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  1. Bonjour @Gothy , Merci pour tes compliments, j'espère que tes parties maisons en seront plus amusantes. Sur le sujet des valeurs de combat, je ne suis pas un joueur du SDA aussi ancien, et j'applique pris la règle post V5. Néanmoins, j'avoue être plutôt convaincu par tes arguments. Si la règle actuelle semble plus simple, il me semble plus intéressant de marquer une différence entre soutien et figurine engagée au corps à corps. D'autant plus que cela récompense davantage les figurines qui ont passé un test de terreur. J'essayerai sans doute lors de ma prochaine partie.
  2. Bonjour @Gothy, Je suis ravi d'échanger avec toi qui as initié ma réflexion sur le sujet. Pour répondre rapidement à tes questions : 1 - Le bonus de charge de la cavalerie est pris en compte dans les exemples en spoiler. Il est en effet précisé dans chaque cas si la figurine de cavalerie a chargé ou non. Le soutien universel a pour conséquence de limiter les occasions pour un cavalier de tirer le profit maximal de son bonus en chargeant une unité d'infanterie dépourvue de soutien. Toutefois, si on intègre le coût d'une lance à toutes les figurines d'infanterie, le rapport coût infanterie-cavalerie vient rééquilibrer ce désavantage. 2 - Dans ma proposition, il s'agit de reprendre telle qu’elle la formulation du paragraphe de règle sur les lances et de remplacer systématiquement "lance" par "infanterie". De cette façon, et de la même manière que dans les règles actuelles, le soutien ne peut pas utiliser de coup spécial. Quant aux armes à deux mains, étant donné que certains profils d'infanterie ne disposent que de ce type d'armes, cela veut dire qu'on les exclurait de fait de la règle de soutien universel, et il me parait inutilement compliqué d'introduire une telle exception. Si ces guerriers peuvent actuellement combattre tout en étant soutenu par un lancier, je ne conçois pas le problème d'une inversion des places. 3 - Cette dernière remarque pointe exactement la limite de ma proposition. Rappelons que la règle actuelle fonctionne tout à fait et qu'il n'y a pas de problème d'un point vu ludique. J'essaye surtout de corriger les effets esthétiques induits par cette règle qui conduit à des formations de figurines qui ne se retrouvent pas dans la réalité historique. L'idée est de modifier les règles en préservant le plus possible la mécanique ludique et son équilibre qui fonctionne bien, tout en incitant les joueurs à organiser leurs formations armées avec davantage de réalisme. Avec ma proposition, le lancier gagne une utilité même isolée de ses camarades, mais il est vrai qu'il reste identique à une figurine sans lance dans un simple duel. C'est à mon sens un mal nécessaire au risque d'ajouter trop de complexité ou de rompre l'équilibre du jeu. N'ayant qu'un unique partenaire de jeux avec qui disputer des parties dans mon salon, ce n'est pas très dur de nous en satisfaire. Éventuellement, on pourrait justifier que certes le lancier dispose d'un avantage sur l'utilisateur de dague à longue portée, mais que dès que ce dernier est parvenu à passer la zone d'interdiction de la lance, c'est lui qui dispose de l'avantage. La deuxième situation, compensant la première, il me parait plus simple de les laisser s'affronter sans avantages respectifs. Bon week-end,
  3. La cavalerie La cavalerie déjà désavantagée dans le SDA souffre particulièrement de la règle de soutien universel de l’infanterie. Néanmoins, cet inconvénient peut être pondéré en comptant les lances de cavalerie dans le total des lances pour annuler un soutien. De cette façon, la règle de soutien universel n’affecte absolument pas le rapport de force déjà existant pour tous les cavaliers équipés de lances. Pour ceux qui n’en sont pas équipés, la majorité disposent d’armes de tir (arc/javelots) donc ils voient leurs options de corps à corps réduites, mais gardent intacte leur fonction première alliant mobilité et tir. Enfin, les cavaliers qui ne sont pas eux-mêmes équipé de lances sont fortement découragés à charger dans une masse d’infanterie, ce qui est plutôt historique, mais qui pourrait être compensé par un ajustement en point. Quelques cas pratiques pour vous en rendre compte : Les wargs sans cavaliers, n’ayant pas accès aux lances de cavalerie ou aux d’armes de tir, sont les plus défavorisés par la règle de soutien universel. Néanmoins, on pourrait leur attribuer une règle spéciale équivalente à la horde grouillante, style meute grouillante, faisant d’eux la seule unité de cavalerie à pouvoir recevoir un soutien. Une exception limitée à un seul soutient maximum en provenance d’une autre unité avec meute grouillante. Pour le justifier, on imaginera des meutes de loup habituées à circuler « à la queue-leu-leu » et disposant d’une agilité supérieure sans le poids d’un cavalier. Voici quelques cas de figures : Les valeurs en point Deux options se dessinent : → On peut ajouter automatiquement à toutes les figurines d’infanterie la valeur en point d’une lance (1pts pour les anonymes / 5pts pour les héros) au titre de la règle de soutien universel et garder le même cout pour une lance optionnel. → Inversement, on peut à la place diminuer le cout des cavaliers d’un point ou deux, puisqu’ils sont maintenant désavantagés contre l’infanterie. Les héros à pied sont clairement avantagés par la nouvelle règle du soutien universel. À l’inverse, elle désavantage aussi les monstres qui profiteront moins des attaques de flancs et sur l'arrière, ainsi que les unités causant la terreur, puisque n’importe quelle unité d’infanterie pourra venir soutenir un camarade ayant réussi son test de courage. Je n’ai pas encore d’idée pour ces différentes modifications.
