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[Double-A&B] Sujet central


Galthor-BD

Messages recommandés

De mon côté je reste bloqué par la suite de mon opération de l'épaule, mais dès que je peux me remettre à peindre, je rattraperai mon retard rapido.

J'en ai profité pour écrire le MILOU de ma S5, je tourne en dérision mes orks pour que le fluff corresponde à ma session.

 

Après avoir vu les lootas éventrer leur chars Leman Russ pourtant si solides, avoir vu des méganobz éventrer la moitié de leurs bunkers suite à une arrivée en téléportation. Le capitaine Klaus pensait avoir touché le fond et avoir vu tout ce dont un ork est capable en particulier dans cette zone montagneuse si escarpée dont il avait la responsabilité.
Ses forces étaient au bord de l’épuisement mais les survivants continuaient à défendre leurs positions coûte que coûte. Il entendît des bruits de pas qui firent trembler le sol, tels 2 géants, des Gorkanauts approchaient difficilement de sa ligne de défense, à cause de la pente du terrain. Il vit la terreur dans les yeux de certains de ses hommes, la certitude que leur mort était imminente, et les bruits de pas résonnaient encore et encore… 
Alors qu’ il s’apprêtait à envoyer un dernier message au commandement central de la planète Gilgamesh, pour annoncer la perte définitive de sa position. Il entendît des rires éclater et pour une fois ce n’était pas des voix orks mais c’était ses hommes, il en pleura et se précipita en surface pour comprendre. Ses hommes étaient pliés en deux, pour la majorité il crût tout d’abord à une attaque chimique, la sauvagerie des orks n’avait donc aucune limite. Mais les rictus qui défiguraient les soldats étaient dus à l’amusement, les rires les poussaient aux larmes. Les bruits de pas de géants s’étaient tus. Il regardât là où le sergent Von Hart pointait son doigt et vît les 2 Gorkanauts retournés sur le dos, tels 2 tortues retournées... incapables de se relever. Ils s’étaient finalement révélés incapables de gravir les système défensif de tranchées en escalier.
« Messieurs nous mourrons sous peu mais ce ne sera pas aujourd’hui, le Mont de Kullab tient encore après 184 jours de siège, l’Empereur nous protège encore ».

 

Pour ma S6, on arrive déjà à la fin de l'aventure, ça passe trop vite...je prévois de peindre mon Big Mek Shock attack Gun et j'ai bien envie de partir sur des motards et de reprendre quelques boyz.

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Coucou, alors je vais vous faire un post avec mon MILOU de la 3ème session (que je n'avais pas encore fait...) avec des photos de Maghar-Zharr et de son K'daii inachevé, histoire de remettre en contexte ce MILOU.

 

Et dans la foulée, je vais prendre une meilleure photo de ma demi-fin de session 5 pour la poster avec son propre MILOU (j'éditerai le message dans la soirée pour faire ça)

 

PIF session 3 :

 

Maghar-Zharr-1-6.jpg  Kd-039-aii-1-1.jpg

 

MILOU de la 3ème session :

 

Révélation

Vous aurez plus tard ici même un lien pour un RdB d'une partie dont a été tiré ce MILOU.

 

  Maghar-Zharr était parti à travers les plaines désolées de Drakenmoor, la bête monstrueuse qu’il traquait devant se trouver là-bas. Il avait finalement réussi à réunir la force armée qu’il désirait pour aller capturer ce fameux monstre.

 

  Tout se déroulait sans encombre particulière depuis plusieurs jours quand Maghar-Zharr ressentit un danger proche. Grâce à ses talents de sorcier, il avait immédiatement perçu une perturbation dans les vents de magie : des démons devaient probablement être très proches !

 

  Maghar-Zharr se comportât comme le meneur d’homme qu’il était. En gardant la tête parfaitement froide, il donna en quelques secondes les ordres nécessaires aux combattants qui l’accompagnaient pour se préparer à se défendre… ou encore mieux… à attaquer ces ridicules démons qui s’apprêtaient à se mettre en travers de son chemin !

 

  Une fois mis en rang de bataille et l’ennemi en vue, tout alla très rapidement. Les nains, k’daiis, centaures et hobgobelins avancèrent impitoyablement, galvanisés par les hurlements de leur chef. Ce dernier, sentant les vents de magie en sa faveur, fit sa première démonstration de ses pouvoirs. Il lança une énorme boule de feu pour dévaster les portepestes à sa portée ! Quelques uns moururent effectivement, mais dans son enthousiasme Maghar-Zharr avait trop sollicité les vents de magie… une grande explosion se produisit… tuant deux des guerriers l’accompagnant et le blessant lui-même !

 

  Rapidement la bataille faisait rage, ces satanés démons s’avérant plus résistant qu’il ne le pensait ! La situation s’engluait, les démons tués réapparaissant petit à petit, le guerriers qui l’entouraient se battaient vaillamment, mais n’arrivaient pas à faire tourner le combat en leur faveur.

 

  Du coin de l’oeil, Maghar-Zharr vit les K’daii qu’il avait invoqués et pliés à son service qui écrasaient ces misérables amas de nurgling. « Qu’est ce que ces créatures pathétiques pouvaient bien espérer faire à ses puissantes invocations de feu ?!? »

 

  Il en hurla de rire au milieu de la bataille… avant d’être surpris par une attaque particulièrement sauvage d’une bête de Nurgle… il sombra par terre, au bord de l’inconscience…

 

  Ses combattants tombèrent finalement l’un après l’autre, ils ne pouvaient rien faire. Maghar-Zharr sentit ses dernières forces le quitter, il n’aurait même pas pu voir de ses propres yeux ce fameux squig gigantesque.

