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Warhammer Forum

Attaque sur Ernute. POV paras Eylisiens


WarningAka

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Les pensées de mon personnage divaguent un peu, mais l'action arrive bien assez vite. Excusez moi pour les fautes d'orthographe, je vais essayer de les corriger.

 

Langages et pensées très crues. Le quatrième mur est "percé".

 

Chapitre 1

 

Commençons cette histoire par deux chiffres simples, le sept et le huit. Si vous demandez aux personnes autours de vous quels sont leurs chiffres préférés, il y a une bonne probabilité pour que le sept en fasse partie. Il porte chance, il parait. Sans oublier les centaines de symbolique qu’il représente : les septs péchés capitaux, les septs branches de l’inquisition, les septs manières de mettre une sororitas dans votre lit etc...

Et puis il y a le huit. Il est plutôt banal, je vous l’accorde. Je dirais même que si une personne choisit le huit, vous pouvez être sûr qu’il s’agit de sa date de naissance. Triste chiffre.

Là, vous vous demandez pourquoi je vous emmerde avec ces deux chiffres. Vous avez bien raison. Pour moi, ces deux chiffres ne représentent rien. Enfin, ne représentaient rien. Oui, car dans approximativement sept ou huit secondes, je vais mourir.

 

Attendez, ne partez pas. Commençons par une petite mise en contexte, vous voulez bien. Est-ce que vous avez entendu parler de la bataille pour Maccrage ? Vous savez, la grande bataille opposant l’élite de l’imperium, les space-marines, aux tyranides de la Flotte-Ruche Behemoth. Avec en arrière plan, le monde natal des ultramarines. Armures énergétiques contre plaques rachitiques. Épées tronçonneuses contre pinces broyeuses. Bolters contre Dévoreurs. Ca en jette, hein ? Ca tombe bien, car ça n’a rien avoir avec mon histoire.

 

Je suis originaire de la planète Elysia, appartenant à un vaste empire galactique que l’on nomme modestement l’Imperium. Pour ceux qui imaginaient un futur utopique portant l’apogée de l’humanité, sachez que l’on est dans la plus impitoyable dictature que vous puissiez imaginer. Le tout bien entendu dirigé par des religieux extrémistes vénérant un empereur-zombie. Oui, rien que ça.

Pour vous faire bien comprendre ce qu’est l’imperium, imaginez une grande casserole. Versez dedans l’aliment le plus frais que vous pouvez trouver, en très grande quantité. On va dire que c’est l’humanité, il y a de ça 10000 ans.

Maintenant, prenez un grand chalumeau, n’oubliez pas de régler la flamme à son maximum, et foutez le feu à la casserole. Là, vous avez un très bon aperçu de l’Imperium actuellement.

On parle là de plusieurs milliers de monde et de milliards d’individu, à l’aube du 41ème millénaires.

 

Maintenant que vous visualisez les “gentils”, parlons des autres. Et il y en beaucoup. Les ennemies de l’imperium prennent de nombreux visages, mais rien n’est plus menaçant que le Chaos. Séparé en quatre dieux, chacun ayant sa propre doctrine et coutume, leur but est assez compliqué à expliquer : Détruire l’imperium, et vous avec.

Si je vous parle de ces joyeux lurons, c’est parce qu’ils sont omniprésent dans mon histoire. Plus particulièrement sur le monde d’Ernute ( oui, c’est le nom d’un paysan ).

Lors de la croisade des mondes de Sabbat, les anciens occupants ont décidé bravement de quitter la planète en la laissant aux mains du Chaos.

D’une valeur hautement stratégique ( me demandez pas pourquoi, surement pas pour ces champs de coton ), l’imperium a décidé de le reprendre à n’importe quel prix.

