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Silverlord

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À propos de Silverlord

  • Date de naissance 22/04/1997

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    http://Mort aux ennemis du Lion.Impardonné

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    Clermont Ferrand

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    Warhammer 40000 : -3400 points de la black légion -1500 points d'orks -3500 points de Dark Angels du beau du fort. -2000 points de la SHARK. Du requin, du fusil.
  1. [quote name='Autnagrag' timestamp='1364496252' post='2334161'] [quote]composé de quatre dieux, trois maléfiques : Khorne, Nurgle et Slaanesh et un, ni bon ni mauvais : Tzeetch.[/quote] Tzeentch ni bon ni mauvais? Il est aussi maléfique que les autres pour moi. [/quote] Tu a raison, mais pas pour Kathleen, vous verrez pourquoi...
  2. Chapitre 14 : Kubrik ouvrit les yeux, encore et toujours perdu depuis maintenant plus d'une semaine qu'il était dans ce vaisseau, il n'avait rien à faire, sœur Kathleen l'enfermait dans un chambre meublée d'un simple lit. Il ne pouvait en sortir que pour les repas et ses besoins. Il devait pour cela attendre la sœur de bataille qui ne l'autorisait à sortir qu'en sa présence. Tout les matins elle partait en mission et revenait le soir. Bientôt une semaine qu'il ne faisait rien d'autre que penser et dormir. Sa solitude le pesait, mais c'était à ce prix là qu'il vivait... Heureusement, sœur Kathleen était pour ainsi dire, bavarde. Il ne connaissait finalement pas cette femme mais éprouvait beaucoup de respect et d'affection pour elle. Elle était de grande taille pour une femme -plus grande que lui- elle avait une peau pâle, de long cheveux bruns lisses ses yeux étaient d'un bleu azur plus profond que celui des océans de Terranova qu'il voyait par les hublots, enfin, son unique œil visible était azur, malheureusement, son œil droit était un grossier implant bionique. Elle était intelligente et savait répondre à presque toutes les questions que Kubrik pouvait lui poser. Il commençait à comprendre pourquoi l'imperium attaquait Terranova, ce qu'était le chaos et il savait beaucoup de choses sur les orks, les Eldars , les Tyranides et les nécrons. Il avait était particulièrement intrigué par ce chaos, que Kathleen disait composé de quatre dieux, trois maléfiques : Khorne, Nurgle et Slaanesh et un, ni bon ni mauvais : Tzeetch. Le temps défilait et malgré les protestations de Kubrik, Kathleen refusait de lui donner quoique ce soit. Mais cette fois, Kathleen lui avait promis qu'elle ne reviendrait pas seule. Et lui avait donné en tout et pour toute explication qu'elle avait son innocent, qu 'elle venait de trouver son mage et qu'il lui manquait un tireur, un guerrier, un assassin et bien sûr, la clef. Kubrik en avait déduit que l'innocent ne pouvait être que lui, mais pourquoi. Pourquoi un innocent ? Il passa tout l'après midi cet idée en tête. Kathleen teint sa promesse, quand elle rentra, elle n'était pas seule. < -Elisabeth ?! Je rève !> En pleurs il accouru vers elle les bras écartés < Kubrik ! > Il s’étreignirent pendant de longues secondes, Kubrik n'avais jamais été aussi heureux de la voir, ses yeux noisette, son parfum doux, ses formes généreuses, ses cheveux bruns lisses et soyeux, sa peau mat < Eli... > Vrael fixait l'homme, il était immense et protégé par une armure d' adamentium impénétrable. Une attaque physique ne servirait à rien. Il regarda sa robe de bure, elle était de fibre végétal très concentrée, elle était vielle de 11 549 ans. Quoi ?! Impossible ! Il ne voulais pas y croire pourtant la magie ne ment pas. Il inspecta l'armure de la même façon, le plastron et la jambière droite étaient vielles de 11 720 ans, la jambière droite de 11 711 ans, les épaulettes de 5 402 ans. Toujours aussi incroyable, il regarda à travers les lentilles rouge sang et y vit des yeux vieux de 11 734 ans, ils étaient originaires d'une planète recouverte d'une profonde et effrayante jungle, Caliban... A leur naissance ils avaient vu un visage de femme, fatiguée mais heureuse, d'un homme tout aussi heureux mais réservé. Les yeux avaient eut une enfance difficile, un père exigent et sévère, mais malgrès sa, ils aimaient leur terre, une région boisée mais plus clairsemée que le reste de la planète. Ils avaient vu deux individus prendre le pouvoir de la planète, un dieu nommé Lion et un héro nommé Luther. Puis ils avaient vu l 'arrivé du dieu des dieux, dans son armure dorée entouré d'anges invincibles. Ils promettaient une humanité parfaite, une société meilleure. Le dieu Lion'El Jonson partit avec son père et ses compagnons d'armes devenus des anges délaissant le héro Luther. Trahit, Luther proposa à des hommes de devenir des anges et de venger la trahison de Lion. Ils s'étaient proposés pour devenir ange, pour prouver leur capacité à leur père. Les tests furent durs, mais rien ne pouvait l'arrêter, l'opération fut douloureuse, mais ils refusaient d'avoir mal, ils devinrent un ange. Un ange des vrais dieux. Lorsque le traître revint avec ses propres anges, Luther, le messager des vrais dieux accueillir par les armes. Mais malgré sa grande puissance, Luther fut vaincu, et par punition, le traître, le dieux, son nouveau père, avait détruit Caliban. La belle Caliban. La verte Caliban. Des milliards d'êtres humains étaient morts par sa faute, et des centaines de milliards d'êtres vivants en tout genre, du plus insignifiant brin d'herbe aux plus redoutable des morgorax. Le dieux Tzeetch l'avait alors appelé à lui et lui avait enseigné la vérité de toute chose, celui-ci lui avait donné le tout pouvoir en échange de son service, tuer les pères des anges. Il avait accepté car les pères des anges étaient des traîtres. La vision des souvenir de cet homme fut instantanée, Vrael en fut déboussolé, l'homme semblais ne pas l'empêcher de pénétrer son esprit. Autant en profiter. L'esprit en lui même était insondable, immense, lorsqu'il pénétrait lors d'exercices l'esprit de ses semblables, la structure de l'esprit était grand, il l'aurait comparé à une maison. L'esprit de cet homme était grand comme Marachi, ou plus. Si Vrael ne suivait pas le flot puissant de ses pensée ou de ses souvenirs, ils se serait perdu, peut-être à jamais. Mais il était tentant de sortir des axes de son esprit, hors des sentiers balisés, il y avait une quantité de connaissance inimaginable, cet homme savait tout ce qu'il était possible à un homme de savoir. Vrael se concentra sur les pensées qui affluaient dans l'esprit, un flot continu, des images de Vrael, de flux magiques, des mots d'une langue qu'il ne connaissait pas, l'image du premier visage qu'il ait vu, celui de sa mère, puis celui du père des anges, et enfin celui du dieux Tzeetch. Le dieux n'avait pas vraiment de visage en vérité, Vrael le voyait comme l'homme se l'imaginait. Puis plus rien. L'homme se concentra sur les flux magique puis frappa, il puisa dans un flot puissant pour lancer un sort d'immobilisation, Vrael le contra en détruisant sa volonté momentanée. L'homme voulu recommencer mais Vrael l'en empêcha de la même manière que précédemment. Puis une suite de pensées fulgurantes affluèrent, l'homme sourit, il avait comprit. Vrael n'eut pas le temps de se retirer, l'homme figea son esprit, c'était le risque de pénétrer l'esprit de quelqu'un, si celui ci s'en rendait compte, il pouvait figer l'esprit de celui qui le pénétrait, ce qui avait pour effet de l'empêcher de réintégrer son corps. Il ne restait alors plus qu'à détruire le corps. Mais figer un esprit demandait une force et une connaissance très importante, qui donnait accès à une magie aussi puissante que dangereuse que même le grand Belgabad n'osait pas employer. Vrael essaya de se dégager, mais rien à faire, il était figé, et l'homme avançait vers son corps lentement, l'épée à la main. Vrael sentait sa fin arriver, il se débattait de toutes ses forces pour échapper à l'esprit du déchu, mais rien à faire, son agresseur le tenait fermement. Après une dizaine d'essais il se résigna puis tenta le tout pour le tout, trouver la clef de sa volonté et la briser. Il fonça dans l'esprit du marine au hasard, mais c'était la dernière chose qu'il pouvait faire. Il remonta aussi vite que possible à la source de sa hargne et y vit une haine, une colère inexplicable et intarissable. Il ne savait pas d'où elle venait, ni pourquoi, mais plus le temps. Il mobilisa toute son énergie disponible afin qu'il ne lui reste que de quoi survivre et lança une attaque mentale de toute ses forces. L'esprit du marine entiers fut secoué, des flots mental balayaient tout son immense esprit, les liaisons qui maintenaient l'esprit compact furent en grande parties détruites. Le flot mental était si puissant que Vrael se demandait s'il pourrait en sortir. Il remarqua que les pensées du marines étaient vides, son corps s'était arrête de bouger, puis s'était écroulé de tout son poids au sol. Vrael était libre, mais il compris que son agresseur était toujours en vie, il était comme endormit, mais son esprit ne réagissait à rien. Il réintégra son corps, remuant machinalement chacun de ses muscles pour vérifier si il n'avait aucune lésion. Puis le warp entra de nouveau en mouvement, un autre guerrier ?! Une femme à l'armure blanche et dorée apparut soudainement en face de lui. Elle tendit vers lui une main brillante en lui montrant le cadavre du renégat de son autre main. <Tu peux me remercier> dit une voix aiguë et douce dans son esprit. Une lumière blanc l'enveloppa et il fut téléporté dans une pièce fermée. Si vous avez des remarques à faire... vous savez comment faire !
