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  1. Petit rapport de bataille Pike & Shotte pour changer avec l'ami Hervé et le Padawan Loris. Nous décidions cette fois de jouer une bataille fictive des guerres d'Italie en utilisant le système de points fourni dans le livre de règles pour un total de 700 pts environ. Ce dernier propose deux listes d'armée une pour les français et une pour les impériaux. Hervé joue les Français et Loris et moi les Impériaux. Maintenant sortons les armures rutilantes, les chapeaux à plume, les piques et les culottes bouffantes à crevées ! L'armée impériale L'armée française A l’Ouest, côté français, les lansquenets des Bandes Noires au service de François Ier En face les lansquenets impériaux. L’infanterie française forme le centre… …Accompagnée des suisses Les Espagnols composent le centre impérial Les deux cavaleries se font face sur le flanc Est Les arquebusiers espagnols se retranchent derrière un mur tandis que les ginetes avancent jusqu’à la route. L’artillerie ne parvient pas à bouger. Les Lansquenets avancent lentement vers leurs homologues au service de la France. Les autres lansquenets placé sur le flanc est avancent également prudemment La cavalerie impériale fait mouvement vers la cavalerie française. Les Bandes Noires marchent à leur tour en direction des lansquenets impériaux. Les fantassins français et suisses prennent possession de la colline qui surplombe la route. Pendant ce temps, le reste des suisses longe la rivière en direction du pont. Le Général de Saint Denis envoie ses arbalétriers montés dans le village de San Macaroni François Ier prend personnellement la tête de ses Gendarmes et charge les gendarmes impériaux. Le choc est violent, mais les français prennent largement l’ascendant, détruisant leurs ennemis. Le Général Von Kartoffel fait charger sa second unité de gendarmes contre celle du roi de France. Mais les français sont survoltés. Bien que l’unité française soit ébranlée, elle parvient à détruire à nouveau ses adversaires et à se replier. Les lansquenets ne semblent pas vouloir se presser pour prendre d’assaut le village. En revanche les ginetes espagnols tentent de charger les arquebusiers suisses. Ces derniers s’enfuient vers leurs piquiers qui forment le hérisson, stoppant ainsi net leur avance. Point de situation à l’Est. Les arquebusiers lansquenets ne parviennent pas à déloger les arbalétriers montés français, qui en retour les criblent de carreaux. Point de situation sur le flanc Ouest. Les arquebusiers espagnols désorganisent les suisses. Près de la ferme, les arquebusiers lansquenets, bien abrités derrière leur clôture, ouvrent le feu sur les piquiers des bandes noires en approche et leur causent des pertes. François Ier rallie ses chevaliers qui redeviennent opérationnels. Le Général Pierre Le Noir tente de faire charger ses piquiers contre les arquebusiers lansquenets mais ils ne parviennent pas à avancer assez vite. Malgré le désordre causé par les tirs des arquebusiers espagnols, les suisses du centre se réorganisent rapidement et chargent les Ginetes qui menaçaient le hérisson de leurs camarades. Mais les cavaliers, tournent bride et leur échappent. Au passage les tirs d’opportunités du canon et des arquebusiers espagnols causent un carnage dans les rangs suisses. Les arquebusiers des bandes noires se décalent de l’autre côté de la route pour tirer sur les piquiers lansquenet au sud de la ferme. Les tirs ne causent aucune perte Les lansquenets impériaux lancent une charge contre les français. Les Premiers contre les arquebusiers des bandes noires qui non seulement ne fuient pas, mais ripostent avec assez d’efficacité et tiennent bon. Les Seconds tentent d’engager les piquiers français sans succès. Les arquebusiers espagnols démolissent l’artillerie française qui n’aura donc jamais pu agir. Et là c’est le drame ! L’artillerie de siège habsbourgeoise prend pour cible les gendarmes. L’obus fait mouche et secoue l’unité mais pire il est tombé sur le roi François Ier qui décède dans l’opération. Au centre les piquiers lansquenets