C’est ici que j’entre en jeu. Je pourrais vous énumérer les nombreux faits d’armes qui m’ont fait devenir un membre prestigieux des para elysiens, mais je préfère rester modeste. Pour être franc, je n’ai aucune expérience du combat à proprement parler. Pendant huit long mois, je me suis contenté de percer le mannequin de combat avec ma baïonnette, de tirer à la lampe torche ( excusez-moi, le lasgun ou fusil laser ) et de casser les couilles à mon commissaire, Breacher. Dans mon escouade, l’activité la plus lucrative est de parier sur le nombre de jour que je passe sans recevoir ces corvées. Ce fils de pute est tellement laid que même Slaanesh n’en voudrait pas. On le surnomme affectueusement 21, comme son nombre de chromosome.

 

Après un bombardement massif du croiseur de type Carnage, l’“Excessive”, le débarquement a été lancé à 6pm précis.

Moi et onze autres chanceux du cinquième régiment des paras d’Elysia se sont retrouvés embarqués à bord d’une Valkyrie en partance direct pour Ernite. Je veux que vous imaginez un vaisseau rapide, lourdement armée et lourdement blindé. J’insiste sur le lourdement blindé, car à peine après avoir franchi l’atmosphère, un canon laser de type Icarus nous à touché de plein fouet et à percé le blindage comme du papier de verre.

 

Selon le pilote, le crash se produira dans approximativement sept ou huit secondes. C’est une putain de bonne journée pour crever.

Et le pire dans tout ça, c’est que 21 sourit comme un putain de demeuré.

 

Chapitre 2

 

Tout le monde n’est pas égaux devant la mort. Chaque personne y va de sa petite réaction. Il y a ceux qui ferme les yeux et qui adresse une dernière prière à l’empereur. Autant vous dire qu’ils se situent plutôt bas sur mon baromètre de respect. Ne me prenez pas pour un hérétique, je crois au bien fondé de l’Imperium. Sans le culte au “petit Père”, l’Imperium serait déjà de l’histoire ancienne, et on serait tous des esclaves des Orks ou du Chaos. Ou mort, pour les plus chanceux.

Il y a aussi ceux qui se fige de terreur, comme sous les fards d’un land raider qui a repéré un hérétique. Ne vous méprenez pas, je pense que j’en ferais partis dans d’autres circonstances. Sauf qu’un petit détail m’empêche de sombrer dans la terreur.

 

Car il y a apparement une autre réaction. Il y a ceux qui sourit comme des psychopathes. Je vais mourir dans approximativement sept secondes. Ma dernière vision sera donc celle de 21 qui me sourit. Me demander pas pourquoi, mais je trouve ça insupportable. Une idée me vient, celle de sortir ma baïonnette et de lui planter en pleine face, devant tout le monde. Je lui rends son sourire.

 

“Préparez-vous à l’impact !” nous hurle le pilote. Je me sens obligé de répondre :“Et on se prépare comment à un impact, fils de pute ?”. 21 se penche vers moi, et me glisse “N’ai pas peur Hans, notre chemin ne s’arrête pas ici”. Un rictus tordus apparait sur mon visage. “La seule chose qui me fais peur maintenant, c’est de savoir que je vais mourir avec mon uniforme dégueulassé par ta cervelle. Qu’est-ce que va penser ma famille.” Un éclair d’agacement apparaît sur son visage. “Hans, tu n’es qu’un ..”

 

La valkyrie percute le sol, et se démembre aussi facilement qu’un gretchin sous les crocs d’un chien du chaos. Je me rappelle pas grand chose de ce crash, juste qu’une fraction de seconde avant l’impact, 21 avait perdu son sourire. Et pour tout vous avouez, ça à le mérite de mettre un peu de baume dans ma mort.

 

Les secondes passent, et se ressemblent. Pas un bruit, pas une secousse, rien que le néant, un noir impénétrable. C’est ça la mort ? C’est pas la joie. J’aurais du bosser dans les champs de mon monde agricole natal, pour tricoter des pulls de laine aux petits soldats. J’aurais pu au moins me faire la bergère d’à côté.

 

On me réveille, et lorsque j’entre-ouvre les yeux, je vois le visage de la belle Sarah.

Sarah est le sergent de notre escouade, et la commandante de l’escouade si je venais à tuer le commissaire. Et oui, ami féministe, le futur réserve le même droit aux femmes et aux hommes de mourir main dans main. Vous pouvez enfin secouer vos oestrogènes. Vous l’avez bien mérité.

