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The inflitraitor

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À propos de The inflitraitor

  • Date de naissance 02/09/1979

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    Tours

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    Varhammer 40k, warhammer battle, warmaster, bloodbowl.
  1. Héhé merci! C'est un vieux texte de concours mais effectivement, je m'étais bien amusé à imaginer des détails quant aux scènes de combat ainsi que les décalages technologiques entre les différents belligérants (armes locales / Adeptus / Xenos).
  2. The inflitraitor

    [TUTO]Socles de lave

    Je sais que pour mes nains du chaos, j'ai découvert une autre technique toute bête: utiliser du sable grossier ou des gravillons pour la roche solide et créer une rivière avec une matière fluide. J'ai notamment eu l'illumination alors que ma copine, en fouillant ma boîte à rabiots, a retrouvé deux vieux morceaux de plomb fondu (des restes de moulage "Prince august" d'un pote beaucoup plus qualifié que moi pour fondre le métal). ça a fait "euréka" dans ma tête: ces morceaux étaient coupés nets à leurs extrémités (donc épousent les bords du socle) mais faisaient vraiment lave en fusion, et pour cause. comme ils sont longs (une dizaine de centimètres) je vais les poser sur des socles régimentaires et m'en servir pour mon grand Taurus et ma lammasu...
  3. Il y a peut-être moyen de créer ce genre de monstre à partir d'un juggernaut de Khorne avec un gros travail de conversion certes. On peut aussi penser aux "cybergorets" snakebites qui existaient pendant un moment (j'en ai retrouvé une tête dans ma boîte à rabiots hier^^) ou des pièces de bougres sur sangliers de confrontation. Les orques noirs sont décrits dans la première version du Jdr warhammer comme "sans doute créés par quelque intelligence retorse" afin de faire des combattants moins médiocres que les orques. Mais dans le fluff du jeu de rôle, ils obtiennent leur stature par le cannibalisme ("croquer l'avorton") qui est une forme de sélection très féroce ce qui "n'augmente heureusement pas l'intelligence basse de la race". Ils sont troupes d'élite pour les orques normaux. Avec battle, il y a eu un changement: les orques noirs sont explicitement des créations des nains du chaos pour créer de super soldats à partir de leurs esclaves, comme les Uruk des films seigneur des anneaux, ils sont plus grands, plus forts, plus intelligents et plus humains dans leur comportement. Malheureusement, ils se rebellèrent contre leurs créateurs et faillirent détruire la Tour de Zaàr-Naggrund au cours d'une révolte d'esclaves où ils entraînèrent avec eux les gobelins et les orques asservis. Ils furent trahis par les hobgobelins qui se rallièrent aux nains du chaos au dernier moment. Depuis, hobgobelins et orques noirs se haïssent: les règles précisaient à l’époque que les orques noirs n'étaient absolument pas affectés moralement par des hobgobelins mis en fuite (au contraire). Les Orques noirs servent toujours les NdC comme mercenaires pour certains mais ils n'ont plus le droit d'entrer dans l'enceinte de la ville de Zaàr-Naggrund. Pour mes orques "esclaves" (dans l'ancien fluff, ils gardent les cols des Montagnes des Larmes pour le compte des NdC) j'utilise une peinture adaptée à l'environnement sombre et pollué dans lequel ils vivent: peaux diaphanes, grises, voire rouges ou brunes et incrustées de petites braises et scories. Pas facile )à peindre, oui je sais^^.
  4. The inflitraitor

    [TUTO]Socles de lave

    superbe! Je collectionne trois armées qui ont besoin de socles lave: nains du chaos, démons et marines du chaos maison. Du coup, je vais bien prendre note, merci!
  5. Pour le fluff, je prends un peu de recul: on a eu droit à tellement de revirements avec le chaos. Il y avait une époque où les forces Khorne/Slaanesh ou Nurgle/ Tzeentch étaient inconcevables. Il y a un bon boulot indéniable sur ce codex qui permet pas mal de créativité dans les listes d'armées et les figurines je trouve (je bosse sur des hérauts spéciaux bien qu'ayant la marque et le profil d'un héraut de dieu du codex, en gros, créer mes propres personnages spéciaux). Le seul truc que je regrette est l'absence, en dehors des gargouilles, de princes et de démons du chaos universel qui justement justifiaient la création d'armées cosmopolites (ils étaient censés tenir les démons qui ne s'entendaient pas or il y a des rivalités et des vendettas entre démons d'un même dieu puisqu'ils sont tous fourbes et ambitieux). D'ailleurs un personnage comme Perturabo n'est-il pas prince-démon du chaos universel? Il y avait quelque chose à creuser là.
  6. Hé bonjour l'ami! C'est David. Te voilà enfin inscrit! Oui j'ai eu l'occasion de les voir en vrai ces princes, les miens, qui restent à monter, seront beaucoup plus statiques et moins spectaculaires. Bon par contre ils commanderont une armée de démons "ancienne mode" et tous en métal. C'est toujours un spectacle de voir tes conversions, bienvenu à toi!
