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Oraphïn

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À propos de Oraphïn

  • Date de naissance 29/09/1990

Contact Methods

  • MSN
    annamenel81@hotmail.fr
  • Website URL
    http://
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    0

Profile Information

  • Lieu
    Aussillon, ville + ou - paumée

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  • Jeux
    Elfes Sylvains
  1. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    J'avoue que de ce côté là, j'exagère un peu trop mais bon, je pense que tu pourras me le pardonner. lol. J'ai l'impression que tu es maintenant le seul qui veut la suite mais malheureusement, il faudra que tu patiente un peu. Je tape beaucoup de choses en ce moment qui ne parles pas de warhammer et je n'ai pas le temps de ma consacrer à Oraphïn mais je te promets que je vais essayer de taper la suite. A+
  2. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    La suite risque d'atten,dre. Je ne me suis pas encore plongé dans la correstion du chapitre. Il faudra que vous soyez patients. A+
  3. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Désolé pour les fautes mais j'ai pas eu le temps de me relire. j'éditerai le post une fois que j'aurai tout corrigé. J'ai été pressé de le poster et j'ai pas eu le temps de me relire. Il a fallut que j'aille au loto du collège et donc une fois que j'ai eu fini de le taper, je l'ai posté. Si, je l'ai vuet je l'ai même en DVD. Mais, tu t'es trompé. Ce n'est pas le dernier samouraï mais Troie. J'ai trouvé que la tactique était très bonne alors j'ai voulu la reprendre. Vous m'en voulez pas trop ? A+
  4. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Voici la suite d'Oraphïn. Je vous l'a mets en un seul bloc : 6 pages de Word. Vpus m'en direz ce que vous en pensez. Il faut que je me dépèche, j'ai plus de temps : Chapitre 10 De retour sur le champs de bataille, Aer’neli sortit son épée et alla combattre. Celle-ci était grande, majestueuse. Son manche était orné d’or et de diamants et son bout avait la forme d’un Grand Aide. Sur la lame, une gravure typiquement elfique y était inscrite. Bien-sûr, celle-ci était enchantée, ce qui lui permettait de se rattraper au corps à corps. C’était les parents d’Oraphïn qui lui avait offert en échange de sa loyauté. Depuis, il ne s’en était jamais séparé. Elle lui avait plus encombré que servi mais quand il était désespéré, il suffisait qu’il regarde ce glaive pour qu’il se souvienne des temps anciens. Les elfes noirs avaient un peu progressé depuis la mort de leur dragon. Certes ils avaient été désespéré et avaient cru que tout espoir s’envolait mais ils s’aperçurent que celui-ci avait semé la panique et qu’il serait facile ensuite aux elfes noirs de progresser par mis leur ennemi désorienté. Ils avaient ainsi pris une petite partie d’Elfiria mais la deuxième ligne avait réussi à résister plus ou moins. C’est alors que les elfes noirs tentèrent une tactique un peu dangereuse : ils se regroupèrent et attaquèrent la mince ligne, au risque de se faire encercler. Cependant, les elfes sylvains préférèrent se replier pour affronter de face leur ennemi pensant qu’ils avaient laissé des archers en arrière pour empêcher toute attaque de dos. Oraphïn attendait toujours les nouvelles du front et s’inquiétait. Cela faisait plusieurs heures qu’il patientait et il avait demandé à faire quérir le roi car celui-ci avait ordonné que l’on ferme les monolithes quelques instants. En attendant, il avait réfléchit par rapport au mage et à ses parents. « Je ne comprends pas pourquoi il n’a pas voulu se montrer plus tôt. Certes je n’avais pas eu de conversation avec lui dans ma jeunesse et donc il ne me connaissait pas mais c’est pas une raison. - Si, il avait de quoi craindre… - Comment ? Vas-tu dire que je punis d’être malade ? - Non, pas