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Warhammer Forum

[40K] Du Sang et du sable (Nouvelle Black Library)


Erandorn

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Bonjour, j'ai participé à "l'open submission" de Black library.

 

Voici mon projet:

 

Du Sang et du sable.

 

1.

 

        La nuit n’allait pas tarder à tomber mais Yasmina voulait finir cette zone. Son instinct lui disait de continuer, qu’elle allait enfin trouver quelque chose dans ce vaste dédale de ruines et de véhicules abandonnés depuis des siècles, peut-être même ce qui sortirait sa famille de la misère.

Elle savait que cette zone n’était pas recommandée par ses collègues fouisseurs, considérée comme maudite, suite aux nombreuses disparition ces dernières années.

 

La chance est avec moi, je le sens. Se convainquit-elle.

 

Son père, Murhad, l’accompagnait, mais n’y croyait pas trop, il n’avait plus la fibre, il avait abandonné. Il avançait avec prudence et peur.

 

Une perte de temps d’après lui …

 

Ils étaient loin dans ce dédale de plastacier et céramite, il leur faudra au moins 3h pour retourner au camp de fortune de sa famille en bordure de la ville … une sorte de bidonville archéologique que le gouverneur tolère, faute de mieux …

 

Son père était en train de récupérer des servomoteurs dans les véhicules entassés, car ce sont les pièces qui se revendent le mieux.

Et surtout parce que c’est dans ces endroits où il a le moins de chance de voir les squelettes poussiéreux.

 

Les vestiges du génocide laissé par les Iron warriors sont devenus leur marché aux puces, leur moyen de subsistance et de survie.

 

 

Il y a si longtemps … pourtant partout où mon regard se pose, ces vestiges me donnent l’impression que c’est presque frais … trop frais même …

 

Yasmina secoue la tête et se remit au travail.

 

Dans le soleil couchant, un éclat attira son œil …

 

Etonnant sous tout ce sable et cette rouille

 

Elle se faufilla sous les carcasses non sans difficulté, son chèche couleur crème s’effila sur la ferraille, elle jura, mais continua et atterrit dans un petit espace bizarrement ouvert … presque … propre, une trappe était légèrement dégagée du sable.

 

Bizarre …

 

Yasmina tourne la tête de droite et de gauche, sans trouver de trace de pas, ou de signe d’activité récente.

 

Ne laisse pas ton imagination te jouer des tours, c’est peut-être un autre groupe qui est passé par là il y a peu.

 

Prudemment, elle s’approcha de la trappe, sortit son pistolet laser, sa torche qu’elle alluma et fixa dessus, et ouvrit celle-ci prudemment en braquant le faisceau lumineux par l’ouverture.

Rien.

Elle l’ouvrit en grand, et pointa la lumière à l’intérieur, mais il faisait trop sombre, ce qui ne l’empêcha pas de voir une échelle métallique qui descendait dans ce puit sans fond, que la lumière n’arrivait pas à percer, la poussière et le sable jouant dans le cône lumineux.

 

Je devrais aller chercher mon père, ça ravivera peut-être son intérêt.

 

Elle jeta un coup d’œil aux 2 soleils, ils étaient déjà bas.

Elle se décida et alla le voir pour lui expliquer sa découverte.

Il essaya de la dissuader d’y retourner, prétextant l’heure tardive, mais aucun argument ne fonctionna.

Par dépit, il accepta. Ils se dirigèrent vers leur véhicule, elle changea de lampe torche, s’assura que le pistolet laser dans son holster était bien fixé, enfila son sac contenant une corde et divers accessoires, puis avec un regard vers son père, qui prit juste une lampe et une sacoche vide, se mirent en route.

Ils n’échangèrent presque aucun mot sur le trajet menant à cette trappe de plastacier rutilante, complètement irréelle dans cet endroit bouffé par la rouille depuis des siècles.

Une fois sur place, elle fit un tour d’horizon regarda vers le soleil, puis se décida.

 

Elle alluma sa lampe, la fixa à une des bottes, rayon vers le bas et enjamba le rebord pour accéder à l’échelle métallique.

Son père suivi peu après.

La descente prit cinq bonne minutes, dans un tube en durabéton d’environ 1 mètre de diamètre, qui s’arrêta dans le vide.

Yasmina observa l’ouverture de plus près et aperçu le sol trois mètres plus bas. Elle se mit à bout de bras sur la dernière arche et se laissa tomber.

Murhad fit de même, après avoir solidement accroché une échelle de corde.

 

Yasmina scrutait la zone.

Un tunnel de terre, comme si un vers géant avait creusé, des racines pendaient mollement.

La terre au sol était humide.

Pas un bruit.

Yasmina se mit à chercher des traces au sol, et la majorité allaient de la gauche vers la droite.

Elle se dirigea donc à droite.

La marche n’était pas difficile, un faux plat descendant de plusieurs kilomètres les amena dans une succursale demi-sphérique d’environ vingt cinq mètres de diamètre.

