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La route de la soie


Setepenmentou

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Il y a d'autres manières pour rendre le combat épique, que de faire déferler des millions de créatures faiblardes.

Aie j'ai du forcer sur tout ce qui montrait la superiorité numérique des orques par rapport aux villageois, en fait ils sont moins nombreux, mais j'aimais bien montrer la bataille d'un point de vue avantageux aux orques. Va falloir que je rectifie le tir ou alors que je fasse massacrer toute la populace (je sais pas pourquoi mais la deuxième solution est tentante)

mais le bon Feurnard l'a si gentillement fait à ma place

Je vais lire le lien qu'il m'a indiqué, ça va améliorer ce passage, comme ça je pourrais faire un peu plus "réaliste".

Modifié par Setepenmentou
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Bon, àmon tour ce me semble.

Ce texte est vraiment différent du Magicien de la Dame, car il n'y a plus cette armée, mais au contraire une quète (presque) solitaire. En celà, le texte me plait plus, mais c'est personnel.

Pour cette bataille, je la trouve, comme l'a dit Feurnard, pas assez réaliste. Fait quelque allitérations en q ou t pour représenter le fracas, rend la mort beaucoup plus présente, le désespoir un peu plus aussi... et se sera un peu mieux.

Sur ce @+

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Les orques refusaient d’arrêter le combat à cause de la nuit. Ils enflammèrent alors des maisons les plus à l’extérieur du bourg. La lune se levait mais était cachée par la fumée qui montait progressivement, des hurlements se firent entendre dans l’un des logis enflammés, l’odeur des cadavres empestait et leurs nombres accroissaient l’abominable parfum. Pendant qu’il combattait, Laurent constata que le nombre des orques s’était réduit, il avait sans doute mal estimé la taille de leur armée. Toutefois il était toujours possible que les peaux vertes soient au moins deux fois plus nombreux que les villageois, ils progressaient toujours et chaque portion de terre cédée à l’ennemi augmentait le désespoir des impériaux. Même les prières de Klaus avaient moins d’effet. Hugo était toujours sur les toits du village et abattait à bout portant les orques qui grimpaient pour l’attraper. Il fallait évacuer les villageois avant que tout ne brûle. Il parvint à ramener autant de monde que possible sur la place centrale. Les combattants tenaient toujours tête à leurs ennemis et se battaient avec l’énergie du désespoir. Laurent encourageait du mieux qu’il pouvait ceux qui étaient avec lui, chaque orque tué donnait un peu de courage à ses compagnons. Mais chaque fois qu’il reculait, leurs moral baissait également. Le chevalier de la Quête vit enfin le chef de Guerre des Orques. L’immense peau verte arrêta ses congénères à proximité.

- Humain à Garok.

Laurent comprit aussitôt la signification de cette phrase. Il releva alors le défi et lança sa monture sur son adversaire. Le chef de guerre parvint à éviter le revers de l’Épée de la Quête et le plat de sa haché désarçonna le chevalier, il renvoya son arme en direction de la tête mais Laurent fut assez vif pour parer le coup mortel. Le chevalier laissa choir son bouclier et saisit son arme magique à deux mains.

Klaus parvenait à récupérer du terrain, ses hommes se battaient comme des lions et frappaient le plus violemment possible. Les gosses tiraient avec leurs arquebuses et les puissants projectiles arrachaient les membres des peaux vertes. Le prêtre guerrier chantait des hymnes à la gloire de Sigmar pendant qu’il combattait broyant les orques avec son marteau sacré.

Laurent frappa à nouveau, l’épée de la Quête pulvérisa la hache du chef de Guerre. La puissance de l’arme magique n’égalait que le dégoût du chevalier face au peau verte. Un profond désir de vengeance s’était éveillé en lui, la village brûlait, les cadavres jonchaient le sol à tel point qu’il était impossible de faire un pas sans marcher sur un corps, la nature elle-même criait vengeance devant cette barbarie. Le chef de guerre reculait en voyant son arme réduite en miettes, mais il se ressaisit rapidement lorsqu’un orque lui lança deux haches. Le peau verte se jeta alors sur le chevalier qui n’essaya pas d’esquiver, il leva haut son épée. L’orque hurla sa rage et frappa, l’épée de la quête s’abattit sur la première hache qui venait. L’impact stoppa net l’adversaire et son arme grossière fut tranchée en deux. Immédiatement Laurent attaqua de nouveau et enfonça profondément sa lame dans le corps du peau verte. Le chef de guerre rugit et s’effondra lourdement.