 

« Aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!! »

 

  Il se réveilla en sueur dans la chambre de sa tour à Zharr-Naggrund. Durant quelques instants, il ne réalisa pas ce qui s’était passé, où il était.

 

  Alors il compris qu’il avait fait un cauchemar pathétique. Et il se souvint que son invocation de K’daii avait échoué. Sur les trois auxquels il avait essayé de donner forme, seul un avait commencé à apparaître. Mais il n’avait pas pris forme totalement…

 

  Maghar-Zharr sortit de son lit et retourna potasser le grimoire d’invocation qu’il lisait le soir précédent avant de tomber de sommeil.

 

 

 


La PIF de mon squig inachevé pour la session 5 :

 

Squig-13.jpgSquig-14.jpg

Squig-15.jpg

 

Et son MILOU :

 

  Tout près de la sortie orientale du Col du Pic, en direction des Landes Désolées, presque rien ne poussait. Il n'y avait presque rien à se mettre sous la dent. Certes, on pouvait toujours trouver quelques hobgobelins, ou même parfois un petit convoi d'humain venant de l'Empire jusque là pour on ne sait quelle raison. Cela n'avait rien à voir avec ce qui se trouvait de l'autre côté du Col du Pic, du côté de l'Empire.

 

  Là-bas, il y avait de la verdure, on pouvait trouver toutes sortes de légumes et de fruits... et bien sûr, beaucoup d'humain,. C'était bien ça le problème, ce qui l'avait forcé à partir vers l'Est.

 

  Non pas qu'il ai peur des humains. Ces pauvres créatures sont terriblement fragiles, il n'y a rien à craindre d'eux, comme de la plupart des êtres vivants dans le Vieux Monde d'ailleurs. Mais il aimait bien le confort lui aussi. Vous aimez bien faire la sieste sans que des moustiques ne viennent perturber votre sommeil non ? Et bien lui aussi, aimait ça ! Ainsi que courir, courir le plus vite possible, jusqu'à percuter de plein fouet un obstacle. C'était un de ses jeux favoris, qui lui avait également valu des problèmes, le point de départ d'une longue complication qui lui avait fait préférer partir loin.

 

  Ce jour là, il avait couru, couru comme à son habitude, dans une direction qu'il n'avait jamais encore essayé. Dans son enthousiasme du moment, porté par la joie que lui procurait son jeu, il avait fermé les yeux en courant, pour avoir la surprise de ce qu'il percuterai forcément tôt ou tard. Il n'avait pas vu qu'il était arrivé à un village d'humain. Il le compris quand il percuta enfin quelque chose de solide : il venait de pulvériser la plus grosse maison du village...

 

  A partir de là, les humains le traquèrent. Enfin... ils essayèrent... Mais c'était tellement irritant d'être continuellement dérangé par ces ridicules mammifères qu'il décida de partir pour retrouver une vie plus agréable.

 

  Et maintenant, il se retrouvait dans cette région minable où il était obligé de manger beaucoup de viande, il n'y avait pas assez de verdure. Il n'avait rien contre un bout de viande de temps en temps, mais il préférait en général le goût des végétaux. Seulement une fois il avait trouvé une viande vraiment bonne, c'était de la viande d'elfe. Ca c'était vraiment savoureux !!

 

  Auparavant il détestait la viande d'humain, elle était tout à fait insipide. Désormais, il prenait plaisir à en manger. Non pas que ses goûts aient changé, mais cela lui faisait plaisir de se nourrir de ceux qui étaient à l'origine de toutes ces complications.

 

  Pendant qu'il pensait à tout cela, le squig colossal recrachait un bout d'os du dernier humain qui faisait partie de la caravane qu'il avait croisé il y a une dizaine de minute...

 

 

Modifié par rantan007
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Hello tout le monde,

 

Bon voici ma pitoyable contribution à la session 5, réalisée d'ailleurs après la clôture de la session... bref c'est du WIP, pour l'instant seule la peau est terminée (à voir si je la contraste plus une fois le reste fini, ainsi que l'armure sur la poitrine (le casque et les épaulières sont encore en WIP).

 

1ZI18Fd.jpg

 

Le 15/06/2019 à 23:08, kreell a dit :

Pour le couleur, perso je le verrai bien comme ça

 

Je crois qu'on s'en approche, même si ce n'était pas exactement ce que je comptais faire au début :)

 

Et le MILOU, en ligne avec mon retard.

 

"Le grand rassemblement était presque achevé. Des hordes en armures du mont Gundabad aux créatures bouffies de la lande d'Etten, ils avaient tous répondu à l'appel de la Guerre. 

Et ils le suivraient, quelle que soit la destination que leur Maître leur indiquerait. Les Elfes arrogants cachés dans leur tanière du fond des bois ? Les Hommes misérables qui survivaient au milieu du Lac ? Les Nains qu'il haïssait plus que tout ? Nul ne pouvait plus se mettre en travers de leur route.

 

Et ceux qui essaieraient devraient désormais faire face aux meilleurs machines à tuer que leur maître ait jamais lâcher sur le Monde. Le Grand Nécromancien était enfin parvenu a créer des Trolls d'une force incommensurable, pouvant marcher au grand jour.

 

Les esclaves travaillaient sans relâche depuis des jours pour forger des armes et armures à leur taille. Bientôt, il seraient prêt à marcher sur leurs Ennemis."

 

Bon courage à tous pour cette dernière session !

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C'est moi ou y'a une grosse baisse de motivation dans ce CDA ? 

