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Warhammer Forum

Récit d'un combattant


LECADIEN

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Après avoir lu tout (ou presque) les récits de cette section, je vous propose mon premier récit: une traditionnel histoire sur la GI.


Chapitre 1 :Bienvenue en enfer.

Dans un vacarme assourdissant,la porte du transport de troupe s’ouvrit,livrant ses occupants à la morsure du vent et aux rayons du soleil.Lorsque la porte fut entièrement ouverte,notre officier nous fit sortir au pas cadencé,en rang et en uniforme complet.Mes yeux se plissèrent lorsque je sortis,ils n ‘étaient plus habitués à la lumière.Après des semaines passées dans l’espace à scruter le vide infini et à vivre à la lumière tamisé des vaisseaux,sortir à l’air libre était un choc que je n’aurais jamais crus possible.
À en juger par les grognements et les jurons que proféraient mes camarades,je n’était apparemment pas le seul à ressentir ces désagréments.
Une fois mes yeux habitués à la lumière,je pus scruter l’endroit où nous venions d’atterrir.
C’était une vaste place, remplis de soldat et de véhicules qui se bousculaient pour former les rangs et retrouver leurs escouades respectives.
La place était délimitée par de vastes blocs d’habitations, la plupart en ruine.Je pus également voir des marcheurs « sentinelles » et des escouades de gardes patrouiller dans les décombres.
Soudain une voix hurla :

-Escouade 028 ! Rassemblement à l ‘extrémité Ouest de la place, à côté du QG. EXECUTION !!!

Perdu dans mes pensées,je n’avais pas vu apparaître le sergent Van.
L’acariâtre officier maniant une longue épée énergétique,éteinte pour le moment,avec la quel il distribuait des coups à tous ceux trop longs à réagir.
Ne voulant pas me faire punir,je mis mon fusil en bandoulière et couru vers la position indiqué suivi de mes camarades.

Une fois arrivé au point de rassemblement,je me mit en position, enleva mon fusil laser de mon épaule et me mis au garde à vous.
Le sergent nous compta afin de voir si tout le monde était présent et nous dit d’une voix de stentor :

-Écoutez-moi !Ceci est pour la plupart votre première opération alors je vais vous demander de m’écouter attentivement.Les ennemis que nous allons affronter ne sont pas des xenos.Ce sont des hérétiques ! Ils ont rejeté l’empereur afin d’honorer des dieux impies ! Pour ce crime ils méritent la pire des morts.Mais le fait est qu’ils pensent la même chose de nous.Ils n’auront pas de pitié, n’en ayez aucune.
Tout en nous faisant ce discours, il avait tiré d’une de ses poches un cigare qu’il mit en bouche sans l’allumer.

-Notre mission est très simple, continua-t-il.Nous devons sécuriser un périmètre afin de permettre aux transports lourds d’arriver sans encombre. Nous ne seront pas les seuls sur le coup.Nous fonctionnerons en coopération avec des unités du génie et des éclaireurs sniper.
Maintenant que vous êtes au courant des opérations, allons-y !

Les 9 hommes qui composaient l’escouade (moi y compris) se mirent en mouvement à la suite du sergent.
Arrivant à la limite du périmètre,je vis un garde dans la tenue noir et rouge de la police impériale demander son accréditation au sergent .Van lui tendit un morceau de parchemin que le garde lui rendit après l’avoir lu et lui avoir souhaiter bonne chance.
Rassurant n’es pas ?
Devant moi s’étendait un champ de ruine que la fumée des nombreux incendies qui faisaient rage dans la ville ne réussissaient pas à cacher entièrement.
C’est un noeu à l’estomac et la gorge sèche que je me dirigeai vers ce théâtre de mort et de destruction.

Nous avions rendez-vous avec les groupes de sapeurs et de snipers près du point Delta 1-024,c’est-à-dire à environ 1 kilomètre de notre zone d’atterrissage.
Arrivant à proximité du point de rencontre,nous nous détendîmes,pensant être en territoire amis et surtout sécurisé.La voix de Rannion,le radio,brisa soudain le silence.

-Monsieur !,dit-il à l’attention du sergent. Le sergent Rek de la 2e escouade d’éclaireur sniper veut vous parler.

Le sergent ordonna une halte et, s’approchant de Rannion, lui prit le combiné des main.

-Sergent Van.

-……

-Vous êtes sûr ?

-……

-Et combien sont-ils ?

-……

-Merci,nous essayerons de les éviter.

Tout en redonnant l’appareil de transmission à Rannion,il sortit sa gigantesque lame de son fourreau.

-À couvert tout le monde,cria-t-il en courant vers le bâtiment en le plus proche.Escouade ennemie en approche.

Comme un seul homme,nous ramassâmes tous notre bardas et courûmes à la suie du sergent.
Ce dernier enfonça une porte d’un puissant coup d’épaule et nous nous enfonçâmes à sa suite dans le bâtiment obscur.Le sergent nous regroupa et pris la parole dans un murmure qui ne lui était pas familier :

-Très bien,on m’a signaler une patrouille ennemi d’une trentaine d’individus qui avançais dans notre direction.Les snipers vont essayer de nous rejoindre au plus vite mais ils ont déjà leurs propres problèmes.On va essayer de les retenir le plus longtemps possible en attendant les renforts.Sirus,me dit-il, prend Laur avec toi et monter à l’étage.
Je me leva et courut vers les escaliers en compagnie de Laur.

Mon premier combat ! J’étais tellement excité que je faillis tomber une dizaine de fois durant le trajet.
Arrivé à l’étage,je pris position à côté d’un tous béant sur la façade droite du bâtiment,sans doute provoqué par un obus.
Je levait mon fusil et, tout en enlevant la sécurité le dirigeai vers l’entrée de la rue où nous étions arrivés.Près de moi, j’entendis Laur faire la même chose.
Scrutant les décombres afin de repérer l’ennemi,je pus observer l’endroit à loisir.
Sans toutes les ruines qui la composèrent, la ville aurait pus être jolis.Comment s’appelait-elle déjà ?Il l’avait dit lors du briefing….c’est pas Ragnon ni Rabon…Ragon !Voilà,la ville s’appelai Ragon.
Environ 1 500 000 habitants et couvrant une superficie de 50 à 60 hectares.
Pour passer le temps je m’amusais à trouver les objets n’ayant pas leur place dans le conflit :une peluche,une casserole,un livre,un fusils,un écr…un fusils ? Réglant la mire de mon propre fusil sur la zone où je l’avais aperçu je pus constater que ce dernier avait disparu.
Portant la main à mon communicateur,je dis :

-Ici Sirus, éventuelle présence ennemie à l’entrée de la rue,le bâtiment moitié effondrer.

-Bien reçu,me répondit le sergent.

Réglant le zoom de ma lunette intégré sur minimum,j’entrepris une fouille en règle des débris afin de voir si le fusils n’était pas simplement tombé.
Un furtif mouvement près de l’endroit où le fusil avait disparue attira mon attention. Situant le zoom de ma lunette sur maximum cette fois,je distingua pour la première fois un combattant ennemis.Sa tête chauve et tatouée apparue la première.
Son visage semblait tout à fait normale si l’on ignorait le rictus de rage et de folie qui tordait ses lèvres.
Son corps apparu enfin,vêtu de longues robes et de quelques plaques de protections disséminées sur tout l’ensemble de sa tenue.Il tenait entre ses mains un ancien modèle de fusils à projectile solide qui semblait en tellement mauvais état qu’on se demandait s’il pouvait encore tirer.Je reconnus le fusil que j’avais aperçu quelques instants auparavant.
Portant à nouveau la main vers mon casque,j’activait mon communicateur et murmura :

-Ennemis repérés à l’entré de la rue.

-Très bien,ouvrez le feu à mon signal,ordonna le sergent.

Réglant la mire de mon fusil,je positionna ce dernier sur la fonction coups par coups et attendit l’ordre de tirer.
J’attendis ainsi pendant une minute,sans bouger, sans même oser respirer.Durant ce laps de temps,le premier soldat ennemis fut rejoint par une quinzaine d’autre et de nouveaux combattants ne cessait d’affluer.
C’est avec soulagement que j’entendis le sergent ordonner :

-Feu !

