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  1. Déja merci pour vos réponses. J'y vois donc un peu plus clair. Néanmoins je vais complexifier un peu la chose. Du coup ordre de frappe par initiative. Nous sommes d'accord qu'on ne peut pas faire attaque par attaque, en gros lancé dé par dé. Ainsi si un perso est une sorte de tank, on est quand même vachement desavatanger dans ce cas de figure. En effet si l'unité prise de flanc avait un régiment autour, on a plus de chance de faire des mort et ainsi gonfler son résultat de combat. Alors que la on perd l'avantage du nombre... En gros 20 Péons contre 3, avantages à la défense... Je vous pose la question: dans ce cas de figure quel est selon vous le meilleur moyen d'optimiser la phase de l'attaquant, cad des orcs ?
  2. Bonjour, Après plusieurs parties en V8, Il me reste toujours une zone d'ombre quant une grosse unité en charge une petite. Je m'explique imaginons, une unité décimée ou il reste un porte étendard, un champion et un perso ( prêtre guerrier par exemple). Cette dernière est chargé de Flanc par un bon gros pack de guerriers orques méné par un chef de guerre orques. Ainsi on se retrouve dans le cas suivant : O O O O O O O C PE PG C O O O O O O O O O O O O Vu la taille des socles seulement 2 orcques max sont au contact, ainsi que les deux de derrieres. Dans ce cas de figure un defi n'a pas été lancé, le joueur impérial a seulement déplacé son PG pour être au contact. A l'initiative, le PG frappe puis c'est la rispote orcques, qui ne peut donc que taper sur le PG, et imaginons que 5 touches blessent le PG. Ma question est : Perte de deux pv du PG qui meurt mais quid des trois autres ? Sont-ils perdus ? Sont- ils redistribués sur le reste de l'unité ? mais à ce moment la les jets de CC et de F/E ne sont pas les mêmes. Sont ils comptés en carnage et donc dans le resultat de combat ? Bref un petit éclaircissement serait le bienvenu quant à la marche à suivre dans ce type de cas. Merci
  3. Ma reponse ne va rien apporter de constructif , mais jouant souvent contre des cv , on joue fluff avec mon adversaire. J'imagine tres bien des arquebusiers se faisant charger par des chevaliers , tirer dessus au fur et a mesure que l ennemi lancé en charge se rapproche ( tir de contrecharge) et fuir devant la peur qu ils inspirent lors qu ils arrivent au contact.( test de peur ) Ca reste fluff je trouve.
  4. bah merci c est on ne peut plus claire ! je me doutais bien que la solution était toute simple ( en gros c est comme un boulet de canon ) mais je voulais confirmation.
  5. Bonjour, Voila une question toute bete que je me posais . Un perso seigneur ou hero possede une arme qui inflige par exemple D3 blessure par touche. il possede sur son profil disons 3 attaques. Contre un perso ennemi pas de probleme. Imaginons qu il passe ses trois touches, on lance donc trois dé3 pour determiner le potientiel de blessure. Ce qui au maximum peut infliger 9 points de vie de blessures Mais si ce perso armé de son arme affronte un regiment, qu est il ? Il infligera seulement au maximum 3 blessures, ce qui equivaut a son nombre d attaques, donc la perte de 3 petits bonhommes , ou comme contre un perso il pourra infliger un maximum de 9 pertes au regiment ? Je sens que c est tout simple comme question mais j ai besoin d'un eclaircissement Merci
  6. Salut. Voila avec mon compere Fraz on a pondu ce scénario pour Warhammer. Alors certes l'Historique est un peu long et il peut y avoir quelques incohérences mais on a vraiment voulu détailler au maximum. A la suite se trouve les conditions de la batailles. La question étant : est ce que cela vous semble cohérent et surtout équitable pour les deux parties ? Je ne vous cache pas que l'on a eu de long débat pour finalement se mettre d'accord la dessus. Votre avis nous intresse lol ! ( l'avis des plus motivés en tous cas) Sachez que nous faisons la bataille vendredi en tout cas, on espere donc vous pondre un rapport de bataille