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Les Traîtres


Master Polo

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Bonjour,

Je vous présente aujourd'hui l'historique des "Traîtres", développé durant le CDA SDA-02 Le Siège du Mordor .

C'est un petit récit sans prétention, qui n'est que le copié collé des fragments d'historique que je postais et qui n'etait pas destiné à être lu en une fois .

Bonne lecture :

[i]La féroce machine de guerre de Sauron vient de se mettre en branle à Minas Ithil, d'où les Dúnedain ont été chassés. Mais Isildur est parvenu à s'enfuir et Anárion résiste à Osgiliath. Pour Sauron, il est capital d'écraser le Gondor avant que les armées de l'Arnor et des Elfes ne lui tombent dessus, sinon il lui faudra se battre sur deux fronts et se résoudre à subir une contre-attaque sur ses propres terres. Pour cela, il a besoin de temps.

Sauron sait que les armées de l'alliance des Hommes et des Elfes se rassembleront à l'ouest des Monts Brumeux, là où elles seront le plus en sécurité. Or les alliés lui manquent dans la région. Les plus proches sont les Orques qui vivent dans ces montagnes, mais il les sait peu fiables. Pour s'assurer qu'ils tenteront malgré tout quelque chose pour retarder le départ de la Grande Armée, le Seigneur Ténébreux mande auprès de leur chef deux de ses plus terribles émissaires, des Spectres de l'Anneau tout de noir vêtus. Incapable de localiser le lieu du rassemblement, sans doute protégé par un puissant pouvoir, et désireux de ne pas trop éprouver les Orques afin de leur permettre de tendre des embuscades quand la Grande Armée franchira les Monts Brumeux, Sauron décide d'opérer par la ruse.

Depuis les vallées bordant le versant occidental des Monts Brumeux jusqu'au contreforts septentrionaux des Montagnes Blanches vivent de nombreuses communautés de Gwathuirim, des Hommes de l'Ombre devenus vassaux des Dúnedain. Sauron sait que leur degré de loyauté envers ces derniers est variable, et il sait aussi que certains entretiennent une rancoeur tenace contre les fils de Númenor pour les avoir chassé de leurs terres ancestrales. Il suffirait d'une étincelle pour raviver cette haine et mettre en péril les plans de l'Ultime Alliance...

Que ce soit parmi les bêtes ou les hommes, Sauron compte de nombreux espions qui se sont activés à rechercher un groupe de Gwathuirim susceptible de satisfaire ses desseins. D'emblée, il fit une croix sur tous ceux qui se mêlaient avec les Dúnedain, tel celui vivant à Tharbad, car bien que la dissension aurait pu y germer, elle n'aurait pas été absolue. Sauron visait plutôt un groupe autarcique, rejettant manifestement l'autorité des Dúnedain. Il jeta finalement son dévolu sur un village d'habiles chasseurs qui ne comptait envoyer aucun homme pour la guerre, Forgwaith (l'Ombre du Nord en sindarin), rebaptisé Grel par ses habitants (qui usaient manifestement d'un dialecte peu commun en Terre du Milieu) et situé à l'est des Monts du Sud, à plusieurs dizaines de lieues au nord de Tharbad.

L'occasion de frapper Grel se présenta aux Gobelins lorsque pratiquement tous les hommes du village partirent pour quelques jours à Tharbad afin de débattre aux côtés des autres Gwathuirim d'Arnor de leur participation à l'Ultime Alliance, dont l'armée achevait de se rassembler à Imladris. Les débat furent houleux, les gens de Tharbad sous l'impulsion de leur Capitaine-Général étaient majoritairement favorables à une levée massive dans tous les villages. Ceux de Bree étaient divisés et réclamaient plus de temps pour se prononcer, ce dont le magistrat dúnedain en charge de présider les débats n'était pas disposé à leur offrir. Les hommes de Grel furent les seuls à oser affirmer unanimement leur hostilité aux Dúnedain en disant que si le Haut-Roi était un homme aussi juste qu'on le prétendait, il irait sauver ses fils dans le lointain Sud avec les armées de son propre peuple sans faire couler le sang d'un autre. Le malaise fut manifeste parmi l'assistance et le magistrat ne put s'empêcher par la suite de marquer un mépris tel envers la délégation de Grel que celle-ci quitta l'assemblée avant son terme.

A leur retour, les hommes de Grel virent leur village complètement dévasté et ses habitants tous tués ou disparus. Parmi les cadavres, ils découvrirent une poignée d'Ohtar, des guerriers dúnedain, percés de flèches empennées selon la façon des chasseurs de Grel... leurs propriétaires gisaient non loin au côté de femmes et d'enfants du village.La bannière bleu-grise et verte qui trônait autrefois fièrement au centre du village était à terre, déchirée par endroits et recouverte de sang... du sang de grelois.
La colère naquit dans le coeur des spcetateurs et, s'ils n'en avaient pas étés empéchés par Dromund, chef de Grel depuis plus de 20 ans, les rennomés chasseurs auraient invité la mort dans la région.
Non loin, une ombre parmis les ombres maudit le chef pour son intervention.

