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Solkills

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À propos de Solkills

  • Date de naissance 26/07/1994

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    Astra Militarum /\ Empire /\ Homme-Lézard

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  1. Comme il est dit, je ne peux qu'applaudir cette finale grandiose ! Ton travail magnifique nous a tenu en haleine tout au long de cette campagne et je ne peux que ressentir une certaine déception en sachant qu'elle est terminée Malheureusement, mes craintes étaient bien fondés et De Brünhoff est tombé au champs d'honneur. Beaucoup de mort du côté sylvanniens et même si la victoire fut acquise, la province est en deuil et aura du mal à se relever sans le soutien de l'Empereur. J'ai hâte de voir l'épilogue avant d'écrire un RP concernant les Templiers de la Lune Funeste et peut-être les chevaliers panthères (si le temps me le permet..). Logiquement, je pense que Maître Pompadour devra reprendre le commandement le temps que l'armée régulière se reforme et qu'un autre homme ne soit désigné à sa place. Après tout, ce genre de position bien à la vue de tous doit déplaire au Maître des Templiers et ce dernier aura sûrement hâte de rentrer à sa commanderie pour préparer ses frères au prochain appel à la guerre de la comtesse de Sylvanie. Joli RP de ta part J-C, j'aime beaucoup l'approche de la nouvelle lointaine et du point de vue bretonnien ! Mon cher Zugrub, encore une fois chapeaux pour cette campagne et je ne peux qu'attendre impatiemment la préparation de la suivante !! Mon âme de joueur battle en redemande haha
  2. Mais quelle bataille tendue mes amis ! Néanmoins, les orques (et gobelins, ne les oublions surtout pas) commencent à montrer un certain essoufflement. Les tirs sylvanniens prélèvent un lourd tribu sur la masse peaux-verte qui diminue et la double charge de dos donne de l'air aux courageux civiles Quant à De Brünhoff, il a mérité d'inscrire son nom dans les chroniques d'histoires impériales comme véritable Héro de l'Empire ! Un certain chroniqueur célèbre de l'université d'Altdorf s'en chargera... une fois que celui-ci sera guérit de ses blessures suite à une tentative d'assassinat ! Espérons juste que les chevaliers panthères n'arrivent pas trop tard pour sauver le commandant sylvanien. Comme il semblerait que les petits RP soit à l'ordre du jour pendant la bataille, voici ma petite contribution : - Ralliez-vous à moi et formez le carré mes braves ! Pas un pas en arrière ! Le commandant en chef des sylvanniens marque une pause le temps de passer par l'épée deux vermines gobelines tout en réprimant une grimace alors qu'une lance primitive vient percuter son armure de plate. - Combattez ! Combattez jusqu'au dernier ! Dans le chaos de la mêlée, De Brünhoff entraperçoit brièvement l'étendard de Maître Pompadour sur les arrièrent des orques. Son plan a t-il fonctionné ? Les forces impériales vont-elles remportées l'ultime bataille pour le salut de la Province ? Il ne peut en être autrement... Sa lame s'abat, s'enfonçant profondément dans le crâne d'un petit peau-vert. - Lucien, brandissez haut notre glorieuse bannière ! Montrons à ces pourritures ce qu'il en coûte de s'en prendre à notre province aimée. Puisant dans ses derniers retranchements, le courageux commandant lance son ultime cri de guerre : - Pour la Sylvanie, pour l'Empire et pour Sygmar !!
  3. Et bien, quel match tendu par les dieux ! Le flanc qui devait être le marteau est en train de recevoir de sacrées patates dans la tronches... Croisons les doigts pour que maître Pompadour et ses sombres chevaliers arrivent à rétablir la balance ! Je préfère cette forme de publication et en effet, les photos sont moins lourdes à chargées
  4. Et bien, très belle RP mon cher Torcanam. J'ai presque envie que ces brig... mercenaire survive à la bataille !
  5. Rhalala, la voilà enfin la glorieuse armée régulière de Sylvanie ! Et face à eux, toujours une horde d'orcs aussi innombrable que porte le regard !! La bataille finale approche et la hype suit de très prêt !
