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Mauldred

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    Warhammer Battle : Bretonniens (2500pts), Chaos (1000pts)<br>Warhammer 40K : Tyranides (500pts)

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  1. Vraiment génial, j'en rêvais, vous l'avez fait ! Merci énormément ! Ca a dû représenter un travail monstrueux de compilation et d'adaptation, je suis impressionné. ^^
  2. N'oubliez pas que dans l'armée haut elfe il y avait le seigneur Learfin chevauchant Galrauch le dragon d'or. Quand Galrauch a mangé la tête du démon majeur de Tzeentch, il est devenu le premier dragon du Chaos. Il est dit que Galrauch était seulement un tout petit peu moins fort qu'Indraugnir. Peut-être faudrait-il faire un profil ou une règle spéciale pour Learfin et Galrauch ? Peut-être qu'on pourrait dire que si, à un moment de la partie, la figurine de Learfin+Galrauch tue le démon majeur de Tzeentch (apparemment il s'agissait de Kairos), elle change de camp et est remplacé par la figurine de Galrauch dragon du Chaos.
  3. Sur le principe, je dis pourquoi pas : si les bretonniens sont capables de faire des unités de chevaliers sur pégases, alors l'Empire aussi (logiquement il n'y a pas plus de pégases en Bretonnie que dans l'Empire et l'Empire est bien plus grand, à moins que je me trompe). Mais ça sent le bourrinisme : Les chevaliers-pégases bretonniens ont 2 PV, pourquoi ces pleutres de l'Empire en auraient 3 ? Aucun Personnage sur monstre volant ne peut rejoindre d'unité volante, comme l'a dit Silencio. La justification fluff vaut ce qu'elle vaut (pégases de héros plus gros et donc moins maniables), mais c'est surtout pour les règles que ça pose un problème : le perso sur son pégase a une ligne de vue de 90°, tandis que l'unité volante a 360° du fait de la règle tirailleurs. Ce qui veut dire que ton perso a des flancs alors que ton unité n'en a pas. Comment feras-tu si tu veux charger une unité que tes chevaliers-pégases peuvent voir mais pas ton perso ? 8 de Cd, c'est bien suffisant. Ce ne sont que des chevaliers humains, ne l'oublions pas. Pourquoi 2 attaques pour le chevalier ? Ca fait en tout 4 attaques si on compte celles du pégase ! 5 Pour le champion (si tu les autorise à prendre un état-major). C'est énorme. Ce ne sont pas des chevaliers élus de Khorne ! Voilà à part ça ils ont un profil meilleur que les chevaliers-pégases bretonniens mais ils coûtent plus chers et comptent comme unité rare, donc ça me semble correct.
  4. Et ça ne cloque pas ? Intéressant, merci du tuyau ! En tout cas très beau schéma, le vert-de-gris a un rendu superbe sur l'airain (à moins que ça ne soit du laiton ?) des armures et la peau rose-violette contraste bien.
  5. Roooh, mais y'a pas que la taille de la queue qui compte, cochon va.
  6. Désormais les Montures Squelettes des chevaliers noirs ont un Cd de 4. Donc si les Chevaliers du Graal Noir ont des montures squelettes normales, il faut baisser leur Cd.
  7. Mauldred

    Décor tyranide

    Ca rend bien le vernis brillant pour un effet gluant Je devrais en acheter pour mes propres tytys, tiens.
  8. Ah ben ça en effet c'est ennuyeux...
  9. En vérité la Bretonnie est également inspiré de l'Angleterre pendant la guerre de cent ans. Sachant qu'à l'époque le royaume d'Angleterre s'étendait sur une bonne partie de la France actuelle, et que pendant une bonne partie du moyen-âge, les nobles anglais parlaient français à la cour du roi d'Angleterre. (D'où certaines devises anglaises qui sont en français : "Honni soit qui mal y pense", la devise de l'Ordre de la Jarretière fondé par Edward III). Les archers bretonniens font penser aux archers anglais, les français préférant louer les services d'arbalétriers mercenaires italiens. Mais là il s'agit surtout de représenter la langue bretonnienne entendue par un impérial, et vice-versa pour l'allemand qui représente le reikspiel.