se tournent vers les suisses tandis que le canon recharge et fait feu. Contre toute attente le tir n’a aucun effet. Sur le pont, le hérisson suisse ne peut se scinder en raison de la présence des cavaliers espagnols qui le harcèlent, avec un certain d’ailleurs puisque les suisses ont déjà essuyé quelques pertes. Voyant cela les arbalétriers montés français sortent du village et chargent les espagnols. Les piquiers des bandes noires de seconde ligne repiquent au centre pour aider leurs arquebusiers. Les ginetes sont vaincus et se replient derrière les lansquenets impériaux, tandis que les arquebusiers montés retournent au village. Constamment harcelés par l’artillerie de siège impériale, les gendarmes sont ralliés par leur général. Mais un obus de l’artillerie de siège, fini par les disperser enfin. Les gendarmes du roi, secoués par la mort de leur seigneur ont été ralliés également. Les Rêtres allemands, sans doute effrayés par la destruction des deux unités de gendarmes impériaux par ces féroces chevaliers français, refusent de les approcher. Finalement les piquiers des bandes noires sonnent une charge décisive contre les arquebusiers lansquenets abrités derrière leur clôture. Les tireurs tentent de rejoindre un hérisson mais échouent. Pas assez rapides ils sont massacrés par les lansquenets français et dans la foulée, la panique s’empare de l’unité de piquiers en soutien qui est mise en déroute ! Tandis que les suisses sont en mauvaise posture au centre, leurs rivaux des bandes noires font une percée à l’Ouest. Les arquebusiers des bandes noires sont mis en déroute par les lansquenets impériaux mais ils ont vendu chèrement leur peau Les combats s’enlisent entre lansquenets et français à l’ouest, ce qui permet aux bandes noires de poursuivre leur percée. Le régiment victorieux tente une charge de flanc sur les piquiers espagnols qui parviennent de justesse à se tourner pour encaisser une charge violente ! L’autre unité de piquiers des bandes noires charge les lansquenets qui ont tués leurs arquebusiers. La sale guerre fait son effet et les coups pleuvent mais les attaquants sortent largement vainqueur, secouant leurs ennemis et déroutant par la même toute la division de lansquenet impériaux. Débarrassés des cavaliers légers ennemis, les suissent parviennent enfin à reformer une ligne de bataille. Les tirs de leurs arquebusiers font quelques pertes dans les lansquenets situés en face d’eux. Désormais quasi encerclés, les lansquenet du général Sauerkraut perdent leur moral. Le bataillon noir a bien mérité sa solde, il est en train de faire un énorme trou dans le flanc impérial. La situation à l’Est est un peu meilleure pour le Viceroi Von Flamkisch puisque la seconde brigade de Lansquenets tient toujours les suisses en respect. Mais l’artillerie n’est pas parvenue à disperser ces derniers, les arquebusiers n’ont pas réussi à chasser les arbalétriers montés et les rêtres refusent toujours de charger les gendarmes français en cours de réorganisation. Sans surprise, les gendarmes chargent et détruisent l’artillerie de siège qui a tué le roi François ! Les arbalétriers montés jaillissent hors du village pour charger les arquebusiers lansquenets qui sont trop loin de leurs piquiers pour former un hérisson. Le tir de contre-charge ne cause aucun dégât mais désorganise les cavaliers qui parviennent à causer des pertes et à secouer l’unité ennemie sans être eux même mis en danger. Soumis à une intense pression, les lansquenets allemands sont mis en déroute par les piquiers français Leurs collèges font de même sous les coups de piques du bataillon noir. Les espagnols sont secoués mais tiennent toujours bons. Dans une dernière tentative pour débloquer la situation devant le village, les lansquenet de Knoedel chargent les suisses et les ébranlent, sans parvenir à les dérouter. Les Helvètes se replient en bon ordre. Les tirs du canon et des ginetes parviennent presque à secouer le second régiment de piquiers suisses, mais ces derniers tiennent bon. Ignorant les gendarmes, le second régiment de lansquenets charge les