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[Background] Univers du 9e Âge : Mythe de Sunna


Fenrie

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Ces textes sont extraits du Livre de Règles Complet. Ils ont été traduits par @Ghiznuk

 

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LE MYTHE DE SUNNA
Première Partie

 

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La Vierge solaire est venue, au moment où nous en avions le plus besoin.
Que Ses exploits soient gravés ici, afin que Sa mémoire ne s'efface, mais perdure à jamais.
– Le Livre des Askars, chapitre premier, extrait du Cycle de Sunna

 

C'est lors des années de glace, lorsque pâle était le soleil et courts étaient les étés, que la déesse vint à nous. En ce temps de ténèbres, les bêtes des bois, les barbares des steppes et les brutes des montagnes fondaient sur nous, et devant eux nous ployions tels les joncs devant la crue. Prince parmi cette masse de nos ennemis se dressait Bragh, le Noir Auroch, pourfendeur de cent chefs, qui brisait armures et corps de sa lourde masse.

Le peuple des Askars avait sa demeure sur la route de cette déferlante venue d'Orient. Warin, son roi, vit que tout espoir était perdu. Il rassembla cependant de braves guerriers, au nombre de nonante, pour tenir le gué sur le fleuve Gewache, afin de gagner du temps pour permettre à ses gens d'échapper à une mort certaine. La veille de la bataille le trouva en un lieu saint sur la rive, plongé dans ses prières. Il pria Ullor, Père de l'Hiver, pour qu'il envoyât le blizzard. Il pria Volund, le Forgeron, pour qu'Il affermît son bras et son dos fît d'acier. Enfin, il pria Sunna pour que son peuple pût contempler un nouveau jour. L'alarme fut donnée tandis qu'il finissait de pester contre le silence des dieux ; les bêtes survinrent au moment où le soleil se couchait.

Chacun des défenseurs vendit chèrement sa vie. Aucun homme ne tomba sans que sa lame n'eût gouté le sang ; une multitude d'ennemis tomba à leurs pieds. Mais cela ne suffit point, car Bragh à présent fit son entrée. Les Askars périrent sous sa masse, jusqu'à ce que seul le roi Warin ne demeurât entre le Noir Auroch et la berge occidentale du fleuve. Les terribles cornes transpercèrent le destrier du preux Warin, tandis que le premier impact brisa et l'écu, et le bras du roi. L'Auroch se dressa, prêt à délivrer le coup final, lorsque surgit un guerrier solitaire.

Son casque ôté, ses cheveux ruisselèrent tel un fleuve d'or jusqu'à sa taille. Warin, ébahi, contempla la femme qui s'était campée là, dans l'eau ensanglantée entre le roi et la bête. Minuscule devant l'Auroch, même la plus brave des guerrières askares n'aurait pu tenir face à cet ennemi. Mais à cet instant, l'aube se leva, avec un feu tel que nul n'en avait vu depuis une décennie. Un aveuglant flamboiement de lumière surgi d'Orient qui, dardant ses traits de l'horizon, incendia son plastron poli ainsi que sa lame. L'éclat stupéfia Bragh, à l'instant même où la femme levait le bras. Le premier coup entailla le talon de Bragh, qui s'effondra sur son genou. Le second coup plongea au plus profond de son torse, arrachant un rugissement d'agonie qui fit trembler la terre. Le troisième et ultime coup s'enfonça tout droit dans la gueule béante du monstre et de là, dans son crâne.

Avec la chute du Noir Auroch, les bêtes prirent la fuite. Bien que seuls neuf eussent survécu, les hommes du roi accoururent à Warin et le tirèrent du fleuve pour le porter devant celle à qui il devait la vie. Tous réclamèrent de connaitre le nom de leur protectrice. Alors le roi, s'agenouillant, les fit taire. Il avait reconnu ce visage illuminé par la gloire de l'aurore. Il savait que ses prières avaient été exaucées. Tout en lui offrant son épée, il leur dit : « Voici Sunna. Elle est venue. »

 

***

 

LE MYTHE DE SUNNA
Deuxième Partie

 

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La meilleure partie des hommes de Vétie était désormais unie, mais l'épreuve la plus rude restait encore à venir. Une horde d'ennemis approchait de l'Orient : de sauvages Åsklanders, de cruels Makhars sous les étendards des Dieux Sombres, et des hordes d'ogres voraces accompagnés de toutes les bêtes de leurs contrées.
– Le Livre des Askars, chapitre cinquième, extrait du Cycle de Sunna