Un rapide tour de lampe montra un gros tas sur la gauche, accompagné d’une odeur cuivrée et légèrement pourrie. En se rapprochant, une envie de vomir la prit. C’était un tas de cadavres, tous exsangues, et comme vidés de leurs substances. Des insectes avaient déjà commencé leur festin.

Ils se mirent un foulard sur la bouche, reculèrent vers le centre de la salle, et continuèrent dans la suite du tunnel, pressés de sortir de là.

 

L’odeur accrochait leurs narines.

Ils avancèrent avec prudence maintenant, Yasmina avait sorti son pistolet.

Après plusieurs mètres, l’odeur toujours présente commença à l’inquiéter.

Elle se retourna vers son père, cherchant son avis du regard, et se rendit seulement compte qu’il n’avait pas suivi.

Elle rebroussa hâtivement son chemin en jurant, elle marcha vivement pour retourner vers la succursale.

Son père était accroupi, immobile, vers le tas de corps. Elle pointa son faisceau vers lui en chuchotant son nom, mais il ne bougea pas. Une fois vers lui, elle comprit pourquoi.

Une main sur la bouche pour ne pas hurler, elle se mit à pleurer.

Les viscères de son père, pendant mollement de son ventre, ses mains essayant dans un dernier geste de les retenir, le sang imprégnant le sol.

 

Papa non …

 

Elle braqua sa lampe vers le chemin menant à l’échelle, mais il n’y avait rien.

 

S’il y avait eu plus de lumière, elle aurait aperçu l’ombre menaçante qui la recouvrait totalement.

L’odeur du charnier couvrant celle de son assaillant …

 

2.

 

Si jeunes, sur l’échelle de vie d’un space marine. Ils sont comme des nouveaux nés, et pourtant déjà de parfaites machines à tuer.

 

Telles sont les pensées de Eigel, le sergent vétéran de l’escouade, en regardant les novices autour de lui.

 

Si jeunes et déjà promis à un avenir funeste, avant même que leurs ailes se déploient.

 

Le sergent toisa les novices un part un:

Timiel, et Born, les 2 frères jumeaux, puis Esdral, et enfin Philineos.

A peine sortis de leur formation de deux ans, suite aux nombreux implants qui a fait d’eux des géants et sur-hommes, des space marines.

Le futur du chapitre, d’après Gabriel Seth, nouvellement promu maître de chapitre des Flesh tearers, après la mort de l’ancien, Amir.

Nouvelle philosophie, car en prenant le commandement, il a voulu relancer la dynamique du chapitre et ainsi essayer de renverser le déclin du chapitre … ce qui a bouleversé Cretacia, notre monde d’adoption, à tout jamais …

 

Leur mission était claire. Prendre des échantillons sanguins des populations locales, sur diverses planète, sous prétexte d’une mission de routine de maintien de la paix, puis les remonter au croiseur pour qu’ils soient analysés par les sanguinators, les gardiens du sang de Sanguinius.

Ce cheminement permettrait de trouver un gène compatible, qui affaiblirait la rage noire, fléau du chapitre, et lancer ensuite un recrutement planétaire pour restaurer leur rang affaiblis.

 

- Sergent, nous entrons dans l’atmosphère de Tallarn, préparez-vous pour le débarquement.

Entendirent-ils dans leurs oreillettes.

 

- Bien reçu, confirma-t-il.

- Timiel, va au poste de pilotage du Rhino.

- Oui frère sergent.

 

Il se leva avec empressement, ravi de pouvoir se dégourdir les jambes et montrer ses capacités de pilotes.

 

- Les autres, préparez-vous, c’est certes une mission de routine, mais notre capitaine attend de nous un rapport complet de l’état de la garde impériale en place. Ne Faites pas Honte au Chapitre.

 

- Gloire et Honneur.

- Oui frère sergent », dirent-ils en coeur.

 

Born ne put alors s’empêcher de taquiner Timiel en lui disant :

- Tu n’oublieras pas d’enlever les servofreins cette fois, avec un clin d’œil.

 

Timiel grommella quelque chose en faisant un geste explicite de la main à son frère.

 

Puis tous mirent leur casque en s’affairant.

Cinq minutes plus tard, les lumières disparurent, pour laisser place aux lueurs rouges, signe de l’atterrissage imminent.

 

Après une brève secousse, le Rhino noir et rouge sang, conduit se dégagea du Thunderhawk de transport, et entama un large virage pour s’éloigner, créant un énorme nuage de poussière et de sable, et se dirigea vers la ville, alors que le vaisseau repartait déjà vers l’espace, pour rejoindre le croiseur en orbite.

 

Voilà, nous sommes seuls maintenant. Se mit à penser Eigel.

 

Une chimère de la 8ème compagnie du 95ème d’infanterie les attendait à la sortie de la ville, un petit groupe à l’ombre de celle-ci.

Le Rhino s’arrêta à proximité, et le sergent descendit, accompagné de Born, Esdral, et Philineos.