  7. A priori, si tu joues incendiaires et hurleurs tu as du bon tueur d'infanterie lourde et du chasseur de véhicules ("morsure du warp", c'est l'équivalent de bombes à fusion). En équipant un ou deux princes comme il faut, on peut avoir des effets intéressants. Et puis faut pas oublier un bon broyeur. Disons que les démonettes et les veneuses, il faudrait plutôt s'arranger pour les jouer en seconde vague. Dans tous les cas, et vus comment les démons sont durs à jouer, je pense qu'une force équilibrée avec un peu de tout est encore le mieux, manquerait plus que le chaos devienne psychorigide non mais oh!^^
  8. concrètement oui, c'est dur et encore plus si tu décides de de jouer un seul dieu ou deux en particulier. Tzeentch est basé sur le tir, Slaanesh sur la rapidité mais pour ces deux là, il faut être un bon général^^.
  9. C'est tout le problème du rapport entre l'intérêt d'une collection et les listes d'armées que Games fait de ses armées. perso ça va faire 15 ans que je fais de la figurine et je joue typiquement l'une des armées qui subit des revirements à 180° dans les codex tous les quatre matins: le chaos. Par la force des choses, j'avais acheté beaucoup de démons de Tzeentch et Slaanesh à l'époque où mes amis jouaient à battle: les unités d'horreurs, démonettes et incendiaires s'avérant monstrueuses, mais c'était surtout un coup de cœur pour ces deux dieux. Je suis en ce moment en train de les resocler pour les jouer à 40k (une grande armée démons "vintage" donc) et je ne changerai pas ma thématique: Tzeentch/ Slaanesh, c'est bien et ça me plaît. J'ai une grosse unité de sanguinaires et un prince de Khorne qui m'aidera à casser les tanks, mais la pièce maîtresse de l'armée, c'est un duc. De toutes manières, avec 24 incendiaires, j'ai de quoi occuper l'ennemi et butter du space marine.
  10. Héhé, les deux à la fois: elle figurait dans les maximes du livre de règles V3 mais je la trouvais particulièrement appropriée. Merci d'avoir lu ce texte!
  11. [i]Ce petit texte figure dans un ancien projet maison de "Codex hellzànn": un monde impérial riche où une guérilla oppose les locaux Peshmergas à la peau sombre aux colons envoyés par Terra depuis des siècles. Face à l'attaque massive de la planète par l'énorme Waagh Tok-Tok des Blood Axes, les FDP sont vaincus en quelques semaines et seule la venue providentielle du chapitre Son of Medusa peut encore sauver la planète. Les marines du capitaine Perséus s'allient indifféremment avec les meilleurs éléments survivants des FDP, Peshmergas et mercenaires pour repousser la menace.[/i] [b] [font="Times New Roman"][u][size="4"]« Campus sunrise »[/size][/u][/font][/b] [font="Times New Roman"]Une éclaircie projeta une ombre douce sur le paysage, encore camouflé, du parc de l'université. Latifa ajusta une énième fois ses jumelles télémétriques et scruta encore le campus et ses alentours. C'était l'instant calme avant la reprise des combats, et l'on commençait à peine à deviner les formes des cratères d'artillerie et des épaves de véhicules entre les arbres qui restaient encore debout. Latifa détestait ces moments là, c'était bien trop calme et le temps était pour elle trop clément. En tant que chef de bande de la deuxième armée peshmerga, elle était davantage rompue à défendre son territoire, le désert, et ne redoutait en aucun cas les violentes tempêtes de sable pouvant parfois durer plus de dix jours.[/font] [font="Times New Roman"]« Arrête de scruter l'horizon comme ça ! Dit une voix masculine derrière elle, tu vas user tes beaux yeux ! ».[/font] [font="Times New Roman"]Elle se retourna, pleine de rage, la boutade venait de Markus Nielsen, l'instructeur mercenaire, qui, nonchalant, était adossé contre le garde-fou, un cigare à la main, le visage paisible. Latifa détestait cet homme, avec sa désinvolture et son humour salace ; elle abhorrait encore davantage la manière qu'il avait de la regarder, avec son air détaché et ses yeux baladeurs. Elle devait reconnaître toutefois qu'il leur était d'une aide précieuse. Les Loups Bleus d'Orion n'avaient rien de ces ruffians à petite solde que l'on trouvait dans les astroports, c'était une véritable armée privée, soudée et unie, possédant ses propres vaisseaux, les meilleurs équipements et des techniques de combat largement éprouvées. Nielsen était un colosse blond, coiffé en brosse, qui contrastait énormément avec la bande de peshmergas, des hommes du désert à la peau sombre et aux cheveux noirs bleutés. Là où eux ne portaient que des treillis usagés et de maigres gilets pare balles, le soldat de fortune était, quant à lui, engoncé dans une armure carapace qui ne semblait guère l'incommoder, malgré la chaleur déjà pesante ce matin là. Deux de ses plaques étaient peintes en bleu uni, insigne de son appartenance aux « loups » alors que le reste était encore coloré en camouflage de printemps : vert moyen tacheté de terre.