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Setepenmentou

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Messages posté(e)s par Setepenmentou

  1. Il doit y avoir un moyen de relativiser les choses. N'oublions pas que le Warp n'obéis pas aux regles de l'univers matériel et peut être que les sentiments ne sont pas les seules choses capable de créer un Dieu. Si les pensées tournées vers l'Empereur ont des répercutions dans le Warp pour former le star child et que l'esprit de l'Empereur actuel (sur le trone) se joint à ce dieu en devenir, il pourrait en résulter quelques chose (mais quoi?) Surtout qu'étant psyker, l'Empereur a du capté ce qui se trame et doit se préparer.

    Pour moi l'Empereur tel qu'il est maintenant est l'incarnation intermédiaire de ce qui va être le star child, donc pas vraiment un dieu (même si ses pouvoirs et son immortalité peut lui en donner ce status)

  2. C'est vraiment pour meubler en attendant une suite que tu as fait ca !

    Ben ouais, maintenant il faut que je tape les trois autres feuilles recto verso que j'avais écrite pendant ces trois semaines sans mon ordi ^_^

  3. Ben déjà que les chars étaient réservé à l'élite de Nehekhara, j'ai ru mal à voir comment ils pouvaient faire mieux.

    Ensuite il a le cout d'un char classique. j'aurai vu 60pts vu ses caractéristiques.

    notez que vous pouvez toujours bénéficier de la compétence des rois des tombes "conducteur de char", vous aurez ainsi un mouvement de 10 pas.

    C'est quoi cette compétence, je ne l'ai jamais vu dans le LA

  4. Voila pour me faire pardonner de l'attente je vous livre une petite suite pas bien longue certe mais bon ^^.

    Laurent s’assit au pied d’un arbre. Il semblait assez fatigué, ses yeux étaient mi-clos et sa tête pendait progressivement. Il faut se rappeler qu’il avait combattu toute la nuit et qu’il ne s’était pas reposé depuis. Finalement le chevalier s’endormit pendant qu’Hugo posait quelques collets. Le valet une fois sa besogne terminée mena les chevaux boire à la rivière. Il dut tirer sur la longe pour forcer le destrier bretonnien, mais la jument se montra plus docile. Laurent dormait profondément et le bruit que faisait Hugo ne le réveillait pas. Pourtant une larme finit par couler sur la joue du chevalier. Lorsque Hugo passa à coté pour aller vérifier les pièges, il remarqua la trace de la goutte. C’est là qu’il vit que le chevalier avait beau paraître si fort, il n’en restait pas moins un homme ordinaire. Il regarda son maître pendant quelques secondes. Il aurait pu s’échapper s’il le voulait, mais quelque chose l’empêchait de fuir. Le valet se tira de se rêveries pour aller voir ses pièges.

    Les deux premiers collets n’avaient rien pris, mais les appâts n’étaient plus là. Hugo se dit qu’il avait encore gaffé et mal posé les pièges. Le troisième en revanche avait attrapé un gros lièvre. Il se débattait encore comme un forcené pour s’extraire du collet qui l’étranglait de plus en plus. Hugo fut satisfait, mais il fallait tuer la bête, l’achever pour qu’elle ne souffre pas trop comme le disait Laurent. Il attrapa une grosse pierre et se mit face au lièvre.

    « Pardonnes moi » Dit le garçon avant d’abattre la masse sur la tête de l’animal le plus fort qu’il pouvait. La bête mourut sur le coup, la cervelle broyée. Hugo détacha l’animal du piège, puis le piège lui-même pour les mettre dans le petit carnier.

    Il arriva au camp tout fier de sa capture. Laurent venait de se réveiller et regardait son valet d’un regard furieux. Hugo n’eut pas le temps de comprendre, il reçut une gifle qui le fit tomber à terre.

