Aller au contenu
Warhammer Forum

Kabby

Membres
  • Compteur de contenus

    23
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Kabby

  1.   Ce bon vieux Ciaphas (qui n'aime pas qu'on l'appelle par son prénom, sauf si c'est pour lui faire des compliments) ! James Bond à l'extérieur, mais OSS 117 à l'intérieur :wink22:
  2. Les unités de mesure ont longtemps porté des noms alignés sur des dimensions du corps humain, et le font encore (pied, pouce, comme les parties du corps concernées, ou empan, largeur rapportée à la main, mais dont le nom signifie "écart") ; on leur donne aussi des noms de savants dont les découvertes sont en rapport avec le domaine qu'elles mesurent (le Newton, le Becquerel, le Pascal) ; ou carrément, le nom même de "mesure" (le "mètre", qui se veut universel, d'où un nom imparable : ils étaient malins, ces savants de la Révolution) ; ce qui compte, c'est moins l'origine métaphorique de ces noms que le fait que ce soient des unités : tous les pouces sont semblables, tous les mètres, etc. Un pas, c'est comme un cran, un degré, ce qui importe, c'est que la convention, toujours arbitraitre, soit acceptée par les utilisateurs concernés.   Avec ses "pas", GW a rencontré un problème : normalement, on ne traduit pas les unités de mesure, on les convertit (dans leur équivalent local), et passer d'un "inch" à 2,54 centimètres, ce n'est pas praticable en jeu, ou en tout cas, ce serait très pénible ; donc on garde l'unité d'origine, et on traduit au lieu de convertir : d'où le "pas", appellation de convention, relativement discrète.   Au passage, la "Pferdestärke", ce n'est pas si exotique que cela, c'est simplement le nom allemand du "cheval-vapeur", que l'on a pris l'habitude d'appeler "cheval" et qui mesure la puissance des moteurs (quand on payait la vignette auto - oui je suis un vieillard - on pratiquait aussi le cheval-fiscal).   Kabby
  3. Kabby

    background SMC

    Bonjour, et bravo pour ton initiative, c'est toujours une bonne idée de créer ses propres additions à l'univers. L'intégration de ta bande de vilains-pas-beaux sera plus aisée si tu choisis des Marines fraîchement renégats plutôt qu'une branche obscure des légions "historiques", et un chapitre d'origine de fondation tardive (ou moisie, ou les deux), que tu documenteras vaguement au besoin, si tu l'inventes aussi pour l'occasion ; tu auras les coudées franches, et il y a tout un tas de raisons qui peuvent détourner un chapitre du droit/rigide/fanatique chemin impérial(ou un morceau de chapitre, ce qui pimente l'affaire, puisque les bonshommes restés fidèles vont en vouloir énormément à leurs ex-potes, et puis une bande de renégats incontrôlée, c'est plus sale, miam): la corruption pure et simple par un culte chaotique sur une planète de garnison ou de passage, un mauvais coup fait par l'Adeptus Terra/l'Inquisition (une mission bien cradingue qui compromet l'honneur du chapitre tout en servant les intérêts mesquins des commanditaires), un sentiment d'abandon (on est loin de tout, on se sent abandonnés, une tempête warp nous isole depuis 300 ans, bouuuuhouuhouuu !), un dérapage lors de combats particulièrement difficiles... ou tout à la fois ! Les unités évoquées dans ton post (donc tes préférées), tes choix de couleurs et la nécessité d'une cohésion plus grande vu l'organisation choisie (sinon, chacun part de son côté ; même chez les loyalistes : regarde les Dark Angels, ils ont spécialisé leurs compagnies, mais ils ont une hiérarchie ultra-serrée : ça évite les désordres, je ne sais pas pourquoi, mais les DA n'aiment pas quand ça fait désordre, qu'est-ce que ça peut bien leur rappe... *BLAM*) porteraient plutôt vers une affiliation à Khorne (Tzeentch et Slaanesh, c'est la pagaille par principe, et Nurgle, c'est plutôt du gluant que des havocs et de l'attaque rapide), à condition que tu aies envie de les affilier, après tout, les bandes renégates, c'est souvent plus du Chaos générique, juste pasqu'y-sont-pas-contents ! Un mot personnel pour les couleurs choisies (NE lis PAS si tu as commencé la peinture !) : je sais que ton chef de bande ne s'appellera pas Cristina Cordula (ou alors, c'est un démon majeur), mais violet et rouge, ça jure horriiiiiblement ! c'est juste bon pour les murs et la moquette d'une boîte de strip-tease dans un épisode de [i]Derrick[/i]... beueerk... Allez, bon courage, tiens-nous au courant !
  4. Pour commencer, et puisque c'est la première fois que j'interviens sur ce fil, je te fais mes compliments pour ta maîtrise et ton talent ; tes prouesses techniques sont impressionnantes,et tes conversions inspirées. Pour cette dernière figurine, l'équipement abondant, le large manteau et les jambes écartées la font paraître plus large qu'elle n'est, et les super-tatanes ne suffisent peut-être pas à lui faire gagner en hauteur : le brave sergent n'est pas suréquipé, mais il fait un peu tassé ; sans lui faire le pantalon d'Obélix pour l'amincir, tu trouveras sans doute un truc pour la mise en peinture qui permettra de distinguer bien clairement les éléments les uns des autres, cela jouera dans le bon sens. Pour le servo-bras, une arme, ce serait sans doute de trop, un crâne aussi, une pince, trop banal ; pourquoi pas une main organique griffue, comme les mains des genestealers ? c'est fin, cela ne masque pas le personnage ; évidemment, pour des Iron Hands, c'est peut-être un peu trop cradingue. Ou alors une roue dentée bien fine récupérée dans une vieille montre ?
  5. Kabby