du tout. Certains seigneurs étaient très cruels envers les mages. Tu sais bien que de nos jours, la magie n’est plus très bien vue bien qu’elle nous aide. De plus, tu n’as aucun mage sur l’île alors il a pu croire que tu les haïssais. - Certes, mais à ce moment, pourquoi n’a-t-il pas essayé de lire dans ma tête ? - Que tu es naïf ! Tu sais bien que ce n’est qu’un conte pour faire peur aux enfants. En plus, même si ce don existait, il serait interdit à le pratiquer. - Je ne sais plus à quoi penser. Je crois que je commence à fatiguer. Il faut que je me repose, il c’est passé trop de choses. Dis au roi que je le verrai demain. Passe une bonne nuit. - Toi aussi. Je reviendrais te voir et je te dirais ce qui c’est passé. Aer’neli n’était pas très fort au corps à corps et reculait plus souvent qu’il n’avançait. Il avait aussi pu s’apercevoir que ses compagnons faiblissaient et mouraient. Quant à lui, il se servait de sa magie pour se défendre mais était de plus en plus fatigué de sorte que bientôt il dut se replier quand il faillit tomber dans les pommes. Il vit aussi que les quelques survivants fuyaient à leur tour. Des éclaireurs étaient allés prévenir les lignes du fond et déjà des archers avaient été mis en place. Cependant ils ne firent pas la même erreur que lors de l’assaut des elfes noirs. Ils se mirent en tas et se déplaçaient en fonction des nouvelles du front. Cependant la nuit tombait et les elfes noirs avaient adopté leur tunique de camouflage. Bien que les elfes sylvains étaient nyctalopes, les elfes noirs étaient très doués dans l’infiltration. Ils se dispersèrent donc et tuèrent tous les archers. Ce fut une nuit épouvantable pour les elfes sylvains. Il perdirent la moitié de leur île en seulement une nuit. Les elfes noirs tuaient tout sur leur passage, brûlant parfois les arbres. Ce ne fut qu’à l’aube que le calme se rétabli. Enfin, des renforts arrivèrent de Loren, ce qui permit de repousser de quelques toises leur ennemi. Extrait de journal intime d’un soldat blessé qui a évité l’apocalypse. Nous étions en infériorité numérique face à ces traites qui ne se voyaient guère. Certains de mes compagnons sont morts assassinés par derrière. À ce moment même, quand j’écris ce journal, la situation est stable. Mais revenons en arrière. Les généraux avaient fait une erreur de tactique. On s’est donc fait lamentablement écraser. Ils auraient dû savoir qu’à la nuit tombée, les elfes noirs prendraient le dessus. Peut-être certains ont été averti qu’ils devaient se replier pour prendre une bonne défensive mais nous, nous n’avions pas été prévenus. Il a donc fallu que l’on tienne tête en espérant résister jusqu’à l’aube. Ainsi les elfes noirs n’auraient plus d’ombre pour se dissimuler. Je pense que si le temps avait été moins couvert, nous aurions pu distinguer le reflet de la lune sur leur vêtement mais plus j’y réfléchis, plus j’en doute. Je n’avais jamais vu d’éclaireurs aussi forts dans la nuit. Ils ne faisaient aucun bruit et arrivaient à disparaître facilement derrière une plante ou un arbre. Certes, grâce à notre vision de nuit, nous pûmes en repérer certains mais un homme dans cette situation n’aurait pu seulement voir son compagnon tomber tellement la nuit était sombre. Peut-être était-ce un sort lancé pas les elfes noirs ou peut-être la nature en avait voulu ainsi. Je pense que je ne saurais jamais. Nous dûmes donc nous replier et atteindre les rangs de l’arrière. Derrière nous, les elfes noirs nous suivaient sans faire de bruit. Après avoir passé plusieurs heures à combattre contre des ennemis invisibles, nous commencions à nous habituer de leur tactique. On comprit donc qu’ils nous espionnaient et nous avertîmes les rangs de l’arrière de ne pas laisser de trou. Je fus le premier à arriver et je fus stupéfait de m’apercevoir que derrière moi ne suivait que deux elfes. Un des deux était blessé