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Warhammer Forum

Mauldred

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Tout ce qui a été posté par Mauldred

  1. Vraiment génial, j'en rêvais, vous l'avez fait ! Merci énormément ! Ca a dû représenter un travail monstrueux de compilation et d'adaptation, je suis impressionné. ^^
  2. N'oubliez pas que dans l'armée haut elfe il y avait le seigneur Learfin chevauchant Galrauch le dragon d'or. Quand Galrauch a mangé la tête du démon majeur de Tzeentch, il est devenu le premier dragon du Chaos. Il est dit que Galrauch était seulement un tout petit peu moins fort qu'Indraugnir. Peut-être faudrait-il faire un profil ou une règle spéciale pour Learfin et Galrauch ? Peut-être qu'on pourrait dire que si, à un moment de la partie, la figurine de Learfin+Galrauch tue le démon majeur de Tzeentch (apparemment il s'agissait de Kairos), elle change de camp et est remplacé par la figurine de Galrauch dragon du Chaos.
  3. Sur le principe, je dis pourquoi pas : si les bretonniens sont capables de faire des unités de chevaliers sur pégases, alors l'Empire aussi (logiquement il n'y a pas plus de pégases en Bretonnie que dans l'Empire et l'Empire est bien plus grand, à moins que je me trompe). Mais ça sent le bourrinisme : Les chevaliers-pégases bretonniens ont 2 PV, pourquoi ces pleutres de l'Empire en auraient 3 ? Aucun Personnage sur monstre volant ne peut rejoindre d'unité volante, comme l'a dit Silencio. La justification fluff vaut ce qu'elle vaut (pégases de héros plus gros et donc moins maniables), mais c'est surtout pour les règles que ça pose un problème : le perso sur son pégase a une ligne de vue de 90°, tandis que l'unité volante a 360° du fait de la règle tirailleurs. Ce qui veut dire que ton perso a des flancs alors que ton unité n'en a pas. Comment feras-tu si tu veux charger une unité que tes chevaliers-pégases peuvent voir mais pas ton perso ? 8 de Cd, c'est bien suffisant. Ce ne sont que des chevaliers humains, ne l'oublions pas. Pourquoi 2 attaques pour le chevalier ? Ca fait en tout 4 attaques si on compte celles du pégase ! 5 Pour le champion (si tu les autorise à prendre un état-major). C'est énorme. Ce ne sont pas des chevaliers élus de Khorne ! Voilà à part ça ils ont un profil meilleur que les chevaliers-pégases bretonniens mais ils coûtent plus chers et comptent comme unité rare, donc ça me semble correct.
  4. Et ça ne cloque pas ? Intéressant, merci du tuyau ! En tout cas très beau schéma, le vert-de-gris a un rendu superbe sur l'airain (à moins que ça ne soit du laiton ?) des armures et la peau rose-violette contraste bien.
  5. Roooh, mais y'a pas que la taille de la queue qui compte, cochon va.
  6. Désormais les Montures Squelettes des chevaliers noirs ont un Cd de 4. Donc si les Chevaliers du Graal Noir ont des montures squelettes normales, il faut baisser leur Cd.
  7. Mauldred

    Décor tyranide

    Ca rend bien le vernis brillant pour un effet gluant Je devrais en acheter pour mes propres tytys, tiens.
  8. Ah ben ça en effet c'est ennuyeux...
  9. En vérité la Bretonnie est également inspiré de l'Angleterre pendant la guerre de cent ans. Sachant qu'à l'époque le royaume d'Angleterre s'étendait sur une bonne partie de la France actuelle, et que pendant une bonne partie du moyen-âge, les nobles anglais parlaient français à la cour du roi d'Angleterre. (D'où certaines devises anglaises qui sont en français : "Honni soit qui mal y pense", la devise de l'Ordre de la Jarretière fondé par Edward III). Les archers bretonniens font penser aux archers anglais, les français préférant louer les services d'arbalétriers mercenaires italiens. Mais là il s'agit surtout de représenter la langue bretonnienne entendue par un impérial, et vice-versa pour l'allemand qui représente le reikspiel.