Alignant mon fusil avec le renégat de tête,je bloqua ma respiration et appuya sur la détente.

A vos claviers/cailloux/fusils/tomates...
Touts les comm (particulièrement sur la forme et le fond ) son bienvenues.

Merci de ton comm,j'ai modifié le titre.Es que c'est mieu? Modifié par LECADIEN
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Un récit plutôt pas mal, sympa à lire, les dialogues sont bien placés, je n'ai rien a dire.
Si un truc, si tu présente cette histoire sous forme de journal, il faudrait que tu utilise une présentation du même genre mais sinon c'est tout. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img]
Euh, je vois pas la modif[img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/dry.gif[/img] mais c'est pas grave, fait le sur les prochains [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img] Modifié par Perturabo83
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Salutations

Après lecture du texte, j'ai quelques commentaires à faire. Tout d'abord, le texte est plutôt bien présenté, aéré, les dialogues sont bien introduits même s'ils mériteraient d'être mis en valeur, par exemple en sautant un espace avant et après chaque dialogue, car ils ont tendance à se confondre dans le texte. Attention aussi à ne pas oublier les espaces après certaines ponctuations.

Ensuite, le texte pourrait être beaucoup plus agréable à lire s'il n'était pas bourré de fautes, car là c'est un véritable champs de mines d'erreurs (5 fautes rien que dans les 4 premières lignes...). C'est dommage, car une simple relecture suffirait à supprimer la plupart...

Pas vraiment d'intrigue, mais sur un seul chapitre on pouvait s'y attendre, donc ce n'est pas grave ^^. Toutefois, si l'histoire s'étend, il faudra penser à faire une trame principal, et ne pas se contenter de décrire une suite d'actions.

Essaye dans les textes de toujours marquer les chiffres et les nombres en toutes lettres.

Voilà ma petite contribution personnelle ^^
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Salut,
tout d'abord merci de vos commentaires.
Je vais répondre vite fait:

[QUOTE]Euh, je vois pas la modif mais c'est pas grave, fait le sur les prochains [/QUOTE]
C'est le titre qui a changer.Je compte garder ce type de récit donc je préfère changer le titre que ma façon d'écrire( c'est plus simple^^).

[QUOTE]Tout d'abord, le texte est plutôt bien présenté, aéré, les dialogues sont bien introduits même s'ils mériteraient d'être mis en valeur, par exemple en sautant un espace avant et après chaque dialogue, car ils ont tendance à se confondre dans le texte. Attention aussi à ne pas oublier les espaces après certaines ponctuations.[/QUOTE]
Merci! J'essayerais d'aérer les dialogue,tu me diras ce que tu en pense.


[QUOTE]Ensuite, le texte pourrait être beaucoup plus agréable à lire s'il n'était pas bourré de fautes, car là c'est un véritable champs de mines d'erreurs (5 fautes rien que dans les 4 premières lignes...). C'est dommage, car une simple relecture suffirait à supprimer la plupart...[/QUOTE]
Je vais faire de mon mieux mais je n'ai jamais été réputé pour mon orthographe irréprochable.(Vive les correcteurs, la relecture et ma maman...).

Sans plus attendre, voici la suite:



Le laser quitta le canon du fusil avec un sifflement strident. Le léger recul, désormais familier, se fit ressentir contre mon épaule. L’oeil toujours rivé sur ma lunette,je vis le rayon traverser la rue en une fraction de secondes et pénétrer dans le torse du renégat.Pendant un instant il ne sembla pas réagir, mais il s’écroula la face contre le sol. Au même moment, le soldat situé derrière lui s’effondra en hurlant tandis qu’un autre rayon lui perfora la jambe.
Cinq ou six autres hérétiques subirent le même sort avant que les autres ne puissent réagir ni même comprendre ce qui leur arrivait.Soudain, ce fut la débandade.Les soldats ennemis se bousculaient et couraient en tout sens afin d’échapper au massacre.
Certain dégainèrent leurs armes et se mirent à tirer dans tous les sens afin d’espérer toucher quelque chose. Malgré cela, le massacre ne s’arrêta pas ;je réglais mon fusil sur automatique et lâcha une rafale en direction d’un groupe de combattant qui tentait de se cacher derrière un muret.
La rafale en faucha quatre et deux fois ce nombre fut blessé. Le carnage dura ainsi un bon quart d’heure, durant laquelle je vidai plus de 3 chargeurs, avant que tous les combattants ennemis furent annihilés.Une bonne trentaine de cadavres jonchait désormais la place.
Via la fréquence de groupe, j’entendis le sergent demander :

-Escouade ! Faite le compte !

-Viggo présent et intacte.

-Rannion présent et intacte.

Tour à tour, nous primes la parole afin de signaler notre présence.

-Ou est Laur ?,demanda finalement le sergent.

-Il était avec moi sergent, répondis-je.

Je tournai la tête en direction de l’endroit où je l’avais vu pour la dernière fois.
Il y était toujours, mais cette fois il était effondré sur le parapet où il s’était accoudé.Je m’approchai de lui et le secouai :

-He Laur ! Sa va.

Il ne me répondit pas. En empoignant son épaule,je sentit un liquide poisseux contre ma main. Levant cette dernière à la lumière produite par la fenêtre, je pus voir que c’était du sang.Baissant à nouveau les yeux vers Laur,je vis que le liquide vermeil imbibait son uniforme.Je tendis deux doits pour prendre son pouls et ne trouva que le vide,Sa main avait disparue.Pris d’un brusque au le cœur, je dus reculer pour ne pas vomir.Je tendis la main vers mon communicateur et annonçai d’une voix âpre :

-Laur est morts sergent.

-Et merde ,l’entendis-je pester.

-Pas grave, continua-t-il. On continue.

Abandonnant le cadavre de Laur derrière nous,nous prîmes la direction du point de ralliement.Les rues désertes qui me semblaient si calmes une heure auparavant me semblaient désormais stressantes, fourmillants d’ennemis qui n’attendaient qu’une occasion pour me sauter dessus.Le fusil entre les mains, la sécurité relevée,je sondais les ombres à la recherche d’un signe d’une activité ennemis.Finalement,le sergent déclara :

-On arrive au point de ralliement, baissé vos armes.

Rassuré, nous baisâmes nos armes,les gardant à portée de main au cas où…
Le premier signe des snipers fût un léger éclat dans un bâtiment effondré.Je compris que c’était la lunette d’un fusil sur laquelle la lumière se reflétait. J’esquissais un sourire, pas très pros comme méthode de dissimulation.Une silhouette apparue à la fenêtre près du scintillement de la lunette et j’imaginais très bien l’engueulade entre l‘officier et le sniper car la lumière cessa soudainement.
La silhouette réapparue et nous fit un grand signe. Le sergent nous ordonna de se diriger vers lui. Quand même bizarre cette mission ! On traverse une ville hostile pour retrouver un groupe d’élite et tout sa juste pour patrouiller en ville et sécuriser la zone ?C’est le boulot des fdp*, pas le notre.Pris d’une soudaine inspiration, et d’un instinct sucidaire prononcé,je hélai le sergent :

-Sergent !

Le sergent s’arrêta et se tourna.
Arrivant à sa hauteur, je lui demandai :

-Qu’es qu’on fout ici sergent, c’est pas notre travail de sécuriser le périmètre ?Et en plus avec un groupe d’élite !

Le sergent me dévisagea durant de longues seconde avant de répondre :

-T’es moins con que les autre Sirus,constata-t-il.Et t’as du culot pour oser répondre ainsi à des ordres.

-J’ai raison ou pas alors ?,osais-je lui demander.

-En partie Sirus,en partie…me répondit-il d’un ton énigmatique avant de rejoindre l’escouade qui était désormais presque arrivé à la hauteur des snipers.
Désormais intrigué par la tournure des évènements, je me promis de mettre cette histoire au clair.Mais pas maintenant.Pour l’instant on avait un rendez-vous à honorer.

*Force de Défense Planétaire.


Je sais, c'est pas grand chose mais au moins sa fait patienter...
A vos comm. Modifié par LECADIEN
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[quote name='LECADIEN' timestamp='1312446693' post='1966302']
-Laur est morts sergent.
-Et merde ,l’entendis-je pester.
-Pas grave, continua-t-il. On continue.
[/quote]

Et ben, l'est pas gentil le sergent...