arbalétriers montés français de flancs. Ces derniers sont battus et ébranlés, mais parviennent à se replier. La brigade de cavalerie français est brisée mais les gendarmes sont encore en capacité de combattre. Malgré la présence de leur général Don Serano, les espagnols sont surclassés par les bandes noires et doivent replier en désordre, exposant ainsi leurs arquebusiers. Les gendarmes tentent une charge contre les ginetes espagnoles mais ces derniers esquivent habilement. Les bandes noires chargent les arquebusiers espagnols qui ne peuvent former de hérisson avec leurs camarades en plein désordre et sont ébranlés, mais étonnamment ils tiennent leur position. La situation est désespérée pour l’armée impériale qui est prise en étau et reflue vers l’est. Les renforts de piquiers français arrivent pour soulager les suisses. Le général suisse rallie ses hommes tandis que les arquebusiers suisses font feu sur les lansquenets déjà éprouvés et parvient à les secouer. La deuxième division de lansquenets est donc brisée ! Les lansquenets impériaux battent en retraite Tout comme les espagnols Malgré la mort du roi François, la victoire est totale pour l’armée française ! Un grand merci à Hervé et Loris pour leur participation. Et un grand bravo à Hervé pour sa victoire !
  2. Encore du P&S ce samedi. Eh oui mon groupe était plutôt dispersé concernant les disponibilités j'ai donc eu de quoi organiser trois parties d'affilée ! Cette fois ci, en plus de votre serviteur et d'Aldada c'était les deux frangin Tharaniel et Triarus qui nous ont rejoins pour rejouer la bataille de Marciano du 2 août 1554, lors de la dixième guerre d'Italie. Cette fois on est à la fin de la période que je joue sur Pike & Shotte, mais je me suis malgré tout autorisé quelques libertés (arbalétriers notamment) concernant les listes. Elles sont d'ailleurs plutôt équilibrées pour le coup. Déploiement Nous nous sommes répartis entre les armées aléatoirement. Tharaniel et son frère Triarus tombèrent ensemble avec les hispano florentins et Aldada et moi retombions ensemble, au contrôle cette fois des français.. Pour le déploiement j'ai proposé comme la dernière fois de procéder à un briefing secret de chaque équipe pour mettre au point le déploiement et le champ de bataille. J’ai donc donné deux cartes plastifiées permettant de gribouiller au feutre effaçable. Eu égard au terrain notre plan a été de nous appuyer sur le village à notre gauche, et le marais+la ferme isolée sur notre droite pour couvrir nos flancs. Au centre nous placions les cavaliers lourds, les Bandes Noires et les Suisses des Grisons. La table étant très grande, les battalias avaient de la place mais étaient assez espacées les unes par rapport aux autres ce qui étire forcément nos lignes. Nous placions notre grosse pièce sur la colline au centre afin qu’elle ait un bon rayon d’action, la pièce moyenne plus à droite. Les siennois étaient placés à la gauche avec pour objectif d’investir le village avec nos tireurs pour harceler les flancs ennemis en gardant nos piquiers en retrait pour soutenir les gendarmes au besoin. Idem à droite puisque la petite division française était censée bloquer les accès autour de la ferme et du marais, aidée par une partie des suisses et par la cavalerie légère. Je prenais le contrôle de l’aile gauche (Siennois, Cavalerie lourde, Bandes Noires et grosse pièce) et Sylvain la droite (Suisses, Français, pièce moyenne et estradiots) Je n’ai pas les considérations tactiques de nos adversaires mais il semble qu’ils aiment le cuir, parce qu’ils ont décidé d’attaquer aux endroits les plus compliqués : le village et le marais+ferme, sachant que dans les deux cas ces éléments se trouvaient plus proches de nous et nécessitaient pour eux de traverser la rivière. Tharaniel commandait les deux ailes et Triarus le centre. Rapport de bataille La bataille démarre par un bombardement en règle qui désorganise ma cavalerie lourde, à mon grand désarroi. Le commandant de l’artillerie espagnole que j’ai appelé Ramon Serano (les vrais reconnaîtront) doit être en veine. Dans le même