La mort de leurs chef avait rendu les orques fous de rages et ils saccagèrent tout ce qu’ils pouvaient trouver. Le bourg devenait un brasier ardent dans lequel les combattants se battaient avec frénésie. La colère et la vengeance étaient perceptible sur le champ de bataille. Quand soudain un cor sonna ! Ce n’était pas celui de Laurent car il venait de l’extérieur. Tous entendirent le tonnerre et virent alors des chevaliers arriver, toute une compagnie, plus de cents chevaliers déferlaient dans les rues dévastées fauchant les orques avec leurs longues lances de cavalerie. Les habitants reprirent espoir en voyant l’élite des guerriers impériaux les secourir, il suivirent les chevaux enragés et les chevaliers furieux. Avec une rage immense, ils taillèrent en pièce le moindre orque ou gobelin sur leurs passage, si celui çi n’avait pas été préalablement percé de part en part par les lances ou piétinés par les destriers. Klaus était rassuré, la cavalerie était arrivé au bon moment, comme toujours. Continuant de prononcer des prières qui enflammaient de plus en plus le cœur des villageois. Tous poursuivirent les orques jusqu’à la forêt en hurlant leurs vengeance. Laurent blessé par le chef de Guerre sourit lorsqu’il vit les peaux vertes fuir par où ils étaient arrivés. La bataille était gagnée, mais a présent de nombreuses maisons brûlaient, il fallait évacuer toute la population. Les villageois montés sur les chevaux prenaient le plus de personnes sur leurs montures. Le tocsin sonna à nouveau pour ordonner la fuite. Tous coururent vers le Reik afin de se protéger du brasier. Les chevaliers emportaient également autant de monde qu’ils le pouvaient. Si la bataille contre les orques était gagnée, celle contre les flammes était déjà perdue car le feu avait déjà saccagé nombre de maisons lorsque les survivants arrivèrent au fleuve. La vision des maisons embrasées n’était rien comparé à l’odeur exécrable de la chair brûlée. Le feu brûla ainsi toute la nuit, au petit matin, il n’y avait plus que des ruines et des cendres à la place du bourg.

Tous furent choqués, les enfants pleuraient dans les robes de leurs mère et les hommes secouaient la tête négativement. Klaus se contentait de regarder le malheur de ces gens qui avaient tout perdu. Laurent préféra quitter les lieux et se dirigea vers le maréchal ferrand qui avait pu sauver des bêtes.

-Je suis navré que vous ayez tout perdu.

Le chevalier sortit quelques pièces d’or de sa besace.

-Il me faut vous acheter un de vos chevaux.

L’homme barbu amena une jeune et robuste jument. Laurent regarda la bête et paya une dizaine de pièces d’or.

-Chose promise, chose due messire, et votre or est le bienvenue pour prendre un nouveau départ. Dit Sigmund en souriant.

Hugo arriva avec l’arquebuse pour le rendre à son propriétaire. Le maréchal ferrand dit alors.

-Tu t’es bien battu petit, tu peux la garder, elle est à toi.

Hugo monta sur la jument qui se laissa faire docilement. Sigmund s’écria que cette bête n’avait jamais été aussi docile. Laurent répondit alors que cette jument devait bien aimer son valet. Hugo attrapa des paquets sur le destrier de son maître pour les mettre derrière lui. Le chevalier de la Quête flatta sa monture et l’enfourcha. Il n’avait plus rien à faire ici et devait continuer sa route vers l’Orient. Il quitta rapidement les ruines du bourg suivi de son valet, toujours en suivant le Reik dont les eaux calmes et bleus coulaient tranquillement à coté de champ de bataille.