L'histoire est bien racontée, malgrès le fait que l'on en sache pas plus sur le conflit. D'un autre coté, un récit de combattant ne parle que de l'expérience du combattant en question.

Le principal défaut est l'orthographe, je ne relève pas un grand nombre de fautes, mais elles sautent aux yeux. La conjugaison...

Je trouve par contre incroyable qu'un garde bute une trentaine de regnégats seul et sans égratignures... C'est pas un marine, et encore...

Faut voir la suite... :hat:
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[QUOTE]L'histoire est bien racontée, malgrès le fait que l'on en sache pas plus sur le conflit.[/QUOTE]
Réponse à ta réponse dans le texte qui suit.

[QUOTE]Le principal défaut est l'orthographe, je ne relève pas un grand nombre de fautes, mais elles sautent aux yeux. La conjugaison...[/QUOTE]
C'est vrai que j'ai relu mon premier texte et bon diou, c'était pire que Omaha et et Armagedon réuni.J'en ait corrigé une partie mais si vous en trouvez d'autre n'hésitez pas à me le signaler.


[QUOTE] Je trouve par contre incroyable qu'un garde bute une trentaine de regnégats seul et sans égratignures... C'est pas un marine, et encore...[/QUOTE]
Mauvaise compréhension du texte (et j'avoue que c'est pas très bien expliqué, je modifierais sa plus tard).Il y a 10 garde, le héros plus le reste de son escouade. Après il y a quand même eu un mort et se n'est pas étonnant que des gardes embusquer puisse abattre une trentaine d'ennemis à découverts et ne sachant pas où se trouve leurs assaillant, et tout sa avec peu de dégât de leur côté.

Petite suite assez courte juste pour clore le chapitre et après, l'action commence (ainsi que la trame de l'histoire qui se déssine peu à peu...)...



Une fois arrivé dans le bâtiment servant de caserne temporaire aux snipers, le sous-lieutenant qui les commandaient nous ordonna de monter à l’étage pour rejoindre le reste de sa section. Au moment de monter, je pus apercevoir les 2 officiers (le sergent et le sous-lieutenant) échanger une feuille de papier ainsi que quelques mots. Sans plus m’en inquiéter (et voulant surtout éviter la correction qui s’ensuivrait si le sergent découvrait que je les espionnais) je suivis mes camarades et entrepris de gravir les escaliers.Une fois arrivé à l’étage,je déboucha dans une pièce aux proportion gigantesques (au moins 100m sur 100 !!) dont le seul éclairage était un feu de camp qui flambait au centre de la pièce.
Il n’y avait aucune ouverture visible.La fumée que dégageait le feu tourbillonnait dans l’air avant de s’échapper par un petit conduit d’aération qui était située juste au-dessus. Portant à présent mon attention sur les habitant de la pièce, je pus apercevoir devant moi le reste de mon escouade. Près du feu,2 silhouettes était avachis sur le sol tandis qu’une troisième se levait et se dirigea vers nous.Arrivant à 2 mètre de moi, elle prit la parole :

-Vous êtes l’escouade 028 ?, demanda-t-elle.

-Oui, lui répondis-je.

Tournant la tête pour tous nous voir, elle repris la parole :

-Vous n’êtes que 8 ? Où sont passés les autres ?

Voyant que personne ne lui répondait je continuai :

-Notre sergent est en bas avec votre officier et on à perdu un gars dans un accrochage avec une patrouille ennemi que vous nous aviez signalés.

-Désolé pour votre homme.Bon, trêve de bavardage, je suppose que vous avez faim ?

Mes camarades et moi eûmes un grand sourire en guise de réponse et le sniper nous invita à nous asseoir autour du feu. Il distribua quelques rations de combat et ,pendant que nous commencions à manger me dit :

-Je ne m’étais pas présenté, caporal Igon Baar.

-Enchanté, lui répondis-je la bouche pleine.Moi c’est Sirus Garv.

-J’aurais une question, continua-t-il. Es que vous savez ce qu’on fou ici ?

-Ici, dans ce bâtiment ?,demandais-je.

-Oui, mais aussi ce qu’on fout sur cette putain de planète.

-Vous ne savez pas ?,lui demandais-je, surpris.

-Nan,on est arrivé ici la semaine dernière et depuis on moisi ici à vous attendre.En plus le lieutenant ne veut rien nous dire.

-Je vais essayer de vous résumer les faits alors.

Le conflit pour Icaare a commencé il y a près de 2 ans.La corruption du chaos s’est insinué dans les bas-fonds des ruches, entraînant avec elle une partie de la pauvre population de la planète. Lorsque le peuple s’est finalement révolté, il avait le soutien d’une bonne partie des fdp qui avaient également été perverties par le warp par le biais de leurs familles et de leurs amis.Les quelques soldats loyalistes restants et le gouvernement de la planète se sont retranchées dans le palais impérial de Ragon où ils se sont défendus durant près d’une année.
Durant ce temps, ils avaient pu envoyé un message d’alerte et une flotte composé du 96ème d’infanterie Cadien (notre régiment), du 28ème blindé Cadien et du 15ème régiment de siège Death Korp arriva sur les lieux de la rébellion moins de six mois après l’appel.Une bonne partie de la planète a été reprise dans les quelques mois suivant l’offensive mais les points stratégiques tel les villes, les spatioports, les usines etc … restaient aux mains de l’ennemi.Une fois les abords des villes sécurisées, les renforts ont été envoyé sur des zones sécurisées afin d’aider les troupes déjà au sol.
Malheureusement, les transports lourds convoyant les blindés et les grosses pièces d’artilleries ne peuvent atterrir car leur taille et leur vitesse réduite en fait une cible facile.

-Voilà donc l’histoire du conflit, où tout du moins ce qu’on à bien voulu me dire,terminais-je.

Mon auditoire, composé maintenant de 5 snipers ainsi que d’une bonne partie de mon escouade qui n’avaient pas écouté durant le briefing, me regardait fixement, attendant une probable suite. Je voulus reprendre la parole pour leur annoncer que mon récit était terminé mais l’irruption soudaine du lieutenant dans la salle me coupa net.
-Rassembler vos armes et vos équipements les gars, nous dit-il.On y va ! Modifié par LECADIEN
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Bonjour,

Ton histoire commence bien avec un sénario pas très original et mille fois traité mais ce n'est pas le sujet. Je vais donc critiquer avec violence ton texte:

- Il faudrait que tu te renseignes sur les temps et leurs associations dans les textes. Le passé simple indique une action qui s'exécute rapidement dans le passé. L'imparfait concerne une action rapide dans le passé. Ces deux temps coopèrent souvent dans les textes pour y insufler de la vie. Mais il sont soumis à certaines consignes plus restrictive ainsi le passage suivant me choque à la lecture:

[quote]je réglais mon fusil sur automatique et lâcha une rafale[/quote]

Je rêglais mon fusil sur automatique et lâchait une rafale.

-De la même manière il faut avoir dans la tête que lorsque tu rédiges un texte, il ne faut pas écrire comme lorsque tu parles. Les expressios comme, "c'est à dire", "etc..." ou encore l'utilisation abusive des parenthèse détruit complêtement l'unité et la beauté du texte.

Pour améliorer ton utilisation des temps et du vocabulaire, je ne peux que te conseiller de lire énormément. Parce qu'apprendre par coeur les rêgles peut être barbant. Par exemple, et si tu connais a série Games of Thrones, tu pourrais lire la série des Trône de fer. Ou même simplement le prélude. Tu as également L'Ange du Chaos écrit par un HandBaller professionel. C'est deux cité entre mille ne sont que des exemples. Il faut remarquer également que beaucoup de livre, et généralement des traductions ont des qualités d'écriture mauvaises. Sortons de la parenthèse.

accessoirement:

[quote]-Laur est morts sergent.
-Et merde ,l’entendis-je pester.
-Pas grave, continua-t-il. On continue.[/quote]

Syntaxiquement, ce serait plus:
-Laur est morts sergent.
-Et merde ,l’entendis-je pester. Pas grave, On continue.

