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Fluff et C&D Premier Âge


Messages recommandés

Ce sujet poursuit le même but que son confrère du Second et Troisième Âge. Mais comme il y a des termes communs aux deux, mais qui ne correspondent pas à la même chose, j'ai ressentit le besoin de commencer un nouveau sujet, dans un souci de clarté. Comme d'habitude, merci de faire vos remarques dans le sujet de discussion.

[size="6"][b]Sommaire :[/b][/size]

[list=1]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2092629"]Elfes Gris - Mithrim[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093006"]Falathrim - Brithombar et Eglarest[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093014"]Eluwaith - Doriath[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093019"]Laiquendi - Ossiriand[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093153"]Noldor - Hithlum[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093175"]Noldor - Gondolin[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093193"]Noldor - Dorthonion[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093213"]Noldor - Nargothrond[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093239"]Noldor - Fëanoriens[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093256"]Nains - Nogrod[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093500"]Nains - Belegost[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093515"]Humains - Maison de Bëor[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093531"]Humains - Maison de Hador[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093542"]Humains - Maison de Haleth[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093563"]Humains - Orientaux[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093579"]Orques[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093594"]Trolls[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093642"]Ainur et Maïar maléfiques[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2093713"]Dragons[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2094119"]Loups-Garous[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2094138"]Aigles[/url]
[*][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=182569&view=findpost&p=2094169"]Ents[/url]
[/list] Modifié par deathshade
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[center][b][size="5"]Falathrim - Brithombar et Eglarest[/size][/b][/center]

[b]Généralités[/b]

(...) ce furent les Falathrim, les Elfes de Falas qui, plus tard, fondèrent les ports de Brithombar et d’Eglarest. Ce furent aussi les premiers marins du monde et les premiers constructeurs de navires, et Círdan le Charpentier fut leur roi.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 5[/u][/right] Modifié par deathshade
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[center][b][size="5"]Eluwaith - Doriath[/size][/b][/center]

[b]Généralités[/b]

[...] tandis que les Sindar avaient les plus belles voix, de plus grands dons musicaux, sauf Maglor, un fils de Fëanor, et qu'ils aimaient les fôrets et les berges.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Alors Thingol pensa à s'armer, ce dont son peuple n'avait pas encore eu besoin, et les Nains forgèrent pour lui les premières épées.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

Les Sindar apprirent très vite à faire des armes, mais personne ne surpassa les Nains dans l'art de tremper l'acier, pas même les Noldor [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

Quand les Sindar furent bien fournis en armes, ils repoussèrent les sinistres créatures et ramenèrent la paix. Les arsenaux de Thingol restaient garnis de haches, d'épées et de lances, il y avait des heaumes et de longues cottes de mailles brillantes [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

[b]Elu Thingol[/b]

Melian donna de grands pouvoirs à Thingol, qui était déjà grand parmi les Elfes, car il était le seul de son peuple à avoir vu de ses yeux les Arbres quand ils fleurissaient encore. Roi parmi les Umanyar, il ne fut pas compté parmi les Moriquendi, mais parmi les Elfes de Lumière, et sa puissance fut très grande. Les amours de Thingol et Melian donnèrent au monde le plus beau des Enfants d'Ilúvatar qui fut et qui sera jamais.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 4[/u][/right]

[...] si beau et si noble qu’il eût été, il semblait désormais un seigneur des Maiar aux longs cheveux d’argent, le plus grand de tous les Enfants d’Ilúvatar. Mais un destin funeste l’attendait.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 5[/u][/right]

[b]Lúthien Tinúviel[/b]

[...] ses yeux gris comme la lumière des étoiles [...], et ses cheveux aussi noirs que les ombres du soir.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19 [/u][/right]

Et le chant de Luthien défit les liens de l'hiver, libéra les eaux gelées qui se mirent à bruire, et des fleurs naquirent de la terre glacée là où s'étaient posés ses pas.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19 [/u][/right]

On raconte dans le Lai de Leithian comment elle s'évada de la maison de Hirilorn, comment elle employa ses dons de sorcellerie pour faire pousser ses cheveux très longs et en tisser une robe noire qui drapait sa beauté comme une ombre qui de plus inspirait le sommeil. Des mèches qui restaient, elle tressa une corde qu'elle fit pendre à sa fenêtre, et quand le bout se balança au-dessus des gardes assis sous l'arbre ils tombèrent d'un profond sommeil. Alors Lúthien descendit de sa prison, drapée dans son manteau de nuit qui la cachait aux regards de tous, et elle disparut du pays de Doriath.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19 [/u][/right]

[b]Dior Eluchíl[/b]

Celegrom tomba sous l'épée de Dior, et Curufin, et le cruel Caranthir, mais Dior aussi fut tué [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 22[/u][/right]

[b]Beleg Cúthalion[/b]

Alors le chef des gardes de Thingol, Beleg à l'Arc de Fer, amena dans Brethil une forte troupe de Sindar armée de haches, et Halmir et Beleg surgirent ensemble du fond de la forêt et exterminèrent les Orcs pris au dépourvu.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][b][size="5"]Laiquendi - Ossiriand[/size][/b][/center]

[b]Généralités[/b]