    « Imbécile, tu n’as pas attaché les chevaux, et s’ils s’échappaient, qu’est ce qui transporterai ton vilain cul ainsi que mes affaires. Sers-toi de ta jugeote. »

    Hugo regardait les traits assombris par la colère de son maître et se demandait ce qui l’avait empêché de fuir cet homme.

    Silencieusement ils se remirent en selle pour reprendre leur route. Ils ne dirent rien pendant le reste de la journée. À la nuit tombée, ils s’arrêtèrent de nouveau et dressèrent le camp.

  5. Normal, ils appliquent des stratégies de guerre éclair, là où la masse n'est pas spécialement un atout car lente à réagir. Si tu as le cdex v3 des SM tu as le récit de l'attaque de Kethra par le chapitre des White Panthères

  6. Tu parle de la célèbre citation attribuée à Rogal Dorn: "Donnez mois milles hommes ou cent space marines".

    Ce n'est qu'une citation pour montrer la puissance d'un space marine par rapport à un homme ordinaire, mais rien de plus.

  7. Tant que j'aurai pas récupéré mon portable, je pourrais pas trop faire de suite. Pour me connecter actuellement j'utilise des ordinateurs aux quatre coins de Nice (un chez moi, un à l'IUT) donc je peux pas trop continuer, l'un je travaille beaucoup dessus et j'ai un espace de stockage limité, l'autres est vieux pourri, rame à mort et on peut quasi rien faire dessus.

    Désolé les gars (allez encore deux semaines environ et y'aura la suite)

  8. Ho et pour ceux qui ne l’ont pas compris, si vous affrontez des HL, utilisez toute votre artillerie et visez les Slanns… :whistling:

    Y a pas besoin d'être nain pour vouloir tuer un slann, surtout lorsque celui çi a rasé ma pyramide. Donc je te promet qu'il va prendre bien cher les prochaines fois surtout lorque mon Roi viendra le flageller de son Fléau des cranes.

    Quand au anciens. Tout le monde se trompe ^^. Ils ont juste fait conneries sur conneries avec le monde de warhammer. Et si je ne m'abuse, c'est eux qui ont crées certaines races (humains, nains, elfes...)

  9. Les rites pour être pprésélectioné sont décris comme étant très violents/éprouvant/gore/etc etc .

    Ils sélectionnent l'élite de l'humanité tout de même. Il n'y a pas de place pour les faibles. Surtout que l'Impérium est vaste et que ses ennemis sont nombreux. Faut assurer la survie de l'humanité malgré eux.

  10. La question est : est-ce que le code génétique fortement modifié du SM lui permet de féconder l'ovule de la dite donzelle pré-citée .... Etant donné l'ampleur des modifications, je dirais non

    Puis qu'est ce que ça donnerai si c'était le cas: Soit les gêne du marine sont dominant (ce qui est fort probable vu les changements sur le marine) et alors elle accouche d'un futur space marines qui sera vite enrolé étant donné son potentiel.

    Ou alors ça fait une soupe génétique infame, le gosse est mal formé, souffre de maladies génétiques dus aux conflit entre les genes du marine et de la mère. Au mieux il meurt vite exécuté par un inquisiteur car c'est un mutant, au pire il meurt dans d'horribles souffrances.

    C'est comme ça que je vois les choses.

  11. Sacré passage, et le sire a fait une bien belle boulette en demandant à l'elfe de lui prêter allégeance. Au moins il a récupéré la trirème ^^.

    J'ai bien aimé l'histoire. Suite

  12. Laurent et Hugo suivaient le Reik, ils ne voyaient plus les ruines du bourg et avançaient tranquillement. La jument d’Hugo avait été attachée au destrier bretonnien à l’aide d’une corde sur la selle, ainsi Laurent s’assurait que son valet ne tenterait pas de fuir avec sa monture. Le valet n’avait nullement cette idée en tête. Il examinait son arquebuse, elle était vieille mais elle était légère. Il regarda à l’intérieur du canon quand Laurent l’interpella:

    -Fais gaffe, tu es suffisamment maladroit pour te tirer une balle dans la tête. Je ne veux pas avoir acheté cette jument pour rien et je ne veux pas non plus d’un cadavre pour valet.

