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General Maximus

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    Warhammer 40k : Spaces Marines, Eldars. Warhammer Battle : Empire.
  1. Ah p*****, j'suis vraiment désolé, j'ai complètement oublié de retirer ce truc ! Franchement je m'excuse. Et j'espère de tout cœur que tu vas pas croire que je réponds juste pour faire remonter le sujet ( rien que pour ça j'ai hésité à répondre là... )... Bon sang, ça fait trois fois que je me fais réprimander gentiment par les modérateurs... j'espère que ce sera la dernière, parce que ça fait de moi un troll plus qu'autre chose.
  2. [i] Naogeddon, an 40850.[/i] L'endroit était tout à fait désert. Au loin s'étendaient les vastes landes désolées, caractéristiques de la zone forestière de Naogeddon. Les collines étaient couvertes de forêts d'arbres aux troncs grisâtres et aux feuillages sombres, presque noirs, et que le vent pourtant violent ne semblait par déranger. L'écho du vent dans la forêt ajoutait à ce paysage une ambiance quasiment mystique. Nul ne semblait s'être aventuré ici depuis des siècles. Les espèces humanoïdes avaient quitté la planète, et les animaux restaient tapis dans l'ombre, comme par crainte d'une force maléfique. Soudain, il y eut comme un faible hululement. Un son lointain, un doux vrombissement, qui, en s'amplifiant, faisait frémir les feuilles des arbres noirs. À présent, il semblait que la forêt toute entière tremblait. Les montagnes les plus proches, visibles à l'horizon, paraissaient renvoyer cet écho menaçant. C'était à présent un rugissement. Venant de l'Ouest, un nuage de fumée descendait sur la lande. Petit à petit, sept formes noires apparurent au fond de la vallée. Au sol, les cailloux s'étaient mis à s'agiter frénétiquement, comme pour la venue d'une tempête. Les arbres, eux-mêmes, semblaient inquiets. Quiconque aurait observé la forêt en cet instant y aurait discerné un mauvais présage. Les masses en mouvement s'étaient approchées. Dans le ciel, les oiseaux prédateurs pouvaient à présent entrevoir la cause du bouleversement du repos centenaire de la forêt. Sept Rhinos étaient au centre de la vallée. Des Rhinos au couleur de Slaanesh, portant l’emblème de la famille Ascar. À l'intérieur du Rhino de tête, au blindage renforcé, régnait un silence de cathédrale. Ce Rhino contenait six des plus dangereuses abominations de la galaxie, les élus de Sirius Ascar. Mais, en cet instant, tous semblaient rongés par l’appréhension, et retenaient leur respiration. Certains jetaient des coups d'oeil furtifs, aussi discrets qu'ils le pouvaient, à l'égard d'une septième personne, assise à proximité du hublot. Cet être, qui semblait leur inspirer du respect, mais plus encore de la crainte, n'était autre que le seigneur incontesté du crime, le maître de la perversion et de la traîtrise, recherché dans toute la galaxie pour les crimes les plus odieux, l’innommable Sirius Ascar. À premier vue, il avait pourtant l'air d'un jeune homme pensif et mélancolique, presque poétique alors qu'il observait songeusement le paysage qui défilait sous ses yeux. Mais, il suffisait d'observer ses yeux pour comprendre qu'il s'agissait de l'être le plus pervers et le plus retors de la galaxie. Une fois plongé dans son regard, on est alors emporté dans des abîmes infinis de douleur et de tourments, et on devine que cet être a commis et enduré des choses plus atroces que bien d'autres êtres humains. Angrim, le porte-étendard des élus, dernier arrivé dans cette escouade, ne savait comment réagir à cette situation. Yrisa l'avait déjà prévenu que leur maître était infiniment plus dangereux lorsque il était mélancolique que lors de son habituelle hystérie sanguinaire. Elle avait appelé cela : "Le signe du monstre". Heureusement, Angrim le savait, ses deux têtes aux regard troubles étaient particulièrement repoussantes, et personne