(J'entend déjà les "quoi la baston est déjà finie." ^^)

Modifié par Setepenmentou
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Et bien, c'est pas mal du tout! AMHA, très bon texte, qui se lit bien, malgré quelques lourdeurs de ci de-là. Peu (ou pas) de fautes, c'est bien.

J'entend déjà les "quoi la baston est déjà finie." ^^)(

En tout cas, c'était une belle bataille bien sanglante comme on les aime! ^_^ J'ai remarqué que ça ne manquait absolument pas de descriptions. Ca mérite une suite (si possible!) avec la même rigueur sur le fond et la forme!

J'ai en tout cas pris plaisir à lire ce texte. Bonne continuation et que le Dieu des Récits t'offre sa récompense.

Modifié par Méphisto666
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Ca mérite une suite (si possible!) avec la même rigueur sur le fond et la forme!

Bah le voyage va continuer, mais comme trop de baston tue la baston, la suite sera quelque peu "calme".

Bonne continuation et que le Dieu des Récits t'offre sa récompense.

Les Muses sont avec moi ^^.

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Invité Feurnard
une mère et ses deux enfants étaient piégés par les flammes et allaient être brûlés vif
Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?
De l’autre coté du village
Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?
Tous entendirent le tonnerre et virent alors des chevaliers arriver
Solution de facilité.

Mon avis personnel est que ton texte, comme beaucoup d'autres, manque de sentiments, de caractère, de conscience, de vigueur, de vie, de tripes, de violence, de fureur !

Où est la passion ? L'orgueil, la colère, la terreur, la tristesse ou l'horreur, la prière, la ferveur, l'ivresse ? Quoi de la pitié, de la bonté, de l'humilité, de l'humanité ! Où sont le ton, le rythme, la cadence ? Abandon, irritation, offense ? Rien du rire, du pleur, de la misère, de la candeur. Ou la paresse, l'ardeur, l'abnégation, la folie même !

Mon avis personnel est que ton texte, comme beaucoup d'autres, manque de gueule et manque de style. (soit dit en passant :P )

Ce qui ne doit pas t'empêcher de poster une suite. Parce que là, je place la barre très haut, vers ce que je cherche à atteindre moi-même ( ^_^ ).

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une mère et ses deux enfants étaient piégés par les flammes et allaient être brûlés vif
Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?
De l’autre coté du village
Comment le sait-on ? Quel intérêt de le dire ?

bon ben supprimés

Solution de facilité.
-Les renforts devraient arriver au plus tard demain ce qui ne vous bloquera pas longtemps ici.

C'était déjà prévu que des renforts arrivent, c'était assez prévisible que ce soit des chevaliers.^^

EDIT: j'ai un peu modifié le passage des chevaliers.

Modifié par Setepenmentou
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accroissaient l’abominable parfum Pendant qu’il combattait,

Il manque un point

- Humain à Garok.

Ca fait classique ce duel ... Le chef des orcs contre le chef des humains, un petit duel qui va influencer le cours de la bataille :P Enfin, je vais dire un truc con : Je ne sors pas non plus de ce cliché que je reutilise aussi ^_^

Enfin bref, tout ca pour dire que c'est pas trop mal et ton personnage perd son image de brute avec son valet notament, je sais pas si c'est un bien ou un mal, ca dependra de la suite ! Donc ...

Suite !

@+

-= Inxi =-

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- Humain à Garok.

Ca fait classique ce duel ... Le chef des orcs contre le chef des humains, un petit duel qui va influencer le cours de la bataille ^_^

Enfin... Pas vraiment (puisque les orques pêtent les plomb et sont encore plus méchants), mais bon, on imagine mal une bataille avec un breto sans que celui çi se batte en duel contre un adversaire féroce et balèze.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Toujours aussi bon...

C'est vrai que l'arivée des chevaliers fait un peu solution de facilité quand même...

Il aurait été plus logique et même plus "fluff" que les orques fuient...

Enfin à part ca pas grand chose, sauf qu'une arquebuse coûte très cher et que on ne peut pas se permettre d'en donner une à un valet...