  10. Voici la conclusion écrite par mon adversaire. Je lui devais bien ça, après m'être amusé à donner à Karl-Franz un accent pourri. Et puis il avait son mot à dire. C'est donc par souci d'équité que je poste son texte : « Karl Franz regardait le champ de bataille d'un air satisfait en essuyant la bave de l'hippogriffe qui coulait encore un peu. Devant lui Louen s'en allait, trainant Béaquis par sa laisse, et tous les chevaliers en faisaient de même, emportant un troubadour qui avait surgis du néant sans qu'on sache d'où il venait. Certains étaient même déjà très loin, et l'empereur les suspectait d'avoir fui depuis déjà un certain temps. Au contraire toutes ses troupes (du moins celles qu'il pouvait voir) avaient tenu, bien qu'il lui faudrait dire deux mots à dire à la comtesse Emmanuelle pour lui avoir refiler de la camelote pareil. Les soldats impériaux poussaient tous des hurlements de joie et certains regardaient même avec un oeil nouveau les jolies sorcières qu'il avait récupérer dans son armée. Karl se dit que si il y avait une coutume bretonnienne à imiter, c'était bien celle-là. "Allez-y mes bons hommes, hurla-t-il à tous ses soldats, videz moi tous les bars de Castillon et payez vous les plus belles putains, c'est la maison impériale qui offre". Et pendant que ses hommes scandaient ses louanges, alors que Louen se demandait ce qu'il avait bien pu vouloir dire, Karl Franz se dit qu'à prêt tout il avait un peu tricher pendant cette bataille. Ou plutôt il n'avait pas été complètement honnête. Il connaissait, lui, la réputation de Moussillon, et il n'avait rien dit à Louen alors qu'il avait choisi ses meilleurs éléments. "Ba, se dit-il, l'honneur de l'Empire vaut bien une petite omission. Et puis, savoir choisir ses hommes doit être la qualité de tout bon général qui se respècte. Et puis, alors qu'il allait gaiment passer la nuit en compagnie de ses soldats, son regard fut attirer par quelque chose d'étrange derrière la colline. Quand il vit qu'il s'agissait de ses hommes, magnifiquement éventrés, son sang ne fit qu'un tour. "Ah non, hurla-t-il, ça il n'avait pas le droit..." Le roi Louen se reposait dans sa tente personnelle qu'il avait installé sur les hauteurs du champs de bataille la veille. Il savait que les soldats impériaux étaient allés se vautrer dans la bière et l'alcool dans une ville de son propre royaume et il n'avait pas envie de croiser le regard moqueur de Karl Franz. Dehors le ménéstrel chantait "...N'écoutant que son courage Il a bien vite plié bagage Tournant bravement les talons Il a fui comme un larron..." Louen se saisit d'un pistolet, offert par Karl avant la bataille, qui tranait dans le coin, et le jeta à la figure du chanteur pour le faire taire. "J'aime pas ces armes là, pensa-t-il, mais je dois avouer que ça a parfois du bon." Soudain Karl Franz entra brusquement dans cette tente, passablement énervé. "Louen ! lui dit-il. Vous avez triché ! On avait dit pas d'armes réelles, vous n'avez pas tenu votre parole." Il ne s'embarrassait maintenant plus de parler Breton et houspillait le roi de son dure ton en reikspeil "Mais comme c'est moi qui suis le vainqueur, ajouta-t-il d'un air plus doux, je me contenterais d'excuse officielles." Louen avait d'abord été surpris par l'arrivée soudaine de l'empereur, mais il réagit lui aussi très vite, et le ton commença à monter. "Koua, mais comment allé vous Karl ? Nous nous sommes commpoorter en peerfait gentilshommes (en français dans le texte). Ses vos qui n'avez respecté pas l'étiquette (en français dans le texte), avé vos idée ? Des kanons ? Un vulgaire impérial seul pouvait utiliser-les" Les intentions de parler reikspiel étaient louable mais visiblement, il n'avait pas seulement un accent catastrophique, il le parlait aussi très mal. Et Karl Franz n'avait plus envie d'être gentil. "N'essayez pas de parler la langue des vainqueurs, Louen, ça ne fait que vous rendre plus ridicule !" "Ah oui ? Dit-il, oubliant ainsi toute tentative de parler en reikspiel. Sachez mon cher, que si nous n'avions pas utilisé ces vulgaires armes en mousse que vous nous aviez fourni, nous vous aurions littéralement empalé sur nos lances." "Mais vous plaisantez mon ami. Ce sont vos chevaux qui font tout le travail. Vos chevaliers sont si pitoyables qu'il fuient devant une faible femme sans défense. Vous devriez investir pour acheter des chevaux de bois d'ailleurs, vous êtes bien meilleurs dans leur maniement" "Parce que vous croyez que vos soldats qui puent la pisse et la bière, valent mieux peut-être ? Et, comme je le dit toujours, on a les hommes qu'on mérite." "Hahahaha ! Donc des gastéropodes baveux c'est cela ?" "Nous, au moins, nous n'utilisons pas ces pitoyables armes à poudre sans honneur." "Mais nous, nous n'égorgeons pas les hommes de l'adversaire par derrière pour gagner une bataille amicale, alors pour l'honneur vous repasserez Louen." "Menteur !" "Traitre !" L'échange de politesse continua ainsi sans que plus personne n'y comprenne rien car tous les deux parlaient à toute vitesse dans leurs langues respectives sans faire attention à ce que disait l'autre. "I should have heard my mother when she said : Louen, you mustn't never be agree with an imperial, they are all traitors." "Mein mutter hast mich gesagt, dass ich nicht mit einem bretonnien feunden musse. Warum habe ich nicht sie gehört ? "Je vous demande réparations Karl, pour l'injure que vous m'avez faite. Rendez-vous aux marches de Couronne au printemps prochain." "Avec plaisir Louen, et je peux vous assurer que nous n'utiliserons pas des armes en mousse cette fois." Et ainsi passe la vie au pays des rois. » Notez au passage l'honorable tentative de retranscription de l'accent français dans une phrase en français qui est censée représenter une phrase en Reikspiel traduite en français. Moralité : mangez des Khorne-Flakes.