dans le dos par des flèches. Des médecins le prirent donc et le charrièrent jusqu’à l’infirmerie la plus proche qui se situait aux alentours du monolithe. Quant à moi, je dus retourner à la bataille plus vite que je ne l’avais pensé. L’aube se levait quand je me retrouvais de nouveau au front. Les elfes noirs avaient arrêté d’attaquer mais nous savions que nous ne pouvions aller les attaquer. Il fallait d’abord que nos archers nettoient le périmètre. Il grimpèrent donc dans les arbres qui se situaient au-dessus de notre tête et nous entendîmes des bruits de flèches qui se décochaient tels des bouts de tissus qui se déchirent. Ils ne ratèrent aucune cible et aucun de nos ennemis ne purent aller prévenir les lignes arrières. Nous avançâmes et profitâmes de l’effet de surprise pour tuer sans bruit les elfes noirs qui faisaient un feu. Tout le monde le savait, si on continuait, on se ferait trucider. Notre chef décida donc de faire un mur pour se mettre à couvert. Il fallait que l’on attende les renforts et donc la survie d l’équipe était le seul objectif pour notre chef. Quand les renforts arriveraient, on pourrait de nouveau attaquer. Nous attendîmes ainsi pendant une journée entière à se demander quand les renforts surviendraient. La nuit arriva et celle-ci fut plus claire que la précédente. Nous pûmes donc voir les elfes noirs se déplacer. Il n’y eut aucun mort de notre côté. On leur avait tendu un piège : faire semblant de ne pas les remarquer et, au dernier moment, on les attaquait. Ce fut ainsi toute la nuit et quant l’aube arriva, le ciel fut rouge et nous comprîmes que certains de nos compagnons qui se trouvaient plus loin n’avaient pas eu la même chance que nous. Les renforts arrivèrent et je pus lire la joie dans tous les visages de mes camarades, une joie qui ne sue tarder. En effet, il fallait, selon les ordres des généraux, attaquer le plus vite possible. Des grands aigles avaient repéré une flotte ennemie qui arrivait. Dans l’affolement, certains de mes camarades oublièrent leur couteau. Il fallut donc que je leur rappelle de ne rien omettre. Comme je l’ai dit plus haut, j’ai déjà fait des guerres et donc les situations de crise ne m’affolaient plus. Cependant je n’étais toujours pas habitué à l’assaut. Ce n’est pas parce que j’ai peur de mourir, je le sais bien ainsi que tous les elfes sylvains que la mort n’est pas redoutable mais un instinct plus fort que moi me disais que je ferais des morts et que par ma faute, des familles seraient tristes. Je sais bien que c’est pour cette raison que nous n’avons pas le droit de porter des armes rouiller mais, la douleur des autres me répugne et je ne peux en dire plus, c’est dans ma nature. L’assaut approchait. Dans les tranchées de départ, nous étions plusieurs dizaines. J’ai senti que j’allais avoir peur de l’inconnu, peur de sortir, peur de me battre. Et je n’ai plus songé à rien. Je suis sorti, j’ai frappé, je ne sais plus qui. J’ai traversé les différents obstacles que nous avions placé et qui maintenant se retournaient contre nous. J’ai sauté des cadavres criblés de flèche. J’ai crié puis je me suis pris un cou d’épée dans le ventre. Je ne sais plus ce qui se passe. Je vois du rouge, là bas : l’incendie. Il y a du rouge à mes pieds : du sang. Je tombe et je me réveille dans un lit. Me voici maintenant, dans un lit en Loren par mis des morts ou des mutilés. Je me dis que j’ai de la chance. La magie elfe Sylvaine m’a fait vraiment du bien. Je ne peux toujours pas marcher mais je le sais, quand je serai de nouveau apte, je repartirai au combat. C’est moi qui l’ai choisi ainsi. Je suis libre de changer d’avis mais je n’y tiens pas. Je veux être au service de Loren. Halder était perdu dans ses pensées. Depuis qu’il n’avait sut assurer la riposte des elfes noirs, il s’en voulait. Il lui arrivait à se demander s’il avait encore sa place dans cette