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mynyrve

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Tout ce qui a été posté par mynyrve

  1. mynyrve

    [GW] Citadel Finecast

    [quote name='Xahendir' timestamp='1315038245' post='1986458'] [quote name='blair_o' timestamp='1315037828' post='1986453'] Bonjour, Je passais sur le site GW et j'ai remarqué ce nota sur chaque produit finecast: [i]"En raison de la forte demande, chaque produit Citadel Finecast est limité à cinq par client."[/i] Est-ce vraiment la raison ou plutôt un moyen de réguler la distribution d'un nouveau produit ? Blair_o [/quote] Justement, dans mes souvenirs c'était 3 par clients. Donc si je ne me trompe pas, ça pourrait vouloir dire qu'ils commencent à mieux gérer leur production et à prendre leur rythme de croisière. Par contre, je continue à me demander si c'est si répandu que ça les commandes qui dépasseraient les quotas. [/quote] Tout le monde ne doit pas pouvoir le faire mais certains doivent acheter pusieurs fois les mêmes boîtes pour les unités. Il faudrait être un peu barge pour commander 5x le même perso mais les unités, ça doit pouvoir se faire facilement...
  2. mynyrve

    Mercenaires

    Salutations à tous ^^ ! Bon, désolé de l'absence si longue mais j'attaque une passe bien dure (IRL comme dans le récit) : la création de l'univers. Le prologue est mal foutu mais devait mettre en place le problème (les orques donc), le chapitre un devait créer les personnages et le chapitre deux, l'univers. Quand je dis univers, j'entends donc par là, approfondir le personnage principal ('fin, surtout agrandir le vide à la place du gentil p'tit coeur des bisounours !) et mettre en place, la sociologie, la hiérarchie, comment marche les royaumes principaux, la cartographie, la politique, etc. Une passe donc potentiellement intéressante et tour à tour chiante aussi, une passe compliquée (ben oui, que l'on se le dise, je n'ai que seize putains de printemps donc quasiment aucune expérience en matière de politique et de psychologie, donc ici, ce ne sera qu'une ébauche et je pense que je reprendrai cela dans quelques années ['fin, le problèmes, c'ets que tous les textes que j'ai en tête doivent attendre des dizaines d'années avant d'être finis car il me faudrait une telle réflexion, maîtrise, connaissance, connerie de la vie humaine qu'en dix réincarnations, je n'aurai toujours pas fini >_<" !]). Donc, voilà. J'espère que ce ne sera aps trop long et que ce sera assez explicite sur certains points (et implicites sur d'autres "). haldu, on s'est MP, me semble-t-il ... Inxi, bah, en fait, il est desaxé, c'est tout. Et ça devrait pas s'arranger mais certains personnages seront là pour le canaliser (enfin, l'aider à surmonter ses sautes d'humeurs ou les créer justement XD). Par contre, à zéro pas tellement puisque ses autres compagnons seront là (ceux déjà cités auparavant dans le chapitre 1 (ouais la daube de 40 pages --"). La suite donc : (dites les titres de passages, comme c'est juste pour le fun, je peux mettre des conneries telles que là, un titre de Nietzsche qui va parfaitement bien ou ça dérange de la même manière que si c'était le titre de chapitre ?) [center]Ecce homo[/center] La route était vieille et usée. Fut-ce là une autre métaphore ? Rien de certain, tout comme il n’était rien d’incertain. Mon esprit vagabondait de-ci de-là, éparse, fluctuant. Dire que c’était peut-être là l’une des dernières fois que cela m’arrivait ; peut-être était-ce l’une des dernières fois où je pourrai ainsi me retrouver, seul et lucide, vivant. Bientôt, je dépérirai, sous quelle forme, de quelle manière, je n’en savais rien mais les instants qui devaient suivre s’annonçaient pour le moins mauvais. Mes amis étaient partis loin de moi ; ils m’avaient fui et cela sauverait peut-être leurs misérables existences mais moi, j’étais condamné à ne plus vivre, mais sans être mort non plus. Je ris alors, d’un rire profond et radieux à l’évocation d’une simple pensée : cet enfer-là, je le connaissais déjà … De vieux fous bornés avaient créé une malédiction pour anéantir les êtres cruels et mauvais, tels que moi, mais finalement notre punition tuait plus d’innocents qu’elle ne nous purgeait de nos pêchés. C’était un fait, une réalité que je n’avais aucun mal à regarder en face : bientôt, mon corps sera froid et ma peau perdra sa pigmentation et les mouches se déposeront sur les plaies qui parcourront ma chair – ou il se pourrait aussi que l’on brûle mon cadavre. Il me restait simplement à établir de quelle manière j’aimerai trépasser et que faire pour. Drus avait parlé d’un nécromancien et d’après ce que j’avais vu, c’était fort probable. Rares étaient ceux qui maniaient ces arts noirs, ces arts nécessitant du sang, ces magies funestes. De notre monde civilisés, il n’en était que trois, deux avaient jurés fidélités à leurs royaumes et le troisième était itinérant vendant ses services à ceux qui pouvaient payer mais il n’était guère trop capable de ce à quoi j’avais assisté et participé. Mais plus généralement, ce don se transmettait par le sang lui-même, de parent à enfant, c’est ainsi que naquirent les lignées nécromantiques. Mais la dernière maison avait été détruite, environ six années auparavant par cet être infâme que j’étais : j’avais égorgé, dans l’un des plus hauts monts de la Barrière du Crépuscule, montagne se dressant au milieu de nos contrées, le pic de la banshee – nom dû au bruit étrange que produisait le vent lorsque l’on se trouvait à sa proximité –, ? Eda, seigneur de ces terres lointaines et inaccessibles, éventré sa femme et son fils, qui tentait de contrôler l’une des créatures de son père, et transpercé de ma lame déjà rougie sa jeune fille, pourtant innocente puisqu’elle n’avait nuls pouvoirs. Mais c’était la loi de mon métier et la tuer n’avait pas été difficile car elle serait devenue une menace plus tard, avec ou sans son héritage. J’avais vérifié, mes informations étaient sûres et il serait fort étonnant que qui que ce soit ait pu apprendre à contrôler, en une demi-douzaine d’années, ce genre de magie. De plus, j’étais resté une semaine avec mes hommes sur les ruines fumantes du château, pour s’assurer qu’il n’y aurait nuls problèmes … Je soupirai ; je ne savais pas contre qui j’aurai à me battre et cela, je ne l’appréciais vraiment pas. Mais, après tout, rien ne m’obligeait à me diriger dans cette direction-là. Il fallait sauver le monde d’un esclavage d’outre-tombe ? Qu’aurai-je à gagner ? Rien, puisque je serai mort. Une dernière mission, un dernier combat sanglant et héroïque ? Je ne pouvais que sourire à cette idée : elle était ma devise. La cruauté comme armure, la rage comme arme et l’immortalité comme récompense. Une immortalité à laquelle je ne pourrai jamais toucher mais qui me sauverait de l’oubli. Une bonne raison pour mourir ; il n’y avait que cela qui comptait : savoir pourquoi l’on doit trépasser. Mais là, un dilemme se posait : tuer ce nécromancien et sa clique serait une tâche ardue mais pourrait-elle réellement me faire rentrer dans l’Histoire de notre monde ou alors utiliser mon nouveau potentiel. Je frissonnai à l’évocation de cette nouvelle partie de mon être. Être considéré comme un monstre n’était pas un problème, loin de là ; l’être vraiment, par contre, pouvait en poser plus d’un. Que deviendrai-je ? Que serai-je si mon état se dégradait encore. Cette malédiction était, de ce que j’en croyais, un mythe. Des histoires racontées et portées par les mercenaires et autres corps militaires réguliers. J’en avais bien lu quelques bribes d’informations dans des livres sciemment prêtés par de riches employeurs – l’un des agréments de ma haute position était que certains, sachant que je n’étais pas analphabète, me permettait quelques services de ce genre-là. Cela faisait un mois seulement que je commençai à me poser des questions. Bien évidemment, je n’en serais pas là si les symptômes avaient débutés un mois auparavant. Non, je dirai bien que j’ai été atteint par ce mal plusieurs années plus tôt. Si je comptabilisai bien, cela faisait environ six années que j’avais grimpé encore d’un cran. Approchant de mon trente-cinquième hiver, j’eus décidé un soir qu’il ne fallait surtout pas que je commence à me laisser aller à la gentillesse et à l’honneur, la propreté. Se faisant, débuta mon règne de barbare et de tyran. Je devins cruel et avare de carnages. Les miens et moi-même étions, avant cela, parmi les groupes les mieux payés et les plus respectés : par la suite, nous devînmes les seconds, la première étant réservée de longue date par mon mentor. En y repensant, ce qui eut clos mon initiation de mercenaire fut cette nuit funeste où j’abattis les Edas. Je pactisais à cette époque avec la Mort, m’engageant à me faire son héraut jusqu’à ce que je trépasse. Les mois qui suivirent furent noirs : partout où j’allais, la pluie et la nuit venait aussi. Lorsque les beaux temps revinrent, quelque chose avait changé et je n’étais plus totalement le même. Aujourd’hui, je m’étonne de ne pas être déjà devenu autre chose qu’un humain : je mange et je bois mais plus par obligation car les aliments ont perdu leur saveur, les couleurs, qu’elles soient vertes, blanches ou bleues, cela n’a plus d’importance car je ne suis qu’une seule ligne tracée par du pourpre et c’est la seule qui ait une quelconque importance. Nulle femme ne peut plus combler les désirs humains qui furent autrefois mien et depuis ce temps, seul l’acte de tuer me permet de jouir d’un statut d’être à part entière. Cependant, comme il fallait s’y attendre, ma renommée déjà grande acquit un avenir légendaire et l’on m’octroya le surnom du Démon du massacre. En ce jour, j’étais un homme puissant et j’estimais aussi pouvoir dire que j’étais riche. J’étais mercenaire et par conséquent libre d’aller où je désirais, je n’avais ni attaches ni valeurs et j’étais bon combattant. Alors généralement, dans les situations de crises, lorsque certains bons payeurs se trouvaient dans le besoin j’arrivais avec mon groupe et nous éradiquions les problèmes et ce d’une manière toujours très appréciée. Un mercenaire, voilà ce que j’étais. Un brigand payé pour tuer, haï mais indispensable. Ma maison était le carnage et j’étais polygame, marié avec chacune de mes lames, et j’avais pour enfants tous les cadavres qui jonchaient le sol après mon passage. Je parcourais le vaste monde depuis plus de vingt années – bientôt vingt-six étés si mes calculs étaient bons – et j’en connaissais presque chaque recoins. S’il fallait traquer un conspirateur dans les plus sordides et secrets bouges, un oiseau et sa cargaison – une petite lettre d’instructions et une avance – et l’affaire était réglée dans la semaine généralement. J’avais plus d’informateurs et d’espions, recrutés par la terreur que j’inspirais cela va sans dire, que certains royaumes. Je n’étais peut-être rien de plus qu’un bandit mais nombre de gens s’agenouillaient à mes pieds. C’était mon salaire pour faire régner la cruauté et la peur : très peu pouvaient se vêtir d’autant de superbe. [b]Edit :[/b] Oups >_< ! Pour les points d'interrogations, j'ai complètement oublié, j'avais dit que je devais régler ce point avant de poster ^^" Juste que je tente d'y passer un peu de temps (j'ai jamais rien pigé à l'onomastique et j'arrive pas à créer des noms de mon imagination jsute comme ça ...) : pour infos, je dirai que j'ai passé une douzaine d'heures de recherche pour le nom de la lignée de nécromanciens Pour l'orthographe de la phrase, non, c'est bien marqué tel que c'est : il est haï par beaucoup de gens, mais comme ce sont ces mêmes personnes qui le payent pour les boulots qu'elles ne peuvent faire ou faire faire .. D'où l'indispensable. C'est pleinement voulu (et personnellement, tu m'as juste donné une raison de plus de garder ainsi pour l'ambigüité produite par la phonétique de la phrase !).
  3. mynyrve