  11. Quatrième (et Dernier) Tour Les flagellants chargèrent à leur tour le dos du Porteur de la Grande Bannière accompagné du dernier Chevalier du Royaume encore en vie (plus pour longtemps) qui étaient déjà engagés contre les épéistes, les miliciens et les chevaliers du cercle intérieur. Les prêtres-guerriers prièrent et les sorciers impériaux lancèrent leurs sorts, affaiblissant encore les troupes bretonniennes qui fuyaient par dizaines. Louen Coeur-de-Lion était affligé. "Mais qu'est-ce qui m'a foutu des clampins pareils ? C'est pas possible, normalement il n'y avait pas d'erreur, nous DEVIONS gagner ! J'ai recruté les pires chevaliers de toute la Bretonnie ou quoi ?" La Dame du Lac apparut au roi de Bretonnie. "Tu l'as dit bouffi. Maintenant démerde-toi." Et pouf elle disparut aussi vite qu'elle était venue. "Écoutez, Karl, arrêtons-nous là et remettons cette bataille à plus tard... je me rends compte que j'ai des choses urgentes à faire et..." "Ach, Louen, fous reconnaizzez fotre téfaite ! Fous foyez pien que les chefaliers te l'Empire zont les meilleurs !" "Mais non, c'est pas ça... enfin, d'accord, je veux bien reconnaître le match nul." "Nein, Louen, fous afez berdu !" "Jamais de la vie ! Mais je dois vraiment y aller, j'ai très envie d'aller aux toilettes, désolé. J'aurais bien aimé rester, mais là..." Alors qu'il disait cela en s'éloignant des combats, un troubadour arriva et se mit à chanter : "...N'écoutant que son courage Il a bien vite plié bagage Tournant bravement les talons Il a fui comme un larron..." Les chevaliers bretonniens voyant leur roi effectuer une brave retraite eurent l'idée de le suivre et de faire de même, et ils emportèrent avec eux le troubadour qui continuait de chanter sa chanson sur un air de ballade épique. "...Notre bon roy Coeur-de-Lion Fièrement se prend la tehon Sire Louen le brave parmi les braves !" Hans Taubier voulu lancer un autre pigeon vers les Archers de Bergerac, mais le stupide oiseau retourna à l'envoyeur et lui lâcha une grosse galette blanchâtre et visqueuse dans la figure. Le Tank à Vapeur se déplaça vers les Gueux de Sainct-Landouin qui se rallièrent... avant de fuir à nouveau car le cuirassé impérial venait de rouler encore une fois sur un pauvre escargot. Les Chevaliers à pied, qui se faisaient tabasser par les Joueurs d'Épée, suivirent leur roi pour l'escorter dans sa courageuse fuite stratégique. Le Chevalier de Sinople trotina tranquillement vers la colline la plus proche de lui, et sortit un étrange petit appareil de sa besace. Il l'approcha de son heaume et parla dedans, c'est ainsi que les servants du canon purent apprendre le véritable nom du Chevalier de Sinople : "Enterprise, ici Kirk, transférez-moi !" Une lumière bleutée enveloppa le chevalier vert, et l'instant d'après il avait disparu. De l'autre côté du champ de bataille, une lumière bleue identique apparut et le Chevalier de Sinople se rematérialisa sur l'autre colline. Mais il se retrouva un peu seul car le reste de l'armée bretonnienne dans ce secteur était un peu complètement en déroute. On dit que c'est depuis ce jour que le roi Louen Coeur-de-Lion s'est décidé à organiser une grande croisade pour "purifier" le duché de Moussillon de ses "brebis galeuses" qui "souillent l'honneur de la Bretonnie", et qu'il entre à chaque fois dans une colère noire quand il entend prononcer le nom de Castagne. À suivre : la conclusion du côté impérial.