[/font] [font="Times New Roman"]« Il est normal de s'inquiéter lorsque l'on doit tenir un bâtiment clé et qu'il ne me reste que trente-six guerriers pour mener à ben cette tâche ! répliqua Latifa, ironique.[/font] [font="Times New Roman"]— Et alors ? s'écria Nielsen, nous tenons la meilleure position. Depuis le toit de cette bibliothèque, nous avons l'œil partout, des postes de tir partout ! Et en plus nous avons de la lecture ! » [/font] [font="Times New Roman"]Il brandit un codex à la couverture roussie pour appuyer ses dires et le jeta sur un petit tas qu'il s'était constitué à côté de lui. Tous les ouvrages portaient encore les estampilles de la bibliothèque universitaire de Rivorius, deux ailes d'aigle entourant une couronne de lauriers.[/font] [font="Times New Roman"]« Nous aurons l'air malins si l'artillerie peau verte nous fait descendre de quelques étages ! rugit Latifa. Et leur avant-garde est déjà sur nous, à votre avis, combien de temps nous reste t'il ?[/font] [font="Times New Roman"]— Des bâtiments comme celui-ci ne s'effondrent pas comme cela ma toute belle ! Les Orks feraient une grossière erreur en nous envoyant des pruneaux, ils ne feraient que péter les vitres et nous creuser autant de meurtrières ! Un véritable enfer pour leurs troupes ! Non, je dis patience et attendons tranquillement la relève. A la rigueur, prends mon fusil de sniper et fais un carton, ça te détendra ! »[/font] [font="Times New Roman"]Elle lui lança un regard assassin de ses yeux d'un noir profond, presque sans pupille, puis considéra la petite troupe à sa disposition, moins de quarante hommes, les visages émaciés, fatigués, le regard encore fier mais un peu vitreux. Ils n'avaient guère pour résister que deux lance roquettes et des fusils d'assaut en bandoulière, il ne leur restait d'ailleurs plus beaucoup de cartouches. Cela faisait deux semaines que les Orks échouaient à prendre l'université de Rivorius, lieu de formation de la future crème des fonctionnaires gouvernementaux, et les combats n'avaient que trop duré, même pour des hommes aussi endurcis que les Peshmergas. C'est au corps à corps qu'ils avaient victorieusement repoussé le premier assaut des Evil Sunz et de leurs forces rapides ; en attestait l'amas de carcasses au pied de ce qui avait été un lieu de calme, de savoir et d'excellence culturelle. A présent arrivait la seconde vague, formée des meilleurs Orks des Blood Axes, à leur tête, Tankdresk Wazagh, le big boss...[/font] [font="Times New Roman"]« Je vais le prendre ! finit-elle par répondre. Les lunettes de vos satanés fusils à mille crédits portent plus loin que nos meilleures jumelles ! [/font] [font="Times New Roman"]—Tu as le pouvoir ! gloussa Nielsen en lui tendant l'arme lourde et profilée posée à côté de lui".[/font] [font="Times New Roman"]La vague avança rapidement, tel un tapis d'ombre au ras du sol. Glizboth avait l'estomac noué, comme l'ensemble de ses compagnons gretchins, excepté peut être les [i]plus[/i] fous. Mais il préférait encore courir sous les yeux et le feu des peaux roses que de subir la morsure du fouet. Lui et sa bande avaient réussi à gagner un peu de considération et de dignité au sein de la Waaagh Tankdresk. Il avait choisi, sélectionné, entraîné les grots les plus rusés et inconscients pour les regrouper au sein de l'œuvre de sa courte vie : la compagnie des « mine jumperz ». Non, ils n'étaient pas nombreux les grots à pouvoir prétendre se voir confier de vraies missions et encore moins ceux qui en avaient, comme lui, réussies. Summum du luxe, ils portaient des fusils d'assaut « humins » volés et non de vulgaires « pétoires ».[/font] [font="Times New Roman"]Ils émergèrent du bouquet d'arbrisseaux et de fourrés qui les avaient si bien cachés jusqu'ici et se stoppèrent devant le no man's land. [i]Pour[/i] l'instant, tout semblait calme et silencieux à l'endroit même où les fondus de la vitesse avaient échoué quelques jours plus tôt. Mais Glizboth redoutait avec raison le dortoir aux peaux roses, c'était devant cette fichue baraque que la plupart des siens et des plus grands s'étaient écrasés. Il y avait un nid de tireur à éradiquer ici. Et leur petite taille, ainsi que les charges de démolition qu'ils portaient sur le dos seraient leurs seules armes. [/font] [font="Times New Roman"]Croyant en ses atouts, Glizboth fit jouer ses doigts crochus sur la carte à jouer fixée à son casque lourd, un trophée pris sur un soldat des FDP, et plaça ses grots sur un large front, étiré, et les divisa en trois groupes distincts.