  4. Les Piques (Pas besoin de changer les règles des piques.) Étant donné que les piques suivent les mêmes règles que les lances, il n’y a pas besoin de changer leurs règles. Néanmoins, cela a pour effet d’améliorer cette arme qui rend inefficace les formations avec un seul rang de lancier. Les gobelins avec Horde grouillante Règle identique sauf que l’on remplace le mot lances par piques. On précise qu’elles ne comptent pas comme ayant des lances ou des piques afin d’annuler un soutien adverse., mais qu’une figurine qui soutient de cette manière conserve le bénéfice de son éventuelle arme à deux mains.
  5. Bonjour, Je viens ressusciter ce fil parce que le premier post de Gothy m’a interpelé. Étant moi-même plus porté sur les jeux historiques, je ne peux que souscrire au diagnostique posé sur les formations de lanciers au SDA. Avant de continuer, je tiens à préciser que je ne suis pas un grand joueur du SDA avec seulement trois parties à mon actif. Toutefois, il m’arrive de mettre en fonds des rapports de batailles YouTube pendant que je monte mes armées. Je ne prétends pas du tout être un expert, mais je pense avoir compris l’essentiel de la dynamique du jeu. En tout cas, comme j’ai l’occasion de jouer une partie de temps à autre avec mes amis dans mon salon, j’ai mis au point ma règle maison pour les lances qui pourra alimenter la réflexion d’autres comme Gothy a alimenté la mienne. Car la solution proposée par Gothy me semble en effet trop lourde. Elle tend à ralentir le jeu (de la même manière que les javelots certes, mais je trouve en effet que ces derniers contribuent à ralentir le jeu), et surtout, en tant que règle spéciale supplémentaire, elle vient compliquer le jeu pour le débutant que je suis, qui une fois pris dans la partie oublie souvent d’utiliser les coups spéciaux. Rappelons l’objectif : la lance est une arme de corps à corps avec une allonge supérieure qui permet de frapper l’adversaire de plus loin et ce faisant de le mettre à distance, voire de contraindre ses mouvements. Il s’agit donc de rendre compte de cette allonge en terme ludique à l’échelle du combat singulier. Dans la version actuelle du jeu, cette allonge est représentée par le fait de disposer d’un soutient arrière, permettant de doubler ses attaques pour la plupart des figurines du jeu. Dans cette logique, on ne peut profiter d’une lance que si l’on se trouve derrière un allié, ce qui est complètement absurde. Cette règle semble héritée de Warhammer battle qui est un jeu de régiment pour lequel elle parait plus adapté, même si à mon sens, elle correspond à la logique des formations de piquiers (plus de rangs en combat). Aussi, plutôt que faire de la lance une arme qui frappe de plus loin, sorte de combat avant le combat, je propose d’insister sur son effet contraignant l’adversaire en lui infligeant un malus s’il ne possède pas lui-même une lance. Non pas durant le jet d’opposition, mais au moment du décompte des attaques et des soutiens respectifs dans chaque combat. Pour cela, il faut toutefois passer par une modification plus large de la règle de soutien, mais qui, j’espère vous en convaincre, ne changera pas la dynamique du jeu. En résumé, mon idée est : 1 → modifier les règles de l’infanterie de manière que toutes les figurines avec ce mot clé puissent apporter un soutien à une autre figurine d’infanterie. En gros copier-coller les règle des lances en remplaçant systématiquement le mot « lance » par « infanterie ». 2 → modifier les règles des lances de manière que dans un combat, le camp totalisant le plus de figurines équipé d’une lance annule la totalité des soutiens de son adversaire (seulement les soutiens, pas les attaques des ennemies en contact socle à socle qui viennent encercler la figurine). Pour la justification du soutien universel de l’infanterie, on peut s’appuyer sur celle de la règle propre aux tirs sur des combattants : « Parce que les combats n’opposent pas vrai­ment des figurines statiques, mais plutôt des guerriers en pleine action, il y a un risque que le tir touche une autre figurine du combat. » p.31 du livre de règle. Aussi, parce que les combats ne sont pas statiques et que les combattants sont en mouvement, on peut tout à fait concevoir qu’un guerrier armé d’une épée ou d’une hache saisira la première opportunité de porter un coup à la volée, ou de surgir à l’occasion d’un mouvement de repli de son camarade devant lui. D’ailleurs, en étant nettement en retrait derrière un camarade, il n’est pas toujours plus aisé de porter un coup à un ennemi avec une lance qu’avec une épée. Si l’allonge de l’arme permet de rester plus ou moins loin des volées de coups perdus, la véritable difficulté consiste à trouver une fenêtre pour porter un coup sans gêner son allié ou le blesser. En suivant cette règle, le lancier peut dorénavant être aussi bien au premier ou au second rang d’une formation. Ainsi, les archers auront moins d’intérêt à être pourvus de lance puisse qu’ils pourront toujours soutenir derrière un rang de lanciers avec bouclier, ce qui est plus proche des formations documentées par l’histoire. Enfin, la formation sur deux rangs de lancier, qui n’est pas très rentable dans les règles actuelles, devient une option beaucoup plus intéressante en plus d’être davantage réaliste et historique. Les lanciers seront redoutables pour tenir un couloir ou un espace étroit puisqu’ils ne pourront pas se faire encercler et qu’ils annuleront les soutiens de leurs assaillants. Mais voici une série de cas pratiques pour illustrer la règle : Cette règle maison entraine des conséquences et des questions d’équilibrage pour les règles suivantes : → les règles pour les piquiers → les règles pour les gobelins avec horde grouillante → les règles pour les lances de cavalerie → les valeurs en points J’ai des propositions pour chacun des points ici, classés du plus facile à résoudre au plus difficile.
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