  3. Il est là, plus tard et plus court que je ne prévoyait, je ferais 2 chapitres au lieux d'un. Chapitre 13 : Le démon avait surgit de nul part. Surplombant Boris d'au moins trois ou quatre mètres. Il ne se souvenait pas qu'il eut -été si grand dans la toundra. Car bien que le monstre ne se soit pas présenté, il savait au fond de lui que c'était lui. Le monstre ne tombait pas au meilleur moment, partout autour de lui, la jungle était dévasté par une bataille aux proportions gigantesques, des milliers de soldats de chaque camps se battaient comme au temps anciens, à bout portant. Au milieu des uniformes gris et marrons des Terranoviens, des uniformes kakis des gardes, des géants bleu marine et des hommes aux armures brillantes dévastaient les rangs de leurs ennemis. Parfois, des blindés, tel des îles indestructibles passaient le barrage d'artillerie Terranovien, où le bombardement orbital Impérial et brisaient les hommes comme de vulgaires brindilles. La jungle, au paravent verdoyante et impénétrable n'était plus qu'un champs de terre rougie de sang, dont les seuls arbres encore debout étaient en feu. M'Kar avait surgit au beau milieu de la bataille dans un rugissement plus puissant qu'un coup de tonner, on aurait pu croire que le Gigas Aurea venait de s'écraser au sol tant le cri fut puissant, et instantanément, les tirs et cris avaient cessés autour du monstres. Tous, Terranoviens comme impériaux observaient en silence le monstre et le super soldat russe dans leur tête à tête silencieux. Un rond se forma autour d'eux et au fur et à mesure que la bataille se calmait, des murmures couraient parmi les soldats. Borris sortis ses griffes mono-moléculaires, activa ses boucliers au max puis balaya d'un regard le cercle de soldats ahuris, à la recherche de ses camarades, mais n'en vit aucun, en revanche une dizaine de space marines observaient la scène avec inquiétude. Le démon rugit de nouveau puis cracha un déluge de feu sur le russe qui s'accroupit, comptant sur ses boucliers pour le protéger. Les secondes passaient, longues, la chaleur dans son armure augmentait, l'isolation n'était pas suffisante pour le protéger, il fut obligé d'activer le refroidissement de milieu extrême pour ne pas finir rôtis, mais l'opération réduisait considérablement la puissance de ses boucliers. Les secondes passaient, incapable d'envoyer un message d'aide à ses alliés car trop occupé à gérer le flux énergétique de son armure, récupérant de l'énergie ici et là, en désactivant ses optiques de visée, ses ordinateurs auxiliaires. La fournaise était inimaginable, la terre s'était sublimé instantanément, et son capteur thermique lui indiquait plus de quatre mille degrés Celsius. Le sol de granite commença à fondre et il s'enfonça de plusieurs centimètres dans le magma, ce qui lui obligea à désactiver jusqu'à ces boucliers pour maintenir le refroidissement, mais privé de ses boucliers, le flux du feu le fit chanceler et il tomba entièrement dans la lave. Il flottait, mais l'énergie produite par son armure ne suffisait plus à le protéger et la température devint insupportable. Sa peau se collait à son armure, d'un coup de dent il sectionna le petit tuyau d'eau qui le descendait jusqu'à œsophage pour l'alimenter en eau puis fit couler l'eau directement dans son armure, mais ce n'en fut que plus insupportable, il se résigna et compris que sa fin approchait. Il avait sous-estimé son ennemi et allait se faire rôtir comme un vulgaire poulet. Il ne pleurait même pas, ses larmes se vaporisaient et il brûlait littéralement. Puis le feu cessa. La roche se solidifia. Boris réactiva ses boucliers et ses ordinateurs de survie. Il sentit immédiatement son corps se refroidir, se reconstruire, mais les programmes des nano-robots médicaux ne prévoyaient pas ce genre de situation, si bien que les nano-robots lui soudèrent complètement la peau à l'armure. Mais il n'avait pas mal. Bien au contraire. Il se releva mais n'eut pas une seconde de répit que le démon le saisit à la taille de sa main géante. Comme lors de leur première rencontre, M'Kar lui retira son casque puis le souleva au dessus de lui dans un rugissement pour montrer sa victoire. Un vent de panique secoua la foule de soldats et de gardes apeurés. Et, venu de nul part, un module atterrissage bleu portant l'Oméga atterrit dans le cercle formé par les soldats, face au démon. Les portes s'ouvrirent lentement et cinq Utlramarines en sortirent. L'un, celui du milieu, portait une imposante armure terminator, il était décoré comme aucun autre marine et portait une bannière richement ornée. Il ne portait pas de casque, était chauve et très vieux. Il portait un bâton doré orné d'une tête cornue dorée. Il portait un livre volumineux dans l'autre main. Les quatre autres marines étaient des terminators équipés de marteaux tonner et de boucliers tempête. Le démon fixa Tigurius de ses yeux rouges, il tremblait de rage et de colère, il lança Borris sur l'archiviste. Le russe, encore sous le choc ne put atterrir sur ses pied et s'écrasa lourdement à coté de Tigurius. Il se préparais au coup fatal du marine, mais à la place, ce dernier se pencha vers lui le sourire aux lèvres, planta son bâton dans le sol et lui tendis la main. Borris hésita puis accepta la main. Le marine le souleva sans effort, puis lui adressa un regard inquiet, une voix résonna dans la tête de Boris : <Vous allez bien ?> il hocha la tête pour acquiescer. Le démon rugit de plus belle en signe de défit. L'archiviste reprit son bâton avec lequel il frappa le sol. Un coup de tonner fit trembler le sol. Le vent se mit à souffler et de gros nuages gris sortis de nul part cachèrent le soleil. M'Kar gloussa < Ha ! C'est là tout ce que tu sait faire pantin ?! Regarde plutôt ! > Les nuages prirent une teinte rouge sang et une pluie de sang s'abattit sur le champ de bataille. Tigurius entama des litanies incompréhensibles puis pointa brusquement son bâton sur le buveur de sang, une vive lumière s'en dégageait. Le démon s'était enveloppé d'une aura écarlate et était lui aussi pris dans une litanie sans fin. Boris remarqua alors avec horreur que les cadavres des soldats s'enveloppaient de la même couleur que le démon et pire, sous cette aura, les chairs, muscles, tendons cartilages et organes étaient transformés. Des corps se formaient des restes humains ! Tigurius le tira de sa torpeur, interrompant momentanément ses litanies, il dit d'une voix étouffée <Portez lui le coup fatal ! Je ne tiendrais pas longtemps!> Les terminators s'avancèrent vers le démon au pas de course, ils le ruèrent de coups de marteaux tonner jusqu'à ce qu'il ne reste plus de lui qu'une petite flaque de sang. Aussitôt le ciel redevint clair, l'aura rouge des cadavres disparut et un silence de plomb tomba sur le champs de bataille.
  4. Ce que Calgar veut c'est qu'un maximum de garde le rejoingne sur les barges Ultramarantes, les soldats à qui il parlent savent ce que sont les soldats terranoviens, ils ne va pas leur dire qu'ils sont faible et faciles à neutraliser... Enfin, on ne va pas s'éterniser la dessus ^^ Si vous avez des critiques à faire, je suis pret
  5. [quote name='Autnagrag' timestamp='1359806820' post='2298169'] J'aime pas trop le discours de Calgar. Jamais un SM ne tiendrait des propos aussi défaitistes. Mais le reste c'est tout bon. [/quote] Il n'est pas défaitiste, le seul propos défaitiste qu'il tient est le fait que le chapitre ait subit beaucoup de pertes, autrement il est plutôt donneur d'espoir, il dit que les gardes mourrons avec Chenkov alors qu'en rejoignant les marine ils survront et la victoire est sous-entendue. Mais c'est vrai qu'on peut le percevoir autrement.
