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Trois ans en Arabie


callehabana

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C'est mon second post ici, malgré mon départ du monde warhammer et l'absence de toute écriture depuis près de 3ans, j'ai une petite envie de retrouver ma "plume" d'antan.
J'espère ne pas être trop rouillé, bonne lecture à tous et à toutes.

Ps [EDIT] : à Juju : Merci :D !

[size="5"][b][u]Trois ans en Arabie[/u][/b][/size]
[font="Book Antiqua"][size="3"]Il est difficile d'imaginer pluie en des terres si arides.Le soleil de la journée frappe si fort qu'il rend fou et le vent n'est jamais seul; toujours accompagné de sable, poussières et insectes voyageant ensemble dans une harmonie morbide et décourageante.
Les gens d'ici disent que la pluie est une bénédiction, qu'elle transporte avec elle le bien le plus chéri : la vie. Lorsqu'elle tombe du ciel, c'est une débandade pour en recueillir le plus possible : à coups de tissus étalés sur le sol et récipients de tout horizons persuadant un étranger comme moi que ces gens ont depuis longtemps perdu la raison. Pourquoi donc s'acharner à vivre ici ? Dirais-je survivre...
Cette pluie est lourde, bruyante. Bien qu'elle ajoute un peu de compagnie à une nuit si silencieuse, elle n'est point pour moi la bienvenue. Ne l'est pour personne ayant connu les doux crachins revigorants de Bretonnie déposant leur bruine si fine sur les plaines verdoyantes.
Mes pensées envers ma terre natale alourdissent mon coeur et rien au monde [i]hodis [/i]ne[i] [/i]m'empêchera d'achever ma route de retour, pas même la mort; elle je ne la crains désormais plus.[i]

[/i]Suis-je sot ! Toi qui lis mon récit, je me prénomme Hugo fils du chevalier Michel de Gasconnie dit [i]Le Tenace[/i]. Non mon père ne fut pas Duc en son temps, mais il servit honorablement notre seigneur Huebald lors de l'attaque de peaux vertes sur le duché de Gasconnie. Les viles créatures étaient descendues des montagnes depuis l' une des sources du fleuve Brienne. C'est sur ses douces rives qu'eût lieu la bataille où mon père tomba.
Lui et ses paysans armés retinrent un contingent orque dix fois supérieur à leur nombre ce qui lui valut son surnom de prestige relatant encore ce haut fait.
Mais lorsque les renforts arrivèrent, mon père meurtri et voyant sa tâche accomplie s'effondra.

Je me suis fait promesse dès lors que mes bras sussent avoir la force de porter l'épée forgée à ma naissance, de partir en quête d'un haut-fait; arborant l'esquisse de mon futur blason de serviteur du royaume décorant mon bouclier de chevalier errant. Ainsi me voilà à point nommé et d'ici peu je reprendrai les terres de mes nobles aïeux au service de notre bon roi.

Cette traversée semble interminable, Le Grand Océan est aussi lunatique qu'une demoiselle de cour et rares sont ceux qui l'apprécient. Mon coeur est scindé entre la joie et l'horreur...quand me reviennent à l'esprit les fantômes de nos aventures glaçant mon sang, qu'aucune autre pensée ne puisse évincer.
Je me résilie donc à m'abandonner à l'écriture, puisse l'encre sombre expulser la noirceur de mon vécu à jamais prisonnier du papier. Tout commence trois ans et un mois avant ce jour.
[/size][/font]
[u][i][font="Book Antiqua"][size="4"]Première année ( an 1535 )[/size][/font][/i][/u][u]

[font="Book Antiqua"][size="4"]Première partie :[/size][/font][/u][font="Book Antiqua"][size="4"] Premier contact[/size][/font]
[font="Book Antiqua"]
[size="3"]Nul n'est plus reposant que le calme plat régnant sur Le Grand Océan. Nous longions en ce temps les côtes d'Estalie en direction des mers du sud et de notre point d'arrivée : les côtes du nord de l'Arabie.
J'étais accompagné de cinq frères de chevalerie, pour certains de fidèles amis d'enfance que je tendrais à vous présenter au cours de mon récit.
Fils de la noblesse de Gasconnie, d'Aquitanie et de Bordeleaux, nous comptions ramener d'Arabie de quoi nous élever au rang de chevalier du royaume. Impétueux et inconscients du danger, nous rêvions de bientôt errer sur le sable, foulant les terres légendaires de Nehekara à la recherche du chariot royal perdu.

