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HeresyEveryWhere

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Messages posté(e)s par HeresyEveryWhere

  1. il y a 3 minutes, Miles a dit :

    Quelques heures... C'est déjà beaucoup, sans parler du temps de transmettres les messages à qui de droit, de les renvoyer et les temps de cryptage décriptage...

     

    J'ai une scène de Zootopia qui me vient en tête...

    A savoir que y'a aussi les chambres astropathiques et les réseaux d'astropathe qui permette d'envoyer des messages confidentiel rapidement. Un astropathe seul ne peut pas faire de trop longues distances.

    https://omnis-bibliotheca.com/index.php/Astropathe

  2. il y a 7 minutes, Miles a dit :

    Ah l'Astropathe? Carrément? Le temps d'envoyer et de recevoir un message, sans parler des Aléa me semble dingue! Ou alors pour de la demande vraiment lourde...

    Ben chez Ravenor, ça a pris quelques heures, mais en vrai sachant que les GI ont des astropathe reversés rien que pour eux, bah ça va vite surtout si l'ordo est dans le même secteur.

     

  3. Je précise que l'Astra millitarum par exemple prend la peine de vérifier les rosettes, surtout quand tu débarques de nul pars sur une zone qu'ils protèges (CF : Ravenor) ... Il suffit de prendre la rosette et d'envoyer une demande de confirmation au centre d'ordo le plus proche, si c'est sur ta planète, ça prendra quelques minutes, sinon faut un astropathe et ça prend quelques heures le temps d'envoyer le message.

    L'arbites aussi vérifie, mais la plupart du temps, les mecs s'y connaissent tellement qu'ils savent si une rosette est contrefaite, d'un coup d'oeil. L'important pour la vérification informatique, c'est de savoir si l'inquisiteur est toujours actif. (CF : toujours Ravenor)

  4. Le 14/01/2020 à 13:22, Kikisscool a dit :

    De plus, le schisme entre les loyaux et les renégats a eu lieu à 30k depuis 10000 ans.  Le Chaos le sait depuis le début mais ne juge pas bon d’aller semer le désordre entre les SM en révélant l’événement depuis tout ce temps ? (Même Tzeentch le grand manipulateur ???) 

    Je t'invite à lire le comics "Volonté d'acier", "Révélation" et "Déchu".

     

    Ces 3 comics raconte l'histoire un DA qui rentre dans le cercle intérieur, avec une inquisitrice (extrêmement BORNÉE) qui essaye de prouver que les DA sont hérétiques, sa source c'est un démon de Tzeentch qu'elle a enfermé dans son vaisseau... Elle ne comprend pas que le démon la manipule pour qu'elle fou la merde justement...

    Tu comprendras mieux la philosophie DA.

  5. Le 12/07/2019 à 12:02, Schattra a dit :

    Leman Russ, le weyrdo : Les bouquins de l’Hérésie ont donné à Leman Russ une résonnance psychique qui n’apparaissait pas dans son background « historique ». Le Loup Suprême couvre amplement le sujet en décrivant les effet spectaculaires qu’a le Primarque sur ses ennemis et ses alliés lorsqu’il rejoint le champ de bataille. Les premiers se retrouvent engourdis, voire paralysés, par une sorte de blizzard qui souffle autour de Russ. Les seconds sont au contraire énergisés par sa présence. Je vous ai mis l’extrait en question ci-dessous. Wraight décrit le phénomène comme le « vent du wyrd » (wyrd’s wind), un terme qui ne s’appliquerait qu’à Russ, et que l’on retrouve dans Le Fléau du Loup, sous-titré Le wyrd en est jeté (une des rares fois où la BL a laissé passer un pastiche !). Il semble donc établi que Russ est un psyker, plus passif qu’actif cependant (il ne peut pas moduler son pouvoir, ni lui donner une forme précise, c’est une sorte d’aura qui se déclenche sur le champ de bataille). Je serai intéressé de savoir si d’autres mentions du vent du wyrd apparaissent dans le fluff, afin de comprendre comment cette capacité fonctionne.

    Bonjour,

     

    Wyrd est un terme qui désigne un psyker, il est utiliser de façon non officiel, (je crois bien que c'est du bas gothique). Certains psyker semble offensé par ce terme.

     

    Il est utilisé dans "Les dieux auriques", sur une planète proche de Terra. 

     

    Citation

    _Vous êtes un wyrd, pas vrai ?

    _Un psyker, oui [...]

    _Amusant je ne savais pas qu'il utilisait des wyrds

    _Notre employeur [...] Cependant, je vais vous demander d'arrêter d'utiliser ce terme.

     

  6. Le 16/03/2019 à 14:15, Voron a dit :

    Bonjour, 

     

    J’ai repris récemment le fluff de 40k et j’ai un peu de mal à comprendre le concept de prince-démon universel...

     

    L’élévation en DP avec un dieu unique c’est un concept simple, le dieu est content de tes actions, il te transforme en démon et ton âme lui appartient et tu le serviras pour l’éternité 

      

    Pareil pour les champions universels, ils voient les dieux comme un panthéon, et piochent un peu partout sans se vouer totalement à un dieu

     

    Mais pour un prince-démon universel comment ça se passe quand il faut donner son âme éternellement ? Les 4 Dieux passent leurs temps à se mettrent des bâtons dans les roues comment ils se mettent d’accord pour transformer un space marine en DP ? Déjà qu’avec un dieu unique c’est pas évident avec les 3/4 des champions qui finissent en abomination du warp

     

    Ça donne quoi comme pouvoirs/transformations ? J’ai un peu de mal à imaginer Khorne élever un mec qui va utiliser des pouvoirs psy de Tzeetch, les DM universels peuvent-ils utiliser les mêmes puissants sorts qu’un PD classiques ?

    Et l’âme du DM appartient à qui ? Au lieu de servir un dieu unique il sert les 4, mais comment ça se passe si il se retrouve dans un conflit entre deux dieux ? Si Khorne lui demande de faire ça et Slaneesh le contraire ?

    Est-ce qu’un Dieu peut lui retirer des pouvoirs si il n’est pas content ?

    Est-ce qu’une entité mineur du warp autre qu’un des big 4 peut "élever" un humain au rang de DP ?

     

    Désolé si mes questions sont nombreuses et un peu confuses 

     

     

    L'exemple qui répond le mieux à ta question, c'est Be'lakor, un démon qui existe à la fois dans 40k et dans Aos, mais on ne connait pas son origine contrairement à U'zul.

    Il est ancien, très très ancien, il est le premier des princes démons universels.

     

    De ce fait, il a été très puissant un temps, il a reçu une partie du pouvoir des 4, par conséquent il est redevable à tous les dieux des ténèbres. C'est pour ça que sont destin est toujours influencé par l'un des quatre, il ne peut pas quitté la boucle. 

     

    Citation

    Au début, Be'lakor a utilisé la jalousie des puissances ruineuses pour obtenir leurs faveurs, sans jamais prêter serment à son allégeance. Pendant un certain temps, les dieux se sont battus pour Be'lakor comme les enfants pouvaient se disputer un jouet préféré. Cependant, ils ont vite compris la folie de combiner leurs forces dans un seul être, Be'lakor se révélant presque incontrôlable.