    Nouveau modérateur

    Tiens donc Bah, c'est fun pour ta promotion mas je pnse que tu la mérite bien : tu es actif et généralement tu tentes de poster de manière constructive En espérant juste que tu éviteras de donner plus de 20% (bah ouais comme tout modo qui se doit, il faut au moins une première !) ! Bonne chance !
  4. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    [quote name='Ulren' timestamp='1310409586' post='1953138'] [quote]Et bravo à vous (notamment à Ulren et sa subite remontée de 5pts ) ![/quote] Tu peux m'expliquer stp ... c'est le genre de petite phrase pleine de sous-entendu qu'on ne sait pas dans quel sens prendre ... Ulren [/quote] Vraiment désolé si je t'ai offensé : ce n'était absolument pas mon intention. Je disais simplement que tu avais obtenu 5/6 et que grâce à cela, tu étais 1er ex-aequo. Et subite puisque tu as eu la remontée la plus rapide ... Mais je ne vois aps du tout où pourrait-être le sous-entendu ?
  5. [quote]Alors pour le fond l'histoire est pas mal mais à chaque fois faire l'un et l'autre ça casse vraiment le rythme je trouve, il faudrait essayer de trouver une autre solution ! [/quote] Le problème, c'est que les deux sont écrits à la 1ère personne >< Et puis, oui, si ça dure tout les deux bouquins, ça risque d'être un peu lourd au bout d'un moment >< Sinon, fun, t'as viré le SVC (bon, il en reste, 'faudrait pas trop charrier mais c'est mieux ...). Après, faire attention à l'idiosyncrasie du perso : c'est un soldat, donc un type endurci et avec tout ce qui accompagne le soldat, donc si dès que le type rencontre une femme, il se met à rougir, ça peut être un petit peu dur de le suivre (parce qu'avoir peur des femmes et pas craindre des Basilics ... ). D'ailleurs, pour te citer, tu utilises bien le terme "adolescent prépubère". [quote]Je sentis mes joues rougirent devant une [/quote] Terminaisons ... Bonne chance
  6. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    [quote name='skyller' timestamp='1310333867' post='1952549'] juste une question a la con la barre orange c'est pour les point de la session et la barre bleu ? [/quote] La session précédente ! Et bravo à vous (notamment à Ulren et sa subite remontée de 5pts ) ! Bonne continuation.
  7. Salutations ! Très beau scarabée Le truc vert sur les bras pour les articulations, qu'est-ce ? Cependant, fais attention au laser sur certaines photos, il fait un légèrement arrondi ... Quant au servo-crâne, on ne voit guère mais il semble assez sympathique lui aussi (bien que pour un truc censé voler, je trouve les câbles un peu long). [quote]Comme la mode est à "l'opération transparence" avant les GD cette année, et ben j'y vais de mon petit WIP. Mais pour garder un peu de mystère (parce que le mystère, c'est quand même cool), je ne montrerai qu'une entrée sur les deux à savoir: mon duel.[/quote] Ouais, les vieilles traditions se perdent >< ... 'Faut croire que les peintres de figouzes gagnent en ambitions. [quote]J'adore cette catégorie, qui malheureusement n'existe pas en France. Je voulais faire un truc petit, fin, un peu chiadé... Et ayant une vague idée dans la tête, je me suis lancé.[/quote] Ca n'existe pas en France ? >< Ca craint parce que généralement, c'est celle qui aboutit des projets vraiment aboutis (dans la simplicité, pas dans l'excès) avec les Dioramas. [quote]J'appréhende un peu la peinture du servo-crâne, j'ai peure d'avoir un truc un peu fade par rapport au Scarab... On verra bien.[/quote] Oui, nous verrons bien mais bon, je pense que si le gris métal froid et commun sera ... commun (^^"), l'OSL apportera sa touche de couleur (c'est vraiment là-dessus qu'il ne faudra pas se planter quoi ><). [quote]Mais bizarrement, la position du scarab me rappelle une BD de Yoko Tsuno...[/quote] Perso, moi, c'est putôt Matrix 3 dans la cité des machines, à la fin Oo. D'ailleurs, en parlant de cela : le socle, pourquoi l'avoir fait incliné ? Bonne chance !
  8. mynyrve

    [40k-04] Crimson Fists

    Salut ^^ (Enfin un truc intéressant à dire !) Tu as posté deux fois la même photo ou c'est du bluff ? Et tant que j'y suis : - Je suis pas trop fan de tes éclaircissements : tu fais un mélange de dégradé avec de l'éclaircissement intensif. Choisis soit l'un, soit l'autre car voir un rouge intensif avec un bleu dégradé à côté, c'est bizarre >< - Pour l'éclaircissement intensif, je te conseillerai de pousser peut-être un peu plus les couleurs claires et foncées. Ici, sur le rouge (une couleur chiante à faire avec les pots GW), tu passe du Red Gore au Blood Red net et pur, juste comme cela : fais au moins un intermédiaire et un éclaircissement supplémentaire, non ? - Pour le dégradé, qui est une technique difficile à maîtriser, essaye de "tirer" la peinture et pas de faire juste des successions de couches (là, c'est p-ê la photo qui est naze ...). - Pour ton NMM, sans vouloir paraître méchant ou quoi que ce soit, je sais pas si c'est une super idée. Il faudrait maîtriser un peu plus le dégradé, les couleurs et la pose de l'éclaircissement, AMHA ... Voilà, n'abandonne pas
  9. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    Oki bien (désolé Kaelis pour le monoligne ><). Donc, oui, (me semble que j'ai oublié de te MP, Paps --" ?). Je comprends parfaitement, c'est pour cela que j'avais posé la question parce que d'un côté comme de l'autre, j'avais des raisons pour poster comme pour ne pas le faire. Donc, je pense que ton idée peut être sympa mais d'un point de vue background, les seules liaisons que j'ai réellement eue étaient avec Sky', mon ennemi juré. Et je pense qu'actuellement, il a mieux à faire (tiens bon avec tes Tytys ). Bon, bah, je vais tenter de poster dans vos sujets individuels . Mais quoi qu'il arrive bonne chance à tous et tenez bon, sinon, je vais revenir effectivement pour kick vos ass ( XD) ! Et merci encore à tous d'avoir dépenser du temps pour ma sale pomme ... Affectueusement, Myn'
  10. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    [quote name='Gurutz' timestamp='1309196984' post='1944005'] [quote name='mynyrve' timestamp='1309196461' post='1943994'] donc dans mon esprit, il aurait fallu obliger les lâcheurs (si je puis me permettre ^^") à écrire la chute de leur peuple, la disparition tragique etc. Sauf que vu que personne ne l'avait fait auparavant, je n'y avais guère pensé qu'au début de la fin (mais j'avais d'autres chats à fouetter à l'époque --"). [/quote] Dans la mesure où on a pas réussi à tous les "forcer" à donner une explication de la "vrévie" à leur abandon, certains ayant purement et simplement disparus, je vois mal comment on aurait pu leur demander de se justifier fluffiquement en plus ... [/quote] ^^" The reasons why ... (C'est c*n mais je vois pas d'équivalent français o_O") [b]Edit Kaelis: On évite les monolignes et on dévellope ses posts s'il te plait. Cordialement , Kaelis[/b]
  11. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    Oki Ze', je le MP (j'y avais pas pensé, dsl ><). [quote]Les Chroniques sont quand même réservées aux participants, et tu as dû abandonné le CDA... Enfin, personnellement, je n'y vois aucun inconvénients, mais dans ce cas, tu n'auras qu'un message, pas plus.[/quote] Ouais, c'est pour cela que je demande. En fait, dans ma vision, les Chroniques étaient là pour raconetr en gros ce qu'il se passe dans chaque camp. Or, l'abandon d'un candidat, c'est un peu la mort de son peuple, donc dans mon esprit, il aurait fallu obliger les lâcheurs (si je puis me permettre ^^") à écrire la chute de leur peuple, la disparition tragique etc. Sauf que vu que personne ne l'avait fait auparavant, je n'y avais guère pensé qu'au début de la fin (mais j'avais d'autres chats à fouetter à l'époque --"). [quote]La fin de la session approche, et les traditionnels points doivent être distribués. Mynyrve n'étant plus avec nous, je prends la relève.[/quote] Bien désolé quant à cela ...
  12. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    Salut à tous ^^ ! Bon, je viens pour vous aider à vous motiver (j'aimerais faire cela plus souvent sur vos sujets individuels, mais je n'arrive vraiment pas à poster des messages que je trouve inutiles et n'apportant rien OO ... ) ! De plus, (bah ouais, rien n'est gratuit --") je viens pour vous demander si je pouvais faire un post d'adieu dans les Chroniques. Je m'explique, ça me dérange vraiment d'avoir dû abandonner, surtout que je n'ai pas réussi à avancer aussi vite que je le souhaitais et que je n'ai rien posté dans les Chroniques depuis belle lurette. Pensez-vous que ce soit possible ? Voilà, persévérez, maudissez les cruels Dieux de la figouze, peignez, écriver, continuez quoi :lol : ! Myn'
  13. mynyrve