 

“Tout va bien, Hans ?” J’avais mal partout. Je ne me souvenais même plus du nom de ma mère, mais je me suis sentis obligé de répondre “Une douleur atroce, situé tout en bas de mon abdomen. Il serait préférable que tu checks tous ça, pour être sur.”

J’avais une réputation à tenir. Le regard qu’elle me lance est un mélange de dégoût et d’agacement, saupoudré d’un soupçon de haine. Jouer le "beauf" de service avec elle ne sert à rien. Même pas un sourire.

 

J’entends le commissaire nous ordonner de nous mettre en formation. L’enfoiré n’est pas mort, il est même en pleine forme. Je me lève péniblement. On m’a traîné hors de la Valkyrie. Je fais une rapide introspection de notre situation. On n’est plus que six. Six sur douze. “Hans, en formation, bouge toi”. Je prends mon temps, feignant un état de choc et une blessure inexistante à la jambe.

 

La journée risque d’être intéressante, après tout.


 

Chapitre 3

 

Notre joyeuse bande se met doucement en chemin. Ernute est connu comme un Monde-Forge très productif. Mais si l’on s’écarte un peu des villes, il n’y a que des plaines désertiques à perte de vue. Je vais pas vous faire un dessin, on n’est en plein dedans. Nous parcourons les plaines sous les directives de 21. Je crois qu’à un moment, il a essayé de faire un discours sur le courage des guerriers de l’Empereur-Dieu, et des dangers d’une embuscade des adeptes du Chaos. Autant vous le dire, tout le monde s’en battait les couilles.

Je m’attarde sur les survivants de mon escouade. Ca va faire cliché, mais on est une belle bande de bras cassé. Huit mois à cravacher à l'entraînement, à réciter des prières creuses et à bouffer de rations de combat. Ca vous rapproche des hommes vous pensez ? Il n’en n’est rien.

Juste derrière le commissaire, on retrouve Dog. Pour vous faire une rapide description, imaginez le soldat parfait, grand, précis et sans peur. Vous multipliez le tout par zéro et vous aurez une idée des compétences de Dog au combat. Il était tellement mauvais qu’il a hérité du lance-flamme. Je préfère laisser une bonne dizaine de mètre entre lui et moi. Ca explose, ces trucs-là.

 

Viens ensuite, Derk, le médecin de la bande. Ce mec ne perd jamais son sérieux, et c’est le seul avec le commissaire qui a une expérience du combat. Je crois qu’il en a déjà bien bavé, car il a se regard mélancolique qui te forcerai presque à lui apporter une chaise et une corde pour l’aider à en finir. “La garde, ça vous forge un homme” répétait mon père. Ou pas apparement.

 

Marchant près de moi, il y a Stan. Stan, c’est la personne de confiance, qui te sortirais du No Man’s Land sans sourciller.Je rigole bien entendu, pas de ça chez nous. C’est la personne avec laquelle je me suis le plus lié d'amitié. Il m’a couvert de nombreuses fois auprès du commissaire. Il a un humour assez tranchant, je l’aime bien.

 

Il reste maintenant Sarah, 21 et moi. Sarah est un peu la patronne, pour ne pas dire la maman, du groupe. Elle vient d’une haute lignée de naissance à ce que j’ai entendu, je me demande comment elle a échouée avec des déchets comme nous. La mort de nos compagnons dans le crash l’a affecté, on le remarque facilement. Assez grande, joli minois et une natte descendant jusqu’à ces lombaires. Au cas où vous serez intéressé pour un speed dating, elle porte un pistolet à plasma et une épée réglementaire à sa ceinture. Il faut pas la chercher, son sang ne fait qu’un tour. Je l’aime bien Sarah, dans le genre pince sans rire. J’ai bien entendu essayé un rapprochement, mais ça n’a pas marcher. Je crois qu’elle se faisait le capitaine quand on était à la base.

 

Il reste 21. J’ai pas trop envie de vous parler de lui. Il ne mérite pas.