ne savait réellement où il regardait. Il continua d'observer son maître avec son extrême discrétion. Sirius réprima un rire violent, qu'il laissa éclater intérieurement, alors que son visage restait de marbre. [i]"Crétin de Angrim. Il s'imagine que je ne me doute pas qu'il m'observe, il ne sait pas que je suis capable de sentir n'importe quel regard"[/i]. Alors qu'il respirait silencieusement, Sirius laissa monter les exhalations du Rhino au sein de son système olfactif. [i]"Je sens leurs phéromones. L'odeur de la peur. Ils sont terrorisés, car ils savent que je suis dans un instant de profonde instabilité, et que je pourrais les exécuter, ni par caprice, ni par jeu, ni même par plaisir, ... mais par pulsion. Je vois les coups d'oeil furtifs d'Yrisa, et elle le sait, ce qui ne fait que renforcer son malaise. Seul La Brute m'observe de façon assumée, car il sait que c'est la meilleure stratégie de survie. Il me connait si bien, et pourtant me comprend si peu. Il est comme un père pour moi... et cela ne devrait pas le rassurer."[/i] Angrim, persuadé à présent que son maître était perdu dans ses pensées, observait de manière légèrement plus franche celui-ci, qui continuait de regarder à travers le hublot. Que pouvait-il trouver d'intéressant à un paysage aussi désolé et futile, et... Angrim fut alors pris d'un violent sursaut. Le regard sombre et cruel de Sirius Ascar était plongé droit dans le sien. Il ignorait depuis quel instant et comment il avait changé d'attitude, en moins d'une fraction infinitésimale de seconde, mais il était déjà trop tard. Son corps tout entier était envahi par la terreur. Quelque chose de mystérieux et d'atroce résidait dans l'esprit d'Ascar, il en était certain maintenant. Il eut alors l'impression que le visage de son maître changeait et se décomposait sous ses yeux. Tout cela s'était passé en moins d'un clignement d'oeil. La Brute toussota. Angrim, tiré de sa torpeur, détourna le regard, alors qu'Ascar ne semblait pas lui accorder la moindre attention. Il se demanda alors si cette vision n'était pas le fruit d'un délire produit par les substances d'extase qu'il avait consommé après la bataille lors de la flagellation des cadavres. Dans tous les cas, il avait rempli la poche urinaire de son armure, et ça, ce n'était pas un rêve. Et, en jetant un ultime regard plus furtif que jamais à son maître, il eut comme l'impression que, sur le visage de marbre, apparaissait, en profondeur, un semblant de sourire démoniaque. Terrorisé et parcouru de micro-tremblements, Angrim commençait à regretter sa récente "promotion". L'élu ferma alors les yeux. Sirius Ascar souriait intérieurement. Cette petite mascarade avait terrorisé Angrim, l'un des soldats les plus féroces de la galaxie. Mais, il sentait que ce petit tour de force n'avait pas été dû qu'à sa seule volonté. Au fond de lui-même, dans les circonvolutions les plus profondes de son âme déchirée, une chose terrible était tapie. À nouveau, il entendit comme les échos lointain de voix, qui lui chantaient : [i]"Siriuuus, nous arrivooons, tu ne peuuux plus nous retenir à présent."[/i]. Sirius Ascar se concentra de nouveau sur le paysage qui défilait à travers le hublot, et les voix s'estompèrent... pour un instant.
  3. Bien sur que tu peux citer, tu parles de la caste des métas-barons ? Une véritable réussite d'un auteur mémorable, je m'en suis plus qu'inspiré. On peut même dire que je l'ai un peu transposée dans l'univers de w40k. Après, ça relèverait du plagiat si jamais j'essayais de le commercialiser. Là, je souligne au contraire ma source d'inspiration en nommant le second personnage "Revan". Mais t'inquètes pas, cette partie de l'histoire n'est qu'un infime morceau de la fresque bâtie autour du personnage de Sirius Ascar. Content que tu aies repéré la source d'inspiration ( même si je répète que j'ai jamais cherché à le dissimuler au contraire ! ).