    Hugo ne dit rien. Que pouvait-il dire? Même s’il savait tirer, il était tout de même maladroit, il pensait amèrement que son maître avait raison. Il rangea son arme dans un des paquets transportés par sa monture, il y placa également les quelques munitions qui lui restaient de la bataille et qu’il n’avait pas restituées. « On ne change pas si facilement les vieilles habitudes » Se disait-il pour se justifier. Toutefois il imaginait facilement l’ire de son maître si jamais il l’apprenait. Il décida alors de dire que Sigmund lui avait donné avec l’arquebuse si jamais le chevalier lui posait des questions.

    Laurent avait d’autres pensées en tête. Il fallait arriver à Altdorf, et même s’il avait fait plus de la moitié du chemin entre Marienburg et la capitale de l’Empire, il pouvait toujours y avoir d’autres évènements qui le retarderaient. Il se rappela alors Myrddin lui indiquant de partir vers l’Orient. Il se rappelait ses compagnons qui l’avaient longtemps suivit. Que pouvaient-ils penser? Croyaient-ils qu’il les avait abandonnés? Aurait-il du combattre auprès du Roi contre Morghur plutôt que d’écouter le sorcier et partir ainsi? Le chevalier chassa ces doutes de son esprit. Il n’aurait de toute façon jamais accepté que les chevaliers attachés à la bretonnie par leurs serments ne l’accompagnent lors de ce périple. La Dame elle-même l’appelait aux confins de l’Orient par la bouche de son magicien. Cette dernière pensée renforça la volonté du chevalier. Il fit presser le pas de sa monture qui fit un petit hennissement en réponse. Hugo sentait que les bêtes accéléraient. Il fit avancer sa jument à coté du destrier et pouvait lire une grande détermination sur le visage de son maître.

    La matinée se passa ainsi, morne et ennuyeuse. Laurent se contentait de fixer la route, de diriger sa monture et Hugo se demandait tout le temps ce qu’il pouvait faire. Il faut dire que comme sa jument se contentait de suivre le destrier, il n’avait pas besoin de se concentrer sur la route. Il avait besoin de se dégourdir les jambes et il était dur pour lui de rester constamment assis sur sa selle sans pouvoir s’occuper. Il ne pouvait que regarder le paysage défiler lentement, des arbres plusieurs fois centenaires, des petits buissons. Le fleuve qui coulait toujours paisiblement, le soleil était bientôt au zénith.

    Laurent songeait alors aux pensées qu’il avait eu ce matin. C’était la première fois qu’il doutait de ses actions et cela le perturbait quelque peu. Il chassa rapidement ces pensées de son esprit et se concentra à nouveau sur la route. Il sortait une petite carte qu’il avait achetée dans une petite ville avant Marienburg. Demain il arriverait dans la capitale, puis il aviserait. Mais à présent il était préférable de s’arrêter pour se reposer.

  13. - Humain à Garok.

    Ca fait classique ce duel ... Le chef des orcs contre le chef des humains, un petit duel qui va influencer le cours de la bataille ^_^

    Enfin... Pas vraiment (puisque les orques pêtent les plomb et sont encore plus méchants), mais bon, on imagine mal une bataille avec un breto sans que celui çi se batte en duel contre un adversaire féroce et balèze.

  14. une mère et ses deux enfants étaient piégés par les flammes et allaient être brûlés vif
    Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?
    De l’autre coté du village
    Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?

    bon ben supprimés

    Solution de facilité.
    -Les renforts devraient arriver au plus tard demain ce qui ne vous bloquera pas longtemps ici.

