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  1. Un peu de Pike & Shotte pour changer. Partie qui date de plus d'un an déjà. 600 pts en guerre de Trente Ans opposant les catholiques aux protestants. rapport vidéo sur la chaîne youtube si vous préférez le texte continuez ci-dessous.
  2. Ce samedi nous avons livré une nouvelle bataille multijoueurs à Pike & Shotte (3v3), la première en Guerre de Trente Ans, en rejouant la bataille de Rocroi en 1643 opposant les français aux espagnols. Un grand merci à Sylvain 1, Sylvain 2, Hervé, Nicolas et Loris pour leur participation à cette bataille acharnée de bout en bout et qui se termine finalement sur une égalité méritée ! Le rapport vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte pur, continuez ci-dessous. Les Listes :
  3. La suite du dernier rapport de bataille. Nous avions déjà fait un Kings of War l'après midi avec Hervé et Loris (qui a fait l'objet d'un précédent rapport de bataille) mais avec le départ de ce dernier, nous nous sommes lancés dans un très tardif Pike & Shotte en Guerre de Trente Ans. Nous avons composé deux listes à grosso modo 600pts à l'aide des listes d'armée du supplément The Devil's playground". Hervé prenant les Espagnols et moi les français. Pour moi c'était l'occasion de tester à nouveau les règles dans la perspective de mon prochain Grand Format sur Rocroi. Un peu de contexte. Tandis que l'armée espagnole de Francisco de Melo marche vers le sud, une avant garde française est chargée de perturber les troupes espagnoles qui assiègent actuellement la place de Rocroi. Ces dernières, informées de l'arrivée des français ont du envoyer une partie de leurs forces pour faire face aux nouveaux arrivants. Il fallait tenir dans l'attente des renforts. Le rapport de bataille vidéo est disponible sur ma chaîne youtube. Si vous préférez le texte pur, continuez ci-dessous.
  4. Fichtre ça fait plusieurs moi que j'ai une chaîne Youtube dont je poste régulièrement les rapports de bataille en section Idoine, mais je n'ai jamais pensé à mettre un topic de présentation ici. ? Alors donc corrigeons cette erreur. J'ai crée la chaîne Youtube Les Rêveries de Thalantir, qui double le blog du même nom et ou je poste essentiellement les rapports de bataille des nombreux jeux que je pratique. Je suis un joueur plutôt du garage et je joue principalement dans mon groupe d'amis donc tout ceci est sans aucune prétention autre que le divertissement. Vous trouverez dans la chaîne de l'Historique (avec les formidables jeux de Warlord Games : Hail Caesar, Pike & Shotte, Black Powder et Bolt Action) de l'Heroic Fantasy en bataille rangée avec Kings of War et de l'escarmouche dans différents univers : Bushido, Vanguard, Carnevale. Donc voilà, si vous êtes curieux de ces jeux et que vous ne craignez pas l'accent alsacien, faites y un tour :
  5. Ce samedi nous avons organisé deux multijoueurs avec les camarades Hervé et Nicolas. J'ai essayé d'ajouter un quatrième larron mais n'ai pas réussi, donc on a fait avec notre nombre impair. L'après midi c'était Pike & Shotte et le soir Bolt Action (qui fera l'objet d'un second rapport). Nous avons fait comme l'autre fois avec Nicolas, c'est à dire qu'on a monter les listes sur le moment à 600pts cette fois. Nous les avons pioché dans le supplément Devil's Playground. Nicolas a souhaité joué les Danois de Christian IV. Du coup Hervé et moi nous faisions deux contingents pour le parti catholique dans la période correspondante. Hervé jouera un contingent espagnol réparti en 2 battalias, tandis que je ferait un contingent bavarois de la Ligue Catholique. La version vidéo est disponible ici sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous. Au matin, les armées de la Ligue Catholique et du Royaume d'Espagne affrontent les Danois près de Gänzebrücken. Derrière la colline à l'ouest, le contingent danois. En face d'eux, défendant un des ponts du village, l'infanterie espagnole. Au centre, face à Gänzebrücken, les alliés protestants allemands. En face d'eux, de l'autre côté de Gänzebrücken, le Tercio bavarois près à en découdre. A l'est des mousquetaires et des levées paysannes motivées appuyées par des dragons danois. En face, les catholique alignent leur cavalerie ainsi que deux pièces d'artillerie. Le tercio bavarois avance comme un seul homme avec la cavalerie espagnole. Les troupes d'assaut bavaroises investissent Gänzebrücken. Les premiers tirs catholiques font peu de dégâts. ... mais parviennent à désorganiser un régiment de piquiers allemands. Les danois sont pris au dépourvus et ne parviennent pas à se mettre en ordre de marche. Le second régiment de piquiers allemands décide de charger les mousquetaires bavarois. Mais non seulement ces derniers se défendent bien, mais en plus le nombre conséquent de soutiens dont ils disposent leur accorde la victoire. Les protestants refusent cependant de céder. Durant tout cette partie, ces gars là n'auront pas un étendard de lion pour rien ! Mousquetaires et troupes d'assaut n'ayant pas reçu l'ordre de mouvement à ce moment, tirent sur les troupes d'assaut bavaroises embusquées dans Gänzebrücken. le mortier catholique fait mouche sur les