  6. [quote name='Rantanplant' timestamp='1359754860' post='2297901'] Allez Boris !^^ [/quote] Je précise juste que le sniper n'est pas Boris (au cas ou), relisez vite fait les premiers chapitre et vous comprendrez de qui il s'agit (il y a un piège) ^^
  7. [quote name='Autnagrag' timestamp='1356899939' post='2275833'] [quote]Vous allez avoir encore un chapitre assez court avant les vacances, puis vous en aurez un plus long pour nowel [/quote] On les attends toujours [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/cry.gif[/img] Sans vouloir te presser, à chaque fois que je vois un nouveau message, j'ai l'impression que c'est la suite, et du coup je suis déçu. [/quote] Alors vous aurez le chapitre 11 aujourd'hui, pour me faire pardonner Chapitre 11 : Il avance sous la pluie battante. Le ciel est gris, éclairé par moment par de brefs éclairs bleus. La boue lui tâche les chaussures, le vent fait battre son grand manteau et son foulard. Il faillit même lui arracher son chapeau. Il avance, comme un astarte marche implacablement vers la gloire. Mais lui,n'avance pas vers la gloire. Il avance, comme un garde marche à la mort. Mais lui n'est pas un garde. Il avance, comme un inquisiteur marche vers un hérétique. Mais lui ne traque pas un hérétique. Il traque, comme un assassin vindicare. Mais lui n'appartient à aucun temple. Il était fatigué, fatigué de marcher, marcher, marcher depuis des jours presque sans dormir. Mais ce qu'il allait accomplir changerait le futur de cette guerre. Cette plaine était sans fin, le seul point de repère qu'il avait été le gigantesque plateau qui surgissait brutalement des champs pour d'élever a plus de trois mille mètre d'altitude. Mais ce qui attirait plus encore l'attention que cette montagne, était l'énorme forteresse de pierre noire crépitante d'énergie bleue. Les lasers des arcs khajiits balayaient la nuit, à l’affût de la moindre irrégularité pour tirer une flèche lumineuse. Ils savaient qu'il était là, ils savaient aussi pourquoi. Les khajiits étaient réputés pour en plus de leurs conditions physiques supérieures, pour leur vue et leur odorat sur développé. Il avait bien choisis son jour, ou plutôt sa nuit, certes il était trempé jusqu'aux os, grelottait et était couvert de boue, mais jamais un khajiit ne le verrais à travers ce rideau d'eau, et encore moins le sentirait. Il affrontait un empire entier, à l’affût, dix mille khajiits à sa recherche, mais malgré tout ce qu'il redoutait le plus c'était les défenses magiques du fort. Il devait d'abord trouver la grande porte du fort, ceci fait, il devrait trouver un endroit élevé, dégagé mais aussi bien camouflé pour commencer sa campette. Ça lui prendrait au moins deux heures de marches de plus sous la pluie battante et le poids de ses armes. Il commença à faire le tours de la montage et constata avec déception qu'elle était plus étendue qu'il ne l'avait imaginé. Chercher la porte principale serait trop long, et il n'avait pas beaucoup de temps, il ne savait même pas de combien de temps il disposait. Il allait être forcé de s'en servir, il repoussait son utilisation depuis le début de sa mission, redoutant l'ouïe des khajiits, mais il allait être forcé de le monter s'il voulait ne pas perdre trop de temps à chercher l'entrée. L'orage le dissimulerait peut-être assez longtemps pour repérer son objectif. Il sortis les différentes pièces de son paquetage et monta le frelon en protégeant au mieux les éléments électroniques de la pluie. Frelon, c'était le nom que l'imperium donnait à ses hélicos miniature -d'un bon demi mètre tout de même- quadri-rotor. Utilisés pour ordonner des frappes aériennes par laser ou pour repérer les positions ennemis, ces frelons étaient efficaces contre des humains ou des orks qui repéraient l'engin trop tard pour l’empêcher d’accomplir sa mission, mais il doutait fort qu'un tel engin passe inaperçu devant des khajiits, même sous pluie battante. Il démarra l'engin, se coucha sous un buisson, pris la télécommande et fit décoller le frelon. À peine prit-il de l'altitude que les turbulences mal traitèrent le petit appareil tant et si bien qu'il fut obligé de le faire stagner à trois mille mètres d'altitude. La caméra thermique embarquée se révéla d'une efficacité redoutable pour voir les sentinelles. Il fit le tour des muraille jusqu'à trouver l'unique porte du fort, elle n'était pas loin, mais gardé par un grand nombre de khajiits. Qu'ils soient beaucoup où pas, pour lui, en une balle ce serais plié. Il entrepris de repérer un endroit idéale pour son tir à l'aide du frelon, mais un laser passa sur l'écran. il ne se fit pas d'illusion, le laser a été réfléchis par l'écran et le khajiit originaire de ce laser aura vu le reflet. Comme pour confirmer sa pensée, une dizaines de laser balayèrent le ciel alentour du frelon, puis il perdit son signal. Il jeta la télécommande dans un torrent de boue pour ralentir les recherches des khajiits. puis repris son chemins en faisant attention de régulièrement brouiller sa piste aux khajiits. Il suivait une route qui menait à la grande porte quand il entendit un souffle puissant dans son dos, puis une voix : "Pas la peine de te cacher, je sais que tu es là !" Il se retourna et vit un khajiit au pelage noir de jais marcher doucement sur la route à quelques mètres de lui, il tournait la tête de droite à gauche, humait l'air avec force. Le khajiit le sentait, l'entendait, mais ne le voyait pas. "J’entends ton cœur battre, inutile de te cacher !" Cette phrase signa l’arrêt de mort du khajiit, il retint sa respiration, ralentit son rythme cardiaque, s’approcha à pas feutrés du félin, pris son couteau et d'un geste sec, lui trancha la gorge en lui tenant la gueule fermement pour éviter de se faire mordre. Il examina rapidement le corps du khajiit pour en soutirer quelque chose d'utile, il récupéra l'arbalète à lunette ainsi que quinze flèches puis fouilla les poches de la tenue en cuire du félin et pris deux gourde et un morceau de viande fumée. Il tira ensuite le corps du khajiit loin de la route puis l'enfonça dans une grande flaque de boue. Il continua sa route vers la grande porte évitant encore une patrouille khajiit. Puis y arriva au moment où les premiers rayons de soleil apparurent au sud, formant un magnifique arc-en-ciel sur Fort Noir. Il trouva l’endroit parfait pour tirer : un bosquet de pins maritimes dont la canopée, en plus d'être capable de supporter un homme, était assez confortable, il grimpa à l'un des arbres puis une fois au sommet tira son grappin tyrolienne pour pouvoir s'enfuir en vitesse en cas de soucis. Sa radio annonça brièvement : "L'empereur sortira à dix sept heures trente selon notre espion, tous nos espoirs sont portés sur vous." Il voulu répliquer mais la radio se coupa, le laissant seul. Il n'allait même pas pouvoir se reposer avant de fuir, car même si le jour venait de se lever, les dix sept heure trente annoncées par radio étaient en heure impériale, c'est à dire dans trois minutes. Il pris son fusil de sniper et commença a préparer son tir. Et hop ! Celui-ci est très court, mais il sera compensé par le prochain. chapitre 12 : " Soldats ! On ne vous a pas fait venir ici pour rien ! Certains de vous viennent de Cadia, d'autres du secteur armageddon. Nous comptons des catachans, des valhallans et la plupart d’entre vous viennent de petits hameaux stellaires peut connu ! Vous n’êtes pas venu pour rien ! Je suppose que vos familles vous manquent, ainsi que vos foyers, vos planète ! Eh bien laissez moi vous dire que vous devrez y mettre du votre pour revenir vivants ! Les soldats Terranoviens sont en bonne partie autant voir plus redoutables que mes frères. Leur armures sont composée de treillis de micro tubes de carbone parfois renforcée par des réflecteurs ou des plaques d'hydrogène monoatomiques, de tels soldats sont de terribles adversaires et la majorité d'entre vous n'en n'ont jamais tué, pire, vu un ! Nous sommes en guerre contre une armée composée d'environ trois millions d'hommes équipé comme tel, de trois fois ce nombre de soldats équipé d'une façon similaire à la votre, majoritairement sur Marachi ! Mais aussi de plusieurs millions de ces hommes félins sortis des montagnes de Marachi. Ils ont brisé à eux seuls les sièges des forts Marachis, ils ont des armures résistantes, surpassent physiquement n'importe lequel d'entre vous, égalent pour certains mes frères, mes il est bien autrement des meilleurs. Des êtres d'un mètre soixante capable d'arracher la tête d'un marine d'une main. Il ont des lames monoatomiques qui tranchent la matière jusqu'à ses plus petits composants, maîtrisent le warp aussi bien que nos archivistes. Et dans ce chaos, votre chef de corps expéditionnaire se permet de refuser mon autorité de chef d'armée. Il réclame l'autorité suprême ? Il l'aura. Mais avec lui, vous n'aurez pas la victoire ! Avec lui vous ne reverrez pas vos foyers, vos familles ! Avec lui, vous ne reviendrez pas ! Mon chapitre à certes subit en quelques semaines de conflit plus de pertes qu'en un siècle. Mais nous serons bientôt rejoint par l'intégralité du chapitre des Dark Angels qui sous l'initiative du grand maître Azrael devrais arriver en orbite dans la soirée ! Nous avons placé une centaine de navette à bord de chaque vaisseau de la flotte du capitaine Giraud. Elle rentreront à nos barges demain à 20h, si vous ratez le départ, il n'y aura pas d'autre voyages. Je m’arrangerais en personne de récupérer votre matériel. Choisissez bien votre camp."