  4. Tiens, peu de réactions... peut-être devrais-je m'en prendre à un modérateur pour faire un peu de buzz... [spoiler]Non j'plaisante bien sûr ! De toute façon j'ai pas encore écrit la suite. J'attendrais...[/spoiler]
  5. [color="#4169E1"]Bon, j'ai eu quelques problèmes de PC récemment, et un emploi du temps un peu Overbook, mais voilà la suite. [/color] [b] *Lucius Ascar, le Trisaïeul [/b] Lucius, dès son plus jeune âge, fit preuve d'un incroyable talent d'écoute et d'apprentissage. Il assimilait immédiatement les leçons de son père. Rapidement, Revan fut frappé par la différence de tempérament de son fils. Calme, posé, sage, et surtout très respectueux de la nature. Il conclut que son fils avait hérité ces aspects de sa personnalité de sa mère Skaya. En effet, Lucius profitait de ses rares moments de temps libres pour se rendre auprès de sa mère, qui lui enseignait la philosophie, et l'art de l'interprétation des comportements humanoïdes. Revan s'opposa d'abord à ce qu'il considérait comme une perte de temps, et un point faible pour l'éducation de son fils, mais les progrès constants de celui-ci dans la voie du Guerrier le firent changer d'avis. Il souhaitait laisser son fils profiter de que lui n'avait jamais eu la chance d'avoir, l'amour d'une mère. À 12 ans, Lucius était capable d'interpréter les gestes, les subtils mouvements du visage, pour deviner la personnalité et les intentions d'autrui. Cet atout lui serait autant utile dans l'art de commander que dans l'art de combattre. Revan, le "pourfendeur", fils du "prince sanglant", et fondateur de la légendaire armée de tueurs, compris que son fils, dès ses 14 ans, était à même de le vaincre. Nul guerrier dans la galaxie ne semblait pouvoir l'égaler, feintant, parant avec une habileté quasiment divine, il vint à bout rapidement de tous les maîtres d'armes de la maison Ascar. Il passait ses courtes nuits éveillé, à observer le ciel sombre de sa planète *données indisponibles*. Proche de la nature, il s'entendait particulièrement bien avec les animaux. Sa mère lui avait offert, pour son 12ième anniversaire, un paléo-chat, issue d'une espèce normalement disparue. La famille Ascar avait dû faire appel à l'Ordre secret des de généticiens de l'Ordo Bio-Geneticus, et ils ont réussi, après moult manipulations, à recréer l'antique animal. Hélas, Revan Ascar, en faisant appel à eux, commit l'une des plus grave erreurs de la famille Ascar. L'Ordre s'interressa rapidement au jeune Lucius, pour leur programme de croisement génétique visant à obtenir l'Être Parfait, le néo-Empereur de l'humanité. À leurs yeux, Lucius constituait un incontournable maillon de la chaîne. Conscient de la menace qui planait sur son fils, Revan fit ce qu'il s'était juré de ne jamais refaire. Il reprit contact avec l'Armée des Tueurs. Il lança alors l'une des croisades les plus meurtrières de la famille Ascar. À la tête de ses hommes qu'il avait dominé à nouveau, il pourchassa et élimina inlassablement les membres de l'Ordre, les éliminant tous ainsi que leurs familles. L'un des membres de l'Ordre, lors d'une séance de torture particulièrement violente et cruelle, rompit le serment prétendument inviolable fait à l'Ordre : il dévoila leur terrible machination : toutes les planètes du secteur *données manquantes* étaient en fait des terrains de croisement génétiques pour les programmes "Armée Parfaite" et "néo-Empereur". Revan, prit d'une folie sanguinaire, ordonna l'éradication totale des planètes et des