@+

-=Snikch,Suite suite!!!=-

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J’aime beaucoup cette histoire qui conte la suite du voyage de Laurent. Tu as gardé ton style agréable, léger, simple, et pourtant l’ensemble est bien meilleur que Le magicien de la Dame.

Je n’ai plus cette impression de lire le résumé d’un livre. Tu exploites bien tes idées et j’apprécie particulièrement la description de la bataille. On sent que la volonté des villageois de ne pas perdre l’emporte finalement même sur le nombre des peaux vertes.

Par contre l’arrivée des chevaliers en renforts ne me choque pas plus que cela, tu avais bien prévenu de leur arrivée avant même que la bataille ne commence. Et puis c’est un élément qui permet de mettre une fin rapide à la bataille sans plus s’attarder sur l’extermination des dernières peaux vertes et puis de passer à autre chose (le combat contre le feu).

En attendant impatiemment cette suite plus calme,

Elgalen :wub:

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Laurent et Hugo suivaient le Reik, ils ne voyaient plus les ruines du bourg et avançaient tranquillement. La jument d’Hugo avait été attachée au destrier bretonnien à l’aide d’une corde sur la selle, ainsi Laurent s’assurait que son valet ne tenterait pas de fuir avec sa monture. Le valet n’avait nullement cette idée en tête. Il examinait son arquebuse, elle était vieille mais elle était légère. Il regarda à l’intérieur du canon quand Laurent l’interpella:

-Fais gaffe, tu es suffisamment maladroit pour te tirer une balle dans la tête. Je ne veux pas avoir acheté cette jument pour rien et je ne veux pas non plus d’un cadavre pour valet.

Hugo ne dit rien. Que pouvait-il dire? Même s’il savait tirer, il était tout de même maladroit, il pensait amèrement que son maître avait raison. Il rangea son arme dans un des paquets transportés par sa monture, il y placa également les quelques munitions qui lui restaient de la bataille et qu’il n’avait pas restituées. « On ne change pas si facilement les vieilles habitudes » Se disait-il pour se justifier. Toutefois il imaginait facilement l’ire de son maître si jamais il l’apprenait. Il décida alors de dire que Sigmund lui avait donné avec l’arquebuse si jamais le chevalier lui posait des questions.

Laurent avait d’autres pensées en tête. Il fallait arriver à Altdorf, et même s’il avait fait plus de la moitié du chemin entre Marienburg et la capitale de l’Empire, il pouvait toujours y avoir d’autres évènements qui le retarderaient. Il se rappela alors Myrddin lui indiquant de partir vers l’Orient. Il se rappelait ses compagnons qui l’avaient longtemps suivit. Que pouvaient-ils penser? Croyaient-ils qu’il les avait abandonnés? Aurait-il du combattre auprès du Roi contre Morghur plutôt que d’écouter le sorcier et partir ainsi? Le chevalier chassa ces doutes de son esprit. Il n’aurait de toute façon jamais accepté que les chevaliers attachés à la bretonnie par leurs serments ne l’accompagnent lors de ce périple. La Dame elle-même l’appelait aux confins de l’Orient par la bouche de son magicien. Cette dernière pensée renforça la volonté du chevalier. Il fit presser le pas de sa monture qui fit un petit hennissement en réponse. Hugo sentait que les bêtes accéléraient. Il fit avancer sa jument à coté du destrier et pouvait lire une grande détermination sur le visage de son maître.

La matinée se passa ainsi, morne et ennuyeuse. Laurent se contentait de fixer la route, de diriger sa monture et Hugo se demandait tout le temps ce qu’il pouvait faire. Il faut dire que comme sa jument se contentait de suivre le destrier, il n’avait pas besoin de se concentrer sur la route. Il avait besoin de se dégourdir les jambes et il était dur pour lui de rester constamment assis sur sa selle sans pouvoir s’occuper. Il ne pouvait que regarder le paysage défiler lentement, des arbres plusieurs fois centenaires, des petits buissons. Le fleuve qui coulait toujours paisiblement, le soleil était bientôt au zénith.