guerre, s’il ne valait pas mieux que le roi le bannisse pour tous les morts qu’il avait fait. Depuis son enfance, il essayait de mettre des tactiques en place et c’était même lui qui avait donné le plan à Oraphïn pour qu’il puisse aller voir ses parents lors de leur mort. Il avait cru qu’il ferait un bon général mais maintenant qu’il avait à diriger une armée gigantesque, il n’avait su établir un bon plan et à cause de lui, la moitié de la population d’Elfiria était morte. Il comprenait pourquoi quand il était petit, il avait vu un général s’en prendre à lui-même. Il avait été naïf jusqu’à ce jour. Il croyait qu’être chef n’était pas difficile au point de vu de la psychologie. Dans ses rêves, il ne perdait jamais et il les avait suivis. C’était la plus grosse erreur qu’il n’avait jamais commise. « Halder, cria un soldat, interrompant ses rêves. Vous allez bien ? - Oui, répondit le général, j’étais juste perdu dans mes rêves et mes réflexions. Que me voulez-vous ? - Nous avons besoin d’ordre. - Je suis en train de réfléchir à une tactique que nous pourrions user. Elle se passera cette nuit. Sinon, j’ai une petite question et je vous demande à être sincère. Est-ce que je suis un bon général, d’après vous ? - En toute sincérité, vous n’êtes pas le meilleur de tous mais vous êtes très bon vu votre âge. Peu de personnes ont réussi à atteindre un grade si élevé. - Oh, c’est juste une vieille connaissance qui m’a permit de monter plus vite en grade. - Je ne crois pas qu’il y ait que cette raison. Vous êtes très compétents. Cela a du aussi jouer pour vous. - Merci, je vois que vous êtes sincère. Est-ce que mes elfes pourront tenir jusqu’à ce soir ? - Je reviens du front et je pense qu’ils domineront l’adversaire encore un certain temps. - Alors ce soir, avant que la flotte ennemie arrive, nous leur ferons perdre des fantassins, assez pour que leur renfort ne comble rien. » Le roi arriva enfin dans la loge où résidait Oraphïn. Quand il pénétra dans la petite salle, une désagréable odeur lui sauta au nez. Il ne s’était jamais fait à l’odeur des chambres de soin. Toutes ses potions qui ornaient le mur dont la plupart étaient énergisantes. C’était des salles qui, le plus souvent n’avaient ni fenêtres ni décoration. Heureusement, celle d’Oraphïn était plutôt grande et un trou ornait la cloison. Oraphïn n’avait pas vu le roi et celui-ci décida d’utiliser ses capacités d’éclaireur pour surprendre son fils adoptif. En temps normal, le seigneur d’Elfiria aurait remarqué toute présence derrière lui mais le chef de Loren était tellement habile et avait une si grande expérience qu’il arrivait à surprendre tout le monde. « Alors, comment se porte mon seigneur ? demanda le roi avec une voix assez forte pour créer l’effet de surprise. - Oh, s’exclama Oraphïn, que faites-vous ici ? Vous étiez là depuis longtemps ? - Dois-je vous rappeler que vous m’avez demandé ? - Pardon, j’avais oublié. - Alors, on demande le roi en personne et quand celui-ci arrive, on ne l’accueille pas correctement ? - Ne vous à t’on jamais dit qu’il ne fallait pas faire peur à un malade ? - Ah, je suis bien content que tu ais récupéré ta force et ta bonne humeur. - Que je suis content de te voir, je commençais à m’ennuyer. - Hirona n’est pas avec toi ? - Je ne vois pas où j’aurai pu la cacher. Bon, pour parler sérieusement, elle est allée se promener. Elle n’aime pas trop l’odeur de cette chambre, et à ce que je vois, toi non plus. Allons discuter dehors. Oraphïn se leva et entraîna le roi vers les jardins de l’hôpital. Cela faisait au moins quelques jours qu’il n’était pas sorti et il n’avait pas vu arriver les elfes sylvains. Le roi pu donc lire un grand étonnement sur le visage du malade. « Que font tous ces blessés ? Interrogea Oraphïn. - Tu ne le sais donc pas ? Vous avez perdu la moitié de l’île. - Comment ? - Lorsque la nuit tomba, les elfes noirs