  6. Et bien merci mon cher Miles, et je te retourne mon chapeau ! Il va peut-être falloir que j'engage un garde du corps pour surveiller mes arrières... Et quelle surprise Zugrub que de te voir tenter d'intégrer notre cercle de chroniqueurs ! Ca rajoute du contenu bien venu pour les peaux-vertes
  7. Et bien, une sacré bataille pardi ! Un mélange de fierté et de déception pour mes petits protégés de la Lune Funeste... Maître Pompadour a intérêt à se montrer sous une meilleure lune si il ne veut pas que les chroniques impériales ne s'en prennent à lui !! Enfin, quel héroïsme lors de la défense du château ! Jean de Brünhoff s'est assuré une place parmi les héros de l'Empire ! Ci-dessous, ma contribution sous un nouveau format (Et oui, il faut varier les styles si on veut garder sa place à l'université d'Altdorf ) Et lorsque le soleil se leva sur les terres sacrées de l’Empire, Ses glorieux défenseurs furent promptes à se dresser face à l’engeance peaux-vertes. Si la crainte étreignait les coeurs, Elle fut balayée par la stature légendaire de Sir Johannes de Brünhoff. Inflexible comme le Roc qu’il défend, Il n’a d’égal que sa dévotion envers notre révéré Sigmar. Quand l’envahisseur sauvage se précipita contre la forteresse, Le piège magistral se referma. De l’Est et de l’Ouest, Les Hommes de l’Empire approchèrent. Mené par les illustres ordres de chevaleries, Rien d’autre que la victoire était assuré. Sur le haut des remparts et dans la cour du château, Les courageux défenseurs sacrifiaient leur vie dans la gloire de Sigmar Quand l’un de ces braves tombait, Vingt peaux-vertes l’accompagnait. Et c’est sous l'étendard sacrée de Sylvanie, Que Johannes de Brünhoff repoussa l’ennemi. Nombre de héros périrent sous l’obscurité du château des Ombres Leur gloire éternelle illuminera les générations futures. Mais par une sombre sorcellerie que je ne peux m’expliquer, Les chevaliers de la Lune Funeste revinrent parmis les hommes. Et c’est dans un froid polaire soudain, Que Maître Pompadour marcha vers ses sinistres serviteurs. Chronique de la Glorieuse défense des Terres sacrée de la Sylvanie, Sigmarzeit, Aubentag 32, par l’illustre et talentueux Adalbeert von Lüdzöff, diplômé de la majestueuse université d’Altdorf.
  8. Damn, les templiers de la Lune Funeste sont de retours ! Je vais devoir ressortir l'encrier, le parchemin et rappeler les peintres pour les enluminures.. Hâte de voir la fin !!
  9. Me voilà de retour après un mois et demi de stage à l'académie des lettres d'Altdorf. Je livre donc en retard la bataille du point de vue (étriqué il est vrai) du Major Otto Bhuss Sang et acier La lame fend l'air, laissant derrière elle une traînée écarlate alors que l'archer orque s’effondre sur le sol. Malgré le fracas de la bataille, la voix tonitruante résonne au-dessus de la mêlée. Haha ! Un autre, qu'on m'en envoie un autre ! Comme répondant à son appel, un autre peau-verte pousse un rugissement guttural et se précipite sur le cavalier avec l'intention évidente de le démembrer sauvagement. Mais c'était sans compter les talents d'escrimeur de Herr Otto Bhuss. D'un geste emprunt de dédain, le Major dévie le gros coutelas qui visait sa cuisse puis assène le coup fatal. Un adversaire pathétique, indigne d'un héro de l'Empire. Qu'à cela ne tienne, il les massacrera jusqu'aux derniers. Les survivants s'enfuient comme si le dieu Morr était à leur trousse. Sauf qu'il ne s’agissait pas là d’une divinité mais de l'Ordre vénérable des Chevaliers Panthères. A moi, chevaliers ! En avant, pour l'Empire ! , s'écria le Major Ces mots sonnèrent le glas des Kiviz. Les derniers peaux-vertes finirent écrasés sous les sabots des destriers et passés au fil de l'épée et de la lance. Emporté dans leur élan, l'élite de l'Empire s'isole du reste de la troupe laissée loin derrière elle. Herr Otto aperçoit du regard un nouveau régiment ennemi qui s’écarte du pont pour faire face à la cavalerie lourde. Des orques noirs. Des bêtes encore plus