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[Double-A] L'appel de la Bête


Galthor-BD

Messages recommandés

Le 15/05/2019 à 04:50, marell le fou a dit :

J'aime la poutre qui dépasse d'un coté. Il est dur

Bon déjà désolé, mais sur un autre sujet que le sien Galthor ne se serait pas géné pour relever et amplifier cette phrase^^ Je ne fais que la souligner ;)

 

Super rendu de ton socle et super pas à pas pour nous montrer ta méthode, c'est cool !

 

Ta mission pour la fin de cette session c'est de finir cette fig et de rattraper ton retard en boum, allez, au taf !!!

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Il y a 12 heures, Galthor-BD a dit :

Le socle est tout de suite moins imposant quand la bête commence à s'y installer...

Moins imposant, mais ça met vraiment bien la bête en valeur (même, pas finie ? )

 

Et merci pour le tuto !

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Moi je trouve que l'avancée est belle. Allez, t'arrives à aller quand même assez vite ! Persévère et ça donnera quelque chose !

 

Merci pour le tuto, j'aime bien l'avoir lu également. T'en fais une quantité de brossages et autres touches de couleurs après ton gris et ton brun, dis donc.

 

 

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Roh salut tout le monde, j'ai un peu foiré mon auto-défi, mais qui est capable de réussir de tels exploits ?

 

Voici en tout cas l'avancée d'hier, les premiers éclaircissements de peau. J'ai également enfin fini de gratter les pattes, elles sont sous-couchées avec la tête (alouette).

Photos moyennes...

 

carni3c.jpg

 

carni3d.jpg

 

carni4a.jpg

 

C'est tout ? Oui ma denrée. Mais je vous fais une bise. Comme on dit dans les Cités d'or, au revoir, à bientôt.

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Bon sang, ça a beau être juste un wip, ça en jette déjà. Je plussoie Thyrio, tu as vraiment un talent certain pour les socles.

Je tiens aussi à te féliciter pour ton travail sur tes couches de bases. Tu passes suffisament de couches pour avoir un base bien propre et ça s'en ressent sur la suite de ton travail. Tu perds certes en productivité, mais tu produis de la qualité... Comme un artisan qui aime son métier quoi.

Mais allez, au boulot, il y a un deuxième Carnifex qu'on veut voir après!

 

 

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Bonjour Galthor , un petit passage pour voir où tu en es... 

Les photos précédentes étaient porteuses de promesse mais la source vient à se tarir ?

 

Bon courage pour la dernière ligne droite. 

 

Skalf

 

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Argh je suis à la bourre !

Désolé pour le trou dans les messages postés, mais il me reste deux jours pour finir, autant dire que c'est bien engagé ! Heu...

 

J'ai avancé sur la peau des bras et de la tête... Allez, allez, au boulot !

Merci pour les encouragements.

 

carni4b.jpg

carni4c.jpg

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Salut tout le monde !

 

Boah non, ce n'est pas trop compliqué de peindre sur grappe, c'est plutôt pratique. Pour la sous-couche, et pour peindre les morceaux sans les tenir avec les gros doigts.

C'est juste un peu compliqué de recoller les morceaux sur le bout de grappe sans abîmer le plastique, je choisis les extrémités qui seront invisibles après assemblage final. A une époque je tigeais avant de coller sur la grappe, mais maintenant j'ai la flemme, je mets une goutte de super glue.

 

A part ça, je vous annonce que je suis en retard ! Oui je sais, personne ne l'avait vu, mais j'ai pensé que ça finirait par se savoir. J'ai bossé comme un fou sur la figurine ces derniers jours. Je vous montre le résultat actuel. La peau est terminée. Je suis content, parce que c'est la partie la plus longue et contraignante.

 

carni5a.jpg

 

carni5b.jpg

 

carni5c.jpg

 

carni5d.jpg

 

carni5e.jpg

 

Je suis assez content du rendu... mais comme vous pouvez le constater, il reste "un peu" de travail.

 

Voici quand même mon MILOU, c'est déjà ça ! Accompagné des chapitres précédents.

 

Prologue – Dans les ténèbres

Révélation

 

La Bête cligne des yeux, lentement, paresseusement. Elle savoure entre ses dents le liquide nourricier dans lequel elle baigne. Les mouvements du fluide la caressent et stimulent doucement les multiples terminaisons nerveuses qui constellent sa peau laiteuse.

