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Warhammer Forum

Ludwig Muller

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Tout ce qui a été posté par Ludwig Muller

  1. Ludwig Muller

    Zaragoz

    Zaragos/sarragosse, vive l'imagination GW!!!
  2. Oula ca devient très très sérieux B) heu, moi, le probleme c'est que je ne suis pas crésus, et que pour s'acheter une armée arabienne.... On ne peut pas réutiliser des photos peintes d'INternet??? Sinon, ben ouais, faut essayer de voir si qqun est motivé (si on me donne des crédits et du temps, je veux bien )
  3. Y'a il une place dans ce livre pour ma nouvelle aussi ridicule? Non je pense qu'a la fin c'est po mal
  4. Heu moi aussi ca me choque un peu l'histoire du coup de dague qui butte le génie En même temps, éthéré c'est archiu bourrin comme règle On peut pas traduire ca par un malus pour toucher (ou blesser je ne sais pas )
  5. Ben on peut garder les Pygmées. Il y en a en Lustrie, mais rien ne dit qu'il n'y en a pas dans les Terres du Sud... Pour les Zouhoulous c'est plus problématique déjà. Faut voir... Mais tout notre background est remis en cause là, non?
  6. Je traduits, Volk, je traduits (boulot fastidieux mais interessant ) Je pense que vous aurez ca pour ce week end
  7. heu, une remarque, une seule On ne dissipe pas le Souffle à 8 mais à 6, voire à 5. Sinon, c'est trop bourrin.
  8. Oki pas de pbm (surtout que Cele commencait à tambouriner à ma porte ). De plus, j'ai file un peu de background à bela pour ses parties de WHJDRF uniquement
  9. Bienvenue à toi duregar Ne t'en fais pas pour la BS, même si le groupe est créé, le projet ne commencera vraiment qu'a la fin du livre arabiens Donc, on peut dire pas avant 2003! Mais commencez à ecrire
  10. Je suis totalement d'accord avec toi Albi,vos impressions sur mon texte??? :tongue:
  11. Ben c'est pas mal, mais ca fait court :rolleyes:Voila ce que j'ai moi même commencé :Partie 3 Sigmar à la tête de l’Empire. Introduction. Avant toute chose, je tiens à remercier le Grand Théogone Johann Helstrumm de l’honneur qu’il me fait de me faire participer à cette oeuvre majeure qu’est la rédaction de la vie de notre père commun : Sigmar Heldenhammer, dont la clairvoyance et la bravoure n’ont jamais eu et n’auront jamais d’égal. Cet ouvrage doit, je pense, nous servir d’exemple à tous lorsque nous nous sentons égarés, c’est la lumière dans l’obscurité de nos misérables existences, la perfection que nous devons à notre tour essayer d’atteindre. Vous aurez compris l’importance que revêt ce modeste écrit, et pouvoir y apporter mon humble contribution me comble de joie et de fierté. Je vais tout d’abord me présenter et vous conter brièvement ma vie avant ma rencontre avec Sigmar. Je me nomme Klauvis, et je suis âgé de 95 ans à l’heure ou je rédige fébrilement ces mots. Ma vie va s’achever dans peu de temps, et j’ose espérer que serais jugé assez pour rejoindre mon maître et ami au Paradis où il nous attend tous. Je suis né dans la tribu des Ostritens en -22, fils de Reinhald, le chef tribal le plus respecté qu’elle n’ai connu depuis de nombreuses années, et d’Ülbeika, ma mère qui disait on, était la femme la plus belle de toute la région. J’ai peu de souvenirs précis de ma plus jeune enfance, les premiers souvenirs cohérents que j’ai remontent à l’age de six ans. J’ai recu une éducation digne du fils d’un chef, et on m’a enseigné durant toutes ces années qui mênent à l’age adulte le maniement d’armes aussi différentes que la hache de lancer, le javelot, ou la masse. J’ai aussi appris à chasser le gibier, a la facon de dresser une palissade et encore une multitude d’autres choses qui servent à un futur chef. Mais ce qui me passionnait le plus, c’était tout ce qui avait attrait à toute forme de communication avec les autres tribus, que ce soit par le commerce, la diplomatie... Je supportais, en effet, très mal de vivre enfermé dans le carcan de notre petit village de Weinheim, situé sur les flancs des Montagnes Noires, et chaque visite d’un étranger m’était agréable, et j’assaillais le nouvel arrivant d’un flot de questions. Toutefois nous n’en recevions que rarement, et j’ai moi même quasiment jamais quitté le village durant cette période de ma vie, les nombreux orques et gobelins qui, à l’époque, infestaient la région, nous obligeant à défendre continuellement nos terres. La guerre contre ces hordes vertes n’avait que des pauses sporadiques, et nous vivions dans la peur et craignions constamment