  8. Désolé les gars, j'avait pas mal de travail et je n'ai pas beaucoup eut le temps de penser à ce récit, mais fini de plaisanter ! Je revient sur le seul fait de fluff que je vais expliquer : celui de la présence de l'intégralité du chapitre des ultramarines, vous comprendrez pourquoi l'intégralité du chapitre deavit être présent pour la suite de l'histoire (même si je sais que je vais me faire huer par les puristes ^^) Je vais essayer de vous poster deux chapitres dans la soirée. Et Borris revient la semaine prochaine avec un autre invité spécial ! ^^
  9. Chapitre 10 : Pedro marchait, pistolet à la main, vers les lignes impériales. Le bruit de la pluie et du tonner couvrait à peine les détonation des défenses du fort Hraggstad et celles de l'artillerie impériale. La venue de l'orage donnait à la bataille un air de fin du monde. Il reçu un message de ses éclaireur dans son oreillette, une patrouille impériale se trouvait dans une rue adjacente et allait bientôt croiser leur route. Pedro regretta alors d'avoir pris si peu d'hommes pour faire son avant garde, cinq hommes et leur diables, très peu pour lutter contre une patrouille formée en générale d'un peloton complet, soit une centaine d'hommes et un escadron de Leman russ. Cinq kilomètres le séparait du reste du corps, mené par Belgabad, trop pour pouvoir les attendre, il chercha un immeuble dans lequel ils pourraient se cacher en attendant que la patrouille passe. Il ordonna à sa troupe d'enter dans un immeuble d'une dizaines d'étage. Au moment où ils allait passer le seuil, une voix retentit « Halte ! » Un groupe de six gardes, dont trois équipés de fusils de sniper sortirent des pièces adjacentes au hall de l'immeuble. Ils furent rejoint par une vingtaine d'hommes qui descendaient de l'escalier. « Jetez vos armes ! ordonna visiblement le chef du groupe, Si un seul de vos diables s'enfuit, vous êtes morts ! » « Obéissez » Lâcha Pedro, dépité. Il lâcha son pistolet par terre et ses hommes firent de même avec leurs fusils. Un des hommes de Pédro lança une grenade qui explosa dans le groupe d'impériaux dans un flash de feu et de sang ignoble. « Non ! » Hurla Pédro en se jetant a terre, ce n'était pas prévu, s'ils en ressortaient vivant, il ne manquerai pas de passer un copieux savon sur ce soldat. Mais il fut immédiatement désabusé, quand le tonner de claquement secs prit fin, tous ses hommes gisaient au sol, défigurés, dans une flaque de sang. Il remarqua qu'un diable avait été tué, mais les autres s'étaient enfuis. Seul Vrael demeurait couché aux cotés de Pédro. Quand la fumée provoquée par l'explosion de la grenade et les tirs du radian laser du sergent impérial se dissipa, Pédro vit que le groupe de garde avait diminué de moitié et que dix des survivants se tordaient de douleur sur le sol, pleurant leur bras ou jambe arrachée. Le sergent fixa Pédro les yeux pleins de haine, le coté gauche de son uniforme était noircis par l'explosion et couvert de sang, voir pire. Doucement il leva son pistolet radian et le pointa sur Pédro. Il y eut une détonation et le sergent s'écroula dans un long gémissement. Une silhouette noire énorme surgit de la cage d'escalier et massacra les quelques gardes aptes en quelques coups d'épée, piétinant les blessés à mort. Lorsque le géant eut fini sa danse macabre, il se tourna vers Pédro et Vrael, de toute sa hauteur. Un humanoïde de plus de deux mètres encapuchonné dans une robe de bure noire, des jambières, des épaulières et des brassières énormes vert-foncé sortaient de la robe. Immédiatement, Vrael se plaça entre lui et Pedro, les poils hérissés. Ce dernier ramassa son pistolet au sol et le pointa sur le géant d'une main tremblante. Vrael commença une incantation mais vu stoppé brusquement par le colosse qui d'un mot fit apparaître une cage de feu autour du diable, puis il lança d'une voix puissante : « Ne luttez pas, vous courriez à la mort, je ne suis pas ici pour vous abattre ! Sinon vous seriez déjà morts comme ces chiens ! » Pédro n'en croyait pas un mot, il avait entendu parler de ces guerriers géants qui combattaient sur Terranova, les seuls capables de combattre les soldats d'élite Terranoviens, il savais que son pistolet ne leur ferais rien, mais leurs lentilles étaient plus fragiles. Il visa la lentille du marine puis tira. Le géant le va sa main droite devant sa tête et la balle vint y ricocher. Il prononça un nouveau mot et le pistolet de Pédro devint brûlant, tant brûlant qu'il carbonisa la main de Pédro, enflammant son treillis par la même occasion. Il s'écroula en hurlant, incapable d'éteindre son treillis en feu, un jet de sang sortait de son bras brûlé. Il ne comprenais rien à ce qui lui arrivait, mis à part qu'il brûlait vif et qu'il allait mourir. Pédro rendit son dernier souffle là, gisant dans la flaque de métal en fusion qu'était au par-avant son pistolet, le corps entier en feu. Pas une larme, pas un sanglot, ses dernières pensée furent pour son diable, Vrael. Je fais des chapitres plus courts parce qu'avec les cours (et BF3 ) je n'ai pas beaucoup de temps. Vous allez avoir encore un chapitre assez court avant les vacances, puis vous en aurez un plus long pour nowel
  10. Je n'avais pas vu vos deux réponses Alors je ne répondrais plus au remarque de fluff concernant les marines, je prends quelques libertées à ce niveau là Sinon, pour répondre à Kodai, cette colonie est à l'apogée technologique jamais atteint par des humains, ce qui veut dire qu'il ont une avance technologique considérablement imporatnte par rapport à l'impérium, vous n'avez vu que des chasseurs, des super soldats, mais je peux vous garantir qu'il y a moults robots de combats, créatures OGM et gelée grise qui sont dans les hangars. En revanche, Marachi est très en retard par rapport à l'imperium, il s'agissait de la partie paivre du système, la colonie de Marachi, déjà très pauvre à l'origiine a en plus était affaiblit par de nombreuses guerres ontre les khajiits (référence à Skyrim, je vais y revenir), ils ont perdu leur dernière guerre contre eux et l'empereur du moment a accepté de cohabiter avec eux à condition qu'ils protègent les khajiits des terranoviens (à l'ocasion de l'impérium), pour cela l'empereur leur à accodé les grands forts que les khajiits ont construits lors des guerres. En bref, Terranova est riche, très avancée technologiquement mais n'a pas grand utilisation de la "magie" du warp. Marachi est pauvre et retardée tecnhologiquement, mais a l'appuis des khajiits et des diables qui sont de redoutables combattants, maniant le warp comme personne pour les diables. Grosse référence à Skyrim oui, pour donner un nom aux douze forts (j'avais pas trop d'idée ^^) et pour donner un effet médiéval fantastique à ce satelite, car tel est Marachi. J'ai deux chapitres en préparation et un invité surprise pour l'un d'eux.
  11. Voilà le chapitre 9 ! Désolé de vous avoir fait tant attendre, n'ésitez pas à commenter Chapitre 9 : Quentin essayait de se concentrer, mais le fracas de la bataille empêchait tout simplement toute tentative de tir visé. Il commençait à comprendre que l’honneur de piloter des rafales était en fait un piège. Il était capable de vaincre un thunderhawk ou un thunderbolt en combat singulier, mais pris dans le chaos d'une bataille aérienne, les appareils de la synco 7 étaient totalement inutiles. Il n'avait plus de leurres et plus que quelques torpilles à fusion ainsi que ses missiles nucléaires tactiques, mais les impériaux avaient bien joué leur coup en faisant tomber cette immense armada sur la ville, ainsi, l'état major avait interdit l'utilisation des missiles nucléaires, réduisant considérablement les risques pour les civils, mais augmentant lourdement la difficulté de la bataille. Les impériaux avaient de leur coté des appareils lourds de plus de cent mètres de long, bardés de canons laser et de batteries de missiles. En réponse, les russes avaient envoyé leurs PE-747, les plus destructeurs des forts aériens. Ces appareils en formes d'avions comptaient plus su leurs répulseurs que sur leurs ailes pour voler, longs de plus de six cent mètres, haut comme d'une cinquantaine de mètres et larges de soixante dix, le poids de ces appareil les empêchait de voler, la plupart d'entre eux étaient d'ailleurs en surplace, et seraient bientôt les derniers appareils lourds terranoviens en lice. Un marauder passa au dessus de lui à pleine vitesse et son artilleur arrière lui ouvrit le feu dessus avec son autocanon. Quentin ne l'avait pas vu, il vira immédiatement de bord en envoyant une rafale de sa mitrailleuse en vain. Un obus de l'autocanon transperça son aile droite et frappa un de ses missile nucléaire. Quentin loua le hasard qui avait fait que l’obus frappe un missile nucléaire, dont le contenu n'était pas dangereux tant que le détonateur n'était pas déclenché, et pas une torpille à fusion qui aurait immédiatement explosé... La plupart des appareils terranoviens étaient équipés de systèmes empêchant ce genre d’incidemment, mais pas son rafale. Il se rendit compte à quel point sa vie ne tenait qu'à un fil dans cette bataille, cette pensée le fit frémir et pour la première fois depuis le début de cette guerre, son cœur se serra, son pouls et sa respiration accélérèrent, il avait peur. Quentin lança rapidement un diagnostique des systèmes de son appareil, il avait une fuite de carburant. Il commençait à se questionner au sujet d'un retour à la base quand il remarqua qu'il n'avait pas vu d'appareil terranovien depuis quelques minutes à part les PE-747 que l'on voyait de toute façon de n'importe quel point du champ de bataille, il réactiva sa radio (qu'il avait désactivé afin de ne pas être déranger par les discutions des trois milles pilotes terranoviens qui combattaient à ses cotés), il demanda sur ligne commune « Ici Tonner du sycro 7, y a t-il un problème, je n'ai plus aucun allié en visuelle ? » Un silence pensant envahit la ligne, Quentin remarqua que six thunderbolts et trois thunderhawks l'avaient repéré et se lançaient à sa poursuite, « Merde ! » Jura-t-il, sans leurres, il ne pouvait qu'essayer de leur échapper, il activa le post combustion, mais il ne put que voir avec horreur que les vieux réacteurs de son appareils ne pouvaient le porter plus vite que les propulseurs des impériaux. Il savait qu'il était perdu, sa vie repassa devant ses yeux, il avait presque sauvé le monde des Tau il y a de ça quarante an, il était vieux, n'avait pas d'enfants, pas de femme. En fait il n'avait jamais connu l'amour, son seul amour revenait à Tonner. Il se rappela que tous les membres de la syncro 7 à part Nicolas, le pilote d'Ellisabeth, qui était retourné à la base, les yeux en larme, il se retourna, « Si nous devons mourir, couvrons nous de gloire !! » rugit-il il fonça vers ses poursuivants qui n'eurent pas le temps d'anticiper son demi-tour, il tira ses missiles vers les thunderbolts, les missiles se détachèrent de leur soc, leur propulseur s'activa et ils foncèrent vers les chasseurs impériaux qui, surpris, rompirent leur formation. Les marauder lancèrent leurs hellstrike puis rompirent la formation. Les yeux emplis de larmes de Quentin lui empêchèrent de voir ce qui se passe ensuite distinctement, un appareil le dépassa, lança quatre éclairs de plasma vers les marauder qui explosèrent sans rien pouvoir faire. Mais les hellstrike fonçaient toujours vers lui, une lueur d'espoir lui envahit l'esprit, il plongea vers le sol pour échapper aux missiles au cas ou les marauder ne l'aient pas verrouillé avant de tirer. Une rafale le frappa alors de plein fouet, une aile de son appareil fut arraché par les balles, son moteur pris feu, son par brise éclata et il eut un bras arraché par un projectile. Alors que la douleur le gagnait, le rafale partit dans une vrille infernale, il hurla de rage et de désespoir, en voyant le sol se rapprochait, son unique bras ballotté dans tout les sens par la chute lui empêchait de tirer la languette d'éjection. Puis tout s'arrêta dans un bruit sourd.