 

Bien que les Askars eussent eu connaissance de l'héritage divin de Sunna, une tribu seule ne pouvait contenir la déferlante venue de l'Est. Du Couchant, à la tête d'une armée de chevaliers équitains, vint, en dépit des ordres de son roi, Uther de Gasconne, inspiré par les exploits de Sunna. Puis vint la reine Genoveva de la péninsule occidentale, accompagnée de nombreux archers, après que Sunna eut repoussé dans la mer le Grand Ancien et ses armées. La défaite des hordes vertes des Montagnes blanches obtint encore à Sunna l'amitié d'Arcaleone et de ses guerriers. Vinrent à leur tour les Breidars, les Gjothars, les Glaucas, et maints autres. En peu de temps, toutes les tribus de l'humanité s'étaient jointes à Sunna et à son noble dessein.

Il n'y eut que peu de temps pour célébrer cette unité, car les hordes pillardes surgirent à nouveau. L'armée de Sunna partit à leur rencontre sur les rives du fleuve Volsk. Des ennemis sans nombre se massaient sur la berge opposée, tandis qu'un nuage de fumée s'élevait des ruines des plaines autrefois fertiles. Les hommes de l'Ouest prirent courage en entendant le rugissement du puissant cours d'eau, de ses eaux en apparence infranchissables. Mais maintenant les chamanes marqués par les Dieux Sombres se dressèrent parmi les multitudes qui se tenaient là et commencèrent à incanter. Le fleuve alors gela graduellement jusqu'à finalement former un pont de glace, et le désarroi frappa les humains assemblés.

Voyant le danger croître, Warin conseilla à Sunna de battre en retraite afin de protéger ses fidèles. Mais Elle ne se laissa pas intimider. Les Åsklanders menèrent l'assaut, se hâtant de traverser le fleuve. La reine Genoveva et ses archers firent pleuvoir les flèches sur les assaillants, changeant la glace blanche en une boue rougeâtre, repoussant les sauvages dans leur élan. Alors, sur le pont de glace qui se faisait toujours plus épais, s'élancèrent les cavaliers makhars, juchés sur leurs robustes chevaux noirs, sous leurs étendards arborant l'étoile à huit pointes. Uther et ses hommes les rencontrèrent avec la lance et l'épée, et par leur vaillance et leur acier, firent tourner bride aux Makhars.

Maintenant, sur le pont désormais jonché des corps des ennemis abattus, s'avancèrent les ogres. Renforcés par de grands mammouths qui, de leur poids, firent gémir et grincer la glace, ils marchaient tels un inébranlable rempart de chair. La reine Genoveva tint le pont avec ses archers, projetant flèche après flèche, mais en vain. Une fois de plus Warin, craignant pour la vie de son peuple, implora Sunna de se retirer. Mais Elle s'avança sur la berge, brandissant sa bannière à la vue de tous. Elle la planta là dans le sol, étendit ses bras et haussa le regard vers le ciel. Répondant à son appel, les nuées s'écartèrent et le soleil se mit à luire plus vigoureusement qu'il ne l'avait fait depuis maintes années.

Baigné de lueur dorée, le pont de glace commença à s'effriter. La reine Genoveva atteignit la rive, mais nombre de ses archers, moins fortunés, furent emportés par le flot parmi de grands éclats de glace. Cependant le vaste embonpoint des ogres fut la cause de leur perte : des milliers d'entre eux disparurent dans les eaux glaciales. D'aucuns font état de ce que les chutes de Kivack furent bloquées par la masse des cadavres qui les firent déborder.

L'humanité se réjouit de ce nouveau printemps et loua sa protectrice, Sunna. Assurément, les années de glace touchaient à leur fin.

 

 

***

 

LE MYTHE DE SUNNA
Troisième Partie


La Vermine qui tenait Avras vit la force de l'humanité unifiée et trembla en ses salles de marbre. Elle voulut détourner Sunna de son but, avant que celle-ci ne la brûlât toute pour libérer la noble cité.
– Le Livre des Askars, chapitre quatorzième, extrait du Cycle de Sunna

 

Les armées de Sunna se rassemblèrent dans le palais de Warin pour y festoyer, lasses de la guerre. Alors vint l'émissaire mandé par la Vermine. Son corps bouffi était orné des plus beaux atours avrasiens ; il était porté par douze esclaves, escorté de cent gardes au poil noir. Sa proclamation résonna dans la salle : « Servez l'Empire et vous serez récompensés. Résistez et vous serez détruits ».