  10. Voici la conclusion écrite par mon adversaire. Je lui devais bien ça, après m'être amusé à donner à Karl-Franz un accent pourri. Et puis il avait son mot à dire. C'est donc par souci d'équité que je poste son texte : « Karl Franz regardait le champ de bataille d'un air satisfait en essuyant la bave de l'hippogriffe qui coulait encore un peu. Devant lui Louen s'en allait, trainant Béaquis par sa laisse, et tous les chevaliers en faisaient de même, emportant un troubadour qui avait surgis du néant sans qu'on sache d'où il venait. Certains étaient même déjà très loin, et l'empereur les suspectait d'avoir fui depuis déjà un certain temps. Au contraire toutes ses troupes (du moins celles qu'il pouvait voir) avaient tenu, bien qu'il lui faudrait dire deux mots à dire à la comtesse Emmanuelle pour lui avoir refiler de la camelote pareil. Les soldats impériaux poussaient tous des hurlements de joie et certains regardaient même avec un oeil nouveau les jolies sorcières qu'il avait récupérer dans son armée. Karl se dit que si il y avait une coutume bretonnienne à imiter, c'était bien celle-là. "Allez-y mes bons hommes, hurla-t-il à tous ses soldats, videz moi tous les bars de Castillon et payez vous les plus belles putains, c'est la maison impériale qui offre". Et pendant que ses hommes scandaient ses louanges, alors que Louen se demandait ce qu'il avait bien pu vouloir dire, Karl Franz se dit qu'à prêt tout il avait un peu tricher pendant cette bataille. Ou plutôt il n'avait pas été complètement honnête. Il connaissait, lui, la réputation de Moussillon, et il n'avait rien dit à Louen alors qu'il avait choisi ses meilleurs éléments. "Ba, se dit-il, l'honneur de l'Empire vaut bien une petite omission. Et puis, savoir choisir ses hommes doit être la qualité de tout bon général qui se respècte. Et puis, alors qu'il allait gaiment passer la nuit en compagnie de ses soldats, son regard fut attirer par quelque chose d'étrange derrière la colline. Quand il vit qu'il s'agissait de ses hommes, magnifiquement éventrés, son sang ne fit qu'un tour. "Ah non, hurla-t-il, ça il n'avait pas le droit..." Le roi Louen se reposait dans sa tente personnelle qu'il avait installé sur les hauteurs du champs de bataille la veille. Il savait que les soldats impériaux étaient allés se vautrer dans la bière et l'alcool dans une ville de son propre royaume et il n'avait pas envie de croiser le regard moqueur de Karl Franz. Dehors le ménéstrel chantait "...N'écoutant que son courage Il a bien vite plié bagage Tournant bravement les talons Il a fui comme un larron..." Louen se saisit d'un pistolet, offert par Karl avant la bataille, qui tranait dans le coin, et le jeta à la figure du chanteur pour le faire taire. "J'aime pas ces armes là, pensa-t-il, mais je dois avouer que ça a parfois du bon." Soudain Karl Franz entra brusquement dans cette tente, passablement énervé. "Louen ! lui dit-il. Vous avez triché ! On avait dit pas d'armes réelles, vous n'avez pas tenu votre parole." Il ne s'embarrassait maintenant plus de parler Breton et houspillait le roi de son dure ton en reikspeil "Mais comme c'est moi qui suis le vainqueur, ajouta-t-il d'un air plus doux, je me contenterais d'excuse officielles." Louen avait d'abord été surpris par l'arrivée soudaine de l'empereur, mais il réagit lui aussi très vite, et le ton commença à monter. "Koua, mais comment allé vous Karl ? Nous nous sommes commpoorter en peerfait gentilshommes (en français dans le texte). Ses vos qui n'avez respecté pas l'étiquette (en français dans le texte), avé vos idée ? Des kanons ? Un vulgaire impérial seul pouvait utiliser-les" Les intentions de parler reikspiel étaient louable mais visiblement, il n'avait pas seulement un accent catastrophique, il le parlait aussi très mal. Et Karl Franz n'avait plus envie d'être gentil. "N'essayez pas de parler la langue des vainqueurs, Louen, ça ne fait que vous rendre plus ridicule !" "Ah oui ? Dit-il, oubliant ainsi toute tentative de parler en reikspiel. Sachez mon cher, que si nous n'avions pas utilisé ces vulgaires armes en mousse que vous nous aviez fourni, nous vous aurions littéralement empalé sur nos lances." "Mais vous plaisantez mon ami. Ce sont vos chevaux qui font tout le travail. Vos chevaliers sont si pitoyables qu'il fuient devant une faible femme sans défense. Vous devriez investir pour acheter des chevaux de bois d'ailleurs, vous êtes bien meilleurs dans leur maniement" "Parce que vous croyez que vos soldats qui puent la pisse et la bière, valent mieux peut-être ? Et, comme je le dit toujours, on a les hommes qu'on mérite." "Hahahaha ! Donc des gastéropodes baveux