usèrent de tactique. Ils réussirent donc à prendre une bonne partie de ton territoire. - Mais c’est impossible ! Tu as au moins envoyé des renforts ? - Bien sûr mais cela n’a servi presque à rien. - Vivement que je tienne de nouveau une épée et que je puisse aller buter le cul de ses elfes noirs. - Ne t’en fais pas, j’ai ouï dire qu’Halder avait trouvé une tactique pour faire subir de lourdes pertes du côté ennemi et pas plus de une ou deux de notre côté. Il va la mettre en place. - Et Aer’neli, comment va t-il ? - Ne t’en fais pas, je ne l’ai toujours pas vu passer par mis les blessés. Bon, il faut que je te laisse, je suis en train de préparer une armée qui puisse venir t’aider dans ta bataille. Je repasserais te vois avant que tu ne partes au combat. - Merci bien. À plus tard. » Halder était prêt. Il avait enfilé son armure et allait participer à la bataille. Sa stratégie était maintenant au point et il allait enfin montrer qu’il était plus fort que certains généraux. Il monta son cheval et partit au galop. Il avait réquisitionné quelques elfes sylvains qui étaient au front et les avait réunis devant lui. Soudain, il prit la parole : « Vous allez participer à la chute de l’armée elfe noir. Moi et mes généraux avons mis en place une stratégie plus ou moins complexe. Je vous demande donc de bien écouter. J’ai choisi les meilleurs éclaireurs car il faudra s’approcher sans bruit. D’après mes espions, il n’y a aucune tour de garde du côté de la plage. Ce sera donc ici que nous opérerons. « Un groupe d’elfe sylvain traînera des boules de paille que nous avons mis de côté. Nous vous demandons donc une grande discrétion. Pendant ce temps là, une escouade d’archer avancera avec des flèches enflammées. Leur but ne sera pas de toucher l’adversaire mais de paniquer l’ennemi de façon à ce qu’ils se mettent en groupe. Ainsi, le sable “brûlera” et nous lâcherons les boules de foins qui prendront feu et nous les dirigerons vers les troupes ennemies qui seront groupés. Ainsi, ce sera la panique générale chez les elfes noirs. Il nous suffira simplement de quelques elfes avec des épées pour massacrer tout le monde. Avec de la chance, certains resteront en groupe et brûleront. « Cette opération sera essentielle à la survie de l’île. Beaucoup d’elfes noirs périront et les renforts qui sont en train d’arriver ne serviront à rien. Vous allez me dire : ne pouvons nous pas attendre demain ? Non. Si nous attendons, les ennemis en profiteront pour attaquer dès que les renforts seront arrivés et je ne pense pas qu’Elfiria tiendra. Avez-vous des questions ? - Oui, moi, intervînt un archer. - Je vous écoute. Qu’avez vous qui vous tracasse ? Questionna Halder. - Comment ferons-nous pour allumer nos flèches ? - C’est une très bonne question. Je n’ai pas pensé à le préciser mais Aer’neli, notre nouveau mage sera à vos côtés. Ainsi, quand j’en donnerai l’ordre, il allumera vos flèches. Avez-vous d’autres questions ? » Personne ne répondit. Halder avait été clair. Il ne manquait plus que passer à l’action. Il partit donc à la tête de l’armée, juste derrière les espions qui vérifiaient s’il n’y avait personne. Personne n’entendit de bruit quand l’escouade se déplaça. Halder dût se retourner pour voir tout le monde le suivait bien. Aer’neli n’était pas loin du général et décida donc d’aller lui parler : « Depuis combien de temps êtes-vous au service d’Elfiria ? J’ai cru voir que vous êtes arrivé il n’y a pas si longtemps. - En effet. - Avez-vous dirigé d’autres armées au combat ? - Est-ce donc si apparent ? - De quoi parlez-vous ? - De ma non maîtrise au point de vue stratégique. - Non. Ce n’est pas du tout pour cette raison. Je trouve simplement que si c’est votre premier combat, vous êtes impressionnant. Je ne pense pas avoir vu des nouvelles recrues aussi fortes. - Je ne suis pas si fort que ce que vous croyez. J’ai causé la mort de