temps la cavalerie espagnole et florentine ainsi que l’infanterie florentine avancent lentement. idem au centre avec les espagnols. Les lansquenets s’avancent au bord du marais et la division papale fonce près de la ferme à notre droite que nous espérons investir. Pour pousser la métaphore jambonesque, ils sont poussés d’une main de fer par le terrible Giovanni Parma. A notre tour, nous avions du mal à avancer puisque suisses et siennois restaient sur place. En revanche au centre je parviens à placer des arquebusiers du bataillon noir à portée de tir. Le feu des arquebuses et celui de la couleuvrine brise l’élan des Jinetes ennemi et les désorganisent. la cavalerie ennemie, sans doute surprise de cet accueil, décide de ne pas bouger. mais les florentins, toujours motivés pour tuer leurs rivaux siennois investissent le village avant nous (damned). La handbuchse installée sur la berge de la rivière fait feu, causant une autre blessure à mes gendarmes et obligeant mon général à aller rallier les chevaliers français. Pendant ce temps, sur notre droite, les premières lignes des lansquenets entament la difficile traversée du marais sous le feu des arquebusiers suisses de sinistre réputation. A la pointe de l’attaque les zweihanders essuient les pertes. Les arquebusiers allemands ne parviennent pas à fournir un appui suffisant à leurs camarades. Les troupes du pape quant à elles sont étonnamment disciplinées et parviennent à la clôture de la ferme, devant des français pas très réactifs. Le Légat Parma supervise la situation avec vigilance. Ulcéré de ne pouvoir faire charger mes gendarmes, j’ordonne à mes lanza spezzata siennois d’y aller. Ils dévalent la colline en direction des rêtres allemands qui décide d’ouvrir le feu plutôt que de contre charger. Mal leur en prend puisque leur tir ne donne rien et que je les secoue directement sur la charge, les obligeant à un repli à la hâte de l’autre côté de la rivière. Je ne leur donne pas la chasse car d’une part j’y ai laissé des plumes (3 blessures subies, toujours aussi fort en sauvegardes…) et d’autre part même si la perspective de balayer la handbuchse est tentante je me retrouverai par la suite au milieu de l’arène. La suite avec les ordres de bataille ICI
  3. Pour ce 14 septembre nous avions prévu notre première partie multijoueurs de Pike & Shotte. Je ne dirais pas Grand Format car je n'ai clairement pas encore assez de figurines pour faire ce que je fais à Black Powder, mais il y a tout de même 465 figs sur la table pour à peu près 1050 pts de chaque côté. Il y a beaucoup de photos sur le rapport car d'une part j'en ai fait beaucoup et d'autre part cette bataille fut intense et très fun. J'ai donc tâché de poser à intervalles réguliers des plans larges avec annotations pour essayer de rendre l'ensemble du récit plus clair. N'hésitez pas à me dire si c'est utile. Comme toujours les commentaires sympa sont appréciés et je suis dispo pour toute précision. Donc nous nous sommes réparti les armées, Sylvain"Aldada" prenant avec moi le commandement de l'Armée très suisse du duché de Milan et Jean-Charles et Benoît prenant le commandement de l'armée très allemande du roi de France. Le briefing fut à vrai dire beaucoup plus bref que ce qu'on peut faire à Black Powder du fait du peu de divisions dont nous disposions, cette phase n'a donc pas eu la même saveur qu'habituellement et pas autant de caractère décisif non plus d'ailleurs. On décidait de placer nos troupes de sorte à pouvoir foncer en mêlée le plus vite possible pour ne pas se faire saucer par les tirs adverses. Les divisions Unterwald et Uri-Gruyères tenaient le centre et la division Berne le flanc gauche. Au centre gauche, les tireurs italiens allaient tenter de prendre Zivido et de s'y retrancher si besoin. Les gendarmes de Maximilien se positionnent en reserve des Bernois. A droite nous ne laissions qu'une unité d'Estradiot pour tirailler et harceler. Le récit de la bataille : Déploiement initial Vue 1. A noter qu’en bas, de l’autre côté de la rivière Aldada a déployé ses Estradiots en tirailleurs Déploiement