    Petits Récits Nurglesques

    [quote name='haldu' timestamp='1309115200' post='1943376'] [quote name='Zarakaï' timestamp='1309089852' post='1943197'] -Se faire « pénétrer par tout les trous » se conjuguera au sens propre pour elle ! [/quote] Tu sais comment ça marche un cerveau. On lui dit un truc, et il l'imagine. Alors merci beaucoup [/quote] P'tain, je plussoie : c'est vraiment déplacé sur un forum où des mômes se promènent (et perso, même en étant majeur, je vois pas forcément trop l'intérêt de ce genre d'humour dans des textes comiques [en fait, c 'est pas de l'humour, ça peut s'apparenter à de la misogynie ) ...
  14. mynyrve

    Mercenaires

    Salut à tous ^^ !! Je reviens enfin avec la suite ! [quote]Effectivement, c'est une manière de résumer [/quote] Personnellement, je dois avouer que j'ai apprécié >< [quote]-Le résumé qui reprend bien ce qui s'est passé. -La mort d'un perso -L'arrivée du méchant et la suite de l'histoire ![/quote] Ah, tu places la mort du perso dans les + et c'est moi que l'on traite de sadique ? XD !! L'arrivée de [u]la[/u] méchante, svp. Mais "il" ou "elle", actuellement cela a peu d'importance (d'ailleurs, le héros ne s'en soucie guère ...). [quote]Pas trop ce chapitre, on retrouve un perso froid donc voyons comment les relations des survivants vont évoluer ![/quote] Pourquoi est-ce un moins Oo ? Perso, c'est le seul avantage et le seul truc que je trouve marrant dans tout ça ! Suite (qui risque de pas plair à Inxi' ><) : [center]Silence[/center] Je fus bien évidemment le premier à rompre le silence lourd qui s’était abattu sur le groupe. Je repartis vers le campement ; il m’était impossible de rester ici à pleurer cet être : si le respecter et ne pas enjamber son cadavre m’était possible, je ne pouvais en faire trop. Je repartis vers le campement pour nettoyer mon arme et laissai mes amis geindre cette mort. Seize années. Seize années passées à courir après une fin atroce et prématurée ensembles. Le vent soufflait légèrement, vent de début mars. Ni trop froid, ni trop chaud, juste ce qu’il fallait. Cette région-ci était sujette à un climat assez tempéré et, bien que je préférasse de loin l’hiver rude des montagnes du Nord, cela allait à ma convenance : pas de canicule au premier solstice mais un peu de neige au second. Les décombres, les restes calcinés du champ de bataille jonchaient le sol : de-ci, de-là, quelques parties de cadavres qui n’avaient pas été totalement consumés, les quelques arbres et arbrisseaux qu’abritait l’endroit auparavant tentaient vainement de rester debout. Et toujours cette cendre, cette poussière sous mes pieds, dans laquelle je pouvais m’enfoncer presque. Si mon stoïcisme me le permettait, j’en aurai peut-être tremblé mais, hélas, ce n’était pas mon droit. Lorsque j’arrivais enfin près de la chaleur réconfortante des flammes de notre campement, la lumière lunaire revenait peu à peu. Je m’asseyais par terre, mes affaires juste derrière moi. Dans la position dite du tailleur, mon épée à ma droite, je liai mes mains et déposai mes pouces contre mes lèvres. Je fixai le feu et alors que le silence m’angoissait, je mordis ma lèvre inférieure de toutes mes forces, jusqu’à ce que je puisse sentir le sang couler lentement entre mes dents et que je puisse goûter à sa saveur âpre ; cela me calma temporairement. Je n’avais jamais aimé Eork et, dans un premier temps, il m’avait coûté beaucoup de le garder parmi nous. Il était inutile et incapable. Mais nous avions une dette, à l’époque, et je l’avais gardé. La première année, il m’avait fait perdre mon temps et mon argent : il restait la plupart du temps à trembler à l’arrière du groupe et n’usait guère de ses pouvoirs. Alors que je pensais à l’abandonner à un détour sordide, il se montra compétent tandis qu’après un combat acharné contre un ennemi trop nombreux, je me fus retrouvé avec le thorax ouvert, à l’article de la mort. Il me sauvait pour la seconde fois. A l’époque, je m’étais résolu à ne pas le tuer – faute pour laquelle je n’aurais plus la faiblesse d’exécuter aujourd’hui – et petit à petit, il avait pris confiance en lui et avait dévoilé ses rares talents. Au fur et à mesure des contrats défilant, des mois s’enchaînant, il avait acquis sa place auprès des autres, s’était assis sur sa renommée au sein du groupe et nous lui devions trop pour partir un jour après lui avoir tranché la gorge. C’était cet être malingre et pathétique que mes amis pleuraient aujourd’hui. C’était lui qui m’accablait d’un profond désarroi et qui me précipitait dans le gouffre insondable de la tristesse. Tristesse pour Drus et toutes ses sœurs, pour ce monde qui s’écroulait sous mes yeux sans que je puisse y changer quoi que ce soit. Mais le choc était si grand que les larmes maudites ne voulaient toujours pas couler. Thörbj arriva de son pas lent et solennel, suivi de Slena, furieuse, que j’entendis renifler. Je leur déclarais : - Nous l’incinérerons demain, à l’aube. - La décision est prise ? demanda le géant. - Oui, répondis-je platement. Nous n’avons pas de temps à perdre pour transporter son corps ou pour l’enterrer. - C’est entendu. Il passa et se dirigea vers sa couche tandis que la guerrière endeuillée courut à la sienne, de l’autre côté du feu de camp. Alors qu’elle se trouvait de dos, je pus distinguer sa nouvelle cicatrice, due à mon infamie. Les traces de morsures étaient marquées dans sa chair et son épaule ne reverrait jamais plus sa peau lisse mais du sang suintait par endroit, aussi, me risquais-je à l’appeler : - Ta blessure va s’infecter si l’on ne fait rien. Se retournant, elle me dévisagea stupéfaite, effrayée, effarouchée et haineuse. - Je pars. Tu n’auras plus à t’en préoccuper. - Tu pars ? demandais-je, calmement. Où ça ? - N’importe où tant que cela me mène loin de toi, cracha-t-elle. - Va à l’Ouest et prends un bateau. Qui sait : lorsque vous atteindrez le bout du monde, peut-être n’y serais-je point qu’en légendes. - Légendes ? Tu resteras comme un meurtrier ! hurla-t-elle. Tu m’aurais laissée là, étendue au sol et tu aurais attendu le matin pour me brûler ! Ose-le dire ! ajouta-t-elle, la voix tremblante, les yeux sertis de larmes. - Oui, sortis-je, platement. Ainsi, va. Ce fut les derniers mots que j’eus prononcés en sa compagnie. Elle resta là, pendant un bref instant, tétanisée. Mon ami, quant à lui, restait assis, patiemment, ne sachant que faire car rien n’aurait pu rester vivant dans le lopin de terre sur lequel nos regards se confrontaient. Puis elle se reprit, ramassa ses affaires et s’en alla. Nous entendîmes les chevaux hennir et la galop fou de l’une des quatre montures à travers la brume ténébreuse de minuit et le vent glacial qui se levait légèrement ; cela, Thörbj ne put le laisser faire : il se leva furieusement et traversa les quelques mètres nous séparant. Il m’attrapa par le col de mon vêtement et me souleva, m’houspillant : - Sais-tu quelle erreur viens-tu de commettre, misérable créature ? - Ouais. Alors laisse-moi la cultiver en paix, si je puis l’être, sifflais-je. - Tu la laisses partir alors que tu tiens à elle ; tu la laisses partir alors que tu as occis certains employés que tu considérais comme des déserteurs ; tu la laisses partir alors qu’elle a besoin de soins ! - Et alors ? Donne-moi une bouteille, je tâcherai de l‘oublier car c’est ainsi que l’on efface ses pêchés. - Elle va mourir, le sais-tu ? demanda-t-il, un rictus de dégoût transcendant toutes autres émotions. Ne réponds pas. Ta réponse serait pire que du poison : tu le sais et tu le veux. Il me lâcha et je retombai sur le sol, sur le dos à regarder l’infinie voûte céleste. - Depuis quand as-tu perdu ce qui faisait de toi un être humain ? me questionna-t-il, connaissant déjà la réponse. - Sincèrement, l’ai-je jamais été ? - Oui. Oui, Frykten, tu le fus. Mais plus aujourd’hui. Je pars lui faire les derniers honneurs que l’on s’adresse entre humains, finit-il en montrant le cadavre de celui qui avait été ecclésiaste par le passé et sur-ce, s’en alla lui aussi. - Seras-tu là demain matin ? posais-je. - Nous verrons bien … Je me retrouvais seul. Seul avec ces flammes que nous alimentions plusieurs heures auparavant à quatre en bavardant et riant, menant la vie insouciante et dissolue d’un groupe de mercenaires. Slena était partie blessée par ma faute : elle portait certes son plastron et sa jupe de mailles mais, par confort pour dormir, n’avait pas mis ses épaulières et s’était éloignée du campement sans son arme. Eork était mort parce que je n’avais pas anticipé le pire et qu’il était venu malgré les chances très faibles. Je l’avais achevé alors que si j’avais été plus responsable il se serait soigné lui-même. Et Thörbj, qui ne m’avait jamais