    C'était déjà prévu que des renforts arrivent, c'était assez prévisible que ce soit des chevaliers.^^

    EDIT: j'ai un peu modifié le passage des chevaliers.

  15. Ca mérite une suite (si possible!) avec la même rigueur sur le fond et la forme!

    Bah le voyage va continuer, mais comme trop de baston tue la baston, la suite sera quelque peu "calme".

    Bonne continuation et que le Dieu des Récits t'offre sa récompense.

    Les Muses sont avec moi ^^.

  16. Les orques refusaient d’arrêter le combat à cause de la nuit. Ils enflammèrent alors des maisons les plus à l’extérieur du bourg. La lune se levait mais était cachée par la fumée qui montait progressivement, des hurlements se firent entendre dans l’un des logis enflammés, l’odeur des cadavres empestait et leurs nombres accroissaient l’abominable parfum. Pendant qu’il combattait, Laurent constata que le nombre des orques s’était réduit, il avait sans doute mal estimé la taille de leur armée. Toutefois il était toujours possible que les peaux vertes soient au moins deux fois plus nombreux que les villageois, ils progressaient toujours et chaque portion de terre cédée à l’ennemi augmentait le désespoir des impériaux. Même les prières de Klaus avaient moins d’effet. Hugo était toujours sur les toits du village et abattait à bout portant les orques qui grimpaient pour l’attraper. Il fallait évacuer les villageois avant que tout ne brûle. Il parvint à ramener autant de monde que possible sur la place centrale. Les combattants tenaient toujours tête à leurs ennemis et se battaient avec l’énergie du désespoir. Laurent encourageait du mieux qu’il pouvait ceux qui étaient avec lui, chaque orque tué donnait un peu de courage à ses compagnons. Mais chaque fois qu’il reculait, leurs moral baissait également. Le chevalier de la Quête vit enfin le chef de Guerre des Orques. L’immense peau verte arrêta ses congénères à proximité.

    - Humain à Garok.

    Laurent comprit aussitôt la signification de cette phrase. Il releva alors le défi et lança sa monture sur son adversaire. Le chef de guerre parvint à éviter le revers de l’Épée de la Quête et le plat de sa haché désarçonna le chevalier, il renvoya son arme en direction de la tête mais Laurent fut assez vif pour parer le coup mortel. Le chevalier laissa choir son bouclier et saisit son arme magique à deux mains.

    Klaus parvenait à récupérer du terrain, ses hommes se battaient comme des lions et frappaient le plus violemment possible. Les gosses tiraient avec leurs arquebuses et les puissants projectiles arrachaient les membres des peaux vertes. Le prêtre guerrier chantait des hymnes à la gloire de Sigmar pendant qu’il combattait broyant les orques avec son marteau sacré.

    Laurent frappa à nouveau, l’épée de la Quête pulvérisa la hache du chef de Guerre. La puissance de l’arme magique n’égalait que le dégoût du chevalier face au peau verte. Un profond désir de vengeance s’était éveillé en lui, la village brûlait, les cadavres jonchaient le sol à tel point qu’il était impossible de faire un pas sans marcher sur un corps, la nature elle-même criait vengeance devant cette barbarie. Le chef de guerre reculait en voyant son arme réduite en miettes, mais il se ressaisit rapidement lorsqu’un orque lui lança deux haches. Le peau verte se jeta alors sur le chevalier qui n’essaya pas d’esquiver, il leva haut son épée. L’orque hurla sa rage et frappa, l’épée de la quête s’abattit sur la première hache qui venait. L’impact stoppa net l’adversaire et son arme grossière fut tranchée en deux. Immédiatement Laurent attaqua de nouveau et enfonça profondément sa lame dans le corps du peau verte. Le chef de guerre rugit et s’effondra lourdement.