cuirassiers danois qui subissent leurs premières pertes. Toujours incroyablement réactifs, les soldats catholiques passent le pont pour bloquer l'accès du village. Alors qu'ils s'y pensaient à l'abris les troupes d'assaut bavaroises subissent un feu nourri et dévastateurs des tireurs protestants et de l'artillerie lourde. Les pertes sont telles que les bavarois déroutent et s'enfuient ! Point de situation à l'Est. Les levées paysannes sont embusquées dans la forêt Points de situation à l'Ouest La chaine de commandement catholique étant toujours d'une redoutable efficacité (Hervé comme moi, ne cessons d'obtenir "3 mouvements" sur nos ordres) les cuirassiers espagnols fondent sur les dragons protestant pris au dépourvus et les déroutent sans pitié.. Les arquebusiers à cheval espagnols tournent le flanc protestant et tirent sur les mousquetaires allemands, sans trop de résultats. L'artillerie catholique fait feu à son tour et parvient à peine à infliger une perte au canon ennemi. Résultats excellents en manoeuvre... médiocres en tir. En revanche, un des régiment de piquiers bavarois parvient à prendre le flanc des piquiers protestants au lion du Palatinat. Les espagnols se retranchent derrière un talus, attendant les danois de pied ferme. Les bavarois toujours bien soutenus et en supériorité remportent le combat. les palatins ébranlés et désorganisés reculent mais ne paniquent pas. La riposte protestante ne se fait pas attendre. Les levées paysannes, avec leurs pétoires et leurs armes de jet font feu sur les arquebusiers montés espagnols qui accusent le coup. En revanche les mousquetaires et les troupes d'assaut protestants ne bougent pas, se privant ainsi de l'occasion d'entrer dans Gänzebrücken. Toujours dans la plus totale confusion, les fantassins danois ne bougent pas. Les cavaliers, incapables de briser seul la battalia espagnole décident de contourner par la colline. Les combat font rage au centre. L'une des unités de mousquetaires bavarois est ébranlée par les tirs de l'artillerie et des mousquets protestants. Et ce déluge de tirs a une conséquence funeste sur le moral. Alors que les piquiers bavarois sont aux prises avec les palatins et que la victoire est proche. Le général en chef tente de rallier les mousquetaires mercenaires bavarois et échoue. Paniqués par les tirs, les hommes se rappellent ne pas avoir été correctement payés et décident de se retirer du combat ! La règle "mercenaire" vient de faire une victime... Alors que les mousquetaires reculent sous les vociférations du général qui les traite de lâches, les autres piquiers bavarois ne parviennent pas à atteindre les mousquetaires ennemis. L'artillerie n'obtient guère de résultat non plus. Pire encore, les mousquetaires du flanc est passent tirailleurs et chargent la milice paysanne dans la forêt... et échoue à battre ces bouseux sous équipés et sous-entraînés ! Profitant des hésitations de leurs ennemis, les épéistes espagnols investissent Gänzebrücken. Les espagnols à l'ouest voient que les fantassins ennemis font du sur place. Ils sont cependant inquiets d'être débordés et se replacent face à la colline. Retour à l'Est : les arquebusiers montés passent en tirailleur et chargent la seconde levée paysanne dans la forêt....et échoue aussi ! Ces paysans enragés se battent comme des beaux diables alors qu'ils sont déjà tous ebranlés en plus, c'est incroyable ! LA SUITE ICI
  6. Mercredi dernier nous avons refait une séance de jeu avec Nicolas. Initialement nous devions faire du Black Powder, sauf que nous nous sommes rendus compte que nous avions déjà joué quasiment toutes les batailles de taille modeste que j'avais préparé dans ma liste (oui j'avais une liste de batailles prêtes à jouer). Les restantes correspondant clairement à des parties grand format. Il a fallut se réorienter en catastrophe vers un autre jeu et notre regard s'est subitement porté sur Pike & Shotte. Notre dernière partie ensemble là dessus date d'un bon moment (Septembre 2019) et s'était déroulée dans le contexte des Guerres d'Italie. Là dessus je propose "Et si on tentait la Guerre de Trente Ans ?" : bingo ! Il se trouve que j'ai l'équivalent de deux starters en termes d'unités, soit de quoi faire une petite bataille, et ça fait un moment que j'avais envie de tester cette période. Ayant le recueil The Devil's Playground je disposais des listes d'armée pour la période avec les points. On a donc fait comme à Battle on a pris une feuille, un crayon et une calculette et on a crée deux listes à 500 pts. Je pensais que ça serais trop peu, mais mine de rien on avait 5 divisions et 23 unités sur la tables et la suite des événements nous démontrera que même à petit format on peut s'éclater en historique avec un jeu aux règles simples et fluides. La version vidéo est disponible sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous Un peu de background fictif pour une bataille fictive : Les listes : Les deux armées se font face. La cavalerie impériale s’est positionnée à l’est. L’infanterie au centre en face de Hühnerdorf. Les Protestants ont placé leur infanterie au centre et leur cavalerie derrière la petite colline à l’ouest A l’Ouest, les