Bon nombre de nos homologues restent en Bretonnie attendant la première occasion pour prouver leur valeur. Mais en ces temps de paix dans nos duchés, nous ne pouvions nous soumettre à la patience et c'est [/size][/font][font="Book Antiqua"][size="3"]sans[/size][/font][font="Book Antiqua"][size="3"] doute que les ravages du temps nous auraient dépossédés de notre jeunesse avant d'avoirs eut la possibilité d'étancher notre soif de prestige.
C'est lorsque nous avons oyé dire qu'un chariot gardé à l'attention du nouveau roi de Bretonnie Louen Coeur de Lion avait été perdu il y a cinq ans en Arabie, très probablement au delà des frontières du royaume des morts que Marcus, Lucaste et votre narrateur prîmes décision de ramener [/size][/font][font="Book Antiqua"][size="3"]ses effets [/size][/font][font="Book Antiqua"][size="3"]à notre [i]Roy.
[/i][size="3"]Les présents furent envoyés par le prince d'El-Kalabad, en reconnaissance d'un tout nouveau traité commercial établi entre la cité arabe et le royaume. La caravane contenait en outre de précieux onguents, des épices rares et de la soie de qualité exceptionnelle. Mais le véritable intérêt du convoi résidait dans sa pièce maîtresse : l'épée de Landouin de Moussillon. Cette arme en des temps reculés avait occi le vampire auteur du sac du duché de Moussillon mettant fin à la neuvième bataille de Gilles le Breton et ses compagnons.
Autant dire qu'une telle relique se devait, après avoir été perdue dans le commerce du vieux monde, de retourner sans plus attendre au pays.

Cinq longues semaines s'écoulèrent. Alors que nous commencions à regretter de ne pas avoir pris davantage de vin lors de notre départ de Bordeleaux, un des marins de notre navire de commerce sonna la cloche s'égosillant d'incompréhensibles informations.
[/size][i]"-Marcus ! Quel est la source de cette agitation ? [/i]interrogeai -je mon compagnon.[i]
-Vous devriez boire moins de vin et faire preuve de sérieux un instant mon ami, nous approchons des côtes mais un navire nous barre la route ! [/i]me répondit-il de cet habituel air hautain.
-[i]Mort aux pirates ! Nul ne s'opposera aux chevaliers de Gasconnie, ils ne sont pas les premiers que nous croisons et un peu d'activité nous mettra d'aplomb pour notre débarquement. Quel pavillon ? [/i]poursuivai-je tout en m'équipant.
[i]-Là est l'intrigue cher Hugo, le bâtiment ennemi n'en a pas ! Habillez-vous sur le champs ! [/i]me lança le grand Marcus,[i] [/i]quittant la dunette en direction du pont.

