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  1. Ce weekend c'était un nouveau Grand Format . Retour à la Guerre de Sept Ans avec Black Powder et la bataille de Minden en 1759 opposant les Français à une coalition d'états allemands (Hanovre, Hesse, Prusse) soutenu comme toujours par les Anglais. 97 unités sur la table, réparties en 23 divisions pour du 28mm c'est pas trop mal et ça nous a occupé suffisamment xD Le rapport vidéo est sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte pur continuez ci-dessous. Les 7 joueurs se sont répartis en deux équipes : Jean-Charles, Nicolas, Benoit et Hervé chez les Alliés et Jérémie Sylvain et moi-même chez les Français. Une séance de briefing secret en pièces séparées a permis à chaque équipe de mettre au point le plan de bataille et de déployer les divisions sur une petite carte plastifié. Comme toujours BP a prouvé sa fluidité et sa redoutable efficacité pour gérer de la très grosse bataille : démarrage effectif (assez tardif par rapport à d'habitude) à 17h30 mais terminé sans problème à 23h30 avec deux heures de pause repas ! Un grand merci à tous les participants pour leur bonne humeur en toute circonstances (je pense notamment à Sylvain qui n'était vraiment pas verni, avec une malchance stratosphérique xD) qui permet que ces rendez vous soient un moment de convivialité et d'amusement. Un merci spécial à Nicolas pour l'aide précieuse à la préparation la veille. Les ordres de batailles détaillés et les règles (pour ceux que ça intéresse) :
  2. Samedi dernier nous avons ENFIN pu concrétiser le projet de Grand Format Black Powder sur la bataille de Rossbach que nous avions dû annuler deux fois auparavant en raison des confinements. Contexte (by wikipedia) : La bataille de Rossbach, pendant la guerre de Sept Ans, a lieu près du village de Rossbach dans la commune saxonne de Braunsbedra (actuellement dans le Land de Saxe-Anhalt, en Allemagne), le 5 novembre 1757. Elle oppose l'armée prussienne du roi Frédéric II aux troupes franco-impériales du roi Louis XV de France et de la reine de Bohême et de Hongrie Marie-Thérèse d'Autriche. Malgré un avantage numérique important (54 000 contre 22 000 hommes), l'armée franco-impériale commandée par le prince de Soubise, Charles de Rohan, est défaite, notamment en raison de la charge de la cavalerie prussienne dirigée par le général von Seydlitz. C'est donc parti pour un affrontement TRES déséquibilibré entre prussiens et franco-autrichiens.Afin de compenser au maximum j'ai bourré les prussiens d'autant de règles spéciales que possible. De plus de nombreux régiments de la reichsarmee sous contrôle autrichien sont notés comme milices peu motivées. Voici les Ordres de batailles, pour ceux que ça intéresse cliquez dessus : Pour rendre le déploiement plus immersif, chaque équipe s’isole dans une salle séparée et discute de son plan de bataille à l’aide d’une mini carte. Elle note l’emplacement de chaque division sur la carte. C’est donc une sorte de déploiement caché. Ensuite les deux équipes se retrouvent dans le salon pour mettre en place les unités conformément à la carte. Niveau Plan de bataille, nous pensions que la cavalerie ennemie serait sur notre droite et nous y avons placé nos meilleures troupes (les divisions Brunswick et Prince Henri que je commandais). En fait ce fut tout l’inverse : la cavalerie ennemie était sur notre gauche, empêchant de fait la charge de cavalerie que nous avions prévu à cet endroit ! La Droite n'était occupé que par quelques tirailleurs autrichiens chargés à n'en pas douter de faire diversion. L'infanterie française au complet était massée dans le coin nord-est de notre position, de façon à arrivé en biai, un bon fer de lance ! Bref, nous devions revoir notre plan car nous fûmes surpris. Le rapport complet en vidéo est sur ma chaine Youtube ICI, sinon pour ceux qui préfèrent le textuel, un petit résumé en images ci-dessous : Les divisions du Prince Henri et