par des étapes intermédiaires. Par contre, oui je pense que c'est bien d'éviter de le cacher. Cela évite une forme d'angoisse et de culpabilité. :)

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Petit rappel de b.a.-ba du topic c'est de ne pas "juger" et/ ou "insulter" les gens que vous dénoncé  "juger" et/ ou "insulter" votre hobby.

 

Voilà, c'était la petite piqûre avant de risquer de voir du vomito partout dans la pièce.

 

Prout Prout.

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Il y a 6 heures, Jaguar_Flemmard a dit :

Je ne vois pas trop en quoi le fait d'y consacré sa vie entre en ligne de compte. Il y a des fondus de ta de chose et seulement certaines activité sont critiqués. Quelqu'un a déjà entendu des moqueries contre un passionné de jardinage ou un mec qui s'est éclaté à faire sa maison de A à Z? Alors pourquoi certaines passions devraient être présentées comme étant fait avec mesure et modération?

Je pense que toute passion est regardée avec suspicion si elle n'est pas vécue et exprimée avec un minimum de mesure et modération.

Il est bien plus difficile d'ignorer les critiques envers sa passion si celle-ci prend une place démesurée dans sa vie en premier lieu. Pour le dire autrement, une passion peut devenir difficile à vivre si on est tellement pris qu'on ressent le besoin d'en parler à tous les gens qu'on connaît ou qu'on rencontre et qu'on se confronte donc de soi-même à des attitudes indifférentes ou hostiles. Ce sera aussi vrai pour le jardinage ou le bricolage.
Pour ce qui est de la question présente, je pense qu'il vaut mieux être prudent pour ce qui est de causer de ses passions au boulot.

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Il y a 13 heures, crom a dit :

Pourquoi devoir enrober votre hobby ? "je fais des maquettes" et si le gus te demande "militaire ou de train?" t'as pas l'air con à expliquer que nope tu peints du bonhomme pour le pousser sur une table. "J'insiste sur le côté math/échec pour faire intello". C'est pas une passion honteuse non plus.

 

Ce n'est pas nécessairement de vouloir "enrober" le hobby, c'est d'utiliser des références que l'autre comprend..

 

On l'oublie hélas trop souvent mais la plupart des incompréhensions se produisent entre gens qui parlent la même langue. La raison est simple : lorsque l'on parle à quelqu'un avec un langue différente, on accepte que s'il y a un mot qu'on ne comprend pas OU dont le sens nous parait pas opportun, on redemande à la personne de l'expliquer et le repréciser. Et lui même accepte cela car il comprend que puisqu'on parle des langues différentes il peu y avoir des erreurs d'interprétation.

 

En revanche, entre gens qui parlent un même langage, cette "sécurité" saute et chacun part du principe qu'il donne la même signification aux mots que son interlocuteur. Or il n'y a rien de plus faux : l'histoire de chacun nous fait donner des significations et surtout des interprétations différentes du même mot.

 

Certains associeront le mot "jeu" avec les jeux de cartes, donc une reflexion mais d'autres associeront cela avec l'enfance. Si on veut éviter que ces derniers pensent que nous sommes immatures (bon on l'est quand même hein :wink: ), il faut utiliser des mots qui font appel à une image plus sérieuse. Non pas pour enrober mais pour contrebalancer l'éventuel préjugé.

 

Savoir communiquer ce n'est pas déformer la réalité bien au contraire : c'est justement faire en sorte que notre interlocuteur voit la même réalité que nous.

 

Modifié par Master Avoghai
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Il y a 7 heures, Rippounet a dit :

Je pense que toute passion est regardée avec suspicion si elle n'est pas vécue et exprimée avec un minimum de mesure et modération.

Il est bien plus difficile d'ignorer les critiques envers sa passion si celle-ci prend une place démesurée dans sa vie en premier lieu. Pour le dire autrement, une passion peut devenir difficile à vivre si on est tellement pris qu'on ressent le besoin d'en parler à tous les gens qu'on connaît ou qu'on rencontre et qu'on se confronte donc de soi-même à des attitudes indifférentes ou hostiles. Ce sera aussi vrai pour le jardinage ou le bricolage.
Pour ce qui est de la question présente, je pense qu'il vaut mieux être prudent pour ce qui est de causer de ses passions au boulot.