c'est cela ?" "Nous, au moins, nous n'utilisons pas ces pitoyables armes à poudre sans honneur." "Mais nous, nous n'égorgeons pas les hommes de l'adversaire par derrière pour gagner une bataille amicale, alors pour l'honneur vous repasserez Louen." "Menteur !" "Traitre !" L'échange de politesse continua ainsi sans que plus personne n'y comprenne rien car tous les deux parlaient à toute vitesse dans leurs langues respectives sans faire attention à ce que disait l'autre. "I should have heard my mother when she said : Louen, you mustn't never be agree with an imperial, they are all traitors." "Mein mutter hast mich gesagt, dass ich nicht mit einem bretonnien feunden musse. Warum habe ich nicht sie gehört ? "Je vous demande réparations Karl, pour l'injure que vous m'avez faite. Rendez-vous aux marches de Couronne au printemps prochain." "Avec plaisir Louen, et je peux vous assurer que nous n'utiliserons pas des armes en mousse cette fois." Et ainsi passe la vie au pays des rois. » Notez au passage l'honorable tentative de retranscription de l'accent français dans une phrase en français qui est censée représenter une phrase en Reikspiel traduite en français. Moralité : mangez des Khorne-Flakes.
  11. Quatrième (et Dernier) Tour Les flagellants chargèrent à leur tour le dos du Porteur de la Grande Bannière accompagné du dernier Chevalier du Royaume encore en vie (plus pour longtemps) qui étaient déjà engagés contre les épéistes, les miliciens et les chevaliers du cercle intérieur. Les prêtres-guerriers prièrent et les sorciers impériaux lancèrent leurs sorts, affaiblissant encore les troupes bretonniennes qui fuyaient par dizaines. Louen Coeur-de-Lion était affligé. "Mais qu'est-ce qui m'a foutu des clampins pareils ? C'est pas possible, normalement il n'y avait pas d'erreur, nous DEVIONS gagner ! J'ai recruté les pires chevaliers de toute la Bretonnie ou quoi ?" La Dame du Lac apparut au roi de Bretonnie. "Tu l'as dit bouffi. Maintenant démerde-toi." Et pouf elle disparut aussi vite qu'elle était venue. "Écoutez, Karl, arrêtons-nous là et remettons cette bataille à plus tard... je me rends compte que j'ai des choses urgentes à faire et..." "Ach, Louen, fous reconnaizzez fotre téfaite ! Fous foyez pien que les chefaliers te l'Empire zont les meilleurs !" "Mais non, c'est pas ça... enfin, d'accord, je veux bien reconnaître le match nul." "Nein, Louen, fous afez berdu !" "Jamais de la vie ! Mais je dois vraiment y aller, j'ai très envie d'aller aux toilettes, désolé. J'aurais bien aimé rester, mais là..." Alors qu'il disait cela en s'éloignant des combats, un troubadour arriva et se mit à chanter : "...N'écoutant que son courage Il a bien vite plié bagage Tournant bravement les talons Il a fui comme un larron..." Les chevaliers bretonniens voyant leur roi effectuer une brave retraite eurent l'idée de le suivre et de faire de même, et ils emportèrent avec eux le troubadour qui continuait de chanter sa chanson sur un air de ballade épique. "...Notre bon roy Coeur-de-Lion Fièrement se prend la tehon Sire Louen le brave parmi les braves !" Hans Taubier voulu lancer un autre pigeon vers les Archers de Bergerac, mais le stupide oiseau retourna à l'envoyeur et lui lâcha une grosse galette blanchâtre et visqueuse dans la figure. Le Tank à Vapeur se déplaça vers les Gueux de Sainct-Landouin qui se rallièrent... avant de fuir à nouveau car le cuirassé impérial venait de rouler encore une fois sur un pauvre escargot. Les Chevaliers à pied, qui se faisaient tabasser par les Joueurs d'Épée, suivirent leur roi pour l'escorter dans sa courageuse fuite stratégique. Le Chevalier de Sinople trotina tranquillement vers la colline la plus proche de lui, et sortit un étrange petit appareil de sa besace. Il l'approcha de son heaume et parla dedans, c'est ainsi que les servants du canon purent apprendre le véritable nom du Chevalier de Sinople : "Enterprise, ici Kirk, transférez-moi !" Une lumière bleutée enveloppa le chevalier vert, et l'instant d'après il avait disparu. De l'autre côté du champ de bataille, une lumière bleue identique apparut et le Chevalier de Sinople se rematérialisa sur l'autre colline. Mais il se retrouva un peu seul car le reste de l'armée bretonnienne dans ce secteur était un peu complètement en déroute. On dit que c'est depuis ce jour que le roi Louen Coeur-de-Lion s'est décidé à organiser une grande croisade pour "purifier" le duché de Moussillon de ses "brebis galeuses" qui "souillent l'honneur de la Bretonnie", et qu'il entre à chaque fois dans une colère noire quand il entend prononcer le nom de Castagne. À suivre : la conclusion du côté impérial.