Les généraux de Sunna se consultèrent. Chef parmi ceux qui voulurent accepter l'offre, afin d'éviter une nouvelle guerre à leur peuple, était Warin. Arcaleone exhorta à rejeter ces termes. Tous conseillèrent l'unité pour défendre la Vétie. Sunna les écouta tous, puis se dressant, brandit son épée Sonnstahl. Sur un simple mot, les gardes furent occis, tous jusqu'au dernier, les misérables esclaves abattus, et Sunna se tint au-dessus du légat corpulent : « Voici mon message pour tes maîtres. L'aurore arrive ». Sur ce, il fut expulsé hors de leur camp, contraint de traîner jusqu'à Avras sa lourde masse.

Des préparatifs furent faits pour la guerre, et l'ost bénie par le Soleil parcourut les longues milles jusqu'au cœur des terres tenues par la Vermine, décidée à tuer le Roi des rats. Par trois fois, des armées de rongeurs furent envoyées pour leur barrer la route, si vastes qu'elles en étaient sans nombre. Les pertes s'élevèrent parmi les disciples de Sunna ; néanmoins elles ne purent les détourner de leur devoir sacré. Tant bien que mal, l'alliance se fraya un chemin jusqu'aux murailles d'Avras, et établit ses plans pour l'assaut sur la ville.

Cette nuit-là, la Vermine vint à Warin. Elle connaissait ses doutes et ses peurs grandissants, car il avait vu que peu d'hommes restaient de l'armée de Sunna, vu aussi l'aisance avec laquelle les rats renouvelaient leurs forces. Ils lui proposèrent une autre manière de sauver les Askars. L'arme qu'ils lui tendirent était si meurtrière que frappé par elle, même un dieu n'y réchapperait. Les hommes auraient le temps de se replier, un accord serait conclu. Tiraillé par ses sentiments, Warin prit la lame, bien que ses inscriptions lui heurtassent les yeux.

Au lever du jour, les humains attaquèrent la cité. Son poil rouge et sa couronne de laurier dénotant son rang, le Roi des rats se montra sur les murailles avant de se replier dans la ville. Tout au long de cette bataille, jamais Arcaleone ne s'éloigna de Sunna : Warin n'eut pas la moindre chance d'intervenir. Uther et Genoveva, comme prévu, combattirent à l'arrière-garde afin de contenir les masses de vermine qui affluaient en renforts de tous les coins de leur empire, laissant au gros des troupes le temps de briser les puissantes portes des murailles. Bientôt les combats firent rage tout autour de la cité, mais Sunna et Sa cohorte ouvrirent la voie jusqu'à la salle du trône, pour y affronter le Roi des rats lui-même.

Mais ce qui les attendait en ce lieu était tout autre chose. Entouré des prêtres et d'éclats de roche luisante, une immense créature à la fourrure rouge et à laquelle était accrochée une minuscule couronne de laurier, éclata d'un rire caverneux en désignant les braves humains. Des dizaines de vermines assaillirent la Sainte, mais de simples mortels ne pouvaient Lui porter préjudice. Des rongeurs d'élite chargèrent les hommes vertueux, et le sang jaillit. Arcaleone le premier atteignit le Roi et lutta bravement. Mais les hommes ne peuvent rivaliser avec les dieux : le Grand Rat trancha la gorge du courageux fils de Myra. Alors qu'Elle tentait de dégager Son disciple tombé, Sunna fut ensevelie sous un amas de corps noirs velus.

Dans cette confusion, voyant la fourrure du Roi des rats tachée par le sang d'Arcaleone, Warin perdit tout espoir. Les hurlements des mourants l'entouraient ; des fenêtres, il vit l'arrière-garde défaite, submergée par la marée de vermine qui convergeait maintenant vers la ville. Attrapant Son bras, il tira Sunna de dessous la pile des morts et des mourants, et Lui enfonça la lame de Vermine dans le flanc. L'œuvre des rats était accomplie ; l'épée se tordit dans sa main, et la lame qui ne L'avait qu'effleurée plongea d'elle-même jusqu'au cœur de la Déesse incarnée. Le regard de Sunna cloua Warin sur place, Son visage tout entier révulsé par cette trahison. Face à cette vue, Warin prit la fuite et par là, sortit de l'histoire de la Vétie, son nom restant à jamais synonyme de trahison. Sunna vacilla, et le Roi, triomphant, s'avança. Mais malgré Sa blessure, Elle ne faillit point, et riposta coup pour coup.