Quelques-uns retournèrent à Ossiriand après la bataille et leurs récits inspirèrent à leurs compatriotes une telle peur qu'ils ne prirent plus jamais part à une guerre ouverte et se protégèrent désormais par la prudence et le secret. [...] Mais beaucoup montèrent vers le nord, dans le royaume mieux gardé de Thingol, et se fondirent dans son peuple.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Mais la victoire des Elfes [à la première bataille des guerres du Beleriand] fut chèrement acquise. Ceux d'Ossiriand n'avaient eu que des armes légères et n'étaient pas de taille contre des Orcs revêtus d'armures et protégés par des boucliers d'acier, armés de lances aux larges lames.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

On les appela les Laiquendi, les Elfes Verts, à cause de leurs vêtements couleur de feuillage.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

Les Elfes d'Ossiriand avaient un tel art du camouflage qu'un étranger pouvait traverser leur pays d'un bout à l'autre sans en voir aucun. Ils étaient vêtus de vert au printemps comme en été et on pouvait les entendre chanter de l'autre côté du gelion, d'où il se fit que les Noldor appelèrent cette contrée le Lindon, le Pays de la Musique [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 14[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Noldor - Hithlum[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

[Fingolfin] et sa suite errèrent longtemps, misérables, en Araman, mais cette épreuve ne fit que renforcer leur courage et leur endurance, car c'était un grand peuple que les premiers enfants d'Eru Ilúvatar. Ils quittaient à peine le Royaume Bienheureux et n'étaient pas encore accablés par la fatigue du monde. La jeunesse et l'ardeur qu'ils avaient au coeur les firent s'aventurer jusqu'au Grand Nord et là, conduits par Fingolfin et ses fils, et Finrod et Galadriel, ils osèrent affronter les terreurs d'Helcaraxë et le chaos des glaces. Les Noldor ne surpassèrent jamais l'exploit de cette traversée dans le malheur et la souffrance.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 9[/u][/right]

En beaucoup d'endroits Noldor et Sindar se mêlèrent en un seul peuple et parlèrent le même langage, bien qu'il restât entre eux cette différence que les Noldor étaient plus forts de corps et d'esprit, qu'ils avaient les plus grands savants et les guerriers les plus redoutables, qu'ils construisaient en pierre et qu'ils aimaient le versant des collines et la pleine campagne [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

Mais Fingolfin était le roi de tous les Noldor et Fingon son second, même si leurs domaines n'étaient que la partie nord d'Hithlum, et leurs sujets étaient les plus forts* et les plus vaillants, ceux que les Orcs redoutaient le plus et que Morgoth haïssait en premier.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 14[/u][/right]* "hardy" en VO

[b]Cavalerie[/b]

Alors Fingon, Prince de Hithlum, marcha sur [Glaurung] accompagné d'archers à cheval et l'entoura d'un cercle de cavaliers qui le harcelaient de traits. Glaurung n'était pas encore suffisamment cuirassé pour supporter les flèches et ils s'enfuit vers Angband [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

Leur plus grand fort était à Eithel Sirion, à l'ouest d'Ered Wethrim, d'où ils surveillaient Ard-galen, et leur cavalerie parcourait cette plaine jusqu'à l'ombre du Thangorodrim, car le nombre de leurs chevaux avait grandement augmenté, de faible qu'il était au départ, grâce à l'herbe verte et grasse de la plaine. Les étalons de ces chevaux venaient pour la plupart de Valinor, où Maedhros les avait donnés à Fingolfin en dédommagement de ceux qu'ils avait perdus, quand ils avaient été emmenés par bateau à Losgar.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 14[/u][/right]

[b]Garde Royale[/b]

A la fin, Fingon se retrouva seul, tous ses gardes morts autour de lui, à combattre avec Gothmog.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right]

[b]Fingolfin[/b]

Fingolfin crut voir arriver la ruine absolue des Noldor et l'écroulement sans espoir de retour de toutes les Maisons. Plein d'une rage désespérée il monta son grand cheval Rochallor et s'en alla seul sans que personne pût le retenir. Il traversa Dorn-Fauglith comme un tourbillon à travers les cendres, et tous ceux qui le voyaient passer s'enfuyaient, stupéfaits, croyant qu'Oromë en personne était venu, car il était pris d'une telle folie enragée que ses yeux brillaient comme ceux des Valar. Seul il arriva devant le trône d'Angband et fit sonner sa trompe en frappant une fois encore sur les portes d'airain, et il défia Morgoth de venir l'affronter en combat singulier. Et Morgoth vint.
[...] Sous cette ombre, Fingolfin semblait comme étoile, sa cotte de maille était tissée d'argent, son bouclier d'argent était incrustré de cristaux, et Ringil, son épée, qu'il brandit, brillait d'un air glacé.
[...] Maintes fois, Morgoth tenta de l'écraser et chaque fois Fingolfin s'échappa d'un bond, comme un éclair jailli de sous un nuage noir, et il perça Morgoth de sept blessures et sept fois Morgoth poussa un cri de douleur tandis que les Legions d'Angband, de terreur, se jetaient face contre terre [...].
Mais enfin le Roi se fatigua et Morgoth abattit sur lui son bouclier. Trois fois, il fut mis à genoux, trois fois il se leva et brandit à nouveau son écu brisé son heaume fendu. La terre autour de lui était toute semée de crevasses et de trous qui le firent trébucher et tomber à la renverser au pied de Morgoth. Morgoth posa son pied gauche sur son cou, et ce pied faisait le poids d'une montagne. Mais, d'un dernier coup sans espoir, Fingolfin trancha le pied de son épée Ringil et un sang noir et fumant jaillit qui remplit tous les cratères creusés par Grond.
Ainsi mourut Fingolfin, Grand Roi des Noldor, le plus fier et le plus vaillant des anciens Rois des Elfes.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Noldor - Gondolin[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