[/font] [font="Times New Roman"]« Allé lé troup' ! On y va touchouss, on se sère des bou'de bagnoles [i]pour[/i] avancer et surtou pa un broui ! Ils von avoir droà à un sacré réveil ! »[/font] [font="Times New Roman"]La colonne progressa presque sans bruit. Les transports orks de la bande à Bruthog utilisaient une technique bien rôdée depuis de nombreux combats : Des moteurs électriques supplémentaires pour l'approche, et les bons vieux « pétaradeurs » à essence pour foncer sur leurs proies lorsque c'était trop tard. L'option était chère à entretenir, mais rien n'était trop beau pour le nob. Il avait à sa disposition les meilleurs Orks, des balaizboyz, des blind'boyz, de frimeurs, l'élite de la waagh rien que pour lui ! Tankdresk les lui avait confiés, certes, il n'avait pas remporté toutes les batailles, mais il avait su à chaque coup dur se replier à temps afin de revenir se battre plus tard. L'ancien pistol'boy ne manquait pas de finesse et cela faisait toute la différence entre un bon chef et un simple « kosto ». Il était le roi de l'assaut éclair et il le savait. Assis sur l'écoutille de son véhicule favori, le « Rhinork », il passa sa grosse main dans sa crête verte, un squig-perruque dont il n'était pas peu fier. Son armure ressemblait à un blouson molletonné au camouflage gris, blanc et noir, insigne de son appartenance au clan Blood Axe. La rumeur d'une dispute provenant de l'« Autoblinda » située juste derrière lui éveilla son attention.[/font] [font="Times New Roman"]-« Silence ! Grogna t'il. Cé pa le moman d'ouvrir vot'klapé à ordures. Continué tou droà avec les élektriks, é pa un pé de traver ou j'vou graille ! »[/font] [font="Times New Roman"]Aux détonations sourdes et lointaines des échanges d'artillerie avaient succédé celles, beaucoup plus proches, d'un tir nourri provenant de l'aile droite de l'internat. Tous les peshmergas bondirent et pointèrent leurs mitraillettes dans cette direction. Empoignant son bolter, Nielsen se leva plus tranquillement.[/font] [font="Times New Roman"]« Tiens ! Les miliciens sont levés ! » S'exclama t'il d'un air détaché. Voyons voir ce qui les agite ! »[/font] [font="Times New Roman"]Latifa et sa bande avaient déjà tiré quelques coups de feu mais n'avaient guère entraperçu que des ombres mouvantes parmi les impacts des rayons lasers et des grenades.[/font] [font="Times New Roman"]Soudain, la guerrière fit volte face, un frisson caractéristique parcourant sa nuque. Du chemin d'agrément du parc émergeaient des blindés, des transports orks évoluant sans bruit. En un coup d'œil elle reconnut des VAB des Forces de Défense Planétaire, repeints de couleurs criardes et décorés de trophées grotesques, des Truks munis d'un toit blindé et même un rhino grossièrement camouflé et presque méconnaissable roulant en tête. Il y avait également une sorte de casemate à chenilles dont les longues meurtrières ne dissimulaient certainement rien de bon ![/font] [font="Times New Roman"]« Par ici ! hurla t'elle. »[/font] [font="Times New Roman"]Mais le grondement soudain d'une vingtaine de gros moteurs au démarrage couvrit sa voix éraillée. Certains des combattants du désert n'avaient pas attendu et une salve de grenades explosa sur le front blindé du Rhino « kustomisé ». Leurs tympans se déchirèrent lorsque les piliers au rez-de-chaussée du dortoir furent soufflés, entraînant la chute de tout un pan de la façade. Un nuage noir enveloppa le dortoir et les rafales des Grofling' retentirent.[/font] [font="Times New Roman"]Décidément, la journée s'annonçait extrêmement compliquée ![/font]
  12. [b]Code d'accès: verrouillé******* confidentiel. Dossier: 5698 alpha prime Niveau de confidentialité: Maximus [/b] [b]Auteur[/b]: créature désignée "The Inflitraitor" [b]nature[/b]: inconnue [b]Autres références[/b]: Pillards Black Phoenix, Hérésie Phénicienne, Purge d'Ephèse, croisade de Hellzànn. [u][b]Récits à la connaissance de l'Inquisition:[/b][/u] [url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=168462"]"Troisième Force"[/url](à propos de la Purge d'Ephèse). [url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=168489"]"Campus Sunrise[/url]" (à propos de la croisade de Hellzànn) Accès temporaire terminé...