de Brunswick protègent le flanc droit Les Suisses et le régiment Saint Chamond qui investissent Rossbach sont accueillis par un feu nourri de l’infanterie et de l’artillerie pussienne, les suisses se replient après l’effondrement de leur bâtiment tandis que le régiment Saint Chamond est annihilé. Les dragons de Meinicke sont surpris par une charge des cuirassiers autrichiens menés par Hohenzollern lui-même. Après une mêlée sanglante, les autrichiens sont vaincus et Hohenzollern capturé. Les charges successives des régiments de cavalerie française Grammont Bourbon Busset échouent également lamentablement contre les prussiens de Retzow, la cavalerie française de Mailly est déroutée. La ligne français se forme sur la droite prussienne. La Chetardie échoue à faire charger ses escadrons mais il survit miraculeusement au déluge de tirs. La division Mailly est déroutée, la situation se présente bien pour les prussiens. Mais la charge des bosniaques contre les fantassins autrichien en approche échoue. Les bosniaques sont massacrés et la panique fait dérouter le régiment Alt Braunschweig. L’infanterie autrichienne sous le commandement de Hessen Darmstadt (Jean Charles) s’engouffre dans la brèche et plante un coin dans notre centre. Les hussards hongrois massacrent le régiment Retzow dans Lundsted, déroutant la division Anhalt. Frédéric II arrive pour soutenir le flanc droit sous pression mais manque son ordre de ralliement et fait un fiasco. Ses grenadiers gardes l’entraînent dans une charge à la baïonnette en plein milieu de la ligne française contre les suisses de Planta ! Le régiment Kleist succombe sous les tirs. de même qu'Itzenpiltz. Le saillant est sous un feu nourri et la division du Prince Henri déroute. Jérémie fait glisser une partie de la Division Forcade qui vient d'en finir avec la cavalerie de La Chetardie pour combler la brèche. Les Cuirassiers autrichiens de Brettlach, menés par leur général en personne font une percée au centre et déroute la cavalerie de Von Seydlitz ! L'ultime contre attaque de la cavalerie de Schoniach à gauche est enrayée par les tirs des dragons autrichiens embusqués dans le village de Lundstet Le Duc de Brunswick lance une ultime contre attaque avec l'appui de l'artillerie prussienne qui déroute les divisions Nicolai et De Broglie, mais c'est insuffisant, les français sont trop nombreux. La cavalerie et l'infanterie autrichienne déroutent les dernières unités de la cavalerie prussienne. .La progression autrichienne oblige les prussiens à battre en retraite, c'est une victoire totale des alliés ! C’est une victoire totale pour l’alliance franco-autrichienne. Pour mémoire, les points de victoire ont tout de même été comptés : · Pour les Autrichiens : 4 divisions prussiennes détruites (Anhalt Dessau, Seydlitz, Shoniach et Prince Henri), 2 étendards capturés, 1 général capturé (Anhalt Dessau), Général en chef tué (Frédéric II) 13 pts · Pour les prussiens : 4 divisions françaises détruites (Mailly, La Chetardie, Broglie et Nicolai), 1 général tué (La Chetardie), 1 général capturé (Hohenzollern) : 10 pts Un grand merci aux participants pour cette excellente partie ! Ce fut très intéressant, serré et avec des rebondissements. Pour ma part, je pense que nous n'avons ni manqué de chance ni de ressources. On a sans doute, impressionnés par le nombre adverse, par l'échec de notre plan initial et par notre propre puissance de feu, joué trop défensif. Nous les avons laissé dicter les événements et cela nous a perdu. Nous aurions donc dû appliquer la maxime de Frédéric II "L'armée prussienne toujours attaque" Les alliés ont mal démarré à cause de notre puissance de feu supérieure mais ils ont bien redressé la barre. Benoit a intelligemment économisé ses forces, Sylvain a tenu bon et nous a grignoté sur la droite quant à Jean Charles après plusieurs tours à vide et quelques désastres, ses autrichiens ont réalisé la percée et nous ont renversé. Félicitations à eux !