une nouvelle attaque. Ainsi s’écoulaient tristement les vingt premières années de ma vie.Premier contact.C’est alors que j’étais âgé de vingt ans que nous reçûmes une visite qui allait à jamais bouleverser l’histoire de notre tribu. Un cavalier arriva un matin d’automne, l’air éreinté, comme s’il avait parcouru une très longue distance. Tout le village se massa rapidement autour de lui : cela faisait plus d’un an que nous avions recu quelqu’un, mais lorsque mon père à son tour sortit de notre hutte, un sillage assez large se dessina dans la foule pour permettre son passage. Face à toute cette agitation, l’étranger avait l’air désemparé, et regardait tout le monde d’un oeil hagard. D’ailleurs, lorsque mon père lui demanda ce qu’il voulait, il s’empressa de répondre : « Un lit ». Quelques minutes plus tard, il dormait sur la couche de mes parents, qui, par vertu d’hospitalité, lui avaient cédé ce jour là. Il se réveilla une demi-douzaine d’heures plus tard, et fût apparemment très heureux de trouver au pied de son lit un repas auquel tout les habitants du village avaient contribué , puisqu’il n’en laissa pas même une miette. Reposé et rassasié, il entra dans la pièce voisine, qui n’était autre que la salle du trône, sous les nombreux regards des villageois qui s’étaient massés au fenêtres. Il s’avança vers mon père qui était assis sur la haute chaise de bois ouvragé. Un long silence eut lieu avant que l’étranger ne prenne la parole, ce qui capta l’attention des plus dissipés dans l’assistance. Il prit une forte inspiration et annonça :- Vous devez être Reinhald si je ne m’abuse?- Oui, c’est effectivement moi, que puis-je pour toi, mon hôte?- Je ne suis qu’un messager, ne me donnez pas tant d’importance...et veillez excuser mon attitude à mon arrivée, mais j’ai voyagé trois jours durant pour venir vous délivrer le message qui va suivre. J’ai été envoyé par Sigmar Heldenhammer, qui est le chef de notre tribu : les Unberogens.- Oui, j’ai ouï dire qu’il était jeune et vaillant, mais je ne comprends pas bien ce qu’il peut me vouloir, vous êtes une tribu qui nous est très éloignée...- Certes, mais le voyage, aussi long que périlleux, est d’une extrême importance. Notre chef a envoyé onze autres messagers comme moi auprès des chefs des autres tribus qui vivent entre les Montagnes Grises à l’ouest, et les Montagnes du Bord du Monde à l’est. Nous avons été envoyés car une menace sans précédent pèse sur nous tous. Une armée orque comme nous ne l’avons jamais vue se masse actuellement au sud, et si nous ne nous unissons pas pour les repousser, notre sort à tous est scellé. la demande que je vais formuler est assez délicate, et nous en sommes conscients, mais il faudrait nous apporter un soutient militaire conséquent, c’est pourquoi nous vous demandons d’envoyer le maximum de troupes que vous pouvez, tout en assurant un minimum pour pouvoir garder vos terres. - Effectivement, c’est très délicat... Mon père s’arrêta soudainement de parler, puis il réfléchit, complètement absorbé par ses pensées.- Je comprend votre désarroi, reprit le messager, mais ce projet militaire repose sur une confiance mutuelle entre nous, les différentes tribus humaines, confiance que nous n’avons jamais eu. Nous avons un ennemi commun, et qui est bien plus puissant, mais unis, nous pouvons le vaincre! - Qui a déjà accepté?- Je ne peux encore le savoir, nous sommes tous partis en même temps de Reikdorf, notre capitale. Vous êtes une des tribus qui nous est les plus lointaines, mais la détresse de la situation nous a obligé de braver les nombreuses lieues qui nous séparent, pour quémander votre aide. C’est le peuple naugrimm nous a informé de la menace, et nous pouvons d’ores et déjà vous dire que nous avons leur soutient militaire. - Vous m’avez l’air sincère, et, si nous pouvons nous débarrasser pour un bon moment de la vermine verte, j’accepte. Que les volontaires lèvent le bras! D’un même élan, tout les bras dans la salle se dressèrent. Moi même, bien que n’aillant peu d’accoutumances pour tout ce qui est martial, je levait ma main, convaincu qu’un alliance pourrait nous priver pendant longtemps d’agressions des gobelinoides. Face à un tel engouement, mon père esquissa un large sourire, et prit la parole:- Je suis ravi que vous vous mobilsiez avec autant de poids, et cela fait honneur a notre tribu, mais ce que j’ai a dire risque d’en décevoir certains. Je ne peux malheureusement pas vous laisser tous partir, et quelques uns parmi vous devront rester