Beaucoup d'abandons/sessions non finies...

Bon certes juillet-août c'est pas la meilleure période pour peindre mais bon...

Comment on pourrait remédier à ça ?

Des petits challenges ?

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il y a 48 minutes, Letchaï a dit :

Comment on pourrait remédier à ça ?

Je ne vois qu'une chose a faire, fouetter l'chef! :D :D:D

 

Je ne sais pas si des challenges/défis pourraient relancer la motiv ou au contraire enfoncer encore plus.

P'tet qu'en passant tous faire plus de coucou aux copaings qui peinent a se motiver ça les boosteraient davantage

 

De mon côté chui a fond, je compte bien tenir le planning, mais je comprends que les aléas de la vie peuvent chambouler la motiv'

 

Allé les gars! on se sort les pinceaux du ... ! :D

Modifié par kreell
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Hello

 

Citation

C'est moi ou y'a une grosse baisse de motivation dans ce CDA ? 

Beaucoup d'abandons/sessions non finies...

Bon certes juillet-août c'est pas la meilleure période pour peindre mais bon...

Comment on pourrait remédier à ça ?

Des petits challenges ?

Après, c'est au MdA et aux modos de relancer les retardataires, mais comme parmi les retardataires il y a aussi…. Le MdA et des modos… Comment dire… Heu…. :wink2::P:innocent:

 

Et je ne suis pas fan des challenges, surtout en fin de CDA, ça risque plus d'enfoncer les retardataires qu'autre chose… -_-

 

Citation

P'tet qu'en passant tous faire plus de coucou aux copaings qui peinent a se motiver ça les boosteraient davantage

En même temps, quand y'a plus rien de neuf à commenter depuis 1 ou 2 mois… X-/

 

Allez, bon courage à tous! :wink:

Modifié par tueur nain
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Ben écoutez franchement je fais le tour des sujets, et pour ma part je suis plus que satisfait !

Beaucoup ont fini leur Session, souvent avec des résultats fabuleux. Quelques-uns n'ont pas terminé mais ne repartent pas les mains vides (même moi je suis quand même content de mes petites avancées).

Deux ou trois n'ont pas trop bossé mais ne veulent pas lâcher l'affaire, et vont faire une dernière Session géniale, j'en suis sûr.

Il y a par contre un abandon, le malheureux mais valeureux @sly_de_lille emporté par une attaque foudroyante de glandite aigüe, la pire maladie du figuriniste.

Y a même Antares et Glamorgath qui ont trouvé le moyen de s'engueuler, c'était marrant !

 

Bref je suis plutôt content, j'espère que vous aussi, il nous reste une Session pour bien se marrer et passer encore un peu de temps tous ensemble. La bise à tous, faut que j'aille poster dans mon sujet.

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Hello les frutos,

je suis a la bourre pour ma session 5. Enfin pour les photos. ?

j'ai Pas reussis à faire de belles photos Maîs je vais vraiment faire mieux pour la fin de session 6 Et le final.

tout de suite le PIF :

 

1565187246-image.jpeg

 

Le MILOU :

 

" Dans un vrombissement assourdissant, le taxi survolait les ruines de la la jadis florissante ruche. Les combats avaient quasiment aneantis toutes les infrastructures et les forces de defense planétaire avaient jugé opportun de faire sauter les piliers de soutènement supérieurs lorsqu'ils furent débordés par les révoltés ... Leur general etait toujours dans la sarcophage de questionnement du frère darsoul. La punition était à la hauteur de l'erreur. Il n'avait plus rien à avouer Maîs les excruciateurs continuerait de le faire souffrir pendant des années. Ils approchaient de la dropzone. Les premiers tirs de barrage secouaient la carlingue. Mais le taxi tiendrait bon. Encore une tour à contourner et ils découvraient la zone ou s'était retranchée l'équipe du sergent Valdes. Les survivants avaient du s'extraire des ruines à coup de bombe à fusion. Combattant à main nue les horreurs qui grouillaient dessous. Maîs aucun frere n'était jamais laissé derriere.  Il était temps. Quelques bordées de bolter Et de canon d'assaut firent disparaître dans des nuages de sang et d'os la marée de mutant qui chargeait le dernier carré de l'escouade Valdes. 

en  quelques minutes les deux marines qui tenaient encore debout furent à bord ainsi que les corps des blessés et des morts. Apres un dernièr regard sur ce monde perdu, le pilote ouvrit les communications - tout le monde est à bord seigneur inquisiteur. Vous pouvez lancer l'exterminatus. Puis il redressa l'appareil et le dirigea vers l'athmopshere et la nuit éternelle du vide"

 

Le BOUM :

J'ai peint quelques marines d'assaut avec l'idée d'aimanter les backpacks. J'ai terminé aussî mon dernièr pretre, une banniere Et einsenhorn. J'ai eu bcp de mal pour terminer les SM. C'est du de peindre une gurine qu'on a sur son bureau depuis des années en se disant qu'elle verrait plus les tables de jeu Et qu'elle est encore plus obsolète que mon iPad... Ça me servira de lecon dans mes achats. Je comprends ce qu'on ressenti les joueurs battle avec la sortie d'AOS...

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Modifié par fracassor
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Qui a dit qu'il n'y a pas de motivation ?! 

 

Voilà ce que j'ai peint depuis le début. Et j'en suis super content ! Même si mon château n'est pas encore peint, JE LÂCHERAI RIEN !

 

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OK, je suis un peu à la bourre sur ma session 4 et 5 mais c'est qu'un coup de peinture...

 

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Tout est encore possible !

