Aller au contenu
Warhammer Forum

Un nuage de poussière et de sang


Undred

Messages recommandés

(Fehu de Wardruna en piste audio).

 

Dans le lointain, il voyait encore la fumée grasse qui roulait de sa ferme. Il avait perdu sa femme, la presque totalité de sa famille dans l'attaque. C'était le bûcher de son passé qui obscurcissait le ciel, visible à des kilomètres depuis la lande, c'était les derniers souvenirs de sa belle-famille qu'il portait sur sa peau, en une pellicule de crasse sombre et collante. Derrière lui, roulé en boule, ce trouvait sa fille aînée et la petite dernière. Il faisait le guet pour qu'elles puissent dormir, il se tenait prêt à les réveiller au moindre signe inquiétant. Il ferma son œil un bref instant, pour soulager son œil sec. Il se sentait sale et misérable. Ce qu'il était probablement. Il n'arrivait pas à détacher ses yeux de la ferme détruite, même si elle n'était plus qu'un point sombre dans le lointain. Il attendit un bref instant, puis entreprit de faire les cent pas. La silhouette musculeuse du guerrier était affligé d'un boitillement léger, vieux souvenir de raid et de bataille, quand une lance lui avait déchiré le muscle de la hanche. Lorsque le soleil s'éleva dans le lointain, point à peine visible sous les lourdes chapes de fumée, il alluma un petit feu et réveilla ses deux filles. La première ce redressa, frottant ses yeux embués de larme. Il se releva, alors que la petite émergeait de son lourd sommeil. La plus grande, demanda, d'une voix basse :

 « Ou allons-nous ? »

 

Son père réfléchit, les regarda toutes les deux, puis observa les environs. Ils ne pouvaient pas rester là, pour l’instant, il faisait bon, les vêtements de fourrure et le cuir rembourré empêcher la peau de souffrir du froid qui allait tomber, mais l’hiver arrivait et vite… trop vite pour reconstruire les fermes et les maraudeurs ne devaient être qu’une avant-garde…

 

« Prévenir le Jarl… »

 

Dans sa jeunesse, il aurait massacré à main nues les étrangers, ce n'était que des habitants du Sud, après tout, mais maintenant, il n'était plus aussi vaillant et sans son œil gauche, il ne verrait pas tout le champ de bataille. Il aurait aimé rester et se battre jusqu'à sa mort, que son fer, une bonne épée qu'il avait prise à un guerrier de l'Empire, soit trempé de sang, mais que serait-il advenu de ses deux filles ? La grande serait morte avec lui, car il lui avait appris la voie du bouclier et de la lance, mais la plus petite ? Nul mort glorieuse pour lui, donc, juste une fuite sur les routes, en priant que les envahisseurs ne les rattrapent pas. Une demi-heure plus tard, ils étaient de nouveau sur le chemin, fuyant misérablement. Le père avait accroché son bouclier et son épée dans son dos, il se soutenait avec une longue lance, il marchait tête basse, ressentant le poids du broigne qu'il avait revêtu. L'armure était renforcée par des écailles, liés au rembourrage par du fil du fer, cela faisait bien des saisons qu'il ne l'avait pas portés, il en avait oublié le poids et les contraintes. Sa fille ainée portait les provisions, son bouclier et la lance et la plus petite, entre les deux, marchait d'un pas morne.

 

Le paysage ce fit plus morne et plus désolé, alors qu'on approchait des rivages, le sel rendait la terre ingrate et infertile… Ce fut sa fille qui remarqua le nuage de poussière qui s'approchait d'eux. Son père jeta un coup d'œil, tournant à droite pour voir derrière eux. Effectivement, de l'ouest, venait de la poussière, un nuage compact de poussière. On était à leurs poursuites, probablement et mieux valait partir du principe que les ennuis arrivaient. Il se retourna et lança à son aînée :

« Prend ta sœur, nous devons forcer l'allure, nous devons nous mettre à l'abri avant que l'ennemi nous voit ou nous atteigne à découvert. »