  12. Rouge sur fond bleu ça fait mal aux nyeunyeux...
  13. Le LA Arabie a été fait pendant la V6, maintenant qu'on est en V7 sera-t-il mis à jour ? (Coût des OM communs revu à la baisse, magie revue, etc... ?) Et j'évite le monoligne de justesse en vous félicitant encore pour ce supplément !
  14. Merci beaucoup Arckal, par contre pour les photos tu es trop gentil AMHA, elles sont trop floues et petites car elles ont été prises avec un téléphone portable. La prochaine fois j'amènerai un vrai APN. Enfin l'avantage c'est qu'on ne voit pas trop que la moitié de mes troupes n'est pas peinte et que le quart est soclé différemment du reste.
  15. J'ai oublié de dire que les Sergents Montés avaient fui lorsqu'un pigeon lancé par l'ingénieur leur avait chié dessus. C'est ainsi que Hans Taubier avait choisi de simuler l'explosion de la grenade habituellement transportée par l'oiseau. A vrai dire, ça avait plutôt bien marché, car les Sergents, les yeux couverts de guano, ne purent estimer leurs pertes et crurent qu'ils étaient devenus aveugles, ce qui les força à s'enfuir. La bataille à la fin du second tour : Troisième Tour : Le Tank à Vapeur utilisa tous ses points de chaudière pour foncer sur Dangorn de Castagne ivre et à pied, qui n'avait pas réussi à le charger au tour précédent. L'impact fut violent et Dangorn se retrouva assommé, les bras et les jambes écartées et la face plaquée contre la carlingue de l'engin, un filet de sang coulant de son nez. "Gna fait mal..." "Fous n'afiez qu'à traverzer zur le bazzage biéton !" lui cria l'ingénieur depuis sa tourelle, en donnant un coup de klaxon. Les flagellants se rapprochèrent vers la mêlée titanesque qui se déroulait au centre du champ de bataille, où Louen et Karl-Franz étaient toujours en train de se combattre en défi. Béaquis, démontrant que son cerveau d'oiseau n'avait rien compris de ce que lui avait dit son maître, essaya encore une fois de mordre l'épée en mousse de Karl-Franz. Ce dernier, énervé, lui donna une claque sur le bec. Mécontent, la bestiole ailée se mit à bouder. Louen descendit de sa monture et engueula Karl-Franz. "Dites-donc, vous ! Même si nous sommes amis ça ne vous autorise point à maltraiter mon véhicule. Faisons un constat amiable." L'hippogriffe cessa de bouder et fit une grosse léchouille sur la joue de Louen. "Béaquis, tu es comme le "e" final de Bretonnie, tu ne sers à rien. Dégage." Les chevaliers impériaux et bretonniens continuaient de se taper dessus comme des mongols avec leurs lances et leurs épées en mousse, arrivant tout de même à se faire mal. Mais aucun camp ne l'emporta. Les Joueurs d'Épée chargèrent les chevaliers à pied et leur firent bouffer de la mousse par paquets, à tel point que ceux-ci fuirent (bannière du griffon = 3 rangs x2 + PU + pertes = test de Cd à double 1). Ils se rallièrent heureusement peu après. Sur le flanc dextre de l'armée impériale, le Chevalier de Sinople tua le dernier escorteur en lui transperçant le foie, puis éteignit son épée lumineuse qui sembla se rétracter dans sa garde en faisant un bruit étrange. *ZZZZWFFF* "Votre manque de foie me consterne, amiral." Non loin de là, les archers de Bergerac montrèrent encore une fois des aptitudes inégalées au tir à l'arc en réussissant à viser le sol. De l'autre côté du champ de bataille, les pégases et les chevaliers du royaume sans état-major chargèrent les lanciers. Leurs armes en mousse aiguisées transpercèrent les plastrons des lanciers et leur chair comme si c'était du papier... non je déconne. Comme d'habitude elles rebondirent inoffensivement et seul un lancier fut blessé (il était tombé sur son bouclier en se tordant de rire). Les lanciers répliquèrent en mettant à terre deux chevaliers et en leur pissant dessus. Humiliés, les chevaliers-pégases et les chevaliers du royaume qui restaient tournèrent les talons pour aller se petit-suicider plus loin.