Arrivé sur le pont les matelots agités courraient de toute part du navire exhibant leurs mousquets et pistolets à poudre. On entendait rouler les pesants canons vers le bastingage et le bois tremblait et craquait au rythme des ordres du capitaine, la lunette braquée vers le vaisseau adverse et entouré en outre de trois de mes compagnons essayant d'arracher à ce dernier le moindre ordre de combat.
[i]-Il n'y a point raisons de se faire de mauvais sang capitaine, s'ils mandent le combat nous saurons leur faire bon accueil ! Observez un peu ce tas de bois flottant c'est à peine s'il arriverai à prendre un alizé ! [/i]rassura François par ses convenances de bon-parleur.
[i]-Chevalier, sachez bien que je connais cette route et les dangers qui s'y trouvent. Je ne suis pas capitaine d'un navire de commerce possédant huit canons pour rien ! [/i]Rétorqua l'homme, nerveux. François, surpris et vexé, recula d'un pas et se détourna de son interlocuteur.
[i]-Je n'ai rien contre vous ne prenez point la mouche ! Mais j'ai bien peur que nous ne soyons tombés face à un navire maudit. Veuillez me croire j'aurai préféré voir des pirates et vous voir à nouveau utiles bondissant sur l'ennemi et nous protégeant comme convenu. Mais si ce navire nous prend en chasse, je doute que vous soyez à la hauteur des maléfices qu'il abrite... [/i]Reprit le capitaine [i]Harsburk[/i] d'une voix on ne plus inquiète.
Nous nous esclaffâmes de rires accompagnés de coups de coudes complices. Il ne nous était point probable qu'un rafiot si vétuste non-armé de canons à poudre puisse menacer un tel bâtiment que le nôtre. N'y prêtant que peu d'attention et avec un dédain glacial, l'homme se tourna vers les matelots du haut du gaillard d'arrière :
[i]-Barre à tribord ! Préparez-vous à canonner et faites régner le silence ! Exécution !
[/i]Le capitaine se tourna vers nous :
[i]-Je tente une manoeuvre pacifiste pour montrer à ces choses que nous ne voulons aucun mal à leurs biens, que nous ne souhaitons que passer notre chemin. Jusqu"à lors, ne posez plus aucune question et ne dites mots que si je vous en donne un ordre. Chevaliers, en temps de combat je m'en remet à vous. Faites de même lorsque la situation est mienne, vous avez par avance mes remerciements.
[/i]Je jetai un regard vers François qui se contenta après acquiescement d' hausser les épaules. Nous voilà semblerait-il, à la merci de la bonne volonté de ces dérangeants voisins de vogue.

Ainsi sous le soleil de plomb s'installa un calme angoissant balayant la caravelle de toute vie, mettant hors d'atteinte et de danger la galère ennemie. L'on entendait que les craquements du bateaux, le tumultes des vagues se brisant contre l'étrave et le vent soufflant dans les voiles...puis il n'y eut plus de vent et l'on aperçut au loin un marronâtre[/size][/font] [font="Book Antiqua"][size="3"]nuage se dirigeant droit vers nous :
[i]-[/i][/size][/font][i]Tripledie ![/i][font="Book Antiqua"][size="3"] Glapit [i]Mr.Harsburk. Le vent maudit !
[/i]Plusieurs vagues succinctes de vent poussiéreux venant de la proue brutalisèrent les voiles tanguant le navire vers l'arrière renversant les matelots et tonneaux de poudre sur le pont. En peu de temps, le navire pivota et l'on pouvait voir la galère à bâbord fendant le vent, une gigantesque baliste enflammée armée à l'avant du navire :
[i]-Feuuuuu !![/i] Hurla le capitaine.

Il y eut comme un instant de silence absolu... suivi des bruits assourdissants des poudres à canon expulsant les boulets de fonte des énormes tubes de métal noir.
Les explosions dans l'eau des tirs manqués et les fumées blanches s'échappant du bastingage formaient un spectacle magnifique mais décourageant. La galère s'approchait, et si l'énorme flèche venait à mettre le feu aux poudres c'est toute la caravelle et nous avec qui exploseraient dans une déflagration incandescente.
Marcus, Thibault et Lucaste priaient notre dame de toute leur foi de chevalier lorsque deux tirs successifs firent exploser l'avant du bateau ennemi détruisant la baliste et envoyant en l'air ses artilleurs :
[i]-Le bâtiment ennemi approche ! Encore une salve de batterie et parez à la défense du navire moussaillons ! [/i]Meugla Mr.Harsburk, le sourire de la victoire en coin.
La dernière salve gronda et alors que nous nous apprêtions à répandre le sang, un boulet brisa l'unique mât de la galère et un autre se logea dans la coque mettant en péril la flottabilité du bâtiment adverse.
[i]-Gast !! Ces saletés l'ont dans l'os ha ha !![/i] s' esclaffa le capitaine esquissant un légère danse ridicule. Marcus le retourna vers lui d'un geste sur épaule :
[i]- Finissons-en, il est temps de leur octroyer châtiment ! Mr.Harsburk quand allons-nous aborder cette épave ?
-Aborder... ? Êtes-vous idiot ou inconscient chevalier ? Ce navire ne coulera pas mais il est immobilisé et il suffit ! Ma parole vous n'aimeriez pas voir ce qu'il cache en son ventre. Certes avons-nous avons échappé à la mort mais dans cette réjouissance gardez à l'esprit que bien d'autres supplices nous attendent.
Ils nous faut accoster, le vent continuera de nous pousser vers l'ancienne nécropole de Zandri à l'Est et il n'y aura pas qu'un bateau isolé là-bas. Nous passerons par le désert de Malaluk avant de rejoindre l'Oasis des Mille et Un Chameaux, là où nous devions nous amarrer au départ. [/i]Expliqua le capitaine d'un ton sûr. [i]Veuillez me suivre chevaliers, je vais vous montrer en détail notre périple puisque cette fois, vous risquez de nous être plus qu'indispensables dans cette traversée. Matelots maintenez le cap à tribord vers le rivage et toute voile dehors.