 

Les nains sont des résistants, qui relèvent la tête encore et encore, et qui lâchent pas un pouce de terrain face à des gobs, des space marines et des sales stormtroopers !

 

GRUGNI !!

 

 

 

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Superbe travail Marell, je récupère un peu de motricité et j'ai bon espoir de reprendre la peinture d'ici 10 jours pour finir ma session avant fin août.

j'ai pu me remettre à fair un peu de montage moulage hier, ça fait du bien au moral.

 

Je compte me mettre à la peinture avec la nouvelle gamme contrast, mais je n'arrive pas à savoir si ma bonne vieille sous-couche blanche convient, quelqu'un sait?

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Voilà enfin ma PIF et mon MILOU. Après, je vous poste le bilan de Session.

N'oubliez pas d'aller poster vos photos et textes dans le sujet qui se trouve en armées multiples, il fait partie des vitrines de notre activité commune !

 

 

 

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Prologue – Dans les ténèbres

Révélation

 

La Bête cligne des yeux, lentement, paresseusement. Elle savoure entre ses dents le liquide nourricier dans lequel elle baigne. Les mouvements du fluide la caressent et stimulent doucement les multiples terminaisons nerveuses qui constellent sa peau laiteuse.

 

Ces sensations apaisantes pourraient plaire à la Bête, mais rien n’a été prévu pour qu’elle puisse ressentir du plaisir. Pour tout dire, elle ne ressent rien. Son esprit est fort, néanmoins. Mais il reste tapi dans les ombres, tout comme son corps, recroquevillé, comme étouffé par quelque chose de plus puissant, de plus important.

 

Sans prémices, la matrice se déchire soudainement. Le flot nourricier qu’elle contenait se répand sur la paroi chitineuse qui recouvre la salle d’incubation, entraînant avec lui l’être qui somnolait en son sein.

 

La Bête cligne des yeux à nouveau, en raclant le sol avec ses griffes. Un hurlement instinctif monte dans sa gorge, mais il s’efface quand son être s’ouvre enfin à la conscience. En un instant, des millions d’esprits l’envahissent et l’accueillent.

  

Sans une hésitation, la Bête se redresse, et se dirige vers la lumière.

 

 

Chapitre 1 – Le vaisseau

Révélation

 

Gêné par les câbles de la partie haute de la console, Mauris pestait, comme à son habitude, contre la machine, la lumière, le vaisseau, les pilotes, tout ce qui lui passait par la tête. A côté de lui, Genloui notait les réactions de la machine sur sa tablette d’entretien, sans tenir compte des injures qui sortaient de la trappe d’accès. Technicien de niveau 4, il avait l’habitude de travailler avec des collaborateurs de toutes sortes. Mauris n’était pas le plus compliqué à gérer, loin de là, ce câbleur obtenait généralement d’excellents résultats. À condition qu’on n’essaie pas de lui faire la conversation.

 

Après une dernière salve de jurons, Mauris rebrancha le câble d’alimentation principal en marmonnant instinctivement le verset de purification sensé apaiser et remercier l’esprit de la machine. Il n’hésitait pas à affirmer haut et fort, notamment à la cantine ou au cours des réunions trihebdomadaires, qu’un psaume ne remplace pas une burette d’huile ou un connecteur neuf. Notamment lorsque le sous-intendant du pont listait les économies qui pourraient être faites sur les fournitures du vaisseau. Mais, plus que la foi, Mauris avait comme tout le monde son lot de superstitions et de croyances plus ou moins assumées.

 

La console émit une série de couinement lorsque les fluides chassèrent l’air qui avait envahi ses artères, puis elle redémarra et retrouva son ronronnement habituel. Toujours allongé dans la cavité étroite qui permet d’accéder aux entrailles de la machine, Mauris attendit quelques instants en écoutant attentivement le grondement familier. Lorsqu’il se sentit pleinement satisfait par les réactions de la console, il commença à s’extirper du conduit.

 

-          Bordel, Genloui, tu pourrais m’aider quand même ?

 

Les technicos, ils ont quoi ? Trois ou quatre ans d’études en plus, une vareuse avec des boutons brillants, et surtout même pas le courage de se pencher pour venir en aide à un camarade. Voilà ce que pensait Mauris en s’agrippant à ce qu’il pouvait, pour extraire ses jambes puis le reste de son corps.

En fait, il l’avait pensé tellement fort, qu’il l’avait peut-être bien dit à voix haute.

Lorsqu’il se redressa, en préparant une version moins pacifique de son avis sur les techniciens, il se retrouva seul dans le couloir d’entretien.

 

-          Non mais… Il s’est barré, murmura Mauris avec des yeux ronds. C’est interdit, ça, hé le technicos !

 

Il braillait carrément, cette fois, en ramassant ses outils.

 

-          Cette fois, on te ratera pas ! On va pas te rater mon pote ! continua-t-il à hurler dans le couloir vide, en s’éloignant vers le sas d’accès.

 

Le câbleur ouvrit le sas et éteignit l’alimentation du couloir, plongeant dans le noir la longue galerie d’entretien. La trappe du sas se referma derrière lui, abandonnant le couloir au ronronnement des machines.

Sur le sol, à quelques mètres de la console, la tablette d’entretien de Genloui clignotait dans le noir.