     

    Citation

    Ils ont bientôt commencé à élever de nouveaux princes démons, chaque dieu ne choisissant que des champions  qui lui seraient fidèles, à eux seuls. Be'lakor reste le plus puissant des princes démons, bien que sa puissance soit réduite à mesure que les dieux répartissent leur pouvoir sur leurs autres serviteurs. Néanmoins, Be'lakor reste un maître des ombres, passant derrière le voile de l'histoire pour exercer la volonté des dieux du Chaos sur l'univers.

     

    Et le plus important pour répondre à ta question

     

    Citation

    Lorsque Be'lakor fait tomber un champion de Nurgle , il exerce invariablement à Tzeentch et, en abattant un guerrier du Dieu du sang,il accomplissait la volonté de Slaanesh . Be'lakor reste aveugle à ces manipulations des dieux du Chaos. Sa propre soif de pouvoir et le plaisir de prouver sa maîtrise des Champions du Chaos rivaux semblent lui suffire pour lui faire oublier les liens enchanteurs que les Dieux des Ténèbres tentent sans cesse de lui faire tenir autour de son cou.

     

    Plus d'infos

    https://warhammer40k.fandom.com/wiki/Be'lakor

    Codex: Chaos Daemons (8ème édition), p. 71 à 102 (version anglaise)

     

  7. Ayyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

     

    Dans "La Guerre Solaire" on a enfin du gros lore, et dès le début, l'empereur dans le warp en train d'affronter les forces du chaos à lui seul ! On a certains indices sur son passé et sur celui de Malcador, de plus les auteurs ont mis à la fin de du bouquin le message qu'il voulait faire passer.

     

    Donc pour ceux qui sont en train de lire guerre solaire, sachez que je spoil ici 3 chapitres qui n'ont pas de gros rapport avec l'histoire principal du bouquin, vous pouvez les lires à coté, pas comme dans Master of Manking ou Ra comprend pas la moitié de ce qui lui arrive.

     

    LE WARP 1 :

    Révélation

    — Père…

    Il se trouve là à attendre depuis toujours. En cet endroit le temps n’existe plus, plus réellement, pas si les forces qui résident dans ses courants ne le font pas advenir par leurs songes. Ici, l’éternité est la vérité immuable.

    — Père…

    Lentement, avec lassitude et répugnance, il donne forme à l’idée de ses yeux, d’une bouche, de ses membres, d’un siège en dessous de lui. Très loin existe un autre siège, et un fil de pensée et de volonté qui le relie à un endroit fait de métal, et de pierre, et de temps.

    — Père…

    Il ouvre les yeux.

    Les ténèbres s’étendent devant lui, à travers toutes les dimensions. Les ténèbres et lui seul. En cet instant, il ressent un écho de ce que chaque homme et chaque femme a jamais éprouvé en s’éveillant près d’un feu qui faiblit, en voyant la nuit se resserrer alors que la lumière des flammes s’étouffe.

     

    L’obscurité devient un miroir sombre. Il observe son reflet : un homme sur un fauteuil de pierre, vieux, dont la peau sombre s’accroche aux creux de ses joues. Sa barbe est striée de fer et de neige. Les épaules et les bras sont fragiles sous ses robes simples et noires. La poussière salit la plante nue de ses pieds. Ses yeux sont clairs, et il n’y transparaît ni douceur ni pitié.

    Le siège et l’homme se tiennent sur une plate-forme de pierre étroite. Derrière eux brûle un mur de feu qui monte vers l’infini en s’incurvant, ardent comme la surface d’une étoile.

    Le reflet change. Pendant un moment, une silhouette de fer et de lames aux yeux brûlants comme des fours à charbon le regarde depuis un trône de chrome. Puis elle disparaît, et le reflet devient une cascade de visions floues dégringolant les unes devant les autres : un guerrier d’or se tenant l’épée au clair devant les portes d’une forteresse gigantesque, une silhouette à l’entrée d’une grotte de montagne, un garçon armé d’un bâton avec la peur dans les yeux, une reine brandissant sa lance au sommet d’une falaise, un aigle dont les dix ailes battent sur un ciel tissé d’éclairs… Les images tournoient les unes devant les autres, comme celles de cartes lancées dans l’air.

    — Y a-t-il la moindre vérité chez toi ? demande la voix qui provient du noir.

    Les visions disparaissent, et les ténèbres demeurent suspendues devant lui, tombant vers l’abîme au-dessous, telle une cataracte de sable d’obsidienne.

    — À la racine de tes mensonges, y a-t-il la moindre vérité, père ?

    Les ténèbres deviennent une forêt, dont les troncs noirs se tendent vers un ciel inatteignable, dont les racines s’étalent et plongent dans l’abysse. L’homme est assis sur le sol couvert de neige, et un feu de camp brûle devant lui. Une forme noire sort de l’obscurité entre les arbres. Elle est énorme, la fourrure de jais et les yeux d’argent. Elle traîne son ombre avec elle tandis qu’elle s’avance, et s’arrête en bordure de la lumière.

    — Tu prétends être un homme, dit le loup, mais c’est un mensonge transparent pour tous ceux qui sont capables de te voir ici. Tu prétends ne pas vouloir devenir un dieu, mais tu ériges tout un empire pour te vénérer. Tu te fais appeler le Maître de l’Humanité. Peut-être est-ce la seule vérité que tu aies jamais prononcée : le fait que tu souhaites faire des esclaves de tes enfants.

    Le loup incline la tête, et pendant une seconde ce n’est plus un loup, mais une ombre bouffie, veinée de foudre, les orbites enfoncées en un fourneau porté au rouge.

    — Mais ce fils que tu vois… grogne le loup, dont les muscles roulent sous la fourrure épaisse, dont les babines se retroussent sur ses crocs. Ce fils-là est revenu jusqu’au berceau de tes mensonges.

    Le loup s’élance ; la forêt cligne, laissant place à un voile de noir caillé et de couleurs à donner la migraine. L’ombre d’un homme se tend à travers l’obscurité et ses mains sont des griffes.

     

    Le feu de camp rugit, s’intensifie pour devenir un mur brûlant et les griffes raclent ce brasier. De l’ombre tombe en cendres. Le loup recule en hurlant. Des éclairs parcourent le noir de la forêt. L’animal trottine à la bordure de la lumière du foyer. Derrière lui, d’autres yeux luisent entre les arbres, dans les ombres les plus profondes, brillants et froids comme des astres cruels.

    L’homme tourne la tête. Il ne regarde pas le loup mais les ténèbres derrière.

    — Je vous rejette, dit-il, et en cet endroit plus réel que ne l’est l’existence, ses mots font trembler le noir comme un coup de tonnerre.

    — Ne vas-tu même pas t’adresser à moi, père ? Alors que ton empire tissé de mensonges touche à sa fin, ne vas-tu même pas me dire la vérité ?

    — Vous êtes des ombres, dit l’homme. Rien de plus. Vous n’avez rien à offrir. Vous n’êtes rien. Vous venez à moi avec votre pantin, mais vous ne lui avez pas dit pourquoi vous aviez besoin de lui. Vous avez besoin de lui parce que vous n’avez rien qui soit vrai, nulle épée qui ne soit pas une tromperie, nulle force qui ne soit un mensonge. Vous avez besoin de lui parce que vous êtes faibles. Vous avez besoin de lui. Et vous le craignez. Et il va échouer.