En beaucoup d'endroits Noldor et Sindar se mêlèrent en un seul peuple et parlèrent le même langage, bien qu'il restât entre eux cette différence que les Noldor étaient plus forts de corps et d'esprit, qu'ils avaient les plus grands savants et les guerriers les plus redoutables, qu'ils construisaient en pierre et qu'ils aimaient le versant des collines et la pleine campagne [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

A l'arrivée des Noldor beaucoup des Elfes Gris habitaient sur les côtes de Nevrast [...]. Ceux-ci acceptèrent tous Turgon pour seigneur et ce fut là que se mêlèrent le plus vite les Noldor et les Sindar.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 14[/u][/right]

Puis Ulmo retourna vers la mer et Turgon fit avancer tous ses gens : près du tiers des Noldor qui avaient suivi Fingolfin, et des Sindar encore plus nombreux.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 15[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Un cri monta soudain, repris de vallée en vallée par le vent du sud, et les Elfes comme les Humains crièrent de surprise et de joie. Sans qu'on l'eût appelé, Turgon avait brisé l'isolement de Gondolin et était venu à la tête de dix mille soldats aux armures brillantes dont les lances et les épées faisaient comme une forêt.
[right][u]Le Silmarllion, Chapitre 20[/u][/right]

[Turgon] se hâtait maintenant au secours de son frère avec ses vigoureux Goldolindrim, vêtus de de cottes de mailles, dont les rangs miroitaient au soleil comme un fleuve d'acier.
[right][u]Le Silmarllion, Chapitre 20[/u][/right]

[b]Turgon et la maison du Roi[/b]

Quand Fingon entendit au loin la haute trompe de son frère Turgon, l'ombre de son coeur fut dissipée [...].
[right][u]Le Silmarllion, Chapitre 20[/u][/right]

Les phalanges de la garde du Roi enfoncèrent les rangs des Orcs et Turgon se tailla un chemin aux côtés de son frère.
[right][u]Le Silmarllion, Chapitre 20[/u][/right]

Vaste était le déploiement de la maison du roi et ses couleurs étaient le blanc et l'or et le rouge, et ses emblèmes la lune et le soleil et le coeur écarlate.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[...] la maison du roi n'a pas encore été touchée. Et ceci n'est pas non plus honteux, car leur rôle toujours était de rester dispos jusqu'à la fin et défendre le roi.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Là, voyant l'hésitation de l'ennemi en raison de la terreur de la chute de Gothmog le maréchal de ses armées, la maison royale attaqua et le roi descendit en splendeur parmi eux et combattit avec eux, si bien qu'ils balayèrent à nouveau une grande partie de la place, et des Balrogs en tuèrent même deux vingtaines, ce qui fut une très grande prouesse en vérité [...].
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Tuor et la maison de l'Aile[/b]

Maintenant en leur milieu se tenait Tuor les dominant tous, et sa cotte d'argent luisait ; et autour de lui était une foule serrée des gens les plus valeureux. Voici ! tous ceux-ci portaient des ailes comme de cygnes ou de mouettes sur les heaumes, et l'emblème de l'Aile Blanche était sur leurs boucliers.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Là Tuor tua Othrod, un seigneur des Orcs, fendant son heaume, et Balcmeg il coupa en deux, et Lug il taillada de sa hache et ses jambes furent tranchées au genou [...].
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[...] mais [les Balrogs] craignaient plus encore le sursaut de cette hache Dramborleg que maniait la main du Tuor, car elle chantait comme le passage des ailes de l'aigle dans l'air et donnait la mort en retombant, et cinq d'entre eux tombèrent devant elle.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Echtelion et la maison de la Fontaine[/b]

Puis vinrent là depuis le sud de la cité les gens de la Fontaine, et Echtelion était leur seigneur, et l'argent et les diaments leur félicité ; et ils maniaient des épées très longues et brillantes et pâles, et ils partaient à la bataille accompagnés d'une musique de flûtes.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Mais alors même que leurs messagers s'étaient hâtés [les Orcs] entendirent une douce musique qui se jouait au sein de l'armée des Gondothlim et ils en craignirent le sens ; et voici ! venait là Echtelion accompagné du peuple de la Fontaine que Turgon avait jusqu'alors maintenu en réserve [...].
Puis soudain leur musique cessa et Echtelion à la douce voix cria que l'on tirât les épées, et avant que les Orcs ne pussent prévoir son assaut l'éclat de ces pâles lames était sur eux. On dit que le peuple d'Echtelion occit là plus de gobelins que jamais il n'en tombât dans toutes les batailles des Eldalië contre cette race, et que son nom représente une terreur en leur sein même en ce jour si tardif, et un cri de Guerre pour les Eldar.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[...] mais Echtelion coupa à travers deux capitaines gobelins d'un seul coup d'épée et fendit la tête d'Orcobal leur principal champion jusqu'aux dents ; et grâce à la grande Bravoure des de ces deux seigneurs ils parvinrent même jusqu'aux Balrogs. De ces démons de pouvoir, Echtelion en tua trois, car l'éclat de son épée fendit le fer de ceux-là et les blessa dans leur flamme, et ils se tordirent.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Glorfindel et la maison de la Fleur d'Or[/b]