féroces et stupides que leurs congénères... Une cible de choix. Avec son intrépidité légendaire, le commandant redirige la charge vers cette nouvelle menace. Tactiquement, il aurait dû attendre les hommes de la patrouille fluviale mais ces derniers étaient toujours en train de patauger dans l'eau et le Major n'était pas connu pour sa tempérance. « Au diable Dietrich et ses patrouilleurs, cela ne fera que plus de gloire pour moi ! », pensa Herr Otto. Alors que la cavalerie approche rapidement de la ligne orque, ces derniers brisent subitement la formation et contre-charge les chevaliers en poussant des grognements sauvages. La mêlée fut d'une rare violence et il est claire qu'aucun des deux camps ne souhaitent faire de prisonniers. Le fracas des combats assourdissent le Major alors que ce dernier peine à respirer à cause de son casque. La chaleur est étouffante et il a l’impression de cuir sur place. A chacun de ses coups, son bras se fait de plus en plus lourd et Herr Otto doit souvent plisser des yeux pour chasser la transpiration qui perle de son front. A sa droite, un preux chevalier se fait désarçonner et tombe lourdement sur le dos tandis qu'un orque puissant lève au-dessus de sa tête une redoutable hache de guerre. Talonnant sa monture, le Major part au galop et tranche la main de la bête moins d'une seconde avant que celle-ci ne s'abatte sur sa cible. Soudain, un puissant rugissement retenti sur la gauche du champion impérial alors qu'une poigne phénoménale le saisit à l'avant bras et le tire violemment vers le bas. Percutant le sol, les réflexes de survie d'Herr Otto prennent le dessus sur ses pensées et il roule directement sur lui-même. Un geste qui lui sauva la vie alors qu'un énorme marteau vient se planter dans le sol là où il se trouvait il y a moins d'une seconde. Rapidement, le chevalier se relève et dégaine sa dague. Une arme bien dérisoire face à la montagne de muscle qui lui fait face mais il n'avait pas le choix. En effet, son épée gisait au pied de la bête. Néanmoins, l'arrogance naturelle du chevalier en ses capacités pris le dessus et fait jongler sa dague d'une mains à l'autre. Et bien alors gros lard puant, qu'est-ce que tu attends ? Viens-me chercher ! Sans aucune retenue, le champion orque noir se précipite sur l'humain qui ose le défier. Le Major est un vétéran de maintes batailles et il sait que c'est futile rencontrer la force de la bête par sa propre force. Malgré son armure, il se déplace avec agilité dû à des années de pratique et esquive les coups brutaux de son adversaire. Chaque attaque manquée énerve de plus en plus l'orque jusqu'à ce qu'il commette l'ultime erreur. Levant son arme au-dessus de ses épaules après une énième attaque ratée, Herr Otto change d'attitude et se précipite rapidement sur sa cible. Surpris, l'énorme bête ne peut que constaté avec effrois la dague de son opposant se ficher dans sa gorge. Une fois son ennemi défait, le Major regarde autour de lui et constate avec effrois qu'il ne reste plus que quelques chevaliers encore en vie. Ramassant son épée et sachant sa fin proche, Herr Otto hurle sa défiance vis-à-vis des peaux-vertes avant de sentir subitement un puissant coup à l'arrière de son crâne, plongeant le monde dans un noir obscure. (Je me trouve moins inspiré pour ce récits, je me sens en effet plus proche des chevaliers de la lune funeste haha )
  10. Un 6e tour des plus intéressant qui se profil... hâte de voir le final ^^ Mais oui, je suis d'accord que les ork mériteraient un peu plus d'amour. Je verrais ce que je peux faire ?
  11. Vivement le clash entre les unités ! A la fin de la bataille et ce, quelque soit son dénouement final, j'écrirais quelques lignes sur les chevaliers Panthères Il semblerait qu'un nouveau décret émanent de l'Empereur lui-même m'a nommé chroniqueurs de la chevalerie impériale ?
  12. Merci à toi pour ces jolis remerciement ! Bien évidemment, tu es autorisé à reprendre mon récit Et hâte de voir la suite, haha !