    Un rire vient emplir la nuit en battant des ailes, chargé du bruit sifflant des mourants qui s’efforcent de respirer, et s’enroule, encore et encore, en boucles hilares. Les ténèbres s’enflent vers l’avant, s’étirent, s’enroulent, se compriment. L’homme tressaille sur son siège de pierre. Le feu se courbe et se recroqueville. L’image de l’homme vacille elle aussi, et pendant une seconde, il ressemble à un cadavre assis sur un trône, les os des mains crispés par la douleur sur les bras de son siège.

    Il ferme les yeux.

    L’image commence à se brouiller, comme à travers un vent chargé de poussière. Le rire s’élève de plus en plus haut.

    Toujours il en a été ainsi : la mort et l’obscurité, sous des formes et des métaphores innombrables, affublées d’innombrables visages. Le cycle se répète sans cesse, grandit en force tandis que la Nuit affamée se rapproche. Et il en est à présent comme alors : il n’y existe qu’une seule réponse.

    Le meurtre.

    Le sang, les disparitions.

    Le sacrifice.

     

    — Je suis revenu, lui vient la voix du loup dans le noir.

    — Je vous rejette, dit l’homme, alors que l’image s’estompe pour n’être plus que l’écho d’un rêve et d’un rire qui n’en finit pas.

     

    LE WARP 2 :

    Révélation

    La neige bout dans le ciel noir cependant que le vieil homme entame l’ascension de la montagne. Une fourrure encroûtée de neige et des haillons noirs lui enveloppent le corps. Le vent le fouette, et il trébuche, en tombant à moitié ; ses mains plongent dans la neige.

    Froide.

    D’un froid brûlant ; plus que le feu, plus que l’eau.

    Il suffoque, et pour un instant, la neige n’est pas de la neige, mais tous les instants de douleur jamais vécus : le gémissement affligé d’une mère à côté d’un petit paquet emmailloté, la dernière pensée venant à l’homme qui meurt avant son heure, la blessure d’un couteau. Froide, vive, cuisante…

    Il se relève en poussant sur ses mains.

    Derrière son dos s’élève le hurlement des loups. Il s’arrête, se retourne. La lumière du flambeau qu’il tient ondoie sous les souffles du vent. La lumière de la flamme joue sur ses yeux tandis qu’il regarde de nouveau en arrière, en bas de la pente, vers la forêt. Les arbres se sont allongés, leurs branches dénudées tendues pour attraper le vent. Des yeux lui rendent son 

    regard, rouges, verts, et d’un jaune enfiévré. Au loin, toujours visible par-dessus et par-delà les cimes des arbres, il voit les lueurs de la tour qu’il a quittée pour entreprendre ce périple. Le vent souffle en rafales et les loups approchent avec elles, se forment à partir des ténèbres et du givre avant que de bondir. Il agite sa torche devant lui. Leurs mâchoires sont grandes, leurs crocs cassés sur des gencives gâtées ; du cuivre fondu s’écoule de leur dentition en fer, un feu bleu de leurs griffes de verre noir. La torche frappe le premier loup…

    Une lueur de foudre.

    La nuit vole en éclats.

    La neige brûle.

    Les loups reculent, leurs cris faisant se décrocher du ciel d’autres rafales.

    Le vieil homme remonte en courant le versant de la montagne, ses jambes s’enfonçant dans les amoncellements de neige, ses mains agrippant la roche et sa pelure de glace. Les hurlements s’élèvent à nouveau. L’ouverture de la caverne est si proche, juste là, entre les rochers. Un autre pas, une autre poussée de sa volonté et il atteindra son sanctuaire. Des griffes se tendent vers lui. Il sent leur souffle derrière son dos. Il se retourne, et lance son flambeau très haut en l’air. Un pilier de foudre l’atteint en plein vol et s’abat. La lumière blanche inonde le flanc de la montagne. Les ombres de loups fondent et s’écoulent dans le sol, mais d’autres arrivent déjà. Il s’élance d’un bond vers l’entrée de pierre, et…

    Tout est calme. L’odeur de la roche et de la terre. Le silence.

    La caverne s’étend devant lui en descendant. Des marches grossières ont été taillées dans le sol. Des veines de cristal scintillent sur les parois inégales. Le bruit de l’eau qui goutte sur la roche parvient à ses oreilles. Une lueur de feu filtre vers le haut des marches tandis qu’il s’y engage. Une porte carrée attend en bas. Il s’arrête sur le seuil, avant de la franchir.

    La grotte est petite mais a été élargie, d’abord par des haches de pierre, puis avec des outils de bronze et de fer. La lumière provient des mèches allumées qui trempent dans un bol d’une huile claire. Des bancs de pierre bordent les murs de part et d’autre de l’entrée ; leur assise est lisse, usée par le temps et par ceux qui sont venus ici. Des rigoles courent le long du sol depuis l’endroit où s’élève un bloc de cristal brut. Des symboles s’étalent sur celui-ci : un être mi-homme mi-cheval, de l’eau tombant d’une coupe, une silhouette à tête de taureau.

    L’homme aux haillons noirs s’arrête.

    Un autre homme, drapé dans une robe dorée, est assis sur un des bancs. Il tient un bâton à la main, et une couronne de feuilles de laurier tressées de fil d’argent repose sur sa tête. Il paraît jeune.

    Tous les deux se regardent pendant un long moment. Alors le vieil homme à la fourrure couverte de neige se secoue, et ôte la cape de sur son dos. La tunique noire qu’il porte en dessous est déchirée et tachée de sueur. Les muscles de ses bras sont tels des cordes sèches, ses épaules voûtées par l’âge, son crâne nu semé de taches de vieillesse. Des bagues dorées luisent à ses doigts ; une tête de bélier, un soleil rayé, une opale grise.

    — Bonjour, mon vieil ami, dit le jeune homme vêtu d’or.

    Le vieil homme en guenilles noires hoche la tête, et s’avance. Pendant une seconde, son pas vacille. Ses yeux se plissent de douleur. La roche de la caverne crisse, un filet de poussière tombe du plafond. L’homme aux robes d’or lève les yeux, puis les ramène sur celui en noir qui s’abaisse jusque sur le banc en face de lui.

    — Tenez, dit le jeune homme en lui tendant un bol en bois. Du pain, du sel et de la viande.

    Le vieil homme accepte le bol en acquiesçant et se met à manger. L’homme vêtu d’or saisit son propre bol, et commence à y prendre de petites bouchées, sans jamais quitter son compagnon des yeux.

    — Je suis désolé de vous avoir appelé ici, dit l’homme doré quand il ne reste que des miettes dans le bol du vieil homme, mais il faut que nous parlions.

    L’homme en noir s’essuie la bouche du dos de la main. Ses yeux sont deux profondeurs noires dans la peau tannée de son visage.

    — Nous ne cessons d’être pressés, continue le jeune homme. Jusqu’à présent, l’attaque s’est déroulée comme nous nous y attendions. Mais il y a autre chose, en dehors de tout ça…

    L’homme vêtu d’or se met à disposer des cartes sur le banc de pierre à côté de lui entre les bols. Les cartes sont vieilles et leurs images estompées. Une silhouette dans une cape noire, le visage détourné, grimpant vers une haute tour ; un homme à tête de loup, portant un faisceau d’épées caché sous un manteau ; une roue d’étoiles tournant autour d’une lune assombrie… Une carte après l’autre, le motif grandit à chacune qu’il place.