 

Ces sensations apaisantes pourraient plaire à la Bête, mais rien n’a été prévu pour qu’elle puisse ressentir du plaisir. Pour tout dire, elle ne ressent rien. Son esprit est fort, néanmoins. Mais il reste tapi dans les ombres, tout comme son corps, recroquevillé, comme étouffé par quelque chose de plus puissant, de plus important.

 

Sans prémices, la matrice se déchire soudainement. Le flot nourricier qu’elle contenait se répand sur la paroi chitineuse qui recouvre la salle d’incubation, entraînant avec lui l’être qui somnolait en son sein.

 

La Bête cligne des yeux à nouveau, en raclant le sol avec ses griffes. Un hurlement instinctif monte dans sa gorge, mais il s’efface quand son être s’ouvre enfin à la conscience. En un instant, des millions d’esprits l’envahissent et l’accueillent.

  

Sans une hésitation, la Bête se redresse, et se dirige vers la lumière.

 

 

Chapitre 1 – Le vaisseau

Révélation

 

Gêné par les câbles de la partie haute de la console, Mauris pestait, comme à son habitude, contre la machine, la lumière, le vaisseau, les pilotes, tout ce qui lui passait par la tête. A côté de lui, Genloui notait les réactions de la machine sur sa tablette d’entretien, sans tenir compte des injures qui sortaient de la trappe d’accès. Technicien de niveau 4, il avait l’habitude de travailler avec des collaborateurs de toutes sortes. Mauris n’était pas le plus compliqué à gérer, loin de là, ce câbleur obtenait généralement d’excellents résultats. À condition qu’on n’essaie pas de lui faire la conversation.

 

Après une dernière salve de jurons, Mauris rebrancha le câble d’alimentation principal en marmonnant instinctivement le verset de purification sensé apaiser et remercier l’esprit de la machine. Il n’hésitait pas à affirmer haut et fort, notamment à la cantine ou au cours des réunions trihebdomadaires, qu’un psaume ne remplace pas une burette d’huile ou un connecteur neuf. Notamment lorsque le sous-intendant du pont listait les économies qui pourraient être faites sur les fournitures du vaisseau. Mais, plus que la foi, Mauris avait comme tout le monde son lot de superstitions et de croyances plus ou moins assumées.

 

La console émit une série de couinement lorsque les fluides chassèrent l’air qui avait envahi ses artères, puis elle redémarra et retrouva son ronronnement habituel. Toujours allongé dans la cavité étroite qui permet d’accéder aux entrailles de la machine, Mauris attendit quelques instants en écoutant attentivement le grondement familier. Lorsqu’il se sentit pleinement satisfait par les réactions de la console, il commença à s’extirper du conduit.

 

-          Bordel, Genloui, tu pourrais m’aider quand même ?

 

Les technicos, ils ont quoi ? Trois ou quatre ans d’études en plus, une vareuse avec des boutons brillants, et surtout même pas le courage de se pencher pour venir en aide à un camarade. Voilà ce que pensait Mauris en s’agrippant à ce qu’il pouvait, pour extraire ses jambes puis le reste de son corps.

En fait, il l’avait pensé tellement fort, qu’il l’avait peut-être bien dit à voix haute.

Lorsqu’il se redressa, en préparant une version moins pacifique de son avis sur les techniciens, il se retrouva seul dans le couloir d’entretien.

 

-          Non mais… Il s’est barré, murmura Mauris avec des yeux ronds. C’est interdit, ça, hé le technicos !

 

Il braillait carrément, cette fois, en ramassant ses outils.

 

-          Cette fois, on te ratera pas ! On va pas te rater mon pote ! continua-t-il à hurler dans le couloir vide, en s’éloignant vers le sas d’accès.

 

Le câbleur ouvrit le sas et éteignit l’alimentation du couloir, plongeant dans le noir la longue galerie d’entretien. La trappe du sas se referma derrière lui, abandonnant le couloir au ronronnement des machines.

Sur le sol, à quelques mètres de la console, la tablette d’entretien de Genloui clignotait dans le noir.

 

 

La Bête avait attendu, longtemps, en parcourant en silence les couloirs d’entretien du gigantesque vaisseau. Elle avait appris. Elle avait compris les rites du vaisseau, les rythmes, les parcours, les fonctions. Elle s’était nourrie avec parcimonie, sélectionnant avec soin les proies qui pourraient disparaître sans affecter le fonctionnement du vaisseau et sans trop inquiéter les autres animaux qui en parcourent les coursives. Elle avait étudié avec soin les corps de ses proies, comprenant et maîtrisant peu à peu leurs fonctions vitales, leurs organes, leur psychisme. Ça avait été long, mais elle avait fini par percer les secrets de leur esprit.

