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Elladan, Seigneur Elfe

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Messages posté(e)s par Elladan, Seigneur Elfe

  1. pour infos:

    Shogun=Seigneur

    Senseï=Maître d'armes

    Ninjas=mercenaires espions, chargés de l'espionnage ou du contre-espionnage, spécialisés dans la pratique du Ninjistu, qui regroupe 36 techniques différentes ( art du combat dans l'eau, shurikens, stratégie...)

    Katana=sabre japonais utilisé par les samouraïs, il va de paire avec le wakisashi, sabre court ( utilisé pour sepukku )

    Tachi= variante du Katana, il est lui d'origine chinoise

    Ninjato= sabre utilisé par les ninja, sa lame est droite et non incurvée.

    Pour d'autres précisions, vous pouvez me mp. Je pense que on pourrait penser à des Pratiquants d'arts matiaux: kung fu wushu et taekwondo pour Cathay, et aïkido karaté-do pour Nippon...

  2. de plus je vois mal Lamenoire enseigner son art à quiconque, il n'a que 150 ans et je doute qu'il serve de professeur. De plus ton gars est trop puissant, et évite la combinaison des deux poisons. Et accessoirement rabaisse un peu la régle pour toucher.

    Sinon c'est pas mal.

  3. il est clairement stipulé que les récompenses démoniaques ne peuvent être détruites si on leur lance Anatheme. je pense que trop d'erreurs se sont déroulées dans cette bataille pour dire que le chaos s'est fait écrasé. Le BDS aurait massacré Imrik ( 8 attaques 7 force 10 CC avec coups fatals sa ne pardonne pas contre un ennemi qui n'a pas d'invulnérable).

  4. Allez voici la suite.

    Sirius et Tristan passait de plus en plus de temps ensemble, à parcourir leurs terres en quêtes d’ennemis ou lors de fêtes où les deux jeunes gens s’amusaient, et où Tristan ne manquait jamais de faire tourner les têtes, Sirius préférant généralement rester en retrait de son exubérant compagnon. Il vécurent ainsi quatre ans d’amitié, s’entraînant, combattant, chassant et mangeant ensemble. Leurs compétences martiales et les pouvoirs de Draken-Torin s’accentuant sans cesse, ils pouvaient affronter n’importe quel ennemi. Puis un jour qu’ils venaient de massacrer un groupe d’orques, Tristan annonça à l’elfe la nouvelle qui allait changer leurs vies à jamais. «  Au fait, mon oncle Govinn nous a céans envoyé une lettre. Il réclame de l’aide pour une croisade contre les terres de Khemri. Mon comte et père m’a demandé de rejoindre la force de mon oncle avec quelques nobles chevaliers, et je me demandais si au nom de notre amitié tu accepterais d’accompagner ton ami…

    - J’ignore si mon clan sera d’accord avec cette proposition pour le moins inatendue mon ami, mais je ne leur laisserais pas le choix. Et quand partirions-nous ?

    - Demain. »

    Tristan s’enfuit tandis que l’elfe sautait sur ses pieds, et l’elfe poursuivit son ami avant que le vicomte se retourne et que les deux compagnons s’affontrent en un simulacre de combat.

    Le lendemain, à l’aube Sirius se présenta au domaine, chevauchant un magnifique coursier elfique, qui surpassait en beauté même les plus beaux étalons de Bretonnie. Il avait réussit à arracher son consentement à Kendar et avait dit ses adieux au Dragon Vert, regrettant de ne pouvoir partir au combat sur le dos du puissant drake. Le wyrm lui avait offert un magnifique cadeau avant qu‘il parte: deux lames enchantées par lui-même, qui pénétrait les armures comme le feuillage des arbres. Sirius partit, le cœur triste.

    Tristan apparut enfin, à la tête d’une colonne de chevaliers aux couleurs de la cité. Le jeune homme paraissait de fort méchante humeur. En effet son père n’avait pas voulut le laisser emmener les précieux pégases. Donc le vicomte était obligé de voyager à terre, comme les roturiers !!! Et som ami elfique aussi, lui fit remarquer Sirius, avant que Tristan ne se rende compte de sa gaffe. Et accessoirement toutes les belles jeunes filles de Parravon qui étaient aux fenêtres des maisons et qui pleuraient à chaudes larmes, lançant parfois des fleurs ou des châles à Tristan.