    [TAU] Premières impressions

    En fait de fluff, il n'y a presque rien de nouveau pour l'histoire et la société Tau, mais l'ensemble est beaucoup plus fouillé, les étapes des trois expansions sont plus clairement exposées (et la carte est plus lisible) ; le léger mais inquiétant hiatus entre les principes et les actes est illustré par nombre d'anecdotes, les éthérés sont beaucoup moins blanc-bleu (!), l'ami Farsight est... encore plus bizarre qu'avant. J'ai été un peu surpris par la présence de plusieurs anecdotes racontant des défenses désespérées et victorieuses, quand on nous rappelle à côté que l'art du dernier carré est considéré comme spécialement vain, voire stupide, par les Tau. Ce qui mérite le détour : les citations de Puretide, qui émaillent le codex ; le gars, qu'on nous présente comme un super Sun-Tzu-Jules-César-Alexandre-le-Grand distille sans sourciller des platitudes tactiques, sorties tout droit d'un recueil de "désopilantes citations de l'état-major français recueillies en mai 1940 par notre envoyée spéciale Bécassine"...
  6. Joli travail, et agréable à lire. Si tu comptes compléter, il reste aussi les dragons, les araignées, les arbres semi-conscients pervertis, les géants des Monts Brumeux (j'hésite, ils sont mal intentionnés, mais pas vraiment maléfiques, je pense), les montures des Nazgûl. Ah j'oubliais : les mycoses des pieds des Hobbits !
  7. La version longue dure 3h34 et contient 66 chapitres, génériques inclus (16 séquences complètement nouvelles, dont celles que tu signales). En plus, la mention Version Longue figure sur le dos et la tranche de la jaquette, sur les disques, partout... Gonflé, quand même, le vendeur...
  8. Kabby

    Le Dwimmerlaik

    Je ne sens pas trop le sens du vent là... vu que "l'esprit GW" dans ce cas c'est précisément de prendre Tolkien à rebrousse-poil, ça risque d'être difficile de concilier les deux : - chez Tolkien, si on suppose qu'un seul Nazgûl peut être appelé ainsi, ce ne peut être que le Roi-Sorcier, puisque c'est le nom que lui donne Eowyn (je rappelle que selon moi, c'est un terme générique, et que par effet de conséquence, dwimmerlaik ne peut servir de nom propre à aucune bestiole). - Chez GW, dwimmerlaik est le nom propre d'un des huit autres, "connu" chez les Rohirrim, mais pas le Roi-Sorcier. Soit on est très exigeant sur la fidélité à l'œuvre (en tout cas avant la résolution des combats ), et on n'utilise pas ce profil en jeu, soit on peut supporter que le jeu s'en écarte à ce point, et on s'en moque...
  9. Kabby