 

Aujourd’hui, elle avait pris davantage de risques.

Ses griffes, plantées dans le cerveau de sa proie, avaient sectionné des zones précises de l’organe, privant l’animal de la parole et du mouvement, mais le maintenant en vie.

 

La Bête savait qu’on chercherait l’animal, parce que celui-ci était important, plutôt rare. Mais le vaisseau se passerait de lui, et finirait par l’oublier. Il était important, mais sans l’être trop. Oui, elle avait pris tout son temps pour le sélectionner. Elle allait maintenant s’appliquer à sonder l’esprit et la mémoire de sa proie. Il lui fallait tout connaître de lui. Son passé, sa vie. Ses rêves, ses besoins, ses envies. Ses croyances, ses peurs, ses déviances.

Parce qu’un jour, le vaisseau allait rejoindre une planète au sol recouvert de myriades de proies. Et parce que ce jour-là, la Bête devrait être prête à commencer la collecte.

 

 

Chapitre 2 – En famille

Révélation

 

Silvia se pencha sur le berceau, sans faire un bruit, en se mordillant la lèvre. Elle murmura :

 

-          Ils dorment enfin…

 

De l’autre côté de la pièce, sous l’unique fenêtre de l’appartement, Bernar profitait des dernières lueurs du jour pour démonter l’alimentation de l’un des servo-bras de sa combinaison, et nettoyer les petits éléments, à la recherche de ce qui provoquait d’agaçants grésillements depuis plusieurs jours.

 

-          C’est pas dommage ! dit-il. Ils cassent bien les oreilles ces deux-là.

-          Tais-toi, idiot, dit Silvia avec un sourire, en lui passant la main dans les cheveux.

 

Elle savait très bien que Bernar était, comme elle, fou d’amour pour leurs deux bébés. Ils les avaient tant attendus, ces deux-là ! Après plusieurs fausses couches, ils s’étaient presque résignés. Le seul couple du bloc à ne pas avoir d’enfants… et aujourd’hui, ils en avaient deux.

 

Silvia commença à débarrasser la table. Comme elle en avait pris l’habitude, elle passa le doigt dans le fond des assiettes, puis elle le suçota pour ne rien laisser, ne pas jeter la moindre trace d’aliment. Elle était mère, maintenant, elle ne pouvait pas se permettre le moindre gaspillage. Elle se devait d’être forte, et de tout faire pour que ses enfants aient les meilleures chances de survie. La vie était difficile ici. Une vie faite de travail, de sacrifices, de douleur.

Lorsque le doc lui avait annoncé qu’elle attendait des jumeaux, Silvia avait un peu paniqué. Mais les bébés avaient changé sa vie. Elle se sentait plus forte, plus conquérante, plus précieuse que jamais.

 

Après avoir déposé la vaisselle dans le caisson de nettoyage, Silvia revint vers Bernar, et le prit dans ses bras. Le mari continua son travail comme si elle n’était pas là, mais elle savait qu’il appréciait l’étreinte. Elle regarda par la fenêtre. Un énorme cargo spatial venait de percer les nuages, et amorçait sa descente vers le spatioport.

 

-          Celui-là, il est pour moi demain ! dit Bernar. C’est curieux, on l’attendait depuis plusieurs jours.

-          Dis… Nos bébés… Tu crois qu’ils auront leur chance ? Qu’ils seront heureux ?

 

Bernar posa son tournevis, et leva les yeux vers les nuages. Le vaisseau avait allumé ses rétrofusées et entamé son approche. D’une taille fabuleuse, l’appareil transportait des millions de conteneurs. Sur beaucoup d’autres planètes, il aurait fallu organiser un déchargement par navettes, long et coûteux. Mais ici, on savait gérer ce genre d’engins. Les équipes de nuit allaient ouvrir les immenses panneaux latéraux du monstre de métal et, demain, les équipes de jour trieraient et débarqueraient les conteneurs. Il suffirait de quatre ou cinq jours pour retirer au vaisseau la moitié de son poids.

Bernar faisait partie d’une équipe de jour.

 

-          Ne t’inquiète pas, répondit-il à sa femme en prenant sa main. On y arrivera.

 

Le vaisseau, de plus en plus énorme, enclencha sa deuxième salve de rétrofusées pour stabiliser et ralentir sa chute. Le grondement devint plus fort, et les parois de l’appartement commencèrent à vibrer.

Dans le berceau, l’un des bébés se mit à gigoter puis à gémir.