    Le voyage se déroula agréablement bien, et ils n’eurent aucun problèmes, du moins jusqu’à ce qu’ils arrivent à la frontière du pays des morts. Là les habitants leurs racontèrent d’atroces histoires sur des morts qui ne le seraient pas. Sirius repensa au vampire qu’il avait combattu et il ne lui plaisait guère de renouveller l’expérience. Le Duc Govinn, un gros homme musclé dans la force de l’âge ne s’inquiétait pas de ses sornettes. Mais quand ils pénétrèrent dans le désert brûlant, Sirius sentit aussitôt les vibrations maléfiques qui parcouraient ses landes maudites. Après deux semaines sans rencontrer âme qui vive, les soldats commencèrent à rechigner, à cause de la soif, du sable et de la chaleur insoutenable. L’elfe était de plus en plus mal à l’aise, même si son compagnon paraissait on ne peut plus détendu. Ce fut à midi lorsque il arrivèrent en vue d’immenses édifices pyramidales que les hommes commencèrent à prendre peur. A juste titre d’ailleurs car alors qu’ils approchaient ils aperçurent une armée qui avançait à leur rencontre. Une armée de morts. D’innombrables squellettes avançaient en rangs serrés, tandis que dans les cieux volaient sur les ailes décharnées des oiseaux morts depuis des lustres. Ils virent aussi d’énormes statues maniant de grandes faux de guerres, et aussi des chars qui progressaient sans peine sur le sable fin. Cette armée de la non-vie était au moins deux fois plus grande que la leur. Les hommes prirent leurs armes et affutant leurs courages ils chargèrent. Et le massacre commença. Les ennemis semblaient surgirent de tout côtés et les chevaliers combattaient bravement mais ils succombaient lentement au poids du nombres. A la fin du jour il ne restait qu’une poignée de combattants vivants, tandis que les morts semblaient encore un nombre exorbitant. Ils montèrent sur un appontement rocheux et tinrent toute la nuit. Le matin les morts étaient partis, et il ne restait que six chevaliers, Tristan blessé et Sirius. Gauvinn était mort de la lame courbe d’un immense Mort qui paraissait commander l’armée. Le petit groupe s’enfuit alors, laissant la les morts qui semblaient déjà être aspirer par le sable. Après plusieurs jours de marche ils furent attaqués par un immense scorpion qui surgit des sables et les attaqua avec une fureur sans nom. Les hommes ayant perdu leurs montures, ils ne purent fuir et quatre d’entre eux mordirent la poussière avant qu’ils ne détruisent la créature des sables. les deux chevaliers restant périrent alors qu’ils avançaient en avant-garde. Des insectes les dévorèrent vivants, surgissant des sables comme l’avait fait le scorpoin géant. Sirius soutenait Tristan et ils réussirent à fuir. Enfin ils arrivèrent en vue d’une colline. Sirius décida qu’ils monteraient au sommet pour avoir une vue des environs. L’escalade leur prit plusieurs heures. Et le cauchemar débuta lorsqu’ils arrivèrent en haut. Assis sur un trône fait d’ossements de Dragon, un homme semblait être dans une profonde méditation. Pas le moindre muscle ne bougeait, et sous son armure d’une époque passée on pouvait distinguer une musculature parfaite. Une immense épée qui luisait d’un rouge sang reposait contre le bord du trône. Alors même qu’ils s’approchait de l’Homme, Sirius sentit son pouvoir. Un pouvoir comme il n’en avait jamais sentit auparavant. Puis l’être parla, mentalement. «  Je suis Aborash, Premier Né, Grand Maître de l’Ordre des Dragons de Sang. ». Sirius sentit son cœur s’arêter de battre, tandis même que Tristan reculait sous l’aura insoutenable de l’immortel. Le Dragon Rouge. Le Guerrier Suprême. Draken-Torin l’avait lut dans l’esprit du vampire qu’il avait vaincu. Le fondateur de l’ordre. Derrière lui, Tristan s’effondra, le pouvoir du buveur de sang étant trop imposant pour son âme humaine. Alors, sentant en Sirius un adversaire digne d’être affronté, Aborash l’Immortel s’avança, saisissant sa lame qui devait elle-même mesurée plus de 6 pieds de longs, alors que le Seigneur Vampire devait lui faire plus de 7 pieds et demi. Sirius sentit encore une fois le vampire lui parler.  « Affronte-moi, et regarde la Mort en face .» L’elfe saisit ses lames et le combat commença. Sirius Draken-Torin n’avait jamais vu ça. La créature était si rapide qu’il presque impossible de la suivre des yeux. Ses coups étaient d’une force surhumaine et l’elfe ne pouvait qu’essayer de les éviter. Et pourtant le vampire possédait une technique incomparable. Ses coups étaient calculés au millième de millimètre, visant les points vitaux de l’elfe. Sirius essayait de toucher le vampire mais il n’y parvenait jamais, le buveur de sang bloquant tout les coups portés. Sirius avait une quantités de petites blessures qui l’affaiblissaient de plus en plus. Il sentit que si le combat s’éternisait il mourrait. Alors il tenta un coup que son maître d’arme lui avait enseigné comme étant imparable mais particulièrement risqué quant à sa réalisation. lançant le combo, il visa d’une lame la tête et de l’autre la jambe. Puis prenant appuis sur une jambe tandis que le vampire parrait le coup à la jambe, Sirius lui donna un coup de pierd retourné que l’être évita et l’elfe en profita pour s’envoler en tournoyant sur lui-même, et il retomba derrière l’immortel et alors qu’il allait planter ses almes dans le dos de son adversaire en utilisant la force acquise durant le saut il sentit le mouvement du vampire qui déviait une lame d’une torsade du poignet dans son dos, tandis que la deuxième épée du Chantelame pénétrait profondément dans le dos du vampire. Qui ne broncha pas et se retournant à la vitesse de l’éclair frappa de son poing l’elfe qui alla s’écraser plusieurs mètres plus loin, lachant ses lames. «  Tu t’es bien battu, Sirius Draken-Torin, du clan du Dragon Vert. Tu mérites le Baisé de Sang … » L’elfe ne put que regarder alors que le Premier Né s’approchait de lui. Il ne put rien faire non plus alors même que le vampire lui accordait le don le Non-Vie, unissant leur sang. Celui pur des Asurs à celui maudis des Damnés. Sirius Draken-Torin sentit le sang vampirique affluer dans ses veines. Il sentit cette puissance. Et lorsqu’il se releva, titubant encore sous le choc, il entendit le Dragon Rouge: « Et maintenant mon fils part. Tu as gagné la vie de ton ami, ainsi que la tienne. »