cobayes vivants qu'elles contenaient. Ce fut l'un des génocides galactiques les plus meurtriers : par cette décision, il fut responsable de la mort de plus de cinquante milliards d'êtres humains. Par cette décision, il attira également sur lui l'Oeil de l'Adeptus Astartes, l'Oeil des légions d'Abaddon le cruel, et on dit que le regard de l'Empereur lui même se concentra sur lui. Conscient d'être à présent au coeur de toutes préoccupations, il accueillit avec soulagement sa délivrance : le dix-huitième anniversaire de Lucius. Il attira son fils dans la salle d'armes, lui révéla la terrible sentance : tuer pour ne pas être tuer. Seul le meilleur des deux peut survivre. S'ensuivit un terrible combat, surpassant de loin en habileté celui de Revan contre son propre père. Mais, Revan s'aperçut rapidement qu'il n'y avait en son fils aucune intention hostile, aucune envie de tuer, et qu'il ne faisait qu'esquiver les coups, tout en portant des coups faciles à parer. C'est alors que Revan comprit. Lucius, par sa mère, avait reçu la sagesse nécessaire pour tempérer la bestialité des Ascar. Tout d'un coup, un souffle de terreur glacé s'insuffla en lui. Ce fut comme si un million d'êtres hurlait au sein de son coeur. Il sentit le regard divin de Slaanesh. Nul ne peut supporter d'affronter le Dieu des vices. Incarnation même de la cruauté, nul ne peut aller à l'encontre de sa sainteté. Revan sentit qu'il encourait le châtiment divin pour n'avoir pas su faire de son fils un digne descendant de Slaanesh. Lucius avait posé son arme, et était agenouillé auprès de son père [i]"- Père, vous ai-je blessé ?"[/i]. Avec une rapidité insuflée par la possession de Slaanesh, Revan lui porta un coup de sa lame mordante, et lui décrocha la machoire inférieure, puis s'élança avec une vitesse et une agilité toute féline, pour aller aux appartements de Skaya. Elle attendait, depuis plusieurs heures déjà, rongée d'angoisse, l'issue du combat de son fils. Quand elle le vit entrer, haletant, transpirant, elle eut le souffle coupé. Elle remarqua son regard dément, et, avant même qu'elle ne puisse articuler un son, la lame mordante était fichée jusqu'à la garde dans sa poitrine. C'est à ce moment qu'entra Lucius. Il vit sa mère, cramponnée à Revan, le teint livide et blafard, le regard trouble. Elle s'écroula au sol. Revan leva sa lâme, ferma les yeux, attendant le déchainement de violence de son fils. Il attendit, ce qui lui parut être une éternité. Il attendait la délivrance, la fin de sa vie faite de massacre et de violence, rejoindre sa Sainte mère dans l'au-delà. Il rouvrit les yeux. [i]"- Pourquoi n'attaque tu pas, larve misérable ? Préfères-tu que je te détruises, comme j'ai détruis ta mère ! Qu'attends tu ? VENGES LA !"[/i] Lucius lui répondit alors : [i]"- Rien ne la ramènera, inutile de répandre la violence en son nom, je ne peux rien faire. Elle est morte." "- EST-CE CELA QU'ELLE T'A ENSEIGNE ?"[/i] Ivre de rage, Revan posa alors son regard sur Icare, le paléo-chat ressucité de Lucius. Entre cet animal et son fils régnait une complicité qu'il n'avait jamais comprise. Il ne s'en était d'ailleurs jamais soucié. Maintenant, il comprit l'importance de cet animal. Lucius avait suivi son regard. Son cerveau sur-entrainé calculait instantanément les possibilités. Revan comprit qu'il n'avait plus de temps à perdre. Vif comme l'éclair, il bondit vers Icare. Rien n'aurait pu l'arrêter, lancé ainsi avec toute la rage du désespoir. Durant cette fraction de seconde, alors