    La mort de leurs chef avait rendu les orques fous de rages et ils saccagèrent tout ce qu’ils pouvaient trouver. Le bourg devenait un brasier ardent dans lequel les combattants se battaient avec frénésie. La colère et la vengeance étaient perceptible sur le champ de bataille. Quand soudain un cor sonna ! Ce n’était pas celui de Laurent car il venait de l’extérieur. Tous entendirent le tonnerre et virent alors des chevaliers arriver, toute une compagnie, plus de cents chevaliers déferlaient dans les rues dévastées fauchant les orques avec leurs longues lances de cavalerie. Les habitants reprirent espoir en voyant l’élite des guerriers impériaux les secourir, il suivirent les chevaux enragés et les chevaliers furieux. Avec une rage immense, ils taillèrent en pièce le moindre orque ou gobelin sur leurs passage, si celui çi n’avait pas été préalablement percé de part en part par les lances ou piétinés par les destriers. Klaus était rassuré, la cavalerie était arrivé au bon moment, comme toujours. Continuant de prononcer des prières qui enflammaient de plus en plus le cœur des villageois. Tous poursuivirent les orques jusqu’à la forêt en hurlant leurs vengeance. Laurent blessé par le chef de Guerre sourit lorsqu’il vit les peaux vertes fuir par où ils étaient arrivés. La bataille était gagnée, mais a présent de nombreuses maisons brûlaient, il fallait évacuer toute la population. Les villageois montés sur les chevaux prenaient le plus de personnes sur leurs montures. Le tocsin sonna à nouveau pour ordonner la fuite. Tous coururent vers le Reik afin de se protéger du brasier. Les chevaliers emportaient également autant de monde qu’ils le pouvaient. Si la bataille contre les orques était gagnée, celle contre les flammes était déjà perdue car le feu avait déjà saccagé nombre de maisons lorsque les survivants arrivèrent au fleuve. La vision des maisons embrasées n’était rien comparé à l’odeur exécrable de la chair brûlée. Le feu brûla ainsi toute la nuit, au petit matin, il n’y avait plus que des ruines et des cendres à la place du bourg.

    Tous furent choqués, les enfants pleuraient dans les robes de leurs mère et les hommes secouaient la tête négativement. Klaus se contentait de regarder le malheur de ces gens qui avaient tout perdu. Laurent préféra quitter les lieux et se dirigea vers le maréchal ferrand qui avait pu sauver des bêtes.

    -Je suis navré que vous ayez tout perdu.

    Le chevalier sortit quelques pièces d’or de sa besace.

    -Il me faut vous acheter un de vos chevaux.

    L’homme barbu amena une jeune et robuste jument. Laurent regarda la bête et paya une dizaine de pièces d’or.

    -Chose promise, chose due messire, et votre or est le bienvenue pour prendre un nouveau départ. Dit Sigmund en souriant.

    Hugo arriva avec l’arquebuse pour le rendre à son propriétaire. Le maréchal ferrand dit alors.

    -Tu t’es bien battu petit, tu peux la garder, elle est à toi.

    Hugo monta sur la jument qui se laissa faire docilement. Sigmund s’écria que cette bête n’avait jamais été aussi docile. Laurent répondit alors que cette jument devait bien aimer son valet. Hugo attrapa des paquets sur le destrier de son maître pour les mettre derrière lui. Le chevalier de la Quête flatta sa monture et l’enfourcha. Il n’avait plus rien à faire ici et devait continuer sa route vers l’Orient. Il quitta rapidement les ruines du bourg suivi de son valet, toujours en suivant le Reik dont les eaux calmes et bleus coulaient tranquillement à coté de champ de bataille.

    (J'entend déjà les "quoi la baston est déjà finie." ^^)

  17. Il y a d'autres manières pour rendre le combat épique, que de faire déferler des millions de créatures faiblardes.

    Aie j'ai du forcer sur tout ce qui montrait la superiorité numérique des orques par rapport aux villageois, en fait ils sont moins nombreux, mais j'aimais bien montrer la bataille d'un point de vue avantageux aux orques. Va falloir que je rectifie le tir ou alors que je fasse massacrer toute la populace (je sais pas pourquoi mais la deuxième solution est tentante)

    mais le bon Feurnard l'a si gentillement fait à ma place

    Je vais lire le lien qu'il m'a indiqué, ça va améliorer ce passage, comme ça je pourrais faire un peu plus "réaliste".