mousquetaires impériaux s’apprêtent à prendre le contrôle du hameau de Rattenloch. Le gros de l’infanterie impériale est au centre sous le commandement du général Serrano. Deux régiments de piquiers Castillans et Flamands avec leurs mousquetaires, encadrés par des canons Sur la gauche protestante, le baron Holunder en personne fait déployer ses cuirassiers, abrités derrière la colline du Henkershocker. Les battalias des généraux Sauerkraut et Sanchez tiennent le centre. Les Protestants n’ont pas l’intention de laisser Hühnerdorf aux papistes ! A l’est d’Hühnerdorf, la cavalerie impériale, principalement composés de dragons et d’un petit nombre de cuirassiers, s’apprête à fondre sur les hérétiques. La phalange catholique avance lentement. La cavalerie lourde protestante fait de même et se place sur la colline. L’impétueux général mercenaire Sanchez fait traverser les champs et la rivière au sud de Hünerdorf à ses troupes. Ses piquiers très motivés parviennent même à atteindre le village ! Son artillerie se déploie avec efficacité le long de la route est, appuyée par un peloton de mousquetaires qui se sont mis en tirailleurs. En revanche les hommes de Sauerkraut on subit le bombardement impérial et sa phalange de piquiers est désorganisée. Le reste des troupes s’est abrité par réflexe et ne bouge pas malgré les vociférations de leur général. Les impériaux stoppent leur avance car une certaine confusion se fait jour. Sauerkraut, aidé par le général en chef Holunder en profite pour faire déplacer sa battalia le long des talus de la route sud-ouest de Hühnerdorf. Le reste des fantassin de Sanchez se postent derrière le ponts, les troupes de choc sont un peut à la traîne. Les hommes de Sauerkraut se préparent. Les troupes protestantes au sud de Hühnerdorf. Le général Himbeer envoie un de ses régiments de cuirassiers prendre Rattenloch avant les impériaux. Il découvrent avec inquiétude que les mousquetaires impériaux sont regroupés au nord du patelin. Les cavaliers n’ont pas été assez rapides et sans doute aussi trop bruyants. Les impériaux s’embusquent dans une maison tandis qu’un autre groupe forme à la hâte une ligne au milieu de la route. Sortant de leur torpeur, les catholiques envoient également un régiment de mousquetaires de commandement investir une maison au nord de Hühnerdorf. Un régiment de piquiers traverse la route, un second se porte vers le carrefour afin d’entrer dans le village. Les castillans décident d’avancer vers la colline du Henkershocker où les attendent les cuirassiers protestants. A l’Est, après plusieurs dizaines de minutes de tergiversation, la cavalerie catholique traverse la rivière. Un régiment de dragons la remonte jusqu’au pont. Les arquebusiers catholiques ouvrent le feu sur les cuirassiers protestants. Les tirs causent des pertes importantes et désorganisent la cavalerie. L’artillerie impériale donne de la voix ainsi que les tireurs embusqués dans Hühnerdorf. Les troupes de Sauerkraut bien retranchées subissent peu de pertes. Cependant les arquebusiers de Sanchez encore en train de barboter dans l’eau subissent de lourdes pertes de la part des dragons. L’impétueux général mercenaire attrape un drapeau et conduit lui-même les troupes de choc à l’assaut de l’immeuble tenu par les mousquetaires de commandement catholiques. L’assaut à coup de grenades n’est pas aussi efficace que prévu, les impériaux ayant habilement défendu leur position et ils repoussent les protestants. En dehors du village, les protestants bien retranchés de Sauerkraut tirent sur les piquiers ennemis en approche, les désorganisant et leur infligeant des pertes significatives. Les arquebusiers mercenaires grimpent sur le pont et ouvrent le feu sur les dragons ennemis. Mais leur poudre est mouillé et le tir ne donne rien. Tandis que Himbeer fonce pour rallier ses cuirassiers à Rattenloch, son second régiment harcèle les piquiers castillans à coup de pistolets tandis que le baron Holunder ramène des renforts qui font feu sur les catholiques. Le tir cause des pertes désorganisant la phalange mais sans la dérouter. Tandis que le second régiment de dragons traverse le bois, les cuirassiers menés par Von Frikadel en personne charge à travers la mitraille pour emporter l’artillerie protestante qui défend la route Sud-est et ce, malgré de lourdes pertes. Sous le feu de l’artillerie catholique, les troupes de Sauerkraut continuent stoïquement de tirer sur les piquiers castillans. L’artillerie protestante est désormais à portée également et se joint à la fête. Les troupes de choc repartent à l’assaut et pulvérisent leurs adversaires avec leurs grenades. Les mousquetaires de commandement évacuent l’immeuble qui est investi par les protestants. Dès lors les flamands, dans le pré, sont soumis à des feux croisés dévastateurs. Cependant, au nord de la ville un tercio espagnol se prépare à descendre la rue principale et affronter les piquiers protestants qui sont en face d’eux. La seconde salve des mousquetaires catholiques est complètement ratée. Le général Himbeer en profite pour mener ses Cuirassiers protestants à la charge. Le choc est violent et ébranle les catholiques, mais ces derniers, complètement