 

Et enfin, Hans, soldat d’élite, parachutiste émérite, tireur précis et joyeux luron. Pour me décrire, je vais rester sobre : 20 ans, 1m81, 77 kilos ( de muscle ), cheveux noir de jais ( bon plus proche de chatain, me cassez pas les couilles avec ça). Je me suis engagé dans ce bordel il y a de ça 9 mois. Une blague assez récurrente dans la Garde note la réciprocité avec les 9 mois de grossesses. La Garde te nourrit, te materne pendant 9 mois, puis coupe le cordons ombilical d’un coup sec. C’est comme ça que je me suis retrouvé dans une Valkyrie à attaquer un monde lambda, avec le pire pilote de l’histoire qui se fait abattre à 33km d’altitude.

 

Parlons maintenant de mon équipement. Une armure Flak en piteux état sans épaulette droite, un fusil laser, deux chargeurs, et une baïonnette pour couper du saucisson. Attardons nous sur mon fusil laser. On l’appelle affectueusement dans la Garde le flashlight. Il émet des couleurs simpa, il fait du bruit, mais ça s’arrête là. Et si vous restez trop longtemps appuyé sur la gâchette, il vous explose dans la main. Une bête capricieuse et indomptable.

 

L’aube se lève tout doucement, et on entends au loin le vrombissement des machines grandes comme des immeubles. Le point de rendez-vous n’est plus loin. Il est temps de passer à l’action.

 

Chapitre 4

 

L’administratum est connu pour ces plans de bataille élaboré, sans le moindre accroc. Une chose est sur, ils doivent bien être déçu devant leur bureau plaqué or. Le mot qui me vient à l’esprit pour définir le point de rendez-vous serait charnier. Ou massacre. Pour les plus pervers, je dirais même partouze qui a mal tourné avec dans le rôle de la victime le 5ème régiment d’eylisien. Je sais pas ce qui a attaqué les 50 hommes qui devaient se regrouper ici, mais ça devait avoir sacrément faim à voir l’état des cadavres. Je me suis mis à regretter les morts dans la Valkyrie. La mort en soit pour la Garde est naturelle, elle est même des fois bienvenue. Mais finir comme une brebis sous les roues d’un baneblade à de quoi retourner le plus insensible. On aimerait rester coquet dans la mort, si possible.

“Derk, part en éclaireur pour voir s’il y a des survivants. Hans, tu l’accompagnes et tu le couvres”. Je note tout de suite que 21 à tout de suite pensez à moi.

Derk ne se fait pas prier, et avance méthodiquement à couvert sur les 300 mètres qui nous sépare du charnier. Avant de le rejoindre, je glisse à Stan “Si je meurs, dis à mon père que je suis mort comme un lâche, en souillant mes jupons. Ca va le faire chier un max, cet enfoiré”. Je l’entends de loin me répondre “On sait tous que c’est ce qui va se passer, Hans”. Sans me retourner, je lui adresse mon majeur.

 

Je rattrape rapidement Derk. Mon coeur bat tellement vite que les machines du monde forge pourrait être assimilées à de léger tapotement de doigts à côté. A couvert sous la cime d’un arbre mort, nous scrutons chaque centimètre carré du camps.

“T’en penses quoi Derk ?”

“Ce qui a fait ça n’est plus là, mais il y a toujours une probabilité qu’il laisse des hommes en arrière pour achever les fuyards. Couvre moi d’ici”

 

Je m’adosse sur la cime et j’essaye de calmer ma respiration. Derk, recourbé comme s’il devait porter un ogryn obèse, se glisse dans le camps pour examiner le premier cadavre. Il me fait signe de venir. Je m’approche, pas soulagé pour autant. “Derk, laisse ce pauvre type tranquille, tu vois pas qu’il a connu des jours meilleurs.” Alors que je ne suis qu’à quelque pas de lui, Derk recule d’un coup du cadavre. Ce dernier n’était pas beau à voir, coupé en deux au niveau du nombril et sans bras droit. Le pauvre bougre avait perdu sa meilleur moitié. Appelons le Bob pour les besoins de l’histoire.