nombreuses personnes. - Je ne connais aucun général qui n’ai eu aucun mort sur la conscience. C’est une chose qu’il faut se mettre dans la tête. - C’est vrai. - Je comprends que ce ne soit pas si facile pour le début mais je pense que vous vous y habituerez. - Nous y arrivons. Vous savez ce qu’il vous reste à faire. Bonne chance et merci de m’avoir remonté le moral. - Il n’y a pas de quoi. Je conçois tout à fait que c’est une étape difficile qu’il faut arriver à passer. » Oraphïn avait eu vent de la tactique qu’Halder allait effectuer. Il était ravi de savoir que, enfin, les elfes noirs allaient bientôt partir. Il avait bien fait de le nommer général, il faisait bien son devoir et personne ne s’en était plaint. S’il pouvait le monter plus haut en grade, il le ferait sûrement mais diriger toute l’armée d’Elfiria était déjà un privilège et il n’avait aucun pouvoir pour le monter en niveau. Un guérisseur arriva et posa un flacon remplit d’un liquide verdâtre. Une fine odeur de poisson mort sortait par le bouchon en bois qui servait à boucher la fiole. À la vue de ce bocal, Oraphïn fit une grimace. Cela faisait quelques jours que les médecins lui faisaient ingurgiter cette potion affreuse. Normalement, il n’était pas difficile en tout ce qui concernait la nourriture et la boisson mais maintenant il savait qu’il y avait quand même des substances qu’il répugnait. Le guérisseur prit la parole : « Buvez cette potion. Il ne vous en reste que très peu. Bientôt vous serez rétablit et vous pourrez de nouveau aller sur les champs de bataille. » Oraphïn avala donc ce mélange et sentit de suite l’énergisant qui atteignait ses muscles. S’il aurait pu, il en aurait bu dix par jour pour qu’il puisse aller de nouveau sur le champs de bataille. Pour l’instant, tout se déroulait comme prévu. Les éclaireurs avaient éliminé tous ceux qui montaient la garde et ainsi les archers avaient pu se disposer, prêts à tirer. Les boules de foin arrivaient sans faire de bruit pour ne pas éveiller un soupçon par mis les elfes noirs. Dès que tout le monde fut en place, Oraphïn fit un signe à Aer’neli qui, avec le biais de la magie alluma les bouts des flèches. L’alerte fut sonnée bien avant que la moindre flèche soit tirée et les ennemis se regroupèrent en rang devant les nouveaux assaillants. Ce fut à ce moment qu’Halder décida de donner l’ordre à ses archers de tirer. Comme un réflexe, les elfes noirs brandirent leur bouclier pour se protéger. Personne ne comprit pourquoi aucune flèche ne les atteignait. Tout se déroulait comme prévu. Les boules de foins furent lancées et ce fut la panique dans les rangs ennemis. Certains ne voulurent pas disperser les rangs et mirent leur bouclier en espérant ne pas se faire toucher par les grosses boules de feu qui dévalaient la pente. D’autres allèrent sur le côté ne remarquant à peine qu’il y avait là aussi des flammes. Certains se mirent devant les “machines à tuer”en espérant les arrêter mais ce fut peine perdue. Les boules les écrasèrent et continuèrent leur route sans même ralentir. Peu de personnes survécurent à cet assaut. Les gardes sylvains terminèrent le travail, décapitant les elfes qui couraient, perdus, paniqués. Halder descendit en courant la pente et se dirigea droit vers les généraux adverses pour les achever. En à peine dix minutes, deux cents elfes noirs furent tués et on ne déplora qu’un blessé léger par mis les troupes sylvestres. A+
  5. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Ne t'en fait pas, la suite va arriver mais j'en suis déjà à cinq pages de word et bientôt à six. Je ne sais pas si je mets tout d'un coup ou si je mets et une petite pause, avous de voir
  6. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Ok, il y sera. moi, je le trouve pas mal si c'est pour répondre à ta question. comme ça, je peuxmettre des descriptions de bataille.