pris dans la frénésie du combat, se défendent bec et ongle et refusent de céder du terrain. Une mêlée furieuse se prolonge dans Rattenloch ! Le baron Holunder a chevauché à bride abattue pour rallier les mousquetaires sur le pont, mais à peine ceci fait, les cuirassiers de Von Frikadel surgissent soudainement et chargent ! Les mousquetaires réagissent rapidement et forment le hérisson avec les piquiers dans la rue ce qui oblige les catholiques à stopper leur charge. En revanche, leurs camarades de la Battalia Sauerkraut ne sont pas aussi rapides. Ils échouent à former le hérisson et sont chargés par les piquiers flamands. Bien qu’ébranlés, les mousquetaires tiennent bon derrière leur clôture. Le tercio espagnol charge le hérisson formé par les mercenaires protestants et cause de lourdes pertes. Mais le hérisson tient le choc. Sa riposte est cependant faible. Profitant de la mêlée générale dans la rue, les dragons catholiques, toujours menés par l’infatigable Von Frikadel passent sous le pont, sautent par-dessus les clôtures et se retrouvent dans le champs au sud de Hühnerdorf. Au passage ils manquent de capturer le baron Holunder qui parvient à rejoindre de justesse, et au galop, les piquiers de Sauerkraut. La ligne protestante est en passe d’être contournée ! Pendant ce temps à Rattenloch, les courageux mousquetaires impériaux refusent toujours de céder devant les cuirassiers de Himbeer qui commencent à accuser des pertes ! Pendant ce temps à l’Ouest, entre Rattenloch et Hühnerdorf. Ayant subi de lourdes pertes dues aux tireurs, aux pistolets des cavaliers et à l’artillerie protestante, les piquiers castillans décident de se replier malgré la confusion dans leurs rangs. Mal leur en prend. Les cuirassiers de Himbeer ne manquent pas l’occasion et dévalent la colline pour charger les piquiers désormais désorganisés qui subissent de plein fouet le choc et sont ébranlés. La situation s’avère encore plus critique lorsque les piquiers vétérans de Sauerkraut percent le flanc des flamands et les déroutent. Le centre catholique semble en passe de céder. Pendant ce temps, la mêlée brutale fait toujours rage dans Hühnerdorf entre le tercio espagnol et le hérisson mercenaire protestant. Soudain, jaillissant depuis l’immeuble proche, les troupes de choc menées par le général Sanchez s’abattent sur le flanc des espagnols et les massacrent. Le Comte Von Kartofel est tué dans la fuite de l’unité La cavalerie catholique est toujours tenue en respect par l’imposant hérisson. Pourtant les mercenaires protestants ont également subi de lourdes pertes et sont proches de la rupture. A Rattenloch, la situation se décante. Les cuirassiers parviennent enfin à dérouter les mousquetaires ennemis. Ignorant les tirs des autres mousquetaires embusqués les cavaliers jaillissent hors de Rattenloch et galopent le long de la route. Voyant leurs arrières sur le point d’être bloqués, les piquiers castillans déjà désorganisés se débandent complètement et s’enfuient en panique, fauchés par les cuirassiers protestants. Tout le centre catholique, la division de Serrano est désormais en déroute. Les flamands sont également déroutés. A l’Est les catholiques ont plus de succès. Les dragons chargent les mousquetaires embusqués dans le bois et les ébranlent mais les protestants poursuivent le combat. Les dragons de Von Frikadel chargent le canon protestant qui venait de les prendre pour cible. Les cavaliers passent le rideau de tirs des arquebusiers et la mitraille du canon sans trembler. Mais leur charge tombe à plat et les artilleurs enragés parviennent à les repousser et ils se replient dans le pré. Les derniers mousquetaires encore en état de combattre tentent de ralentir l’avance des protestants et parviennent à infliger des pertes à l’ennemi. L’artillerie catholique ouvre le feu sur les hommes de Sauerkraut, parvenant à ébranler les piquiers situés dans le champ central. Les mousquetaires impériaux encore retranchés dans Rattenloch, décident de sortir, forment la ligne et tirent dans le dos des cuirassiers, mais leur salve est maladroite et ne donne rien. Le Baron Holunder mène l’attaque au centre. Les tirs d’artillerie et de mousquets catholiques ont dérouté la Battalia de Sauerkraut dont le moral est brisé. L’armée protestante vacille à son tour. Seul le hérisson mercenaire tient bon mais d’un cheveux. Von Frikadel lance alors ses cuirassiers dans une charge suicidaire contre la forteresse humaine et parvient à l’ébranler même si les pertes sont lourdes pour la cavalerie et que celle-ci doit replier. Les mousquetaires à l’est ne parviennent pas à ébranler l’autre unité de dragons. La division de Sanchez étant brisée à son tour et la cavalerie ennemie étant toujours opérationnelle, l’armée protestante est brisée et décide de battre en retraite. C’est donc une victoire sur le fil pour la Ligue Catholique. Cette partie fut vraiment ultra amusante. Serrée, intérressante, avec des rebondissements, bref un vrai plaisir de jeu et ce, finalement avec des effectifs modestes (pour de l'historique s'entend). Un grand bravo au vainqueur Nicolas qui m'arrache la victoire sur le fil et merci à lui pour sa participation.