Leurs carrures imposantes les faisaient dépasser de 3 têtes le plus grand du groupe de soldats.

Les Tallarns se mirent machinalement au garde à vous, attendant les ordres.

Eigel toisa le lieutenant.

 

- Sergent Eigel des Flesh tearers.

 

Eigel se mit à inspecter les fantassins, ignorant la main tendue du lieutenant, entendant vaguement son nom, Imran.

Le lieutenant gêné, et offensé n’en montra pourtant aucun signe et leur intima l’ordre de les suivre jusqu’à leur baraquement.

 

La ville avait des murs hauts de plastacier et durobéton, pour empêcher le sable d’entrer, et semblait minimaliste, comme un avant-poste. Pas d’enfant dans les rues, des volets qui se fermaient sur leur passage.

La réputation du chapitre faisait déjà effet … Leurs armures noire et rouge gore, avec la goutte de sang au centre de la lame circulaire blanche sur leurs épaulières, symbole du chapitre, avait de quoi intimider.

Des soldats, un peu partout, vaquaient à leurs occupations, certains les dévisageaient avec méfiance, d’autres avec une lueur d’espoir.

Une fois devant le bâtiment qui leur était affecté, suffisamment grand pour eux cinq, le lieutenant fit un bref topo de la situation actuelle sur la planète.

 

Les survivants du régiment revenaient d’une campagne éprouvante sur la planète Lorthax, et se remettaient difficilement, mais le recrutement planétaire avait tout de même commencé.

 

Le groupe de marines prit place dans le bâtiment, le Rhino garé à proximité, et commencèrent à s’installer. C’était spartiate mais bien équipé, pas besoin de fioriture.

 

A l’image de cette planète.

 

Puis Eigel se retourna vers l’extérieur. Imran était toujours la, le regard implorant.

 

Eigel soupira.

 

- Oui Lieutenant?

 

Imran remercia l’invitation à parler d’un signe de tête.

 

- Comme je vous l’ai dit plus tôt, notre régiment est en pleine propagande de recrutement, et de préparatifs pour la prochaine campagne. Ne pouvant dépêcher des hommes, j’aurai besoin d’une faveur. Je sais que vous ne me devez rien, j’espère cependant que vous accepterez …

 

Intrigué, Eigel lui fit un signe de la tête, lui intimant de continuer.

 

- Ma femme, Yasmina, a disparu, ainsi que son père Murhad, il y a 3 jours. D’autres fouisseurs ont aussi disparu ces derniers mois.

L’adeptus arbitre de la planète n’en fait pas cas, considérant que cela fait parti des risques de leur profession.

 

Le lieutenant marqua une pause, puis continua.

 

- Elle a disparu dans le désert de la zone nord-ouest. C’est une zone interdite, lieu majeur de la « Bataille de Tallarn » mais les fouisseurs y vont quand même pour récupérer du matériel … Elle m’a dit y avoir trouvé quelque chose qui en vaudrait peut-être le détour.

 

- Il faut bien survivre, ajouta-t-il à voix basse.

 

- Vous avez sa dernière localisation?

 

Imran sorti un databloc, montrant la zone et le point que Yasmina y avait ajouté.

 

- Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien.

 

Le lieutenant s’aplatit en excuse et le remercia, puis retourna à ses occupations régimentaires.

 

Eigel regarda le databloc, en réfléchissant, puis ce décida.

 

Ca ne leur fera pas de mal de se dégourdir un peu.

 

Il appuya sur son oreillette.

 

Réunion dans le baraquement, à 10.00.

 

Un « reçu » général des novices lui répondit instantanément.

 

Timiel sortit compléter le plein du Rhino.

 

Ils se présentèrent tous à l’heure indiqué.

 

Le sergent debout, dans l’encadrement de la porte donnant sur l’extérieur, n’avait pas bougé depuis leur arrivé, pensif.

Il débriefa brièvement de la situation exposé par le lieutenant Imran, puis leur laissa 10 minutes pour se préparer.

La mission ne devait durer qu’un jour tout au plus. La priorité étant celle du chapitre.

Ils se retrouvèrent tous vers le rhino, avec le strict minimum. Un bolter et un couteau de combat chacun, ainsi qu’un chargeur.

L’épée tronçonneuse à 2 mains fixé sur le pack dorsal et le pistolet bolter dans le holster pour le sergent, ainsi que son éternel couteau, dans son étui, fixé à sa jambière.

De quoi manger et boire pour vingt-quatre heures, ainsi qu’une trousse de secours, au cas où. Timiel et Born chargèrent tout à l’arrière du véhicule.

Eigel tendit le databloc au pilote et celui-ci se mit a sa cabine, pendant que les autres entraient par le sas de flanc.

 

Philineos prit une meltabomb qui était dans l’engin de transport et la fixa à sa ceinture. Born prit un chapelet de grenades à fragmentation «ses joujous» plaisantait-il souvent là dessus, qu’il mit en bandoulière sur sa poitrine.