 

 

La Bête avait attendu, longtemps, en parcourant en silence les couloirs d’entretien du gigantesque vaisseau. Elle avait appris. Elle avait compris les rites du vaisseau, les rythmes, les parcours, les fonctions. Elle s’était nourrie avec parcimonie, sélectionnant avec soin les proies qui pourraient disparaître sans affecter le fonctionnement du vaisseau et sans trop inquiéter les autres animaux qui en parcourent les coursives. Elle avait étudié avec soin les corps de ses proies, comprenant et maîtrisant peu à peu leurs fonctions vitales, leurs organes, leur psychisme. Ça avait été long, mais elle avait fini par percer les secrets de leur esprit.

 

Aujourd’hui, elle avait pris davantage de risques.

Ses griffes, plantées dans le cerveau de sa proie, avaient sectionné des zones précises de l’organe, privant l’animal de la parole et du mouvement, mais le maintenant en vie.

 

La Bête savait qu’on chercherait l’animal, parce que celui-ci était important, plutôt rare. Mais le vaisseau se passerait de lui, et finirait par l’oublier. Il était important, mais sans l’être trop. Oui, elle avait pris tout son temps pour le sélectionner. Elle allait maintenant s’appliquer à sonder l’esprit et la mémoire de sa proie. Il lui fallait tout connaître de lui. Son passé, sa vie. Ses rêves, ses besoins, ses envies. Ses croyances, ses peurs, ses déviances.

Parce qu’un jour, le vaisseau allait rejoindre une planète au sol recouvert de myriades de proies. Et parce que ce jour-là, la Bête devrait être prête à commencer la collecte.

 

 

Chapitre 2 – En famille

Révélation

 

Silvia se pencha sur le berceau, sans faire un bruit, en se mordillant la lèvre. Elle murmura :

 

-          Ils dorment enfin…

 

De l’autre côté de la pièce, sous l’unique fenêtre de l’appartement, Bernar profitait des dernières lueurs du jour pour démonter l’alimentation de l’un des servo-bras de sa combinaison, et nettoyer les petits éléments, à la recherche de ce qui provoquait d’agaçants grésillements depuis plusieurs jours.

 

-          C’est pas dommage ! dit-il. Ils cassent bien les oreilles ces deux-là.

-          Tais-toi, idiot, dit Silvia avec un sourire, en lui passant la main dans les cheveux.

 

Elle savait très bien que Bernar était, comme elle, fou d’amour pour leurs deux bébés. Ils les avaient tant attendus, ces deux-là ! Après plusieurs fausses couches, ils s’étaient presque résignés. Le seul couple du bloc à ne pas avoir d’enfants… et aujourd’hui, ils en avaient deux.

 

Silvia commença à débarrasser la table. Comme elle en avait pris l’habitude, elle passa le doigt dans le fond des assiettes, puis elle le suçota pour ne rien laisser, ne pas jeter la moindre trace d’aliment. Elle était mère, maintenant, elle ne pouvait pas se permettre le moindre gaspillage. Elle se devait d’être forte, et de tout faire pour que ses enfants aient les meilleures chances de survie. La vie était difficile ici. Une vie faite de travail, de sacrifices, de douleur.

Lorsque le doc lui avait annoncé qu’elle attendait des jumeaux, Silvia avait un peu paniqué. Mais les bébés avaient changé sa vie. Elle se sentait plus forte, plus conquérante, plus précieuse que jamais.

 

Après avoir déposé la vaisselle dans le caisson de nettoyage, Silvia revint vers Bernar, et le prit dans ses bras. Le mari continua son travail comme si elle n’était pas là, mais elle savait qu’il appréciait l’étreinte. Elle regarda par la fenêtre. Un énorme cargo spatial venait de percer les nuages, et amorçait sa descente vers le spatioport.

 

-          Celui-là, il est pour moi demain ! dit Bernar. C’est curieux, on l’attendait depuis plusieurs jours.

-          Dis… Nos bébés… Tu crois qu’ils auront leur chance ? Qu’ils seront heureux ?

 

Bernar posa son tournevis, et leva les yeux vers les nuages. Le vaisseau avait allumé ses rétrofusées et entamé son approche. D’une taille fabuleuse, l’appareil transportait des millions de conteneurs. Sur beaucoup d’autres planètes, il aurait fallu organiser un déchargement par navettes, long et coûteux. Mais ici, on savait gérer ce genre d’engins. Les équipes de nuit allaient ouvrir les immenses panneaux latéraux du monstre de métal et, demain, les équipes de jour trieraient et débarqueraient les conteneurs. Il suffirait de quatre ou cinq jours pour retirer au vaisseau la moitié de son poids.

Bernar faisait partie d’une équipe de jour.

 

-          Ne t’inquiète pas, répondit-il à sa femme en prenant sa main. On y arrivera.

 

Le vaisseau, de plus en plus énorme, enclencha sa deuxième salve de rétrofusées pour stabiliser et ralentir sa chute. Le grondement devint plus fort, et les parois de l’appartement commencèrent à vibrer.

Dans le berceau, l’un des bébés se mit à gigoter puis à gémir.

 

-          Oh non, dit Silvia, ils me les ont réveillés !

 

Elle s’approcha du berceau. Les yeux grands ouverts, l’un des enfants réclamait à manger de plus en plus bruyamment.

 

-          Je suis là mon chéri, maman est là.

 

Elle remonta la manche de sa tunique, et commença à retirer un bandage qui entourait son avant-bras. Sous le bandage, la peau était percée de multiples trous et fentes, plus ou moins cicatrisés. La chair, boursouflée et violacée, devait la faire horriblement souffrir.

Elle se pencha sur le berceau et tendit son avant-bras. Avec voracité, l’un des bébés se projeta en avant et vint planter ses crocs dans le bras tendu. Le sang gicla jusqu’au visage de Silvia, qui regardait la scène avec un amour infini. S’agrippant à l’avant-bras avec deux de ses pattes, le bébé commença à suçoter goulûment le sang et le pus.