  5. Ce personnage est une légende ( morte mais légende quand même).

    Le fait que GW n'est pas créer le profil d'Aenarion est simple: il est trop puissant pour être établi, et aucun joueur ne voudra jamais jouer contre lui ( sauf un taré, ou un joueur de Nuln). Donc mon avis c'est de ne pas essayer de le créer ( ou vraiment just for the fun). c'est comme faire un profil pour Aborash ou un perso de ce genre. Il sont simplement trop puissant pour etre créer. enfin c'est mon avis. ( oui je sais je connais le profil de Kroak, et personne le jouera, pasque c'est une pompe à point). Je me demande quel sera le profil d'Orion, car après tout c'est aussi un demi-dieu...

  6. Le Dragon de Sang ne laissa même pas le temps à l’elfe de commencer une danse. Pour éviter le furieux coup de taille de l’épée trempée de sang du vampire il effectua une vrille au-dessus du monstre essayant de le frappa au visage. Un seul de ses coups trouva une faille dans la protection du dragon le blessa au visage. Le vampire surprit rompit le combat et dévisagea son adversaire. Sirius sentit que ses coups seraient sans effets si il ne touchait pas un des centres vitaux de la créature. il entreprit donc une danse qui lui permettrait de tuer le guerrier en armure écarlate d’un coup. Le vampire, romput au combat au corps au corps, ne commit pas une deuxième fois la même erreur en chargeant inconsidérement. Il prit le temps de ramasser un bouclier par terre, et se ramassa sur lui-même pour lancer un assaut mais il fut coupé dans son élan lorsque l’elfe bondit dans sa direction. L’allonge du vampire lui permit de frapper en premier, mais Sirius l’évita et donna deux coups en direction de la gorge du vampire, que celui-ci évita aisément. Le chantelame sentit que si ce combat s’éternisait il en mourrait. La créature surnaturelle qu’il combattait le pousserait à la faute et sa lame damnée le tuerait. Le dragon de sang contre-attaqua rapidement et trouva une ouverture dans la garde de Sirius. La lame maléfique pénétra dans sa cuisse et Sirius la sentit aspira son énergie vitale. Il donna une série de coups sur le visage de son adversaire qui retira sa lame de la chair de l’elfe pour pouvoir se défendre. le vampire sentit que son ennemi cédait et il s’arrêta, tandis qu’un sourire cruel apparaissait sur son visage. Il se débarrassa de son bouclier fracassé par les coups de l’elfe. Mal lui en prit: Sirius Draken-Torin exécuta un double salto pour atterir derière son adversaire, et parrant le coup d’épée du vampire en l’air il retomba au sol et sans se retouner planta ses deux lames dans le corps de son adversaire: la rapidité et la puissance apportées par le saut triomphèrent de l’endurance du vampire. Le monstre s’effondra lentement, le corps transpercé. Aussitôt les troupes morts-vivantes commencèrent à se désagréger. Les squellettes tombèrent en poussière, tandis que les revenants tinrent plus ou moins bien le choc de la mort de leur général. Sirius épuisé sombra dans l’inconscience, et eût juste le temps de voir Tristan fondre des cieux vers lui, alors que le soleil transparaiçait des nuages sombres.