qu'il allait abaisser sa lame et éliminer l'animal, il sentit sa tête, se pencher, puis se décrocher, et il se vit tomber, lentement, avant de heurter le sol. La tête roula sur le côté et se figea. Son regard droit sur son fils. Celui-ci semblait n'avoir pas même esquissé un mouvement, mais sa lame était tachée d'une fine couche de sang. Revan pensa alors : [i]"Je suis fier de toi mon fils"[/i]. Puis sa vision s'assombrit. Lucius s'approcha, souleva son chat et le posa sur son épaule. Durant la journée qui suivit, il offrit à ses parents une sépulture commune. Les mois passèrent. Lucius, une fois le sentiment de deuil apaisé, s'intéressa alors aux affaires de feu-Revan Ascar, son père. Il découvrit alors l'atroce vérité que sa mère lui avait toujours cachée, pour le protéger. Le Génocide. Ce fut soudain comme si, au plus profond de son être, une infinité d'âmes se mettaient à crier leur souffrance. Lucius n'eut plus qu'une envie : faire cesser ces atrocités. Peu importe le motif de son père ou que le massacre ait commencé en son nom. Il se devait de mettre fin à cette souffrance. Soudainement, des tréfonds de la galaxie, lui parvint comme les échos de millions de voix sanguinaires, qui scandaient : [i]"Ascar ! Ascar ! Ascar ! ..."[/i] [b]À suivre.[/b]
  6. [quote name='haldu' timestamp='1320170060' post='2021986'] Les négatifs: L'histoire est tirée par les cheveux. Tes persos sont vraiment bourrins et stéréotypés. Les positifs: Ton style est très fluide, et vraiment agréable à lire Ton orthographe est bon. [/quote] Merci de ton commentaire ! Je vais tenter d'approfondir leur caractère pour les rendre plus vraisemblables (parce que les personnages c'est ce auquel j'attache le plus d'importance). Pas pour Lucius, dont j'ai déjà écrit l'histoire (qui je l'espère plaira), mais plutôt pour les suivants. Je posterais la suite d'ici une semaine, en fonction de l'engouement ( si tout le monde s'en fout ce ne sera pas la peine ! ^^ ). Et j'écrirais le reste... disons... quand j'aurais le temps. [quote name='haldu' timestamp='1320170060' post='2021986']Si tu t'en doutais, pourquoi l'as-tu fait? Et le "mais très agréable", ça ne serait pas un bout de pub inséré par hasard? [/quote] Zut, je suis repéré, j'aurais peut-être dû faire plus subtil ! x]
  7. Bon, ravi d'avoir une explication, j'ai cru que mon texte avait été supprimé sur un coup de tête. En même temps, je me doutais un peu que faire de la publicité pour mon forum ne plairait pas, m'enfin on est quand même sur le Warfo et ses milliers de membres, c'était juste pour attirer l'attention de quelques uns sur mon forum très dépeuplé ( on est 3 ou 4 réellement actifs ), mais très agréable. C'est vrai qu'attirer l'attention d'un modérateur me tentait également, mais je crois que ça a mieux marché que je ne l'escomptais ! ^^ Pour l'image dans la signature, franchement, je m'en excuse, ça m'apprendra à lire les chartes. Je suis d'accord avec toi, l'image de pub ( un peu surdimensionnée il faut l'admettre ), faisait passer ma nouvelle pour un panneau publicitaire, ce qui n'est réellement pas le but ! Ce qui m'a énervé, c'est de voir mon sujet effacé ( d'où le [i]"petit dictateur"[/i] ). Par contre, j'aimerais vraiment faire un peu de publicité pour mon petit forum, parce qu'il en a besoin ( j'irais voir dans "Autour du Warfo" ). Ravi de pouvoir s'expliquer de manière calme et posée. Cordialement, General Maximus PS : Tant que t'es là, un petit commentaire concernant la nouvelle ?