adéquat. allez je balance le monstre. ________________________________________________________________________________________ Le Village de la Liberté ou « Freiburg in der Grundwald » Freiburg en Grunwald est un poste avancé qui a reçu l'ordre d'avertir les troupes de l'Empire en cas d'attaques par la Marche Sud. C'est la toute première résistance aux frontières des terres d'Arabie où trônent les non-vivants. Là bas sont envoyés hommes aguerris pour la défense des remparts, mais aussi bagnard et forcenés jugés dignes d'être décapités devant les portes de la ville pour faire fuir les mauvais esprits! Voici deux semaines, NULN a reçu un émissaire à cheval, ou ce qu'il en restait. Le pauvre était devenu fou, sa peau brûlée par le soleil aride et sa déshydratation avancée le faisait davantage ressembler à un cadavre sur patte qu'à un homme. Il balbutiait des paroles insensées, dans son visage se lisait des tourments innommables. On fit convoquer les plus puissants mages pour le soigner et pour tenter de lire dans son esprit. Ce qu'il virent leur glacèrent le sang. Le Duc Rouge en personne avançait en tête d'une armée gigantesque, il scrutait de ses yeux perçant la plaine morcelée qui le séparait d'un bain de sang dont seuls les écrits de Nagash en ont relaté la sauvagerie. Il avait levé une armée composés des esprits les plus vils et les plus atrocement tourmentés. Il espérait bien l’agrandir avec ses futures victimes. Ses troupes n’avaient pas mangé depuis 3 jours, depuis que le dernier village avait été pillé. Peu avait survécus mais le Duc Rouge était tourmenté car les rescapés ont souvent la langue bien pendue, il devait garder l ‘effet de surprise et frapper l’ennemie quand il s’y attendait le moins. Les mages de NULN parvinrent à décrypter les pensées de l’émissaire fou, ils apprirent son nom : Azyme Esmarum . Ce qu’ils virent dans son esprits faillit les rendre eux même fous. Un village de paysans arabes s’était fait attaquer aux confins des terres septentrionales par une armée de morts. A Leur tête un fou sanguinaire semait la mort et détruisait tout, aucun prisonnier n’était fait, aucun enfant épargné, aucune femme laissée vierge. Après quelques heures de carnage, le village était rasé. Dans la salle commune, les rescapés étaient vidés de leurs sang pour que les démons s’abreuvent dans une pantomime d’orgie sexuelle et macabre. Azyme était caché sous un cadavre et voyait ces horreurs toute la nuit durant. Les atrocités que Azyme avait vu cette nuit là était difficilement racontables par les mages venus l’examiner. Le Duc Rouge avait jeté son dévolue sur un village de paysans pour commencer sa campagne, il lui fallait des cadavres frais pour les enrôler dans son armée et des esprits tourmentés pour alimentés le pouvoirs de ses nécromanciens. Peut être lui faudrait-il raser 10 villages avant de constituer une armée digne de ce nom… peut être 100 ? Quoi qu’il en soit il ne reculerait devant rien. L’Empire pouvait le craindre car telle était sa destinée… fouler de son pied les lauriers de l’Empereur avant de lui planter ses crocs dans la jugulaire ! Il l’avait vu dans ses rêves et dans les entrailles de ses dernières victimes ! Au lendemain de l’attaque du village, l’armée avait disparu et il ne subsistait rien : ni du village, ni des cadavres ambulants qui l’avaient pillé. Azyme se réveilla sous les cadavres et constata la boucherie. Il monta en haut du promontoire rocheux et scruta au loin. Il vit un nuage de fumée et une longue cohorte qui s’avançait lentement vers les prochains villages qu’il distinguait au loin. Il devait agir. En contournant l’armée des morts il perdrait assurément beaucoup de temps mais celle ci avançait très lentement et il avait bon espoir. Il savait tout de même que les 5 ou 6 villages voisins étaient perdus mais il fallait prévenir le Royaume que Freiburg allait être prise d’assaut. S’il se dépêchait alors peut être qu’il n’était pas trop tard. Il se mit en route pour