  7. Petit rapport de bataille Pike & Shotte pour changer avec l'ami Hervé et le Padawan Loris. Nous décidions cette fois de jouer une bataille fictive des guerres d'Italie en utilisant le système de points fourni dans le livre de règles pour un total de 700 pts environ. Ce dernier propose deux listes d'armée une pour les français et une pour les impériaux. Hervé joue les Français et Loris et moi les Impériaux. Maintenant sortons les armures rutilantes, les chapeaux à plume, les piques et les culottes bouffantes à crevées ! L'armée impériale L'armée française A l’Ouest, côté français, les lansquenets des Bandes Noires au service de François Ier En face les lansquenets impériaux. L’infanterie française forme le centre… …Accompagnée des suisses Les Espagnols composent le centre impérial Les deux cavaleries se font face sur le flanc Est Les arquebusiers espagnols se retranchent derrière un mur tandis que les ginetes avancent jusqu’à la route. L’artillerie ne parvient pas à bouger. Les Lansquenets avancent lentement vers leurs homologues au service de la France. Les autres lansquenets placé sur le flanc est avancent également prudemment La cavalerie impériale fait mouvement vers la cavalerie française. Les Bandes Noires marchent à leur tour en direction des lansquenets impériaux. Les fantassins français et suisses prennent possession de la colline qui surplombe la route. Pendant ce temps, le reste des suisses longe la rivière en direction du pont. Le Général de Saint Denis envoie ses arbalétriers montés dans le village de San Macaroni François Ier prend personnellement la tête de ses Gendarmes et charge les gendarmes impériaux. Le choc est violent, mais les français prennent largement l’ascendant, détruisant leurs ennemis. Le Général Von Kartoffel fait charger sa second unité de gendarmes contre celle du roi de France. Mais les français sont survoltés. Bien que l’unité française soit ébranlée, elle parvient à détruire à nouveau ses adversaires et à se replier. Les lansquenets ne semblent pas vouloir se presser pour prendre d’assaut le village. En revanche les ginetes espagnols tentent de charger les arquebusiers suisses. Ces derniers s’enfuient vers leurs piquiers qui forment le hérisson, stoppant ainsi net leur avance. Point de situation à l’Est. Les arquebusiers lansquenets ne parviennent pas à déloger les arbalétriers montés français, qui en retour les criblent de carreaux. Point de situation sur le flanc Ouest. Les arquebusiers espagnols désorganisent les suisses. Près de la ferme, les arquebusiers lansquenets, bien abrités derrière leur clôture, ouvrent le feu sur les piquiers des bandes noires en approche et leur causent des pertes. François Ier rallie ses chevaliers qui redeviennent opérationnels. Le Général Pierre Le Noir tente de faire charger ses piquiers contre les arquebusiers lansquenets mais ils ne parviennent pas à avancer assez vite. Malgré le désordre causé par les tirs des arquebusiers espagnols, les suisses du centre se réorganisent rapidement et chargent les Ginetes qui menaçaient le hérisson de leurs camarades. Mais les cavaliers, tournent bride et leur échappent. Au passage les tirs d’opportunités du canon et des arquebusiers espagnols causent un carnage dans les rangs suisses. Les arquebusiers des bandes noires se décalent de l’autre côté de la route pour tirer sur les piquiers lansquenet au sud de la ferme. Les tirs ne causent aucune perte Les lansquenets impériaux lancent une charge contre les français. Les Premiers contre les arquebusiers des bandes noires qui non seulement ne fuient pas, mais ripostent avec assez d’efficacité et tiennent bon. Les Seconds tentent d’engager les piquiers français sans succès. Les arquebusiers espagnols démolissent l’artillerie française qui n’aura donc jamais pu agir. Et là c’est le drame ! L’artillerie de siège habsbourgeoise prend pour cible les gendarmes. L’obus fait mouche et secoue l’unité mais pire il est tombé sur le roi François Ier qui décède dans l’opération. Au centre les piquiers lansquenets se tournent vers les suisses tandis que le canon recharge et fait feu. Contre toute attente le tir n’a aucun effet. Sur le pont, le hérisson suisse ne peut se scinder en raison de la présence des cavaliers espagnols qui le harcèlent, avec un certain d’ailleurs puisque les suisses ont déjà essuyé quelques pertes. Voyant cela les arbalétriers montés français sortent du village et chargent les espagnols. Les piquiers des bandes noires de seconde ligne repiquent au centre pour aider leurs arquebusiers. Les ginetes sont vaincus et se replient derrière les lansquenets impériaux, tandis que les arquebusiers montés retournent au village. Constamment harcelés par