Esdral ajustait la lanière de son bolter.

 

Une certaine tension de combat commençait à se sentir.

 

Eigel lança un regard circulaire et pénétrant sur la baraquement et la ville, puis se décida à rentrer, las.

 

3.

 

Timiel roulait à vive allure, pas de restriction dans ce désert sans vie. Le bip de la localisation dans le databloc en fond sonore.

 

A l’arrière, tous étaient calme, en méditation. Une discipline devenue obligatoire dans le chapitre, pour ne pas céder à la rage noire.

Le véhicule commença à ralentir, et un message dans les hauts parleurs du rhino leur indiqua qu’ils étaient arrivé.

Tous sortir, dans une nonchalance propre aux sur-humains n’ayant peur de rien et n’ayant rien à redouter.

Ils suivirent Eigel, leurs armes en bandoulière, mais prêtent à servir.

Ils franchirent avec difficultés l’amalgame de carcasses rouillés et de morceaux de durobéton.

Eigel était déjà penché par dessus le trou béant laissé par la trappe, l’infrarouge de ses optiques activés.

Philineos sorti son auspex, et ne détecta personne dans les environs.

 

Le sergent vétéran regarda ses gars.

 

J’imagine qu’on va devoir descendre …

 

Il enjamba le rebord sans un mot, et se rendit compte de l’étroitesse du passage quand son pack dorsal frotta le tube.

 

J’aime pas ça ...

 

Une fois en bas, il remarqua les traces de pas allant de la gauche vers la droite, sorti son pistolet bolter et le pointa dans cette direction.

 

Esdral une fois en bas, pointa son bolter sur la gauche, le temps que l’escouade soit complète.

Philineos se mit derrière son sergent, auspex activé, et dit :

 

- il y a quelque chose devant, de petit, et ça à l’air immobile.

 

Eigel fit un signe de la tête et commença à avancer.

 

Après quelques kilomètres, le limier indiqua qu’ils étaient proche du point dans l’oreillette.

 

Eigel ne voyait pourtant rien, même avec les infrarouges.

 

Puis une forme sembla sortir du mur, les mains levés.

 

Esdral le mit en joue, prêt à tirer, mais Eigel lui baissa son arme de la main.

 

L’être sorti de l’ombre était un Xenos, plus précisément un eldar. Muni d’une cape de caméléolin, son armure blanche et verte contrastait avec le camouflage couleur terre.

Un fusil de sniper dans le dos, il attendait, immobile.

 

Eigel fit un geste de la tête et Philineos se dirigea vers l’inconnu. Le ranger donna lentement son arme, sans un mot, et le marine lui ligota les mains.

Alors l’atmosphère se détendit.

Eigel se rapprocha du Xenos, ne baissant presque pas la tête pour le regarder et posa une seule question.

 

- Que fais tu la?

 

Le xenos sembla réfléchir puis répondit dans un parfait gothique:

 

- Mon Vaisseau-monde, les Biel-tan, surveille cette planète depuis presque dix milles ans. Un artefact est enseveli sous ces ruines. Je suis la pour éviter qu’il ne retombe entre les mains du chaos.

 

- Continu, lâcha Eigel.

 

- Le Cursus d’Alganar ou le Sombre Occulus dans votre langue, se trouve quelque part la dessous, recouvert par les débris depuis la dernière grand guerre, quand mon peuple affronta le sombre ennemi sous la forme des Iron warriors.

 

- J’avais mis un détecteur de mouvement, sous la trappe, pour m’avertir en cas d’intrusion. Je ne m’attendais pas à un tunnel de cette envergure, et je n’aurais sûrement rien su, si ces humains ne l’avaient pas actionnés par accident.

Je suis arrivé pas longtemps avant vous. C’est tout ce que je sais.

 

Eigel réfléchit un moment aux nouvelles informations donné par le xenos, puis se décida.

 

- Philineos, il est à ta charge, Esdral derrière moi, Born et Timiel en queue.

- On avance.

 

Philineos tendit l’auspex à Esdral et prit le xenos par le bras, pour le tirer vers le centre du groupe.

 

Après environ Six cents mètres, ils arrivèrent à la succursale. Le dôme immense ressemblait à un terrier gigantesque.

Eigel leva le point serrer, intimant au groupe de stopper leur mouvement et de ne pas faire de bruit.

L’auspex d’Esdral ne signalait rien.

Puis le sergent devina le tas sur la gauche. Il avança prudemment vers le centre du dôme, pendant que l’escouade se déployait, puis il se dirigea vers celui-ci.

Le charnier était composé de corps exsangues et puants, tous les visages étaient marqués par l’horreur. La décomposition était accompagné par la voracité des insectes, mais rien ne donnait d’indices sur qui ou quoi avait fait ça.

 

Ils reprirent leur route, en suivant les traces de pas au sol, puis finirent par arriver vers une autre ouverture. Eigel s’arrêta à un mètre de l’entrée et découvrit une grotte immense, le haut de celle-ci se perdait dans la noirceur.