  12. Rouge sur fond bleu ça fait mal aux nyeunyeux...
  13. Le LA Arabie a été fait pendant la V6, maintenant qu'on est en V7 sera-t-il mis à jour ? (Coût des OM communs revu à la baisse, magie revue, etc... ?) Et j'évite le monoligne de justesse en vous félicitant encore pour ce supplément !
  14. Merci beaucoup Arckal, par contre pour les photos tu es trop gentil AMHA, elles sont trop floues et petites car elles ont été prises avec un téléphone portable. La prochaine fois j'amènerai un vrai APN. Enfin l'avantage c'est qu'on ne voit pas trop que la moitié de mes troupes n'est pas peinte et que le quart est soclé différemment du reste.
  15. J'ai oublié de dire que les Sergents Montés avaient fui lorsqu'un pigeon lancé par l'ingénieur leur avait chié dessus. C'est ainsi que Hans Taubier avait choisi de simuler l'explosion de la grenade habituellement transportée par l'oiseau. A vrai dire, ça avait plutôt bien marché, car les Sergents, les yeux couverts de guano, ne purent estimer leurs pertes et crurent qu'ils étaient devenus aveugles, ce qui les força à s'enfuir. La bataille à la fin du second tour : Troisième Tour : Le Tank à Vapeur utilisa tous ses points de chaudière pour foncer sur Dangorn de Castagne ivre et à pied, qui n'avait pas réussi à le charger au tour précédent. L'impact fut violent et Dangorn se retrouva assommé, les bras et les jambes écartées et la face plaquée contre la carlingue de l'engin, un filet de sang coulant de son nez. "Gna fait mal..." "Fous n'afiez qu'à traverzer zur le bazzage biéton !" lui cria l'ingénieur depuis sa tourelle, en donnant un coup de klaxon. Les flagellants se rapprochèrent vers la mêlée titanesque qui se déroulait au centre du champ de bataille, où Louen et Karl-Franz étaient toujours en train de se combattre en défi. Béaquis, démontrant que son cerveau d'oiseau n'avait rien compris de ce que lui avait dit son maître, essaya encore une fois de mordre l'épée en mousse de Karl-Franz. Ce dernier, énervé, lui donna une claque sur le bec. Mécontent, la bestiole ailée se mit à bouder. Louen descendit de sa monture et engueula Karl-Franz. "Dites-donc, vous ! Même si nous sommes amis ça ne vous autorise point à maltraiter mon véhicule. Faisons un constat amiable." L'hippogriffe cessa de bouder et fit une grosse léchouille sur la joue de Louen. "Béaquis, tu es comme le "e" final de Bretonnie, tu ne sers à rien. Dégage." Les chevaliers impériaux et bretonniens continuaient de se taper dessus comme des mongols avec leurs lances et leurs épées en mousse, arrivant tout de même à se faire mal. Mais aucun camp ne l'emporta. Les Joueurs d'Épée chargèrent les chevaliers à pied et leur firent bouffer de la mousse par paquets, à tel point que ceux-ci fuirent (bannière du griffon = 3 rangs x2 + PU + pertes = test de Cd à double 1). Ils se rallièrent heureusement peu après. Sur le flanc dextre de l'armée impériale, le Chevalier de Sinople tua le dernier escorteur en lui transperçant le foie, puis éteignit son épée lumineuse qui sembla se rétracter dans sa garde en faisant un bruit étrange. *ZZZZWFFF* "Votre manque de foie me consterne, amiral." Non loin de là, les archers de Bergerac montrèrent encore une fois des aptitudes inégalées au tir à l'arc en réussissant à viser le sol. De l'autre côté du champ de bataille, les pégases et les chevaliers du royaume sans état-major chargèrent les lanciers. Leurs armes en mousse aiguisées transpercèrent les plastrons des lanciers et leur chair comme si c'était du papier... non je déconne. Comme d'habitude elles rebondirent inoffensivement et seul un lancier fut blessé (il était tombé sur son bouclier en se tordant de rire). Les lanciers répliquèrent en mettant à terre deux chevaliers et en leur pissant dessus. Humiliés, les chevaliers-pégases et les chevaliers du royaume qui restaient tournèrent les talons pour aller se petit-suicider plus loin.
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