[/i][size="4"][font="Book Antiqua"][u]Seconde Partie:[/u] Contes et légendes


A venir... sauf si on me demande de stoper là :innocent: . Quelqu'un peut me dire s'il y a une limite de caractères par post ? Pour savoir si j'ai encore de la marge. Merci de m'avoir lu ;) !

Edit :
--> Quoiqu'il [/font]en soit je pense faire une partie par post quelqu'en soit sa longueur cela sera plus clair. Merci pour vos encouragements ;) ![/size]


[/size][/font] Modifié par callehabana
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Salut,

tout d'abord merci pour ce texte, que je trouve bien écrit et qui s'annonce prenant. Tu n'est pas trop rouillé ;)

Il est toujours possible de modifier ton titre : clique sur le bouton "modifier" au bas de ton premier post, puis "utiliser le message complet".
Pour le nombre limite de caractère, désolé j'sais pas...

Vivement la suite !
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  • 2 semaines après...
Ils sont mimi ces chevaliers !

Plein de naïveté, d'inconscience ! Maintenant va falloir redescendre dans la vraie vie ce qu'ils font visiblement vu l'intro ! Par contre, comme tu as fini ton texte, tu t'es mis des limites donc faut que mentalement, il arrive doucement vers cet état, j'espère pas que la transition se fera dans le chapitre d'après quoi :P Allez bonne chance et suite !