Un temple pyramidal de roches noires, avec une longue volée de marches étriquées, se tenait en son centre, entouré de ruines, de gravas et de blocs de différentes tailles.

Une lueur phosphorescente émanait en haut.

Pas un bruit.

 

- Prêt au combat.

 

Tous armèrent leur bolters et se mirent en position, prêt à faire feu.

Le sergent se dirigea en bas des marches, puis se plaqua dos contre le mur transversal. Il fait un signe de tête et Esdral prit la suite pour le rejoindre en bas des marches, pendant que Timiel et Born se positionnait à chaque extrémité de la première marche.

 

Rien.

Eigel se campa vers Esdral et lacha dans l’oreillette :

 

- Esdral et moi on monte, Timiel et born en appuie.

- Phil, tu gardes le xenos et en couverture arrière.

- En avant.

 

4.

 

Eigel montait doucement les marches en pierre, suintantes d’un liquide brunâtre. Son pistolet bolter d’une main et son couteau de combat en mode commando dans l’autre.

Philineos gardait le prisonnier eldar à proximité de la grotte ou était implanté le sanctuaire.

 

Timiel et Born, en couverture en bas de marche, pendant qu’Esdral suivait son sergent quelques marches en retrait, son bolter sorti, canon vers le bas.

 

A quelques marches du haut, ce que vu Eigel le mit en arrêt, stupéfait.

 

Une horreur impie, mélange d’un space marine en armure d’un vert maladif, bordé d’un bronze terni et oxydé par le vert-de-gris, son corps bouffi et parsemé d’une légion d’infections purulentes et dégoulinantes.

Il était en train de psalmodier, les bras levés et boursouflés, garnis de pustules allant du jaune au brun, la peau violacée apparaissant de-ci de-là, les doigts écartés.

Une nuée de mouches de toutes les tailles, lui tournaient autour, se nourrissant de lui.

 

Une femme nue et exsangue était posée sur une stèle de pierres noires, ses bras étaient maintenus dans des anneaux par un chèche couleur crème. Ses viscères pendaient dans le vide, ses fluides, son sang et ses excréments, répandu partout dessus, dégoulinant sur le sol et ses vêtements.

Son visage déformé par la douleur, les yeux exorbités par la terreur.

 

La demi-arche de pierres noires derrière la stèle montrait maintenant des symboles runiques maléfiques et rougeoyants, créant un halo malsain dans la pénombre de la grotte.

 

Le space marine du chaos se retourna lentement, les bras toujours levés. Son ricanement sinistre commençait à gonfler et emplir l’espace environnant. Puis une puissante lumière verdâtre, aveuglante, accompagné d’une vague d’énergie sortie de l’arche.

 

Ce fut le début de l’enfer.

 

Timiel gardait un œil sur les alentours, tout en regardant furtivement son sergent, qui atteignait le haut des marches, attentif au moindre signe de sa part.

Esdral était pas loin derrière lui, son arme basse, aux aguets.

 

Eigel tenait son pistolet bolter de sa main droite, bras tendu, la lame de son couteau de combat inversé sous la crosse dans la main gauche, prête à frapper.

Une fois à proximité du haut des marches, il se mit à l’arrêt pour observer.

Après quelques secondes, une forte lueur verdâtre et une vague d’énergie se répandit dans la grotte abritant le sanctuaire impie.

 

Tout se passa comme au ralenti.

 

Esdral commença à lever son arme.

 

Eigel fut instantanément vaporisé par des éclairs d’énergie warp bleuâtre, sans un cri.

 

Oh putain … Se dit Timiel.

- C’est quoi ce bordel ne put-il s’empêcher de dire dans son casque.

 

Esdral ouvrit le feu, ses bolts claquaient bruyamment à tout va.

 

Born commença à monter, Timiel restant figé par la stupeur.

 

Esdral recula sans se retourner, marche après marche, faisant pleuvoir une pluie de projectiles et semant la mort. Tous entendirent dans leur oreillettes un hurlement :

 

- Repli, repli.

 

Esdral continuait de reculer en descendant les marches, tirant de partout.

 

Timiel et Born se dirigeaient vers la sortie, essayant de voir sur quoi tiraient leur frère avec tant de furie.

 

Puis la vague déferlante de démons bouffis apparu, allant dans toutes les nuances de verts, de la bave dégoulinantes aux crocs, leurs cornes d’une jaune clair maladif.

Esdral fut submergé par celle-ci.

Un des démon trancha son bras avec son épée impie.

Son arme tomba au sol, le bras toujours accroché, le doigt sur la gâchette continuait de faire feu, se battant avec son poing valide, pour essayer de se dégager, en vain. En quelques secondes, ce fut fini pour lui.

 

Timiel et Born ouvrirent le feu pour essayer de le sauver, mais c’était déjà trop tard.

 

Instinctivement, Philineos trancha les liens du ranger et lui rendit son fusil de sniper, en le poussant en retrait dans le tunnel.