Leur combat fit rage de la salle du trône aux murs de la ville. Les rats comme les hommes cessèrent le combat pour observer le duel légendaire qui se déroulait au-dessus de leurs têtes. Chaque fois que l'épée flamboyante rencontrait le cimeterre luisant, les étincelles crépitaient. Une douzaine de blessures furent infligées de part et d'autre, mais la femme finit par chanceler. Sunna tituba, mais avec les dernières forces qui Lui restaient, Elle arracha la lame de Vermine que Warin Lui avait mise dans le corps, et l'enfonça dans le poitrail de la créature. Un hideux hurlement marqua la fin du Roi tandis que de noires vrilles se répandaient le long de ses veines ; brisé, il s'effondra dans la rue en contrebas. Tombant à genoux, épuisée par ses blessures, Sunna mourut, baignée dans la lumière dorée du soleil, sachant que la première cité des hommes avait été vengée.

Ainsi périt Sunna, l'Unificatrice, qui amena une aube nouvelle pour mettre un terme à la longue nuit, et jeta à bas les ennemis de l'humanité. Dans les années qui suivirent, Ses disciples forgèrent de nouvelles nations pour préserver Son legs. Uther devint un grand roi d'Équitaine. Les descendants de la reine Genoveva prospérèrent dans les terres de Destrie. Le nom d'Arcaleone, loué à jamais, fut adopté par les Glaucæ et les Æturii rebaptisant leur antique patrie en son honneur. Mais la plus grande des gloires fut réservée aux Askars, aux Breidars et aux Giothars qui s'unirent sous le symbole de Sonnstahl, l'Épée de Lumière brandie par notre Salvatrice, Sunna. Puissions-nous à jamais vivre dans Sa lumière.

 

Modifié par Fenrie
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Ces textes sont extraits du Livre de Règles Complet. Ils ont été traduits par @Ghiznuk

 

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LE MYTHE DE SUNNA

 

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Sur ceux qui refusent de servir Sa gloire, Elle fera pleuvoir des charbons ardents et du soufre incandescent ; ils seront condamnés à être brûlés par le feu solaire.
Cycle de Sunna. Préceptes 9:27

 

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La Légende d'Avras

 

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À tous ceux qui, à Avras, sont bien-aimés de Sunna : que l'aurore brille sur vous pour l'éternité ! Je rends d'abord grâces à ma Salvatrice au sujet de vous tous, de ce que votre foi est renommée dans le monde entier. En ce temps de ténèbres, je vous exhorte à votre tour de rendre grâces pour votre vie de bénédictions dans la cité de Sunna Elle-même. La Déesse a consacré le site de sa fondation dès le jour de l'éveil de l'homme, et d'elle fut élevé le premier grand royaume de l'humanité, un empire craint qui fit resplendir la lumière de notre race telle une torche aveuglante, surpassant même l'éclat des races aînées.

Telle fut la cité d'Avras aux temps anciens, superbe carrefour de l'Orient et de l'Occident ! Les citoyens défilaient dans ses rues étincelantes, lesquelles étaient emplies de toutes sortes de bonnes choses. Ses bibliothèques débordaient de nombreux ouvrages et en ses grands forums affluaient l'esprit et le raffinement. Son puissant gouvernement rassemblait l'ensemble des richesses de ce vaste empire. Et en son centre se dressait le Saint-Sépulcre lui-même, consacré à la Déesse du Soleil et à Son panthéon.

Avras cependant, à l'instar de toute lampe chatoyante, finit par attirer les plus vils insectes et parasites. Ses notables défaillirent sous l'influence d'abominations parmi les plus épouvantables, et finirent par adorer leur propre puissance au détriment du bien de la cité humaine. Le héros, le conquérant Gaius Dexion, avec à ses côtés sa reine sans âge venue du Sud, entra en confrontation avec le Sénat et son champion, Tibérien l'Impitoyable, et l'Empire sombra dans la guerre civile. Sunna avait détourné Son regard de ceux qui se prosternaient face aux inavouables penchants de notre race. Et au plus fort de ce conflit apparut une monstruosité qui dépassait en horreur toutes celles alors imaginées : les abjects Rois des Rats et leur infinie Marée de vermine.