 

-          Oh non, dit Silvia, ils me les ont réveillés !

 

Elle s’approcha du berceau. Les yeux grands ouverts, l’un des enfants réclamait à manger de plus en plus bruyamment.

 

-          Je suis là mon chéri, maman est là.

 

Elle remonta la manche de sa tunique, et commença à retirer un bandage qui entourait son avant-bras. Sous le bandage, la peau était percée de multiples trous et fentes, plus ou moins cicatrisés. La chair, boursouflée et violacée, devait la faire horriblement souffrir.

Elle se pencha sur le berceau et tendit son avant-bras. Avec voracité, l’un des bébés se projeta en avant et vint planter ses crocs dans le bras tendu. Le sang gicla jusqu’au visage de Silvia, qui regardait la scène avec un amour infini. S’agrippant à l’avant-bras avec deux de ses pattes, le bébé commença à suçoter goulûment le sang et le pus.

 

Ayant délaissé son travail, Bernar vint lui aussi se pencher sur le berceau, et commença à déboutonner sa combinaison. Le second enfant réclamait sa part.

 

-          Ils sont beaux, hein ? lui dit sa femme.

-          Oui. Magnifiques.

 

 

Chapitre 3 – Espace

Le vaisseau glissait silencieusement dans l’espace. Immense, presque aussi grand qu’une planète, il était pourtant une créature vivante, au cerveau incroyablement petit, si on le comparait à sa masse fabuleuse. Des relais synaptiques innombrables créaient un réseau neuronal qui démultipliait les maigres capacités mentales de la créature.

 

Propulsé grâce à l’énergie venant de la combustion de sa propre matière, le vaisseau agonisait. Chaque seconde qui passait lui arrachait un peu plus de vie, un peu plus de chair, tandis qu’il s’automutilait pour alimenter ses puissants réacteurs organiques.

 

Quoi de plus normal ? Il avait connu mille vies et mille morts. Il s’était parfois consumé, consommé, jusqu’à ne plus être qu’une coquille presque vide, aveugle et froide, aux portes de la mort. Il lui était même arrivé de dériver dans le vide interstellaire pendant si longtemps que des civilisations avaient eu le temps de naître, de prospérer, et de disparaître.

 

Mais quand on est le vaisseau, on ne s’interroge ni sur le temps, ni sur la distance. Ni sur la peur ou la douleur. Même la survie n’a pas vraiment de sens.

 

Le vaisseau vivait. C’était tout.

 

Un capteur de surface se mit à frémir, et transmit au réseau synaptique un court message électrique. Un signal lointain, fugace, sans objet, venait de réveiller une conscience éteinte depuis longtemps. Le vaisseau se mit à frémir à son tour. Pour la première fois depuis des siècles, il éveilla instantanément, instinctivement, des processus chimiques et biologiques dont il ne connaissait même plus l’existence.

 

Quel était ce signal ? Avait-il un sens, un but ? Avait-il été envoyé par l’un des éclaireurs de la ruche ? Avait-il été créé par le mouvement d’une flotte lointaine, ou émis par une planète cherchant à en contacter une autre ?

 

Aucune importance pour le vaisseau. Porté par l’instinct, il amorça un changement de direction pour suivre le signal. Au même moment, des codes génétiques spécifiques étaient injectés dans les immenses forges organiques du vaisseau-ruche. Les réserves de fluide primaire bouillonnaient déjà, activées par d’antiques procédés biologiques. Dans les heures qui suivraient, des chambres d’incubation commenceraient à s’y former. Elles viendraient se greffer à la structure du vaisseau. Dans les mois qui suivraient, des myriades de créatures seraient fabriquées dans les incubateurs. La ruche allait créer tout ce dont elle avait besoin, depuis les microscopiques spores allergisantes qui ensemenceraient leur futur monde-proie, jusqu’aux gigantesques bio-vaisseaux qui mèneraient les guerriers de la ruche au contact des éventuels navires ennemis.

 

Mais pour le moment, alors que le vaisseau s’efforçait de calculer la meilleure trajectoire pour économiser ses forces, une sensation éteinte se réveillait également en son sein. Il avait faim.

 

Une faim dévorante, primitive, effarante, plus puissante que toutes les sensations que pouvaient ressentir les autres créatures de l’univers.

Modifié par Galthor-BD
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Bon, ben il est pas fini ce bestiau, mais il me plait déjà !

Je confirme que la peinture sur grappe c'est pas chiant. Même si perso j'ai plutôt tendance à avoir un bout de grappe par pièce, et pas plusieurs pièces par bout de grappe.