 

Ayant délaissé son travail, Bernar vint lui aussi se pencher sur le berceau, et commença à déboutonner sa combinaison. Le second enfant réclamait sa part.

 

-          Ils sont beaux, hein ? lui dit sa femme.

-          Oui. Magnifiques.

 

 

Chapitre 3 – Espace

Révélation

 

Le vaisseau glissait silencieusement dans l’espace. Immense, presque aussi grand qu’une planète, il était pourtant une créature vivante, au cerveau incroyablement petit, si on le comparait à sa masse fabuleuse. Des relais synaptiques innombrables créaient un réseau neuronal qui démultipliait les maigres capacités mentales de la créature.

 

Propulsé grâce à l’énergie venant de la combustion de sa propre matière, le vaisseau agonisait. Chaque seconde qui passait lui arrachait un peu plus de vie, un peu plus de chair, tandis qu’il s’automutilait pour alimenter ses puissants réacteurs organiques.

 

Quoi de plus normal ? Il avait connu mille vies et mille morts. Il s’était parfois consumé, consommé, jusqu’à ne plus être qu’une coquille presque vide, aveugle et froide, aux portes de la mort. Il lui était même arrivé de dériver dans le vide interstellaire pendant si longtemps que des civilisations avaient eu le temps de naître, de prospérer, et de disparaître.

 

Mais quand on est le vaisseau, on ne s’interroge ni sur le temps, ni sur la distance. Ni sur la peur ou la douleur. Même la survie n’a pas vraiment de sens.

 

Le vaisseau vivait. C’était tout.

 

Un capteur de surface se mit à frémir, et transmit au réseau synaptique un court message électrique. Un signal lointain, fugace, sans objet, venait de réveiller une conscience éteinte depuis longtemps. Le vaisseau se mit à frémir à son tour. Pour la première fois depuis des siècles, il éveilla instantanément, instinctivement, des processus chimiques et biologiques dont il ne connaissait même plus l’existence.

 

Quel était ce signal ? Avait-il un sens, un but ? Avait-il été envoyé par l’un des éclaireurs de la ruche ? Avait-il été créé par le mouvement d’une flotte lointaine, ou émis par une planète cherchant à en contacter une autre ?

 

Aucune importance pour le vaisseau. Porté par l’instinct, il amorça un changement de direction pour suivre le signal. Au même moment, des codes génétiques spécifiques étaient injectés dans les immenses forges organiques du vaisseau-ruche. Les réserves de fluide primaire bouillonnaient déjà, activées par d’antiques procédés biologiques. Dans les heures qui suivraient, des chambres d’incubation commenceraient à s’y former. Elles viendraient se greffer à la structure du vaisseau. Dans les mois qui suivraient, des myriades de créatures seraient fabriquées dans les incubateurs. La ruche allait créer tout ce dont elle avait besoin, depuis les microscopiques spores allergisantes qui ensemenceraient leur futur monde-proie, jusqu’aux gigantesques bio-vaisseaux qui mèneraient les guerriers de la ruche au contact des éventuels navires ennemis.

 

Mais pour le moment, alors que le vaisseau s’efforçait de calculer la meilleure trajectoire pour économiser ses forces, une sensation éteinte se réveillait également en son sein. Il avait faim.

 

Une faim dévorante, primitive, effarante, plus puissante que toutes les sensations que pouvaient ressentir les autres créatures de l’univers.

 

 

Chapitre 4 - Couloir 7

 

-          Prends un peu d’eau.

 

Rober me tendait une tasse cabossée. Je n’avais même pas remarqué qu’il s’était approché. Tu parles ! Trois jours d’affilée sans dormir, à surveiller deux couloirs et huit points d’entrée possibles. J’étais si fatigué que je n’étais pas complètement sûr d’être utile au groupe, en fait.

Je pris la tasse, en essayant de me concentrer pour limiter les tremblements de ma main.

 

-          Ça va ? me dit-il. Tu tiens le coup ?

 

Je crois bien que je ne lui ai pas répondu.

L’attaque avait commencé quatre jours plus tôt. Des messages avaient été diffusés partout, par vox-drones, pour annoncer l’approche d’une flotte ennemie et imposer la conscription immédiate de toute la population adulte du secteur. Du délire ! On n’avait jamais connu ça, au point que pas mal d’entre nous avaient cru à un canular. Il faut dire que, depuis plusieurs mois, des hackers avaient provoqué pas mal de dégâts dans les systèmes de communication et de propagande du gouverneur Manumakron.

On trouvait ça plutôt marrant, à l’époque.

 

-          Ça bouge, ou pas ? ajouta Rober en clipsant son bolter sur la rampe anti-recul.

 

Qu’est-ce qu’il me racontait celui-là ? Si ça avait bougé, on serait sûrement déjà tous morts. Je lui répondis quand même cette fois-ci. Je sais bien que c’est à cause de la fatigue (et de la flippe ?) que j’aboie sur tout le monde en ce moment.

De quoi je vous parlais, au fait ? Ah oui, les hackers. D’après Gisel, la fille qui vient du secteur 8, il y avait là-bas une espèce de secte qui recrutait dans les zones basses de la cité. Des gens bizarres qui se rasent le crâne, parlent de fin du monde, de renouveau, toutes ces conneries-là. Elle est sûre que les choses qui nous sont arrivées viennent de ces gens-là.

Moi, je n’y crois pas. Des gars de chez nous, qui ouvriraient nos portes à des monstruosités spatiales ? N’importe quoi.