Il parraissait évident que les grelois avaient besoin d'aide, mais ils ne pouvaient prendre le risque que les arnoriens récidivent.Dromund décida néanmoins de mener ce qui restait de son peuple à la petite citée fortifiée de Bar Irliossel avec qui les grelois entretenaient des relations cordiales depuis toujours.
Ainsi la quarantaine d'hommes que Grel comptait encore partirent vers Bar Irliossel, suivis de près par une sombre silhouette...

A leur arrivée, les tensions nées quelques jours plus tôt étaient encore présentes dans le coeur des hommes de la région, et ceux de Bar Irlossiel, malgré leur amitié envers les grelois, les acceuillirent moins chaleureusement qu'ils ne leur était coutume.Les habitants de la citée étaient majoritèrement de sang Numénoréens mais une centaine étaient des Gwathuirim comme leurs visiteurs.
Même si Dromund était assez sage pour empécher son peuple de faire des erreurs, sa colère n'en était pas moins présente.Il manda le seigneur de la ville, qui ne tarda pas à le retrouver sur la place publique.De nombreux citadins s'étaient amassés autour des hommes et leur surprise fut grande lorsque le chef de Grel prononca les mots suivants : "Les vôtres nous on surement mentis lorsqu'ils ont assurés que les avis de chaque personne de ces terres étaient respectés !"
Son interlocuteur ne tarda pas a répondre : "Je dois admettre que l'assemblée fut assez violente sur ses paroles, mais de là à avancer de telles propos !
- Ce n'est pas de celà que je désire m'entretenir avec vous, j'aimerais savoir si vous avez une raison au fait que les corps de nos soit disant amis numénoréens soient éparpillés dans notre village, des flèches de nos défunts frêres dans le cou et nos familles massacrées ?!
- Comment osez vous proférer de telles accusations ! Je ne désire pas de trouble entre nos peuples, mais ce que vous avancez est très improbable !"
Alors qu'on pouvaient voir les grelois prêts à se jeter sur le seigneur, ce dernier, afin d'éviter toute bavure, invita Dromund à ramener les siens à l'extèrieur des murs de la cité.
Ces mots choquèrents profondéments certaines personnes présentes, les mots du chef de Grel parraissaient dénudés de sens, mais ils ne pouvaient laisser ces gens sans aucun soutien.
Alors que les grelois passaient sous la fine arche de pierre qui constituait une des entrées de la ville, ils furent rejoins par des hommes parés de noir.Ils prétendaient avoir étés bannis par les numénoréens pour avoir exprimer leur opposition à l'expulsion des grelois... malheureusement ces mots étaient empreints de fourberie car les hommes n'étaient guère des habitants de Bar Irlossiel, mais les assassins de Hâlnil, au service de Sauron...
Dromund était un homme sage, lui plus que personne chez les siens savait que la violence ne menait à rien, pourtant la laisser opérer peut avoir de bien tristes conséquences ... c'est ainsi que poussé par les conseils des nouveaux "exilés" qu'il pris une décision que certains appréhendèrent.Il prononca donc le discours suivant à la vingtaine de grelois et a ses nouveaux amis : "Mes chers frêres, ce triste jour confirme mes craintes les plus obscures ... d'après ce que m'a informé Hâlnil, le sombre ennemi dont nous avons entendu parler au sénat aurait réussi à entrer au sein des peuples de ces terres, et à les manipuler ..." un soupir sortit de sa bouche avant qu'il ne continue : "j'ai bien peur que nous ne fassions partis d'une minorité de fidèles à la paix, paix pour laquelle nous devons embrasser sa pire ennemi, la guerre".Après avoir attendu la fin des murmures il poursuivit : "J'ai toujours souhaité éviter la violence pour vous mes amis, mes aujourd'hui elle demeure notre seule voie de salut,ils nous menacent de violence ! Nous ne pouvons prendre le risque d'être pris au dépourvu ..."
Le chef fut intérrompu par le corps d'un homme de Hâlnil qui venait de s'éffondrer une flèche dans le dos.
"Cessez de souiller ces terres perfides serviteurs du mal !" cria un civil sur les remparts un arc à la main.
Déjà une demi douzaine d'arcs grelois avaient répondus au danger et le corp du jeune homme s'éfondra à l'intérieur de la cité, quatres flèches dans le buste, près du coeur, une dans le cou, et une dernière en pleine tête. Regrétant ses paroles, et croyant être responsable de cet acte, Dromund tenta d'éviter tout emballement, mais il était trop tard... les portes de Bar Irlossiel étaient ouvertes et des hommes armés en sortaient...
Non loin dans l'ombre, quelque chose se délecte du bon déroulement de son plan ...