  16. Rien n'indique qu'il ne puisse pas le faire. Il est seulement précisé dans le LA "Il peut se déplacer normalement au tour où il arrive". En bon bretonnien, je considère que la charge est un déplacement tout à fait normal et typique de mon armée. (Et mon adversaire était d'accord, alors...)Pour moi l'intérêt du Chevalier de Sinople réside, entre autres, dans cette phrase. Autrement il est assez faiblard malgré toutes ses règles spéciales. C'est plus un empêcheur de manœuvrer en rond et un chasseur de servants ou de mages qu'un seigneur qui peut se farcir une unité à lui tout seul (contrairement à Louen ou KF).
  17. Second Tour : "Chaaaaaaaaaaaaaaarrrrrgeeeeeeeeeeeez !" Les bretonniens s'étaient un peu trop avancés, comme Karl-Franz l'espérait. Son ami Louen était même en première ligne, juste devant ses chevaliers. Vêtu de son armure magique, il ne craignait déjà pas les armes conventionnelles, alors les armes en mousse... A la tête de ses Chevaliers du Cercle Intérieur de l'ordre du Soleil Rougeoyant, l'empereur chargea les chevaliers devant lui en percutant au passage le roi de Bretonnie. Le tank à vapeur fonça dans les gueux de Sainct-Landouin, qui se mirent à baver sur sa carlingue en espérant peut-être le faire rouiller. Les fanatiques et les autres fantassins avancèrent pour submerger les forces bretonniennes. Louen déclara un défi, que Karl-Franz releva. "Voyons qui de nous deux sera le meilleur à l'épée en mousse !" "Ach ! Bari tenu !" Et ils se battarent... L'épée en mousse de Louen rebondit sur l'armure de Karl-Franz, pendant que Béaquis, l'air joyeux comme un chien qu'on emmène en promenade, faisait le beau et haletait en laissant sa langue pendre hors de son bec. Karl-Franz lui donna un coup d'épée en mousse pour l'empêcher de lui léchouiller affectueusement la joue, mais l'hippogriffe crut qu'il voulait jouer et mordilla l'arme factice. "Lâche sale bête. Lâche, che te tis ! Louen, tites-lui de lâcher !" Louen se pencha vers la tête de sa monture et le gronda en agitant un doigt menaçant. "Béaquis, tu n'auras pas de susucre si tu continues !" Le monstre mi-cheval mi-tigre mi-aigle cessa de jouer et regarda son maître en couinant, avec un air de chien battu. Le chevalier de Sinople tua encore deux escorteurs. Le dernier survivant s'égosilla "Bar Sigmar, z'est qui ce taré ! On afait tit tes armes en mousse !", ce à quoi le chevalier éthéré répondit "Nul ne passe !" mais personne ne les remarqua car le reste de la bataille se déroulait de l'autre côté de la colline. La partie à la fin du second tour impérial. Les chevaliers-pégases chargèrent les servants du canon sur la droite, et ces derniers capitulèrent après s'être pris quelques coups de sabot en essayant d'éviter les lances en mousse. Les chevaliers qui n'étaient pas engagés au corps-à-corps chargèrent le détachement des lanciers, et les miliciens prirent également la tangente hors du champ de bataille. L'un d'eux pleurait car il avait eu très mal à l'œil quand une lance en mousse lui avait percuté le visage. Dangorn quitta l'unité de brigands après s'être servi un gobelet du divin nectar de Guy, et voulu charger tout seul le tank à vapeur ce qui était héroïque mais stupide car il était ivre et courait en zig-zag en se prenant les pieds dans les pierres qui dépassaient du sol. Il ne put l'atteindre tout de suite. Le tour d'avant, Bertrand avait utilisé sa Flèche Noire (enfin la réplique en mousse) pour tenter de toucher le Tank à Vapeur, mais pas facile de tirer des projectiles en mousse quand il y a du vent... Les archers de Bergerac tirèrent de nouveau sur la même cible sans succès. Les sergents montés, eux, tirèrent sur les servants du canon mais n'arrivèrent qu'à toucher le canon, qui ne broncha pas. Les gueux de Sainct-Landouin perdirent le combat contre le tank à vapeur et s'enfuirent très lentement, à l'instar des gastéropodes, en crachant par terre pour laisser une trace de bave et de glaviots derrière eux, ainsi peut-être que le panzer impérial s'enliserait en essayant de les poursuivre au tour suivant.