 

Le truc bizarre, c’est que nos défenses orbitales sont tombées super vite. Il y en a qui disent que les lasers orbitaux n’ont même pas tiré. Du délire, je vous dis. Nous, on a fait comme on a appris. Rassemblement au poste militaire de secteur, distribution de flingues, de gilets et de casques, répartition dans les unités locales de défense. On a l’habitude, tout le monde s’entraîne à ça, c’est normal.

Sauf qu’il y a eu des explosions. Au moins quatre ou cinq dépôts d’armes et de carburant du secteur ont cramé, tous en même temps.

Une heure après, les incendies n’étaient même pas éteints, quand le ciel est devenu noir, rempli de choses venues de l’espace. Des milliers, des millions de bêtes immondes nous ont dégringolé dessus.

 

Je crois bien que tous les gens que je connaissais sont morts.

 

-          Ffft… Couloir 7. En approche.

 

Rober peut être pénible, mais son oreille est bien meilleure que la mienne. Son flingue aussi, d’ailleurs, ce qui m’ennuie davantage. Je tournai mes yeux et ma pétoire vers le couloir 7. Je sentis mon crâne bourdonner, comme à chaque fois que la peur vient me retourner le ventre. Ça avait au moins le mérite de me réveiller.

Dans le couloir, des cliquettements commencèrent à me parvenir. Discrets, légers, comme si on piquait de petites aiguilles sur la surface bétonnée du passage. J’enlevai la sécurité de mon fusil laser, très très lentement.

 

La chose déboucha dans le couloir. Elle nous tournait le dos pour le moment. On aurait pu croire que c’était un homme. Mais alors, un homme à quatre bras, avec des serres longues et pointues comme des couteaux de cuisine. Le crâne chauve, parcouru de veines saillantes. Merde.

Il se tourna et nous vit immédiatement, juste avant que je ne lui perce un trou en plein milieu du crâne. Rober a de bonnes oreilles, moi c’est les yeux. J’avais tiré sans même y penser. La chose s’effondra en poussant un hurlement ignoble. Comme en écho, des hurlements semblables envahirent le couloir d’où était venu le monstre. La seconde d’après, un flot d’hommes-bêtes débouchait, à 50 mètres à peine de notre position. Le bolter de Rober se mit à cracher au milieu de la horde, déchiquetant bras et corps avec des bruits immondes.

Je l’attrapai par le bras et me mis à brailler.

 

-          Qu’est-ce que tu fous Rober ! C’est pas le plan !

 

Il décrocha son bolter de la rampe, tout en continuant à tirer. Le recul de l’énorme arme devait lui faire un mal de chien.

 

-          Rober ! Bordel, faut y aller !

 

Il continuait à tirer mais, chez l’ennemi, chaque mort était remplacé par deux autres monstres, qui grimpaient sur les corps en glissant dans la mare de fluides vitaux qui s’étalait peu à peu. Rober était comme fou. Inarrêtable. Je m’enfuis.

J’eus à peine le temps de me réfugier dans le conduit d’évacuation. Les monstres atteignirent le piège, et déclenchèrent l’explosion des mines à fragmentation qui étaient réparties dans tout le couloir. Je crois qu’on avait un peu forcé la dose, parce qu’une partie du plafond s’effondra peu après l’explosion.

 

Je ne connaissais pas bien Rober, mais j’étais sacrément embêté. Je crois que c’était quelqu’un de bien.

Je suis retourné dans l’abri. Ils avaient entendu l’explosion, mais il a fallu tout expliquer. Et puis les rassurer, et puis organiser la suite. C’était pas facile. J’avais tellement mal au crâne.

 

J’étais tellement fatigué.

 

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Bilan session 5

 

Salut à tous ! Petit bilan une douzaine de jours après la fin de la session. N'hésitez pas à signaler si vous avez l'impression que mon jugement n'est pas correct (il y a des choses qui ont pu m'échapper). Comme toujours, ce n'est pas un jugement de valeur, c'est juste pour voir où tout le monde en est, donner une photographie du projet alors que nous attaquons, ça fait drôle de le dire, la dernière Session de notre belle aventure collective.

 

J'en profite pour vous redire que vous pouvez poster vos belles photos et vos MILOUs somptueux dans le sujet qui se trouve en armées multiples.

Profitez-en, c'est une vitrine qui ouvre les portes de la section CdA à toutes sortes d'autres visiteurs.

 

En vert ce qui est bel et bon, en rouge les lamentables et miteux échecs. Pas facile à faire, ce bilan, parce qu'on n'est finalement pas si nombreux que ça à avoir finalisé la Session et à avoir posté nos résultats ici ! Mais je rappelle que l'objectif n'est pas forcément de tout finaliser, mais de faire de son mieux, d'être présent tout au long du projet dans notre sujet et dans celui des autres, de poster régulièrement des avancées, aussi courtes soient-elles.

 

Équipe Framboise

@Galthor-BD Non terminé MILOU PIF
@Elwin Non terminé MILOU PIF
@Koshon Parfait !
@BadKarma Non terminé (mais presque) MILOU PIF
@Orphée Non terminé MILOU PIF
@marell le fou Non terminé MILOU PIF
@el julian Parfait !
@ZibZee Terminé MILOU PIF
@fracassor Parfait !
@Jaeckel Non terminé MILOU PIF
@fanfanzevich Non terminé MILOU PIF
@Rincevent Parfait !

@blackdeath2 Parfait !

3 abandons

 

Équipe Groseille

@thyrio Non terminé MILOU PIF
@kreell Parfait !