  13. [font="Arial"][size="2"][i]C'est un vieux texte que je propose pour commencer, mais je l'aime bien alors je l'ai corrigé du mieux que j'ai pu pour vous le faire lire.[/i][/size][/font][u] [/u] [font="Times New Roman"] [b][u][size="4"]« Troisième force »[/size][/u][/b] « [i]Mort ! Mort ! Par le feu brûle l'hérétique ! [/i]» Le peloton d'infanterie Ephésien chargea la position des insurgés dans une cacophonie de cris de haine, leurs fusils lasers déchirant les barricades de bois rudimentaires. La langue d'un lance-flammes illumina le petit matin avant de s'approcher implacablement. Mais pour toute réponse, les rebelles de « Renaissance impériale » firent feu de leurs armes : de primitives armes à balles. La grêle furieuse des rafales fit taire les slogans rageurs et plusieurs silhouettes épaisses tombèrent des rangs. Vincius et sa sœur Lepida lancèrent des regards inquiets vers les Cadiens lorsque la troupe de répression soutint sa marche, bientôt rejointe par un blindé dont on entendait déjà les moteurs. Mais le lieutenant Sertorius lança une simple injonction aux miliciens : « Feu à volonté, tenez la position, n'utilisez les grenades qu'à moins de vingt mètres ! » Les hommes et femmes qu'il encadrait avaient la foi et étaient plus de cinquante parqués dans cette cour de ferme abandonnée, mais ils n'étaient pas soldats, leur entraînement était sommaire, aussi sommaire que leur armement : au mieux des mitraillettes, déclassées et bruyantes, au pire de simples fusils et carabines. Murmurant une courte litanie à l'Empereur, Sertorius visa le groupe de son bolter ouvragé, une rafale faucha trois soldats, perçant sans difficulté les lourds gilets pare-balles, faisant jaillir chairs et sang. Il savait qu'il devait économiser ses cartouches ; la relève ne viendrait certainement pas tout de suite, ni même dans une semaine, et le régime de la croisade avait envoyé, dit on, des renforts blindés mater l'insurrection des paysans. Ephèse avait toujours connu des troubles civils ; mais cette fois, une des nombreuses factions paramilitaires, profitant du désordre et de la négligence des anciennes autorités, avait tiré son épingle du petit jeu des guerres internes et renversé la dynastie légitime du seigneur gouverneur Vallorius. La « croisade morale Ephésienne » se voulait un régime d'ordre et de pureté, et contrôlait à présent une puissante armée très bien dotée en chars, en hélicoptères et en artillerie. Pour Sertorius, ces exaltés représentaient tout sauf l'ordre : la « croisade morale » au pouvoir, c'était au contraire le règne de l'arbitraire. Si vous ne respectiez pas les lois religieuses, vous étiez mort ou mutilé, la définition de l'hérésie et de l'apostasie s'étendant à toute parole ou acte s'opposant de près ou de loin à la faction au pouvoir. Sertorius était garde impérial, il ne savait que trop bien ce qu'étaient l'ordre et la discipline, et cette farce ponctuée de bûchers et de chasse aux sorcières ne l'était pas. Le peloton s'était rapproché et marchait en rang serré à présent, un tir de lance-flammes incendia une meule de foin, produisant un écran de fumée noire et grasse. Leur avance était à présent dissimulée, mais Sertorius savait parfaitement comment réagir : « mitrailleuses, feu à volonté ! » Les servants des rustiques armes lourdes, bien dissimulés derrière des amas de bois et de tôle délivrèrent un tir nourri, et en quelques instants, il ne resta plus rien du peloton de répression. Mais la liesse des rebelles ne fut que de courte durée car le grondement caractéristique des moteurs et les gémissements des patins de chenille indiquaient clairement l'approche tant redoutée des chars du régime. Sertorius enclencha sans faiblir le mécanisme de son lance grenade de bolter : il bénissait mille fois le jour où les frères marines de la Raven Guard lui avaient fait cadeau de cette arme si belle et si puissante, un objet de maître aux reflets argentés et aux reliefs imitant les plumes d'une aile crébine. Ce jour là, ils n'étaient plus guère que huit gardes vétérans à se voir octroyer cet honneur, suite à la purge de Vaàr-Nolgis. Puis il ajusta son communicateur : « armes lourdes, parées à faire feu! » Depuis les toits éventrés des bâtiments, les équipages cadiens embusqués orientèrent leurs lance-missiles, et le semi-chenillé qui accompagnait le peloton de répression fut le premier à faire les frais de l'adresse des tireurs de la Garde Impériale. Mais le mur de la ferme voisine ploya sous une masse énorme avant d'être perforé par un canon de gros calibre, l'ennemi avait utilisé le terrain pour avancer ! « Les fusils antichars, feu, feu ! s'époumona Sertorius », mais il tira une grenade avant même d'avoir fini de prononcer son ordre. Des révoltés passèrent au premier rang avec de longues armes tubulaires ressemblant à de grandes carabines, fichées à leur extrémité d'une grenade bulbeuse. Le char explosa en une fleur de