  8. [b]*********INITIALISATION*********** *********CONNEXION ETABLIE****** #Dossier N 98654#4466 #Sources : Archives de L’IMPERIUM #Catégorie : Hérétiques *********IDENTIFICATION TERMINEE******** Accès à la base de données en cours**** *Individu : Sirius Ascar *Catégorie : Hérétiques *La Légende de Sirius Ascar : [/b] Après que la Slaanesh ait pris naissance de la décadence des eldars, il se serait attaqué aux Dieux de leur panthéon et les auraient exécutés un à un. Le Dieu aurait abusé de la déesse Isha, et de leur accouplement serait né un être très puissant, immortel car d’ascendance divine. Sirius Ascar s’est proclamé descendant en droite ligne de cet être, et donc maître légitime des Slaaneshi. **source : Interrogatoires de L’inquisiteur Torh / témoignages Xenos** Ascar est le commandant d’une troupe de Noise Marines dépravés, qui vouent un culte à Slaanesh, mais le vénèrent également comme une divinité. Il est respecté et craint pour son immense cruauté, et est considéré comme un être particulièrement sournois et pervers, même selon les critères de ses congénères. Il a une particularité : il n’est pas un space marine à proprement parler, son armure étant une relique et non pas une armure énergétique greffée comme les autres soldats. Il serait également capable de procréer. [b]******LA CASTE ASCAR****** *La malédiction * Thoron Ascar, le Quintisaïeul[/b] Après que Slaanesh ait abusé de la déesse Isha, donnant naissance au premier être de la lignée Ascar, Thoron le Quintisaïeul, Isha usa de ses dernières forces pour jeter une malédiction à son rejeton. Cette malédiction l’empêcherait de devenir immortel, ainsi que de procréer, annihilant toute possibilité de construire une famille. Le Quintisaïeul, dont la jeunesse est obscure et demeure en majeure partie inconnue, désireux de fonder une dynastie, passa sa vie hanté par le désir de procréer. Entouré de sa horde de fidèles, il a parcouru la galaxie durant des siècles, en violant toutes les femmes qui avaient le malheur de croiser sa route. Aucune ne parvint à lui donner un enfant. Sur le point de renoncer, ivre de rage, Thoron, alors qu’il saccageait la planète Darante pour étancher sa soif de violence, rentra en contact psychique avec « l’Oracle » un puisant psyker. Celui-ci lui proposa de lui donner le seul moyen d’avoir une descendance, en échange d’un départ immédiat de Thoron et sa horde. Le féroce commandant accepta sans hésiter, exécuta ses meilleurs lieutenants en gage de sa bonne foi, et relâcha immédiatement tous les prisonniers. L’Oracle lui révéla alors le terrible secret : seule la femme la plus pure de la galaxie pourrait lui donner un enfant. Thoron quitta la planète, et promis que ni lui, ni sa descendance ne viendraient jamais plus l’envahir. Empli de joie pour la première fois de son existence, il se lança dans la quête de trouver la femme la plus pure de la galaxie. [b] *Sœur suprême Elegencia, la Quintisaïeule [/b] Après des décennies de recherches, une rumeur parvint aux oreilles des espions de Thoron. Une sœur suprême, sœur Elegencia, avait acquis la réputation de combattante du bien, et était considérée comme une sainte par ses paires. Thoron compris qu’un être d’un tel éclat ne lui donnerait jamais un enfant contre son gré. Il compris qu’il devait la conquérir, par la force de son amour. Il avait de son côté la perfection héritée de son « père », le Dieu Slaanesh. Il se rendit au palais de sœur Elegencia, se faisant passer pour un fidèle, et se révèla à ses yeux divinement gracieux et ravissant, nimbé d’un charme totalement irrésistible. Pendant une éternité, il mit de côté ses pulsions meurtrières, oublia l’être atroce qu’il avait été, et répandit bienfaits et bonnes actions sur « planète de cristal », tant et si bien qu’il s’ouvrit un chemin au cœur de la sœur suprême, surnommée la « sainte vierge ». Celle-ci renonça à son statut pour aller vivre seule avec l’élu de son cœur. De leur idylle allait bientôt naître un fils, Revan, le seigneur de la discorde, le Quatrisaïeul. Au cours de la souffrance de l’accouchement, Elegencia, épaulée par