    — Vous voyez, dit l’homme en or. Il change, mais le cœur du motif est toujours là ; une résonance croissante dans le Warp, comme des notes qui s’élèvent et qui se rejoignent, ou comme des pièces placées sur un plateau, ou une arme assemblée bout par bout… Je n’arrive pas à voir de quoi il s’agit, rien que son ombre, mais cette chose est là. Derrière la nuit et le massacre, elle est bien là.

    L’homme en noir a toujours les yeux baissés sur les cartes.

    — Il y a aussi d’autres éléments. Des facteurs qui ne sont pas à leur place. La date d’offensive, par exemple. Elle fut lancée au mitan de l’hiver, au creux du nadir cosmique. Et l’ordre des choses… La position des planètes est particulière en ce moment. C’est une conjonction rare qui ne s’est pas produite depuis… eh bien, depuis avant les dernières ténèbres. Nous avons toujours présumé que cet assaut était motivé par la hâte, mais s’il y avait autre chose ? S’il y avait quelque chose de p…

    — Oui, dit l’homme en noir.

    Il se relève. Pendant un instant, la lumière du bol d’huile projette son ombre sur le mur, et le temps d’un clignement de paupière, ce n’est pas l’ombre d’un vieillard, mais une silhouette sur un trône, les mains agrippant les bras de son siège, la tête tenue droite.

    — Elle est là sous la surface, derrière le bord de la nuit. Je… la sens grandir.

    — De quoi s’agit-il ? demande l’homme jeune. Que font-ils ?

    L’homme en noir reste immobile pendant une seconde, le regard lointain. Il lui en a coûté d’envoyer une part de lui ici, à cette rencontre d’esprits, dans l’un des derniers havres qui demeurent. Très loin, et si près à distance de pensée, les ténèbres écrasantes sont repoussées instant après instant, tel un raz-de-marée arrêté devant le rivage par la volonté seule.

    — Je ne peux pas voir, dit l’Empereur, dont les fourrures remuent sur sa carrure âgée. Ni à l’intérieur, ni au-delà du bord de la Nuit. Le présent n’est qu’obscurité, et le futur un horizon. Il n’y a que notre lutte.

    Malcador, jeune et vêtu d’or, reste sans bouger, puis hoche une fois la tête. Son visage est un masque qui ne peut cacher son inquiétude.

    — Les autres savent, dit-il enfin. Le Khan, l’Ange, les commandants… Rogal en particulier. Les actions de l’ennemi ont l’air de manquer de sens. Ils perçoivent qu’il y a cette ombre qui se projette sur ce qu’ils comprennent.

    — Je te répète pourquoi ils sont là, dit l’Empereur, en ramassant les fourrures d’où la glace et le givre avaient à peine fondu. Pour se battre bec et ongles, et ne pas plier. Il t’appartient de veiller au reste, de les protéger afin qu’ils puissent être ce qui est nécessaire.

    L’Empereur se tourne vers la porte.

    — Pouvons-nous encore gagner ? demande Malcador.

    — Ce n’est pas cette question que tu me poses vraiment, dit l’Empereur, en regardant derrière lui, mais toujours tourné vers la sortie.

    Malcador lui adresse un sourire triste, et le lui concède en hochant la tête.

    — Au revoir, dit l’Empereur en ajustant sa cape de fourrure, et en partant franchir la petite porte, vers la nuit et l’hiver.

    Malcador reste là où il se trouve, le regard tourné vers l’espace noir derrière l’arche de pierre grossière. Au bout d’un moment, qui n’a vraiment duré que le temps d’une pensée, il regarde à nouveau le motif des cartes disposées sur le banc de pierre à côté de lui. Puis il tend la main et prend la lame de la haute tour foudroyée par un éclair.

    — Pouvons-nous survivre à ça ? Quoi que ce soit va-t-il survivre ? demande-t-il, et il ferme les yeux.

    L’idée, l’image de la caverne se replie hors de l’existence, et le noir hurlant s’engouffre pour réclamer l’espace qu’elle a laissé vacant.

     

    LE WARP 3

    Révélation

    — Nous y sommes… Nous y sommes enfin…

    L’homme ne relève pas les yeux du feu, dont les cendres sont presque mortes. L’éclat que retient encore chaque morceau de branche éclaté s’estompe du jaune au rouge tandis qu’il le surveille. L’étranger qui se tient en face de l’autre côté est grand et large d’épaules, avec un visage où se distillent toutes les effigies des rois et des conquérants à travers les âges. Il porte du noir, tout comme l’homme assis à côté du feu, mais ses habits sont lourds et royaux, là où la cape et les vêtements de l’autre sont en lambeaux usés. La peau qui repose sur ses épaules est épaisse, et il y pend toute la tête de l’animal. Des bagues brillent à ses doigts gantés. Les pierres qui y sont serties accrochent la lumière défaillante du bois qui brûle ; améthystes, rubis, émeraudes, saphirs.

    — Ne vas-tu pas m’adresser un seul mot, maintenant, père ? dit Horus. Ne vas-tu pas m’avouer la vérité ?

    Il s’accroupit, ses yeux accrochant la lueur des cendres comme le font les bagues à ses doigts.

    — Je suis là. Seul.

    L’homme à côté du feu redresse la tête doucement. Il semble vieux, la peau plissée et ridée par le temps, les cheveux blancs. Mais ses yeux sont noirs d’un bord à l’autre, comme les trous laissés à la place de ceux des statues de bronze dans les âges passés.

    — Tu n’es plus jamais seul à présent, dit-il, et il tourne son regard vers les ombres des arbres. Je vous vois, adresse-t-il à l’obscurité. Pendant un instant, le feu s’avive. Une fontaine d’étincelles s’en élève, et la lumière n’est plus ténue mais aveuglante. La radiance se déverse dans les espaces entre les troncs nus et les branches. Des choses velues, couvertes de plumes, d’écailles et d’os se rétrécissent en grognant. Mais elles ne reculent pas, et après que la lumière a diminué, les ombres reviennent s’écouler pour se presser autour de la lueur des charbons.

    — Hypocrisie, père, et orgueil, dit Horus. J’ignore pourquoi ça ne m’a pas frappé avant que tout me soit révélé. Tu es un despote, qui ne vaut pas mieux que ceux que tu as jetés à terre pour forger ton domaine. Un roi coiffé d’une fausse couronne qui a bâti son trône sur les mensonges et les massacres, et qui s’y maintient par la force. Une vision élevée, pour arriver à de grandes fins et justifier n’importe quel acte ; ce n’est qu’une peau peinte sur un crâne en train de pourrir… Je le sais, père. Je l’ai vu.

    L’homme assis à côté du feu ne bouge pas, et le vide de ses yeux demeure sans ciller.

    — L’illumination… dit Horus. C’est comme ça que tu avais coutume de qualifier notre but. La lumière et la vérité… Eh bien, je les ai vues, père. J’ai été éclairé. Tout m’a été révélé et il n’y a plus aucun voile entre moi et la flamme de la vérité.

    Horus bouge, et pendant une seconde il ne semble plus être un homme, mais l’ombre de quelque chose d’immense, et de voûté, et couvert de fourrure, pris dans la lumière d’un brasier bien plus brillant que les cendres qui déclinent devant eux.