Là se tenait la maison de la Fleur d'Or qui portait un soleil rayonnant sur son bouclier, et son chef Glorfindel portait une mante tissée de telle manière de fils d'or qu'elle était recouverte d'un motif de célandine comme un champ au printemps ; et ses armes étaient damasquinées d'un or adroit.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Duilin et la maison de l'Hirondelle[/b]

Et de nombreuses autres familles étaient là, les gens de l'Hirondelle et de l'Arche Céleste, et de ce peuple venaient le plus grand nombre et les meilleurs des archers, et ils étaient déployés sur les parties larges de l'enceinte. Maintenant les gens de l'Hirondelle portaient un évential de plumes sur leurs heaumes, et leur parure était de blanc et de bleu foncé et de pourpre et de noir et ils montraient une pointe de flèche sur leurs boucliers. Leur Seigneur était Duilin, le plus rapide de tous à la course et au saut et le plus sûr des archers visant sa cible.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Egalmoth et la maison de l'Arche Céleste[/b]

Mais ceux de l'Arche Céleste, un clan dont la richesse était énorme, étaient déployés en une splendeur de couleurs, et leurs armes étaient serties de joyaux s'enflammant dans la lumière qui remplissait maintenant le ciel. Chaque bouclier de ce bataillon était du bleu des cieux et son ombon un joyau façonné à partir de sept gemmes [...], mais une opale de grande taille était sertie dans leur heaume. Egalmoth était leur seigneur, et il portait une mante bleue sur laquelle les étoiles étaient étaient tissées en cristal, et son épée était incurvée - maintenant aucun autre des Noldoli ne portait une épée courbe - mais il faisait plutôt confiance à l'arc, et il tirait plus loin que tout autre de cette armée.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[Egalmoth] avait la charge des engins sur les murs ; mais jugeant depuis longtemps que les événements appelaient plutôt à des coups de main dans les rues que des tirs sur les murailles il rassembla certains de l'Arche et du Cygne à ses côtés, et jeta son arc. Alors allèrent-ils par la cité distribuant de grands coups chaque fois qu'ils se trouvaient confrontés aux bandes ennemies.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Penlod et la maison du Pilier et la maison de la Tour de Neige[/b]

Là aussi étaient les gens du Pilier et de la Tour de Neige, et ces deux clans obéissaient à Penlod, le plus grand des Gnomes en taille.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Galdor et la maison de l'Arbre[/b]

Il y avait là ceux de l'Arbre, et ils venaient d'une grande maison, et leurs vêtement étaient verts. Ils combattaient avec des massues cloutées de fer ou bien avec des frondes, et leur seigneur Galdor était réputé comme le plus valeureux de tous les Gondothlim hormis Turgon seul.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Là, grâce à Galdor, Tuor fut secouru, car il portait Ecthelion et trébucha sur un corps étendu dans l'obscurité et se trouvant en retrait de ses hommes les Orcs les eussent pris tous les deux, n'eût été la soudaine arrivée de ce champion et la force de sa massue.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Rog et la maison du Marteau de Colère[/b]

Maintenant la dernière légion était formée des gens du Marteau de la Colère, et de ceux-ci provenaient nombre des meilleurs forgerons et artisans, et tout ce peuple révérait Aulë le Forgeron plus que tout autre Ainu. Ils combattaient avec d'énormes masses d'armes comme des marteaux, et leur boucliers étaient lourds, car leurs bras étaient forts. En des jours anciens ils furent en grand nombre recrutés parmi ces Noldoli qui s'étaient échappés des mines de Melko, et la haine de cette maison envers les oeuvres de cet être maléfique et les Balrogs ses démons outrepassait tout. Maintenant leur chef était Rog, le plus fort des Gnomes, et en bravoure il suivait de peu Galdor de l'Arbre. L'emblème de ce peuple était l'Enclume Frappée, et un marteau lançant des étincelles était représenté sur leur bouclier, et ils se délectaient de l'or rouge et du fer noir. Très nombreux étaient-ils dans ce bataillon, et aucun parmi eux n'avait le coeur timoré, et de toutes ces belles maisons ils récoltèrent la plus grande gloire dans cette lutte contre la ruine ; pourtant ils connurent une male destinée, et aucun ne réchappa de ce champ, mais ils tombèrent tous autour de Rog et disparurent de la Terre ; et avec eux ont été perdues à jamais force science et adresse.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Alors dit Rog d'une voix puissante : "Qui maintenant craindra les Balrogs malgré toute leur terreur ? Voyez devant nous ces êtres maudits qui durant des âges ont tourmenté les enfants des Noldoli, et qui maintenant produisent avec leurs tirs un incendie derrière nous. Venez, vous du Marteau de Colère, et nous les frapperons pour leurs maléfices." A cela il leva sa masse d'armes, dont la poignée était longue ; et il traça un chemin devant lui par la furie de son passage même jusqu'à la porte abattue : mais tout le peuple de l'Enclume Frappée accourut derrière lui comme une saignée, et des étincelles jaillissaient de leurs yeux de la fureur de leur rage. Une grande action fut cette sortie, comme les Noldoli la chantent encore, et grand nombre des Orcs furent repoussés dans les feux en contrebas ; mais les hommes de Rog bondirent sur les anneaux mêmes des serpents et fondirent sur ces Balrogs et les frappèrent grièvement, malgré leurs fouets de feu et leurs griffes d'acier, et leur très grande stature. Ils les réduisirent à rien, ou bien attrapant leurs fouets les maniaient contre eux, et ils les déchirèrent comme ceux-ci avaient auparavant déchiré les Gnomes ; et le nombre de Balrogs qui périt là fut un prodige et une terreur pour toutes les armées de Melko, car avant ce jour jamais un Balrog ne périt de la main d'un Elfe ou d'un Homme.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

