Sur l'aspect "coquilles", cela arrive.
Partout, dans beaucoup de magazines.
Même lorsque l'on rédige dans sa langue maternelle.
Effectivement cela ne devrait pas, et l'occurrence est souvent liée au processus de contrôle.
Sur l'aspect "erreur de traduction", c'est différent.
C'est effectivement lié à la compétence, la culture générale, la compréhension du sujet,dans son contexte.
Dans ce cas on ne parle plus de traduction mais de localisation.
Il existe de bons logiciels de traduction, mais c'est le traducteur qui le rendra plus efficient, plus juste et qui l'enrichira.
C'est cela qui fera la différence.
Je ne porterai pas de jugement de valeur dans notre cas.
C'est au client qui a passé commande d'exprimer son niveau d'exigence.
Selon ses attentes, ses engagements, en termes d'images ou de satisfaction de la clientèle.
Le résultat sera en fonction.