  3. Aller un petit peu de Black Powder, ça faisait longtemps. J'avais très envie de me refaire une partie mais il me fallait une bataille assez petite et prête à jouer. Du coup je me suis orienté sur Mollwitz 1741 qui est assez raisonnable en termes d'effectifs et que j'avais déjà joué et donc je disposais d'un ordre de bataille déjà prêt. Comme c'est un soir de semaine et qu'il fallait se lever le lendemain pour travailler, la partie devait se jouer rapidement. Pour cela pas de problème Black Powder est le jeu le plus fluide que je pratique (il est même meilleur dans ce domaine que KoW, c'est dire). Par contre pour les batailles habituelles nous utilisions une variante. En effet dans les règles de base les divisions sont déroutées quand la moitié OU plus de unités sont ébranlées et votre armée quand la moitié OU plus des divisions sont brisées (en gros une armée ou une brigade comportant 4 brigades/unités est dérouté quand 2 éléments le sont). Notre variante (d'ailleurs suggérée dans le livre de règles) est simplement qu'il faut strictement plus de la moitié des unités ou des divisions brisées (Pour dérouter la même armée/brigade que précédemment, il faut dérouter 3 de ses composantes). Sauf qu'ici il faut accélérer la partie j'ai donc pour la PREMIERE fois (ou je dis bien la première) utilisé les règles de base du jeu. Et oh mon dieu que ça va vite en effet ! Rick Priestley dit dans le livre, je cite : Personnellement je trouve que la règle "plus de la moitié des unités" ralentit trop le jeu à mon goût et j'aime être au lit à minuit. Il faut être indulgent avec les personnes âgées". (ça c'est de la justification). La bataille de Mollwitz se déroula le 10 avril 1741 à Mollwitz (Małujowice), en Silésie, pendant la guerre de Succession d'Autriche, entre l'armée prussienne et l'armée autrichienne. Sous des conditions météorologiques difficiles (chutes de neige), les prussiens sont d'abord pris au dépourvus et renversé par l'énergique charge du général Römer qui émerge littéralement du brouillard. Les autrichiens déciment la droite prussienne et la bataille semble perdue. Malheureusement pour les autrichiens Römer meurt au combat et la cavalerie autrichienne n'aura aucun soutien pour poursuivre sa percée. le comte Schwerin demande à Frédéric, alors jeune roi de se mettre à l'abri et à regret ce dernier accepte. Dès lors, Schwerin reprend les choses en main et l'infanterie prussienne se ressaisit et avec discipline repousse les cavaliers ennemis et renverse la situation. L'infanterie autrichienne est balayée par les volée rapides et disciplinées des prussiens. Mais ce fut chaud. Frédéric II se promettra de ne plus jamais abandonner son armée en cours de bataille. Les deux camps commirent des erreurs stratégiques, mais Frédéric II de Prusse, qui participa là à sa première bataille, obtint sa première victoire et cimenta son autorité sur le territoire nouvellement conquis de la Silésie. Voyons donc si l'histoire se répète. Si cela intéresse j'ai également publié un diaporama de cette partie sur ma chaine youtube. Le déploiement. Historique, ou du moins proche de la réalité. Le centre prussien est formée des divisions Marwitz et Prinz Leopold L’infanterie autrichienne (les divisions Harrach et Goldy) est regroupée autour de Mollwitz. La division de cavalerie Berlichingen est positionnée sur la droite autrichienne. La division Römer forme l’aile gauche autrichienne En face d’elle, l’aile droite prussienne est formée des divisions Schulenburg et Schwerin. Une batterie de 24 livres a été installée devant l’infanterie. Le centre prussien se compose des divisions d’infanterie Marwitz et Prinz Leopold. Sur la gauche prussienne, en face de Berlichingen, la cavalerie de Posadowsky. Les prussiens prennent l’initiative mais leurs brigades n’avancent pas très rapidement. Sans doute gênée par la neige, leur puissante artillerie ne parvient pas à toucher quoi que ce soit. La masse d’infanterie de Marwitz et de Prinz Leopold se rapproche de Mollwitz. La cavalerie autrichienne de Römer lance l’assaut sur la batterie prussienne. La mitraille ébranlé et repousse les dragons autrichiens, mais les hussards hongrois parviennent à atteindre les canons et les neutralisent. L’infanterie prussienne voit la cavalerie autrichienne surgir du brouillard. Les fantassins délivre une volée qui repousse la charge ennemie mais l’un des régiment de