Mais Rog voyant ceci [l'encerclement de ses troupes] n'essaya point de revenir [vers la Cité], comme on l'espérait, mais avec tous ses gens tomba sur ceux dont le rôle était de céder du terrain devant lui ; et ils fuirent à son approche par mortelle nécessité plutôt que par stratégie. En bas dans la plaine ils furent poursuivis, et leurs hurlements déchirèrent les airs de Tumladin. Alors cette maison du Marteau se dispersa en tous sens frappant et tailladant les troupes stupéfaites de Melko jusqu'à ce qu'ils fussent enfin de toutes parts entourés par une force irrésistible d'Orcs et de Balrogs, et on lâcha un Dragon de Feu sur eux. Là, autour de Rog ils périrent, frappant jusqu'au dernier jusqu'à ce que le fer et le feu les submergeassent, et on chante encore que chaque homme du Marteau de Colère prit la vie de sept ennemis en paiement de la sienne. Alors la terreur s'abattit plus lourdement sur les Gondothlim à la mort de Rog et à la perte de son bataillon [...].
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Salgant et la maison de la Harpe[/b]

Derrière eux vint l'armée de la Harpe, et il s'agit là d'une maison de braves guerriers ; mais leur chef Salgant était un lâche, et il flattait Maeglin. Leur attirail était couvert de tasseaux d'argent et de tasseaus d'or, et une harpe argent brillait sur un champ noir dans leur blason ; mais Salgant portait une harpe d'or, et lui seul de tous les Gondothlim entra dans la bataille à cheval, et il était lourd et trapu.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Maeglin et la maison de la Taupe[/b]

Sur les Terres du Milieu il n'y en avait qu'une autre comme [Anglachel], et ce récit n'en parle pas, bien qu'elle eût été forgée du même acier du même forgeron, Eöl l'Elfe Noir, celui qui avait pris pour femme Aredhel, la soeur de Turgon. Il avait donné Anglachel à Thingol, à contrecoeur, en paiement du droit de vivre à Nan Elmoth, mais il avait gardé sa jumelle, Anguiriel, jusqu'à ce que son fils Maeglin la lui dérobât.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 21[/u][/right]

Mais les gens de Maeglin étaient rassemblés au même endroit, et sable était leur harnachement, et ils ne portaient ni signe, ni emblème, mais leurs coiffes rondes étaient d'acier et recouvertes de peau de taupe, et ils combattaient avec des haches à deux lames semblables à des masses. Là, Maeglin prince de Gondobar rassembla maints guerriers à la mine sombre et au regard menaçant à ses côtés, et une lueur ocre brillait sur leurs visages et luisait sur les surfaces polies de leur accoutrement.
[right][u]Histoire de la Terre du Milieu, Partie II, Chapitre 3[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Noldor - Dorthonion[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

En beaucoup d'endroits Noldor et Sindar se mêlèrent en un seul peuple et parlèrent le même langage, bien qu'il restât entre eux cette différence que les Noldor étaient plus forts de corps et d'esprit, qu'ils avaient les plus grands savants et les guerriers les plus redoutables, qu'ils construisaient en pierre et qu'ils aimaient le versant des collines et la pleine campagne [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Noldor - Nargothrond[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

[Fingolfin] et sa suite errèrent longtemps, misérables, en Araman, mais cette épreuve ne fit que renforcer leur courage et leur endurance, car c'était un grand peuple que les premiers enfants d'Eru Ilúvatar. Ils quittaient à peine le Royaume Bienheureux et n'étaient pas encore accablés par la fatigue du monde. La jeunesse et l'ardeur qu'ils avaient au coeur les firent s'aventurer jusqu'au Grand Nord et là, conduits par Fingolfin et ses fils, et Finrod et Galadriel, ils osèrent affronter les terreurs d'Helcaraxë et le chaos des glaces. Les Noldor ne surpassèrent jamais l'exploit de cette traversée dans le malheur et la souffrance.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 9[/u][/right]