l’artillerie de siège impériale, les gendarmes sont ralliés par leur général. Mais un obus de l’artillerie de siège, fini par les disperser enfin. Les gendarmes du roi, secoués par la mort de leur seigneur ont été ralliés également. Les Rêtres allemands, sans doute effrayés par la destruction des deux unités de gendarmes impériaux par ces féroces chevaliers français, refusent de les approcher. Finalement les piquiers des bandes noires sonnent une charge décisive contre les arquebusiers lansquenets abrités derrière leur clôture. Les tireurs tentent de rejoindre un hérisson mais échouent. Pas assez rapides ils sont massacrés par les lansquenets français et dans la foulée, la panique s’empare de l’unité de piquiers en soutien qui est mise en déroute ! Tandis que les suisses sont en mauvaise posture au centre, leurs rivaux des bandes noires font une percée à l’Ouest. Les arquebusiers des bandes noires sont mis en déroute par les lansquenets impériaux mais ils ont vendu chèrement leur peau Les combats s’enlisent entre lansquenets et français à l’ouest, ce qui permet aux bandes noires de poursuivre leur percée. Le régiment victorieux tente une charge de flanc sur les piquiers espagnols qui parviennent de justesse à se tourner pour encaisser une charge violente ! L’autre unité de piquiers des bandes noires charge les lansquenets qui ont tués leurs arquebusiers. La sale guerre fait son effet et les coups pleuvent mais les attaquants sortent largement vainqueur, secouant leurs ennemis et déroutant par la même toute la division de lansquenet impériaux. Débarrassés des cavaliers légers ennemis, les suissent parviennent enfin à reformer une ligne de bataille. Les tirs de leurs arquebusiers font quelques pertes dans les lansquenets situés en face d’eux. Désormais quasi encerclés, les lansquenet du général Sauerkraut perdent leur moral. Le bataillon noir a bien mérité sa solde, il est en train de faire un énorme trou dans le flanc impérial. La situation à l’Est est un peu meilleure pour le Viceroi Von Flamkisch puisque la seconde brigade de Lansquenets tient toujours les suisses en respect. Mais l’artillerie n’est pas parvenue à disperser ces derniers, les arquebusiers n’ont pas réussi à chasser les arbalétriers montés et les rêtres refusent toujours de charger les gendarmes français en cours de réorganisation. Sans surprise, les gendarmes chargent et détruisent l’artillerie de siège qui a tué le roi François ! Les arbalétriers montés jaillissent hors du village pour charger les arquebusiers lansquenets qui sont trop loin de leurs piquiers pour former un hérisson. Le tir de contre-charge ne cause aucun dégât mais désorganise les cavaliers qui parviennent à causer des pertes et à secouer l’unité ennemie sans être eux même mis en danger. Soumis à une intense pression, les lansquenets allemands sont mis en déroute par les piquiers français Leurs collèges font de même sous les coups de piques du bataillon noir. Les espagnols sont secoués mais tiennent toujours bons. Dans une dernière tentative pour débloquer la situation devant le village, les lansquenet de Knoedel chargent les suisses et les ébranlent, sans parvenir à les dérouter. Les Helvètes se replient en bon ordre. Les tirs du canon et des ginetes parviennent presque à secouer le second régiment de piquiers suisses, mais ces derniers tiennent bon. Ignorant les gendarmes, le second régiment de lansquenets charge les arbalétriers montés français de flancs. Ces derniers sont battus et ébranlés, mais parviennent à se replier. La brigade de cavalerie français est brisée mais les gendarmes sont encore en capacité de combattre. Malgré la présence de leur général Don Serano, les espagnols sont surclassés par les bandes noires et doivent replier en désordre, exposant ainsi leurs arquebusiers. Les gendarmes tentent une charge contre les ginetes espagnoles mais ces derniers esquivent habilement. Les bandes noires chargent les arquebusiers espagnols qui ne peuvent former de hérisson avec leurs camarades en plein désordre et sont ébranlés, mais étonnamment ils tiennent leur position. La situation est désespérée pour l’armée impériale qui est prise en étau et reflue vers l’est. Les renforts de piquiers français arrivent pour soulager les suisses. Le général suisse rallie ses hommes tandis que les arquebusiers suisses font feu sur les lansquenets déjà éprouvés et parvient à les secouer. La deuxième division de lansquenets est donc brisée ! Les lansquenets impériaux battent en retraite Tout comme les espagnols Malgré la mort du roi François, la victoire est totale pour l’armée française ! Un grand merci à Hervé et Loris pour leur participation. Et un grand bravo à Hervé pour sa victoire !