@+
-= Inxi =-
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  • 2 semaines après...
Voilà un récit ma foi fort chevaleresque ! En particulier par le style, très ampoulé et volontairement retenu. J'ai beaucoup cette approche.
Hélas hélas hélas... Que de fautes ! Que de maladresses ! Cela gâche beaucoup un texte qui sans cela trouverait parfaitement sa place dans un roman ! Liste non exhaustive :
[quote]Lorsqu'elle tombe du ciel, c'est une débandade pour en recueillir le plus possible : à coups de tissus étalés sur le sol et récipients de tout horizons persuadant un étranger comme moi que ces gens ont depuis longtemps perdu la raison.[/quote]De manière générale, et cette phrase n'est qu'une illustration, je trouve que tu fais un usage par trop restreint des virgules... Certes, les phrases longues vont avec le style que tu veux donner au récit, et j'adhère totalement à cette idée ; mais ici on manque de place pour reprendre sa respiration, ou bien séparer deux morceaux de phrases qui n'ont pas le même..."niveau de sens", dirais-je, même si le terme est incorrect. L'idée est que ta phrase doit former un tout avec une seule action, ou alors sépare-la par des virgules (ou points-virgules, ce que tu fais fort bien) (à ce propos, note bien que les points-virgules sont suivis [u]et précédés[/u] d'un espace, attention ;) ).
[quote]Toi qui lis mon récit, je me prénomme Hugo fils du chevalier Michel de Gasconnie dit Le Tenace.[/quote]Je trouve la tournure maladroite, même si je vois bien ce que tu as voulu dire. "Toi, qui lis mon récit, sache que je me...", etc., m'aurait paru plus adapté.
[quote]Non mon père ne fut pas Duc en son temps[/quote]Pas de majuscule à duc, c'est un titre et non un nom propre.
[quote]C'est sur ses douces rives qu'eût lieu la bataille où mon père tomba.[/quote]Exemple typique d'une autre de tes petites failles récurrentes : la conjugaison. Ici, le passé simple n'eût requis qu'un simple "eut" !
[quote]Mais lorsque les renforts arrivèrent, mon père meurtri et voyant sa tâche accomplie s'effondra.[/quote]Un autre exemple, parmi plus encore, de ce manque de virgules assez flagrant.
[quote]arborant l'esquisse de mon futur blason de serviteur du royaume décorant mon bouclier de chevalier errant.[/quote]Je trouve ici encore la tournure maladroite, un peu trop chargée peut-être.
[quote]Mon coeur est scindé entre la joie et l'horreur...quand me reviennent à l'esprit les fantômes de nos aventures glaçant mon sang, qu'aucune autre pensée ne puisse évincer.[/quote]"Ne peut évincer", non ? Pourquoi un conditionnel, ici, alors que c'est beaucoup moins fluide à la lecture (et que je peine à voir la justesse du temps) ?
[quote]Je me résilie donc à m'abandonner à l'écriture[/quote]"Résous" ! Résilier n'est pas résoudre ;)
[quote]Nul n'est plus reposant que le calme plat régnant sur Le Grand Océan.[/quote]"Rien" plutôt que "nul". Cf. le latin avec l'opposition Nemo/Nihil : "rien" peut se dire avec différentes intentions.
[quote]de notre jeunesse avant d'avoirs eut la possibilité d'étancher notre soif de prestige.[/quote]Ouille... Pas de "s" à "avoir", pas de "t" à "eut".
[quote]Autant dire qu'une telle relique se devait, après avoir été perdue dans le commerce du vieux monde, de retourner sans plus attendre au pays.[/quote]J'aurais plutôt casé l'aparté après "retourner", afin de moins briser le rythme.
[quote]On entendait rouler les pesants canons vers le bastingage et le bois tremblait et craquait au rythme des ordres du capitaine, la lunette braquée vers le vaisseau adverse et entouré en outre de trois de mes compagnons essayant d'arracher à ce dernier le moindre ordre de combat.[/quote]Alors là, ta phrase est très drôle grammaticalement parlant. Parce que, si on comprend tout de même ce que tu veux dire en réalité, eh bien la grammaire nous informe que :
- le bois a la lunette braquée vers le vaisseau adverse, tout en étant entouré par les chevaliers ;
- les chevaliers tentent d'arracher au vaisseau adverse un ordre de combat.
Je crois que tu t'es un peu emmêlé dans tes longues phrases, ici :)

Et quelques autres choses, mais je fatigue...

Bref. La forme est perfectible, ce qui est normal si ta plume est un peu rouillée. Mais le fond est prometteur, et ton style chevaleresque promet quelques situations assez saugrenues ! J'attends de voir ça ^_^


PS : Il y a une limitation de mots, mais elle est assez haute, suffisamment pour que cela ne soit pas gênant. Cependant, privilégie les mises à jour de ton sujet par de nouveaux messages, c'est toujours plus clair pour les lecteurs ^_^ Modifié par Celt
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  • 4 semaines après...
Eh bien je suis tombé sur un grand lecteur. Aucun moyen avec toi de balancer allègrement mon texte sans que je me sente obligé (obligé? obliger ? obligeaients oO?...je deviens parano) de me relire vingt fois.

Cependant, j'accueille ta critique (faite de compliments comme de "reproches") les bras ouverts et avec grande attention. Merci pour ces petites rectifications et conseils précieux ; je m'occuperai de les modifier, ça et poster la suite de cette aventure que je compte bien terminer, lorsque j'aurai trouvé un peu de temps à moi. Il est vrai que j'ai du mal à croire que c'est bien moi qui ait écrit certaines lignes que tu as repris, et puis les beschrelle est loin derrière moi aujourd'hui, malheureusement.

Désolé de faire un peu traîner ce texte sans mises à jour mais ça va venir ;). Je dis ça particulièrement pour les modérateurs sans doute un peu lassés de voir ce topic ne pas avancer et polluer quelque peu la section.
Encore merci à tous :) Modifié par callehabana
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