En beaucoup d'endroits Noldor et Sindar se mêlèrent en un seul peuple et parlèrent le même langage, bien qu'il restât entre eux cette différence que les Noldor étaient plus forts de corps et d'esprit, qu'ils avaient les plus grands savants et les guerriers les plus redoutables, qu'ils construisaient en pierre et qu'ils aimaient le versant des collines et la pleine campagne [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

[Curufin] fit naître en leurs coeurs une telle peur qu'aucun Elfe de ce royaume ne se risque plus dans une bataille jusqu'à la venue de Túrin. Mais ils pratiquèrent la ruse et l'embuscade, la magie et les flèches empoisonnées pour traquer les étrangers en oubliant jusqu'aux liens du sang. Ils furent par là déchus du courage et de la liberté des Elfes d'antan et leur pays fut plongé dans l'ombre.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 19[/u][/right]

Pourtant [Túrin] n'aimait pas leur manière de faire la guerre, les embuscades, les ruses et les archers invisibles. Il regrettait les batailles, la bravoure à découvert, et ses avis prirent de plus en plus d'importance auprès du Roi. Bientôt les Elfes de Nargothrond quittèrent leurs cachettes et livrèrent des batailles en terrain découvert. Ils fabriquèrent de grandes quantités d'armes et construisirent sur les conseils de Túrin un immense pont [...] afin que leurs troupes puissent sortir en masse.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 21[/u][/right]

[b]Finrod Felagund[/b]

[...] [Finrod, Beren et leurs dix compagnons] rencontrèrent une troupe d'Orcs qu'ils tuèrent jusqu'au dernier et ils prirent leurs armes et leur équipement. Felagund usa de son art pour que leurs corps et leurs visages prennent la semblance des Orcs et c'est sous ce déguisement qu'ils continuèrent vers le nord [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 19[/u][/right]

Ainsi commença l'épreuve célèbre qui opposa Sauron à Felagund. Car Felagund fit assaut de chants magiques avec Sauron et le pouvoir du Roi était grand, mais Sauron eut le dessus, comme il est dit dans le Lai de Leithian.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 19[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Noldor - Fëanoriens[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

Les Noldor, moins nombreux et pris au dépourvu, remportèrent cependant une victoire rapide : leurs yeux avaient conservé l'éclat de la lumière d'Aman, ils étaient encore forts et rapides, leur colère était mortelle et leurs épées grandes et terribles.
[right]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

En beaucoup d'endroits Noldor et Sindar se mêlèrent en un seul peuple et parlèrent le même langage, bien qu'il restât entre eux cette différence que les Noldor étaient plus forts de corps et d'esprit, qu'ils avaient les plus grands savants et les guerriers les plus redoutables, qu'ils construisaient en pierre et qu'ils aimaient le versant des collines et la pleine campagne [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Quand Mordoth vit que les braises couvaient sous la cendre, que l'orgueil et la colère faisaient frémir les Noldor, il leur apprit à faire des armes et ils se mirent à forger des lances, des haches et des épées. Ils firent aussi des boucliers ornés des emblèmes de nombreux clans qui rivalisaient l'un l'autre, et c'étaient les seules choses qu'ils portaient ouvertement car chacun croyait être le seul prévenu et ne disait mot des armes.
Fëanor installa secrètement une forge dont même Melkor ignorait l'existence et c'est là qu'il trempa de funestes épées pour lui et ses fils, ainsi que de grands heumes surmontés de plumes rouges.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 7[/u][/right]

[...] Curufin, plein de honte et de rancune, prit l'arc de Celegorm et tira tout en s'enfuyant.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 19[/u][/right]

[b]Cruauté[/b]

[...] mais Dior aussi fut tué, et sa femme Nimloth, et les cruels serviteurs de Celegorm prirent ses jeunes fils et les abandonnèrent dans la forêt pour qu'ils meurent de faim.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 22[/u][/right]

Car les Fils de Fëanor qui vivaient encore tombèrent par surprise sur les exilés de Gondolin et de Doriath et les anéantirent. Quelques-uns des leurs se tinrent à l'écart de la bataille, peu se révoltèrent et furent tués dans l'autre camp pour aider Elwing contre leurs propres seigneurs (car telle était la triste confusion qui régnait en ce temps dans le coeur des Eldar) [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 24[/u][/right]

[b]Cavalerie[/b]

Leurs cavaliers patrouillaient sans cesse dans la grande plaine du Nord, la vaste et déserte Lothlann, à l'est d'Ard-galen, de crainte que Morgoth ne tente une sortie vers l'est de Beleriand.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 14[/u][/right]

Mais [les Orcs] écrasèrent à Lothlann les cavaliers du peuple de Fëanor, car Glaurung s'y rendit [...].
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right]

[b]Meute de chiens de chasse[/b]

Il se trouvait que Celegrom et Curufin étaient en train de chasser sur la Plaine Fortifiée parce que Sauron, plein de soupçons, avait envoyé un grand nombre de loups sur les terres des Elfes. Ils chevauchaient donc, précédés de leur meute [...]. Le chef de la meute de Celegorm s'appelait Huan.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 19[/u][/right]

[b]Maedhros[/b]

Avec le temps Maedhros guérit sa blessure, car la flamme de la vie brûlait en lui et il avait la force de ceux qui avaient grandi à Valinor.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 13[/u][/right]