 

Ils se mirent à courir. Son père souffla lourdement, ce n'était plus de son âge de courir la campagne, comme des maraudeurs, il ne l'avait plus fait depuis… longtemps. Chez les nordiques, le guerrier est un voyageur, car celui qui voyage finit toujours par devoir se battre. Le père souffla de plus en plus lourdement, son bouclier devenait lourd et commençait à le brûler, sa fille le devança, il la regarda passer, ses cheveux natter, attacher par un fils de cuir, elle était jeune, elle était maintenant plus forte que lui. Cela l'emplit d'une sourde colère et il rugit, intérieurement et bougea ses muscles lourds pour continuer. Il vit le petit encaissement, pas plus d'un creux, qui pourrait leur permettre d'éviter la charge :

« Dans le creux, dans le creux ! Par les Dieux, dans le creux !»

 

Elle plongea dans le creux, entraînant arme et bouclier dans une chute contrôlée. La petite ce blotti, son père suivi dans la dépression chuta lourdement, sa hanche l'élançait, maintenant. Il se tient contre les parois, son cœur battant à tout rompre, l'air froid refroidissait et gelais ses poumons. Il inspira à fond et ce calma doucement, cherchant à récupérer avant que l'ennemi soit sur eux. Ce n'était pas plus qu'un creux dans le sol, un peu profond, un endroit d'où il était impossible de tirer depuis l'avant, il fallait soit les suivre, soit les attendre. Il regarda sa fille, qui avait le visage rouge et respirait à fond, ses yeux brillaient. Il fouilla dans sa tunique, mit la main dans son talisman, qui était le symbole du dieu-père, le Porteur de la Hache et de La Lance. Il se mit à prier que les personnes les ignorent et glissa son talisman dans sa bouche. Il mordit dedans et le sertissage égratigna les gencives du guerrier. Une prière sans offrande est comme un combat sans douleur… il entendit, à travers le lourd battement de son cœur, les cavaliers qui s'approchaient d'eux.

 

Il inspira à fond et ferma son œil. Il y eut un bruit de voix et de soleret. Puis des voix, d'une langue qu'il reconnut comme étant la langue du sud. C'était belle et bien les habitants du sud qui venait piller la terre, porter le fer et le sang. Les assassins de sa famille. Il tourne la tête pour regarder mon ainée, qui observe, craintivement, les environs, même la plus petite est muette... Il entend une dizaine de voix et sens que si une confrontation éclate, elle sonnera le glas de ses filles et de lui… il n'avait pas peur de la mort, la mort ne lui faisait pas et ce n'était pas les couards du sud qui l'effrayait. Mais même un héros pouvait périr d'un coup de poignard dans le dos, il fallait être prudent. Les voix s'approchèrent et le père inspira à fond, prêt à bondir et à frapper de sa lance le premier sudiste qui tomberait dans la fosse… un autre conciliabule, mais aucun des guerriers ne descendit dans la fosse pour venir les chercher. Ils entendirent les guerriers regrimpés à cheval et l'un d'eux claqué de la langue. Les chevaux s'ébrouèrent et partirent au galop. Les secondes s'écoulèrent lentement, puis quand le père jugea que le risque était passé, ils regrimpèrent lentement, soufflant de soulagement. Le père ce redressa et son sang ce figea, car ils n'étaient pas seuls. Sur le bord du chemin, se trouvait huit des cavaliers, armés d'engin qu'il connaissait pour avoir déjà affronté les redoutables effets sur le champ de bataille. Les cavaliers épaulèrent les arbalètes et les mirent en joue. Sa fille leva son bouclier, qu'elle avait posé au sol, pour avoir les mains libres.