Bientôt Avras fut dévorée par l'infâme pestilence, et peu après les rats, s'étant dispersés à chaque coin de l'Empire, consumaient tout sur leur passage et ramenaient les hommes à leur état primordial de misère et de servitude. Ajoutant encore à cette humiliation, les rats se proclamèrent héritiers de l'Empire, paradant et triomphant dans leur hideuse perversion des coutumes et des façons du peuple d'Avras et de ses dirigeants. De longs siècles durant, nous subîmes le joug de la vermine, et longtemps les grands autels d'Avras furent abandonnés, avant que Sunna ne revînt finalement raviver la flamme de la vigueur des hommes.

C'est sous l'aspect de la plus puissante des guerrières, telle que les rois et les princes la suivirent naturellement en tant qu'apôtres, que Sunna mena notre grande campagne contre les nombreux ennemis que nous avons récemment affrontés. Gardez toujours la mémoire du grand péril qu'a couru notre espèce, et de la menace d'annihilation qui pesa sur nous, avant que la Déesse ne menât nos armées à travers leurs lignes pour finalement rétablir Avras en tant que nôtre. Car de Sa main fut abattu l'Adversaire. Amis, n'oubliez jamais la joie de cette bonne nouvelle ! Sunna a libéré la ville sainte des hommes et des femmes, les humains résident à nouveau dans ses vastes avenues, et prient à nouveau dans le Saint-Sépulcre où repose Son épée, Sonnstahl ! Notre tâche est à présent de prêcher la bienheureuse vérité de la Déesse à tous et à toutes qui n'étaient présents pour en témoigner.


– Extrait de la Lettre de Drusus aux Avrasiens, Cycle de Sunna, 59 A.S. (date estimée)

 

***


L'humanité est condamnée par ceux qui restent inactifs ! Sunna appelle chacun d'entre nous à prendre part au combat ; ceux qui se complaisent dans la passivité pèchent à Ses yeux tout autant que les pires hérétiques. Croyez-moi, car je vous le dis au nom de notre Salvatrice, en vérité : celui qui n'est pas avec nous, est contre nous !
– Dieter von Specht, célèbre flagellant du culte Radii Solis

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  • 3 mois après...

@Fenrieà corriger dans la légende d'Avras :

« les abjects Rois des rats et leur infinie Marée de vermine.

Bientôt Avras fut dévorée par l'infâme pestilence, et peu après les rats, s'étant dispersés à chaque coin de l'Empire, consumaient tout sur leur passage et ramenaient les hommes à leur état primordial de misère et de servitude. »
(enlever majuscule à « Rats » et à « Vermine » et corriger la conjugaison dans la phrase suivante)
« C'est sous l'aspect de la plus puissante des guerrières, telle que les rois et les princes la suivirent naturellement en tant qu'apôtres, que  »
(ajouter « C'est – que »)
« Car de Sa main fut abattu l'Adversaire »
« Notre tâche est à présent de prêcher la bienheureuse vérité de la Déesse à tous et à toutes qui n'étaient présents pour en témoigner.  »
 
Merci ;)
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  • 4 semaines après...
  • 1 mois après...

Du beau boulot pour ce mythe, je tenais à le dire. On a envie de la vénérer Sunna, histoire bien dramatique. Warin on te retrouvera ! :) et j'aime les Soleils sur les bannières.

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Le 08/06/2019 à 18:57, Galamyr a dit :

Du beau boulot pour ce mythe, je tenais à le dire. On a envie de la vénérer Sunna, histoire bien dramatique. Warin on te retrouvera ! :) et j'aime les Soleils sur les bannières.

:)

 

On a retrouvé Warin, en effet… ! Quelque part dans Voyage autour de l'abysse (voir le thread d'à côté ;) )

 

L'ensemble des articles fluff du GBR se trouve sous forme de compi' fluff sur la page de Téléchargements, en-dessous des règles (ici : https://www.the-ninth-age.com/filebase/index.php?file/777/)

 

Bonne lecture ! Et merci pour les retours !!

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