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WAR-AXE

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Tout ce qui a été posté par WAR-AXE

  1. bon, OK, j'en prend note, mais le truc c'est que je n'avais pas mon armée entièrement peinte, alors ça aurait fait tache...
  2. Une fois de plus, je suis Imperator dans son diée sur les humains... Je pense qu'un squig, c'es trop banal, je serais plutôt pour quelque chose du style d'une paire de ptit zoms, ou alors des elfes/eldars... Voilà, pour le reste, je pense que ça ce passe surtout dans le post qui y est consacré
  3. WAR-AXE

    Bienvenu!

    Bon, moi, j'suis le nouveau de service, mais ça m'a l'air vachement sympa cette idée de mascote... Bref, je suis un piètre dessinateur (bah oui, j'm'occupe des rdB, moi...), mais par contre, des idées, j'en ai à fond et je suis motivé, donc à ce niveau là, pas de problème... J'espère que ce coup-ci, ça ira mieux que la dernière fois...
  4. Moi je serais aussi pour le duo futuriste/médiévaliste, mais plutôt un homme et une femme, pour pas faire les machos... Toujours une confrontation Futur/M-A, mais plutôt un dragon et un gros truc du futur, genre prince Tyranide, afin de bien faire voir que c'est du fantastique Un truc sympa pourrait être aussi de faire des "créatures" de nos jeux fétiches qui jouent avec nous comme "armées"... Je sais pas si vous m'avez bien compris mais j'adore le concept
  5. Très sympa pour le jeu, cette armée Franchement, ça donne pas aml, mais quelques ptites remarques quand même ou alors ce ne serais pas drôle^^ - Je trouve quand même ta peinture un chouillat pâteause, essaye de diluer un peu plus - Je pense que tu ferais mieux de faire des points plus petits, ou alors plus d'éclaircissements sur tes gemmes, et perso, j'en verrais aussi plus sur tes figs en général, mais ça c'est perso (et oui, je suis partisant de l'heure passée sur une armure/un drappé histoirequ'il soit superbe ...) Mais à part ça, c'est vraiment super, surtout ton essai à la GS... Hâte de voir le reste
  6. Pour les cartes, elles sont d'abord faîtes pas Excel (très simple, à part pour les premiers tours où c'est un peu long :'( ), puis par copier/coller, transportées sur paint où elles sont mises dans un format image, histoire de pouvoir les mettre directement sur les forums et pas par lien :'( Attention cependant, car le tout m'a nécessité une vingtaine d'heures de travail sans compter les erreurs (sauvegarde d'un tour au mauvais endroit, oubli de sauvegarde, etc...), la recherche d'inspiration pour l'histoire, etc... Mais je le conseille tout de même, car ça permet de faire évoluer le background des persos et même des régiments, etc...§et comme le BG est mapartie préfèrée du hobby :'( )
  7. Oui, c'est vrai qu'on (je? ) a fait beaucoup de bêtises... Une autre par exemple: les cavaliers sauvages de Kurnous sont de la cavalerie légère... Ca aurait changé pas mal quand même
  8. Merci beaucoup, Pierre, ça fait plaisir (au fait je ne t'ai pas demdané, mais je suppose que tu ne m'en veux pas d'avoir mis ta photo sur les forums?? )
  9. Epilogue: « Les humains n’ont donc aucun sens de l’honneur, ils fuient tels des lapereaux de cinq jours, continuellement à l’affût de la moindre chose qui pourrait justifier une fuite précipitée, même lorsqu’ils sont sur le point de remporter une victoire aisément procurée… Quelque part, ils sont pires que les orcs, qui au moins se battent lorsqu’ils se sentent condamnés, et ne cherchent pas constamment un échappatoire ». Mais il fallait faire vite, aussi Maenotaïs rejoint-il son domaine, afin d’y attendre la fin des hostilités, comptant sur ce qui restait de sa garde personnelle pour ralentir suffisamment ceux qui s’appelaient les maîtres des chevaux. Il lui faudrait rendre compte de cela auprès de son père, et il songea soudain à une chose à laquelle il n’avait pas pensée jusqu’alors et qui le rendit honteux de ce qu’il avait fait faire à ses hommes, à ses frères, à d’autres elfes de son peuple… Sortant de la forêt, il s’avança, provoquant d’un geste de la main le général adverse, puis se mit en position, ses deux épées courtes sorties, fixant, d’un œil, son adversaire qui s’approchait, sûr de lui, tandis que de l’autre, il voyait les corbeaux s’amonceler déjà sur les cadavres, et en son fort intérieur, il