Maedhros accomplit des exploits d'une audace insurpassable et les Orcs s'enfuyaient à sa vue car, depuis les tourments qu'il avait subis sur le Thangorodrim, son esprit brûlait comme une flamme blanche et on eût cru qu'il était revenu du pays des morts.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][b][size="5"]Nains - Nogrod[/size][/b][/center]

[b]Généralités[/b]

Comme les Nains devaient naître à l'époque où Melkor faisait peser son joug, Aulë leur avait donné une grande endurance. Ils sont donc durs comme le roc, obstinés, prompts à l'amitié comme à l'hostilité, et ils résistent mieux à la peine, à la faim et à la souffrance que tous les êtres parlants.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 2[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Alors Thingol pensa à s'armer, ce dont son peuple n'avait pas encore eu besoin, et les Nains forgèrent pour lui les premières épées. Ils y étaient fort habiles, quoique aucun d'entre eux ne surpassât les artisans de Nogrod dont Telchar, le forgeron, était le plus connu.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

Les Sindar apprirent très vite à faire des armes, mais personne ne surpassa les Nains dans l'art de tremper l'acier, pas même les Noldor ; et pour les cottes de mailles, d'abord inventées par les armuriers de Belegost, ils n'eurent pas de rivaux.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

[...] [les Nains] avaient coutume de porter à la guerre de grands masques effrayants à voir, qui firent merveille devant les dragons.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right]

[...] et nul ne pouvait tenir à l'approche de Glaurung, sauf Túrin muni de son masque de nain.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 21[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][b][size="5"]Nains - Belegost[/size][/b][/center]

[b]Généralités[/b]

Comme les Nains devaient naître à l'époque où Melkor faisait peser son joug, Aulë leur avait donné une grande endurance. Ils sont donc durs comme le roc, obstinés, prompts à l'amitié comme à l'hostilité, et ils résistent mieux à la peine, à la faim et à la souffrance que tous les êtres parlants.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 2[/u][/right]

La dernière des armées orientales à résister [à la Bataille des Larmes Innombrables] fut celle des Nains de Belegost, et ils en acquirent grand renom.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Alors Thingol pensa à s'armer, ce dont son peuple n'avait pas encore eu besoin, et les Nains forgèrent pour lui les premières épées. Ils y étaient fort habiles, quoique aucun d'entre eux ne surpassât les artisans de Nogrod dont Telchar, le forgeron, était le plus connu.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

Les Sindar apprirent très vite à faire des armes, mais personne ne surpassa les Nains dans l'art de tremper l'acier, pas même les Noldor ; et pour les cottes de mailles, d'abord inventées par les armuriers de Belegost, ils n'eurent pas de rivaux.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right]

[...] [les Nains] avaient coutume de porter à la guerre de grands masques effrayants à voir, qui firent merveille devant les dragons. Sans eux, Glaurung aurait exterminé ce qui restait des Noldor. Mais, quand il les attaqua, les Naugrim l'entourèrent de toutes parts et son armure si formidable fût-elle ne suffit pas à le protéger de leurs coups de hache.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right]

[...] et nul ne pouvait tenir à l'approche de Glaurung, sauf Túrin muni de son masque de nain.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 21[/u][/right]

[b]Azaghâl[/b]

Dans sa rage Glaurung se retourna et d'un coup jeta par terre Azaghâl, seigneur de Belegost, mais quand il le piétina, le Naugrim lui planta un couteau dans le ventre avec ses dernières forces. [...] Les Nains relevèrent le corps d'Azaghâl et l'emportèrent à pas lents, chantant un hymne funèbre de leurs voix profondes, comme à des funérailles dans leur pays, et nul n'osa les arrêter.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Humains - Maison de Bëor[/b][/size][/center]

[b]Equipement[/b]

[Finrod] aurait été tué ou fait prisonnier si Barahir n'était venu à son secours avec les plus braves de ses guerriers pour lui faire un rempart de leurs épées et le faire sortir de la bataille au prix de lourdes pertes.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right]

[b]Beren[/b]

Sa connaissance de la forêt lui permit d'approcher de leurs feux sans être vus.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19[/u][/right]

Puis Beren continua de parcourir Dorthonion pendant quatre ans, solitaire et proscrit. Il devint l'ami des oiseaux et des bêtes qui lui prêtèrent leur aide sans jamais le trahir et, depuis ce temps, il ne mangea plus de viande et ne tua plus aucune créature vivante qu'elle ne fût au service de Morgoth.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19[/u][/right]

[...] mais les Orcs préféraient fuir à la seule idée de sa venue que le poursuivre.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[size="5"][center][b]Humains - Maison de Hador[/b][/center][/size]

[b]Généralités[/b]

L'année suivante, Marach fit traverser les montagnes à son peuple, des hommes de grande taille et d'humeur guerrière qui avançaient en troupes ordonnées. Les Elfes d'Ossiriand se cachèrent alors et ne les attaquèrent point.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 17[/u][/right]

[b]Húrin[/b]