quitté en vingt-trois années, s’éloignait parce que je perdais pied et tous sens des réalités. L’on dit pourtant que la nuit porte conseil : celle-ci n’apporta que malheur. Je laissais le feu s’éteindre de lui-même et écoutais patiemment tous les coups que Thörbj donna pour creuser. Avec quoi faisait-il la tombe, je n’en savais rien mais par la violence des chocs, je compris qu’il ne serait très certainement plus là le lendemain à mon réveil … Les flammes s’amenuisèrent durant un temps avant que je ne trouve les redoutées ténèbres oniriques et pendant ces lents instants d’agonie, Thörbj avait achevé sa contraignante tâche et les hennissements des chevaux avaient cessés, eux aussi. La nuit se passa sans aucunes autres particularités : je dormis aussi paisiblement que je pouvais l’être et nuls tourments ne vînt m’accabler. Et lorsque j’ouvris les yeux, le ciel était bleu pâle, clair sans nuages, même à l’horizon : qui les avait ainsi chassés et pourquoi une telle hâte ? Il n’était pas d’oiseau moqueur pour me lever avec son chant doux et bruyant, cette sainte et précieuse cacophonie des abords de forêts. Il n’était que les cendres inanimées des bouts de bois, répandus par le vent partout dans ce qui fut autrefois notre campement. Il n’était que ces cendres là pour me rappeler la souffrance que je ne pourrai plus exprimer ou ressentir ; il n’était que celles-là pour signifier celles de mon groupe, éparpillées à travers la faune hostile de ce pays devenu sinistre. Je me levai rapidement et rangeai mes affaires. Le nordique n’était pas revenu et les siennes se trouvaient toujours à l’endroit où il les avait laissées. Il était partit avec le nécessaire : sa hache et quelques vivres. Quant à moi, je fouillai dans les affaires de notre défunt ami désirant trouver quelque chose d’intéressant. Excepté deux livres, dont un totalement illisible, je pus réunir une bourse à moitié vide, une flasque d’eau presque pleine et un bijou de valeur incertaine que je n’avais jamais vu auparavant. Après, cette maigre et infructueuse récolte – j’eus voulu trouver des baumes, des onguents mais Slena était partie avec la veille – je scellai deux des trois montures restantes, souhaitant vendre la jument de l’érudit à la ville prochaine. Et je partis, sans remords et sans remplir ma panse ne voulant perdre plus de temps. Dites, est-ce qu'introduire par un mini nom de passage chaque morceau pourrait être sympa (sachant que ça reste le même chapitre, ça peut embrouiller, non ?) ?
  15. 'lut ^^ !! Mouais, toujours sympa en profondeur mais ... reste toujours l'SVC qui gonfle >< Par exemple : [quote]Je marchais. J’étais perdu dans mes pensées. En fin de soirée, j’avais atteint le passage vers notre ancien repère.[/quote] Pourquoi ? Si l'on excepte la fin de soirée de la troisième phrase, tu te retrouves avec 3x "je" pour commencer. (Le "En fin de soirée" ne change pas tellement la donne par ailleurs) Un exemple (bidon) de solution autre (ouais, il y en a une infinité mais c'est juste histoire de montrer un petit peu, et après, faut faire la différence entre les SVC et les phrases sur quatre lignes --" [Mynyrve inside ...]) : [i]Tandis que je marchais, passablement maussade, sur la grève, je me perdis dans mes pensées, par sentiment d'amertune. C'était la fin de la soirée et j'atteints alors le passage menant à notre ancien repère ...[/i]. Bon, je l'ai dit : c'est bidon, surtout que j'ai un style parfaitement opposé : je décris même la teneur en sel de la mer (ouais, les persos se font courser par des orques et le narrateur boit un peu d'eau salée pour dire si c'est plus proche de la Méditerranée ou de la Mer Rouge ...). [quote]- Il y avait eu un débat là-dessus sur le topic d'Haldu ou de Mynyrve (j'avoue ne plus savoir), mais quand on se prend une dague qui troue l'estomac de part en part, poison ou non, on est mort (à plus ou moins court terme)[/quote] Rah !! l nous cite !! Et les droits d'auteurs ? Bon, sans déc', c'était sur mon sujet. En fait, c'était aps tellement que le gars clamse direct (bon, même si ça fait pas forcément du bien --") mais surtout que les sucs gastriques se déversent après à l'intérieur du bide du type XD ! En gros, pour reprendre els mots d'Haldu, le type se digère lui-même quoi [quote]Gné ?[/quote] Ouais, ça peut poaraître bizarre quand on connaît pas le mot : l'ais, c'est al planche de bois >< [quote]Un haut-le-cœur sortit de ma bouche[/quote] Ouais, je dois avouer que j'ai bien rigolé sur celle-là !! [quote]Bon, j'ai l'air méchant comme ça (et je conçois que tu puisses le penser, ou du moins je le penserais à ta place), mais c'est pour te pousser à remanier un peu plus le texte. Ça ne peut que l'enrichir (toi avec, par la même occasion), et si tu l'aimes vraiment (ce qui semble être le cas, puisque tu en es au 3ème cycle) alors tu ne peux que vouloir son bien Je pense qu'il le mérite, et que la suite peut envoyer du pâté ![/quote] Perso, 'faut le bannir ! "Je ne serais plus jamais méchant avec les jeunôts." 500x ! Et aps le droit aux programmes !! (Blague de programmeur inside ). Nan, sans déc' (Je dois avouer que je déconne pas mal ), les critiques les plus dures sont parfois les meilleures ... Sur le fofo justement, après deux années à poster mon texte, [u]Mercenaires[/u], j'ai enfin eu une critique particulièrement vorace ; la seule chose, c'était que l'user ne faisait aps ça méchamment, au contraire. Cela m'a permit de voir, de réfléchir sur certaines choses, ce que je ne faisais aps forcément auparavant. Voilà, vivement al suite en tout cas (et pas de SVC, stp )
  16. Salutations ^^ !! Déjà, je t'inciterai à relire la charte : tu n'as le droit de répondre à tes messages qu'en y insérant un morceau de texte (minimum une page et demi, max, je te déconseille plus de quatre)(sauf pour les OS où il n'y a rien à rajouter à la fin, normalement). Après, j'en viendrai à faire les mêmes remarques sur le SVC >< et de même pour les majuscules (j'ai lu avant que tu ne modifies ). Ensuite, pour taper dans le neuf : ainsi donc, tu as parlé de niveau professionnel ? Si ce n'est indiscret, puis-je te demander dans quoi tu travailles ? Tu as fini les deux bouquins (ce qui inclut le fait que tu comptes éditer ?) ? Quant à la relecture : personnellement, je peux comprendre ce sentiment puisque moi aussi j'écris ici bas, et ayant été plus jeune et ayant détesté cela aussi. Cependant, personnellement toujours, actuellement, où j'en suis de mon récit, j'adore ça : relire c'est obligatoire, la réécriture l'est aussi mais c'est aussi un plaisir (oui, perso, c'est obligatoire ayant commencé il y a 2 ans et étant encore môme cela implique de grosses différences d'idées et de styles). Au moins, la réécriture m'accompagne et m'aide à écrire même lorsque je n'ai guère d'inspiration. Là est peut-être le problème : tu ne dois aps avoir tant changé que ça ces dernières années et vu que tu as tout fini ... Malheureusement, je présume que si tu viens ici c'est pour avoir des conseils et des critiques alors la réécriture risque d'être obligatoire (ne serait-ce que par respect parce que si c'est juste pour que l'on admire tes textes, 'faut aller chez l'éditeur direct ><). Voilà quant à la toile de fond en dehors du boulot. Maintenant : Oui, toujours pour plussoyer Celt (c'est le problème de apsser après les autres ^^"), effectivement ça paraît assez lambda actuellement, si l'on excepte le petit flashforward (ou est-ce un flashback ? A voir apr la suite ^^) à la toute fin. Ca fait un peu penser ces séries, telle Lost ou Breaking Bad (pour la première c'est l'univers de la série ; la seconde ce sont de petits passages attrayants), ou autres films impossible à piger O_o" ! En tout acs, c'est le plsu fun et le plus intéressant : il y a de quoi jouer là-dessus ! Cependant, en continuant (pourquoi tu squattes toutes les idées Celt --" ?) sur le récit, on pourrait trouver quelques incohérences. Je présume que c'est dans un univers fantastique et très certainement médiéval (comme tout ce qui se fait en fantasy actuellement), donc l'histoire de la jeune fille dans l'auberge qui se ballade en petite tenue innocemment (et pis du soldat embarrassé : ça c'est très candide, pire que le SdA presque !), je trouve ça légèrement ... bah, ouais , candide (en plus, ch'uis obligé de parler de Voltaire là, ça craint ). Ou alors, c'est le club Med ... Pour le reste, pas grand chose à dire puisqu'il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent (et non, j'enchérirai pas sur le noctambule Celt, grrh). Il reste juste à changer le style SVC et ça sera vachement mieux car, perso, je trouve là un certain potentiel passif (à activer et développer donc ^^). Voilà, à ce soir quoi
  17. mynyrve