    — Il te reste encore de la force, dit Horus, et il lève sa main gantée.

    Lentement, il la tend dans le feu et s’empare d’un morceau de bois luisant. Il le soulève, de la fumée montant de là où sa peau brûle. Horus tient le charbon ardent devant lui, et la lueur rouge éclaire son visage. La chaleur du feu diminue, il devient d’un noir froid, et vire à la cendre poudreuse. Horus fixe l’Empereur pendant une longue seconde et se redresse, sa présence s’enflant jusqu’aux branches et au ciel de la nuit.

    — Mais tu n’es pas assez fort. Tu ne l’as jamais été.

    L’Empereur baisse à nouveau les yeux vers la cendre morte du foyer devant lui, avant de les fermer ; et l’image de la forêt et du feu, et du visage de son fils mensonger diminue au loin, et il n’y a plus que la voix d’Horus froide et moqueuse qui résonne après lui.

    — Enfuis-toi donc, lui lance-t-elle. Enfuis-toi, père, et sache que j’arrive. Cours pour m’échapper !

     

     

    Si vous avez l'impression que je me suis tromper en Collant le texte merci de me le dire.

  8. Il y a 15 heures, Valrage a dit :

    Un sujet toujours aussi pationnant à parcourir... 

    Laissez moi vous présenter ma petite hypothèse maison, je ne pense pas qu'elle ait été citée dans vos discussions : 

     

    L'un des primarques inconnus aurait été un Pariah d'une puissance à l'exact opposée de celle de l'empereur.

     

    Imaginez cet être capable d'éteindre tout potentiel psychique de papy himself... Sa simple présence dans la galaxie serait en mesure de nuire à la lumière de l'astronomican (sachant qu'à l'époque préhérésie, celui-ci n'existe pas encore dans la forme que nous connaissons). 

      

    Un être de cette nature mettrait l'ensemble de la logistique impériale en ruine, menaçant toute l'œuvre de l'Empereur. 

    Ou pour aller encore plus loin, sa présence abattrait les barrières psychiques protégeant papy, révélant sa vraie nature, qui restait jusqu'ici dissimulée aux yeux de tous... Une nature inavouable peut être.

    Ou plus simplement, il s'agit d'une puissance psychique qui ne DOIT pas s'éteindre pour le bien de l'humanité... 

     

    Papy aurait une némésis.

     

    Tout est en place pour un drame shakespaerien : Ce primarque devait mourir pour le bien du grand œuvre. Malcador, le porte valise sans scrupule, décide de trancher dans le vif.

    Il convainc le Père de demander à ses fils de supprimer cette création maudite. 

    A contrecœur mais bien conscient de l'enjeu, ils acceptent, sauf un qui prendra finalement la défense de son Best bro. 

     

    Les forces sont inégales et le travail finit par être fait, mais personne parmi les vainqueurs n'a de victoire à célébrer... C'était juste un sale boulot. 

    En fait, ils sont tous honteux car c'était un mec bien qui n'avait rien fait pour mériter un tel sort, si ce n'est celui d'avoir été créé par l'empereur.

    Alors, on décide de cacher ce vilain secret, de l'enfouir profondément, car ce genre de plaie ne cicatrise jamais vraiment... 

     

     

    Si on oublie le fait que l'Empereur et Malcador sont capable d'utiliser leur pouvoir malgré la présence de soeur du silence. Et vu le processus de création des primarques ça m'étonnerai que certains soit des parias : ce sont des entités warp qui sont dans les cuves de création des primarques ; on les a "obligés" à se modeler une forme humaine, mais à la base, c'est des entités du warp.

     

  9. il y a 59 minutes, Tir Meneithian a dit :

    ça change rien pour les DA. Ils sont toujours Hérético-chaotiques.

    Ils sont hérétique rien du tout, c'est pas de la faute de tout les DA si 30% du chapitre s'est rebellé, sachant que dans ce groupe tu as une partie qui est revenu sur le droit chemin.

    Le Lion n'est pas hérétique. D'ailleurs on a déjà vu des Ultramarines hérétiques pourtant tout le chapitre n'est pas à blâmé. 

  10. Niveau lord les DA capturent de plus en plus de Fallen, dès qu'ils seront tous capturés (ou mort), le chapitre sera enfin racheté, et le lion reviendra. Le lion est déjà prêt à combattre, il attend surement que ses fils se rachète. 

     

    Sur Vigilus il y a des Fallen capturés, mais surtout des magos ont profité du bordel pour récupéré une base de donnée MySql qui contient des plans d'un canon d'une forteresse Fallen (qui embête vraiment les DA).

    Les plans ont été communiqué au DA ce qui va vraiment les aider, la forteresse va tomber, avec plein de Fallen à la clé. 

     

    On voit clairement que GW veut rendre le retour du lion crédible en détruisant peu à peu les Fallen. 

  11. Il y a 23 heures, Engrenages a dit :

    Alors j'ai justement Dark Imperium sous les yeux, et je cite : "A towering figure clad in the famous Armour of Reason strode through the archway. On his left hand he
    wore the Hand of Dominion. Belted at his waist was the Gladius Incandor."

     

    Le Gladius Incandor c'est PAS l'épée de l'Empereur, c'est un glaive qu'il avait déjà pendant l'Hérésie, c'est d'ailleurs celui qu'on voit sur sa figurine FW.

     

    Le 16/04/2019 à 20:23, hénuel a dit :

    Non! Guilliman récupère l'épée à la fin de l'hérésie d'Horus quand il devient lord commander de l'imperium(le passage dans dark imperium est un flashback...), et cawl lui rend à nouveau à son réveil...C'est pas compliqué de lire les livres quand même...j'ai vraiment l'impression que bcp trop ne lise plus que le lexicanum ou les fofos pour le fluff...c'est assez triste!

    Mais bordel mettez vous d'accord, ça devient invivable on ne peut plus croire personne...

     

    Maintenant à chaque affirmation je veux la source SVP. 

     

    Sinon ça compte pas.

     

     

  12. il y a 41 minutes, hénuel a dit :

    Non! Guilliman récupère l'épée à la fin de l'hérésie d'Horus quand il devient lord commander de l'imperium(le passage dans dark imperium est un flashback...), et cawl lui rend à nouveau à son réveil...C'est pas compliqué de lire les livres quand même...j'ai vraiment l'impression que bcp trop ne lise plus que le lexicanum ou les fofos pour le fluff...c'est assez triste!

    Dsl ça fait longtemps que j'ai lu guerre et peste. 

     

     

  13. Il y a 8 heures, tealc a dit :

     

    Guilleman recupere l'épée aprées etre revenus sur Terra et avoir parlé avec l'empereur , il ne l'as pas a son reveil directement , il l'obtient qu'aprés avoir parlé a Papy 

    J'approuve.

     

    Dans guerre et Peste il précise que le commandant Aquilla est parti chercher l'épée lui même sur les genoux du père et que l'épée à changé de taille une fois dans les mains de Guilliman.