 

Son père posa un genou au sol et mit le bouclier à hauteur de sa tête, sa fille se tassa derrière et leva le bouclier. Puis l'enfer chuta sur eux. Alors que le claquement des arbalètes résonna. Les boucliers encaissèrent l'impact des viretons et les têtes des flèches percèrent le bois et le cuir. Puis il y eut un grand silence et la fille hurla un cri de guerre, son père rompit le fragile et minuscule mur de bouclier, dégaina son épée d'une poigne menaçante. Les arbalétriers avec l'air ahuri de voir leurs cibles toujours debout. Il hurla à plein poumon un cri de guerre, invoquant le nom du Père de la Hache et de La Lance. L'un des guerriers n'avaient cependant pas tiré et il expédia un vireton. Le père hurla, mais ne tomba point, il serrait à pleine main son bouclier et son épée, pour ne pas les perdre, alors même que le sang dégoulinait de son épaule.

 

Puis sa fille fut sur eux. Elle frappa de sa lance et de son bouclier. La lourde pointe perfora les gorges et les jambes mal protégées, l'umbo du bouclier frappa à la mâchoire, un des arbalétriers plongea son épée dans le dos de la fille aînée, ou du moins, essaya, car il fut empaler in-extremis par la pointe de l'épée de son père. Celui-ci combattait avec l'expérience, alors que sa fille battait, frappait et poignardait avec la fougue de la jeunesse. Celle-ci perdit sa lance contre son troisième ennemi, elle dégaina son poignard et vit son père combattre, il avait déjà expédié un ennemi au tapis, la gorge fendu, son troisième, il esquivait les coups, puis para un coup d'estoc vers sa gorge et lui perfora le ventre. Elle vit le guerrier surgir de la gauche, l'œil où il ne voyait pas. Elle hurla. Son père esquiva au dernier moment, l'épée, au lieu de lui trancher la gorge, trancha à travers le broigne le pectoral, arrachant un autre cri de douleur de son père, qui tomba en arrière. L'arbalétrier fondit sur lui et reçu un coup de bouclier de l'ainée, il chuta au sol, levant ses mains pour se protéger, mais la fille fut comme folle et abattit le tranchant du bouclier sur la gorge sans protection, lui écrasant la pomme d'Adam. Elle leva un visage éclaboussé de sang, elle vit le dernier arbalétrier fuir à toute jambe, courage et honneur oublié. Elle hurla de rage et hésita à lui courir après. Son père la retient en lui agrippant le bras :

 « Un piège… un maudit piège ! »                                 

 

Il cracha en se redressant. Le vireton d'arbalète dépassé de son épaule, un empennage qui se souillait de sang. Il serra les dents et brisa l'empenne du carreau. Il saignait, beaucoup. La tête lui tourna. Sa fille se précipita à son aide, fouillant dans son sac pour trouver de quoi faire un bandage. Il était salement touché, il était maintenant trop vieux pour la guerre, il aurait dû mourir il y a bien longtemps. Il jura de douleur et compris que, dès que possible, il devrait cautériser la plaie par les flammes. Il se releva, cependant. Sa fille était éclaboussée de sang et ses yeux bleus comme l'hiver le plus froid étincelait comme des joyaux : « Prend les crânes des morts et attache en un à ta lance, que chacun voit que tu as fait couler le sang. »

Il fit pareil et leva difficilement la lance vers le ciel, la tête de l'envahisseur accrocher par les cheveux à la hampe, alors que ses plaies le brûlaient, il lança :

« Grands-Dieux du Nord ! Je vous dédie le sang versé ! Du sang pour le Père de la hache ! Le dernier souffle de chacun d'eux pour le Grand Corbeau ! La chair qui pourrit pour le Seigneur des Mouches et les désirs inassouvis pour le Grand Serpent ! »

 

Un bref instant, peut-être est-ce son imagination, mais il lui sembla que l'air glacé sembla retentir d'un rire profond et mauvais. Il regarda sa fille :

« Prend une épée... repartons..."

Modifié par Undred
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines après...

J'aime bien. Juste une nouvelle où le début d'un récit plus long? En tout cas c'est une bonne idée de mettre l'empire en agresseur du nord. Ça permet d'avoir une autre vision des maraudeurs du chaos.