Nuln, la ville la plus proche, pour demander de l’aide. Freiburg ne devait pas tomber, non Freiburg ne POUVAIT pas tomber. … C’était la fête a Freiburg. Le village dans son entier s’était réunis au sein de L’église, c’était le « Sigmarzeit », la célébration annuelle de la première victoire des umberogens sur les orques, la bataille qui avait révélé un Dieu et posé la première pierre de l’édification de l’empire. Comme de coutume après la liturgie, l ambiance était a la beuverie, un grand banquet avait été dressé sur la grand place, l’humeur était a la joie. Karl Koplisken, capitaine des gardes de Freiburg était adossé a l’église, alors qu’a l’intérieur la population chantait les psaumes à la gloire de sigmar ,il sentit que quelque chose n’allait pas. L’atmosphère était lourde. Son regard distingua alors une forme qui s’agitait sur la table du banquet. La forme était vaguement humaine, on aurait dit une sorte de bossu. Il se rapprocha et constata avec horreur la créature devant lui : une goule. Il ne s’alarma pas, Freiburg était une ville frontière et de telles abominations était chose courantes. Il prit son énorme masse d’arme alors que déjà la créature alerté par le bruit fonçait toute griffe dehors et d’un bond sauta sur lui. Sans paniquer Karl Koplisken abattit sa masse sur la tête de la goule qui entraîné par le poids alla s’écraser sur le sol. Il allait désencastrer son arme, lorsqu’une voix sinistre résonna dans l’air. « Humains , voici l’heure du châtiment ! voici l’heure du Fléau ! Nul pitié, Nul Clémence, nul repos ! Ce village sera moi et vous serez a moi ! Karl courut vers les remparts, monta les escaliers, et eut le souffle coupé parce qu’il vit. Une armée entière de morts vivants grouillait devant les remparts. Il tourna la tête , le spectacle était le même au nord , a l’ouest, au sud. Freiburg était complètement encerclé. Plus grave, en ce jour de fête la ville était entièrement ouverte. Nul n’aurait pensé qu en ce jour sacrée la ville serait attaqué. Son moral descendit encore d’un cran, lorsqu il reconnut au loin une bannière, une bannière qu’il avait vu alors qu’il n’était encore qu un jeune soldat du Hochland en garnison à la frontière de l’Empire et de la Bretonnie. Cette bannière mais surtout l’entité qu’elle représentait suffisait à glacer le sang de plus d’un preux chevalier Bretonnien : « - le Duc rouge ! » dit Karl pensant tout haut. Karl Ferma les yeux ,il sentit toute la haine devant lui et derrière lui l’effroi des habitants du village qui sortait en gémissant de l’église terrorisés. Il pria l’espace d’un instant Sigmar, et sentit le courage remonter en lui. Apres tout sa barbe blanche témoignait de ses longues années de militaires et un défi comme celui ci pouvait être l’apothéose de sa carrière. Alors il décrocha son cor de sa ceinture , prit une profonde inspiration et souffla fort dedans pour appeler ses frères d’armes. Il fallait se battre , il devait se battre. Il sourit pendant que les régiments de ses Soldats se formaient sur la place. Apres tout n’était ce pas la plus belle manière de célébrer le « Sigmarzeit »… … Un jour avant, Sur la route de Nuln à Freiburg. « - Monseigneur, nous ne pouvons faire avancer l’armée plus vite ! Cela fait trois jours que nous avons quitté Nuln et que nous soutenons la même cadence ! » Otto Heinrich, Fils du Graf Gelase Von Wern était perdu dans ses pensées. Son père l’avait mandaté alors qu’il s’apprêtait à aller Altdorf présenter les hommages de la seigneurie Von Wern à l’Empereur comme il était de coutume. « -Mon fils, j’ai une importante mission à te confier. L’on m informe que le Duc Rouge, peste soit sur ce bâtard, s’apprête a fouler nos terres. Pire il se dirige actuellement vers Freiburg. Et tu sais aussi bien ce que renferme ce village, ce que renferme l’église. » Otto Heinrich jusque la distrait écouta alors avec attention. « - Mon Fils il est temps pour toi de faire ce pour quoi tu as été préparé. Je le sais tu devais aller à