feu brillant, le lieutenant avait visé le redoutable lance flammes de coque, car il savait parfaitement que si ces machines de fabrication locale, si elles étaient la terreur des fantassins insurgés, n'étaient certainement des tanks « adeptus » et avaient leurs défauts de cuirasse. Une clameur monta dans les rangs serrés de la « renaissance impériale », mais Sertorius se jeta immédiatement à terre. Il avait entendu des détonations lointaines typiques et avant qu'il puisse crier quoique ce soit, une salve d'obus laboura le champ de bataille ; un milicien qui levait les bras en signe de victoire fut éjecté comme un pantin désarticulé et un autre fut couché, se recroquevillant dans son sang. Un instant, leurs oreilles déchirées ne purent percevoir le moindre son. Heureusement, les artilleurs cadiens n'avaient pas attendu Sertorius et un tir de barrage frappa de plein fouet la section blindée alors que les insurgés s'égayaient dans toutes les directions, paniqués par les tirs. Un autre char, plus en retrait fut touché à l'avant, le missile antichar l'ayant transformé en bain de flammes ardentes. Un autre avançait toujours malgré sa mitrailleuse de toit arrachée et son servant mort, dont le corps déchiqueté formait un angle macabre et étrange vers l'arrière. Une cabane de planche plia dans un craquement sinistre lorsque le dernier tank, intact, roula dessus pour charger la position des résistants. « Feu ! Feu ! hurla Sertorius », les fusils antichars tirèrent avec une bonne seconde de décalage. Un autre peloton de croisés accourait vers les lieux du combat la confusion était totale. Quelques longues minutes plus tard, le calme était revenu, seulement ponctué des crépitements des feux mourants et les râles étouffés des blessés. Le lieutenant Sertorius jaugea les forces qui lui restaient. Ses cadiens étaient bien là, et seul le 1[sup]ère[/sup] classe Curtiss Faug avait été légèrement blessé par la projection d'échardes et de clous d'une explosion proche; il s'épongeait le visage avec un chiffon ensanglanté. Lépida tentait de soigner comme elle pouvait la jambe d'un des siens, mortellement touché par une mitrailleuse de char et une certains avaient improvisé un charnier en recouvrant des corps alignés d'une grande bâche de tissus brun. Pendant ce temps, Vincius constituait avec les valides un amas d'armes prises à l'ennemi et lançait des regards pleins d'espoir et de gratitude au lieutenant impérial. Celui-ci compta mentalement les insurgés survivants : trente neuf, bien, ce nombre était plus qu'honorable au vu des forces envoyées contre eux dernièrement, et ce serait suffisant pour tenir encore un peu. Le calme de la scène de l'après bataille fut soudain déchiré par un vrombissement dans le ciel : un chasseur à réaction croisé ! « Tous à terre ! Position de repli, aux abris ! » Les rebelles n'avaient pas attendu l'ordre pour courir et se jeter au sol, comme un vol de moineaux. Le vacarme des réacteurs se rapprocha, Sertorius eut le temps de voir l'avion en approche, en rase-mottes. C'était un chasseur profilé avec un fuselage en forme de couloir et des ailes chargées de bombes, de missiles et de paniers à roquettes. L'engin délivra un premier tir imprécis transformant plusieurs des maisonnettes en dômes de feu. Au même moment, deux hélicoptères légers, au fuselage ovoïde, surgirent de derrière les bosquets et mitraillèrent leur position. Tous les rebelles impériaux étaient plaqués contre les couverts, mis à part deux servants de fusils antichars qui entreprirent de pointer leurs armes vers le ciel. Les ordres de Sertorius étaient couverts par le vacarme des moteurs, et il n'eut pas le temps d'empêcher Vincius de bondir de derrière son muret pour foncer vers le monceau d'armes préparé quelques instants auparavant. Le lieutenant détourna le regard au moment même où les mitrailleuses lourdes de l'avion déchirèrent son corps de bas en haut. Lépida devint blême et ne put laisser échapper le moindre cri. Soudain, une explosion retentit derrière eux, un des hélicoptères du régime venait d'être abattu par un tir extérieur et tombait en flamme dans la forêt, ses pales balayant encore l'air. Sertorius vit deux formes translucides, qui réfléchissaient le ciel matinal, fendre les airs silencieusement et rapidement. Elles avaient vaguement la forme de chasseurs aux lignes courbes. Les silhouettes de titans arachnéens venaient d'apparaître à peu de distance, derrière les toits des villages voisins. Sertorius, sidéré, ne put rien faire d'autre pendant un instant que les regarder, bouche bée, tirer sur des ennemis invisibles, sans doute les croisés qui avaient pris position [i]dans[/i] le temple impérial de Silanus. Une explosion sourde derrière eux l'avertit que le chasseur croisé venait d'être détruit. Son communicateur produisait un crépitement sourd et constant, comme si le QG de la Garde ne pouvait plus rien émettre. [i]Sertorius[/i] s'en