    Le Dwimmerlaik

    Le mot, chez Tolkien, n'est pas un nom propre, il est employé sous diverses formes, toutes archaïsantes, le plus souvent par les gens du Rohan, pour désigner la sorcellerie et ceux qui la pratiquent, une sorcellerie prise en mauvaise part ; ainsi, Eomer utilise la même racine dwim- pour désigner Saruman ; Eowyn utilise le mot pour défier le Roi-Sorcier ; pas étonnant donc que GW l'ait utilisé pour nommer un personnage spécial et dévoyer un peu l'histoire des Spectre de l'Anneau. Il y a une analyse très précise chez les gars de tolkiendil : ici Sur le fond, tu as donc raison, et on ne pourra pas mieux faire, sinon dire que tous les Nazgûl sont des dwimmerlaik pour les gens du Rohan notamment, et oublier la contextualisation inventée par Games.
  10. Le travail de Mangozac est impressionnant : arriver à cela tout seul sans appui industriel derrière soi, c'est très fort ; pour ce qui est du style, c'est Tau tout en ne l'étant pas : la peinture fera beaucoup pour donner de l'allure à la bestiole. Espérons pour le concepteur et son partenaire qu'ils en vendront, ça encouragera les initiatives du même genre, mais c'est pas gagné, à presque 300 euros le sèche-cheveux mutant (attention, je ne hurle pas contre le prix, le parcours de la chose et l'ambition manufacturière particulière du projet l'expliquent totalement, ce n'est pas un jouet en jus de poubelle recyclé fabriqué par des esclaves et vendu à 50 millions d'exemplaires sous licence cinoche).
  11. Kabby

    Série Quiz 6

    Le feu de la forge n'était pas non plus le même : les anneaux des Elfes et des Nains ont été forgés à Ost-in-Edhil, dans des installations bâties de main d'elfe, avec un feu alimenté ; l'Unique, lui, c'est la lave d'Orodruin, c'est plus sérieux, et très au-dessus de la chaleur des flammes d'un dragon, en effet.
  12. Kabby

    Série Quiz 6

    Pour Tom Bombadil, je ne décomptais pas le temps : il n'est pas porteur parce que l'Anneau n'est rien pour lui, et ne peut rien sur lui, je suis entièrement d'accord avec Yodan. Pour le Westron/Ouistrain, MÎm a certainement raison : Ouistrain doit être une traduction phonétique en français ; moi, c'est le souvenir (lointain !) de MERP (le jdr) qui m'est revenu : ils disaient Westron dans les deux versions. Quant aux dragons... si jamais il en était resté un après Smaug (possible, mais pas documenté), l'Unique aura Et pour les pompes... euh... je crois que c'est moi le plus nul, d'autant plus que j'ai deux étagères dans mon salon pleines des volumes de History of Middle Earth... ça va faire lourd...
  13. Kabby

    Série Quiz 6

    Pour l'épreuve 3, quelle est la procédure ? Faut-il trouver le nom du locuteur seulement, ou du destinataire aussi (aaarggh !) ? ou bien autre chose (la page ? sans le bouquin ? re-aaaaargh !) ?
  14. Kabby