On présuppose de plus en plus de trucs. Il n'a jamais été question d'une personne parlant à tors et à travers de sa passion dans des situations déplacées. Tout comme il n'était pas question d'une personne consacrant sa vie tout entière à sa passion. On finit juste par parler d'une caricature de passionné, une sorte de con idéal pour un dîner, alors qu'on croise très rarement ce genre de personne. Personnellement, je n'ai jamais eu besoin d'étaler dans les grandes largeurs ma passion pour me prendre des remarques cinglantes, voir désobligeantes. Avec les mauvaises personnes, elles arrivaient très vite et concernaient directement l'activité. 

 

Ce que je critique dans mon dernier post, c'est une forme de justification de la pression sociale normative. On lui cherche des raisons raisonnables et rationnelles alors qu'elles découlent souvent d’à priori culturels et moraux (le jeu n'est pas une activité adulte typiquement) et d'un manque d'empathie. Au lieu de la critiquer dans son principe, on cherche (en tout cas c'est l'impression que cela me donne) à déplacer la frontière définissant si c'est justifié ou pas. Surtout que cela ne règle rien. La personne qui n'est pas à l'aise avec ça restera dans la peur d'être excessive et pourra se rendre coupable de sa souffrance fasse à un rejet (puisqu'il est justifié, raisonnable et rationnel).

 

Après, je suis d'accord, le lieu de travail est moins propice au partage d'une passion qu'un groupe d'ami car on ne choisit pas ses collègues, ils n'ont pas d'à priori bienveillant sur nous voir sont dans des situations de concurrences. Mais selon moi, cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas le faire surtout si le sujet des loisirs est abordé dans une discussion.

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Pour ma part je suis un fan de Fantasy depuis toujours. Quand je parle de cette passion je commence toujours par parler de choses que tout le monde connait (typiquement Tolkien et le Seigneur des Anneaux que se soit le livre ou les films) pour montrer globalement de quoi il en retourne. Je vois tout de suite si la personne est réceptive ou pas. Si oui je peux enchainer avec d'autres aspects (autres auteurs littéraires, bandes dessinées, jeux vidéos et wargames, pas nécessairement dans cet ordre :) ) et si non et bien je change de sujet (c'est sur que c'est plus facile si on a également d'autres passions).

 

Après c'est sur que ce n'est pas quelque chose que je dévoile le premier jour à une nouvelle connaissance mais je ne le cache pas non plus. Je pense que ça dépend vraiment de la relation que tu entretiens avec les gens. De mon côté j'ai différents groupes d'amis avec qui je partage des activités très différentes (sports, cinéma, wargame justement, soirée) et je constate que ces groupes ne se mélangent pas toujours. C'est assez difficile d'initier ou de parler d'une autre passion à un groupe qui se réunit ou partage autre chose. En revanche en prenant les membres de ces groupes un par un ça passe beaucoup mieux.

 

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Il y a 11 heures, Jaguar_Flemmard a dit :

Ce que je critique dans mon dernier post, c'est une forme de justification de la pression sociale normative. On lui cherche des raisons raisonnables et rationnelles alors qu'elles découlent souvent d’à priori culturels et moraux (le jeu n'est pas une activité adulte typiquement) et d'un manque d'empathie. Au lieu de la critiquer dans son principe, on cherche (en tout cas c'est l'impression que cela me donne) à déplacer la frontière définissant si c'est justifié ou pas.

Oui, bien, mais je dis que i) la "pression sociale normative" est parfois justifiée (en cas d'excès) et ii) ce n'est pas au boulot qu'il faut commencer à chasser les moulins à vent.
A part ça je dirais que iii) critiquer le principe est superflu puisque sur ce forum on sera tous d'accord et que même si on peut s'entendre pour le déplorer iv) on n'a pas non plus à "partager notre passion" avec tout le monde.

Ce n'est pas la première fois qu'on a un sujet sur la question. Et comme d'habitude on voit se dessiner deux perspectives fondamentalement différentes. D'un coté la vision d'un hobby original et exigeant mais néanmoins banal, qu'il convient simplement d'expliquer de manière compréhensible, comme le souligne @Master Avoghai . De l'autre la vision d'une passion dévorante qui finit par faire partie de l'identité des gens, voire même les définir, et qu'il serait donc normal de vouloir faire accepter au monde. Prout snipe ! J'édite juste pour éviter une dérive politico foireuses de certains.