  14. Il y a 21 heures, Dias Irae a dit :

    Skarband il l'affronte une première fois dans Gathering Storm 3 quand il va de Maccragge à Terra

      Masquer le contenu

     

    La traversée devint plus périlleuse comme des salves frappèrent les loyalistes par-dessus les abîmes. Des combats éclatèrent quand les Red Corsairs firent feu depuis les passerelles supérieures et les canons de Khorne crachèrent des crânes hurlants. Des plates-formes aussi larges que des champs de parade accueillaient des batailles entre Machines-Démons et escadrons de blindés Ultramarines. Les loyalistes tiraient en avançant, ouvrant des brèches dans la masse de l’ennemi. Par ailleurs, les forces de Khorne et de Tzeentch s’attaquaient entre elles, les Sanguinaires se taillant un chemin dans des escaliers couverts d’ichor, tandis que les Horreurs purgeaient les plates-formes par les flammes. 

    Guilliman vit Kairos le Tisseur de Destins à l’autre bout de la salle, exhortant ses disciples et lançant des traits ensorcelés sur les loyalistes. À l’évidence, le Démon Majeur n’avait aucune envie d’affronter la colère de Guilliman, car il prenait soin de rester éloigné du creuset de la bataille.

    Au contraire de Skarbrand. Surgissant d’un portail béant dans le mur de la grande salle, le Buveur de Sang flambait tel un autodafé. Ses hurlements résonnèrent dans l’espace caverneux, sa soif de sang infectant l’esprit de tous ceux qui les entendaient. 

    Sous l’influence de Skarbrand, les Frères de Bataille de Guilliman devinrent de plus en plus agressifs et impétueux. Contaminés par la fureur du Démon, Amalrich et les derniers Black Templars se détournèrent de leur chemin et se jetèrent sur une meute de Démons de Khorne. Le sang gicla quand une mêlée sauvage éclata. Le Primarque songea un instant à faire dévier se propres forces pour aider Amalrich, mais avec Skarbrand qui déboulait et des Démons qui s’amassaient sur chaque front, il n’en avait pas le temps. Le cœur lourd, Guilliman aboya ses ordres sur le vox, refrénant les Ultramarines et leurs Primogenitors par la seule force de sa volonté. Amalrich se rua en beuglant sur le grand Skarbrand, sa lame noire heurtant les haches du Buveur de Sang encore et encore. 

    Voldus et ses Cuirassiers Némésis avaient pris la tête de la progression, tandis que les spectres de la Légion des Damnés défendaient l’arrière sans un mot ; si bien que la croisade approchait de l’entrée de la Toile. Cawl et ses Skitarii fauchaient les rangs de Démons. Les Vindicators des Novamarines pulvérisèrent trois ponts que l’ennemi empruntait pour attaquer de flanc, jetant des Horreurs dans le vide. Greyfax et Célestine se battaient côte à côte, et abattirent trois Hérauts de Tzeentch en autant de minutes. Les Harlequins étaient partout, sprintant sur les passerelles, sautant de pont en pont, perçant et taillant avec une adresse à couper le souffle, exécutant leur danse de guerre autour des loyalistes. 

    Ce fut alors que Skarbrand poussa un rugissement de fureur assourdissant, prit son élan et bondit. Le maudit Buveur de Sang s’envola au-dessus du gouffre, une terrible blessure laissant une traînée d’ichor derrière lui. Guilliman vit la lame noire d’Amalrich plantée dans la poitrine du Démon Majeur. C’était le seul signe qu’il restait du Champion de l’Empereur - une expiation sanglante de son échec sur Cadia. 

    Skarbrand atterrit dans un fracas prodigieux au milieu de la Légion des Damnés, ses sabots jetant des étincelles sur le pont. Ses haches, Massacre et Carnage, frappaient à gauche et droite. Les spectres enflammés étaient brisés, leurs corps démantibulés tombant tels des charbons ardents dans les abysses. 

    Les guerriers les plus en arrière de la force de Guilliman se retournaient, et la folie du Buveur de Sang emportait les Frères de Bataille et les chars. Comprenant qu’il allait perdre le contrôle de la situation, Guilliman ordonna à tous les Impériaux de gagner le portail. Un dernier pont enjambait le vide en reliant la plate-forme sur laquelle se tenait Guilliman à celle où le portail clignotait. Le Primarque prit position à la tête du pont, campa ses pieds et tira sa lame, tandis que tous ceux qui pouvaient encore suivre son ordre l’exécutaient. Le flot de l’infanterie et des véhicules passèrent devant lui, suivant les Harlequins dans la Toile, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que Sicarius et Célestine attendant devant l’entrée.

    Skarbrand faucha les derniers légionnaires damnés et prit pied sur la plate-forme. Guilliman sentit la structure trembler et plier sous le poids du Démon. Puis leurs regards se croisèrent, et le Primarque sentit une fureur irraisonnée monter en lui. Skarbrand était venu prendre le crâne de Guilliman en l’honneur de Khorne, et le Démon n’avait pas l’intention de laisser sa proie lui échapper. 

    L’esprit de Guilliman était en feu, rempli des visages grimaçants de ses frères qui avaient succombé au Chaos. À chaque pas que Skarbrand faisait vers lui, la colère de Guilliman grandissait, tandis que le pont semblait fondre, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que le Primarque et le Buveur de Sang, piégés ensemble dans une arène de flammes rugissantes. 

    Incapable de se dominer, le Primarque beugla un cri de guerre et bondit à la rencontre de Skarbrand qui chargeait. La Lame de l’Empereur croisa Massacre avec un bruit de métal douloureux, tandis que Carnage passait au-dessus de la tête du Primarque d’un cheveu. Guilliman plongea son épaulière dans le ventre de son adversaire, puis pivota sur place et envoya un revers de la Main de Domination à Skarbrand. Le coup aurait transpercé la coque d’un blindé, mais le Démon vacilla à peine avant de se lancer à nouveau à l’assaut. Les haches de l’enfer s’abattaient en arcs incessants, Guilliman parvenant tout juste à parer ou à éviter chaque coup. 

    Le Primarque sentait sa haine et sa rage culminer à des sommets inédits, éclipsant totalement son sens de la stratégie. Il comprit vaguement que, bientôt, il finirait par se jeter sur Skarbrand, en frappant comme un dément, jusqu’à ce que sa tête soit séparée de ses épaules. 

    Dans un effort de volonté titanesque, Roboute Guilliman dompta la rage surnaturelle qui noyait sa raison. Le Primarque essoufflé piégea les feux de la fureur dans un anneau mental d’acier froid. Alors qu’il affrontait son ennemi monstrueux dans la réalité, il livrait une seconde bataille dans son esprit. Peu à peu, il parvint à contenir sa rage. 

    Poussant un dernier cri de souffrance mentale, Guilliman repoussa toute sa fureur et sa haine, et les enferma derrière des fortifications impénétrables. Alors, les feux qu’il percevait autour de lui moururent, et le pont salvateur retrouva son attention. Au bout du pont, Sicarius et Sainte Célestine l’exhortaient à agir avant qu’il soit trop tard. 

    Peu disposé à laisser son ennemi s’évader, Skarbrand s’élança en brandissant ses haches. Guilliman évalua calmement la menace, leva la Main de Domination et repoussa le Démon d’une salve bien ajustée. 

    Skarbrand hurla de colère comme les obus explosifs déchiraient son front et projetaient des morceaux de chair sur la plate-forme. Pas à pas, le Démon dut reculer, mais il ne tombait toujours pas. Guilliman serra les dents et tira les dernières munitions de son magasin, en visant la lame noire d’Amalrich. Un des bolts atteignit l’épée et la pulvérisa en une tornade d’éclats noirs mortels. Le torse de Skarbrand fut déchiré, et il bascula dans le vide en poussant un ultime rugissement de rage.