 

- Fuis.

 

La ranger eldar le remercia d’un signe de tête, puis couru vers la sorti, sans un regard en arrière.

 

Philineos sorti sa meltabomb et la planta dans l’entrée du tunnel, puis commença à ouvrir le feu sur les démons pestilentiels qui dévalaient les marches, donnant ainsi du temps à Timiel et born pour le rejoindre.

Une fois qu’ils franchirent le tunnel, il activa la bombe, en espérant que les 10 secondes avant la détonation seraient suffisant pour sortir de ce piège à rats.

 

Puis il se mit à courir pour rejoindre ses frères de combat.

 

L’explosion fut assourdissante, et l’éboulement qui s’ensuivit leur permit de rejoindre la succursale. Ils avaient peu de temps, ils firent donc le point sur les munitions.

 

Born essaya de contacter la surface, mais l’épaisseur de terre, de plastacier et durobéton au dessus d’eux coupait le signal.

 

- Il faut remonter, pas de signal.

 

Philineos et Timiel acquiescèrent, puis Timiel prit la tête, Born au centre et Philineos en queue, marchant à reculons, prêt à ouvrir le feu.

 

La horde ne mit pas longtemps à se frayer un chemin dans les décombres, leurs cris et le bruit de leurs pieds griffus se faisant de plus en plus intense.

 

Philineos lâcha dans l’oreillette :

 

- Je vais les retenir le plus possible, rejoignez la surface. Gloire à Sanguinius.

- On est pas loin de la sortie, déconne pas et suis nous.

- La priorité, c’est de prévenir le Capitaine en orbite.

 

Il se campa dans le tunnel contre une des parois, un genou à terre, et pointa son arme, prêt à faire feu.

 

Timiel et Born le regardèrent un instant, et comprirent qu’ils ne pourraient pas aller contre sa détermination. Ils reprirent alors leur course.

 

Philineos ouvrit le feu, les bolts explosant au contact des corps décomposés des démons de Nurgle, les shrapnels décimant les rangs ennemis.

 

Timiel et Born, dans leur course, entendaient les détonations du bolter, puis ce fut le calme.

Philineos mourru sans un cri.

 

Ils arrivèrent finalement en bas du tube, le point lumineux de la sorti semblait si loin ...

 

5.

 

Timiel, son bolter en bandoulière, prit la tête pour monter, Born suivi et trancha l’échelle de corde.

 

Leur temps était compté, la horde grouillante et puante commençait à s’amasser sous eux, grognant.

Puis ils commencèrent à s’entasser pour accéder à l’échelle.

 

La montée était laborieuse du à l’étroitesse du tube.

 

Born sentit sa jambe droite se faire tirer vers le bas. Il mit un grand coup de pied pour se dégager puis regarda son frère en continuant de monter.

 

- Continus, je m’occupe d’eux.

 

Timiel comprit. Il s’imprégna une seconde de l’image de son frère et reprit son ascension.

 

Born appuya son dos contre le tube, défit le chapelet de grenade, les dégoupilla rapidement et lâcha la ceinture, essayant tant bien que mal à contenir la horde qui essayez de le tirer frénétiquement vers le bas.

 

- Gloire à Sanguinius. Hurla-t-il.

 

Timiel essaya d’accélérer sa monté, avant que la succession d’explosion retentissent, et qu’une vague de chaleur, de flammes et de terre remontent vers lui, le plaquant contre l’échelle.

 

La larme à l’œil, et secoué, il continua de monter, profitant de ce labs de temps, franchi le rebord, claqua la trappe, et couru en direction du Rhino, fit une glissade sous les carcasses sans ralentir sa course.

Il entra par la porte de pilotage, enclencha la balise de SOS, puis lâcha à la radio:

 

- Mayday mayday, ici Timiel, dernier survivant de l’escouade, une horde démoniaque envahi Tallarn.

 

Puis il sortit son torse par la trappe supérieur, se mit aux commandes des bolters jumelés de tourelle, arma et pointa ceux-ci dans la direction de la trappe, hors d’haleine.

 

Le temps se figea, les secondes s’écoulèrent comme des heures, mais tout restait calme.

 

Une colère noire le prit en pensant à son frère et ses compagnons morts. Des visions furtives de son Primarque Sanguinius lui apparurent furtivement.

Des scènes flous de combat de l’ancien temps.

 

Il secoua la tête, essayant de se concentrer, mais la colère sourde remontait de son ventre vers sa gorge, irrépressible.

 

La horde surgit alors de partout, en un flot ininterrompu et soudain.

 

Timiel fit feu, lâchant un cri primal, car il se savait perdu lui aussi.

Une fin inéluctable, dans le feu, le sang et le sable.

Il espérait juste que les renforts du croiseur en orbite arriveraient, avant que les démons de Nurgle atteignent la ville.

 

Une pile de cadavre commençait à s’empiler vers les carcasses, certains démons essayaient de contourner le rhino.