    Histoire de Norse

    Salutations ^^ ! Texte sympathique malgré certaines fautes parfois assez énormes (te relis-tu ? [t'inquiètes, je peux comprendre, c'est parfois assez ennuyant ^^"]) : [quote]une réputée dans [/quote] Manque quelque chose non =) ? [quote]Ce soir, l’auberge [/quote] Idem. Et puis, ça te fera un bon exercice de repérer les autres (ouais, j'ai aussi la flemme de le faire ><). Sinon, je rejoins Haldu quant aux bons points cependant, je réponds à ceci : [quote name='haldu' timestamp='1307473865' post='1929539'][list] [*]L'histoire est un peu simple. Mais ça doit être l'intro, donc c'est pas grave; [/list][/quote] Il me semblait que c'éait de là que venait le titre : ce sont des nouvelles, donc pas de suite. Mon raisonnement serait-il erroné ? Au plaisir de te relire par la suite Myny'
  18. mynyrve

    Mercenaires

    Salutations à tous et à toutes ! Je profite de ma dernière semaine de lycée pour venir réellement poster ici-bas. Donc, le chapitre 2 est commencé (5 pages à son actif dont 1 de notes [ouais, déjà plein de notes ^^"]) et j'espère ne pas avoir trop fait attendre >< (ouais, je sais les deux premiers chapitres étaient merdiques à cause de la baston qui n'en finissait pas mais on va essayer de changer cela --"). J'espère aussi avoir continué dans un style plus épuré et plus lisible. Perso, quand je relis ça me convient à peu près, actuellement, mais d'un avis extérieur, je n'en sais rien [quote]J'avoue que je n'ai pas tout compris avec Druss, ni pourquoi il laisse Slena mourir alors que ses amis semblent la sauver si facilement.[/quote] Pour Druss, c'est juste des suppositions du perso : il a vu sa seconde mère se transformer et après avoir conclu que les plus grandes créatures étaient plus puissantes et étaient donc des dryades (les autres étant hamadryades, adryades, etc.), dans son esprit, Druss est forcément l'un des deux monstres sortant des bois (après, l'un des deux se fait ramasser la gueule par terre et là, il ne sait qui est qui). Quant à Slena, c'est tout simple : il prefère la laisser mourir et sauver sa peau. Il se retrouvait face à une créature de bois et pouvait tenter de tuer le loup funeste qui dévorait son amie mais il risquait fortement d'y passer après et elle aurait eu autant de chances que lui : un seul choix possible et raisonnable qui correspond à "Mieux vaut vous que moi." (Kubrick inside ^^"). En tout cas merci à vous deux (surtout pour la faute idiote qui est passée à la trappe ><). Quoi qu'il en soit, un petit résumé des passages précédents (puis-je coller l'adjectif "chiants" ?) suivit des trois premières pages : [i]Un groupe de quatre mercenaires (le chef et narrateur, Frykten, un être froid et cruel ; Thörbj, un géant nordique, bon vivant ; Slena, femme d'un milieu noble ayant déserté à ses hautes fonctions pour se retrouver ici ; Eork, un mage soigneur, être chétif et détestable) se retrouve bloqué dans une situation pénible : encerclés par une horde d'orques dans une ville dévastée. Après maintes péripéties, apparaît un chaman et de nombreux guerriers : la solution, l'invocation d'une créature inconnue par l'érudit. Pour gagner du temps, le héros participe à un duel contre un berserker orque, créature effroyable. Le combat tourne mal et le héros ferme les yeux alors qu'un marteau s'abat sur son crâne. Frykten se réveille d'un cauchemar en sursaut en plein milieu de la nuit. Un long passage ennuyant où ça parolte ferme pendant plusieurs pages que je résume ici : Slena et Frykten s'aiment mais Frykten est un con et la rejette, il se fait mousser par ses deux autres amis après avoir menacé de la tuer, Thörbj déballe ses origines et Eork tente de se remettre d'un pierre lancée en plein visage auparavant par le couple. Fin des Feux de l'amour et arrive alors la suite : Frykten part dans les bois retrouver sa mère adoptive, une dryade. Seulement une lune rouge se dévoile et toutes les créatures vivantes non-humaines se transforment en mort-vivants, s'ensuit un combat très long se soldant par la mort de presque toutes les créatures et Eork est mortellement blessé.[/i] [center][b][size="4"]Chapitre 2 : Au cœur des ténèbres.[/size][/b][/center] Que faire ? La nuit était trop sombre sans lune et il était impossible de se mouvoir à cause de cela. Aucun de nos adversaires ne se tenait debout désormais. Mais un feu léger subsistait à quelques dizaines de pas, à l’endroit où la seconde dryade était restée. Les ténèbres étaient enfin redevenues noires, le rouge avait commencé à m’agresser les sens et tout revenait à la normale. Ou presque : un de mes camarades hurlait de douleur et les deux autres le cherchaient malgré l’obscurité. Je restais coi, sans bouger. L’on dirait encore que je suis inhumain mais je me fichais de cela, la seule chose m’intéressant réellement était avec ces flammes mourantes. Mais j’avais peu de temps et ne savais quoi faire. Je soulevai un pied et le posai plus loin. Me crispant, serrant les dents, le poing fermé sur ma garde, je répétais ce geste une seconde fois parmi l’affolement désordonné de mes amis. Et je continuais, désertant mon poste, fuyant la folie, leur névrose obsessionnelle qui les poussait à croire qu’il puisse survivre. S’aperçurent-ils de l’acte qu’ils qualifieraient plus tard de lâche ? Je courus vers ce dernier cadavre qui n’en voulait plus de mourir. J’espérais de tout mon être que ce fut elle. Il ne pouvait en être autrement. Elle avait été ma mère, mon amie, ma protectrice, elle m’avait sauvé, mon corps et mon âme. Si j’avais perdu avec le temps la plupart de ses sages conseils et étais devenu autre, je lui serai toujours redevable. Je courais, sans me soucier de quoi que ce soit. Elle connaissait des réponses dont j’avais besoin et je ne pouvais la laisser repartir sans lui avoir dis une dernière fois deux mots simples et concis. La lumière turquoise jaillissant de mon dos ne m’importait peu, le sol et tous les obstacles qui me feraient trébucher aussi. Pourquoi était-ce si dur ? Nombre de mes compagnons étaient morts, mes parents et tous ceux que j’avais pu aimer aussi, tout m’avait déjà été pris, au moins une fois dans ma vie. Dans cette longue et chienne de vie, tous mes amis, comme toutes mes espérances, s’étaient déjà envolées ne laissant que des matinées vides de sens. Mais la question qui subsistera serait de savoir si j’accourais à son secours ou au mien. Lorsque j’arrivais à sa hauteur, je découvris une bûche de bois, telle ses congénères habitant les cheminées. Quelques instants auparavant, elle avait été une splendide hybride de bois et de chair, puis une créature monstrueuse et elle se faisait maintenant bûche consumée. Son bois brûlé, son écorce et sa chair calcinées, ses membres craquant à chacun de ses mouvements et les dernières flammes la consumant, et ces couleurs cendrées qui recouvraient tout son corps, corrompant jusqu’à la prunelle de ce qui eut été les vertes prunelles de ses yeux. Je n’avais pas envie de vomir, je n’avais plus envie. L’odeur dégagée mêlait l’atroce à l’agréable. Si j’appréciais l’odeur du feu de bois, j’avais croisé par le passé des cadavres immolés et les exhalaisons produites étaient tout aussi peu ragoûtantes que leur vue repoussante. Assise, elle m’attendait : - Frykten, je suis désolée. - De quoi ? demandais-je, presque sèchement, m’accroupissant. - Son spectre plane au-dessus de toi. Et te cache déjà le soleil. - Que la peste emporte tes énigmes, soufflais-je. Qui ? - Tu le sauras bien trop tôt à ma convenance, ajouta-t-elle. - Et si cela se faisait trop tard ? proposais-je, plus doux que je ne l’aurais été avec n’importe qui d’autre dans sa position. Je m’étais accroupi et elle avait posé sa main sur mon épaule. La lueur dans ses yeux s’éteignait et l’écorce de sa peau commençait à s’effriter. Pourquoi et comment avait-elle tenu alors que toutes les autres s‘étaient éparpillées grâce à la brise. Il n’y avait pas de hiérarchie chez elles car il n’y avait pas de société. Elles avaient toutes leur rôle à jouer et si l’une faillait, leur système aussi et la balance cosmique penchait vers le chaos. Il n’était point besoin de prier, d’implorer quelque divinité pour qu’elle daigne nous accorder un futile retour à notre dévouement, non, point ; lorsqu’un arbre fleurissait, une fleur s’ouvrait au soleil, qu’une goutte de rosée perlait sur une pétale de rose, qu’un enfant naissait, c’était elles les responsables. - Nulles raisons, éluda-t-elle. - Que pourrait-il bien m’arriver ? - L’évènement de ce soir avait juste pour but de te faire comprendre ce qu’il se passe et ce que tu devras accomplir. Quelqu'un se sert de l’art ancestral de la nécromancie et de l’affaiblissement de ce monde mourant pour se faire une place dans l’univers. Mais cette personne aura besoin de toi et ce service sera bénéfique pour vous deux, déclama-t-elle. - Devrais-je m’associer avec un nécromancien ? m’offusquais-je - Non, il te faudra la tuer car elle n’hésitera pas. Mais elle te protègera tout le long du chemin qui te mènera à elle. Et tu en auras besoin car la route sera longue et innombrables seront tes ennemis. - Sachant qui est mon pire ennemi et ce qu’il pourrait faire, sachant qu’il souhaite ma peau autant que je désire la sienne, rétorquais-je amer, je ne m’en fais guère à propos des autres. - Les sciences des hommes sont assez avancées pour te permettre de contenir ce mal un temps. Tu vivras le temps de faire ce pour quoi tu es né. Il y eut un grand silence. Puis : - Jures-moi que tu iras jusqu’au bout … dit-elle avant de partir en fumée. Quelque part sur cette terre, une fleur mourait, la goutte de rosée s’écrasait sur le sol bouillonnant, l’arbre dépérissait et l’enfant flanchait, le cœur stoppé. Elles n’étaient pas des prêtresses, elles ne sacrifiaient aucune vie pour un céleste dédain, elles étaient mortes depuis longtemps mais avaient un tel amour pour tous que sans elles nous aurions péris avant d’avoir vu la lumière des cieux pour la toute première fois. Elles n’étaient rien mais étaient aussi tout à la fois. Qu’avait-elle tenté de me dire ? Elle était restée trop évasive pour que cela soit compréhensible. Un nécromancien ? A ce qu’il était inscrit dans les récits et manuscrits, la dernière lignée de nécromants c’était éteinte grâce au tranchant de ma lame, quelques années auparavant. Le monde était vaste, certes, mais ceux qui jouent avec les cadavres ne sont que rarement appréciés et sont même assez souvent traqués. Il en restait toujours quelques uns dans nos contrées verdoyantes mais ils étaient généralement trop peu puissant ou trop asservis à quelque royaume pour s’attribuer les mérites de cette tragique soirée. Mais j’aurai tout mon temps pour réfléchir à cela et l’un de mes compagnons se mourait, et cela était trop important pour que je le laisse tomber. Et ainsi, je repartis dans l’autre sens, comme si rien ne s’était passé. J’aurai dû jurer et pester, m’effondrer et pleurer mais je ne pouvais, non pas que je ne le veuille point mais je n’en avais nulle envie. Mon cœur était catatonique comme pierre et restait coi malgré l’acharnement du sort. J’étais une loque humain, pire même, je n’étais plus humain, mais cela je le savais déjà ; cependant, mon cas semblait s’aggraver à chacun de mes pas. Etrangement, j’arrivais plus rapidement que je ne me fusse éloigné. Ou était-ce encore mon esprit qui vacillait et tendait à la déraison ? Je m’arrêtai devant leur scène pathétique. J’avais certes déjà vu des gens mourir plus fièrement mais beaucoup finissaient en crachant leur tripes et leurs larme,s et leur cordes vocales explosaient toujours avec leur dernier cri, souvent implorant la pitié et l’indulgence de leur passeur ou beuglant quelques mots absurdes que seuls eux pouvaient comprendre. Mais je n’avais jamais eu de pitié, car ils n’en auraient jamais eu avec moi et qu’aucun meurtrier n’avait à en éprouver. Eork était dans les bras de Slena, hurlant, beuglant et pleurant. Lui aussi n’était déjà plus qu’un macchabée : son corps était transpercé de part en part en plusieurs fois et malgré la lumière turquoise qui se dégageait de ses mains luminescentes, ces plaies béantes ne voulaient se refermer. Slena le tenait fermement, essayant de le réconforter ; Thörbj, quant à lui restait debout à distance, sachant pertinemment ce dont il en retournait : l’érudit était condamné. Son pouvoir n’était plus assez puissant, il avait encore le souffle pour vouloir vivre et le crier mais guère plus et ne pouvait soigner qui que ce soit, lui-même inclus, c’étant trop acharné sur les dryades auparavant. J’avais mal géré la situation et nous étions encombré d’un poids inutile. Je m’accroupis à ses côtés : - N’aie nulles pensers funestes, mon ami, lui dis-je. Il me regarda avec des yeux écarquillés. Comment pouvais-je lui dire cela alors qu’il hoquetait et ne pouvait déjà plus respirer ? Bientôt il suffoquerait mais ses dernières forces avec lesquelles il s’acharnait à vivre lui laisseraient quelques instants d’une douleur extrême et déplorable. - Frykten. Il a besoin de soins, implora ma camarade. - Aide-moi. Je t’en supplie ! hurla-t-il d’une fois étouffée. Je n’avais malheureusement ni le cœur, ni l’esprit à cela : - Tu vas périr. - N’est-il rien à faire ? demanda le géant, sans espoir. - Non, les blessures sont trop graves et s’il ne peut rien lui, il n’est à rien à tenter de notre côté. Je recouvrai de mes paupières mes sphères lasses et posai mes outils pesamment à mes côtés. Aucun n’osait rompre le silence mortel qui essayait de s’imposer, se débattant avec les gémissements d’Eork, ses pleurs et ses répétitions incessantes de « Je ne veux pas crever. » Ces termes étaient relativement rares chez lui, il était trop posé et vertueux pour sortir quelques vulgarités. Et pourtant, c’était ce qu’il murmurait aux ténèbres qui envahissaient lentement mais sûrement son monde trouble et décadent. Il n’était plus que fumée tout autour de moi et mon monde fuligineux se refusait de mourir quant à lui, prolongeant ma peine. Je n’étais pas blessé mais mon existence avait depuis longtemps déjà cessée et n’avait de sens que dans la fureur des combats et, lorsque le sang séchait sur le sol, le perdait à nouveau. Je soufflai, langoureusement. En tant que chef de ce groupe, il ne me restait qu’une seule option peu désirable. J’approchai lentement ma main gauche de la garde de mon épée, posée précédemment. Mes pensées dérivèrent vers nos tristes tribulations, nos voyages au Sud, aux confins du monde connu, les montagnes enneigées du Nord, les périples à travers nos contrées, les jungles tropicales qui faisaient office de frontières avec l’Est et tout le reste. Je ne l’aimais guère, lui, le tremblotant, le pâle froussard, le pleutre mais seize années de déambulations, l’un à côté de l’autre, et les innombrables chiffres qui composaient les vies que nous lui devions faisaient de lui un des nôtres, et qu’il doive mourir ainsi était déplorable. Je ne me souviens guère de ce qu’il se passa ensuite, juste des images floues, un flot trop rapide et son dernier cri, son ultime dénigrement de la cruelle réalité. J’avais sorti ma lame et, plus rapide que la foudre, l’avais occis. Son râle, les reflets bleus sur le métal qui transperçait sa poitrine et le liquide noir qui l’imbibait et giclait ; lorsque son corps retomba sur le sol, l’aura lumineuse s’éteint et nous restâmes dans le noir, quelques instants, sans parler, sans bouger. Merci encore à tous !!
  19. mynyrve