    Guilliman se retourna aussitôt et sur le pont pour sauter dans courut à la Toile à la suite de Sicarius et de la Sainte Vivante. Derrière lui, les runes de protection du portail le scellèrent avec un craquement sec, bloquant la vague de Démons qui déferlait à la toute dernière seconde. 

    https://omnis-bibliotheca.com/index.php/L'Avènement_du_Primarque#Guerre_D.C3.A9moniaque

     

    Ensuite, en arrivant sur la Lune par le biais de la toile il affronte Magnus (donc il n'a pas encore l'épée).

     

    Ensuite Khorne lance son attaque sur Terra elle même, deuxième siège de Terra. Et là il est possible que Guilliman réaffronte Skarband (même si je connais assez peu cet événement) dans ce cas il aurait eu l'épée de l'Empereur 

    mais attend dans ton extrait y a écris : "La Lame de l’Empereur croisa Massacre avec un bruit de métal douloureux"

     

  15. il y a une heure, Voron a dit :

    Bonjour, 

     

    Pour bannir un démon/prince il faut soit le vaincre, soit connaître son vrai nom. 

     

    Est-ce qu'il suffit de prononcer son nom pour le faire disparaître ou faut faire un rituel/incantation ? 

     

    Quand un homme est élevé en prince-démon est-ce qu'il obtient un nouveau nom version démoniaque ou on peut le bannir en utilisant son vrai nom d'humain ? 

     

     

     

     

    Alors je ne sais pas pourquoi tu as besoin de ces info (peut être qu'il y a urgence...) mais voilà des réponses :

     

    Dans "Les dieux auriques" on a un flash back pendant la deuxième bataille de terra (au 41 ème millénaire). 

    Un chevalier gris un peu con décide de dire : "Kharneth exilium" 

     

    Faut savoir que d'après tarran Kharneth = Khorne :

     

    Khar : Rage - le désir de dominer

    Leth, neth : Prince de, maître de, souverain de

     

    Kharneth - Khorne - Prince du Sang

     

    DONC ce con à dit littéralement "Dieu du sang casse toi". Tu comprends bien que ce n'est pas une bonne idée pendant une incursion démoniaque sur terra alors que l'astronomican est éteint...

    Il s'est fait gober par un prince démon, tomber tout droit du ciel. Le truc l'a manger, comme une poule mange un grain...

     

    400px-Bloodthirster.jpg

     

    C'était LE buveur de sang, il n'a pas de nom particulier, il est juste un démon majeur avatar de Khorne, venu venger l'affront qu'on a fait à son maître impie.

    Par conséquent pour le bannir les chevaliers gris (ils étaient là évidement) ont juste prononcer Khak’akaoz’khyshk’akami.

     

    Ce qui veut dire littéralement "buveur de sang" c'est leur nom dans le warp. Et à chaque syllabe le démon perdait en puissance.

    Ensuite c'est devenu une carcasse difforme. Pas de rituel ou d'incantation.

     

    Ce qui fait mal au démon c'est surtout le fait que tu dis ce qu'il est, car connaitre la vérité sur quelque chose permet de le détruire. Ce démon n'est probablement pas assez puissant pour avoir un nom à lui seul. 

     

    Citation

    Quand un homme est élevé en prince-démon est-ce qu'il obtient un nouveau nom version démoniaque ou on peut le bannir en utilisant son vrai nom d'humain ? 

     

    Typhus était autrefois Typhon.

    M'Kar était autrefois Maloq Kartho.

     

    Si tu veux les bannirs il faudra prononcer leurs véritable nom, celui qu'ils sont eu à leurs naissance. Celui qu'ils sont eu lors de leur "ascension" ne fonctionnera pas.

     

    Après pour les primarques démons, c'est différents pour les bannir, leurs noms ne servent à rien. 

     

  16. 4 ans après la première animation, narrant l'histoire du puissant Kaldor Draigo, Flash-gitz s'est remis à faire des animations sur 40k.

     

    Dans cette courte vidéo de 1:23 min, les Black Templars décident de rendre la justice de l'empereur sur un monde visiblement contrôlé par Slaanesh, le prince des excès. Malheusement, malgré tout les efforts des Blacks Templars la planète va subir la fureur de l'empereur par l'exterminatus.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=xrJVZZLv2GE

     

    Que l'empereur ai pitié de l'âmes des vaillants qui se sont battu pour protéger ce monde.

    (garde impérial compris https://regimental-standard.com/2019/04/03/the-anti-temptation-kit/).

  17. Il y a 5 heures, hénuel a dit :


    -Une des légion à perdu complètement sa struture de commandement > Donc papa! Et la première campagne d'un des deux primarque était le xénocide Rangdan ouch!

     

    Selon le wiki, les 2 légions ont perdu été perdu à cause de ce xenocide... 

    Citation

    entire Space Marine Legions (exactly which Legions were affected was purposely redacted from Imperial records) had been lost to the Imperium.

    https://warhammer40k.fandom.com/wiki/Rangdan_Xenocides

     

    Je connais pas tout les détails de ce Xenocide, mais si l'empereur à du intervenir lui même...

    Je comprend pourquoi malcador veut les purger aussi, 2 légions perdus ! En une campagne ? C'est pour ça qu'il dit que l'histoire n'a pas besoin de s'en rappeler.

     

    Enfaîte un officier à mal mis le morceau de papier pour censurer la partie intéressante ici : (on nous parle des 2 légions)

    RegStd-Mar28-LasgunCorrection-v2.jpg

    source https://regimental-standard.com/2018/03/28/field-dressing-a-lasgun-wound/

     

  18. il y a 36 minutes, Guivrus a dit :

    Je vois plusieurs possibilités pour ma part mais en tout cas quelque chose qui n'a rien à voir avec le chaos/warp.

    Malgré 10k années de passées suite à la Grande Croisade, même les primarques chaotiques ne parlent pas (ou du moins ne communiquent pas) sur le destin des primarques perdus. S'il s'agissait de quelque chose d'honteux uniquement pour les loyalistes, ils en profiteraient pour le balancer en permanence à la tronche de l'Imperium. Ca doit être quelque chose de fondamentalement intime et qui toucherait les primarques eux-mêmes (et pas leur légion qui pourra être récupérée par/pour les Ultra/Imperial Fist).

     

    De ce que rajoute la nouvelle, ce serait quelque chose qui aurait pu mettre à terre le projet impérial:

    -Xenophilie avec un primarque qui prouve qu'une amitié/alliance avec les xenos est possible (ou refuse un xenocide etc) voir quelque chose de plus terrible comme se déclarant vassal d'un empire xenos! 

    -Remise en place des IA ou alliance avec des Hommes de fer ou assimilé. Dans le genre abomination qui fait peur à tout le monde, ça se pose là.

    - Ou une tragédie plus personnelle:

    Sans reprendre le délire amoureux, qu'est-ce qui serait plus dangereux pour la fondation de l'Imperium qu'apprendre qu'un primarque a perdu tout espoir en l'humanité et dans le rêve Impérial? Qu'est-ce qui pourrait être plus honteux pour l'ensemble des primarques que le suicide de l'un d'eux? Même pour les chaotiques, ce serait le rappel non pas d'un égarement idéologique ou d'une étroitesse d'esprit (qu'ils peuvent reprocher aux loyalistes) mais bien d'une faillibilité fondamentale en chacun d'entre eux?   

