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Elwinar

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Tout ce qui a été posté par Elwinar

  1. [/i]Voila le rapport romancé de la bataille que j'ai livrée avant hier. Comme pour mon précédent rapport, la lettre entre parenthèses indique le point de vue du narateur (le G indique le chef de guerre orque noir) Iscandel crut rêver. Que venaient faire ces nains si près d’Athel Loren ?? Il siffla discrètement quelques notes, auxquelles répondirent des dizaines d’autres notes semblables, attestant que toute l’armée avait aperçu les coupeurs de bois. Sans qu’il ait besoin de le leur dire, les plus discrets des elfes de l’armée, les forestiers, avancèrent jusqu’aux Pierres gardiennes et se cachèrent en leur sommet, restant ainsi hors de vue des Nains, mais pouvant les observer et les écouter en toute impunité. Les forestiers revinrent quelques instants plus tard, rapportant les étranges intentions des nains : ils voulaient parler à un elfe sylvestre. Intrigué par cette intention plus qu’inhabituelle pour un Nain, Iscandel débattit rapidement avec sa sœur, l’enchanteresse Julayla, et décida de satisfaire à la requête des Nains. Accompagné de ses meilleurs gardes du corps, il se rendit au campement des Nains et parlementa avec le Seigneur nain, apprenant qu’une grande bande d’orques et gobelins approchaient de la région, et que les rapports qu’il avait reçus lui laissaient penser qu’ils s’étaient adjoints une harde d’hommes bêtes en maraude. C’est avec plus de surprise encore, qu’il écouta le seigneur lui proposer une alliance, pour éliminer une menace commune à leurs deux peuples. (T)Le thane fixa un moment la ligne de bataille des gobelinoïdes et des hommes bêtes, et soupira devant le nombre des nains et des elfes qui devraient les affronter. Il leva les yeux et vit sur la colline derrière lui les gardes sylvains qui vérifiaient arcs et flèches avant la bataille. Il chercha en vain Iscandel et ses forestiers qui, après avoir indiqué au nain ou et quand ils se déplaceraient, avait disparu dans les forêts alentours. Il observa d’un œil inquisiteur l’enchanteresse qui chantait, amenant par magie une forêt pour cacher leurs lignes aux orques, puis descendit rejoindre ses gardes du corps, de très vieux longues barbes. Au moment ou il pensait que si les elfes sylvains avaient vraiment les talents qu’on leur prêtait, il n’aurait peut-être même pas à se battre, la ligne les orques et des hommes bêtes se mis en branle et avança d’un bloc vers eux. Un détail clochait cependant, ils n’avançaient pas vite pour des orques. (G)Le grand chef orque plissa les yeux. Cette forêt à sa droite avait quelque chose de bizarre, et il en jaillissait comme une lueur, ce qui les contraignait à avancer moins vite. C’est pas grave, quand on va arriver au contact, les oreilles pointues et les nabots feront moins les malins, pensait il en regardant fièrement ses gardes du corps. Les archers placés sur la colline derrière lui bandèrent leurs arcs et tirèrent une volée de flèche dans la forêt, espérant tuer quelque chose qui s’y serait peut être caché. Un sourd grondement se fit entendre quand les flèches qui ne se plantèrent pas dans le sol allèrent se ficher dans des arbres. A peine le son se fut il éteint que des elfes portant des capes tapissées de feuilles sortirent de derrière le bois et tirèrent une volée droit vers les gardes du corps, dont deux tombèrent et ne se relevèrent jamais. Des elfes à cheval avancerent et tirèrent droit dans les archers orques, en expédiant trois au tapis. (W)La seule chose que voyait le wargor était ces nains, dont les barbes traînaient par terre, commandés par un nain plus trapu, mais dont l’armure luisait d’une couleur rouge. Il aperçu en fin des elfes, perchés en haut d’une colline, avec d’autres nains qui portaient des arcs bizarres. Les nains visèrent avec leurs armes, et le wargor fut surpris de voir des petites flèches venir vers lui avec une force et une vitesse considerable. Il attrapa rapidement un ungor qui avait le malheur de passer par là, imité en cela par les autres des ses gors, et sentit quelques instants plus tard des chocs répétés, quand il relâcha enfin l’ungor, ce dernier glissa sans vie à ses pieds. Il vit de loin des elfes placés au dessus des nains et d’autres sortis de la forêt placée un peu à gauche et dont la bannière brillait bizarrement bander leurs arcs, et délivrer une salve encore plus dévastatrice que les armes des nains. Voyant