Puis la horde commença à arriver sur l’avant du véhicule, les bolts continuaient de tout exploser autour de lui dans sa furie sanguinaire.

 

Des visions de sanguinius parmis des blood angels sur les champs de batailles se superposaient à sa visions, le tout se mélangeant en donnant une dimension pittoresque au combat.

 

La horde commençait à grimper sur son véhicule, au moment où les bolters s’enraillèrent.

 

Pas maintenant putain …

 

Il se dégagea de la tourelle d’un bond, se campa sur ses deux pieds, enroula la lanière de son bolter autour de son poignet pour le tenir d’une main, et le couteau de combat dans l’autre, puis fit feu tout en tailladant.

Les corps s’amoncelaient maintenant sur véhicule, certains chutant et faisant tomber ceux qui voulaient monter. Telle une tornade de mort, il virevoltait sur le toit. Son armure se recouvrait petit à petit du sang et des portepestes.

 

Timiel se laissa aller à la rage noire, ouvrant les vannes à une puissance destructrice et meurtrière.

 

A court de munition, son bolter servait de massue, alors que son couteau répandait viscères et sang moribond sur le Rhino, le rouge se mêlant au rouge. Mais les démons étaient trop nombreux et ils finirent pas le submerger.

Avec la force du désespoir, il réussi à se faire une bulle de vide autour de lui.

La lame cassé et le bolter ne furent pas suffisant ...

 

Sanguinius, pardonne moi ... j’ai failli…

 

C’était la fin de son baroud d’honneur.

 

Soudainement sa tête explosa, sa cervelle et son sang giclant sur les monstres dégoulinant de bave, les crocs sorti prêt à le dévorer.

 

Deux kilomètres plus loin, le ranger eldar, l’œil dans le viseur, murmura une prière silencieuse pour ce guerrier redoutable, puis activa sa cape de caméléolin pour se confondre avec le paysage, dans l’attente de son vaisseau monde Biel-tan pour des renforts.

 

FIN

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Salut !

 

Tout d'abord, n'en tient pas rigueur de ne pas avoir beaucoup de commentaires, le milieu de la création/lecture littéraire française en fan-fiction de 40k tient sur un timbre-poste. Il semblerait que le pays qui produit 500 nouveaux livres par an ne s'intéresse que très peu à écrire sur Warhammer. Même cette section qui existe depuis longtemps n'a pas tant de sujets que ça quand on la compare au reste des sections du forums. Alors les gens qui postent et les gens qui répondent sont peu nombreux, ce qui fait qu'il n'y a pas beaucoup d'activité. Beaucoup de sujets restent sans réponses.

 

Je vais te faire un commentaire sur le fond, déjà. Ton histoire a quelque chose d'intéressant, mais j'ai eu du mal à en comprendre la temporalité. Tu parles du Cursus d'Alganar, donc ma première réaction c'est "Ah, il est question de sa découverte en M.32", mais là déjà tu mentionnes les Iron Warriors et un Eldar dit qu'ils se sont battu contre eux pour conserver la main-mise dessus ; pourtant, à ma connaissance, les Iron Warriors n'ont rien à voir là-dedans, ils ont juste transformé la planète en désert viral 1000 ans plus tôt (en M31) pour la punir de leur résister. Alors, il y a peut-être du Lore sombre qui dit qu'ils étaient déjà à sa recherche à l'époque, mais je l'ignorais totalement vu que les livres que je connais disent que c'est les Tallarn qui l'ont excavé plus tard et que l'activation a attiré l'attention d'une Grande Prophétesse de Biel-Tan. Donc, vu qu'il dit que ça fait 10.000 ans qu'il surveille l'endroit, on doit être en M41. Et du coup, le fait que ça soit un "le chaos est de retour, re-belote, et c'est à nouveau du Cursus dont il est question" donne malheureusement un air de redite à ta nouvelle...

 

Ensuite, il y a un élément d'incohérence entre les objectifs des Spaces Marines et leurs décisions. J'ai bien compris que le sergent Eigel voit le fait d'aller porter secours à une simple humaine perdue au milieu de nulle part et on ne sait où comme un moyen pour ses hommes de "se dégourdir les jambes", et il y a l'histoire du "elle aurait trouvé quelque chose d'important". Mais, en passant sur le fait que le mari possède une tablette de données alors que tu dis bien plusieurs fois qu'ils sont dans la misère la plus totale (l'Afrique avec des iphones quoi ahah), il accepte bien vite la requête alors que tu prends un certain moment à souligner le fait que les Space Marine n'ont qu'un dédain ++++ pour les Tallarn et le fait qu'ils soient de simples humains. On parle là de mettre en branle une unité de demi-dieu dans un Rhino qui bouffe sa somme de carbu pour aller chercher madame moins-que-rien. Bizarre décision pour un sergent qui pensait y'a pas longtemps à l'absolue nécessité de lancer son recrutement pour sauver le chapitre. Je trouve qu'ils s'équipent même beaucoup pour aller faire juste ça ahah