  13. Bonjour à toi Zugrub, Toute d'abord, je tiens à exprimer toute mes félicitations pour ce projet et ces magnifiques compte-rendus de campagne que tu nous offres là ! La lecture de ceux-ci éveille en moi tout ce qu'il y a de bon dans ce hobby et chatouille fortement mon âme de rôliste. Je ne peux que t'encourager à continuer sur cette voie et de procurer chez les autres lecteurs le même sentiment. Si tu l'autorises, j'aimerai soumettre une légère contribution qu'en à l'histoire des chevaliers de la Lune Funeste. Plus précisément, je trouve dommage qu'il n'y ai aucun texte post-bataille sur ces fameux chevaliers de la Lune Funeste qui m'intrigue beaucoup... Ainsi, j'ai tenu à coeur de rédiger le petit texte qui suit. J'ai essayé de garder l'idée que j'ai ressenti en lisant tes descriptions. N'hésite pas à me dire ce que tu en penses ou si cela est déplacé. A bonne entendeur, voici le fruit de ma labeur ! (Rolàlàlà oui, ça rime mon bon monsieur !) : La bataille était terminée depuis une dizaine de minutes. Malgré les forces en présences, les combats furent bref et brutaux. Un vrai carnage... mais à sens unique. Une légère brise nocturne caresse le visage pâle et sévère du Maître Templier Pompadour. Sous ses yeux perçants, quelques hallebardiers des Dragons de Noailles termines d'achever les rares peaux-vertes agonisants tandis qu'un membre de ces soi-disant "Flèche-Noire" prospecte des cadavres à la recherche d'objets de valeur. Il faut croire que les vieilles habitudes ont la peau dure. Le Maître Templier respire à plein poumon, s'imprégnant de la mort qui s'est emparé de ces lieux. La morts des ennemis de l'Empire, de la Sylvanie. Et par extension, les ennemis de Pompadour. Soudain, un mouvement attire l'attention du chevalier. A seulement quelques mètres de lui, un gobelin essaye de se dégager des restes d'un orque mais sa constitution chétive l'empêche d'atteindre la liberté. Pompadour ferme rapidement la distance qui le sépare de la créature, son armure de plate ne semblant pas le gêner outre-mesure. Le petit peau-verte est pris de panique lorsqu'il aperçoit le géant d'acier se diriger dans sa direction. Cette dose d'adrénaline lui procure le surcroît de force nécessaire pour repousser la masse morte qui l'entrave mais il est trop tard. A peine remis sur ses jambes, le gobelin est soulevé du sol. Sa respiration devient haletante alors que l'étau d'acier se ressert au niveau de sa gorge. Le Maître Templier plonge son regard dans celui de la petite créature. Un regard vide de toute compassion, de toute pitié, de tout sentiment. Une peur bestiale emplie les yeux du gobelin alors que celui-ci tente par tout les moyens de se dégager. Une tentative bien futile quand on connaît la poigne de fer de Pompadour. Le Maître lève sa tête pour contempler la lune qui se dresse dans le ciel obscure, éclairant par la même occasion son visage tout en accentuant sa pâleur. Prononçant quelques mots à l'astre nocturne dans un dialecte oublié de Sylvanie, l'homme d'acier broie la gorge de l'infortuné peau-verte. Un bruit sinistre retentit et le gobelin cesse de s'agiter. Pompadour laisse tomber le corps inerte sur le sol et se retourne pour rejoindre les autres membres de sa confrérie. Or, à peine eu t-il fait volte-face que son regard croise celui du bandit des "Flèche-Noir". Ce dernier est immédiatement prit de panique et s'enfuit rejoindre ses camarades. Le chevalier s'attarde quelques secondes avant de reprendre sa route. A la bordure du campement orque, ses chevaliers de la Lune Funeste attendent en demi-cercle. Au centre se trouve le corps au trois-quarts enterré de feu Sir Von Strassen. Sa pâle figure est paisible sous le regarde de la lune. Un silence de mort s'établit alors que les hommes en armure sinistre n'esquisse aucun mouvement et n'émette aucune parole. Bien entendu, la parole leur est interdit car une fois sorti des murs de la commanderie, seule le Maître Templier a l'autorisation de s'exprimer. Après une pesante minute, Pompadour s'agenouille et recouvre le visage du défunt d'une couche de terre. D'un geste de la tête, il ordonne à l'un de ses homme de prendre l'armure du défunt pour la déposer sur sa monture. Un chevalier de la Lune Funeste a terminé sa garde. Un autre la reprendra. Dix ils sont, dix ils resteront. Ni plus, ni moins. Telle fut scellé l'ancien pacte qui les lies pour l'éternité.
  14. Salut à toi!! -Les lance-plasma sont bien sur l'escouade de commandement de companie (grâce à la CT4 surtout si tu compte jouer contre du SM) -Le garde basique avec lance-plasma vire le [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/wink3.gif[/img] comme mon vdd : lance-grenade sur tes 2escouade de peloton. -Sentinelle préférence pour l'autocanon mais sa c'est toi qui vois [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img] Sinon le reste sa va même si je suis pas trop fan du basilisk à 1000pts. Ptet l'enlever et mettre des sentinelle de reco, autocanon + attaque de flanc de quoi exploser le wirlwind dont tu as peur [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/biggrin.gif[/img] et le Leman Russ basique la compo obusier+3bolter lourd même à ct3 sa se vaut(9Tir de BL pour 20pts très correct je trouve)
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