@Letchaï Parfait !
@Antares Parfait !
@rantan007 Non terminé MILOU PIF
@Azyris Non terminé MILOU PIF
@KeLeSangKoule Non terminé MILOU PIF
@sgt_pepper Non terminé MILOU PIF
@dantedecryde Non terminé MILOU PIF
@Skalf Parfait !
@le toy Non terminé MILOU PIF

@tueur nain Parfait !

@Glamorgath Non terminé MILOU PIF
4 abandons

 

Candidats libres

@Titoujah  Non terminé

@roron parti chez l'ennemi !
1 abandon

 

Globalement, on va dire que 12 participants ont finalisé ou presque, sur 26 survivants. Nous en sommes à 7 abandons, et 3 d'entre nous sont au bord du gouffre, alors que la fin est si proche. Je compte sur eux comme sur vous tous pour faire une dernière session bien plus fabuleuse.

 

La Session GROS était excitante, mais aussi très exigeante. Elle aboutit à pas mal de très beaux résultats, y compris chez ceux qui n'ont pas terminé mais sont, pour beaucoup, dans une bonne dynamique pour finir.

Je suis par contre un peu déçu de voir qu'il nous manque 10 MILOUs, alors que, comme vous le savez, je ne suis pas du tout exigeant sur ce point. 2 ou 3 lignes suffisent à marquer le coup. Un effort, tout le monde, franchement, ça peut être fait en 5 minutes, si vous n'aimez pas ça ou n'avez pas le temps.

J'aimerais bien voir un joli MILOU final dans tous les sujets en fin de Session 6.


Que nous reste-t-il les amis ? La plus belle de toutes les Sessions, car c'est la dernière. On se sépare dans 2 mois. On ne peut pas être en dessous.

 

Je l'ai déjà dit à plusieurs d'entre vous, voici ma proposition. Pour cette dernière Session, vous pouvez si vous le souhaitez terminer toutes les figurines commencées depuis le début du CdA. A quoi bon démarrer une nouvelle unité, si vous en avez déjà 15 qui ne sont pas terminées ? Rappelez-vous que la photo finale a un enjeu sympa, et que vous ne pourrez y mettre que les figurines terminées !

Il est, de plus, indispensable et obligatoire de terminer votre HÉROS si ce n'est déjà fait.
Et pour ceux qui ont tout fini, toujours dans les temps, et qui font les kékés, eh bien faites-vous plaisir avec une dernière Session dans laquelle vous pouvez mettre ce que vous voulez.

 

A la fin de cette Session, j'aimerais que chacun d'entre vous fasse un bilan personnel de cette année commune, en donnant notamment votre avis sur le projet et sur la façon dont je l'ai géré.

Allez les amis, plaisir, plaisir, pour finir !

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Et oui dernière ligne droite !

Le sprint final !

Vivement les photos finish de toutes ces superbes choses qu'on aura vu au cours de ces 12 derniers mois, ça va tabasser ?

 

Sinon, question pour me la péter un peu ? : on est combien à n'avoir raté aucune session ?

☝️

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Il y a 9 heures, Galthor-BD a dit :

Sinon, question pour me la péter un peu ? : on est combien à avoir raté toutes les sessions ?

☝️

 

WOUHOU ! Une grande ovation pour Galthor, notre maître à tous ! Grâce à son temps passé sur nos posts au lieu de le passer sur ses figs, l'ambiance est bonne et les participants sont brimés et complexés à chaque fin de session par un beau tableau avec plein de rouge ! :D

 

Et au passage, je viens de lire ton MILOU et j'adore toujours autant ! Je vous fais le mien très bientôt pour la S5.

 

Et en attendant, voici ma PIF pour la session 6, puisque mes Arquebusiers sont bouclés. Je repousse le MILOU 6 à la date prévue, pour éviter d'en faire deux coups sur coups. Et puis mes architectes nains sont en train de peindre la dernière couche à l'intérieur de leur nouvelle forteresse... :)

 

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Modifié par marell le fou
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PIF et MILOU session 5

 

J'ai traîné pour pouvoir sortir une photo "propre" que je n'ai jamais faite ?

 

Du coup je propose une PIF faite sans la tête réalisée durant la session devenue introuvable, et une seconde avec la tête reçue depuis le début de la S6.

 

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le MILOU

 

 

 


La maisonnée des Wardens of Myrmida était depuis des millénaires chargées de la défense d'une forge située au pôle de la planète.

Lors de l'attaque du chaos sur le système de Fenris, malgré le courage et l'abnégation des chevaliers, la forge fût perdue: les magos préfèrèrent l'auto-détruire que la livrer aux forces de la Ruine qui prenaient le dessus.

Grâce à l'intervention d'une force rapide des Space Wolves, de nombreux membres de la maisonnée purent cependant être sauvés. Ils décidèrent alors de jurer serment d'assistance au chapitre et sont depuis souvent vus sur les champs de bataille prêter main forte aux attaques des fils de Russ.
 

 

 

Modifié par BadKarma
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Le 13/08/2019 à 15:42, Galthor-BD a dit :

 

Sinon, question pour me la péter un peu ? : on est combien à avoir raté toutes les sessions ?

☝️

 

? 

Encore quelques jours de vacances pour moi, loin des pinceaux et d’une connexion Internet correcte. Ma session est un échec, la canicule, les applats interminables et les plaisirs de l’été ont eu raison de ma motivation, j’en suis le premier désolé... Je me remets au boulot dès la semaine prochaine, et je vais essayer de finir le maximum de choses durant la dernière session. Bravo à tous pour vos sessions, il y a de très belles figurines. A+

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