Altdorf, mais ne serait ce pas mieux pour toi d’y aller une fois avoir prouver ta valeur ! » Le Visage d’Otto Heinrich s’illumina. Enfin son père le grand Gélase Von Wern Aufgraffenritt, Baron du Grunwald, descendant de l’une des plus ancienne et illustre familles de l empire , pair de l’empire, décoré de la plus haute distinction la Couronne de Lauriers , le seul seigneur qui ne soit pas comte électeur à détenir une seigneurie indépendante, ami personnel de l’empereur en personne et vétéran victorieux de nombreuses guerre consentait à lui donner des responsabilités. « -Mon fils tu prendras l’armée, tu la conduiras a Freiburg, tu sauveras ce qui doit l’être et tu te montreras digne du sang des Von Wern qui coule dans tes veines. Va maintenant, tu n as déjà perdu que trop de temps. » Le Graf regarda partir son fils. Il fit un signe. De la pénombre sortit un homme vêtu d’une soutane surmontée d’une solide armure pectorale. L’homme était chauve, a son torse pendait un énorme bouquin surmontée d’une comète à deux queues. « - Klaus ! tu pars en guerre toi aussi. Oui , Seigneur. » Tout était dit. Le vaillant prêtre guerrier s’apprêtait lui aussi à sortir. C’était un homme taciturne, parlant peu, que les gens avaient surnommé « fou de Sigmar » et qui avait accompagné Gélase Von Wern dans tous ses combats, tous ses batailles en qui il avait entièrement confiance. « -Klaus, une dernière chose ! je souhaiterais… Ne vous inquiétez pas seigneur , je veillerais sur lui . Gélase sourit. Apres tout lui et Klaus avait affronté tellement de choses ensembles qu ils ne se connaissaient que trop bien. « -Monseigneur ?! -Taisez vous capitaine. L’armée suivra car elle a une tache importante à accomplir ! La mission qui nous a été confié est de la plus haute importance et priez donc Sigmar que Freiburg ne soit pas encore tombé, car sinon c’est au bout d’une corde que vous vous exprimerez, et ce pour la dernière fois, soyez en certains. » Le regard était dur, et la voie avait été haute pour que le reste de l’armée entende. Il n’était pas temps de se reposer, de se relâcher. Klaus « fou de sigmar » avait assisté à la scène et pensa qu’Otto Heinrich était bien le digne héritier de son père. Freiburg n’était plus qu’a une journée de marche. ....................................................... Déploiement : Village fortifié avec 4 remparts. Pour monter aux remparts un seul point d’accès intérieur ( à définir sur place) et perte d’un tour pour être dessus. Toutes les remparts communiquent entre eux . Deux entrées principales sans pénalités de mouvements à l’opposé. Deux petites entrées à l’opposé plus difficile d’accès, perte d’un tour pour les franchir. Les ouvertures doivent être assez large pour laisser passer 5 fantassins de front maximum Obligation d’être en contact pour combattre que ce soit à l’extérieur ou l’intérieur. Au centre du village la place avec une Eglise et une garnison, à la porte Sud Une tour de Guet. Empire : 2*1000 points. 1000 points à l’intérieur des remparts divisé comme suit. 750 points sur la place du village près de l’Eglise et 250 points places ou l’on veut mais dans les limites du villages. 1000 points de renfort. A chaque tour de l’empire , le joueur lance un dé , sur un 6 les renforts arrivent. Si ce n est pas le cas cela va crescendo a chaque tour (5 4 3 2 1 ). Les renforts seront placés 16 pas du village et viennent obligatoirement par la route nord. Comte Vampire : 2500 points. Le duc rouge est obligatoirement le Général de l’armée s’en suit donc les conditions spécifiques. ( d ailleurs j espère que t as bien les règles V6 car j ai l’impression que le perso est un peu flou dixit un post sur warfo lorsque l on tape duc rouge sur google.) Le joueur place son armée dans un rayon de 16 pas tout autour du village sans aucune autre restriction. Ordre des tours. Le joueur impérial place ses 1000 points intra muros en premier. L’on considère alors que les Cv ont envoyés des éclaireurs, et qu ils connaissent