Un tiret indique qu'une autre personne prend la parole.


-Donc ton histoire est banale, mais tu peux l'améliorer. Ce n'est que le sujet, ici un troupe de la GI qui se bat, qui est banale. Tu peux en faire un récit original si tu la traite de bonne façon.

La première chose à penser: ne pas écrire pour écrire. Il faut raconter une histoire. Ne pas se forcer si on te demande une suite.
La seconde, avoir une idée globale, savoir où te mènera ton histoire et ce que tu veux en faire. L'exmple typique ici, c'est ton escouade qui arrive, qui tire trois balles et qui prend une pause repas. Peu efficasse, même si possible, mais c'est pas vraiment épique.

-Je vais éviter de tout purger, je trace juste les grosses partie que tu pourrais améliorer. Et dans celles-ci figure également le récit de pourquoi la GI se bat. Je suppose que tu as réagi au poste de Silverlord, mais de manière trop brutale. C'est à dire que tout d'un coup, un chef se pointe et leur raconte tout. Pourquoi leur chef ne pouvait-il pas le dire? Tant de détails incohérents. Celà dit, si à la fin il répondait à la question, qui n'était pas: pourquoi on fait la guerre, mais plutôt qu'est-ce qu'on fait dans ce coin de la ville.

-Autre détail, différencie ton texte de tes commentaires, que ce soit par la couleur ou par la police ou la taille. Pour une simple question de lisibilité.


Quoiqu'il en soit, je ne pense pas que tu sois mauvais, il y a du potentiel et l'histoire peut devenir captivante. Il ne faudra juste pas hésiter à travailler et retravailler, y compris les premiers post, quitte à changer certaines partie ou à modifier l'intrigue.

Je souhaites sincèrement lire la suite et te voir t'améliorer.
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OOuuais, un commentaire bien constructif comme je les aime (j'en ait trop peu malheureusement).

[QUOTE]- Il faudrait que tu te renseignes sur les temps et leurs associations dans les textes. Le passé simple indique une action qui s'exécute rapidement dans le passé. L'imparfait concerne une action rapide dans le passé. Ces deux temps coopèrent souvent dans les textes pour y insufler de la vie. Mais il sont soumis à certaines consignes plus restrictive ainsi le passage suivant me choque à la lecture[/QUOTE]
Je fais de mon mieu pour la conjugaison et sait parfaitement comment utiliser les temps (depuis la 6ème qu'on rabâche sa).Le seul problème c'est les fautes d'inattentions.J'écris et, à la relecture, ne voie pas la faute car le verbe est bien conjugué mais au mauvais temps.
Je ferais donc de mon mieu pour m'améliorer.



[QUOTE]-De la même manière il faut avoir dans la tête que lorsque tu rédiges un texte, il ne faut pas écrire comme lorsque tu parles. Les expressios comme, "c'est à dire", "etc..." ou encore l'utilisation abusive des parenthèse détruit complêtement l'unité et la beauté du texte.[/QUOTE]
C'est censé être une histoire raconté par un garde, une pensé quoi.ça explique donc les expressions disséminés dans le texte. Par contre tu as raison pour les parenthèses.Je corrigerais ça à l'occasion.




[QUOTE]Syntaxiquement, ce serait plus:
-Laur est morts sergent.
-Et merde ,l’entendis-je pester. Pas grave, On continue.

Un tiret indique qu'une autre personne prend la parole.[/QUOTE]
C'est vrai que c'est pas très correcte mais je voulais signifier qu'il prenais le temps de réfléchir sans couper à nouveau le dialoque.

-Laur est mort sergent.
-Et merde l'entendis-je pester.
Une courte pause s'ensuivit.Le sergent repris finalement la parole:
-Pas grave, on y va!

Es que c'est mieux?


[QUOTE]La première chose à penser: ne pas écrire pour écrire. Il faut raconter une histoire. Ne pas se forcer si on te demande une suite.
La seconde, avoir une idée globale, savoir où te mènera ton histoire et ce que tu veux en faire. L'exmple typique ici, c'est ton escouade qui arrive, qui tire trois balles et qui prend une pause repas. Peu efficasse, même si possible, mais c'est pas vraiment épique. [/QUOTE]
C'est vrai que la première partie est un peu bof: on arrive, on se bat et après on va prendre le thé.
Cette partie sert surtout d'introduction au reste du récit, histoire d'introduire l'histoire.La vrai suite commencera plus tard.


[QUOTE]-Je vais éviter de tout purger, je trace juste les grosses partie que tu pourrais améliorer. Et dans celles-ci figure également le récit de pourquoi la GI se bat. Je suppose que tu as réagi au poste de Silverlord, mais de manière trop brutale. C'est à dire que tout d'un coup, un chef se pointe et leur raconte tout. Pourquoi leur chef ne pouvait-il pas le dire? Tant de détails incohérents. Celà dit, si à la fin il répondait à la question, qui n'était pas: pourquoi on fait la guerre, mais plutôt qu'est-ce qu'on fait dans ce coin de la ville.[/QUOTE]
C'est vrai que, à la suite du poste de Silverlord, j'ai écrit une petite suite (assez maladroite je l'avoue). Par contre je ne comprend ce que tu dis à propos d'un officier qui arrive et qui leur explique tout!
Ils ne savent rien du tout et l'officier ne leur à rien dit. Ils sont juste au courant de la raison du conflit mais ne savent pas ce qu'ils font ici ni pourquoi.


[QUOTE]Quoiqu'il en soit, je ne pense pas que tu sois mauvais, il y a du potentiel et l'histoire peut devenir captivante. Il ne faudra juste pas hésiter à travailler et retravailler, y compris les premiers post, quitte à changer certaines partie ou à modifier l'intrigue.[/QUOTE]
Merci, j'essayerais de m'améliorer et de modifier la première partie .

La suite viendra peut-être cet après-midi mais il y à plus de chance que vous l'ayez en début de semaine prochaine (je suis abscent ce week-end).
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[quote]-J’aurais une question, continua-t-il. Es que vous savez ce qu’on fou ici ?
-Ici, dans ce bâtiment ?,demandais-je.
-Oui, mais aussi ce qu’on fout sur cette putain de planète.
-Vous ne savez pas ?,lui demandais-je, surpris.
-Nan,on est arrivé ici la semaine dernière et depuis on moisi ici à vous attendre.En plus le lieutenant ne veut rien nous dire.
-Je vais essayer de vous résumer les faits alors.
Le conflit pour Icaare a commencé il y a près de 2 ans.La corruption du chaos s’est insinué dans les bas-fonds des ruches, entraînant avec elle une partie de la pauvre population de la planète. Lorsque le peuple s’est finalement révolté, [/quote]

Cette partie est maladroite dans ce cas. Le GI demande: j'aimerais savoir ce qu'on fait dans le coin et ce qu'on fait sur cette planète. Ensuite le chef répond: je vais résumer. Et là s'ensuivent les explications. Sauf que comme c'est présenté on a l'impression que c'est l'officier qui parle. Or à priori c'est le narrateur.
C'est pour ça qu'il est extrêmement important de respecter du début à la fin les codifications des dialogues. Ici j'ai cru à une erreur de ta part. Quoiqu'il en soit le récit en lui même devrait être raconté par le caporal.
D'autre part, il serait plus logique que: pourquoi il sont sur la planète soit dit dans le début, premier post, de ton texte, et que le caporal explique ce qu'ils font dans le coin. Pour la simple et bonne raison, que même si logiquement un GI peut ne pas savoir pourquoi il fait ceci ou celà. Mais pour le lecteur, c'est beaucoup plus simple pour le plonger dans l'ambiance et le faire adhérer de suite.

Je maintiens le fait qu'il serait plus logique d'avoir une autre activité que manger. P'tite pause de 10 min avant de repartit, mais pas sortir le plateau repas en pleine guerre dans un lieu peu sécurisé, et au beau milieu des combats.

Pour ce qui est de tes autres décisions, je les respectes, même si je pense que l'on peut faire parler un soldat sans pour autant que le vocabulaire de la narration en pâtisse.


Et heureux que la critique te soit de bonne augure et non une condamnation =) Modifié par Artharian
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Après une courte pause, me voici de retour pour vous présenter la suite de mon récit.