    [40k-04] SUJET CENTRAL

    Bonjour à tous ! Je viens donc de retrouver le Warfo (à première vue, relancé depuis qques jours ^^"). Cependant je me dois de vous faire partager quelques mauvaises nouvelles. Je ne compte pas faire l'apologie de toutes les conneries et déboires qui me sont arrivées puisqu'il y a pire (pas encore perdu mon job ni mon appart', désolé pour toi Sky' ><) donc je vais résumer les deux plus importants trucs : J'ai depuis plusieurs semaines de sérieux problèmes avec mon diabète qui ne va absolument pas bien donc guère peindouillé, en fait guère fait quoi que ce soit autre que d'écouter des musiques lancinantes et me lamenter. De cela est découlé quelques conversations personnelles avec moi-même et j'en ai tiré une conclusion : ça fait trois ans que j'ai cette maladie, que je suis au bord de la dépression et c'est de la pure connerie ! Donc je quitte ce CdA parce que je pense que j'ai envie de faire autre chose de mon temps que de rester 24h/24 devant mon ordi ou mes figs : je pense que j'ai enfin compris à quoi servent les études. A que dalle mais ça m'occupera le temps de trouver un boulot ^^" Bon, je pense que je viens de déballer un flot indicible de saloperies comparables à du flood mais bon ... Donc, je suis vraiment désolé de vous quitter pour des choses aussi futiles que les études mais comme me disait l'an passé un collègue d'un autre CdA, un père de famille redoutant un comportement pareil au mien pour son môme (T', merci ) : "*censuré car je me souviens plus de ce qu'il disait =)*" Voilà, donc avant de me faire virer, je démissionne et ainsi je peux vous dire au revoir et vous expliquer pourquoi. Je devrais normalement poster les photos de mes derniers travaux sur mon sujet d'ici peu (lorsque mon père daignera me prêter son APN XD). Je resterai donc parmi vous à poster dans vos sujets et, j'espère, dans le mien avec un up ou deux de temps à autre (et j'espère aussi avoir le temps de trouver une manière de peindre plus rapidement pour le même rendu ou mieux). Bise à tous et merci encore de m'avoir donné une chance que je ne méritais pas mais qui m'aura permi de faire un peu de chemin sur divers plans ... A dans un an, peut-être ... Myn'
  20. mynyrve