  18. Le Défi des Titans "A fous de chouer, Louen." L'empereur Karl-Franz Ier s'adossa dans son fauteuil, les coudes sur les accoudoirs, les mains jointes devant son menton comme pour souligner le rictus cruel qui lui barrait la face. Il était certain d'avoir mis son adversaire en fâcheuse posture, et que cette fois il ne se relèverait pas. Le roi Louen Cœur-de-Lion ne fit pas attention à l'expression de son rival, préférant se concentrer sur sa stratégie. Il déplaça lentement une pièce sur le jeu, et regarda le chef suprême de l'Empire avec un grand sourire. "Vous êtes mat, Karl." Incrédule, l'empereur de la plus grande nation du Vieux Monde observa l'échiquier. Comment cela était-ce possible ? Cela faisait la troisième fois que le roi de Bretonnie gagnait. "Il faut vous rendre à l'évidence, Karl. Je vous apprécie beaucoup, mais la victoire est mienne : vous devez reconnaître que les chevaliers bretonniens sont bien meilleurs que vos chevaliers impériaux, puisqu'il est avéré que derniers sont des couards." Karl-Franz se leva brusquement de son fauteuil, la mine sombre, et tourna le dos à son invité pour regarder par la fenêtre le ciel orageux. "Fous afez beut-être gagné au réchicide, Louen, mais cela ne fous tonne boint raison. Che ne beux bas fous laisser bartir afec une telle certitute. Faisons une fraie bataille, et fous pourrez foir bar fous-même que mes chefaliers sont au moins aussi faleureux que les fôtres, si ce n'est dafantache." "D'accord, Karl, mais nous ne pouvons nous permettre de gaspiller nos forces l'un contre l'autre tandis que le Chaos et les peaux-vertes menacent nos concitoyens respectifs." "Éfidemment, cela fa de soi. Nous nous affronterons tonc afec des armes en mousse, tont il me semble que fos chefaliers sont coutumiers..." dit l'empereur avec un sourire. "Je n'en attendais pas moins de votre part, Karl ! C'est très bas !" répliqua Louen en riant. "Che fais ce que je feux, che suis l'empereur, abrès tout. Et sinon, qu'en bensez-fous ?" "C'est entendu, va pour les armes en mousse. Et pour les projectiles ?" s'inquiéta le roi de Bretonnie. "Les machines de guerre tireront à blanc, et les artilleurs lanceront des ballons remplis d'eau pour simuler les imbacts." "Fort bien. Choisissez bien vos hommes, Karl, car pour ma part je vais recruter l'élite de la Bretonnie : je connais un petit comté non loin de Moussillon dont tout le monde parle à ma cour. Je ne sais guère trop ce qu'on en dit car je n'en ai ouï que le nom, mais assurément ce Dangorn de Castagne doit être un grand seigneur pour mériter pareille célébrité. Je compte bien le quémander pour cette joute amicale et ainsi vous montrer la toute-puissance de nos nobles chevaliers." Karl-Franz, lui, connaissait la véritable "réputation" du comte de Castagne, car on en parlait jusque dans le Reikland. Mais il n'en dit mot à son confrère et ami, masquant sa terrible envie de rire avec tout le talent d'un acteur de tragédie. Listes d'Armées La mienne : Celle de mon adversaire : Champ de Bataille Une plaine, trois collines et une rivière, avec deux monolithes infranchissables au centre. Déploiement Comme suit : Premier Tour : "Tirez les premiers, messieurs les impériaux." Tandis que l'armée bretonnienne priait, les artilleurs impériaux s'activaient. Bien que tirant à blanc, le mortier explosa, et ses servants furent criblés de schrapnels : ces imbéciles avaient mis trop de poudre. Cela fit bien rire les bretonniens. Les canons et le tank à vapeur tirèrent. les bombes à eau ratèrent les chevaliers-pégases mais aspergèrent violemment le pégase royal de Dangorn. Descendant du dos de la brave bête, le comte rejoignit les archers de Bergerac, sans doute dans l'espoir de goûter au fameux breuvage que Guy le Gros transportait dans son tonneau. (Désolé pour la qualité très mauvaise des photos, je les ai prises en speed avec mon téléphone portable...) Ysabault, la damoiselle du Graal, utilisa tout de suite ses deux parchemins pour dissiper la pléthore de sortilèges lancés par Anna et Chloé, ainsi que les prières de l'archidiacre, toutefois ce dernier réussit tout de même à lancer une sauvegarde invulnérable sur le capitaine porteur de la Bannière du Griffon. Le bon roi Louen, en ce début de bataille, était furieux. Au lieu de la chevalerie d'élite qu'il se figurait, il avait reçu le renfort d'une bande de pouilleux que même les pouilleux trouvaient attardés, ainsi que des chevaliers, mais pas ceux qu'il espérait. Il aurait voulu voir des rangs bien ordonnés de nobles combattants endurcis en armure clinquante, mais il n'avait sous ses ordres que des chevaliers en armure sombre, à peine plus éduqués que leurs propres gueux. Néanmoins les chevaliers errants se démarquaient de ce triste lot, formant une confrérie de braves et jeunes moines-chevaliers issus d'un monastère vénérant Taal... mais le plus vieux d'entre eux devait avoir dans les dix-sept ans, et c'était visiblement la première bataille qu'il livrait. La loi bretonnienne n'édictait-elle point que l'âge pour devenir chevalier était la vingtaine révolue ? Apparemment dans la campagne moussillonnaise, on était bien peu au fait des règles de la chevalerie... Et ce fameux Dangorn, dont il avait maintes fois entendu les dames de sa cour murmurer le nom en gloussant... lui aussi valait le coup d'oeil : un albinos, à l'air aviné, la coiffure et la barbe négligées, et ne cessant de toiser le décolleté de la damoiselle du Graal qui accompagnait l'armée. C'était donc ça, le héros sur qui il comptait pour sauver l'honneur de la chevalerie bretonnienne ? Le plus humiliant était peut-être ce régiment de chevaliers-piétons... avaient-ils donc aussi peu de moyens en Castagne pour ne pas pouvoir se payer des destriers ? Heureusement qu'il avait fait venir spécialement de Parravon un triplet de chevaliers-pégases, voilà de vrais nobles qui n'hésitaient pas à casser leur tirelire pour s'acheter une monture digne de ce nom ! Soudain, comme pour redonner espoir à Louen, le chevalier de Sinople apparut, surgissant comme à son habitude d'une vieille souche d'arbre pourrissante au sommet d'une colline. Les escorteurs se firent charger de dos et ratèrent leur test de Terreur quand ils virent qu'il n'avait pas d'arme en mousse, lui. Deux d'entre eux moururent décapités par la Lame de Douleur, les autres tinrent bon malgré tout, se battant avec l'énergie du désespoir contre un ennemi que leurs balles et leurs sabres traversaient comme de la brume, sans même le blesser. Le reste de l'armée bretonnienne avança, les chevaliers-pégases s'approchant au plus près du canon qui venait de les prendre pour cible. Les gueux de Sainct-Landouin devinrent Frénétiques car le tank à vapeur avait roulé sans le faire exprès sur un escargot.