[QUOTE]Cette partie est maladroite dans ce cas. Le GI demande: j'aimerais savoir ce qu'on fait dans le coin et ce qu'on fait sur cette planète. Ensuite le chef répond: je vais résumer. Et là s'ensuivent les explications. Sauf que comme c'est présenté on a l'impression que c'est l'officier qui parle. Or à priori c'est le narrateur.
C'est pour ça qu'il est extrêmement important de respecter du début à la fin les codifications des dialogues. Ici j'ai cru à une erreur de ta part. Quoiqu'il en soit le récit en lui même devrait être raconté par le caporal. [/QUOTE]
Je crois que l'on ne se comprend pas trop sur ce passage. C'est bien le garde qui raconte l'histoire (le héros quoi!) et pas l'officier.De plus le narrateur est également le personnage principale.

Je voulait également savoir, es qu'il vaut mieux avoir une suite asser courte mais plus régulièrement ou des suites plus longues mais de façon plus aléatoire?
Quand j'aurais le temps j'essayerais de modifier mon texte en expliquant les raisons du conflit au début du texte et en virant le partie gouter :skull: .
Sans plus attendre, la suite (asser courte certe):



Chapitre 2 :seul…


Guidés par nos deux officiers, la troupe que nous formions avec les snipers marchait dans les ruines, sans objectif apparent.Nous étions désormais une vingtaine en comptant les officiers, le sergent, les sept survivants de mon escouade et moi ainsi que dix snipers et leur officier.
Bien que nous marchions depuis bientôt trois heures, nous n’avions pas vu signe de vie dans la cité. Les rues succédaient aux rues et les ruines succédaient aux ruines sans changements apparents. C’est pourquoi nous fûmes totalement pris au dépourvu lorsque l’attaque finie par arriver. Au détour d’une rue, nous tombâmes nez à nez avec un important contingent ennemi. Personne ne sut comment régir, paralysé par la peur et la surprise. Un combattant ennemi leva finalement son arme et appuya sur la gâchette.Une grêle de projectiles solides s’abattit sur nous. Prenant l’initiative, je me mis à hurler tout en courant vers le bâtiment le plus proche :

-À couvert ! Tout le monde à couvert !

Me retournant une seconde, je vis quatre des notre, le lieutenant compris, s’écrouler, truffés de plombs.Les survivants étaient derrière moi. Tout en pénétrant dans un bâtiment, je me remis à hurler :

-Dispersez-vous ! Touts le monde prêt à se battre !

Arrêtant ma course, je m’agenouillai derrière un bureau et pointa mon fusil vers la porte. Lorsque le premier combattant ennemi arriva devant cette dernière, nous étions prêt à l’accueillir. Une dizaine de rayons lasers partirent de différents coins de la pièce où nous nous étions repliés. Le combattant ennemi (où plutôt ce qu’il en restait) s’abattit lourdement sur le sol.
Trois autres renégats subirent le même sort avant que plus personne ne se présentât. Scrutant toujours l’entrée, j’entendis quelque chose rouler près de moi.Baissant les yeux, je vis qu’une grenade s’était bloquée contre ma botte. Je l’attrapai et la jetai le plus loin possible. Elle explosa en l’air, à moins de dix mètres de moi. Le souffle de l’explosion me jeta au sol et je sentis quelque chose m’entailler la joue. Je tentai de me lever, mais mes forces me quittaient et je perdis connaissance.

Lorsque je revins à moi, un silence surnaturel régnait dans la pièce. Je saisis mon fusil qui gisait à côté de moi et m’agenouilla. Ma vision était brouillée par le sang qui coulait de ma blessure. Je portais ma main ma joue gauche et sentit une grosse entaille qui la traversait de la pommette gauche jusqu’au menton. La plaie avait apparemment saigné, mais le flot de sang semblait s’être tarit.
Je m’essuyai le visage avec ma manche et retrouva une vision ordinaire. Je pus voir que la pièce était désormais vide. Il y avait des dizaines de douilles dispersées sur le sol ainsi que du sang qui maculait les murs et le sol mais pas trace de cadavre ni de survivants. Je vérifiai que mon fusil était armé et partit en quête d’explication.Une fois arrivé à l’extérieur, je pus voir que la rue était devenu un véritable charnier ;des cadavres jonchaient les décombres, la plupart étaient mutilés. Il y avait autant de corps impériaux que renégats et les 2 étaient dans le même état.
Je pus apercevoir le corps du lieutenant sniper, affalé sur un renégat, littéralement éventré. Je dus détourner les yeux. J’entrepris de compter les corps afin de voir s’il y avait d’éventuels survivants, j’en dénombrai 13. Cela signifiait que 6 autres impériaux étaient toujours en vie, quelque part dans les ruines.
Avant que je puisse décider quoi faire, un hurlement déchira le silence. Je me retournai brusquement et vit que 2 renégats couraient dans ma direction, couteaux et machettes en main. J’eu juste le temps de lever mon fusil laser devant moi que le premier renégat frappa. Le coup entailla mon fusil en trancha l’alimentation du chargeur. Je lui lançai l’arme désormais inutilisable à la figure. Je tirai mon couteau de son étui et frappa mon second assaillant. La lame lui perfora l’abdomen et une partie de la poitrine. Le cadavre s’effondra sur moi, me jetant au sol et me bloquant sous son poids.

Le premier renégat s’approcha lentement de moi, désormais sur de sa victoire. Je tâtai le sol à côté de moi à la recherche d’une arme quelconque pour me défendre et fini par toucher quelque chose. Je tournai la tête et pus voir que c’était l’épée énergétique du lieutenant, la lame grésillait encore.
Je saisis la poignée d’une main et projeta la lame en un long arc de cercle au-dessus de ma tête. Un flot de sang m’aspergea.
Levant les yeux vers le renégat, je vis qu’il se tenait toujours devant moi, immobile.Lentement, le corps s’effondra, la tête séparée du reste de son corps. J’entrepris alors de me dégager du cadavre qui m’entravait et sauta dans un trou d’obus.
Je restais prostré dedans de longues minutes afin de me remettre de mes émotions et de décidé de la suite des évènements. Finalement, je sortit du trou, récupéra un fusils abandonné et m’enfonça dans le dédale de rue afin de retrouver mes camarades. Modifié par LECADIEN
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Le récit est plutôt bien, quoiqu'un peu classique mais il y a deux trois trucs qui me chifonnent:
-Leur sergent leur dit que la plupart d'entre eux vont voir leur première bataille mais est-ce une bonne idée d'envoyer des novices affronter le chaos alors que des vétérans auraient beaucoup moins de risques d'être corrompus et seraint sans doute plus préparés à voir l'horreur du chaos?
-Tu dis que le soldat a vu son sergent tomber sous les balles au détour d'une rue alors comment se fait-il qu'il trouve son épée énergétique dans un batîment?
-Essaye d'éviter les chiffres dans ton récit (ex: les2 autres)


Bonne continuation. Modifié par Skarbrand l'éxilé
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  • 2 semaines après...
Merci de ton commentaire Skarbrand.

[QUOTE]-Leur sergent leur dit que la plupart d'entre eux vont voir leur première bataille mais est-ce une bonne idée d'envoyer des novices affronter le chaos alors que des vétérans auraient beaucoup moins de risques d'être corrompus et seraint sans doute plus préparés à voir l'horreur du chaos?[/QUOTE]
Mais pourquoi risquer la vie de vétérans alors qu'on a de la chair à paté à gogo?C'est l'une des plus vieille technique de combat de l'impérium: peut importe le nombre de mort du moment que les objectifs sont atteints.
En plus t'as vu le sergent! Il a pas un caractère de rebelle et le premier garde qui fait mine de rejoindre le chaos regrettera qu'il n'y ait pas de commisaire à proximité pour l'exécuter.


[QUOTE]-Tu dis que le soldat a vu son sergent tomber sous les balles au détour d'une rue alors comment se fait-il qu'il trouve son épée énergétique dans un batîment?[/QUOTE]
Il a vu le [u]lieutenant[/u] mourir dans la rue.Après s'être évanouie, il est ressortit dans la rue, ce qui explique le fait qu'il ait retrouvé le cadavre.
Le sergent est donc encore en vie (j'en aurait besoin plus loin dans l'histoire).