saisit et essaya plusieurs fréquences, un peu plus loin, la bataille continuait. Une voix furieuse retentit soudain [i]dans[/i] l'appareil : « Lieutenant Sertorius, lieutenant Sertorius, au rapport, quel est l'état de vos forces et votre position actuelle, je répète quel est… ». [i]Sertorius[/i] n'eut pas le temps de répondre, il venait de disparaître aux yeux de tous, aspiré de la terre… [/font][center][center][font="Times New Roman"]*[/font][/center][/center][font="Times New Roman"] Il se réveilla, léger et étrangement serein [i]dans[/i] l'obscurité. Une obscurité non pas oppressante mais douce et reposante. Le sol était nu et noir. De longues minutes s'écoulèrent avant que ses yeux ne s'habituent à la pénombre, il distingua des arches délicatement ouvragées [i]dans[/i] un matériau qui semblait émettre sa propre lueur, faible et pâle pour le moment. S'étant redressé, il fit quelques pas et remarqua que le son de ceux-ci lui revenait aux oreilles. Il n'avait pas été plongé dans un tel silence depuis bien longtemps, depuis son dernier pèlerinage dans une église impériale en fait. Un faible bruit électrique l'avertit qu'il devait être dans un vaisseau ou une base. [i]Sertorius[/i] jura en constatant qu'il n'avait plus son bolter, ni aucune arme ou grenade d'ailleurs. Il accéléra le pas mais une barrière invisible l'empêcha d'aller plus loin, une colonne de lueur bleue jaillit de dessous lui pour l'éclairer. « Bienvenue ! dit une voix synthétique et nasillarde, je suis Djenadeth-Drinadàn, de la nation des Nandars, et nous vous avons choisi comme ambassadeur de l'empire humain. — Ambassadeur ? Dit Sertorius, se remettant doucement de sa surprise. — La possession de ce monde risque de créer un litige entre nous, alors nous avons besoin de tenir ambassade au nom de nos deux peuples, continua la voix sur un ton monocorde. — Certes, dit le lieutenant, encore hésitant, [i]mais[/i] pourquoi moi, et où suis-je d'abord ? » Sa voix avait retrouvé une pointe d'autorité. « Vous êtes partis depuis une heure de votre position initiale, nous sommes le peuple Nandar, et vous vous trouvez actuellement dans le croiseur Stellion du vaisseau monde Drinadàn ». Poursuivit la voix. — Vaisseau monde ? Des Eldars ? — Nous sommes une branche héritière de la diaspora de cette noble race, mais nous avons suivi notre propre évolution, mais là n'est pas la question, venons en à l'affaire qui nous occupe. — Vous ne m'avez en effet pas l'air très humain ! dit Sertorius en reprenant un peu de courage. Mais qui que vous soyez, vous vous êtes trompés, je ne suis pas un ambassadeur mais un combattant, je suis le lieutenant Jochem Sertorius du 81[sup]ème[/sup] régiment de Cadia, membre du mérite militaire de Kyôs, décoré de la médaille héréticus de…. — Votre palmarès et votre grade ne nous intéressent que peu, lieutenant Sertorius, interrompit soudain la voix, nous voulons savoir quels sont les intérêts de l'Empire Humain sur ce [i]monde[/i] afin de prendre une décision à cet égard ! — Je suis un officier de la Garde Impériale et je ne suis pas habilité à poser des questions ou à m'intéresser aux intérêts de mes supérieurs, justement parce qu'ils me sont supérieurs. Je me bats et c'est tout. Sachez néanmoins que ce monde est impérial et doit le rester, et il le restera à n'importe quel prix, grogna Sertorius. — Cela, c'est ce que vos supérieurs vous ont vissé dans la tête ! Néanmoins, vous ne me ferez pas croire que vous n'en savez pas plus, ni que vous ne savez pas pourquoi vous vous battez ! — Je me bats pour reprendre un monde perdu à cause de l'incompétence de quelques nobles à faire la police sur leur propre monde ! dit Sertorius, se sentant perdu. — Très bien, nous en venons à l'essentiel, dit la voix, Vous admettez donc que ce monde n'est, de fait, plus à votre empire de par la faute de votre propre administration ! — Pas de notre administration, de celle du précédent gouverneur investit des pouvoirs légitimes et qui n'a pas su les appliquer. Et puis qu'en sais-je, et qu'importe ! dit nerveusement Sertorius. — Qu'importe ? Au contraire, il importe beaucoup ! Cela veut dire que l'empire des hommes se désintéresse des [i]mondes[/i] qui le composent jusqu'au jour où ils leur échappent. Votre empire est donc grand et faible là où le nôtre est restreint et fort ! — Si notre Imperium est si faible que vous le dîtes, pourquoi négociez-vous, et d'abord pourquoi voulez vous ce [i]monde[/i] alors que la galaxie en regorge d'autres complètements vierges. — Bonne remarque, lieutenant, mais vous vous trompez sur plusieurs points : premièrement, l'autorité centrale humaine est affaiblie, mais vous restez une nation guerrière à ne pas traiter à la légère, deuxièmement, la galaxie, c'est le vide, et les planètes telles que celles-ci ne sont pas aussi nombreuses que vous le croyez. Sachez enfin que ce que vous appelez Ephèse appartenait à notre race bien avant votre