son époux, transmis tout son amour en son fils. Quand celui-ci vit enfin la clarté du soleil bleu de « planète de cristal », Elegencia, à bout de force, se saisit de son fils. Elle se tourna alors vers son mari. Le sourire de son visage avait disparu, remplacé par une expression si froide qu’elle fut paralysée d’horreur. Le sadisme et la démence étaient lisibles dans ses yeux. Son visage, totalement fermé, ne laissait quand à lui transparaître aucune émotion. Il était néanmoins d’un teint livide, et semblait amaigri. Thoron lui arracha le bébé des mains, trancha de ses ongles le cordon qui le retenait lié à sa mère. Il ordonna alors à toute sa horde de dépravés de violer celle avec qui il venait de passer dix tendres années. Alors qu’elle se faisait agresser sauvagement, Thoron brandit son fils, de manière à ce qu’il ne rate rien de la scène qui se déroulait. Les cris du bébé étaient couverts par les hurlements de la mère et de la centaine de sauvages. Thoron Ascar s’exclama alors : [i]« Mon fils, tu es né sous le signe de la violence, violence que tu répandras à travers l’univers, complétant l’œuvre de ton glorieux père. »[/i] Elegancia, dans ses derniers instants, lança à son tour une malédiction sur Thoron. Son rejeton, Revan, à sa majorité, tuerait son père de ses propres mains, vengeant ainsi sa génitrice. [b]*Revan, le Quatrisaïeul[/b] Durant toute sa jeunesse, Revan fut entrainé par son père à la violence des combats, à l’art de la torture, la résistance à la peur, et à la douleur. À 5 ans, son père le tortura pendant 6 jours et 6 nuits, durant lesquels pas un seul cri n’émana de la bouche de Revan. Dans ses rares moments de solitude, Revan sentait un manque, impossible à combler. Il comprendrait plus tard qu’il était en manque d’amour maternel. Au cours de sa seizième année, il surprit malgré lui une conversation entre deux vétérans de son père, qui se remémoraient le souvenir du viol de sœur Elegancia, sa mère. Revan les captura, les amena dans sa cachette secrète au fin fond du palais de son père, et les tortura pour leur soutirer des informations. Thoron Ascar, dit le « prince sanglant », soucieux de la disparition de ses deux plus fidèles lieutenants, nomma son fils second commandant de sa horde. Pendant l’année qui suivit, celui-ci se forgea une réputation de commandant sanguinaire, supplantant son père en violence et en férocité. Ascar, fier de son fils, le convoqua seul, dans ses quartiers privés, au jour de sa majorité. Il lui légua la moitié de son armée, son arme rituelle, la lame mordante, ainsi que le tourmenteur, un fouet qu’il avait lui même créé, une arme magique capable de faire endurer milles tourments à sa victime. Pour finir, il révéla à son fils comment celui-ci pourrait à son tour avoir un héritier. Revan, après un rire méprisant, lui rétorqua : [i]« Je n’ai que faire de la moitié de ta bande d’incapables, ni même de ces deux jouets vulgaires, je prendrais ta place, ton trône, et ta vie, comme tu as pris celle de ma mère »[/i]. S’ensuivit un combat mémorable, qui ébranla le palais d’Ascar. Père et fils se faisaient face, et rivalisaient en force et en habileté. Durant trois jours et trois nuits ils se combattirent, avec un férocité démentielle, et le fier palais fut réduit à l’état de ruine. La horde, apeurée, s’enfuit à bord de la « Licorne Noire », la barge de bataille d’Ascar. Aucun de semblait prendre l’ascendant sur l’autre ; quand soudain, Elegencia, la mère de Revan, lui apparut : vision sublime d’une sainte, revenue d’entre les morts. Exalté par la vision de sa mère, les coups de Revan redoublèrent en puissance et en intensité. De son côté, Thoron avait pour vision le corps décharné de sa femme, tel qu’il l’avait laissé pourrir, après qu’elle eut été violée. Tourmenté, il baissa sa garde. Ce fut suffisant pour son fils, Revan, qui l’empala de la lame mordante. Thoron, accroché au mur, sentant que son destin était scellé, déclara alors : [i]« Je suis fier de toi fils, tu es devenu tel que je t’imaginais, tu es digne d’être un Ascar. »[/i] Revan, rempli de fureur, lui répondit : [i]« Je