  18. abrégée ... Je saurai pas dire ce qui rend cet effet mais c'est penible :whistling:

    Peut être il faudrait que je décrive mieux :wink: perso je sais pas, puis elle est pas finie ^^.

    Je veux la suite !

    ca risque d'être long ^^'

  19. arf faut dire que récément j'ai eu très peut de temps à moi, donc très peu pour écrire et me relire désolé, c'était surtout le soir aux alentours de 22h.

    Votre avis sur la bataille par rapport à celle du Magicien de la Dame?

  20. Les défenses furent soigneusement mises en place. Laurent parla des pieux qu’utilisaient les paysans pour se protéger. Les villageois prirent les énormes bûches qu’ils possédaient et les taillèrent en pointe pour les ficher autour du village. Les armes furent rapidement distribuées. Le maréchal ferrand alla voir le chevalier avec une arquebuse.

    -Holà messire, que diriez vous de porter cette pétoire?

    Laurent se saisit de l’arme et l’examina. Il connaissait peu les arquebuses et savait ce que c’était. Il rendit l’arme au barbu.

    -C’est bien dommage! Personne ne maniera cette arme. Dit le maréchal ferrand.

    -Attendez j’ai une idée. Dit Laurent avec un petit sourire.

    Il appela son valet. Hugo était perché sur un des toits et faisait le guet. En entendant son nom, il se pencha vers son maître.

    -Sais tu te servir de ceci? Continua Laurent en lui envoyant l’arme.

    Le jeune garçon l’attrapa et l’examina pendant un certain temps.

    -Je m’en servirai du mieux que je peux mon maître! Conclut le valet avant de reprendre ses observations. C’est là qu’au loin il vit une silhouette très corpulente qui se tenait devant le soleil qui commençait à décroître. Il mit ses mains en porte voix et hurla

    -Messire un orque à l’horizon vers le couchant.

    Laurent regarda dans la direction indiquée par son valet. En effet, il y avait un énorme peau verte sur une colline, puis un autre orque apparu, puis dix, et vingt. On pouvait voir les silhouettes des gobelins qui se cachaient derrière leurs chefs.

    Le chevalier hurla aux armes, tous se mirent en position, les chevaux furent montés en moins de deux et au loin les habitants entendirent le hurlement sauvage des peaux vertes. Certains tremblaient, d’autres attendaient calmement. Laurent sorti l’épée de la Quête de son fourreau pendant que Klaus priait et serrait son marteau dans ses grandes mains.

    Les orques arrivèrent jusqu’au village, traversant les quelques buissons sur leurs chemin. Mais la majorité ne virent pas les pieux dressés pour les accueillir et s’embrochèrent dessus. Les hommes armèrent rapidement leurs arquebuses pendant que les orques franchissaient la première rangée de pieux en marchant sur les cadavres de leurs congénères. Les soldats firent feux et d’autres peaux vertes furent fauchés par les balles. La première ligne d’arquebusiers se mit en arrière pour recharger pendant que la seconde avançait résolument et se mettait en joue. Toujours perché sur son toit, Hugo visa également l’ennemi le plus proche, tira et fit mouche. Sa victime tomba à terre, le crane était entièrement explosé par le projectile. Laurent ordonna que les lanciers défendent les tireurs, ils se mirent à genoux devant leurs compagnons et firent face à l’ennemi, la lance placées comme des pieux. Les orques progressaient toujours enragés et même leurs pertes ne les arrêtaient pas car il y en aurait d’autres qui les remplaceraient. D’ailleurs à l’endroit où le chef orque se trouvait, d’autres masses vertes continuaient à se lancer dans la bataille. Klaus vit la marée verte franchir la seconde ligne de pieux alors qu’ils étaient criblés de balles et se jeter sur ses troupes. Priant Sigmar le prêtre guerrier brandit son marteau et chargea les orques avec quelques guerriers qu’il a rendu fanatique par ses prêches. Laurent décida que c’était le bon moment pour prendre l’ennemi de flanc. Il leva son épée au ciel et accompagné des rares cavaliers du village, il attaqua à son tour. La charge des destriers enfonçant facilement les peaux vertes mal protégés. Toutefois Laurent savait que les orques avaient de nombreux effectifs et qu’il aurait fallu se préparer à une guerre d’usure, mais c’était impossible étant donné le peu de temps dont ils avaient disposé. Mais le comte n’avait pas l’intention d’abandonner, il ne mourra pas sur ce champ de bataille, il ne perdra pas, il était fermement déterminé à remporter la victoire.