  12. J'ai mis ^plus longtemps que prévu... J'ai eut pas mal de boulo... chapitre 8 : "Debout mauviette ! Dépêche que j'ai pas a me répéter ! Sinon j'ordonne à ton diable de te bouffer ! " Pedro se leva péniblement de sa couchette, même les officiers étaient traité comme des moins que rien ici. il s'étira, sous son lit, Vrael dormais encore dans son coussin. Il lui caressa doucement le dos puis se rendit dans la penderie, il y pris son uniforme, incluant un caleçon rembourré pour protéger une certaine partie du corps, un pantalon vert foncé, une chemise, une cotte de maille de kevlar, un lourd manteau vert foncé portant les médailles de son propriétaire, une casquette d'officier arborant un croissant de lune doré, emblème de la république indépendante de Marachi. Une paire de chaussettes et de bottes achevaient l’ensemble. Il alla dans sa salle de bain puis se dévêtit de son pyjama pour enfiler son uniforme. Il allait mettre sa casquette quand Vrael entra dans la salle de bain en baillant : -Alors ça y est. La grande bataille commence. -Oui Vrael, si nous perdons, Marachi sera perdu, et il ne sera pas la peine de compter sur les Terranoviens pour nous aider. Ce sera difficile, l'imperium est très fort. -Combien sont-il ? demanda Vrael, en commençant à se lécher les pattes. -neuf cent trente mille soldats, quatre mille blindé et pièces d'artillerie ainsi que deux mille aeronefs, en gros tout ce qui a survécu à la campagne, réuni ici, à Kenec... -Et combien sommes nous ?? -Deux cent quatre vingt mille homme, neuf cent blindés et deux cent chasseurs. On a pour ordre de tenir le centre ville seuls, Vrael. Seuls avec notre bataillon et trente chars pendant que les 6 autres bataillons se cacherons en attendant que la garde nous fonce dessus, en admettant que l'Imperium use de sa tactique habituelle, on se retrouvera à 50 000 contre un million. Mais lorsque le reste des bataillions chargeront par l'arrière, nous aurons une chance de les vaincre, mais j'en doute... Ils sont 3 fois plus nombreux que nous. -Ils ne sont que 2 fois plus nombreux, répliqua Vrael en se léchant le dos, tu oublies les deux cent quatre vingt mille diables de canahan qui se battrons. Tout n'est pas perdu Karethi, tu vaux plus de trois de ces satanés d’impériaux, quand à moi je suis un diablathil, ils ne m'auront pas. -Je ne m'inquiète pas pour toi Vrael, tout de fois tu as beau être un diablathil, tu n'as que douze ans, tes pouvoirs ne te rentent pas invincible. Et tu risque de perdre ton karethi plus vite que tu ne l'imagine. Je suis peut être capable d’abattre plus de trois hommes, mais un seul tir peut me tuer. Le diable souffla son désaccord puis après un bref silence, il demanda : -Que ce passera-t-il si nous perdons ? -Nous seront massacrés... Les civils sûrement asservis d'une façon ou d'une autre. Les survivant n'auront plus la force de se battre... Karachi n'a pas grand chose a offrir... Nous n’étions déjà qu'une pauvre république dans l'ombres des pays terranoviens. Notre armé est faible, nous aurions perdu contre le plus pauvre pays de terranova, alors imagine contre une armée qui inquiète Terranova entière... -Les diables de canahan ne baisseront pas les bras ! Ni les khajiits d'ailleurs ! Tout n'est pas perdu Pedro ! -Normal, les diables peuvent se cacher n'importe où et se faire passer pour de simples félins sauvages ! Les khajiits sont plus forts, plus rapides, plus agiles, ont une vue infiniment meilleure, sont plus endurants, ne craignent ni le chaud ni le froid et ne sont jamais sans défenses grâce a leurs croc et leurs griffes. Mais pourquoi parler des khajiits, ces traîtres ont préféré suivre les ordres de leur empereur et se terrer dans leur forteresse plutôt que venir empêcher l'anéantissement des humains. Alors qu'alliés a nous ils auraient sauvé Karachi... -Les khajiits sont imprévisibles, mais ils savent réfléchir, je ne peux pas croire qu'ils restent inactifs jusqu'à ce que l'imperium viennent taper a la porte de Fort Noir... -Oui mais le fait d'avoir autant de chance de les trouver autant a nos cotés qu'aux cotés de nos ennemis. Et je sais de quoi je parle, j'ai vu un groupe de mercenaires à l’œuvre la semaine dernière, et que ce soit leurs boucliers répulseurs, leurs dagues et épées thermiques ou leurs bâton de mort ou leurs arcs, je n'aimerai pas me retrouver face à eux quand nous... Il fut coupé par la voix tonitruante du haut parleur : -LE DEPLOIEMENT EST REPOUSSÉ DE QUINZE MINUTES, NOUS VENONS DE RECEVOIR UN MESSAGER DE L'EMPEREUR M'AIQ ! Lorsque la voix se tut, Perdro et Vrael purent entendre un brouhaha inhabituel emplir la forteresse. Perdro s'empressa de finir de revêtir son uniforme, passa sa ceinture, y accrocha son pistolet et son sabre énergétique. Vrael quand a lui, prononça une rapide formule qui fit apparaître un bouclier de force autour de son corps. Ils sortirent de leur chambre puis débouchèrent dans un couloir bondé de soldats mal réveillé, accompagnés de leur diable de canahan. Les soldats firent de brèves saluts à leur supérieur tout en continuant de discuter avec leurs camarades. Une phrase sortait de toutes les bouches : <Les khajiits ! Les khajiits ont envoyé un messager!> Pedro se frayaient un chemin parmi les hommes peu disciplinés de son bataillon. Ses hommes n'avaient aucun respects envers lui, ils se contentaient de lui adresser un « salut capitaine » en grommelant. Les diables, eux, accueillaient Vrael avec le respectueux salut canahan : « Usis ki'na diablathil. » Qui signifiait dans la langue gutturale Canahan « Heureux de vous voir commandant. » Les plus zélés ajoutaient « Da guraths fue kha'tu ! » Ce qui signifiait « Que Guraths (l'empereur des diables) soit avec toi. ». Vrael leur répondait aimablement « For'doy diablathane. » Qui signifiait « Bonne journée soldat. ». Ils sortirent du couloir par une lourde porte blindé, donnant sur les quartiers de l'état major. La casemate qu'il occupé était confiée à son bataillon ainsi qu'a un régiment de troupes d'élite. Il avait environ cinquante mille hommes sous ses ordres, et faisait partie des vingt hommes les plus gradés de Marachi, mais malgré son importance, le commandant des cent vingt soldats d'élites présents lui raflait le commandement et permettait à un de ses capitaines de venir le réveiller le matin dans sa chambre de son bunker. Il traversa le hall de l’état major, où ses subalternes se mirent au garde à vous et restèrent en position imperturbablement jusqu'à ce qu'il soit passé devant eux. Il entra dans la salle de contrôle tactique, l'officier d'élite l'y attendait, la mine renfrognée. C'était un homme d'une trentaine d’année en apparence, mais la taille de son diable dénonçait un age bien plus avancé. Chaque homme ou femme entrant dans l'armée planétaire de Marachi recevait à son entré un diable de canahan du même age et ces derniers grandissaient jusqu'à l'age de soixante ans, age auquel leur taille égalait celle d'un bœuf. Tel était l'énorme diable de canahan qui attendait derrière son maître, un félin au pelage épais et blanc. Si le diable avait une soixantaine d'années, l'homme avait environ quatre-vingt ans. Probablement était-ce un de ces riches militaires pouvant s'offrir des régénération cellulaires et des injections de SINE (système immunitaire nano-élémentaire) faites de nano robots qui occupaient le rôle de tous globules blancs ou rouges du système immunitaire en plus de faire cicatriser n'importe quelle blessure en quelques minutes. Il n'en fallait pas plus a Pedro pour le détester. Un homme suffisamment riche pouvait facilement devenir immortel sur Marachi, alors que de telles pratiques étaient interdites sur Terranova où l'on interdisait les soins rajeunissant à partir de l'age de mille ans. Age jamais encore atteint puisque les techniques de rajeunissement n'existaient que depuis quatre au cinq cent ans. L'homme pris la parole : « -Je suis le commandant Mantis, et voici mon diable, Belgabad. Il avait une voix de jeune homme, mais ses yeux légèrement vitreux dénonçaient son age. -Foroy diablathane, foroy karethane. Dit le diable géant d'une voix grave et puissant. » Le fait que le diable lui parle en canahan était une marque de respect. Pedro remarqua que les poils de Vrael s'étaient hérissés en voyant son gigantesque semblable. « -Bonjours commandant. Répondit Pedro, foroy diablathil Belgabad. -Bonjour commandant Mantis, foroy diablathil Belgabad. Dit Vrael -J’aimerais plus de respect à l'avenir petit diable je suis ton supérieur ne l'oublie pas ! Activez la projection tactique soldat ! » Pedro s'avança vers l'un des murs de la pièce puis y appuya son index, un petit clavier apparut derrière lui en suspension dans la salle, il entra le code puis valida en dessinant dans l'air chacun des chiffres du code. Les lumières s’éteignirent dans la salle jusqu'à ce qu'il fasse noir complet. Un plan de Kenec en trois dimensions se matérialisa dans la salle et les quatre individus découvrirent avec horreur que la forteresse était