n’ai que faire de ta fierté géniteur ! Retournes dans les ténèbres qui t’ont vomies ! »[/i]. Il se saisit du tourmenteur. Il resta au palais, cinq jours durant, à flageller son père avec l’arme qu’il avait lui même créé, jusqu’à ce qu’il ne reste de celui-ci que des morceaux de métal brûlants, et de chair sanguinolente. Une nouvelle tradition de la caste Ascar venait d’apparaître. Il décida qu’à sa majorité, le fils devrait affronter le père dans un duel à mort, pour que seul le plus puissant guerrier survive. Déterminé, il monta dans le chasseur, le vaisseau personnel de son père, et partit à la poursuite de la horde. *[Une grande partie de sa vie est manquante.]* Avec son armée de tueurs, Revan Ascar, le Quatrisaïeul, a perpétré toutes sortes de crimes dans la galaxie. Il semblerait que cette armée soit différente de la « horde » de son père, qu’il aurait peut-être exterminé par vengeance, peu après le meurtre de celui-ci. Toute sa vie, il fut hanté par le souvenir de sa mère, le vide en lui n’était jamais comblé, seulement apaisé dans la violence des combats. Il se rappela alors de ce que lui avait dit son père au jour de ses dix-huit ans : pour procréer il devrait trouver la femme la plus pure. Il songea que cette être pourrait apaiser ces tourments, combler le vide, et être un objet d’affection, sentiment qu’il pourrait enfin connaître à nouveau. [b] *Grande prophétesse Skaya, la Quadrisaïeule[/b] Après quelques années de recherche, Il lui vint aux oreilles la rumeur selon laquelle une grande prophétesse Eldar, Skaya, combattait ardemment le mal qui contaminait l’univers. Il savait qu’un individu humanoïde comme lui ne pouvait normalement pas se reproduire avec un être d’une race différente, mais il songea qu’il était, d’après ce que lui avait toujours dit son « géniteur », le descendant d’Isha, déesse du panthéon Eldar. Il quitta son armée, et, sous l’apparence d’un Eldar, partit conquérir le cœur de Skaya, la féroce prophétesse. Plus magnifique encore que tout autre Eldar, il réussit à cacher sa véritable nature, tout comme l’avait fait son père. Ce n’était pas chose simple, Skaya, psyker avérée, essayant sans cesse de lire en lui. Il parvint finalement à la séduire. Il l’emmena sur une planète perdue : **Données non accessibles**, pour qu’ils puissent y vivre leur amour. Ils donnèrent naissance à un fils, que lui baptisa Lucius Ascar, le premier « hybride » Humain-Eldar, d’une beauté rarissime. Revan se dit qu’il pourrait enfin vivre en paix. Il contempla alors sa femme, tenant son jeune enfant Lucius dans ses bras, et fit alors une terrible découverte : il ne l’aimait pas. Son père, par sa parole le jour de sa naissance et tout au long de son éducation, avait fait mourir tout sentiment d’amour vivant en lui. Il n’avait été lié à sa mère que parce qu’il avait vécu quelques paisibles secondes, affectueusement serré contre elle, avant que le chaos et la haîne n’entrent dans sa vie pour ne plus jamais le quitter, et le suivre tout au long de son existence. Il décida qu’il ne voulait pas que son fils connaisse pareil tourment. Il révéla sa véritable nature, éleva son fils en guerrier, mais ne leva jamais la main sur Skaya. Il l’entraîna de son mieux, espérant que celui-ci pourrait, au jour de sa majorité, éliminer de la galaxie la créature ignoble qu’il était. Il donna à son bras droit le commandement de son armée, qu'il congédia, et se concentra, dix-huit ans durant, sur l’entraînement intense de son fils. [b]La suite, après vos commentaires.[/b] [b]EDIT HALDU: supprimé le "petit dictateur"[/b]
  9. Han yeah, le retour du warfo ! Ça manquait ! Un grand bravo à l'équipe.
  10. Ouais j'ai vu, je pensais avoir supprimé ce message tout de suite après... --' En tout cas Usagi3, je connaissais déjà ton site, j'ADORE tes rapports de bataille, tu es dôté d'un humour vraiment féroce, continue comme ça, je suis pas du genre à me marrer pour rien mais tu m'as vraiment plié en 4 plus d'une fois.
  11. Les liens pour les photos sont morts... =S Vous pourriez remédier à cela ?
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