Dromund lanca un regard horrifié vers le groupe, des Numénoréens, pour la plupart les épées dégainées, mais quelque chose dans leur comportement l'interpella ... son regard s'emplit de curiositée lorsqu'il comprit qu'ils fuyaient .On entendit soudain une grande clameur, derrière les guerrier d'Arnor couraient des hommes en armures ouvragées de couleur légèrment bleutée, et ils étaient la cause de la débandade numénoréenne .A leur tête un jeune homme, portant fièrement sur son armure le symbole de l'arbre blanc d'Arnor .
Bientôt, les numénoréens de la ville disparurent à l'horizon et Dromund, accompagné de Hâlnil, vint à la rencontre du meneur : "Que signifie ce spectacle, et qui êtes vous ?
- Je suis Cavalin, fils d'Arthédin, après votre départ, ces hommes ont tenus un discours intollérable à votre sujet, ils parlaient de trahison, j'ai donc pris la tête de ce groupe dit il en désignant la centaine d'hommes derrière lui, nous nous sommes emparés des armes à notre disposition et avons chassé ces usurpateurs qui se disent défenseurs de nos terres qui arrivent juste à nous retourner entre nous !
- Merci pour votre soutien, mais ce que vous venez de commettre, malgré les horreurs que semblent avoir commis ces hommes, me semble exagéré et nous devons craindre des représailles !
- Nous ne pouvons donc reste ici, nous ne voulions faire de morts, mais comme vous l'avez remarqué, notre action pourras être interprétée comme une provocation, et si les guerriers de cette région sont corrompus de quelque manière que ce soit nous ne pouvons courrir de risque, il faut nous exiler ...
- Les montagnes blanches ne comprennent pas que des dangers, les elfes sont partis en guerre avec leur roi, notre survie dépends peut-être finalement de cette guerre que nous avons cherché à éviter, nous sommes bien avancés sur le chemin vers l'ouest, nous pourrions tenter de les rejoindre ...
- Ne craignez vous pas que si les hommes de ce pays aient étés corrompus malgré leur sagesse, les elfes aient eux aussi succombé ?
- C'est un risque à prendre, et il est bien mince .
- Alors nous vous suivons ...
- Je vais prévenir les miens lui fit-il avec un signe de tête .
Alors que Dromund arrivait et exposait la nouvelle situation à ses amis, il ne remarqua pas Hâlnil partant vers l'ombre des montagnes ...

"Celà fait maintenant dix jours que nous marchons dans le froid de cette région, les hommes perdent espoir, et des rumeurs circulent sur la présence de gobelins dans la région, croyez vous vraiment que les elfes passeront ici ?
- Je l'espère ... Hâlnil est parti en éclaireur répondit Dromund, je ne doute pas de lui, les elfes viendrons bientôt nous trouver, et notre quête n'aura pas été vaine .
- J'ai confiance en votre jugement mon ami, mais ce Hâlnil ne m'inspire rien de bon, vos hommes ont l'habitude des montagnes, je serais plus rassuré si certains d'entre eux y allaient eux même .
- Si celà peux calmer votre peuple, nous irons, je menerais mes meilleurs chasseurs" dit il avant de quitter Cavalin vers les tentes de ses hommes.

Le vent sifflait dans ses oreilles, Dromund ,suivit par six grelois, suivait les traces qu'il avait réussi à trouver après plusieures heures de recherche.
Soudain un bruit l'interpella, le fracas des lames. Il jeta un regard inquiet vers ses camarades qui le lui rendirent. Ils foncèrent vers la source de ce vacarme.
Dromund, plus experimenté, escalada une proie afin de se servir de la montagne comme d'un perchoir.
Après un cri, les bruits céssèrent, Dromund acceléra, essouflé il vit sur un chemin étroit, Hâlnil la main gauche tranchée à côté des cadavres des hommes qu'il avait emmené avec lui, un elfe leva sa lame ... mais ce fut la dernière action de sa longue vie, une flèche venait de se planter dans son coeur.
Dromund avait agit rapidement, mes le regard accéré des elfes le repéra vite, soutenu par ses amis égalements témoins de la scène, ils dégainèrent leurs épées ...
Hâlnil perdait son sang à une vitesse alarmante, mais dans un dernier geste il dégaina sa dague et la planta sauvagement dans la cuisse d'un elfe avant de s'écrouler .
Les elfes étaient peu nombreux, mais un seul d'entre eux aurait facilement put vaincre les sept grelois. Dromund, après avoir pourfandu un elfe qu'il avait pris par surpise, découvrit avec horreur, une lame scintillante sortant de son torse .
Marthéin avait une confiance aveugle envers le chef de son village, ainsi, lorsqu'il vit le corps de celui ci toucher le sol, toute volonté de vengeance le quitta, remplacée par un sentiment méprisable et pourtant bien humain, la peur. Il partit en courant sans regarder derrière lui .