Et maintenant une suite. J'espère qu'elle vous plaira:



Je ne sais durant combien de temps j’ai erré dans la cité déserte en quête du reste de mon escouade. Des heures surements ! Les rues se succédaient, toutes identiques. Les seuls choses qui m’indiquaient que j’avançais bel et bien étaient les quelques places disséminées dans la ville et les traces de combat. J’avais vu des horreurs que je n’aurais jamais pu imaginer: au détour d’une rue, je suis tombé sur des cadavres positionnés afin de représenter des parodies de bataille.
Un garde impérial tirait, à couvert derrière un pan de mur. Il semblait vivant et seul le trait rouge qui barrait son torse indiquait le contraire. Sur une place, une compagnie blindée trônait fièrement, en apparence prête à la bataille. Son équipage était là aussi, cloué aux parois de leurs véhicules.
J’ai même aperçu un astarte en armure bleu pendre, cloué à un mur. Le premier indice du passage de mes amis était un cadavre, avachi dans un égout. Je retournai le cadavre et vit apparaître le visage de Rannion, désormais couvert de boue et en partie décomposé. Sa radio manquait. Un aquila peint avec un liquide rouge, probablement du sang , était visible sur le mur. Mes camarades semblaient pressés et n’avaient pas eu le temps de l’enterrer. Je récitais une courte prière à l’attention de l’Empereur pour qu’il ait pitié de l’âme de Rannion et couru dans la direction que je pensais être celle prise par mon escouade.

Je trouvai une seconde trace de leur passage trois rues plus loin. Une gourde, désormais vide, gisait abandonnée sur le béton.
Je reconnus celle de Rannion. Mes camarades ne devaient pas avoirs laissés grand chose à l’infortuné soldat à l’exception de ses vêtements. Près d’une demi-heure après cette découverte, je décidai d’une courte halte afin de me reposer ; j’avais passé la journée entière à marché et la lumière commençait à faiblir. Je choisis comme logement un immeuble plus petit que les autres et qui avait une toiture encore intacte.
Je m’installai dans un bloc d’habitation étroit, composé de trois pièces. Avant de m’endormir, j’installai un piège devant la porte : il était constitué d’une grenade dont la goupille était attachée à une corde, il suffisait que la porte frappe la corde pour que la grenade soit dégoupillée et qu’elle explose à la face de l’intrus, me réveillant par la même occasion. Une fois satisfait de mon bricolage, j’allais me coucher dans la pièce la plus éloignée de la porte.

Une déflagration retentit soudain. Je me réveillai en sursaut et portai instinctivement la main vers mon arme. Un rapide coup d’oeil vers la porte m’indiqua que ce n’était pas mon piège qui venait de se déclancher. Je me levai prudemment et m’approchai d’une fenêtre. Le spectacle que je vis me stupéfia : des centaines et des centaines d’hommes défilaient dans la rue. La plupart étaient armés mais une bonne partie de l’assemblé semblait civile. Les tirs qui m’avaient réveillé provenaient de l’autre côté de la rue, deux Leman Russ tiraient sur la foule, créant de larges pans de vides et de dévastation à chacun de leur tir. Il me fallut quelques instants pour identifie les camps, les Lemans Russ étaient impériaux et quelques symboles impies portés sur des barres métalliques surplombaient la foule. Ce spectacle à la fois horrible et incroyable continua durant plusieurs minutes. Malgré les pertes sévères, la foule continuait d’avancer et s’approchait désormais des deux blindés. L’un deux amorça un demi-tour et s’enfui. Le second resta et c’est ce qui causa sa perte. Les renégats avaient atteint la coque du véhicule et commençaient à l’escalader. Ils défoncèrent les trappes à coup de grenades et neutralisèrent les armes de la même façon.
Le Leman Russ désormais impuissant tenta de se dégager, broyant ainsi de nombreux autres traîtres sous ses chenilles, mais il finit par s’arrêter lorsqu’un tir chanceux atteignit son pilote. Le malheureux équipage fut arraché de force à son véhicule par et écartelés sans autre forme de procès. Des renégats en uniformes de soldats des fdp prirent places dans le véhicule désormais vide et entreprirent de le vider de tout ce qui était encore récupérable. Tout en regardant la scène, je me demandai pourquoi le premier char avait abandonné son compagnon. J’eu ma réponse quelques instants plus tard. Le sol et les murs ont soudain commencé à vibrer. Le second signe fut le bruit des moteurs qui s’entendait par-dessus les cris de la foule accompagné d’un petit nuage de fumée qui se formait au-dessus des immeubles. Soudain, un Leman Russ apparu à l’endroit même où avait disparu le premier char quelques minutes plus tôt. Il fut rapidement suivi d’un deuxième, puis d’un troisième et de nombreux autres véhicules. Au total neuf Leman Russ étaient sortis de la rue.

Ils tournèrent tous leurs canons vers les renégats qui s’étaient tous agglutiné autour de la carcasse du véhicule et ouvrirent le feu dans un ensemble parfait. Projectiles solides, lasers, obus et plasma fondirent vers la foule. Les cris de rage et de fanatisme furent remplacés par des hurlements de peur ou de douleur tandis que les traîtres se faisaient massacrer. Une énorme déflagration éclaira la rue sombre lorsque le Leman Russ immobilisé explosa, sans doute touché par un obus. Des centaines de cadavres gisaient déjà à terre mais de nombreux autres renégats étaient toujours debout et s’enfuyaient dans des rues adjacentes ou se barricadaient dans des bâtiments. Lorsque la compagnie blindé se rendit compte que ses proies lui échappaient, il prit pour cible les bâtiment afin de déloger ses habitants. Lorsque je me rendis compte que j’étais moi-même dans un de ces bâtiments, je palis et me précipitai vers la sortie.
Je désactivai en hâte mon piège et couru en direction des escaliers. Derrière moi, le bloc explosa, me projetant au sol. Je me relevai tant bien que mal et entrepris de descendre les escaliers. Un autre obus pulvérisa l’étage au-dessous de moi et, emporté par mon élan, je ne pus m’arrêter à temps. Je tourbillonnai un instant dans le vide, puis heurta le sol avec violence. Le calme se faisait autour de moi et ma vision se teinta de rouge.
Ma dernière vision fut un pan de mur qui me tombait dessus et soudain, plus rien. Modifié par LECADIEN
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Pas mal, moins de fautes...

Bon c'est l'histoire typique du GI : un conflit contre le chaos dont on ne comprends rien, un héro courageux mais un peu bêbête (après avoir balancé l'épée energétique à la face du régnégat, il ne s'est pas dit oh ! tient, l'épée énérgétique du sergent, si je la prenais... Elle me serait sûrement utile pour buter un ou deux gus...)
Mais le héro sait aussi prendre l'initiative en raflant le comandement à un caporal durant une petite fusillade.

Bref c'est pas original.
Mais si tu y mets assez de neurones, tu peut arriver à quelque chose d'originale.
J'attends la suite...
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  • 3 semaines après...
Merci de ton comm Silver,
je prendrais le temps d'y répondre demain car j'ai pas vraiment le temps.
Une autre suite "particulière" ou la trame de l'histoire commence à se dessiner.
Dites moi si vous aimez car j'ai un autre passage différent mais le final est plus ou moins pareille: le héros est béni par l'empereur.