    Sirius reprit connaissance quelques jours plus tard, à Parravon. Sa blessure l’avait grandement affaiblit. Les Dragons de Sang n’ont pas pour rien la réputation d’être les meilleurs guerriers de la planète. Tristan entra dans sa chambre quelques instants plus tard. 

    « - Alors mon ami comment te sens-tu ? As-tu bien dormi ? »

    Sirius sourit, la bonne humeur de son ami se propageant. Personne ne pouvait rester maussade au contact de Tristan.

    « - Et bien de ce fait je me sens un peu mieux. Comment s’est donc terminé la bataille? D’après mes derniers souvenirs, l’armée mort-vivante était en train d’être détruite.

    -Oui en effet. L’armée ennemi a commencé à se désagréger juste après que tu es si brillament affronté le chevlier rouge. Sa mort est tout à ton honneur, car de tels ennemis ne sont pas facile à vaincre. Enfin bref, les unités de la Mort se sont peu à peu désagrégées, et nous avons fini par remporter la victoire. Sois-en remercié. »

    Sirius rentra en Loren peu après, et finit son rétablissement auprès de ses chers arbres. Il eût alors une conversation avec le protecteur de son clan depuis sa création. Le Dragon Vert. Ce puissant dragon était sûrement un des plus puissants et des plus anciens vivants encore. Bien que son corps serpentin soit perpétuellement endormi, son âme veille sur le peuple elfique, conseillant continuellement le clan. Le Grand Drake n’eût finalement que peu de mots pour Sirius, alors que d’habitude ils étaient très proches l’un de l’autre: Sirius aimait les dragons, et il prenait soin continuellement du corps du wyrm, ce dont celui-ci lui était gré. Un étrange lien s’était tissé entre les deux êtres, et le drake était devenu le protecteur et le professeur de Sirius, lui prodiguant conseils sur la manière de se battre et sur les arcanes magiques, que le dragon vert maniait à la perfection, étant un des premiers nés.

    Pourtant cette fois-ci son grand ami ne lui donna qu’un conseil: Point ne devrais-Tu T’attacher trop aux humains: la Mort les guettent, et le Temps les rattrappe toujours. Draken-Torin décida de garder à l’esprit ce précepte, en retrouvant plus souvent Tristan… Après tout l’amitié de l’humain lui était précieuse, et il préférait avoir de bons souvenirs.

  7. Sirius Draken-Torin était perché au sommet d’un arbre immense et contemplait sa forêt natale. Il repensait à la visite qu’il avait faite aux Bretonniens quelques semaines plus tôt. Il avait séjourné plusieurs jours dans la cité et avait beaucoup apprit sur les manières de vivre et les mœurs des habitants de cette ville de pierre. Une amitié naissante s’était très vite nouée entre l’elfe et le jeune vicomte. Après ces quelques jours passés en cette agréable compagnie, Sirius avait dû rejoindre la loren, pour ne pas inquêter les membres de son clan. Il avait d’ailleurs dû expliquer au seigneur des forêts son amitié pour ces bretonniens, pour que celui-ci le laisse poursuivre sa relation. Comme le chef des dragons verts n’avait rien à repprocher aux humains il avait autorisé Sirius à les revoir.

    Durant plusieurs années Sirius et Tristan se promenèrent, combattirent, firent la fête, s’entrainèrent ensemble. Le temps passa et les compétences martiales des deux jeunes gens se renforçait, en même temps que leur amitié et que les pouvoirs de Sirius.

    Un jour, alors que Sirius était à Parravon, Tristan lui apprit que sur ordre du roi il devait se joindre aux armées pour reprendre le duché maudit de Moussillon où une force maléfique régnait depuis quelques temps. Il proposa à son elfe d’ami de l’accompagner, et bien entendu le chantelame accepta sans hésiter. Ils partirent quelques semaines plus tard, la présence de l’elfs dans l’armée bretonnienne étant particulièrement remarquée, même si personne ne lui chercha de noises car il était sous la protection du jeune seigneur de Parravon et de ses Chevaliers Pégases. Ils arrivèrent en peu de temps à Moussillon.