 

Après, de manière générale, je n'ai pas compris la manière dont tu as dépeins les Space Marines. Ils m'ont fait l'effet de soldats un peu glorifiés. Je veux dire, ils ont des réactions parfaitement humaines face à ce qu'ils rencontrent dans les souterrains, et c'est bien là le problème : humaines. Ils sont surpris, tristes, jurent leurs grands morts, meurent en l'espace de deux secondes, portent des protections en papier mâché (ok c'est une épée d'un démon (mineur, je devine, probablement un porte-peste), mais ça tranche d'un coup toute l'épaisseur du bras d'armure d'un Space marine de part en part d'un seul coup ?), puis se font submerger sans rien pouvoir faire. Alors ok, ils étaient peut-être pas prêt, trop inexpérimenté, pas adaptés au combat contre des démons...mais pour exemple, dans la croisade des mondes de Sabbat (j'ai ça en tête là, Lore officiel, de Dan Abnett), trois compagnies de Space Marines Iron Snakes (300 hommes) se sont retrouvées sur une planète (Fornax Aleph) au moment où un immense portail warp s'y matérialisait et qu'une immense armée de démons déferlait dessus. Loin d'avoir été balayés, ils ont repoussé l'invasion à eux tout seuls (en subissant des pertes, certes). Je sais que l'image des Space Marine varie beaucoup dans l'esprit des gens, mais là t'en fais des soldats d'élite, et sans plus. On a pas du tout l'impression d'avoir affaire aux terribles Flesh Tearers, chapitre controversé de la seconde fondation qui a vu plus de batailles que 90% de l'Imperium, et qui sont réputés pour être de terribles combattants.

 

Et puis, il est où le "MORT AU XENOS ET A L'HERETIQUE" ? Je veux dire, tu peux en faire des personnages progressistes, certes (venant des Flesh Tearer, on atteint des sommets dans le domaine), mais là, ils voient un Eldar, et leur premier réflexe c'est "ok c'est bon c'est un eldar". Les cas de collaboration entre eux et les Space Marines sont extrêmement rares. Et pas parce que ça ne serait pas logique de le faire, parce que par principe, l'Imperium a une haine profonde de ce qui n'est pas humain, et les oreilles en pointe c'est déjà blitzkrieg. Il faut généralement des trésors de patience, de prudence et de coincidence pour que humains et eldars ne s'entretuent pas au premier coup d'oeil, alors le coup de poker de ce ranger, là, il me laisse un sentiment d'occasion manquée. Que les Spaces Marine le tue sans réflééchir, croit-le ou pas, aurait rajouté du poids à ton histoire. Sans compter qu'il ne sert pas vraiment à grand chose, au final.

 

Sinon, comme je te disais, ton histoire est un one-shot sympa. Un roadtrip rapide qui finit mal. J'ai bien aimé (ça fait un peu sadique à dire je m'en rends compte) ton traitement du destin des Tallarn. Il y a une bonne dose de suspense, et en soi le fait que les Space Marine se fassent poutrer a un côté tellement inattendu que ça rajoute du piquant. Je pense qu'elle gagnerait cependant à être étoffée pour rendre un peu plus justice à tes protagonistes.

 

Ensuite...oh, j'ai plus beaucoup de temps en fait. Juste pour dire qu'il y a beaucoup d'erreurs d'orthographe et de conjugaison (surtout en concordance des temps). Rajoute ça à la structure très "jetée" de ton discours (beaucoup de retours à la ligne, mais je comprends, tu voulais ajouter un côté appuyé et dramatique aux phrases et aux répliques ; tu le fais cependant beaucoup trop) et ça donne quelque chose de difficile à lire. Mais rien qui ne se corrige pas, évidemment.

 

Si tu le désires, je pourrais faire une correction précise de ce domaine (qu'on ne dise pas que je fais des affirmations sans jugement), mais je pense que tu devrais réfléchir d'abord sur le fond sur la base de ce que j'ai dit plus haut, avant de reprendre la forme.

 

En tout cas, principe numéro un en écriture : ne jamais lâcher l'affaire. Comme toutes choses, ça ne se perfectionne pas du jour au lendemain, et l'important c'est de créer, pas de réussir du premier coup. Je t'encourage à continuer, vraiment, et je serais ravi de t'aider ou de continuer à commenter ce que tu fais, si tu es prêt à des avis critiques qui prennent peu de gants :) 

 

Au plaisir de te voir poster d'autres choses sur la section !

 

 

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Merci pour ton retour.

 

Je me suis appuyé sur les différents lexicanums du net pour étoffer l'histoire.

La mise en page du texte sur le forum est somme-toute laborieuse, le texte ne rend pas comme ça sur mon traitement de texte.

 

Ce sera avec plaisirs pour ton aide, c'est mon premier texte littéraire et j'avais envie de profiter de l'ouverture BL pour me lancer.

 

 

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