Alors qu’il réconfortait les exilés, Cavalin aperçu une forme rampant vers le camp, il ramassa ses armes et s’en approcha . Bientôt l’homme lui fit le récit de la mort de ses camarades avant d’expirer lui même . Une grande inquiétude s’empara du camp, le meneur irlossois pris la parole, il invitais tout ceux qui le désirait à quitter le camp et à rentrer chez eux, leur offrant une partie de leurs maigres vivres . Il comptais rejoindre les elfes afin de mettre la situation au clair mais ne garantissais rien . Nombreux furent ceux à quitter le groupe qui fut réduit à une quinzaine de personnes ..

L’éclaireur fit stopper sa noble monture . « Qui a-t-il Lindir lui demanda l’elfe qui le secondait, après quelques secondes où il garda les yeux fixés sur le chemin Lindir répondu à son equipier : je ne vois rien de précis mais je percois quelque chose qui s’approche vers nous à travers cette tempête de neige » . Les deux elfes étaient tès prudents depuis l’attaque de l’armée par des hommes de la région . Cavalin fit signe à ses amis de s’arrêter, il venait de voir quelque chose à travers la neige . Sa vision s’éclaircit lorsque deux elfes montés sur des destriers immaculés firent leur apparition . Leur carrure l’empecha de prononcer un seul mot et après un long silence, le maître éclaireur elfe se prononca :
« Je peux voir parmis vous des hommes portant les mêmes couleurs que ceux qui nous ont attaqué, clarifiez vos intentions !
-Nous cherchons refuge parmis vous, il semblerais que les nu…
Cavlin n’eu pas le temps de terminer sa phrase, les deux hommes de Hâlnil qui n’avaient pas participés à l’expédition dégainèrent leures lames en criant une même phrase : « Pour Sauron ! »

Cavalin se reveilla avec une terrible douleur au crâne, il se releva et pu apercevoir tout son groupe discutant avec des elfes, aucune trace des assassins de Sauron … Lindir vint le voir et lui expliqua la situation, les assassins avaient étés neutralisés très rapidement mais un d’entre eux s’était écroulé sur lui l’assomant . « Les hommes qui vous accompagnaient nous ont tout expliqué, il semblerais que ce soit une éfroyable méprise, il y a de cela quelques semaines, nous suivions un groupe de gobelins, c’est lui qui a détruit le village de Grel, malheureusement, nous ne pouvons plus annoncer la nouvelle à ceux qui vous accompagnaient étant donné leur sort … Nous devons rejoindre le corps principal de notre troupe dirrigé par Elrond, nous vous laisserons suffisement de vivre afin que vous puissiez rentrer chez vous . » Après que Cavalin eu repris ses esprits, il expliqua la proposition de Lindir à son groupe . Deux partirent mais le reste s’étaient mis daccord : ils accompagneraient les elfes jusqu’au Gondor où ils comptaient s’installer .

Après de dures journées de marches, un lien très fort s’était tissé entre Cavalin et Lindir, ce dernier déclara : « nous arrivons à la sortie de ces maudites montagnes, ce soir, nous dormirons au sec ! » . Le destin en décida pourtant autrement, quelques heures avant le crépuscule, la troupe passa à côté d’une grotte dans laquelle se trouvait une étrange croix sertie de joyaux, alors que Lindir, suivi de près par son ami, allait l’examiner des cris se firent entendre dehors . « Les gobelins ! cria un elfe » Après un bref regard Cavlin et Lindir dégainèrent leurs épées et rejoignirent le combat . Les exilés se faisaient massacrer et bientôt ne resta plus que Cavalin, le combat tournait en faveur des elfes, voyant cela le meneur gobelin se jeta sur Lindir dans un dernier geste de désespoir, malgré sa vaillance, l’elfe se retrouva bientôt à terre, Azhag leva sa lame, et frappa … Le corps de Cavalin s’écroula sur Lindir, ce dernier se releva et décapita le gobelin qui venait d’assassiner son ami .

Malgré les soins qui lui furent prodigués, le froid de la montagne emporta mon ami …
La victoire fut notre mais a un prix terrible, la paix est revenu sur la terre du milieu mais l’ombre d’une menace semble toujours peser sur nous . Elrond m’ayant fait convier à un conseil exeptionnel, je termine ici mon récit, et fait le vœux que « les traîtres » ne soient pas oubliés . [/i]

Voilà ^_^

Et merci à Shas'El'Hek'Tryk pour l'intro ! Modifié par Master Polo
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