 

Sur la forme quelques fautes, notamment entre "ce" et "se". En passant le texte sur Word ou un correcteur il ne devrait plus en rester beaucoup. Quelques répétions parfois qui pourrait être éviter en trouvant des synonymes et en nommant les personnages.

 

Pour le combat, il s'agit de 8 cavaliers, mais lorsqu'on lit l'action on a l'impression qu'il s'agit de fantassins.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Citation

 

[Merci beaucoup. Je suis hélas dyslexique, j'ai donc des problèmes, naturellement, je me bat contre, mais il m'arrive d'avoir des rater. Quand aux cavaliers, ils ont utiliser le huitième homme pour les éloigner et faire sortir les nordiques du trou, plus facile à cribler de carreau].

 

Dans le lointain, elle voyait encore la fumée grasse qui roulait dans les airs, comme la fumée de la ferme, c'était le bûché de son passé qu'elle regardait s'envoler dans les airs, c'était les derniers souvenirs, les derniers jours en tant qu'Enfant, les premiers en tant que femme ayant fait couler le sang. Elle regardait dans le lointain, recouverte des derniers souvenirs, collant, sombre et nauséabond, de son père. Sa petite sœur avait beaucoup pleuré quand elles avaient dû couper des arbres, après avoir trouvé une hache sur le cadavre d'un habitant d'une ferme à proximité et préparé sommairement un bûché pour lui et ses armes. Il n'avait qu'un trophée à amener dans le Hall des Ancêtres.

Elle s'était préparée à la mort, violente, au cours d'un combat, à la traitrise de mourir par les hommes du sud. Mais pas à la lente et horrible mort d'une infection, au lent dépérissement des forces. Son père avait, au bout d'un jour, peiner à se lever à cause des blessures, cela les avaient considérablement retardé. Au bout trois jours, presque à court de provision, elle était partie chasser. Son père était finalement mort le cinquième jour, d'une forte fièvre qu'elles n'avaient pas réussi à faire descendre. Elle avait porté la dépouille de son père sur le bucher, mit son bouclier sur le côté gauche, son épée à plat le long de son torse, la main droite sur la garde. Elle avait posé à côté de la tête le trophée de son père, attaché à la lance et avait ensuite allumé le feu du bucher, difficilement, mais elle avait réussi. Cela les avait beaucoup retardés et désormais, l'hiver menaçait. Trizna pris la main de sa sœur et ce remit en route, tête basse, lasse.

 

Les deux silhouettes marchaient d'un pas las, la petite toussait maintenant et Trizna avait l'impression que jamais ses extrémités ne pourraient fonctionner à nouveau. L'hiver était là, maintenant, le froid les enveloppait comme un lourd manteau et c'est uniquement à cause de l'obstination et de la peur de mourir d'une mort infâme qu'elles marchaient encore, bravant les éléments. Depuis peu, elle sentait qu'elles étaient suivient par des cavaliers, probablement des hommes du sud. Elles n'avaient pas recroisé âme qui vive, même les monstres légendaires du ciel et de la terre semblait les considéré comme déjà morte. Ce fut donc une véritable surprise d'apercevoir la ville, dans le lointain. Alors qu'elles allaient abandonner, Trizna était à bout de force et chaque pas semblait être le dernier. Ces hauts murs de bois, ces têtes empalées sur le-devant des portes, les lueurs des torches qui brillaient comme des joyaux et les corps accrochés aux poignets sur chaque porte, comme avertissement. Elle soupira de plaisir, des larmes coulaient de ses yeux, qui gelèrent immédiatement. Elle tira sa sœur, qui se mit à geindre :

 « J'en peu plus, je veux dormir, j'ai faim, j'ai soif. »