 

A mon grand étonnement, bob déplie son bras restant et tourne lentement la tête vers nous.

“Eh bein mon salaud, je savais que tu étais un bon médecin, mais à ce point là”

“Je ne comprends pas, je n’ai rien ..”

 

Bob, notre cher ami Bob, a profité de la stupeur pour attraper la jambe de Derk et décide de la mordre à pleine dent. La mort, ça donne faim apparement. Je lui tire rapidement dans la tête. Un cadavre qui se relève, essaye de vous tuer, le tout dans un monde appartenant au Chaos, rien de choquant en soi. Bienvenue à Ernute.

Je tire deux balles de plus de mon lasgun par sécurité. La tête de Bob explose comme un fruit mûr, recouvrant Derk.

“Fils de pute, tu avais vraiment à faire ça.”

“Du calme, toubib, mieux vaut prévenir que guérir. Après, si tu voulais que je le laisse faire l’amour à ta jambe gauche, libre à toi de me prévenir avant”.

“Ferme-là, et aide moi à me relever”

 

J’entends mon comlink grésiller faiblement.

“Breacher, à vous, qu’est-ce qu’il passe, par l’empereur ?!”

“Rien de spécial, commissaire, à par que nos potes de la cinquième ont décidé de se relever et de nous bouffer. Je pense que le lance-flamme de Dog serait ut..”

 

Encore interrompu. Je vous jure, ça devient une habitude dans cette histoire. Malheureusement pour Derk, ici ce n’est pas par une vulgaire morsure de cadavre, mais un tir de fusil laser en bonne et dû forme. Le laser s’enfonce dans sa jambe, la laissant à moitié sectionné. Je me baisse rapidement, essayant de voir la position du tireur. J’attrape Derk par le col de son armure, et je le traine le plus vite possible vers la cime de l’arbre. Le pauvre gueule comme s’il venait de sortir du ventre de sa mère. J’entends en fonds 21 qui hurle dans le comlink, mais mon esprit n’a pas le temps d’analyser les paroles.

 

Quelques mètres avant d’atteindre le couvert. On y est presque. De nouveaux tirs se font entendre. Je me jette au sol plus rapidement que la Valkyrie après avoir été touché. Je sens un énorme choc sur mon épaulière gauche. Une douleur lancinante commence à me déchirer l’épaule. Dans mon subconscient, l’ironie de la situation me fait rire. Il me restait une épaulière, et le tireur n’a pas trouvé d’autres endroits moins protégé. Avec une force décuplé par l'adrénaline, je tire Derk jusqu’au couvert. Je veux bien que vous imaginez cette scène, elle ferait pâlir de jalousie un terminator avec gantelet énergétique. Je me mets en position de tir et j’envoie une rafale à la dernière position des tireurs embusqués.

“Hans, ma jambe !, fais.. fais moi un garrot, vite”. Je me remet à couvert et je m'exécute. Derk était dans un sale état, et sa jambe va devoir être amputé. “Quelle jambe, Derk, je vois pas de différence”. On rassure comme on peut. D’habitude si sérieux, il me sourit faiblement : “Ferme-là à tout jamais”. Une fois le garrot aussi serré que le collier d’un esclave eldar noir, je me remets en position de tir.

 

Aucunes traces des tireurs.

 

J’entends du bruit derrière moi. Je me retourne prestement. Je tombe nez à nez avec le commissaire.

“Bon sang, Hans, qu’est-ce qu’il se passe ?!”.

“Rien, commissaire” essayant de contrôler ma voix. “Vous avez loupé la petite fête. Les invités sont repartis, mais ils ont eu le temps de nous livrer quelques rafraîchissements. Ca a fait une belle jambe à Derk”

 

Modifié par WarningAka
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Histoire sympa, très bon humour qui colle parfaitement à l'atrocité de la situation, c'est vraiment agréable à lire ça se mange comme un petit pain.

 

C'est un peu Deadpool in Space.

 

Les fautes d'orthographe parfois un peu génantes, et quelques incohérences par rapport au fluff, mais si c'est au service de l'humour, on pardonne.

 

Continue comme ça.

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