initial Vue 2 Nous obtenons le 1er tour et décidons sagement qu’en raison de la profusion de canons en face, nous allions plutôt avancer. Sur notre gauche, les Bernois n’avancent pas à ma grande déception. Tandis que les italiens investissent le village de Zivido. Ces petites pestes, en combinaison avec les arquebusiers suisses et les tactiques retorses d'Aldada vont être une épine constante dans le pied de nos adversaires durant toute la bataille. Notre infanterie avance lentement au centre aussi malheureusement. Le tour ennemi est assez simple aussi. Benoit tente sans succès de déplacer sa cavalerie. Le reste ne bouge pas et entame une salve d’artillerie. Les bandes noires attendent de pied ferme les suisses d’Unterwald. Les troupes français dirigées par le Duc D’Alençon sont encadrées par une puissante artillerie. Nos colonnes prennent cher sous ce feu nourri, notamment celle d’Unterwald qui voit un de ses bataillons désorganisé. Lors de notre tour, nous tâchons de riposter efficacement. Je lance mes Zweihanders à l’attaque du bloc de piquiers des Bandes noires. Jean Charles rate, fort heureusement pour moi, le tir d’opportunité de ses arquebusiers. En même temps, les piquiers d’Unterwald parviennent à charger le second bloc de piquiers. A gauche les Bernois se décident enfin à avancer. Ils atteignent cependant le pied de la petite colline au centre gauche. Devant eux, les lansquenets allemands commandés par De La Tremoille les attendent. Aldada utilise un ordre « Suivez moi ! « avec Maximilien Sforza pour charger le grand canon ennemi de la gauche. Malgré un tir de mitraille meurtrier, la poignée de chevaliers italiens transperce les artilleurs ennemis. Ils se retrouvent cependant en plein milieu des lignes ennemies. Pour soutenir leur Duc, les redoutables arquebusiers milanais tirent une salve qui désorganisent les zweihanders allemands proches. Les arquebusiers suisses font de même au milieu causant une blessure à l’un des canons. Le combat contre les Bandes noires se passe bien pour moi puisque mes zweihanders repoussent leurs ennemis. En revanche le second bloc de lansquenets résiste aux piquiers d'Unterwald d’Aldada. Plan de situation Par miracle, Jean Charles ne parvient pas à faire tourner et charger ses piquiers français sur les chevaliers milanais qui gagnent donc un tour de sursis sous les carreaux d'arbalètes des gasons devant eux. La ligne de bataille centrale de l’armée française ne parvient pas à se déplacer tout comme sa cavalerie d’ailleurs. A défaut, leur artillerie continue de matraquer les suisses d’Unterwald. En revanche sur notre gauche, ça bouge, les lansquenets allemands et les zweihanders chargent mes Bernois. Mais après un bref combat, ils sont repoussés ! Durant notre tour, je fais à nouveau charger mes zweihanders sur les bandes noires, cette fois c’en est trop pour elles puisqu’elles déroutent. A gauche je tente une charge générale droit devant de ma colonne bernoise. Je n’obtiens qu’un seul mouvement. Ayant mal formulé mon ordre, mon adversaire me fait remarquer que mes arquebusiers en faisaient partie et étaient eux à portée. Du coup il y a charge : mes arquebusiers suisses passent sans encombre le tir de contrecharge et repoussent leurs homologues après une brillante victoire ! Non, loin, devant le village de Carlotta Maximilien Sforza et ses chevaliers chargent les arbalétriers gascons qui défendent la route de la bourgade. Pensant les piétiner facilement, ils sont étonnés que ces derniers, malgré la défaite refusent de s’enfuir ! Au centre je place ma division d’Uri et Gruyère en attente de la cavalerie ennemie. Point de situation. Les tirs de l’artillerie française sont un peu plus précis puisqu’ils causent quelques pertes mais ce n'est pas encore ça. Les arquebusiers suisses et italiens continuent leur guerilla infernale devant Jivido causant des pertes et des désorganisations à l'ennemi et notamment son artillerie qui est notre principale source d'inquiétude. La suite du rapport avec les ordres de batailles ICI
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