    Mercenaires

    Salutations à tous ! Bon, énorme nouvelle : le combat est fini !!!! Le chapitre aussi !!!! Début du Chapitre 2 : Mort et tribulations funestes (titre à l'arrache, hein ) dès que j'aurais le temps (très certainement ce soir quoi ). Et puis, ch'uis contente d la fin du chapitre ^^ Le problème, c'est que j'ai accéléré la fin pour éviter que ça soit illisible (parce que mine de rien, il y a là deux pages et demie sur Word >< plus tout le reste sur la baston). J'ai vraiment fait un effort que le combat se fasse plus rapidement et je pense qu'à la réécriture, je réussirai avec plus d'entraînement à rendre toute la baston plus fluide, plus courte et donc plus sympathique. Mais ce n'est pas pour de suite, j'attends de réellement faire des progrès avant de réécrire (sisi, j'vous jure, je vais le faire car c'est un boulot appréciable à mon goût ^^). Après, merci à vous, notamment à toi Pasi' qui m'a permis de ralentir ma cadence pour plus bosser la forme (deux-trois débuts de textes à côté ont servis de brouillons, de tests ). La réponse viendra au début du chapitre 2 Voilà, je ne vois rien d'autre à ajouter à part un grand : "Je vous aime tous !" en réponse à votre aide précieuse depuis le début de ce sujet ^^ Ah, ouais, et puis, j'ai écrit cinquante pages pile pour le prologue et le chapitre 1 : soit 19 pour le prologue et 31 pour la premier chapitre ; ça donne envie d'aller s'enterrer ! Bonne lecture (enfin, espérons ><) : A l’instar de ma dernière joute, j’eus le temps de faire tourner en rond mon premier adversaire. Me faisant à nouveau face, elle reprit sa lutte effrénée, comme chassant une mouche inopportune. Glissant à nouveau sur ma droite, je frappai son membre lorsqu’il passa un peu trop près à mon goût. Sa force titanesque que je n’aurais pu parer de front était largement réduite et l’élasticité de ses branchages se heurta à la froideur de mon métal. Je dus malheureusement me retirer immédiatement après car, quoi que pataude, l’hamadryade se déroba rapidement, blessée. Leur comportement était étrange décidément. Elles n’étaient ni mortes ni vivantes. Mais la terre trembla, et je fus quelque peu déstabilisé par ces mouvements abrupts et malséants. Je fis volte-face. La bataille était désordonnée : nous étions trop loin pour que la lumière du feu de camp vienne éclairer et les âtres brûlants sur le visage des créatures que nous affrontions les révélaient à peine. Seule la lune brillante, écarlate, illuminait le sommet des belligérants, rendant une ambiance malsaine et violente sur les évènements qui se déroulaient sous son jugement ardent. L’on distinguait à peine les quolibets qu’effectuait mon ami alors qu’il tranchait encore un de ses adversaires. Mais les rais que créait parfois Eork venaient apporter leur touche de lumière, notamment lorsque les monstres mouraient, embrasés. Fort heureusement, cette fois-ci, certainement moins adroit que moi pour rester sur ses jambes, l’éclair partit loin en direction du ciel, ainsi j’aperçus à ce moment-là la cause de tout cela : un être de bois véritablement plus grand et plus énorme que ceux que nous avions combattu, dryades et hamadryades. L’idée n’eut pas le temps de se modeler qu’elle envahissait déjà mon esprit : Drus, celle qui m’avait offert son amour maternel, celle qui m’avait sauvé et recueilli, j’allais devoir l’affronter, la différence de gabarit avec ses sœurs était trop phénoménale pour être une simple coïncidence. J’en oubliai totalement le combat et la mort guettant tout faux pas. Un râle. Un craquement horrible, comme des os que l’on frapperait avec une pierre, d’une manière simplement sadique. Mon opposant s’effondrait et Slena surplombait ce macchabée, j’eus juste le temps de discerner ses formes gracieuses, sa position victorieuse avant que sa claymore ne s’enfonce à nouveau et qu’elle ne le tranche en deux, en un seul coup net et rageur. Sur le héraut de la mort, l’astre de la pénombre projetait sa sinistre lumière, et le rougeoiement l’accompagnait, aura du sang, sang qui me manquait tant. Sa posture était parfaite. Ses jambes stables, ses mouvements droits et bien dirigés, ces treize années à se côtoyer lui avaient permis de renforcer ses capacités martiales et en avaient fait un monstre, comme nous tous. Lorsqu’elle eût fini son ouvrage – et ce fut rapide, et sans excès car je le lui avais appris ainsi –, je me détournai, tout comme elle, en direction de notre futur. Mais que ne fut pas ma surprise lorsque j’aperçus non plus une mais deux dryades, colosses s’affrontant. Qu’étais-ce ? Je n’eus pas le temps de me poser plus de questions, déjà distrait, sonné et éreinté. Les créatures étaient mortes et ne s’en posaient pas : elles attaquaient, point final. Ce qu’il restait de leur groupe se jeta sur nous quatre, sans se soucier du duel. Ne sachant qui aider, voire même s’il y avait un être à sauver, nous fîmes pareil, plus acharnés. Formant un triangle, une barrière autour d’Eork, nous étions indivisibles et invaincus, et nous comptions le rester. Nous nous écartâmes rapidement, attirés par nos adversaires respectifs, s’éloignant pour ne pas se gêner. Je me concentrais alors sur mon ours. J’esquivais, parais et contre-attaquais. Brutal, direct et efficace, faisant du laconisme un art absolu, en paroles comme en gestes. Je ne m’arrêtais que lorsque sa tête fut décrochée et arrachée violemment à son tronc. Je me retournais : tout était rapide mais fluide, brouillon mais compréhensible, mortel mais excitant. Thörbj et Eork veillaient l’un sur l’autre et se débrouillait bien mais Slena était aux prises avec plusieurs créatures et peinait à réfréner leurs assauts impitoyables. Et bien que son trépas ait pu m’arranger agréablement, j’accourais à son secours. J’exécutai facilement deux des trois animaux qui l’ennuyaient. Cela m’était assez aisé, mais elle avait fléchi facilement ne pouvant s’attarder sur aucune de ces agiles bêtes sans laisser son dos à découvert. C’était la difficulté des armes à deux mains, elles étaient lourdes et peu maniables. Quant à la troisième, elle resta en retrait jusqu’à ce que mon amie ne doive tâter le courroux d’un être de bois. Le loup la mordit à l’épaule gauche, profondément. Elle fléchit alors et l’animal la plaqua au sol, ne cessant de lui lacérer son autre épaule, sans décrocher mes mâchoires, garnies de longs crocs acérés. Des mains de notre pâle compagnon fila un rai lumineux qui vînt disloquer la dryade, qui se dissipa, tombant en poussière. Alors que la créature essayait de lui arracher son membre, je m’invitais et l’abattis, comptant encore sur ma camarade. Une autre dryade fit son apparition. Que faire ? Je ne pouvais aider Slena et survivre, il me fallait faire un choix. C’est sans regrets, sans hésitation que j’agis alors : je fonçai sur mon adversaire, sans m’occuper de mon amie blessée et à terre, qui se faisait mutiler, dévorer, déchiqueter. Nul choc ne survînt cependant, je maîtrisais rapidement la situation : emportée par son élan, elle me passa devant sans s’arrêter et je pus librement lui donner les coups que j’aurais dû recevoir. Après m’être acharné sur son membre inférieur droit, je m’affairais à lui séparer le haut du tronc, qui lui servait de tête. Les parties d’écorces qui faisaient office de genoux étaient plus fragiles et j’en profitais assez, c’était mon droit en tant que combattant d’autant plus si l’on comptait mon handicap face à elles : mes lames étaient trop courtes et trop fines, jamais je n’aurais pu les briser en un unique coup, tel Thörbj. Je jetai un regard perdu vers mes amis : Slena hurlait toujours, notre guérisseur penché au-dessus d’elle, et le gigantesque nordique rouait de coup ce qui me semblait être un cadavre. Combien de temps m’avait-il fallu pour la lui arracher, sa tête, à celle qui fut autrefois femme puis esprit bienveillant, combien de temps m’avait-il été donné pour sauver ma maudite peau et pour trahir, pour laisser mourir la femme que je n’osais déjà plus approcher, elle qui m’avait maintes fois tiré de mauvais pas. Combien, et pourquoi tant ? Nos adversaires se faisaient rares et, toujours d’une manière particulière, les autres ne voulaient plus