cuirassiers parvient à charger les grenadiers prussiens de Schulenburg. La division de Goldy s’avance pour délivrer une volée sur les prussiens. Mais les tirs autrichiens sont maladroits et ne causent guère de mal à leurs adversaires. La charge des cuirassiers de Römer cause de lourdes pertes aux grenadiers qui sont ébranlés et se replient sous le choc. Ils parviennent cependant à conserver leur cohésion et ne craquent pas. Pendant ce temps, les hussards Hongrois se replient. Les tirs autrichiens n’ont pas stoppés l’avance prussienne. La cavalerie autrichienne est victorieuse et l’artillerie prussienne anéantie mais la charge n’a pas entraîné la percée escomptée. Le Graff Schwerin prend les choses en main et fait déployer ses régiments de sorte à former une ligne de feu sur les cavaliers autrichiens. Pendant ce temps, au centre, Marwitz et le Prince Leopold font avancer leur troupe à portée de mousquet. Les troupes de Marwitz parviennent à ébranler un régiment autrichiens mais celles de Leopold n’obtiennent pas grand résultat. La ligne autrichienne tient globalement bien sous le feu prussien. C’est également le cas de la cavalerie de Römer. Les cuirassiers encaissent sans broncher les tirs des fantassins prussiens. Du coup les autrichiens déclenchent une seconde charge. Si l’un des régiments bat en retraite devant le feu ennemi, le second en revanche parvient à percuter les rangs prussiens et ébranlent un régiment. Mais une fois encore, les prussiens plient mais ne rompent pas. Sur le flanc gauche les cavalerie de Posadowsky et Berlichingen se regardent en chien de faïence. Personne ne souhaitant prendre l’initiative de l’attaque. Au centre, au contraire, ça bouge. Les autrichiens de Goldy déclenchent une charge à la baÏonnette contre la ligne prussienne. Quatre régiment donnent l’assaut. A la pointe de l’attaque, les grenadiers autrichiens. Malgré le tir de contre-charge les autrichiens parviennent au contact. Les bataillons prussiens se défendent bien. Celui opposé aux grenadiers subit des pertes mais le second parvient à repousser ses adversaires. Les cuirassiers prussiens, soutenus par les dragons, chargent les cuirassiers autrichiens. La mêlée est féroce mais les prussiens, plus nombreux parviennent à ébranler leurs ennemis. L’infanterie de Marwitz s’avance pour ouvrir le feu sur les hussards hongrois déjà secoués. Mais ces derniers ne déroutent pas. Posadowsky s’avance prudemment. Il hésite à attaquer la puissante cavalerie autrichienne de Berlichingen. Une tentative de charge de cuirassiers venue de la gauche sur les bataillons de Marwitz est repoussée par le feu prussien. Les fantassins de Marwitz font feu sur les cuirassiers une seconde fois et les désorganisent. Si la situation à droite est mauvaise, le centre est indécis. Les prussiens enivrés par la victoire chargent la seconde ligne de Goldy mais sont massacrés par le tir de contre-charge et par la mêlée qui s'ensuit. Les autrichiens créent ainsi une première brèche dans la ligne du prince Leopold. Les fantassins sont bientôt suivis par les grenadiers qui déciment leurs adversaires. Les cuirassiers encore en état de combattre son décimés et le tir prussien anéantit la cohésion des unités restantes, causant la déroute de la division Römer. Les grenadiers autrichiens relancent une charge qui déroute un nouveau régiment prussien. A côté d’eux les fantassins autrichiens ouvrent le feu à bout portant. Les hommes de Marwitz tiennent le choc. En revanche ceux de Léopold paniquent et s’enfuient provoquant l’effondrement de tout un pan du centre prussien. la cavalerie de Schulenburg et les colonnes de Schwerin menacent désormais Mollwitz. Les fantassins de Schwerin tentent de balayer les tirailleurs autrichiens mais sans succès. Les troupes de Marwitz se replacent avec discipline pour prendre en étau les autrichiens victorieux de Goldy avant que leurs renforts ne puissent arriver. Pris dans des feux croisés les courageux autrichiens sont ébranlés mais ne flanchent pas. Les grenadiers notamment tiennent toujours bon. En revanche, le général Goldy voit sa division déroutée. Les fantassins autrichiens ne peuvent exploiter leur victoire et doivent se replier. Voyant son flanc désormais menacé, le comte Neipperg sonne la retraite de son armée. Il n’y aura pas de retournement de l’histoire. Les prussiens sont victorieux.
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