    [Tyranides] Spore Mycetic

    La PVA est nettement plus fluide et met un certain temps à sécher, donc les pointes et les coulées vont se résorber inexorablement et dégouliner en flaques au pied de la boule : je ne pense pas que ça "colle". Ou bien tu mélanges la PVA avec une poudre, dans le genre plâtre, ou milliput, mais tu vas en baver pour l'appliquer correctement... Avec une douille à pâtisserie peut-être...
  15. La pièce s'appelle un "serre-câble", on doit même pouvoir en trouver de pas trop moches, comme ceux de Germur, qui sont discrets ; le tout, c'est de connaître le diamètre de la tige. Après, le plexi est mieux que le verre, à moins que tu ne trouves le plateau à la bonne taille tout fait (sinon, il faut le faire sur mesure, et c'est très coupant, très dangereux : en gros, tu as peur pour tes gosses, tu te tranches le poignet chaque fois que tu poses une figue...). Une solution audacieuse serait de se pointer directement chez Ikea et de demander s'ils font la visserie à part, ou même les plateaux (en vpc, sûrement pas, mais sur commande en magasin, possible). Le risque, c'est que ça finisse par coûter plus cher qu'un meuble entier... Après tout, pour 50 euros, tu as tes quatre plateaux, tes taquets exactement du même modèle, et tu fourgues le reste du meuble au premier vide-grenier venu
  16. J'ajouterai à ce terrible débat que les Maiar ne sont pas comme les créatures de chair, et que l'incarnation, qui n'est pas dans leur nature originelle, n'est souvent pour eux qu'un incident de parcours, et une contrainte qui se manifeste par des faiblesses, des limites, des fragilités, chacun ayant la sienne propre. Bref, quand ils s'incarnent, ils deviennent "bornés" (pas en mauvaise part, hein). Ainsi, je ne souscris pas quand on présente Radagast comme un incapable (Saruman le dit, mais c'est par pure méchanceté) : son obsession des oiseaux est à la fois le symptôme du trouble, de l'inconfort moral consécutif à son incarnation et le remède qu'il a trouvé à ce trouble ; il ne saurait faire autrement, et cela l'emporte sur sa mission ; Saruman, puisqu'on en parle, est victime de ce déséquilibre aussi, et sombre à âme perdue dans sa quête de puissance (et dans le culte de sa propre personnalité, nourri d'une jolie paranoïa) ; Melian s'enferme dans son "anneau", sécurité illusoire mais nécessaire ; Bombadil (à supposer qu'il soit un Maia, ce qui n'est pas clair, cela a été dit et répété) ne sortira pas de sa forêt ; les Balrogs sont enfermés dans un corps brutal et ont abandonné toute autonomie pour obéir aveuglément à Morgoth (d'ailleurs, à part Gothmog, ce sont les Balrogs, indistincts, et Gothmog lui-même n'est pas spécialement du genre esprit brillant et indépendant) ; les exemples foisonnent, et c'est finalement Gandalf, le plus humain dans sa simplicité et sa bonhomie, qui réussit le mieux son incarnation, et il lui a fallu fréquenter des Hobbits pour en arriver là (voyez Gandalf le Blanc, à son retour, beaucoup moins sympathique, plus dur, plus distant : il doit refaire une partie du chemin, et c'est encore grâce aux Hobbits qu'il retrouve sa sensibilité et son sourire). Quant à Sauron, puisque c'est lui qui nous intéresse, c'est le roi de la déveine dans ce domaine : aucune de ses incarnations ne lui réussit, et ce n'est pas faute d'avoir varié les tentatives et de s'être accroché ; en loup-garou, c'est la cata (il devient plus ou moins stupide et perd en partie sa prescience, du coup, il se fait berner), en Elfe (à Ost-in-Edhil), il se comporte en cambrioleur minable (alors qu'il est censé être un as de la manipulation), en Homme (pas clair, ça, on ne sait pas trop ce qu'il est quand il affronte Numénor), il est vaincu par les Numénoréens et s'en tire de justesse en les bernant ; en Nécromancien, il fait mumuse avec ses maléfices et perd son temps à embêter ses voisins et à polluer la forêt au lieu de chercher son Anneau ; et puisqu'on parle d'Anneau... si ce n'est pas sa propre prison qu'il s'est forgée avec ça, c'est drôlement bien imité ; ça use... et pourtant, en bon esprit déchu qu'il est, il est condamné à toujours chercher désormais à se réincarner (et ses ennemis à l'en empêcher).
  17. Kabby