les dégâts faits à son unité, le wargor décida qu’il serait plus intelligent de revenir plus tard, et quittèrent le champ de bataille. Le chamane orque, posté non loin de là, décidât qu’ils avaient des comptes à lui rendre, et les suivit tout en préparant des sorts. (I)Iscandel serra un peu plus son arc, et avisa les gobelins ivres sortis de l’unité de gobelins de la nuit qui était située à coté de l’unité du grand chef orque noir et de ses gardes du corps. En voyant les boulets tournoyer, les nains durent se sentir insulter par une arme si primitive créée à partir d’une chose d’aussi noble qu’un canon, ou tout simplement voulurent ils se débarrasser d’une cible facile, toujours est il qu’ils mirent les fanatiques en joue, tirèrent et les ratèrent tous à cause des mouvement imprévisibles des gobelins. Crétins, pensa Iscandel, j’avais bien dit que c’était à nous de nous occuper de ce genre de chose. Il fit un signe discret de la main et aussitôt trois forestiers visèrent et abatirent les fanatiques, laissant le champ libre aux gardes sylvains pour tirer, et laissant le temps à lui-même de sortir une flèche spéciale de son carquoi, qu’il tira avec le plus grand soin au milieu de l’unité d’orques noirs, et qui, a milieu de sa course se divisa en douze, grâce aux enchantement de sa sœur, et élimina les derniers orques noirs. Le reste de l’armée, terrifié, tourna les talons et quitta en courant le champ de bataille, au grand plaisir des elfes, qui en profitèrent pour s’exercer au tir sur cibles mouvantes. Ce fut presque trop facile, pensa Iscandel, en regardant s’eloigner les nains, le jour suivant. Les elfes et les nains avaient passés la journée suivante à rechercher les derniers survivants de l’armée, les elfes retrouvant la harde d’hommes bêtes qui s’étaient eux-mêmes débarassés du chamane, comme en témoignaient les dents qui ornaient la hache du wargor. De retour de cette chasse, les elfes et les nains avaient fait chacun de leur coté le serment d’entraide contre un ennemi comun.
  2. Ce n'est pas une faute, c'est du discours indirect libre: ca sert a inclure des pensées dans le texte, sans que le lecteur sache vraiment si ce sont les pensées du personage ou du narateur.
  3. Merci, ça fait vraiment plaisir. Je devrait d'ailleur refaire une partie demain, sauf que les Nains seront avec moi cette fois ci, mais les Hommes bêtes s'allieront avec des Orques&gobelins. Les Nains devraient avoir un adversaire a leur taille cette fois ci, Je vais d'ailleurs de ce pas enthousiaste qui me caracterise (quand je pense aux massacres futurs) faire une liste que je posterais ensuite. El, qui frétille d'impatience
  4. Normal, la bataille n'a pas durée tant de temps que ça, maximum une heure (hors dispute sur le fait qu' un nain voie l'horizon aussi bien qu'un elfe et que se planquer dans les forêts et fuire a l'approche de l'enemi est un comportement typiquement elfique, ce dont je ne doute pas que les joueurs elfes m'approuvent: un garde avec E3 et pas de sauvegarde, il fuit la charge des 30 Hommes bêtes avec le wargor de Nurgle qui est dedans) Merci, ça fait plaisir, mais pour tout dire, ca ne s'est pas forcement passé exactement comme ça, car comme je n'ai pas pensé a noter les tour sur papier, j'ai du faire ça de tête.
  5. La lettre entre paranthese indique le point de vue du paragraphe: T=thane; W=wargor; E=enchanteresse; F=noble forestier. PS: Si quelqu'un pense que ce post a plus sa place en section recit, qu'il me le dise, je le supprimerai et le reposterai dans la section appropriée. PS2: Si vous voulez les listes, dites le, je les posterai a la suite PS3: N'hésitez pas a me donner vos avis, mais evitez les mono styles :"c'est nul" Julayla, observait la ligne d’Hommes bêtes qui avançait. Comment osaient-ils entrer dans la forêt sacrée d’Athel Loren ! Julayla se concentra, rassembla sont pouvoir et envoya un appel aux clans alentours. Quelques heures plus tard, une véritable armée se rassemblait sous ses yeux. Iscandel, son frère, était venu, avec son clan de Forestiers, ainsi que les Chevaliers de son père, un groupe de Dryades émergea lentement des arbres, et un clan de Guerriers arriva avec un groupe d’Eclaireurs envoyés par un seigneur éloigné.Les Elfes se déployèrent en silence, chacun connaissant son rôle. C’est alors que les Eclaireurs aperçurent une forme métallique qui se rapprochait du champ de bataille. Quelques instants plus tard, Iscandel eut sous les yeux une unité de Guerriers nains, une unité