Elle avait été courageuse, mais à bout de force. Elle regarda autour d'elle. Et lui tendit la gourde d'eau, déjà pratiquement vide. Sa sœur la vida en lui adressant un regard triste. Sa sœur jeta le sac, de toute façon, elle était à court de provision et la fin n'était pas loin. Elle chargea sa sœur sur le dos et commença à avancer, à grands pas, tête basse, un pas après l'autre. Pas question de faiblir, elle sentait que le regard des Dieux était sur elle. Derrière elle, elle entendait la cavale qui ne cessait de se rapprocher. Elle se mit petit à petit à courir, soufflant lourdement dans le froid, sa bouche expédiait de la vapeur, un sentiment d'urgence inquiétante la tenaillait. Elle jeta un coup d'œil derrière elle et les vis, trois cavaliers, en haut de la petite bute. Elle accéléra, encore, l'un d'eux poussa un cri de guerre et se mit à charger. Elle regarda devant. La ville, trop loin pour l'atteindre, les habitants ne viendraient pas l'aider. Le cavalier portait une longue lance, vicieusement pointé vers elle, comme le doigt de la mort en personne. Elle hurla de rage et dit à sa sœur :

 

« Descend et court jusqu'à la ville ! Ne te retourne pas ! »


Sa sœur descendit, pleurante. Trizna ce dressa sur le chemin. Elle prit son bouclier et leva sa lance, le pointant vers le cavalier, qui s'approchait à toute allure dans un tonnerre assourdissant. Elle leva son bouclier et se mit à prier…

 

Elle ne le quitta pas des yeux et bougea, quand le cavalier chercha à la frapper de sa lance, elle fit un pas sur le côté, la lance barbelé de son ennemi heurta le bouclier et elle ne sentis plus son bras sous le choc et elle usa de toute la volonté pour ne pas lâcher celui-ci. Mais l'homme avait fait une erreur, le mouvement la déséquilibra et le fer de la lance de la guerrière, plus courte, ce pointa vers le torse du cavalier, qui s'était penché pour pouvoir la frapper. Le fer l'empala, traversant la maille, il hurla de douleur alors que le fer lui transperçait les cotes et ressortis par l'omoplate. Elle lâcha la lance, alors que le cheval la dépassait, le cadavre chuta en arrière. Elle resta un instant étourdi, jetant un coup d'œil aux autres cavaliers. Celui-ci la pointa de leurs arbalètes. Elle s'accroupit et leva son bouclier, alors que les cordes ce détendit. Le bouclier ce tordit et elle vit une pointe qui saillait à un pouce de son visage. Elle releva la tête et dévisagea en tremblant les cavaliers. Ceux-ci rechargeaient les arbalètes avec des gestes rapides. L'un d'eux soudain cria et pointa quelque-chose derrière. Elle ne tomba pas dans le panneau et leva le bouclier. Les carreaux ne vinrent pas.

 

Elle trembla, sous le poids de son bouclier, sous la fatigue de ces muscles, sous la faim, le froid, l'épuisement, alors que derrière elle, viens la clameur d'une cavalcade folle et puissante, des destrier, qui galopait à grands pas, celui-ci s'approchait dans son dos et elle finit par jeter un rapide coup d'œil, alors qu'un cheval, à la robe plus sombre que la nuit la plus noire s'approchait d'elle. Elle dégaina son épée et jeta un coup d'œil aux habitants du sud, qui avait préféré d'étaler. Elle se redressa, alors que le cavalier leva haut la bannière du Jarl. Elle était sauve… elle baissa son épée, regardant d'un air soulager l'aide qui approchait. Le champion du Jarl tenait dans ses mains une épée étincelant de feu et une bannière qui semblait tremper dans du sang frais. Celui-ci s'arrêta. Elle tomba à genou, frappé de révérence.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 mois après...

Vraiment sympathique à lire, j'aime également beaucoup le point de vue des nordiques attaquées par les hommes de l'Empire !

 

 

Un passage me chagrine :

Le 02/09/2017 à 23:49, Undred a dit :

Celui-ci la pointa de leurs arbalètes.

peut être voulait tu dire 'ceux ci' ou alors un seul des deux restant fait usage de son arbalète !

 

J'ai hâte de lire la suite..

A très bientôt.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.