    les Elfes au 1er Age

    Une manière de voir les choses (qui n'est en rien validée par quelque texte que ce soit) est d'imaginer le Silmarillion comme un corpus épique légendaire dans lequel les Eldar qui subsistent reconnaissent leur origine et leur passé glorieux (un peu comme les Grecs se reconnaissaient dans leur mythologie commune, Iliade et Odyssée en tête, et il ne viendrait à l'idée de personne de se demander si Périclès, personnage historique, aurait pu se mesurer à Ulysse, héros de légende), et qui se déroule dans un passé transfiguré par la rêverie et les chants des poètes (beaucoup de vers et de chansons chez Tolkien, ce qui rappelle l'importance de la poésie de transmission orale dans les cultures anciennes). Certes, quelques "pointures" ont traversé les époques : Galadriel par exemple a vécu les événements du Silmarillion, et elle est toujours là, mais on doit se dire que ce n'est pas elle qui raconte de cette manière (et elle ne va pas non plus casser la baraque en disant que c'était plus trivial en réalité et que Fëanor avait de l'acné, quand même !) ; on peut même imaginer que l'idée de déclin, qui traverse l'œuvre de Tolkien de bout en bout, est à la fois une réalité (les Hommes de l'Ouest vivent de moins en moins longtemps, c'est chiffrable, tangible, par exemple), mais aussi un spleen éprouvé par les personnages et qui déforme le souvenir ; Galadriel, lasse, se berce d'un souvenir embelli par la nostalgie, ce que nous faisons tous, mais ne s'est pas affaiblie autant qu'elle l'imagine : cela expliquerait son apparente fragilité "présente", ou plutôt la puissance démesurée, mais en partie fantasmée des héros d'autrefois (et de leurs adversaires de la bande à Morgoth dans le regard des Elfes). Un indice peut-être : les Orcs sont toujours des Orcs (oui, bon, d'accord ce sont des OGM, à l'origine), ils ne semblent pas éprouver ce sentiment, se sentir plus faibles que leurs ancêtres, et le rapport de forces un héros = un bon gros paquet d'orcs n'a guère bougé en tout ce temps.
  18. Il y avait plusieurs pierres de ce type, toutes réservées à l'usage des Rois issus de Numenor et dont le secret était sévèrement gardé : - Trois en Arnor : à Amon Sûl, la plus puissante du Nord ("orientable" à volonté, capable de "voir" plus de choses...), une autre à Annuminas et une dans la tour d'Elostirion, sur Emyn Beraid (à mi-chemin vers l'ouest sur le chemin des Montagnes Bleues, aux confins du royaume d'Arnor) ; les deux premières furent d'abord réunies à Fornost après la ruine d'Amon Sûl au milieu du Troisième Age, puis perdues au moment de la chute d'Arthedain, quand le roi Arvedui s'enfuit avec elles vers le nord et disparut ; la dernière resta à la garde de Cirdan, mais elle n'était pas comme les autres, car elle ne pouvait voir que vers l'Ouest, à Tol-Eressëa (où était la mythique Pierre-Maîtresse), donc près du séjour des Valar. - Trois en Gondor : à Osgiliath, vraisemblablement la plus puissante de toutes celles de la Terre du Milieu, et qui sombra dans l'Anduin au cours de la Guerre Fratricide (une affaire bien débile, à l'origine de la sécession d'Umbar, je crois), à Minas Anor (Tirith), celle que consulta Denethor, enfin à Minas Ithil (Morgul), celle qui fut prise par Sauron et qui disparut avec lui. - Une entre les deux, au Calenardhon (ancien nom du Rohan), dans la forteresse d'Orthanc, celle de Saruman, qui, bien plus qu'une légendaire position fortifiée semble avoir cherché à se rendre maître de la pierre (que tout le monde avait plus ou moins oubliée et dont il avait compris la valeur "stratégique") quand il se fit confier l'Isengard. - La Pierre Noire devant laquelle Aragorn appelle l'Armée des Morts (et qui joue un rôle dans l'appel en question) aurait été d'une nature proche de celle des Palantiri, mais beaucoup plus grosse, et d'un usage différent. Quant à l'usage exact des pierres, comme l'a dit Theoden de Rohan, c'est dans les Contes et Légendes inachevés que figure l'explication la plus développée (je n'ai pas dit claire, hein...).
  19. Très chouette : simple et efficace. Curieux, les parchemins vierges... peut-être que le client veut les garnir lui-même ? parce que comme ça, on a l'impression qu'il s'est coincé le rouleau de papier-toilette dans le pantalon sans s'en apercevoir
×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.