    L’ennemi arrivait toujours plus nombreux pendant que le soleil se couchait, les orques rugissaient de rage, les prières de Klaus permettaient aux combattants de garder leurs courage. Aux fenêtres des maisons les enfants et les femmes jetaient des projectiles pendant que les hommes empêchaient à tout prix les peaux vertes de pénétrer leurs logis. Hugo toujours sur son toit tirait sur tout ce qui approchait trop de lui, il restait sur place non pas par courage mais plus par peur de se faire tuer s’il bougeait. Un gamin arriva pour lui apporter ce qu’il restait de cartouche dans la maison. Le jeune homme les usait bien vite il ne prenait pas assez de temps pour viser, mais comme les orques étaient nombreux c’était quasi inutile, il tirait à tout va et touchait toujours un ennemi.

    La bataille se déroulait dans le village qui était à présent entouré de brochettes vertes. Laurent toujours sur son destrier frappait avec la force de sa foi, il gardait espoir en la victoire, il fallait tenir jusqu’à ce que les chevaliers réquisitionnés par le prêtre guerrier arrivent, ce qui ne saurait tarder. Toutefois il devait faire reculer son destrier petit à petit, les villageois derrière se battaient avec des fourches et des faux, ce qui permettait que le chevalier ne soit pas débordé, même si les rues étaient étroites et réduisaient l’avantage du nombre, les impériaux étaient encerclés de tout les cotés. Les armes à feux étaient à présent inutiles et envoyées à ceux qui pouvaient encore s’en servir. Les peaux vertes se taillaient un chemin sanglant dans le village. Klaus courut dans les plus intenses des combats renforçant la détermination des habitants. Les armes improvisés étaient nombreuses mais efficaces. Hugo et des gamins armés d’arquebuses sautaient de toit en toit pour récupérer les munitions non utilisées, il fallait que chaque habitant participe à l’effort de guerre. Le valet se désola que ces gosses connaissent déjà les malheurs du combat, il savait qu’il serait difficile pour eux de tuer pour la première fois, mais il fallait tuer ou être tué, il l’avait longtemps appris quand il était brigand. Au loin il voyait Laurent affrontant simultanément quatre orques, il épaula son arme et cette fois visa longtemps dans la direction de son maître. Il était bien placé et cette opportunité était à saisir, il n’aurait plus cette chance. Au meilleur moment il appuya sur la gâchette. La balle de plomb traversa la rue pour atteindre un orque, Hugo avait réussit son coup et certains ennemis fuirent. Laurent jeta un coup d’œil et vit son valet qui continuait de tirer sur d’autres peaux vertes un peu plus lointains. Le chevalier sourit et souffla dans son cor. D’un cri de guerre sauvage il chargea les orques, la populace le suivit avec courage, pour eux, Laurent était un sauveur. La bataille n’était pas perdue ni gagnée alors que le dernier rayon du soleil venait de décliner.

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