encerclée de points rouges. « Vite ! Gueula Mantis, sortez prévenir nos hommes ! Vous effectuerez une sortie, vous foncez avec trois milles hommes sur le sud est , vous brisez l'encerclement, vous vous rassemblez aux alentours du poste de la police puis vous envoyez vos homme par petits groupes harceler les impériaux ! Pendant ce temps je tenterais une sortie massive du fort. Allez remuez vous ! Belgabad vient avec vous. » Pedro ne put rien ajouter, il présenta la situation dans son micro puis demanda a trois compagnie de le rejoindre devant la porte sud, puis sortit de la salle, Vrael et Belgabad sur ses talons. Il débouchèrent dans les couloirs interminables du fort au pas de course parmi les soldats affolés par l'appel de leur commandant. Ceux qui ne s'écartaient pas devant Belgabad étaient violemment bousculés par le puissant félin. Les sergents et les capitaines commençaient t'a donner les ordres à leurs hommes. La forteresse s'éveilla comme un seul homme, les pièces d’artillerie étaient armées, les fusils chargés et le cliquetis des sécurités des-bloquées emplit la place forte. Les diables quand à eux s'étiraient et commençaient-a prononcer de longues litanies dans leur langue, préparant leur corps, leurs cœur et leur âme au combat à venir. Avant d'entrer dans le hall de la porte sud, Pedro demanda à Vrael de monter en haut des murailles pour observer les positions ennemies. Puis il ouvrit la porte qui donnait sur le balcon de commandement du hall. L’immensité des halls du fort l'avait toujours ébahit, des salles de quarante mètres de haut longues de plus de cent mètres et larges d'au moins cinquante. Les trois milles hommes étaient rangés, diables à leurs cotés, au garde à vous main droite sur le cœur et fusil posé au sol. Les diables eux se tenaient assis, tête levée et queue pliée contre leur coté droit. Belgabad s'avança jusqu'au bord du balcon, surplombant les soldats d'une vingtaine de mètres, Pedro se plaça à ses cotés. Belgabad annonça ensuite d'une voix surpuissante et plus grave que tout ce que Pedro avait entendu jusqu'à maintenant : « Soldats ! Hommes ! Femmes ! Diablos ! Diablas !Nos ennemis ont était plus rapide que nous ! Nous pensions les prendre par surprise, mais c'est nous qui nous retrouvons en mauvaise posture ! Mais nous ne sommes pas perdus pour autant ! Vous êtes de vétérans de Marachi ! Vous combattez tous les jours depuis maintenant trois semaines, nous avons connu des hauts comme des bas, mais sommes les habitants légitimes de Marachi ! Il semblerait que la stratégie à aborder soit désormais une défense ! Nous venons d'apprendre que chaque fort de chaque bataillon de Marachi est assiégé comme le notre ! Mais le notre est le plus puissant et le plus solide de la planète après le Fort Noir des khajiits ! Nous sommes dans Fort Hraggstad ! Le fort du huitième bataillon de l'armée planétaire de Marachi ! Nous avons juré de défendre notre fort jusqu'à la mort ! Les impériaux pensent que notre forteresse de pierre ne tiendra pas longtemps sous leurs tirs de basilisk ou de colosus ! Et ils auraient raison si le fort n'était fait que de pierre ! Mais ils ne l'est pas ! Notre fort est protégé par les puissants enchantements que des milliers de diables ont prononcé pour renforcer les rocs dont Fort Hraggstad est fait ! Il ne craint ni la fournaise des tirs de plasma ni la force des coups de leurs titans ! Mais l'enchantement que nous avons érigé ne tiendra pas éternellement ! Ainsi nous devons effectuer une sortie pour annihiler ou au pire repousser nos assaillants ! Le messager khajiit nous a appris que l'empereur M'aiq a envoyé huit mille khajiit en avant garde soutenir chaque fort avant l'arrivée de l'armée entière des khajiits ! Dehors nous seront peut-être a un contre dix mais quand les khajiits seront à nos cotés, le faiblesse du nombre sera largement compensé par la qualité individuelle ! Chaque khajiit vaut au moins quatre d'entre vous diable compris ! Vous vous battrez avec honneur et talent ! Vos fils, vos petits fils vanteront vos exploits pendant des siècles quand nous aurons libéré Marachi de la racaille impériale ! Pour Fort Hraggstad ! Pour Gurats ! Pour Kenec ! Pour Marachi ! » Belgabad acheva son discours par un rugissement digne des dragons de Markrath, les murs tremblèrent, les casques tintèrent, les diables plaquèrent leurs oreilles contre leurs tête, les hommes vacillèrent mais aucun ne commit l'impolitesse de se couvrir les oreilles. Le félin blanc aux yeux bleus se retourna et sortit du balcon, au passage, il dit à Pedro d'une voie grave : « A votre tour karethane, tâchez de motiver vos hommes, je ne suis pas sur que mes paroles leurs conviennent totalement. Nous retrouverons en bas. » Pedro s'avança là oùu se trouvait le diable au par avant puis leva les bras poings serré : « Soldats !!! Je n'ai pas la voie aussi forte que notre bon diablathil Belgabad, mais je peux tout de même m'adresser à vous ! Je vous parlerai sur un plan plus tactique que le diablathil Belgabad. Chaque bataillon de notre armée se trouvent à l'heur actuelle dans la même situation que nous : assiégés par la garde impériale ! Au moment où je vous parle, une bataille sanglante se déroule aux pied des murailles de Fort Dunstad ! Au moment où je vous parle les pièces artilleries de Fort Amol échangent leurs salves avec l'artillerie mobile impériale ! Au moment où je vous parle la porte de Fort Mortal est attaquée par un titan warlord ! Au moment où je vous parle, nos pièces d'artilleries ont le viseur braqué sur les lignes imériales, n'attendant que l'ordre de tirer ! Au moment où je vous parle les basilisks et les colosus impériaux sont chargés de leurs obuts, les leman russ attendent qu'on leur ordonne de foncer vers nos murailles, les titans warhounds, reavers et warlords impériaux se préparent à marcher sur notre forteresse ! Mais au moment où je vous parle Fort Noir vomit des légions de khajiits ! Au moment où je vous parle, huit mille khajiits se cachent dans les ruines du poste de police de Kenec ! Au moment où je vous parle, soldats, sont comptés les dernières heures de la présence impériale sur Marachi !!! Car oui ! Avec l'aide des khajiits, nous pouvons vaincre la garde impériale !! Avec moi soldats !!! POUR MARACHI !!!!! » Le cris des trois milles hommes n'eut pas l'effet espéré par Pedro, si ses hommes étaient motivés, convaincu de la justesse de leur cause, ils n'avaient pas dépassé en puissance le hurlement du diable. Après un garde à vous déterminé, Pedro sortit du balcon puis descendit les escaliers jusqu'aux rangées de soldats. Vrael l'attendait, assis aux cotés de Belgabad. «-Alors ? Demanda Pedro -Alors c'est pas gagné... Les sentinelles estiment cent vingt mille hommes autour du fort, trois cents pièces d'artilleries et deux cents chars d'assaut. Mais ce n'est rien comparé aux quatre titans warlord et aux deux reavers qui pointent leurs armes sur nous. Au moins, aucun aéronef n'a encore montré le bout de son nez... » Les paroles de Vrael lui glacèrent le sang. Une rude et sanglante bataille se préparait. A vos claviers !
  13. Moi qui suis si à cheval sur le fluff d'habitude, me faire critiquer la dessus me fait bien rire ^^ Mais tu as raison, j'ai oublié deux trois détails... Comme la dernière fois je vais te répondre point par point : 1°: Chenkov n'est pas un "simple militaire" lui non plus, c'est le commandant des forces de Valhalla mais c'est surtout un personnage impitoyable et orgueilleux. Ce qu'il a dit lui retombera dessus (de même qu'à Giraud). Ensuite il faut savoir que je n'aime pas les Ultramarants mais je vais essayer de moins le faire apparaître... :/ 2°: J'ai légerement éxagéré sur "l'anéantissement" de la 3ème compagnie, tois hommes ont survécu (le champion Giani, l'apothicaire qui a achevé Fabian, et un troisième marine, ce sont eux qui ont capturé Kubrik). Quand à la résistance des armures NRJ, voir qu'une galette F8 PA3 d'un obusier abat une escouade à chaque tir, des torpilles à fusion lancées non pas depuis un char rutillant de la garde mais depuis un chasseur moderne d'une colonie avancée sur la technologie devraient avoir un effet similaire puissance 10... 3°: Sur Kathleen je ne dirais rien, ce personnage est en fait une des pièces maîtresse de l'histoire, oui son arme grince, oui c'est une psyker (oui oui ^^) mais elle a ses raisons et elle va vous surprendre. Pour le reste dites vous qu'à chaque chapitre, où qu'il se passe quoi qu'il se passe, le guerre embrase de plus en plus Terranova et des moyens de plus en plus importants sont employés. Vous aurez le chap 8 d'ici la fin de la semaine (il sera long). Il se déroulera sur Marachi, la lune de Terranova et fera apparaître deux nouveau personnages, Pedro, un soldat et Vrael qui est très très spécial. Vous aurez peut-être du mal à comprendre le concèpt mais j'essayerai de l''expliquer au mieux.
  14. Vous n'avez aucun com à me faire ? Même un petit truc ce serait sympa de me faire part de vos remarques sinon j'arrêterais.