venue ! » Sertorius se remémora soudain les anciennes ruines que lui avaient montré des paysans Ephésiens, des temples et des chapelles grossières, œuvre d'une civilisation d'avant le monde, avec des statues représentant des créatures maigres et desséchées soutenant des chapiteaux de colonnes. « Ainsi c'est donc vous, dit il, le sourire aux lèvres, les fameux hommes-dieux de l'ancien temps, des Eldars en vérité ! — Nandars, pas Eldars, vous comprenez maintenant nos intérêts, nous n'avons toujours pas compris les vôtres. Vous vous évertuez à chasser les exaltés qui ont pris le pouvoir ici, donnant de fait un coup d'arrêt à votre autorité. Laissez nous régler nos affaires avec eux et repartez, Ephèse n'est plus à vous. Vous avez eu cette planète bien assez longtemps et vous avez laissé passer votre chance ! » — Faux ! s'écria Sertorius d'une voix de stentor, faux ! Même si notre régiment échoue, d'autres forces seront envoyées, toujours plus fortes, plus nombreuses ! Avec des appuis aériens et de la flotte ! Non Djenadeth-Drinadan, représentant de la nation Nandar, vous vous égarez complètement, l'Imperium ne se laisse pas dicter sa conduite par les intrusions, ni, et encore moins, par l'insurrection d'un millier de tyrans, il survit, c'est tout ! » Des lumières éclairèrent soudain la grande salle, le bouclier invisible apparut alors aux yeux fatigués du lieutenant bleuté et crépitant, ainsi que les magnifiques détails de la salle, avec ses colonnes de moelle spectrale et ses gemmes incrustées dans les parois. Derrière, et face à lui, se tenait un être grand et gracile, au visage juvénile revêtu de lourdes toges colorées, comme celles que portent certains nobles humains, un pan replié sur le bras. Sa peau était brune, presque noire, contrairement à ce que l'on disait des Eldars, et sa chevelure longue, hirsute et argentée. Il arbora un sourire qui se voulait bienveillant mais qui était un brin narquois. «Bien, dit il cette fois ci d'une voix musicale et charismatique, combien de temps croyez vous que votre administration va rester sans vous aider avant de réagir : un mois, un an, dix ans, ou plutôt mille ans, s'ils se rappellent jamais de vous ! Toutefois nous avons tenu compte de vos arguments et cette ambassade nous a paru satisfaisante, nous vous renvoyons donc chez vous ! » Sertorius n'eut que le temps d'esquisser un signe de la main et d'ouvrir la bouche car il se dématérialisa à nouveau. Lorsqu'il réapparut sous les yeux hallucinés des rebelles, le champ de bataille était calme, bien que labouré par les explosions. « Nous nous mettons en marche vers le QG dit il après quelques instants d'hébètement. Une troisième force s'est incrustée dans le conflit qui nous occupe ! dit-il déterminé. » [/font] [center][center]*[/center][/center] [b] [u]Rapport de l'inquisiteur Valpurgis référence 1XV 012 :[/u][/b] [font="Courier New"]« […] Finalement, les curieux « Eldars » se retirèrent d'Ephèse aussi rapidement qu'ils étaient venus, non sans avoir infligé de terribles dégâts aux armés de la « croisade morale », préparant ainsi favorablement la reconquête par le 81[sup]ème[/sup] Cadia et le retour de la lumière de l'Empereur. Le seul témoin d'une rencontre avec ces xenos, le lieutenant Jochem Sertorius, a été entendu par notre commission en audience inquisitoire et secrète. […] Il a affirmé entre autres, avoir eu affaire à une civilisation admirable et digne d'intérêt. Il été jugé hérétique et condamné à l'exil et la légion pénale. Béni soit l'Empereur ! » Maxime du jour : Seul le fou prospère ! »[/font]
  14. Bonjour à tous, je suis Infiltraitor et j'ai à présent 31 ans, passionné du hobby depuis l'âge de 16 bien que j'aie commencé à connaître les univers fantastiques à 12 ans avec Héroquest et les Livres dont vous êtes le héros. Je m'inscris ici, très intéressé, depuis ma visite au Games Day où j'ai pu voir Jehan Delatour en chair et en os (j'étais le mec au tee-shirt Word Bearers qui accompagnait celui qui qui a eu la curiosité et l'audace de regarder le PC^^). Piètre stratège, collectionneur maladif, je suis avant tout intéressé par 40k et les space marines du chaos dont je possède trois forces différentes (Alpha Légion, The Purge et Black Phoenix, une horde maison). Je collectionne également une belle armée de Sons of Medusa, côté loyaliste. Je n'aime rien moins que la conversion, inventer des codex maisons et écrire des récits de toutes sortes, mon imagination est donc très étendue^^. Pour le reste, j'ai une pelleté de figurines de battle de différentes années mais aussi une armée de guerriers et marauders du chaos que je n'ai pas grand espoir de jouer un jour. Pour finir, je suis un fétichiste des nains du chaos dont je possède une lourde force accumulée sur des années et des années, autant dire que leur sortie chez Forge World m'a bien fait plaisir. Bien à vous et à plus.
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