au village, que je ne peux moi-même quitter. Ainsi, c’est mon fils Gunther qui conduira notre ost. Mon frère avait l’air enchanté de ce qu’il venait d’entendre, et de nombreuses clameurs qui lui étaient favorables s’élevèrent. Mon père se tourna vers moi, ayant l’air de craindre une déception de ma part. Je le rassurais à mon sujet en lui souriant franchement et en allant immédiatement féliciter mon frère. A dire vrai, de ses deux fils, Gunther était vraiment le plus à même de diriger une expédition militaire, et je n’éprouvai donc aucune rancoeur. Néanmoins, mon père poursuivit, après que les cris de joie et de félicitations se soient interrompus:- Quant à toi, Klauvis, tu iras auprès de Sigmar en tant qu’émissaire au nom de notre tribu. Des bras m’entourèrent immédiatement, et, porté par de nombreux cris de satisfaction, j’étais le plus heureux des hommes. Moi qui désirais tant voyager... Mon père fit l’inspection des troupes durant toute l’après midi, et choisit qui devait rester. Le forgeron, Lothar, s’était lui aussi affairé, car il venait de recevoir spontanément commande de nombreuses armes, et ses coups de marteau frénétiques résonnait dans le village. En fin d’après midi, mon père avait désigné une trentaine d’hommes pour garder le village, et, donc, tout le reste devait partir rejoindre la coalition nouvelle. Une dizaine d’hommes, dont beaucoup de mes amis qui s’étaient proposés pour m’accompagner, partiraient avec moi.Voyage vers Reikdorf. Le lendemain matin, très tôt, nous partîmes tous en direction de Reikdorf, guidés par l’envoyé de Sigmar. En effet, c’est là que devaient se rejoindre toutes les troupes de chaque tribu, avant de partir pour le Col du Feu Noir, ce qui nous semblait étrange, puisque le Col était bien plus proche de notre village que de Reikdorf, ce qui agacait passablement notre armée. Quant à moi, j’allais à Reikdorf car je me devais de rester auprès de Sigmar en tant qu’ambassadeur. Nous marchâmes à une allure relativement soutenue à travers les immenses forêts aux couleurs flamboyantes à cette saison. L’emissaire m’avait expliqué que nous étions la tribu la plus méridionale, et c’est pour cette raison qu nous allions toujours vers le nord. Nous nous arrêtions une heure pour manger en milieu de journée, et à la tombée de la nuit nous installions notre campement. Nous repartions le lendemain, dès l’aube, et ce, chaque jour. Le cinquiême jour, nous arrivâmes à l’endroit où le Sol, que nous avions longé depuis quelque jours, rejoigne le Reik supérieur pour former le Reik. Le messager de Sigmar m’expliqua que Reikdorf se situait au bord de ce fleuve, et qu’il nous suiffirait de le suivre quelques jours encore avant d’arriver. Le septième jour, alors que nous venions d’installer le campement, nous avons été attaqué par une bande d’orques en maraude. A mon avis, ces monstres avaient mal du juger notre nombre, surtout que la plupart des notres étaient dans les tentes. La bataille fut aussi courte qu’intense, mais, malgrès la fatigue accumulée tout au long du voyage, nous nous batîmes vaillament, et moins de dix minutes après le début du combat, les corps d’orques gisaient ca et là dans l’herbe. Nous ne perdimes aucun homme dans cette confrontation, et cette victoire facile renforcea le moral et la détermination des troupes. Je crois que c'est un peu plus long... Credos, mets des fioritures!!! :happy:
  12. Salut à tous,ben voila, notre groupe est crée, a vous d'en faire bon usage. Très bientot, ce que j'ai commencé a ecrire sera ici...
  13. Ludwig Muller

    Blood Bowl

    Salut bela ,Blood Bowl est un très bon jeu. les règles sont pas compliquées, mais très funs!!! Pas seulement pour les amateurs de foot américain d'ailleurs, pas besoin d'etre féru de quaterbacks :tongue: .Pas contre le background, y'a une parti à oublier, le délire sur les caméras magiques notamment!!!Mais sinon, très bon, avec tout plein de projets de décors en plus : bancs de remplacants avec entraineurs, panneaux pubs déjantés, et pourqoui pas tribunes (mais alors là bonne chance!!!)Voila, tout ce que j'ai a dire
  14. Salut à tous,selon Portent.net (très bon site), Gw serait en train de sculpter des figurines pour Necromunda, dont des membres de l'arbites (les especes de CRS impériaux). Cela annonce il la refonte de Necro, ou bien, trois ans après sa disparition de nos rayons, Gw recommencerait des sorties pour un jeu défunt....La polémique est lancée...
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