[color="#8b0000"][i]Et bien ma foi quelle détresse ;
C'est vrai, je m'attendais à mieux.
Gredins, vous en faites des caisses,
Invoquez le fer en haut-lieu,
En fats, vous m'insultez, mordieu !
Mais ces défis, dans votre bouche,
Ne sont en fait que des vœux pieux.
À la fin de l'envoi je touche,
Moi ! Poètes roués de kermesse,
Qui de vos vers touillez les cieux,
Car il n'est de coups qu'on encaisse,
Quand ils sont portés par des vieux
Croutons, malhabiles, envieux,
Édifiants, dont je suis la mouche,
Dans le brouet disgracieux.
À la fin de l'envoi je touche,
De ma lame, ultime caresse
Avant d'aller saluer Dieu,
Sur ce séant qu'on nomme fesse,
Votre côté le plus glorieux ;
Je signe d'un assaut furieux,
Une ballade plus farouche,
Que tous vos vers artificieux.
À la fin de l'envoi je touche,
Princes, en un geste victorieux,
Tirant ma dernière cartouche,
Le bois de vos crânes spongieux.
À la fin de l'envoi, je touche.
[/i][/color][color="#000000"]Puisque ca traine, je me permet de reprendre la main.
(J'ai bien dit que tous les coups étaient permis non ? ^^)
Mes passes sont finies messieurs à vous les studios ![/color]