bouger ni attaquer. Je ne me précipitais plus pour les rejoindre, préférant la pénombre éclatante que procurait cette nuit particulière à la lumière vive que produisait Eork. Mais peu m’importait à cet instant précis : passée était la colère envers le nécromancien et ses marionnettes, passée la honte d’aimer ce qui ne devait l’être, passée l’envie inexorable de sang et de carnage ; il n’était plus qu’une profonde fatigue, j’étais las et ne pouvait guère plus tenir debout, l’insomnie étant l’un des pire maux du guerrier. Et au loin, ce que je craignais, les formes entrelacées avaient cessés leur danse infernale et l’une d’entre elles se relevait. Et au fond de mon être, je savais qu’elle n’était pas la plus pacifique des deux. Je n’apercevais plus de bêtes, seulement ces amas effroyables de bois et de mousse. Mon chétif ami se faisait pourtant faible, lui aussi, et bientôt il lui serait impossible de tenir debout et de tirer ses lances rayonnantes, Slena était blessée et au sol, et Thörbj resterait debout tant qu’on ne lui aurait pas arraché tous les os et tous les muscles de corps et cela pourrait être rapide. Et que dire de mon état : maudit, incapable, claudiquant, un macchabée resté sur ses jambes, tout comme ses adversaires. Quel groupe pitoyable ! Et nous nous targuions d’être parmi les meilleurs et d’avoir affronté pire ? La mort n’en serait que plus humiliante. Avec des membres disséminés partout à travers nos contrées, nous avions eu la prétention d’accepter une mission périlleuse, maintenant fatale : nous récoltions simplement les fruits de notre vanité, de ce que nous avions semé sur notre parcours trop long. J’avais eu raison étant enfant de ne m’occuper des champs. Je me déplaçais toujours et ne m’arrêtais de la fixer, intrigué. Elle ressemblait étrangement à un pilier biscornu, soutenant la nuit moribonde. Une drôle et sotte d’idée, certes. J’arrivais alors à la hauteur de mes amis. Ils étaient tout trois debout, Eork haletant, Slena ensanglantée et Thörbj stoïque. Bien que nous restâmes cois, d’aucuns ne le voulurent pas et l’ambiance était lourde et étouffante. Une légère brise vînt cependant me caresser la nuque et je dirigeai mon regard vers les cieux ardents : un énorme nuage arrivait et cacherait bientôt l’astre, cet âtre de la colère. Les créatures le comprirent-elles, ou quelques forces mystiques les poussèrent à réagir mais elles se retournèrent et reprirent leur course folle. Eork peina mais lança tout de même l’une de ses lances de lumière sur la dryade. Mais le rayon ne dura pas assez longtemps et la créature ne disparut pas comme ses congénères. Que n’aurais-je hurlé pour qu’elle s’arrête, que n’aurais-je pleuré pour que tout s’arrête mais seule la force du métal aiderait ces vœux à se réaliser, la brutalité et rien d’autre. Je ne compris pas très bien ce qui se passa, tout fut trop rapide. La lune sembla briller plus intensément, d’une couleur toujours plus cramoisie, se trouvant plus proche à présent du sang séché, et le nuage avançait bien trop vite, la voilant déjà légèrement. Et des hurlements retentirent, plus aigus que des cochons égorgés. Le pouvoir de cette lune maudite embrumait mon esprit et mes pensées, les traitants affreusement mal. Au loin, les formes s’embrasèrent, en même temps que mon être tout entier. Rapidement, il n’y eut plus qu’un seul dernier brasier alors que tout était redevenu intensément noir, un dernier reflet qui lui passa au travers alors que le bois qui brûlait rapetissait, jusqu’à reprendre taille humaine et à se jeter sur notre plaintif ami. Un dernier cri, un seul, familier, et la lumière s’éteint alors, nous plongeant dans l’obscurité.
  21. Salut ^^ ! Bon, je vais tout d'abord répondre aux messages précédents : Les photos sont merdique ! Le seul gris sera pour éclaircir le noir. Oui, j'ai les disques sauvegarde de toute façon donc bon ^^ Après, ça reste ennuyant car j'ai l'habitude de XP et de mon ordi habituel, c'est tout . Il est par exemple plus compliqué de faire des stats ou d'écrire des textes avec mon portable qu'avec ma grosse centrale. P'tain ! 'Faudra vous décider !! Quand je choisis les loisirs, j'me fais engueuler ; quand je choisis les études, j'me fais encore engueuler XD ! Bon, ayant enfin compris que l'on pouvait insérer une carte MMC dans un portable, ayant retrouvé un Avast! ne déconnant plus (ouais, hier, il m'a tout bloqué, plus moyen d'accéder à quasiment tous les sites [sauf Warfo et Deezer Oo]), j'ai enfin pu uploader mes photos : Les trois : The burning sword : Les deux autres : Mis à part cela : toujours pas reçu le colis mais je patiente tranquillement et sans trop stresser va-t-on dire (même si j'aimerais les trouver à ma porte avant les vacances, que je puis bosser --") et je risque de pas trop peindre pendant un jour ou deux m'étant fait mal au sport aujourd'hui (je l'ai toujours qu'un sport où le se trouve à plus d'un mètre de l'autre, c'est que c'est un sport de débile) et ne pouvant guère écrire déjà alors peindre >< Donc, en espérant que cette suite merdique de déboires s'arrête sous peu, sinon, je vais tenter d'apprendre à voler depuis plusieurs étages ... Myny', affectueusement (qui se rend compte que ses posts sont illisibles ) Edit : P'tain et comme si ce n'était pas assez, 'fallait que j'oublie le flouffe !! Ras l'cul, j'vais allez m'trouver un dealer, moi Bon, nouvelle manière de poster du fluff : un petit journal, ce qui sera plus simple à écrire et donc à poster ! Première partie : Bah, tout comme mon perso : "Adieu" ! Ca s'ra plus simple ><
  22. Elles sont en colle ce matin Bon, je laisse tout de même un petit mot (ce que j'aurais dû faire lundi ) : bon, j'ai eu une semaine de merde et peu de temps pour moi, pas mal de Ds et de devoirs (c'était plus simple à l'époque où je bossais pas ), de plus mon ordi principal avec tous les dossiers, fichiers photos, etc. m'a lâché . Je n'ai donc à peine eu le temps de passer la couche de base du bleu sur les figs précédentes et (p'tain, ça remonte le dernier up ) donc le bronze depuis plus de deux semaines. Comme vu avec Amareux et Paps, le couperet m'a frôlé, la démotiv' et tout le reste, seulement, Amareux a une idée géniale pour me remotiver et me remettre dans mon bain : je peindrai donc une session 3 "light" avec l'avatar et deux de ses gardes du corps seulement. Cela me permettra, je l'espère de pouvoir me remettre au fluf et de rattrapper un peu mon retard si je finis (je l'espère aussi tout de même) en avance. Je suis donc en attente de la commande que j'ai passée. Voilà, un petit bilan pitoyable pour prévenir.
  23. mynyrve

    Le Corbeau

    Oulà O_o" !! Quel "e" muet ? Il n'y a pas de "e" muet mais cependant il suffit de ne aps faire la diérèse de "ro-ï" ! Et vu que c'est un sonnet, je présume que tu veux parler de vers, non ? Parce que neuf strophes ? Je n'aie pas écris un poème sur un bête corbeau, mais sur le corbeau en général. J'ai remarqué que cet animal revenait souvent dans l'héroïque fantaisie, et même dans la fantaisie futuriste d'ailleurs. J'ai donc décidé d'écrire un poème sur un animal que je trouve majestueux et attirant (outre son rapprochement avec le Moyen Âge). Oki, sauf que le "bête" était là pour indiquer que justement ce n'est pas comme Edgar Poe un Corbeau qui participe à une action mais le corbeau dans sa généralité, il ne fallait pas comprendre par là : "un stupide corbeau". Après, je concède que je trouve le corbeau assez joli comme piaf' (de plus, je suis un fan incontesté d'Edgar poe ^^") ! Enfin, il revient souvent dans ces genres-là car il symbolise, dixit la religion catholique qui en a fait un cliché inscrit dans toutes nos p'tites têtes, la mort et diverses choses morbides, funestes et "mauvaises" (toujours dans le sens de la Bible puisque que le mal, à proprement parler, n'est pas).
  24. Et Jon Hamm ? Il a un rôle ingrat mais n'est pas "méchant". Slagash, groupie de Jon Hamm Certes, mais tu ne le vois pas plus de deux minutes. Après, comme les flics, c'est pas le plus mauvais mais dans le rêve, c'est quand même lui qu'Emily Browning fuit pour des raisons peu défendables
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