  19. Toi t'as pas lu la fin de mon post.
  20. Ce qui est drôle, c'est que Games Workshop écrit "Comète à Deux Queues" comme si ce n'était pas banal pour une comète d'avoir deux queues. Or elles ont toutes deux queues. Les comètes ont toujours une queue de poussières, qui suit sa trajectoire, et une queue d'ions arrachés par le vent solaire, qui s'étend à l'opposé de la face éclairée par le Soleil. Effectivement si Sigmar est né naturellement, ce ne peut pas être un primarque. Au mieux c'est un mutant chanceux. J'aime assez ta théorie Nécross, selon laquelle la comète serait une manifestation "physique" d'agitation du Chaos. Il y a déjà une autre manifestation bien connue du Chaos qui voyage autour du Monde de Warhammer : la lune Morrslieb. Dans ce cas les "comètes" seraient peut-être des morceaux de Malepierre arraché de Morrslieb ou éjecté d'un portail polaire et qui se sont recouverts de glace et de poussière interstellaire en voyageant loin dans l'espace, leur permettant de se comporter comme des comètes. Certains vont sûrement me dire "mais faut pas chercher une explication plausible, c'est qu'un jeu, les concepteurs sont partis en délire et puis c'est tout, et puis le Warp, les démons, tout ça ça n'existe pas", mais je suis un passionné d'astrophysique et de Warhammer, et à chaque fois je m'émerveille de voir que quasiment tout dans l'univers de Warhammer a été pensé de façon extrêmement logique voire scientifique, lui donnant cette cohérence interne qui fait toute sa profondeur.
  21. Tût tût tût ! Je me dois d'intervenir !Comme n'importe quel corps, les comètes sont soumis aux mêmes lois de la physique, y compris la gravitation, mon cher P'tit Biscuit. Il arrive en effet que des comètes s'écrasent, si elles croisent la route d'un autre corps, ou s'approchent trop près d'un corps bien plus massif. C'est ce qui est arrivé à la comète Shoemaker-Levy, qui s'est écrasée sur Jupiter, se désagrégeant d'abord en de multiples fragments à mesure qu'elle se rapprochait de la planète géante, étant soumises aux énormes forces de marée induites par la forte gravité de l'astre, puis tour à tour, chaque morceau a percuté l'atmosphère jovienne en provoquant des explosions cataclysmiques : la même chose serait arrivée sur Terre, il n'y aurait plus de Terre. Heureusement des comètes, il y en a de toutes tailles. On peut imaginer que la comète qui s'est écrasée soit une petite comète. Le fait qu'elle ne se soit pas fragmentée, comme cela arrive souvent avec les comètes qui sont généralement des corps de très faible densité (leur texture ressemble plus à de la neige qu'à de la pierre), est sans doute dû au fait qu'elle devait avoir un noyau de Malepierre. La question est : comment de la Malepierre a-t-elle pu s'incruster au cœur d'une comète ? Les comètes sont des corps de glace et de poussière qui se forment très loin du Soleil, là où il fait très froid, tandis que la Malepierre est une matérialisation des Vents de Magie. Cela voudrait donc dire qu'il y aurait un autre Portail Warp construit par les Anciens, à la périphérie du système solaire dont la planète Warhammer fait partie ? L'explication du vaisseau qui s'écrase, pris par une comète par les habitants du monde de Warhammer, paraît bien plus cohérente à mes yeux. Et j'avais déjà pensé que Sigmar fût un Primarque, car la description de ses faits d'armes extraordinaires, qu'aucun humain normal n'aurait pu accomplir, fait penser qu'il a peut-être été génétiquement amélioré comme les primarques. Tout ça semble se tenir. Et l'Empereur ne serait pas venu le chercher car la tempête Warp qui entoure le système absorbe toutes les ondes psychiques.
  22. Je me permets de relancer car ça n'a toujours pas été mis à jour. Et j'en profite pour donner l'adresse d'une grosse guilde Roleplay de Warhammer Online (je ne sais pas si ça a sa place dans cette section mais je vois que le Clan Neanias a fait pareil ) : La Confrérie des Mercenaires du Reikland, une guilde pleine de mercenaires dedans, venant de tous horizons, et dont le quartier général est une petite taverne sur les quais d'Altdorf. Si vous avez envie de combattre pour l'Or et la Gloire, que vous soyez Nain, Elfe ou Humain, venez nous rejoindre !
  23. Bon Warnniversaire Warfo ! (Un peu à la bourre mais bon). Bon, ben quand warfo y'aller...
  24. On essaye Kaleb Daark V7 maintenant ? Y'a de la demande sur le Fléau Nordique Quoique... ce serait peut-être mieux d'attendre le LA HdC v7 en fait.
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