Laurent songeait alors aux pensées qu’il avait eu ce matin. C’était la première fois qu’il doutait de ses actions et cela le perturbait quelque peu. Il chassa rapidement ces pensées de son esprit et se concentra à nouveau sur la route. Il sortait une petite carte qu’il avait achetée dans une petite ville avant Marienburg. Demain il arriverait dans la capitale, puis il aviserait. Mais à présent il était préférable de s’arrêter pour se reposer.

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Coucou! J'ai tout lu.

Alors mes impressions? Bah, c'est pas mal. :o

Il y a des bonnes choses et d'autres moins bonnes.

Points forts? (:o)

De l'imagination, une recherche de cohérence.

Une continuité dans les scènes, des descriptions sommes toutes satisfaisantes.

Points faibles? ( :wub: )

Des erreurs de concordance des temps, des fautes d'orthographe parfois.

Un manque de réalisme parfois remarquable. Mais bon, après tout le monde n'est pas Feurnard.

Donc, en gros pas grand chose de sérieux à redire. Au vue de l'écriture, je dirais que cela ne fait pas très longtemps que tu écris, mais que tu as des capacités certaines.

Continues à t'appliquer et à te relire. Cherche toi-même à t'améliorer et tout devrait aller pour le mieux d'ici quelques semaines.

ne te relâche pas et tu verras tes descriptions prendre plus de consistance, tes personnages s'épaissir, ta narration se fluidifier, jusqu'à ce que ton propre style s'affirme. Mais, de même que pour tes propres héros, la route est longue... :o

le Warza ( sérieux)

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Cette petite suite est plutôt réussie, très calme, on dirait un passeage de transition, mais il en faut. On ne pourra vraiment juger que lorsqu'on verra comment enchaine la suite.

Juste un petit point qui ne me semble pas très réaliste:

Laurent se contentait de fixer la route, de diriger sa monture
Il chassa rapidement ces pensées de son esprit et se concentra à nouveau sur la route.

Je ne crois pas qu'il soit nécessaire de se concentrer sur sa route au point que ça occupe ses pensées pendant toute une journée. Une fois qu'il a pris la bonne direction, le bon chemin, tout est bon, il n'y a pas de carrefour tous les trois pas non plus... Il serait intéressant de développer ses doutes, à mon avis ça donnerait un peu d'humanité au personnage.

Elgalen :hat:

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Salut :hat: !!!

Cette suite convaincante des aventures de Laurent m'a fait bien plaisir à lire. On voit bien que ton style s'est affermit, tant dans la rédaction même du texte et dans l'échafaudage de la trame. C'est imaginatif, bien construit, le style st bon (je me répète là :wink: ...) et je suis toujours séduit par les descriptions. J'attends donc une suite avec la plus grande des impatiences.

A++

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Bon, c'est plutot bien comme suite!!!

Outre le fait que cette bataille se termine en queue de poisson, l'arrivée de la cavalerie est quelque peu anachronique, mais je trouve que ça participe à l'humour du texte, donc, il faut garder.

Pour le voyage, il retranscrit plus ou moins bien l'ennui, c'est pas mal.

En tout cas, bravo :hat::wink::P

@+

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Houla ... 'ti problème là ! C'est quoi que cette suite hein ? J'avais meme pas vu qu'il y en avait une, je croyais qu'au départ, c'était une de tes réponses ! Alors je veux plus de ça hein ? :huh:

Bon c'est pas trop mal, tu te concentres sur le valet et sa personnalité. Un peu voleur mais conscient de ce qu'il fait. Il veut rendre service mais sait qu'il est maladroit ! Ca rend ton perso plus vivant, c'est bien !

Sinon je n'ai pas vu de fautes d'ortho ou autres donc tu maitrises bien la forme ! Alors essayes de perseverer sur une hypothetique suite !

@+

-= Inxi =-

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Tant que j'aurai pas récupéré mon portable, je pourrais pas trop faire de suite. Pour me connecter actuellement j'utilise des ordinateurs aux quatre coins de Nice (un chez moi, un à l'IUT) donc je peux pas trop continuer, l'un je travaille beaucoup dessus et j'ai un espace de stockage limité, l'autres est vieux pourri, rame à mort et on peut quasi rien faire dessus.