Je flottais comme dans un rêve. L’espace autour de moi ne cessait de changer : rouge, bleu, noir, vert, jaune ou toutes ces couleurs à la fois. Il arrivait également que des formes éphémères apparaissent : par ici une gigantesque citée-ruche qui est remplacée la seconde suivante par une sorte de pyramide, par là une mer de sang qui semblait s’étendre à l’infini devint un désert une fraction de seconde après son apparition…
Je ne sais combien de temps je suis resté ainsi, à regarder ce fabuleux spectacle : une seconde ? une heure ? Quelques semaines ? Des siècles mêmes ? Je me sentais hors du temps.
Un détail fini cependant par me distraire : des vaisseaux apparaissaient de manière sporadique mais semblaient durer plus longtemps que les autres apparitions. Je vis ainsi des vaisseaux impériaux, chaotiques, orks ainsi que d’autres appareils dont la forme m’était inconnue. Je focalisai mon attention sur un vaisseau qui me semblait familier, un croiseur impérial. C’était lui qui m’avait emmené sur la planète et avec lequel j’ai voyagé durant quelques mois. Le « proud of emperor » était son nom.
Je me rendis enfin compte de l’endroit où je me trouvais, c’était le Warp !
Tout ce que je voyais était réel et non pas sortit de mon imagination. Ces fantômes et ces navires étaient également réels, en plein saut Warp pour ces derniers.
Cette pensée aurait dû m’effrayer, où au moins me surprendre, mais non ! C’était comme si je m’y étais préparé toute ma vie. À peine ébranlé, je reportai mon attention sur le fier navire que je connaissais si bien. Un spectacle horrible et inimaginable se présenta à moi et me pétrifia : un tentacule sortit d’on ne sait où se tenait au-dessus du vaisseau. Les 2 semblaient minuscules étant donné la distance à laquel je me trouvait mais, comparer à la taille du vaisseau, le tentacules devait faire la taille d’une planète moyenne. Ce dernier s’abattit lentement et commença à enserrer le navire.
Ne pouvant laisser son équipage mourir sans réagir, je décidais d’y aller, bien que je ne sois pas d’une grande utilité face à un tel monstre. À ma grande surprise, cette idée avait à peine effleuré mon esprit que j’y étais déjà, j’avais parcouru des milliers de kilomètres en une fraction de seconde !

Le vaisseau se dressait devant moi, immense, et le tentacule, encore plus gigantesque, l’enserrait désormais totalement. J’imaginais le désarroi, la surprise et la peur de l’équipage, arrêté en plein voyage Warp. Des nués de démons se pressaient contre les flancs du malheureux vaisseau. Ils étaient en train de le démanteler pièce par pièce et massacrais son équipage. En moins de temps qu’il ne m’a fallu pour réaliser ce qu’il se passait, il ne restait plus du fier navire que des débris et des cadavres, flottant dans le Warp. Les démons disparaissaient peu à peu, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que quelques centaines.
Bouillonnant de rage, je voulus m’avancer pour venger mes amis lorsqu’une poigne de fer, inébranlable, m’enserra l’épaule. Lentement, je tournai la tête, sûr de tomber nez à nez avec une autre horreur issu du Warp. Ce que je vis me stupéfia, un être gigantesque dont la main me couvrait entièrement l’épaule me surplombait. Son visage était humain et d’une beauté incomparable. Vêtu d’une armure d’or, il scintillait littéralement de l’intérieur. Le dieu me sourit :

-il ne sert à rien de te sacrifier mon fils, cela ne les fera pas revenir.

Sa voix mélodieuse résonna dans ma tête, elle me fit perdre la tête et je sentis que je ne pourrais rien refuser à cet homme, si seulement s’en était un. Mais qui était-il donc ?

-Tu te demande certainement qui je suis, continua-t-il comme s’il avait lu dans mon esprit.

-Je suis l’Empereur.

Contrairement à la découverte que j’avais faite à propos du Warp, cette nouvelle me laissa pantois. Mes genoux se mirent à flageolés et je me crus sur le point de perdre la tête. Le géant poursuivi :

-Tu est certainement le premier être vivant auquel je m’adresse depuis des millénaires. Chaque fois qu’une telle occasion s’est présentée j’ai fait de cette homme un l’élu qui me représentera dans l’univers matériel. Se sont toujours des périodes heureuses pour l’imperium et les élus célébrés comme des saints.
Rentre donc chez toi, et célèbre ma parole comme je te l’ai demandé.

L’empereur me lâcha l’épaule et tout se mit à tourbillonner autour de moi. J’aperçus une dernière fois le visage souriant de l’empereur avant que mon monde ne bascule. Modifié par LECADIEN
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Merci,
en fait le récit est le même au final sauf que le héros découvre ses pouvoirs accidentellement et dans le monde "réel".
J'essayerais de la mettre ce week-end mais je ne promet rien.
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  • 3 mois après...
Salut tout le monde,
après quelques mois d'absence dû au manque d'inspiration mais également au manque de temps, je me plonge à nouveau dans l'écriture.
Finalement pas de suite alternative car je l'ai perdu et n'ai pas envi de la réecrir, et après tout rien n'est tiré par les cheveux dans l'univers 40K ;)
Et hop, on commence avec un petit texte pour introduire le chapitre 3:


[i][b]Chapitre 3: l'élu[/b][/i]

[i]Heeooooo, tu m'entend? Revient mon gars.[/i]

Un sifflement strident résonnait dans ma tête et le moindre son me faisait grimacer de douleur. J'ouvris difficilement les yeux et distingua une silhouette penché au dessus de moi. Cette dernière s'écria:

[i]Il est en vie, Rike! Viens m'aider à le transporter[/i]

Je me senti agripper son les aisselles par des mains puissantes et tiré hors des décombres. Je fus traîné sur ce qui me semblait des kilomètre mais qui devait être quelques dizaines de mètre puis on m'allongea sur le sol, la tête posé contre quelque chose de mou, probablement un sac. Une main me palpa le corps, s’attardant sur ma cheville avant que le contact ne cesse. Des voix lointaines retentirent. La voix de mon sauveur repris sans que j'ai le courage d'ouvrir les yeux pour regarder mon interlocuteur.

[i]Je suis le lieutenant colonel Matt du 28ème blindé Cadien. T'a une une chance pas possible de t'en sortir avec seulement une cheville foulé d'après le médecin.[/i]

Malgré la douleur j’esquissais un sourire, si seulement il savait... Je senti mes sens revenir peu à peu, d'abord mon audition, puis le toucher et enfin le goût. Ce n'était pas le réveille le plus agréable que je puisse imaginer. Un goût acre me restait dans la gorge et mes lèvres craquelés avait un arrière goût de sang et de poussière. Le toucher n'était pas plus agréable, mes mains couturés de contusion m'élançaient violemment au contact du sol rocailleux et poissé de sang. Après quelques minutes je pu ouvrir les yeux et distingua enfin mon sauveur. Vêtu de l'uniforme gris clair des tankistes, il arborait des galons d'officier sur ses larges épaules. Son visage fermé et dur reflétait néanmoins une grande bonté d'âme et le souci de ses hommes, sinon pourquoi aurait-il pris la peine de me sauver? Un képi reposait sur ses cheveux coupés ras. Me voyant ouvrir les yeux il sourit et, sortant les mains de mon champs de vision quelques secondes, porta une gourde à mes lèvres. Sans un mot j'acceptais et je senti le liquide froid me couler le long de la gorge. Ce dernier me rendit quelques forces en achevant de m'éclaircir les pensés et je me mis à balbutier:

[i]Mer...merci monsieur. Sa va....dé...déjà beaucoup mieu.[/i]

Sentant le froid s'emparer de moi à nouveau je levai légèrement la tête et murmura à l'oreille de l'officier:

[i]L'emp...l'empereur...il...il m'a parlé. Le warp, tout puissant, il faut se battre...
[/i]
Et je m’évanoui pour la seconde fois consécutive. Modifié par LECADIEN
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Ah, ça m'a l'air intéressant. Je lis pas de black library mais je trouve ça entrainant en plus c'est une guerre urbaine, ce que je préfère.

Perso je trouve l'histoire cohérente et plutôt bien construite, mis à pars le passage avec l'empereur. Le faire juste apparaitre ne serait-il pas mieux? Histoire de faire comprendre implicitement que ton héros est l'élu plutôt que de le dire comme ça "pouf".

Agresang
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Merci de ta réponse ;)

[QUOTE]Perso je trouve l'histoire cohérente et plutôt bien construite, mis à pars le passage avec l'empereur. Le faire juste apparaitre ne serait-il pas mieux? Histoire de faire comprendre implicitement que ton héros est l'élu plutôt que de le dire comme ça "pouf".[/QUOTE]
Ce que tu veut dire c'est que je m'arrête avant le discours de l'empereur? je trouve également sa plus logique car en fin de compte j'imagine mal l'empereur parler comme si de rien n'était.