Y'a un juste milieu entre ces deux perspectives. Mais de base je ne suis pas convaincu qu'il soit indispensable de combattre les préjugés, à moins de commencer à se définir par notre hobby, ce à quoi je n'adhère pas.

Modifié par Xoudii
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Par contre, quand il s'agit de connaissances ou simples potes, je n'assume absolument pas de "jouer encore aux petits soldats" à presque 30 ans. 

 

Pourquoi? 

 

Moi en vieillissant, je deviens de moins en moins tolérant par rapport au jugement des autres: ils trouvent ça débile? ils pensent que je suis un attardé et un inadapté? J'ai envie de dire: qu'est-ce que j'en ai à foutre? 

 

Ça a au moins l'utilité de me m'indiquer que je n'ai rien à faire avec ces gens et qu'ils ne gagnent rien à être connus...

 

Mais bon, ça m'arrive rarement, parce que les gens susceptibles d'être les auteurs de ce genre de jugements, généralement, ça coince bien avant que le sujet des jeux avec figurines arrive sur le tapis....

 

Si ce sont des parents (au sens large: frères, soeurs, cousins, cousines) bah.... "on choisit ses amis, pas sa famille" comme on dit.

 

La plupart de mes proches sont pas du tout dans le truc. Ca va du "on trouve ça marrant" à un désintérêt total... Mais personne ne considère ça comme honteux ou ridicule. Tous les gens ont des trip un peu perso qui peuvent être mal jugés par ceux qui ne sont pas dedans. Faut arrêter de croire qu'on est différents, on est tous des primates soumis à nos émotions et qui voyons le monde qui nous entoure par une toute petite lorgnette conditionnée par notre culture, notre vécu et notre éducation.

 

Moi je pars du principe qu'on peut vivre comme on a envie et s'intéresser à ce qu'on a envie du moment que ça fait pas de mal aux autres (et à ce qui nous entoure en général tant qu'à faire).

 

Les "j'ai tout vu j'ai tout fait" qui se croient assez importants ou qui ont l'impression que l'univers tourne autour de leur pauvre petite existence de primate au point de porter un jugement sur tout ce que font ceux qui les entourent, et qui pensent de fait qu'il y a une norme à laquelle ils servent de mesure étalon, je considère juste qu'ils habitent dans une dimension différente de la mienne. Quand il faut se les fader par contrainte (au boulot par exemple) bah je me contente de leur servir des banalités et je leur parle pas de ce qui me fait vraiment vibrer dans la vie.

 

Faire et laisser braire....

 

Citation

Ce que je critique dans mon dernier post, c'est une forme de justification de la pression sociale normative. On lui cherche des raisons raisonnables et rationnelles alors qu'elles découlent souvent d’à priori culturels et moraux (le jeu n'est pas une activité adulte typiquement) et d'un manque d'empathie. Au lieu de la critiquer dans son principe, on cherche (en tout cas c'est l'impression que cela me donne) à déplacer la frontière définissant si c'est justifié ou pas. Surtout que cela ne règle rien. La personne qui n'est pas à l'aise avec ça restera dans la peur d'être excessive et pourra se rendre coupable de sa souffrance fasse à un rejet (puisqu'il est justifié, raisonnable et rationnel).

 

Ite missa est.

 

J'ajouterai sans développer que la société de consommation cherche à créer un norme qui est inatteignable par principe pour créer de la frustration, mais ça peut glisser sur des considérations quelque peu politisés donc j'insisterai pas.

 

L'idée de civilisation organisée en tous cas, implique l'existence d'une société normée régulatrice qui puise sont origine dans une pensée mécanique et un rationalisme qui lui donnent comme réflexe de tout vouloir classer et ranger dans des cases. Ce genre de norme sociale est là pour réprimer ceux qui rentrent mal dans le moule censé leur correspondre, et les faire rentrer dedans à coup de pompes si nécessaire.