De tous, Húrin resta le dernier debout. Alors il jeta son bouclier et prit sa hache à deux mains. On dit que le fer fumait dans le sang noir des trolls, la garde noire de gothmog, et qu'à chaque coup Húri criait :
- [i]Aurë entuluya ![/i] Le jour reviendra !
Il poussa ce cri soixante et dix fois mais, à la fin, ils le prirent vivant sur ordre de Morgoth. Les Orcs jetaient les mains sur lui, elles s'accrochaient encore quand il leur avait coupé les bras, et ils se renouvelaient tant et tant qu'à la fin il fut enfoui sous leur nombre.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 20[/u][/right] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][size="5"][b]Humains - Orientaux[/b][/size][/center]

Ces Humains étaient petits, trapus, les bras longs et forts, ils avaient le teint basané ou jaunâtre et les cheveux aussi noirs que les yeux. Ils étaient divisé en de nombreuses tribus et certains préférèrent les Nains des montagnes à la compagnie des elfes.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right]

Les Edain et les Orientaux ne s'aimaient guère et se rencontraient peu.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 18[/u][/right] Modifié par deathshade
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[center][size="5"][b]Orcs[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

Pourtant, on dit en Eressëa que tous ceux des Quendi qui tombèrent entre les mains de Melkor avant le démantèlement d’Utumno furent jetés en prison, qu’ils y furent corrompus et réduits en esclavage après de longues et savantes tortures, et c’est ainsi que Melkor créa la race hideuse des Orcs, dans sa haine jalouse des Elfes, dont ils furent ensuite les ennemis les plus féroces. Les Orcs étaient vraiment vivants et se multipliaient comme les Enfants d’Ilúvatar, alors que Melkor, depuis sa rébellion d’avant le Commencement du Monde, pendant Ainulindalë, ne pouvait plus rien créer qui ait une vie propre ni même une apparence de vie ; voilà ce que disent les sages. Au plus profond de leur âme noire les Orcs haïssaient en retour le maître qu’ils servaient par peur et qui ne leur apportait que souffrances.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 3[/u][/right]

[b]Equipement[/b]

Ceux d'Ossiriand n'avaient eu que des armes légères et n'étaient pas de taille contre des Orcs revêtus d'armures et protégés par des boucliers d'acier, armés de lances aux larges lames.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 10[/u][/right] Modifié par deathshade
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[center][size="5"][b]Ainur et Maïar maléfiques[/b][/size][/center]

[b]Balrogs[/b]

Les êtres malfaisants qu’il avait pervertis parcouraient le monde, les forêts obscures et silencieuses étaient traversées de monstres et d’apparitions épouvantables. Il avait rassemblé ses démons à Utumno, ceux qui l’avaient suivi au temps de sa splendeur et s’étaient corrompus comme lui. Ils brûlaient comme des flammes enveloppées de ténèbres et, munis de fouets ardents, ils semaient la terreur devant eux. Plus tard, sur les Terres du Milieu, on les appela Balrogs. À cette époque, le sinistre Melkor créa aussi des monstres innombrables, de toutes formes et de toutes espèces, qui agitèrent longtemps le monde tandis que son royaume s’étendait inexorablement vers le sud, vers les Terres du Milieu.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 3[/u][/right] Modifié par deathshade
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[center][size="5"][b]Loups-Garous[/b][/size][/center]

[b]Généralités[/b]

Enfin on lança contre [Beren] une armée entière commandée par Sauron, et celui-ci fit venir des Loups-garous, de féroces créatures possédées par des esprits terrifiants qu'il avait emprisonnés dans leurs corps.
[right][u]Le Silmarillon, Chapitre 19[/right][/u] Modifié par Shas'El'Hek'Tryk
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[center][b][size="5"]Aigles[/size][/b][/center]

Partons maintenant, dit Voronwë, s'il y a un Orc dans les parages, il sera plaqué au sol, terrorisé, jusqu'à ce que les aigles aient disparu.
[right][u]Contes et Légendes Inachevés du Premier Âge, Chapitre 2[/u][/right]

Et n'as-tu point vu les Aigles? Ce sont les gens de Thorondor, qui vécurent jadis sur le Thangorodrim même, avant que Morgoth ne se soit fait si puissant, et qui depuis la chute de Fingolfin sont établis dans les Monts de Turgon. Ils sont seuls, hors les Noldor, à connaître le Royaume Caché, et ils patrouillent les cieux au-dessusu, bien que jusqu'à présent aucun serviteur de l'Ennemi n'ait osé voler dans les hautes sphères ; et ils apportent au Roi force nouvelles de tout ce qui fait mouvement dans les pays hors les murs. Si nous avions été des Orcs, ils se seraient saisis de nous, n'en doute point, et d'une très grande hauteur, ils nous auraient fracssés sur l'implacable rocher.
[right][u]Contes et Légendes Inachevés du Premier Âge, Chapitre 2[/u][/right] Modifié par deathshade
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[center][size="5"][b]Ents[/b][/size][/center]

Quand les Enfants naîtront, alors l’esprit de Yavanna s’éveillera aussi, elle invoquera des puissances lointaines qui viendront se mêler aux kelvar et aux olvar, et certains y resteront qui seront respectés et dont la juste colère sera redoutée.
[right][u]Le Simarillion, Chapitre 2[/u][/right]

Car les forêts seront parcourues par des esprits dont il sera dangereux de provoquer la colère.
[right][u]Le Silmarillion, Chapitre 2[/u][/right]
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