[QUOTE]Ah, ça m'a l'air intéressant. Je lis pas de black library mais je trouve ça entrainant en plus c'est une guerre urbaine, ce que je préfère.[/QUOTE]
Merci, et pour la guerre urbaine tu risque bien d'être satisfais par les prochains chapitres même si l'échelle du conflit va aller en croissant...

La suite:

Lorsque j'ouvris les yeux, le ciel pollué de la ruche avait disparu, remplacé par une toile verte. Tournant la tête je vis des lits de camps disposés de chaque côté de moi, d'autres gardes allongés dessus. J'étais dans une infirmerie. M'ayant sans doute vu tourner la tête, un garde avec un casque sertit d'une croix rouge s'approcha de moi.

[i]Alors, on est revenu d'entre les morts on dirait?[/i]

Il rit de sa plaisanterie et s'approcha pour prendre mon poul. Relevant la tête il me frotta la tête et me dit:

-[i]C'est bon mon gars, tu vas mieux. C'était sans doute la fatigue. Tu peut te lever?[/i]

-[i]Sa devrait aller, articulais-je péniblement[/i].
Prenant appuis sur le bras du médecin je m'assis sur le lit et pu observer l’intérieur de la tente. La tente devait faire une trentaine de mètres de long et comportait des dizaines de lits de camps alignés contre ses parois. La plupart était occupés par des soldats en plus ou moins piteux états. Certains avaient un bras dans le plâtre mais d'autre avaient des bandages ensanglantés sur le visages ou des membres en moins. J'avais apparemment rattrapé la ligne de front. Je fis un dernier effort et me leva sous l'oeil attentif du toubib. Je ressenti un léger sentiment de vertige qui s'estompa au bout de quelques secondes. J’esquissais un pas, puis un autre et enfin le garde pris le risque de me lâcher le bras. J'attrapait mon fusils laser posé à côté de mon lit et m'en servit comme d'une canne pour quitter la tente.Le médecin me héla:

[i]He, t'a pas encore l'autorisation de sortir![/i]

Je me retournait pour lui faire face et le garde s'arreta net, les traits figés dans une expression de surprise. Je ne sais pas ce qu'il vit sur mon visage mais il ne dis plus un mot. Je posais ma main sur son épaule et dis d'une voix calme:

[i]Ne t'en fais pas, l’empereur veille sur moi.[/i]

Son visage s'éclaira comme si mes paroles avaient eu sur lui un effet apaisant et réparateur. Il fis un pas en arrière, me fis le signe de l'aquila et s'éloigna. Fort d'une détermination nouvelle je quittais la tente.
Une odeur d'essence et de poudre me cueilli à l’extérieur, des dizaines de gardes couraient autour de moi vers une destination inconnu. Apercevant un léger promontoire, j'escaladais la butte pour voir la cause de cette agitation. Une scène digne de l'apocalypse se dévoila à moi. Des gardes impériaux se massaient par escouades entières contre une butte de terre qui montait en pente douce limitant une gigantesque place. D'autres étaient allongés contre cette même butte et tiraient chargeurs sur chargeurs. Les rayons rouges traversaient la place pour aller frapper la foule rassemblée de l'autre côté. Des milliers et des milliers de civils, de fdp et de gardes renégats traversaient la place en hurlant et en courant. Ils se faisaient fauchés par dizaines mais rien ne ralentissait cette marée humaine. Les gardes reculaient peu à peu, effrayés par cette incroyable spectacle et encore plus par le sort qui les attendaient si la foule les atteignaient. Pris d'une soudaine inspiration, je descendis de promontoire et me dirigeai, toujours boitillant, vers le butte. Une fois arrivé à ces pieds, je saisi l'épée tronçonneuse d'un officier mort et me hissa au sommet de la butte. Je me tournais vers les gardes rassemblés à mes pieds et hurla:

[i]Soldats, aujourd'hui est venu l'heure de la rédemption, les traîtres payeront pour leurs crimes. POUR L'EMPEREEUUURRRR!!!!![/i]

Je me retournais et chargeais la foule, désormais proche de quelques centaines de mètres. Arrivé à une dizaine de mètre des hérétiques j'allumais mon épée tronçonneuse et et la leva, bien décidé à vendre chèrement ma vie. Et soudain heurtais la foule. Le chaos était indescriptible, je frappais à droite, à gauche, tailladant la foule et coupant sans distinction bras, têtes et torses. Les cadavres s’entassaient à mes pieds tandis que toujours plus d’hérétiques se jetaient sous ma lame. Soudain une clameur s'éleva au point de couvrir les hurlements de la foule. Je jetais un furtif coup d'oeil derrière moi et aperçu des centaines de gardes escaladés la butte et courir dans ma direction, baïonnettes au canon. Les hérétiques commençaient à hésiter, leurs chants se faisant moins forts et plus sporadiques. La ligne impériale atteignit enfin le foule et le massacre commença. Les rangs disciplinés des impériaux avançaient, enchaînants les salves de laser et éliminant les survivants de leurs baïonnettes. Des milliers de civils mourraient, leur sang recouvrant la place d'une couche vermeil et leurs corps bloquant l'avancé des impériaux. Mais des milliers d'hérétiques étaient toujours présents et la bataille ne faisait que commencer. Modifié par LECADIEN
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Voila une courte suite:


Mes gestes étaient mécaniques, frapper à gauche, parer à droite... Je ne sais depuis combien de temps je me battais ni combien d'hérétiques avaient péris sous ma lame. Autour de moi c'était un véritable carnage, les rangs des impériaux avaient volés en éclats face au nombre et à la férocité des renégats. Désormais chaque garde se battait pour sa survie et des centaines de combats individuels se déroulaient sur la place.
Le seul semblant d'ordre était autour de moi. Quelques escouades tenaient toujours et se surpassaient, sans doute motivés par mon exemple. Un autre coup, un homme en moins, une frappe latéral qui coupe encore 2 renégats en tranche. J'avais désormais du mal à marcher, les cadavres formant une couche qui m'arrivait désormais presque au genoux. J'attrapai un officier qui se battait à côté de moi et hurla :

[i]Ou sont ces putains de renforts ?[/i]

[i]Ils arrivent monsieur!, me répondit-il.[/i]

Monsieur, si j'avais su qu'un jour un officier m’appellerai comme sa. Le premier signe des renforts fut un léger tremblement dans le sol, les cadavres tressaillants et des piles s'effondrants, suivi d'un panache de fumée. Je souris sachant qui arrivait. Le premier Leman Russ arriva par l'entrée Ouest de la place, prenant l'armée hérétique de flanc. Je reconnu le colonel Matt qui dépassait de l'écoutille de son blindé, les mains rivés à une mitrailleuse sur pivot. Son véhicule ouvrit le feu, imité par les autres Leman Russ de sa compagnie. Ces renforts impromptus sonnèrent le glas des rebelles. Se faisant désormais massacrer sur deux flanc simultanément, ils prirent la fuite. Des centaines d'hommes moururent encore tandis que les loyalistes les pilonnaient dans leur fuite. M'approchant du Leman Russ de Matt, je saisi une poignée et grimpa sur le véhicule.
Tout en remerciant le colonel pour son arrivé, j'observais les restes du champs de bataille. Des milliers de corps vêtus de rouges jonchaient la place, désormais recouverte du d'une couche de sang de plusieurs cm d'épaisseurs sur une surface de plusieurs hectares. Par endroits on apercevait l'uniforme gris des cadiens, tranchant sur la nouvelle uniformitée du paysage. À d'autres endroits on pouvait apercevoir de larges cratères noircit laissés par les tirs des Lemans Russ. Tout à ma contemplation, je n'avais pas vu que les gardes survivants s'étaient rassemblés autour du véhicule sur lequel j'était juché. Un silence s'installa, le premier depuis des heures. Soudain un garde lava ses mains et se mit à applaudir, bientôt suivi du reste de son escouade et finalement de toute l'armée. Des centaines d'hommes couverts de sang m'applaudissaient, moi !
Un peu gêné je levait mon épée, provoquant une nouvelle vague d'applaudissement et de sifflements. Je souris pour la première fois depuis quelques jours et éclata de rire, soulagé d'être encore en vie et plein d'une force nouvelle. Modifié par LECADIEN
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  • 1 mois après...

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