  8. Encore du P&S ce samedi. Eh oui mon groupe était plutôt dispersé concernant les disponibilités j'ai donc eu de quoi organiser trois parties d'affilée ! Cette fois ci, en plus de votre serviteur et d'Aldada c'était les deux frangin Tharaniel et Triarus qui nous ont rejoins pour rejouer la bataille de Marciano du 2 août 1554, lors de la dixième guerre d'Italie. Cette fois on est à la fin de la période que je joue sur Pike & Shotte, mais je me suis malgré tout autorisé quelques libertés (arbalétriers notamment) concernant les listes. Elles sont d'ailleurs plutôt équilibrées pour le coup. Déploiement Nous nous sommes répartis entre les armées aléatoirement. Tharaniel et son frère Triarus tombèrent ensemble avec les hispano florentins et Aldada et moi retombions ensemble, au contrôle cette fois des français.. Pour le déploiement j'ai proposé comme la dernière fois de procéder à un briefing secret de chaque équipe pour mettre au point le déploiement et le champ de bataille. J’ai donc donné deux cartes plastifiées permettant de gribouiller au feutre effaçable. Eu égard au terrain notre plan a été de nous appuyer sur le village à notre gauche, et le marais+la ferme isolée sur notre droite pour couvrir nos flancs. Au centre nous placions les cavaliers lourds, les Bandes Noires et les Suisses des Grisons. La table étant très grande, les battalias avaient de la place mais étaient assez espacées les unes par rapport aux autres ce qui étire forcément nos lignes. Nous placions notre grosse pièce sur la colline au centre afin qu’elle ait un bon rayon d’action, la pièce moyenne plus à droite. Les siennois étaient placés à la gauche avec pour objectif d’investir le village avec nos tireurs pour harceler les flancs ennemis en gardant nos piquiers en retrait pour soutenir les gendarmes au besoin. Idem à droite puisque la petite division française était censée bloquer les accès autour de la ferme et du marais, aidée par une partie des suisses et par la cavalerie légère. Je prenais le contrôle de l’aile gauche (Siennois, Cavalerie lourde, Bandes Noires et grosse pièce) et Sylvain la droite (Suisses, Français, pièce moyenne et estradiots) Je n’ai pas les considérations tactiques de nos adversaires mais il semble qu’ils aiment le cuir, parce qu’ils ont décidé d’attaquer aux endroits les plus compliqués : le village et le marais+ferme, sachant que dans les deux cas ces éléments se trouvaient plus proches de nous et nécessitaient pour eux de traverser la rivière. Tharaniel commandait les deux ailes et Triarus le centre. Rapport de bataille La bataille démarre par un bombardement en règle qui désorganise ma cavalerie lourde, à mon grand désarroi. Le commandant de l’artillerie espagnole que j’ai appelé Ramon Serano (les vrais reconnaîtront) doit être en veine. Dans le même temps la cavalerie espagnole et florentine ainsi que l’infanterie florentine avancent lentement. idem au centre avec les espagnols. Les lansquenets s’avancent au bord du marais et la division papale fonce près de la ferme à notre droite que nous espérons investir. Pour pousser la métaphore jambonesque, ils sont poussés d’une main de fer par le terrible Giovanni Parma. A notre tour, nous avions du mal à avancer puisque suisses et siennois restaient sur place. En revanche au centre je parviens à placer des arquebusiers du bataillon noir à portée de tir. Le feu des arquebuses et celui de la couleuvrine brise l’élan des Jinetes ennemi et les désorganisent. la cavalerie ennemie, sans doute surprise de cet accueil, décide de ne pas bouger. mais les florentins, toujours motivés pour tuer leurs rivaux siennois investissent le village avant nous (damned). La handbuchse installée sur la berge de la rivière fait feu, causant une autre blessure à mes gendarmes et obligeant mon général à aller rallier les chevaliers français. Pendant ce temps, sur notre droite, les premières lignes des lansquenets entament la difficile traversée du marais sous le feu des arquebusiers suisses de sinistre réputation. A la pointe de l’attaque les zweihanders essuient les pertes. Les arquebusiers allemands ne parviennent pas à fournir un appui suffisant à leurs camarades. Les troupes du pape quant à elles sont étonnamment disciplinées et parviennent à la clôture de la ferme, devant des français pas très réactifs. Le Légat Parma supervise la situation avec vigilance. Ulcéré de ne pouvoir faire charger mes gendarmes, j’ordonne à mes lanza spezzata siennois d’y aller. Ils dévalent la colline en direction des rêtres allemands qui décide d’ouvrir le feu plutôt que de contre charger. Mal leur en prend puisque leur tir ne donne rien et que je les secoue directement sur la charge, les obligeant à un repli à la hâte de l’autre côté de la rivière. Je ne leur donne pas la chasse car d’une part j’y ai laissé des plumes (3 blessures subies, toujours aussi fort en sauvegardes…) et d’autre part même si la perspective de balayer la handbuchse est tentante je me retrouverai par la suite au milieu de l’arène. La suite avec les ordres de bataille ICI