  7. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Bon, j'ai pas abandonné. Je vais vous faire la fin et correctement. C'est promis. Merci quand même Feurnard. Tu m'as bien encouragé. J'ai trouvé un peu de temps et je voudrais vous demander : je vais mettre un passage de journal d'un soldat qui a survécu pour décrire la bataille pendant laquelle les elfes sylvains ont perdus la moitié du territoire. Vous en pensez quoi ?
  8. ouais mais ne soit pas très pressé, elle se fera aux alentours de janvier février mais rien ne m'empêche de penser stratégie. Au fait, merci bien, ça a trop fait raler mon copain qui joue les He Poste ton combat, 4000 pts avec des elfes sylvains me parait interressant. c'est quand que tu mets les dessins pour les plans ?
  9. Ouais !!!!!! je ferai joindre ce sujet à un copain. Justement, il jou les HE et moi les Es Il dit que les HE sont les plus forts. En fait je crois qu'unne bataille va bientôt surgire entre nous aussi, de quoi lui mettre une bonne raclée. Ne vous en faites pas, dès que les deux armées seront prêtent, je posterait et je l'esspère, encore une fois les Es seront les vainceurs
  10. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    J'aurai aimé savoir si vous avez bien aimé l'histoire en elle même, l'idée ... A+
  11. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Ben, pour la suite, je sais pas trop. J'avais fini par oublier Oraphïn, mais vu que je vois que vous voulez la suite, je la tapperai. Je pensais que c'était la bonne solution de détruire le monde. Il s'était passé tellement d'horreurs que bon ... Imperator, je suis d'accord avec toi, les citoyens ne sont pas très forts au corps à corps mais le reste, les sortes d'orques ne sont pas si nuls que ça. Deplus, si t'as pas remarqué, ils ne ganent que très peu de terrain. je ne suis pas d'accord avec toi. Dans certains de mes chapitres, il ne se passe presque rien ... surtout les derniers alors je ne vois pas quoi mettre en plus. Demande moi de choses mais je ne sais pas que te dire. Je pense qu'il serai mieux en effet de mettre les deux dernier chapitres en prologue. Je peux vous expliquer PK je détruit mon monde. Je suis un fan du seigneur des anneaux, mais un vrai et je n'ai pas du tout aimé la tournure que ça a pris. Certains se sont amusés à inventer des histoires, pour eux bien sûr sur la Terre du Milieu hors qu'ils n'ont pas le niveau de Tolkien. Ceci ne veut pas dire que moi je l'ai et je suis conscient que mon niveau n'est pas très haut mais on pourrait inventer des trucs faux et je déteste ça. A+
  12. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Pour ce qui n'ont pas lus ce post, avant, il y avait la fin en résumé mais vu que j'ai pas abandonné, je viens de l'enlever Voilà, A+
  13. Oraphïn

    Esclave

    Que dire de ton texte a part qu'il est vraiment trop bien, que les quelques fautes qu'il y a on ne les voies pas tellemnt que les texte est noirn glauque et que quand on y rentre, on ne peux plus en ressortir mais on arrive juste à se décrocher pour dire encoreeeeeeeeeeeeeeee !!!! Allez je veux une suite. Par hasard, tu ne serai pas écrivain toi ? Je veux dire écrivain de grand romans. Pour les fautes, continus, ça fait plaisir à Imperator
  14. Oraphïn

    Esclave

    Je sais que je suis un peu exigeant mais ça fait depuis avril que t'y bosse et y a toujours rien. Je commence à m'impatienter. Je sais bien que c'est pas évident, mais si t'arrète, ne me laisse pas d'espoir. A+ (enfin j'espère)
  15. Oraphïn

    Oraphïn l'intrépide

    Salut Lexoram, je pense bel et bien à la suite mais ce matin j'avais du temps libre et j'ai voulu taper mais ... Disqutte marche plus. Toute mes données d'Oraphïn ont disparu. Le chapitre 9 arrivera donc en retard. Je vais quand même assayer sur un autre PC pour voir si elle marche. P*t**n d'informatique .... A+
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