J'adore ton MILOU. C'est tellement pas habituel comme sujet ! (enfin peut-être pour les joueurs tyranides, mais pas pour moi) C'est un condensé de ce que j'aime chez ces créatures !

Bonne suite, chef.

 

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C'est clair que tes milous sont super bien tournés. belle plume!

Mais j'aimerai bien voir plus de tes oeuvres peinturlurées moué! C'est mesquin de pas vouloir nous en montrer plus :'(

Pis bon t'es l'chef quoi @Galthor-BD, allé! hop, hop, hop! la tu dois nous sortir une session entière! diantre!

 

@Antares, y-a-il possibilité de créer un grade spéciale "chefquinefinipasaumoinsunesession", pour la fin du CDA en plus de "héros" et "seigneur"?:ph34r:

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  • 2 semaines après...

Roh punaise je viens de vérifier, il est effectivement possible de penser que je n'ai pas fini la moindre session depuis le début du Choix des Armes...

Argh...

Même pas honte en plus, et je n'arrête pas de venir vous taquiner dans vos sujets respectifs, alors que le mien est au fond du classement.

Mais les choses vont changer ! Ça va bosser par ici ! Roh vous allez pas en revenir.

 

Non je rigole, ça va continuer piano, bien évidemment. Faut pas forcer sa nature.

Mais je vais relancer mon auto-défi "Poste un truc tous les 2 jours, ignoble faignasse" avec comme acronyme PUT2JIF.

 

Et mon PUT2JIF commence avec ceci.

 

cda-s5a1.jpg

 

Voici ce que j'ai gratté/ébarbé/frotté/limé voire resculpté par endroits. La résine c'est toujours spécial.

 

Je me perdais dans les pièces au début, mais ça y est je maîtrise mieux l'animal. Une figurine peu connue, j'ai l'impression. Le Dimachaeron, c'est une sorte de gigantesque machine à bouffer. Il y a des estomacs, gueules et appendices de partout. Je ne m'en étais pas vraiment rendu compte au départ. La figurine est très impressionnante et bien conçue, mieux que ce que j'imaginais.

 

Pour bien la présenter, je vous ai mis des couleurs :

 

cda-s5a2.jpg

 

En rose, les morceaux de tête (crâne, mâchoire, langue).

En jaune, le dos et une plaque osseuse qui se place sous le cou. Le dos est presque aussi grand que mon Carnifex tout entier.

En bleu, l'immense queue.

En rouge, deux plaques "dévoreuses" qui se place sous le ventre et s'ouvrent pour avaler les gens qui passent dans le coin. Il y a aussi une sorte de gueule placée vers l'abdomen, et une tentacule chargée d'empaler la proie pour la ramener vers l'estomac.

En vert, deux pointes du même type, qui sortent des paumes des deux mains de la bête. Elles sont plus longues qu'un Space marine.

 

Allez, je retourne gratter, à dans 2 jours ! (ou pas)

 

Ah, et puis comme indiqué en sujet central, voilà à quoi tout ça ressemblera à la fin :

 

Révélation

gros.jpg

 

 

Merci pour votre patience...

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Super teasing, effectivement !

 

Les grosses figs en tyranides m'éclatent... Et en même temps je préfère quand elles sont plus lourdes, avec quatre pattes. Un truc énorme sur deux pattes ça me parait étrange. La lourdeur ne devrait pas lui permettre de marcher... Ou alors sur une planète à plus faible gravité :)

 

Enfin bon, je chipote, il sera beau avec ton schéma de couleurs, ça de toutes façons c'est sur !

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Merci pour les encouragements !

 

Bon ben j'ai fini de gratter, c'est déjà ça. Voilà les dernières pièces.

 

cda-s5a3.jpg

 

Voilà ce que ça donne en triant :

- Jambes en bleu

- Bras avec griffes tranchantes en rose (6 attaques F10 PA-2)

- Bras "normaux" en vert

- gueule épineuse (dans son ventre)

 

cda-s5a4.jpg

 

Et pour une fois je ne vais pas faire mon propre socle, je vais profiter de tout ça pour me débarrasser d'un socle en résine qui traîne dans mes tiroirs. J'en avais acheté pas mal à l'époque où je ne fabriquais pas mes propres socles, et je ne sais plus quoi en faire aujourd'hui...

Allez hop, un de moins.

 

cda-s5a5.jpg

 

Aujourd'hui, c'est montage et résine verte !

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