les positions impériales puis ils se placent ensuite. Enfin les renforts impériaux viendront par le Nord. Le joueur impérial joue en premier. Conditions particulières Unité d’élite. Une unité impérial et une unité Comte vampire peuvent booster de +1 leurs caractéristiques soit en force, cc, ct , ou endurance et exclusivement ces caractéristiques. Ces unités sont cachés mais les joueurs doivent noter en début de partie sur un papier qui est élite. Ils doivent montrer le papier pour activer le bonus. Bénédiction de Sigmar Les 1000 points de la garnison du village sont sous la bénédiction du « SigmarZeit ». Ainsi ils sont immunisés à la psychologie mais ils ne sont pas indémoralisables Conditions de victoires. Des points de victoire sont attribués à la fin de la bataille pour des objectifs remportés. Ils sont calculés à la fin du 6eme tour du joueur ayant joué en 2eme. *Mort du général = 200 pts *Mort de la grande bannière = 100 pts *Destruction de l’unité d’élite = 100 pts *Bannière capturée = 100 pts *Rempart occupé à la fin de la bataille = 100 pts (4 remparts en tout) *Eglise, tour de guet et garnison rapportent respectivement 300, 200 et 200 pts chacun si une unité de PU 5 se trouve à moins de 3 pas de l’entrée ( a définir sur place )et qu il n y pas d unité ennemie de pu +5 dans la même zone.
  7. Effectivement tu es trop bon !!! Merci beaucoups msieur !!! ca fait plais de voir ca !!! B) Effectivement apres lecture de ces regles , cela rend le jeu plus tactique et plus logique! J ai hate d essayer ca !!!
  8. Ah une petite nouvelle regle deja ! Donc un seul chevalier avec un seul point de vie , en gros on l envoie en berseker lui !!! Maintenant j imagine pour le chaos que c est un champion du chaos (comme c est original) et donc qu il frappe a 5 des! Mais pour l empire , est ce des chevaliers imperiaux qui frappe a 4 des ou bien des lords a 5 des ! Quoique a mon avis pour equilibrer il faut mieux que ce soit des lords je pense . Bon une nouvele regle de plus , meme si j esperais au fond de moi que cette unite seul etait un gégé ! Mais c est deja ca !
  9. Voila je viens de retrouver ce jeu qui a egaye mon enfance ! J avais tous les pieces en main sauf peut etre la piece la plus importante, le tapis de jeu !!! Alors avec un pote on a essaye de jouer sans ! Trop baleze pour se representer les cases dans la tete ! Donc du coup on a creeer notre propre tapis de jeu , on a utiliser les cases "marais , gué " pour faire des pochoirs pour dessiner les cases ! Et me revoila partie comme en 40, me replongeant avec bonheur dans les tendres souvenirs de la jeunesse ! Helas la ou le bat blesse, c est que j ai grandis, fait du battle avec une armée de l empire ( non non n y voyez aucune correlation )et donc c estvrai que les regles sont plus que simplistes ! Apres des recherches sur le net en ce qui concerne ce jeu , je ne trouve rien d interessant mis a part ce topic qui peut etre considere comme "l encyclopedie francaise du jeu seigneur de guerre "! J aurais deux questions : Premierement, j ai vu qu il existait des extensions et je crois voir a la vue des boites qu une figurine de general faisait son apparition ! Est ce que quelqu un sait quels lon regles pour jouer avec un general a seigneur de guerre ? Deuxiement , a la lecture de ce topic je m apercois qu il existe des regles alternatives notamment dans un certain casus belli ! La encore est ce quelqu un pourrait me donner les regles si il les a ? Oui vous allez me dire qu est ce qu il fait celui la a se remettre a du seigneur de guerre apres battle ! Eh bien c est que j ai grandi , je jouais a la v6, j avoue que l idee deme replonger dans un enorme livre de regle ne m enchantent plus, et qu un jeu seigneur de guerre permet de jouer avec des potes qui n y connaissent en rien aux wargames! Bref vous l avez compris la nostalgie m emporte! Alors si quelqu un a ces regles, je l enremercierais grandement !
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