Désolé les gars (allez encore deux semaines environ et y'aura la suite)

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Voila pour me faire pardonner de l'attente je vous livre une petite suite pas bien longue certe mais bon ^^.

Laurent s’assit au pied d’un arbre. Il semblait assez fatigué, ses yeux étaient mi-clos et sa tête pendait progressivement. Il faut se rappeler qu’il avait combattu toute la nuit et qu’il ne s’était pas reposé depuis. Finalement le chevalier s’endormit pendant qu’Hugo posait quelques collets. Le valet une fois sa besogne terminée mena les chevaux boire à la rivière. Il dut tirer sur la longe pour forcer le destrier bretonnien, mais la jument se montra plus docile. Laurent dormait profondément et le bruit que faisait Hugo ne le réveillait pas. Pourtant une larme finit par couler sur la joue du chevalier. Lorsque Hugo passa à coté pour aller vérifier les pièges, il remarqua la trace de la goutte. C’est là qu’il vit que le chevalier avait beau paraître si fort, il n’en restait pas moins un homme ordinaire. Il regarda son maître pendant quelques secondes. Il aurait pu s’échapper s’il le voulait, mais quelque chose l’empêchait de fuir. Le valet se tira de se rêveries pour aller voir ses pièges.

Les deux premiers collets n’avaient rien pris, mais les appâts n’étaient plus là. Hugo se dit qu’il avait encore gaffé et mal posé les pièges. Le troisième en revanche avait attrapé un gros lièvre. Il se débattait encore comme un forcené pour s’extraire du collet qui l’étranglait de plus en plus. Hugo fut satisfait, mais il fallait tuer la bête, l’achever pour qu’elle ne souffre pas trop comme le disait Laurent. Il attrapa une grosse pierre et se mit face au lièvre.

« Pardonnes moi » Dit le garçon avant d’abattre la masse sur la tête de l’animal le plus fort qu’il pouvait. La bête mourut sur le coup, la cervelle broyée. Hugo détacha l’animal du piège, puis le piège lui-même pour les mettre dans le petit carnier.

Il arriva au camp tout fier de sa capture. Laurent venait de se réveiller et regardait son valet d’un regard furieux. Hugo n’eut pas le temps de comprendre, il reçut une gifle qui le fit tomber à terre.

« Imbécile, tu n’as pas attaché les chevaux, et s’ils s’échappaient, qu’est ce qui transporterai ton vilain cul ainsi que mes affaires. Sers-toi de ta jugeote. »

Hugo regardait les traits assombris par la colère de son maître et se demandait ce qui l’avait empêché de fuir cet homme.

Silencieusement ils se remirent en selle pour reprendre leur route. Ils ne dirent rien pendant le reste de la journée. À la nuit tombée, ils s’arrêtèrent de nouveau et dressèrent le camp.

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C'est vraiment pour meubler en attendant une suite que tu as fait ca !

Ben ouais, maintenant il faut que je tape les trois autres feuilles recto verso que j'avais écrite pendant ces trois semaines sans mon ordi ^_^

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Klaus parvenait à récupérer du terrain, ses hommes se battaient comme des lions et frappaient le plus violemment possible. Les gosses tiraient avec leurs arquebuses et les puissants projectiles arrachaient les membres des peaux vertes. Le prêtre guerrier chantait des hymnes à la gloire de Sigmar pendant qu’il combattait broyant les orques avec son marteau sacré.

il faut une virgule il me semble

et je ne connais pas l'empire mais qu'est-ce qu'un tocsi, est-ce une faute d'orthographe ou quelque chose d'existant?

EDIT : Pour ne pas me rendre totalement idiot: c'était pas un toci mais un tocsin, mais qu'est-ce que c'est? c'est une espèce de cloche?

Modifié par drado
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Comme Inxi...

Ca se voit que c'est de la transition donc pas grand chose à dire.

Sinon pour drado je pense que tocsi estune faute d'orthographe pour tocsin...

@+

-=Snikch=-

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