  15. Et hop ! un petit 6 ème chapitre chapitre 6 : Imperator Le Gigas Aurea se positionna en orbite autour de Terranova, depuis le pont de contrôle, le commandant Giraud, capitaine du croiseur, observait la planète, ses deux continents qui se faisaient face, comme deux géants se toisant. Les deux géants avaient les cheveux et les pieds blancs, mais l'un avait le ventre jaune, l'autre marron et blanc. tout deux avaient le corps vert, où quelques taches grises contrastaient les couleurs naturelles de la planète. les couleurs étaient magnifiques, de gros nuages blancs, le bleu foncé des océans, bleu lagon entre les deux continents. Il se perdait dans la beauté de cette planète, plus belle encore que Talassar où Catachan vu de l'espace. Il avait voyagé partout dans la galaxie, il avait vu des centaines de mondes, mais celui-ci surpassait tout les autres. Le regard vague, les pensées surfant entre son vécu et ses fantasmes, le commandant reçut comme un choc lorsque la barge Ultramarine Octavius se plaça devant son croiseur, cachant entièrement la planète de son champs de vision. Il aurait pu l'écraser en un mot, lui, chef de la flotte tempestus de Bakka, capitaine du Gigas Aurea, le croiseur ayant remplacé le légendaire Dominus Astra après son sacrifice dans la bataille pour Macrage, à la tête de la flotte. Et c'était vrai, en face du gigantesque croiseur de classe empereur, la barge Ultramarine était ridicule. Lors de son inauguration, le légat de l'adeptus mechanicus responsable de sa construction avait affirmé que ce croiseur était le plus important bâtiment spatial impérial en taille comme en puissance après le Roc des Dark Angels. La sœur Kathleen entra dans la salle de contrôle, le visage grave : "-Capitaine, nous sommes demandés par Lord Calgar. La situation est grave selon lui. Il nous attend dans la salle de conférence de l'Octavius dans dix minutes. -Entendu sœur Kathleen, j'y serais." Répondit le commandant, rougeoyant de colère. La sœur se retourna immédiatement et sortit de la salle, silencieusement. Marcus exlosa alors et hurla à l'adresse d'un pauvre serviteur lobotomisé "Pour qui se prend-t-il ce Calgar ! Je pourrais l'écraser comme un insecte lui et son chapitre ! Sauf que je le ferait seul, à l'aide d'un seul bâtiment ! Deplus la salle de confèrence du Gigas Aurea est bien plus confortable et digne que la sale pièce sombre, d'adamantium incolore de cet Octavius !" Il demanda sa navette personnelle et sortit du poste de commandement en trombe et fonça vers sa baie de lancement personnelle. Lorsqu'il arriva, sa navette était prête, il grimpa, s'assit devant un hublot et ordonna au pilote de le déposer sur l'Octavius. La navette décolla, franchit le champs anti-vide puis s'élança vers la barge ultramarine. Bien que par sa taille elle semblait être proche, elle se trouvait à plus de cinq kilomètres du croiseur. Alors que la barge grossissait, la forme étouffante du croiseur conservait sa taille. Et il y avait de quoi, plus de huit mille mètres de long pour au maximum trois mille de haut et mille cinq-cent de large. Comment Calgar osait-il l'inviter à bard de cette barge d'un bleu délavé et sale, alors qu'il avait en face de lui un croiseur couleur or, bien plus moderne et confortable ? La navette se posa dans une baie d’atterrissage quelconque, pas de baie privilégiée, une baie miteuse et salle d'un bleu aussi terne que le reste de la barge. Marcus sortit de son transport et fut accueillit par une escouade de marines en armes qui l'intimèrent de les suivre. Le commandant les suivit jusqu'à une salle sombre, éclairée que d'un seul globe lumineux. C'était un petit amphithéâtre que présidait, évidement, Calgar. Les huit capitaines de compagnies disponibles étaient présents, Le commandant Chenkov, chef du groupe de combat était là, il y avait aussi Tigurius le maître archiviste du chapitre ainsi que Kathleen. La sœur de bataille illuminait seule la salle de sa beauté. Jamais il n'avait vu si belle femme, malgré son œil droit bionique et sa grosse balafre sur sa joue droite, elle était magnifique, ses cheveux noirs soyeux, son œil bleu azur, sa peau parfaite et sa fleur de lys tatouée sur sa joue gauche. Sa belle voie envoûtante... Dommage qu'elle soit sœur de bataille... Calgar l'invita à prendre place face à lui. Ce dernier pris alors la parole en se levant : "-Je vous ait réuni ici dans le but... -La salle de conférence du Gigas Aurea aurait-été bien plus adaptée à cette réunion. le coupa Marcus -Je n'en doute pas, répondit sèchement le marine, comme je le disait, je vous ait réunis dans le but de trouver des solutions au problème qui se pose. En effet nous avons probablement gravement sous-estimé les forces de ce monde. Nous avons perdu notre troisième compagnie au complet sous des frappes aériennes. Messire Sicarius a été capturé hier par des troupes au sol qui ont, auparavant massacré le corps de la garde impériale envoyée sur place. Mais les trois survivants de la troisième compagnie ont réussit à capturer un autochtone." Deux terminators entrèrent alors dans la pièce, encadrant un jeune homme. "-Ce jeune homme homme a été capturé afin de nous apporter des informations supplémentaires sur les forces et les équipements des habitants de ce monde. Il parle un vieux français, mais vous devriez comprendre. Alors jeune homme, parlez, quelles sont les forces employés au sol ? Leurs équipement, effectifs ? Allons, parlez ! -Je ne parlerais pas ! Pour qui vous prenez vous ? Vous serez écrasés par nos forces alors à quoi bon vous parler et être traité en traître par mon peuple alors que je peux éviter cela ? -Dans ce cas tu nous fait perdre notre temps or j'ai horreur de perdre mon temps, lança Chenkov, Soldat abattez cet homme ! un homme en armure verte se leva, il pointa sur Kubrik une arme laser fumante -SUFFIT ! hurla Calgar, il parlera ! Apothicaire ! Apportez le sérum de vérité ! Je suis le chef de ce corps d'armée et c'est a moi qu'incombe la tâche de donner les ordres ! -Et de quel droit ?! reprit Chenkov, vous et vous 1000 non, pardon, 900 marines, mes 3 millions de soldats, mes 25 000 blindé et mes 1200 troupes de choc ne feraient qu'une bouchée de votre pitoyable chapitre ! -Certes, reprit Calgar toujours plus fort, mais sans flotte vous n'êtes rien, je possède la flotte et l'armée, vous n'avez que l'armée ! Et... -J'ai la flotte ! coupa Giraud, le Gigas Aurea seul atomiserait votre flotte ! -Une escouade de Terminator en mettrait fin ! Sœur Kathleen se leva prestement et gracieusement puis claqua du doigt, -Domage, my lord, que mes sœurs et moi même avons établit notre QG dans le Gigas Aurea... Vos terminators, si obéissants soit-ils n'oseraient pas s'en prendre aux filles de l'Empereur. Elle eut un éclat de rire, Arrêtez vos gamineries voyons ! Lord Calgar est le chef du groupe d'armée, à quoi bon vous disputer, je vais m’occuper personnellement de ce jeune homme, pour le faire parler il faut le mettre en confiance. Ce n'est pas en l'entourant de terminator ou en le menaçant avec des kasrkins qu'il parlera, continua t' elle dans la langue impériale officielle afin d'empêcher au garçon de comprendre. sur ce, je vous laisse. Tachez de trouver un terrain d'entente quand à la suite des opérations. Elle adressa un sourire éblouissant à son auditoire puis, après un bref ordre adressé à ses sœurs, elle descendit vers Kubrik, lui adressa son plus charmant sourire en l'invitant à le suivre. Kubrik était désormais seul avec la jeune femme qui lui avait apparemment sauvé la vie lors de la conférence. Il ressassait en permanence ce qui c'était passé lors des 48 dernières heures. L'assaut depuis l'espace, sa tentative de défense puis sa capture et son envoie dans l'espace. Il était perdu dans ses pensées, il ne comprenais plus rien. Il pleurait encore ses problèmes personnels qu'on l'avais arraché à même de sa planète et maintenant on lui demandait de trahir son peuple. Il n'avais plus qu'une envie, pleurer, hurler, frapper, tuer tous ces êtres en armures qui l'entouraient. La guerrière l'avais mené dans une salle de lancement de vaisseaux, il connaissait déjà cette technologie de champs de force. La France possédait de nombreux ports sous marins employant ce genre de technologie pour empêcher l'eau de noyer le port. Quoique l'ouverture sur l'espace rendait la vue vertigineuse. La femme l'invita à bord de l'appareil posé dans la baie. Il ressemblait aux capsule de transport que Marachi et Terranova échangeaient pour transporter des hommes ainsi que du matériel. C'était une grosse forme ovale au sol plat, l'arrière était ouvert par trois tuyère dont celle du milieu assurais la principale propulsion de l'engin vu sa taille, le poste de pilotage conservait parfaitement la forme ovale de l'appareil, il devait mesurer une quinzaine de mètres de long pour cinq de large au maximum de l'élargissement de l’ovale. Il précéda la femme et fut surpris de trouver un intérieur assez confortable (qui aurais correspondu à une première classe pour les voyages Terranova-Marachi). Il fut prié de prendre place là où il le désirais, et choisis un gros siège en cuir à coté d'un hublot. La femme soldat s'assit face à lui et lui demanda : -Quel est ton nom, jeune homme ? -Mon nom ? Je m'appelle Kubrik. -Moi, je m'appelle Kathleen. Tu porte un nom noble tu sais, l'homme qui a voulu te faire exécuter porte le même nom. -Qu'y a-t-il de noble à exécuter un homme ? -Rien, je suis d'accord avec toi. La voie claire, presque sensuelle et le regard insistant bleu glace de la jeune femme perturbait Chenkov, elle lui semblait trop sympathique a son goût pour être sincère. Elle continua : -Es tu déjà allé dans l'espace ? -Non, répondit-il sur ses gardes -Alors prépare toi à passer ton baptême spatiale, lui répondit-elle avec un sourire. Elle s'adressa alors au pilote que Kubrik n'avait jusqu'alors pas remarqué, à mes appartement, pilote, et vite ! Son ton autoritaire était impressionnant, personne n'aurais put lui refuser ce qu'elle demandait. Lentement le vaisseau sortit de la baie puis accéléra en direction d'un autre vaisseau. Un vaisseau colossal, plus gros qu'une ville entière. De toute sa vie il n'avais jamais vu rien de tel à part peut être les plus gros bateaux de guerre américains qui passaient au large du continent bis, où se trouvait la France. Ayant sûrement remarqué son émerveillement, la guerrière lui dit : -c'est le plus gros bâtiment de tout notre empire, enfin, il en existe un autre plus grand et puissant encore mais il a était bâtit à partir d'une montagne, donc on ne peut pas dire qu'il compte. Une foule de questions se bousculaient dans la tête de Kubrik, mais il refusait de les poser. Puis il lâcha : - Combien de temps a pris sa construction ? -Plus de cinq cent ans. -Cinq cent ans ! Mais pourquoi a t-il cette couleur dorée ? La jeune femme paru satisfaite. -Je ne sais pas. Le légat responsable de sa construction en avait décidé ainsi voilà tout. -Mais je... Enfin c'est... -Tu peux me poser toutes les questions que tu le veux, je suis ton amie ici, pas ton ennemie. Crois le... Le vaisseau atterrie dans une vaste baie colorée. Lorsque Kubrik vit la vingtaine de soldats semblable à celui qui avais faillit l'exécuter son pouls accéléra, mais une main ganté vint se poser sur son épaule : -n'aie pas peur, ceux xi sont sous mes ordres, ils ne te feront aucun mal. quand ils sortirent de la navette, les soldats se mirent au garde-à-vous, Kathleen ne les regarda même pas mais leur adressa un "Rompez" en passant par l'ouverture du sas. Ils entrèrent alors dans un vaste appartement au moins aussi grand qu'une maison. -Il est beau n'est ce pas ? Kubrik ne répondit pas. -Nous avons beaucoup de choses à nous dire, Kubrik. Elle remua son armure qui grinça -Je vais prendre une tenue plus confortable, dit elle avec un air espiègle puis elle désigna une porte du menton, je serais là, évite juste d'ouvrir la porte. En attendant fais comme chez toi. Kathleen disparut derrière la lourde porte, laissant Kubrik perdu dans ses pensées. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Et un 7 ème chpitre sur lequel je suis très sceptique... A vos claviers ! chapitre 7 : Elisabeth l'entendait, elle entendait ses lourd pas, sa respiration. Elle entendit un grincement de bois caractéristique, il montait l'escalier ! Depuis qu'il était entré dans la maison, les sons avaient cessés. À part deux détonations, signant probablement la mort de sa mère et de sa grande sœur, le silence avait était des plus profond. Un nouveau grincement, celui ci signalait qu'il était en haut de l'escalier. Elle faillit hurler mais retint sa voie in extremis. Vite ! Elle devait trouver quelque chose, et vite ! Elle entendit la porte de la salle de bain voler en éclat. La prochaine serait ça chambre. Elle trouva. Elle se leva sur la pointe des pieds, fit son lit le plus vite t le plus discrètement possible puis se jeta sous son lit une seconde avant que sa porte ne vole en éclat. Il, ou elle, peut-être ça. Elle ne savais pas ce qui était entré dans sa maison. A part les lourd pas qui faisaient trembler le sol au fur et à mesure qu'il se rapprochait et sa forte respiration, elle ne savais rien de lui. Lui parce que quoi qu'il, elle ou ça était, c'était un intrus. Elle faillit pleurer en pensant à l'absence de son père, mobilisé dans l'escadron syncro 7 pour combattre ces mystérieux envahisseurs au Brésil, mais elle s'empêcha une fois de plus in extremis en se mordant la langue. Ses pas étaient lents et ils faisaient trembler tout l'étage, à tel point qu'à chaque fois que son pied touchait le sol, elle avait l'impression que son armoire s'écroulait. Elle vit alors ses pieds, deux bottes aux dimensions monstrueuses. Elle étaient apparemment faites d'acier. Sa respiration était si forte qu'elle crut une second qu'un aspirateur se mettait en route. Elle l'entendit arracher brutalement la couette et les draps du lit. Elle retint sa respiration et ferma les yeux, comme si ignorer ce qui se passait le ferait disparaître. Mais l'heure n'était plus à savoir si elle rêvait ou pas. Elle s'était déjà pincée, mordue ou fait tout ce qui aurais pur prouver qu'elle rêvait. Mais elle ne rêvait pas. Un poing rouge, or au niveau des jointures, transperça le lit et s'enfonça de plusieurs centimètres dans le sol. Il retira légèrement son bras, de la même couleur, de façon à libérer sa main du parquet. Il tâtonna quelques secondes le sol. Elisabeth n'en pouvait plus de retenir son souffle, ça devenait intenable. Il retira son bras du lit aussi brutalement qu'il l'avait enfoncé puis sortit de la chambre plus rapidement qu'il y était entré. Elisabeth inspira l'air a plein poumon, elle n'y croyait pas ! Si il était fort, c'était un idiot. Elle remarqua qu'il avait arrêté de marcher. Un rire démoniaque envahit la maison. Et les pas reprirent, vers son lit. Lorsqu'elle revit les botte, un long grincement ce fit entendre et les rires cessèrent. Une main se posa sur le sol, proche des botte, puis un horrible visage apparut. On aurais dit un crâne, mais les yeux brillaient d'une lumière démoniaque, éclairant le rouge écarlate du visage. Une voix horrible sortit du visage, sans que ses lèvres ne bougent : "Je t'ai trouvé !" Il se releva brusquement puis un bruit de moteur à explosion couvrit le rire fou du berserk. Une tronçonneuse d'au moins moins un mètre cinquante sectionna le lit en deux, à quelques centimètres de sa tête. Elle eut à peine le temps de se recroqueviller sous les pieds arrières du lit pour ne pas être écrasé que le lit fut de nouveau tailladé. Cette fois elle sortit de sa cachette, et se jeta au sol, évitant par chance un moulinet de l'épée tronçonneuse. Elle réussit à se lever mais fut obligé de reculer sous les coups frénétiques du marine. Elle finit par sortir de sa chambre en courant et en hurlant toute sa peur. La peur, incompréhension, elle ne bougeait que par instinct. Ce fut par chance qu'elle choisit de se ruer dans les escaliers. Quelqu'un était en train de les monter, quelque chose de noir et de gigantesque, alors qu'elle allait lui foncer dessus, une main ferme et rassurant la ralentit puis l' étreignit, tandis qu'une voix de femme rugissait : -Fuis hérétique, ou je te purifie jusqu'à ce que ton corps ne contienne plus une goutte de sang ! La voix résonna comme un coup de tonner malgré sa clarté et sa grâce. -Jamais ! répondit l’hérétique, plutôt mourir ! -Pauvre fou. Conclut Kathleen." Le bras qui serrait Elisabeth se tendit vers le berserk et un éclair bleu en jaillit et frappa l'hérétique. Celui ci fut pris de convulsion et alors qu'il échappait son épée tronçonneuse, une longue épée aux arcs d'énergie crépitants battit l'air gracieusement puis empala le berserk qui hurla de douleur. La sœur de bataille retira son épée du ventre du berserk puis le décapita d'un élégant revers de la lame. La tête heurta le sol dans un bruit sourd, mais le corps de l'hérétique ne bougea pas et resta debout. -Mais qui êtes vous ?! Demanda Elisabeth -Je m'appelle Kathleen, je suis là pour t'aider. Et toi quel est ton nom ? La voix de la géante était douce, autoritaire, on aurais put faire une liste infinie d’adjectifs pour qualifier sa voix. -Je m'appelle Elisabeth. Où est ma mère ? Où est ma sœur ? Pourquoi venez vous m'aider ? Dans le noir, Elisabeth ne voyait qu'un visage pâle flotter, éclairé par les arcs d'énergie crépitants de l'épée. -Ta mère et ta sœurs sont... Le berserk les a tué. Sa voix tomba comme la foudre. La décharge avait paralysée Elisabeth. -Pourquoi ? Pourquoi ?! Dites moi seulement pourquoi ?! Hurla t' elle. -Je suis désolé Elisabeth, mais je suis arrivé trop tard... Viens avec moi s'il te plait, je t'expliquerai tout c'est promis, mais là ou sommes tu es en danger. Si ses compagnons nous trouvent, dit-elle en montrant le cadavre du berserk, je ne pourrais pas te protéger. Allez, viens. Elisabeth n'avais aucune envie de la suivre, mais le ton de la guerrière la forçait à obéir. Une forte lumière accompagné d'un cliquetis infernal de chenille illumina la pièce en passant par la fenêtre puis perdu en intensité. La vue des deux cadavres sur le canapé, l'un sans tête l'autre poitrine explosée, la vie s'écrouler de pleurs. Kathleen ouvrit sa main gauche, la même qui avait lancé l'éclair, et une petite orbe sombre et lumineuse à la fois sortit de nul part dans sa paume. Curieusement, aucun son ne sortait de sa bouche, et aucun ne parvenait à ses oreilles. Kathleen rangea son épée dans son fourreau et pris Elisabeth de sa main libre. Elle la tira jusqu'à la porte d'entrée par la main. Elle lança l'orbe dans les escalier et bouche les oreilles d'Elisabeth en les couvrant de ses grosses mains gantées. Un sifflement retentit quand la petite orbe se brisa sur l'escalier. En dehors de la maison, Elisabethe entendit des hommes hurler "Mort au faux empereur !" Puis un géant en armure non plus rouge mais violette brisa une porte fenêtre et entra dans la maison en riant. Lorsqu'il vu Elisabeth et Kathleen son rire cessa immédiatement et il pointa son énorme fusil sur elles. "Ceux ci, dit Kathleen à l’oreille d'Elisabeth, je peux m' en débarasser facilement !" Kathleen éclata de rire puis, exploitant la surprise du renégat, il pointa ses deux bras vers le guerrier mais il ne se passa rien. Elisabeth frémit quand elle vit la mine déconfite de la sœur de battaille. -Hahahahaha, fit le renégat, tu ne sais même pas te servir du warp, pauvre laquai de l'usurpateur, je vais te montrer ! Deux halos de feu partir de ces coudes puis montèrent vers ses mains, il lâcha son arme puis explosa de rire lorsque les halos formèrent deux boules de feu dans ses mains. -Voilà ce qu'est la maîtrise du warp fille du faux empereur ! -Tu veux voir du feu, hérétique ? demanda Kathleen sur un ton amusé deux halos apparurent au niveaux de ses coudes mais au lieu de monter vers les mains, ils s'étendirent jusqu'à ce que deux brasiers recouvrent entièrement les avants bras de la sœur de bataille. Trois nouveaux marine du chaos entrèrent et observèrent l'étrange scène qui se déroulait. Le psyker lança ses boules de feu sur les deux femmes d'un air satisfait. Mais ses boules de feu s’éteignirent mystérieusement, soufflées par une puissante bourrasque qui fit même reculer les quatre renégats. Kathleen se mit devant Elisabeth, face aux quatre hommes, elle écarta ses bras. Les brasiers s'étendirent jusqu'aux épaules, puis des arcs d'énergie se joinrent au ballet infernal des flammes. Comme un, seul homme, les renégats ouvrirent le feu, Elisabeth se jeta au sol en hurlant. Mais un mur invisible arrêtait les balles à un mètre de la sœur. Puis celle ci tourna sur elle même et tendis le bras vers les renégats. Un flot de flamme et d'énergie traversa la pièce et fit fondre les armures des hérétiques jusqu'à ce que chacun ne soit plus qu'un petit tas de cendres noyé dans une petite flaque d'adamantium. "Suis moi, vite ! " Kathleen enfonça la porte d'un coup de pied puis s'élança dans le noir de la nuit, Elisabeth en pleurs sur ses talons.
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