     

    Dorn dit clairement à la fin de l'extrait que si les 2 primarques avait perduré, la grande croisade aurait été perdu.

     

    Donc leurs bromance + suicide c'est impossible, les mecs ont menacé la grande croisade d'une façon ou d'une autre.

  19. Il y a 5 heures, Kaptain a dit :

    Tealc : évite de juger sur la foi d'une traduction comico-foireuse approximative et subjective, et d'en tirer des conclusions définitives. 

    j'ai traduit assez sérieusement la seul blague que j'ai mis c'est sur le recyclage du marbre...

     

    Voici le texte original

    https://www.reddit.com/r/40kLore/comments/a5i17d/excerptthe_last_councilhorus_confront_malcador/

     

  20. Il y a 6 heures, tealc a dit :

    Par contre ya que moi qui trouve complément STUPIDE la réaction de Malcador 

     

    bon alors cool on apprend que Malcador visiblement peut facilement tuer les primarque en se grattant le nez et sans efforts... mais il est censé etre le conseiller de l'empereur et il trouve rien de mieux que d'humilier Horus , de lui cracher a la gueule a lui et a ses freres morts au combat ?

     

    et après sa s’étonne qu'il trahisse l'empereur..... je trouve que plus on en apprend et plus l'empereur et Malcador étaient complètement stupide dans leurs comportements envers les primarques...

    Moi c'est l'inverse, je pense que c'est mérité.

    Il a accepté ça d'après malcador. 

    De plus je pense que si l'empereur avait fait la même à Lorgar ça l'aurait calmer.

  21. Non ce titre n'est pas pute-à-clique ça s'est vraiment produit dans "The Last Council".

     

    Contexte Malcador vient de décidé (avec les seigneurs de terra) que les 2 primarques doivent être effacés.

    Horus s'y oppose avec Alpharius et le Khan, il débarque en pleine réunion...

     

    ATTENTION LA SUITE EST UN GROS SPOILER DE "The Last Council" (c'est une nouvelle, je ne sais pas si elle va être traduite).

     

    Citation

    Horus : 

    Mes frères et moi sommes venus mettre fin à cette folie une fois pour toutes. L'histoire de l'Imperium n'est pas quelque chose qui peut être modifié. Nous ne le permettrons pas. 

     

    Alpharius acquiesça de la tête et se mit à calmer les autres hommes et femmes dans la chambre. (parce que c'est la panique...)

     

    Citation

    Horus :

    Nous connaissons le prix du destin, Seigneur régent. Nous connaissons les sacrifices à faire. Il y a toujours une chance que certains d’entre nous ne vivent pas assez longtemps pour voir la galaxie unie sous la bannière de notre père.

     

    Il salua du poing contre sa poitrine, marquant ainsi la réaction de Sigillite face à ce geste dépassé.

     

    Citation

    Horus :

    Mais nier qu'ils aient jamais existé? Déshonorer ouvertement la mémoire de notre frère décédé? Qu'est-ce qui vous donne le droit de décider que, en secret, à huis clos?

     

    Malcador le regarda.

     

    Citation

    Malcador

    Ne me parlez pas de secrets. Vous jouez à un jeu dangereux, tous les trois, et ma patience s’épuise.

     

    [...]

     

    Citation

    Malcador

    Alors que notre grand empereur est absent du Trône-Monde, je porte son autorité et j'agis en son nom. Nous, les seigneurs et les dames de Terra, avons délibéré de manière appropriée et décidé qu'un hommage à un primarque déchu et déshonoré n'était pas un monument digne de l'investiaire. La statue sera enlevée, le marbre pulvérisé et utilisé pour aligner les allées des jardins du palais intérieur. Parce que j'aime le recyclage...

     

    Même le Khan se raidit à cela.

    Horus se tenait absolument immobile, mis à part le tremblement de ses doigts. Il imaginait sans doute toutes les façons possible pour déchirer les membres du sigillite.

     

    Citation

    "indigne?" Gronda le chauve.

     

    [...]

     

    Citation

    Malcador

    Si vous ne voyez pas le raisonnement derrière cette décision, vous ne ferez que me convaincre d'avantage que c’est la bonne, et que ce débat est stérile. Retournez dans vos légions. L'Imperium a plus que jamais besoin de victoires. Laissons ces échecs passés...

     

    De manière tout à fait inattendue, Horus éclata de rire, fort et long. 

     

    Citation

    Horus

    Vous ne pouvez même pas le dire, n'est-ce pas, Vous ne pouvez même pas dire son nom. (c'est au singulier dans le texte noté le) 

     

    Citation

    "Ne parlez pas," tonna Malcador, chargeant les mots de force psychique qui frappa l’esprit du primarque comme un marteau au front.

     

    Horus se mit à trembler, chassant la douleur. Ses frères semblaient aussi ressentir le choc, ainsi que tous les mortels encore dans la salle. Même les oreilles de Sigillite sonnaient, mais il garda sa voix ferme.

     

    Citation

    Malcador :

    C’était le commandement de ton père, mon garçon, et vous l’avez tous accepté. Désobéir maintenant, c'est rompre la foi en l'empereur lui-même

     

    Citation

    Le primarque eut un sourire ironique et provocant. "Le nom de mon frère était–"

     

    Plus rapide que la pensée humaine, la main vide de Malcador s’immisça dans un geste arcanique oublié depuis longtemps par toute autre âme vivante sur Terra.

    + ** Silence. ** +

     

    Ayyyaaaa Malcador qui darkvadorise les couilles d'horus !!! 

     

    Mais Horus essaye de prononcer quelques choses

     

    Citation

    Horus :

    «Mal…» le primarque chauve étouffa. «M-Mal… al…» (non uil ne dit pas qu'il a mal, il prononce "Mal" 

     

    Bon après malcador met des petites claque humiliante à horus, pas trop intéressant flemme de traduire 

    Révélation

    The Sigillite’s face twisted into a vengeful rictus. He felt the old, familiar rage beginning to stir, deep in his undying soul.

    ‘Enough. You will be silent, or I will unmake you, here and now.’

    Horus’ windpipe closed with a sickly crackle. His right eye bloomed red as a blood vessel burst in the sclera.

    But still he would not relent.

    So defiant. So… So… ungrateful…

    Alpharius took an uncertain step back. ‘Stop, Lord Regent. Stop. You will kill him.’

    Tiny, crawling motes of light began to creep in at the edges of Malcador’s vision. He could feel heat building within his ancient bones, stinging at the meat of his flesh. The stench of burning hair rose in his nostrils.

    ‘Sigillite!’ bellowed the Khan.

    And in an instant, it was over.

    Malcador released Horus. The primarch crashed to the tiled floor, convulsing, almost gagging on rough lungfuls of air. Alpharius rushed to his side.

    ‘Breathe, brother. Just breathe.’

     

    Alors on apprend plein de chose sur les 2 morts, surtout le fait, que Horus dit "vous ne pouvez pas prononcer son nom". Pourquoi "son" alors qu'ils sont plusieurs...

     

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