Modifié par Ser Eddard
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il y a 17 minutes, Ser Eddard a dit :

J'ajouterai sans développer que la société de consommation cherche à créer un norme qui est inatteignable par principe pour créer de la frustration, mais ça peut glisser sur des considérations quelque peu politisés donc j'insisterai pas.

L'idée de civilisation organisée en tous cas, implique l'existence d'une société normée régulatrice qui puise sont origine dans une pensée mécanique et un rationalisme qui lui donnent comme réflexe de tout vouloir classer et ranger dans des cases. Ce genre de norme sociale est là pour réprimer ceux qui rentrent mal dans le moule censé leur correspondre, et les faire rentrer dedans à coup de pompes si nécessaire.

C'est marrant mais en partant d'une position idéologique que je suppose être relativement proche j'en arrive à une conclusion radicalement opposée.
Chercher à se définir par une activité qui est aussi un mode de consommation, et se victimiser dans la foulée de surcroit, c'est non seulement se faire simple agent de la société de consommation, mais en plus de le transformer en lutte identitaire. C'est la meilleure façon de "rentrer dans le moule" tout en prétendant ne pas le faire.

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C'est marrant mais en partant d'une position idéologique que je suppose être relativement proche j'en arrive à une conclusion radicalement opposée.

 

C'est parce que tu interprètes mal mon propos (qui n'est peut-être pas interprétable de la bonne manière hein).

 

Citation

Chercher à se définir par une activité qui est aussi un mode de consommation, et se victimiser dans la foulée de surcroit, c'est non seulement se faire simple agent de la société de consommation, mais en plus de le transformer en lutte identitaire. C'est la meilleure façon de "rentrer dans le moule" tout en prétendant ne pas le faire.

 

Nan, je m'en fout de la figurine, j'en fait pas un cheval de bataille anti conformiste ou je sais pas quel repère identitaire. C'est loin d'être mon seul centre d'intérêt d'ailleurs.

 

Je voulais juste dire qu'on peut bien faire ce qu'on veut, ça a pas besoin de rentrer dans un moule. 

 

Mais la société, pour garder son équilibre, ça a besoin de moules. Toutes les sociétés d'ailleurs. Dans le temps, les sociétés rurales traditionnelles étaient bien plus normalistes que la nôtre. Le génie de la société de consommation est effectivement d'intégrer l'anticonformisme comme norme sociale, parce qu'elle, elle peut se permettre de s'asseoir (au moins en partie) sur les équilibres sociaux du moment que les pépètes rentrent. D'ailleurs, à beaucoup de titres, la société de consommation est anti sociale (elle favorise l'individualisme, la satisfaction des désirs personnels avant ceux des autres....Etc). 

 

Totalement d'accord pour dire que la figurine peut tout à fait devenir une autre forme de moule social.

 

Ce que je cherchais à dire, c'est qu'on peut peindre et jouer avec des figurines sans se demander si on est un abruti attardé.... par contre, prendre ça comme critère identitaire, communautaire même, c'est effectivement exactement recréer ce qu'on trouve merdique à la base.

Modifié par Ser Eddard
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Si quelqu'un dit ou suggère que la figurine est une occupation honteuse il suffit de lui dire que Alexandre Astier a joué à Warhammer :D

 

C'est même assez drôle, beaucoup de gens "célèbres pour de bonnes raisons" (càd pas pour avoir copuler dans une piscine face cam) ont un côté geek, plus ou moins prononcé.

 

Ya quand même un petit gros barbu fan de Tolkien qui a pondu la trilogie cinématographique la plus importante pendant... pas mal d'années quand même. Le seigneur des anneaux c'est une référence au point que plein de films le copient.

A.Astier disait même "pour moi c'est les joueurs de foot les cons" quand on lui demandait si ses loisirs geeks lui semblaient un peu embarrassants.

 

Ce sujet me fait penser à un titre d'article que j'ai lu très récemment "Obama et machin truc jouent comme des enfants" ... les mecs font du kitesurf. Ils ne jouent pas comme des enfants, ils jouent comme des adultes. Faudrait arrêter de penser ou de prétendre qu'un adulte ne s'amuse pas (même si curieusement se bourrer la gueule entre pote et dire des grossièretés devant du foot à la télé ça semble socialement plus acceptable que de peindre et réfléchir autour d'une table tapissée de moquette verte).

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