  9. Pour ce 14 septembre nous avions prévu notre première partie multijoueurs de Pike & Shotte. Je ne dirais pas Grand Format car je n'ai clairement pas encore assez de figurines pour faire ce que je fais à Black Powder, mais il y a tout de même 465 figs sur la table pour à peu près 1050 pts de chaque côté. Il y a beaucoup de photos sur le rapport car d'une part j'en ai fait beaucoup et d'autre part cette bataille fut intense et très fun. J'ai donc tâché de poser à intervalles réguliers des plans larges avec annotations pour essayer de rendre l'ensemble du récit plus clair. N'hésitez pas à me dire si c'est utile. Comme toujours les commentaires sympa sont appréciés et je suis dispo pour toute précision. Donc nous nous sommes réparti les armées, Sylvain"Aldada" prenant avec moi le commandement de l'Armée très suisse du duché de Milan et Jean-Charles et Benoît prenant le commandement de l'armée très allemande du roi de France. Le briefing fut à vrai dire beaucoup plus bref que ce qu'on peut faire à Black Powder du fait du peu de divisions dont nous disposions, cette phase n'a donc pas eu la même saveur qu'habituellement et pas autant de caractère décisif non plus d'ailleurs. On décidait de placer nos troupes de sorte à pouvoir foncer en mêlée le plus vite possible pour ne pas se faire saucer par les tirs adverses. Les divisions Unterwald et Uri-Gruyères tenaient le centre et la division Berne le flanc gauche. Au centre gauche, les tireurs italiens allaient tenter de prendre Zivido et de s'y retrancher si besoin. Les gendarmes de Maximilien se positionnent en reserve des Bernois. A droite nous ne laissions qu'une unité d'Estradiot pour tirailler et harceler. Le récit de la bataille : Déploiement initial Vue 1. A noter qu’en bas, de l’autre côté de la rivière Aldada a déployé ses Estradiots en tirailleurs Déploiement initial Vue 2 Nous obtenons le 1er tour et décidons sagement qu’en raison de la profusion de canons en face, nous allions plutôt avancer. Sur notre gauche, les Bernois n’avancent pas à ma grande déception. Tandis que les italiens investissent le village de Zivido. Ces petites pestes, en combinaison avec les arquebusiers suisses et les tactiques retorses d'Aldada vont être une épine constante dans le pied de nos adversaires durant toute la bataille. Notre infanterie avance lentement au centre aussi malheureusement. Le tour ennemi est assez simple aussi. Benoit tente sans succès de déplacer sa cavalerie. Le reste ne bouge pas et entame une salve d’artillerie. Les bandes noires attendent de pied ferme les suisses d’Unterwald. Les troupes français dirigées par le Duc D’Alençon sont encadrées par une puissante artillerie. Nos colonnes prennent cher sous ce feu nourri, notamment celle d’Unterwald qui voit un de ses bataillons désorganisé. Lors de notre tour, nous tâchons de riposter efficacement. Je lance mes Zweihanders à l’attaque du bloc de piquiers des Bandes noires. Jean Charles rate, fort heureusement pour moi, le tir d’opportunité de ses arquebusiers. En même temps, les piquiers d’Unterwald parviennent à charger le second bloc de piquiers. A gauche les Bernois se décident enfin à avancer. Ils atteignent cependant le pied de la petite colline au centre gauche. Devant eux, les lansquenets allemands commandés par De La Tremoille les attendent. Aldada utilise un ordre « Suivez moi ! « avec Maximilien Sforza pour charger le grand canon ennemi de la gauche. Malgré un tir de mitraille meurtrier, la poignée de chevaliers italiens transperce les artilleurs ennemis. Ils se retrouvent cependant en plein milieu des lignes ennemies. Pour soutenir leur Duc, les redoutables arquebusiers milanais tirent une salve qui désorganisent les zweihanders allemands proches. Les arquebusiers suisses font de même au milieu causant une blessure à l’un des canons. Le combat contre les Bandes noires se passe bien pour moi puisque mes zweihanders repoussent leurs ennemis. En revanche le second bloc de lansquenets résiste aux piquiers d'Unterwald d’Aldada. Plan de situation Par miracle, Jean Charles ne parvient pas à faire tourner et charger ses piquiers français sur les chevaliers milanais qui gagnent donc un tour de sursis sous les carreaux d'arbalètes des gasons devant eux. La ligne de bataille centrale de l’armée française ne parvient pas à se déplacer tout comme sa cavalerie d’ailleurs. A défaut, leur artillerie continue de matraquer les suisses d’Unterwald. En revanche sur notre gauche, ça bouge, les lansquenets allemands et les zweihanders chargent mes Bernois. Mais après un bref combat, ils sont repoussés ! Durant notre tour, je fais à nouveau charger mes zweihanders sur les bandes noires, cette fois c’en est trop pour elles puisqu’elles déroutent. A gauche je tente une charge générale droit devant de ma colonne bernoise. Je n’obtiens qu’un seul mouvement. Ayant mal formulé mon ordre, mon adversaire me fait remarquer que mes arquebusiers en faisaient partie et étaient eux à portée. Du coup il y a charge : mes arquebusiers suisses passent sans encombre le tir de contrecharge et repoussent leurs homologues après une brillante victoire ! Non, loin, devant le village de Carlotta Maximilien Sforza et ses chevaliers chargent les arbalétriers gascons qui défendent la route de la bourgade. Pensant les piétiner facilement, ils sont étonnés que ces derniers, malgré la défaite refusent de s’enfuir ! Au centre je place ma division d’Uri et Gruyère en attente de la cavalerie ennemie. Point de situation. Les tirs de l’artillerie française sont un peu plus précis puisqu’ils causent quelques pertes mais ce n'est pas encore ça. Les arquebusiers suisses et italiens continuent leur guerilla infernale devant Jivido causant des pertes et des désorganisations à l'ennemi et notamment son artillerie qui est notre principale source d'inquiétude. La suite du rapport avec les ordres de batailles ICI
  10. Bonjour à tous, HC France lance peut-être le premier CDA Histo ^^ de France, voire du monde ! (Je m'avance peut-être un peu trop ^^). Pour les intéressés, c'est l'occasion de sortir votre vieille boite de chevalier Perry, ou encore des spartiates de Victrix, des ashigarus de Wargames factory, des grognards de Warlord games qui trainent sur votre table de peinture depuis des lustres et qui n'ont jamais eu la chance de connaître vos coups de pinceau ! Bref, c'est le moment de dépoussiérer tout ça ! Le CDA est très court, juste 2 mois pour peindre une unité de taille modeste (8 figs) ou standard (16 figs) et un capitaine. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 18 Octobre. En espérant vous voir nombreux !
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