d’Arbalétriers, et un Canon orgue, le tout commandé par deux Thanes bardés de runes magiques. (T)Le Thane commandant les Nains vit la Harde s’élancer a l’assaut des Elfes. Tant mieux, se dit il, je vais pouvoir avancer tranquillement vers les oreilles pointues. C’est alors que les Guerriers chargés de sa protection virent arriver une volée de flèches tirées par les Chevaliers, qui avait profité des reflections du nain pour avancer a distance de tir des Guerriers. La colère monta en lui quand deux de ses Guerriers tombèrent, suivis rapidement par deux Arquebusiers, qui venaient de lâcher leur première salve. (W)Le Wargor ricana quand il vit tomber les premiers nains, se disant que grâce a ces nabots, les elfes sylvains se désintéressaient d’eux, ce qui lui convenait parfaitement. Le Gran-gor pointa alors le doigt en l’air, et les Gors attrapèrent chacun un Ungor pour s’en servir de bouclier. Un total de dix flèches se plantèrent dans les corps mous de quatre Ungors, qui moururent sur le coup. Cela n’arrêta en rien la Harde, qui continua son chemin en direction des éclaireurs et des forestiers responsables des volées subies. (E)Julayla vit tomber deux Gardes sylvains, mais les pertes infligées en retour aux Hommes bêtes et aux nains furent grandes : sept Ungors, deux Arbalétriers supplémentaires, et un des gardes du Thane. Les dryades allèrent se cacher dans une forêt, non loin des Chevaliers qui regardaient courir avec amusement les Guerriers nains, tout en leur décochant des volées de flèches. (F)Iscandel vit les Hommes bêtes qui couraient vers eux charger dans leur direction. Aussitôt, il donna l’ordre à ses Forestiers de quitter leur couvert et de se replier. Les Hommes bêtes se dirigèrent alors vers les Eclaireurs, mais pas assez vite : Les Eclaireurs eurent largement le temps de se décaler, et Julayla entonna alors une profonde mélopée. Doucement, la forêt qui avait abrité les Forestiers se plaça devant les Hommes bêtes, les obligeant a la contourner pour charger. (W)Le Wargor enrageait : Les Elfes osaient fuir devant leur charge ! Qu’a cela ne tienne, il chargea encore, en engageant celui qui semblait donner les ordres au reste de l’armée. Il lui mit un coup de hache qui le blessa, mais il para tous ses autres coups. Aussitôt, le Gran-gor frappa de ses haches, profitant de la déstabilisation de l’elfe pour l’achever, et il vit du coin de l’œil un Gor en faire autant avec un Forestier. (E)Julayla vit les Hommes bêtes poursuivre les Forestiers qui fuyaient après la mort des chefs de leur clan, pour être rattrapés beaucoup plus loin parles Hommes bêtes. (W)Le Wargor jubilait : il avait éliminé un groupe des gardiens qui les repoussaient à coups de flèches à chaque fois qu’ils s’approchaient un peu trop d’une forêt. Mais cette poursuite l’avait emmené loin du champ de bataille, et les Elfes était peut-être déjà tous mort, tués par les nains. Il fit volte face, et fut étonné de voir les Dryades et les Chevaliers charger respectivement le Thane restant et les Arbalétriers, laissant derrière eux un tas de cadavre au sommet duquel trônait la carcasse d’un Thane dont l’armure était transpercée par les lances des Chevaliers et lacérée de profondes entailles. Quelques instants plus tard, les Dryades rejoignaient les Chevaliers, abattaient les derniers Arbalétriers, et se tournaient vers le Canon orgue. Les Hommes bêtes se mirent à charger vers les Gardes sylvains, les Eclaireurs et Julayla. En les apercevant, ceux-ci se mirent à courir pour se rapprocher des Chevaliers et des Dryades. (E)Julayla fit demi tour. Un peu plus, voilà, les Hommes bêtes sont en place. Julayla prépara un des sorts les plus puissants de son répertoire ; l’appel de la chasse. Aussitôt, tous les Elfes et Esprits des bois chargèrent la Harde des Hommes bêtes, qui fuirent devant cette charge pour être rattrapés et annihilés par leurs ennemis a peine eurent-ils le dos tourné. Julayla soupira. Cette bataille fut dure, et les pertes elfes grandes, mais l’ennemi n’avait pas réussi à pénétrer dans la forêt sacrée. Son attention fut attirée par d’étranges étincelles bleutées, qui se dirigeait vers les cadavres des forestiers, jusqu’au corps inerte de son frère. Les étincelles se dirigèrent vers les nombreuses blessures d’Iscandel. Quelques instants plus tard, son frère se relevait, les étincelles continuant de soigner ses blessures. Les Hommes bêtes et les Nains pouvaient bien revenir, ils ne passeraient jamais.
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