    Sirius sentit immédiatement l’œuvre d’une puissante magie malfaisante. Il ne réussit pas à déterminer quelle était son origine: il avait déjà combattu des sorciers et reconnaissait les magies, mais celle-ci était très étrange, et particulièrement noire. Alors qu’ils montaient le camps, Sirius fit part de ses inquiétude à Tristan, qui lui n’avait pas l’air très alarmé. La nuit fut calme, mais l’aube n’arriva pas. De sombres nuages s’étaient installés et la plaine était maintenant aussi noire que la suie. Les feux brûlaient dans le camps et Sirius sentit alors un pouvoir se déchaîner. Il sentit les morts s’éveiller au loin et il aperçut la créature qui les ranimait. L’elfe sentit que la bataille s’annonçait difficile. Il avertit Tristan et les généraux bretonniens et certains d’entres eux émirent des doutes, la plupart le crurent, car on savait que l’elfe était un sorcier et l’armée n’en possédait aucun. Les soldats se préparèrent au combats, les destriers furent sellés, les chevaliers prirent leurs armes et les roturiers leur matériel de combat, des arcs miteux et de pauvres armes d’hast dont Sirius doutait fortement. Il percevait le pouvoir destructeur de l’armée en marche. Des squellettes pourris, et de grands loups décomposés. Des morts en armures lourdes ainsi que des chevaliers noirs. Dans les cieux des chauves-souris géantes, qui survolaient des nuées d’esprits immatériels. Le seigneur de l’armée, lui était entouré de pénombres que le troisième œil de Sirius n’arrivait pas à percer. Il comprit néanmoins que l’être était meilleur guerrier que sorcier: la créature ne s’était pas aperçut du troisième œil du chantelame magicien.

    Les morts et les vivants se rencontrèrent sur une morne plaine, et les nuages empêchaient toujours les bretonniens d’y voirent correctement. Sirius Draken-Torin décida alors de se révéler à son ennemi. Il lança un sortilège et des éclairs sortirent des nuages, révélant aux humains leurs cauchemardesques adversaires. Les éclairs étaient continuent et permirent aux combattants de voir les morts. Le sorcier ennemi tenta de dissiper le sort mais il n’y parvint pas. Alors les armées chargèrent. Les pégases se heurtèrent aux chauves-souris géantes et prirent le dessus rapidement. Mais au sol les morts prirent l’avantage: les loups chargèrent les chevaliers et les bloquèrent. Les revenants commencèrent à faire fléchir les roturiers, et ceux-ci auraient prit la fuite sans les généraux bretonniens. Mais la ligne mençait de céder car le général ennemi tuait tous ceux qui combattaient contre lui. Son emblème était un dragon de sang et Sirius comprit que la chose était un vampire. Le combat s’annonçait serré. Il n’avait affronté une créature pareille mais Tristan lui en avait parlé et apparement c’étaient des guerriers puissants, tant en magie qu’en talents martiaux. Sirius contra une lame rouillée d’un mort et le décapita. Il continua sur sa lannçée et trancha un guerrier en deux. Il virevolta et ses lames abattirent deux morts de plus. Alors il prit appuit sur un cadavre et sauta hors de la mêlée d’un bond extraordinaire. Il atterit sur les flancs de son unité de paysans qui galvanisés par son exploits tenir bon. Il invoqua alors un sort qu’il n’avait jamais lancé: la Comète de Cassandora !!! Il concentra les vents de magie et lança le sort. Le chevalier de sang s’aperçut trop tard que le sort était lancé, trop occupé à massacrer de la lourde épée les pauvres humains qui se battait contre lui. Ce fut à ce moment que la bataille tourna: dans les cieux les pégases tuèrent les immenses ailes de la nuit et fondirent sur les chevaliers qui se préparaient à charger les chevaliers embourbés par les loups, chevaliers qui se débarrassèrent des monstres et lançèrent leurs montures contre les squellettes et les revenants ppour aider les roturiers. Sirius retourna au combat et se déplaça dans les mêlées pour arriver près du dragon de sang. Il aperçut du coin de l’œil sa comète arriver à grande vitesse et heurter de plein fouet les rangs des morts-vivants, annihilant du même coup les unités qui se trouvaient à l’arrière de l’armée ennemie. Le vampire aperçut alors l’elfe comprit que celui-ci était la cause de la défaite qui se profilait à l’horizon. Son défit résonna dans les oreilles fragiles de l’elfe comme son arrêt de mort. Mais Sirius Draken-Torin l’accepta: les elfes ne sont pas des lâches et le vampire ignorait que l’elfe savait manier ses lames en plus d’être un sorcier.

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