pleura… ******** La victoire est à nous !! Cria de toute son immense voix Mandor, tandis qu’il faisait le tour des hommes qui lui restaient afin de les remercier. « Il faut faire une messe aux morts, duc Hallen » dit soudain Gwenaël. Très bien, dit Mandor, nous en ferons une pour les nôtres, mais pas pour ces stupides elfes, qu’on les brûle après avoir rendu hommage aux nôtres ! Ordonna-t-il, une lueur folle dans les yeux. Soudain, alors qu’allait être prononcée la messe, un elfe vêtu de vert entra dans la clairière. Elancé, ayant une démarche souple dans laquelle chaque geste semblait se couler dans le suivant, il s’approcha, puis défia le duc, qui riait à gorge déployée, et se mit en position. Mandor était furieux qu’un elfe puisse le défier ainsi, mais quelque part, cela lui permettrait d’assouvir encore un peu plus la vengeance qu’il méditait depuis si longtemps… Saisissant l’épée qui était dans sa famille depuis des générations dans une main, son bouclier tout aussi saint dans l’autre, il accéléra, afin de se donner plus de poids lorsqu’il arriverait au contact de l’elfe… Presque instinctivement, le reste des chevaliers ainsi que tout les gueux qui l’accompagnaient avancèrent, formant un cercle autour des deux adversaires qui s’approchaient toujours plus. « Quelles sont les règles ? » demanda Maenotaïs dans la langue de l’humain. « Aucune, tout les coups sont permis, celui qui est encore debout à la fin du duel l’emporte, pourriture ! dit Mandor, son cri gagnant en puissance, portant à la fin un premier coup d’épée à l’elfe qui l’évita, et ils commencèrent le combat ainsi… Mandor était acharné, car il cherchait la vengeance, n’ayant que faire des égratignures qu Maenotaïs pouvait lui infliger, attaquant sans relâche, employant aussi bien la lame que la garde de son épée, voir même son bouclier, ses attaques bourrues d’une force brute considérables déstabilisant Maenotaïs qui ne savait plus que faire. Il cherchait une faille dans la garde de son adversaire, cet humain qui sentait l’écurie et était fou, l’elfe l’avait bien vu depuis le début du combat. « On dirait qu’il ne cherche même pas à survivre, pensa l’elfe, qu’il n’a cure de périr tant qu’il m’emporte avec lui. Si cela continue ainsi, je devrai le tuer, avant qu’il ne ce tue lui-même tant sa fureur est grande. » Alors, Maenotaïs esquiva un revers de l’épée du duc, mais elle lui brisa le poignet, car il avait serré trop fort son épée courte… « C’est la fin, réalisa-t-il soudain, j’ai failli à ma tâche ! » Il voulut porter un coup fatal dans la garde fendue de son adversaire, mais un coup de bouclier dévia la lame, qui alla se planter dans le sol. Ensuite, tout sembla se dérouler au ralenti… Il vit son adversaire planter sa lame dans son corps, senti le contact chaud du sang qui coulait le long de son corps, puis lui venir au visage, partout, dans les oreilles, les yeux et la bouche. Et alors qu’il mourait, il vit son adversaire, triomphant, brandir son épée à nouveau, puis, l’agrippant à deux mains, la diriger vers son cou, puis les ténèbres l’engloutirent… POINTS de VICOIRES: 2000 pour le joueur brettonien et 334 pour le joueur elfes sylvain :pale: ...un bon gros massacre quoi... Mais cela n'empêche pas les deux adversaires (le bretto devant et moi (l'elfe sylvain) derrière) de se serrer la main ^^ Et voilà qui cloturent ce rapport de bataille qui a pris son temps, mais qui, je l'espère, pourra vous contenter en attendant le prochain ^^ Pour ce qui est des commentaires, faîtes m'en tant que vous voulez sur tout (clarté du rapport, style d'écritures, stratégie, ...), c'est fait pour ça, franchement, ne vous gênez pas, du moment que c'est constructif, c'est du tout bon pour moi
  10. 5ème tour Brettonien : Le coup de grâce des Fils de la Dame ! Ca y’est, pensa Mandor tout en chargeant les esprits forestiers qui se trouvaient devant lui, la victoire est à moi ! Poussant leurs cris de guerre paillards, les hommes d’armes équipés d’armes d’hast suivirent leur seigneur, tandis que les serviteurs du Roy et les éclaireurs se chargeaient des archers. Enfin, cette menace serait écrasée ! Pendant qu’un tonnerre où se mêlaient prières à la Dame, cris de guerre, claquements des sabots ferrés sur le sol de la prairie et dispute pour savoir qui est-ce qui aurait la belle Cunégonde entre Firmin et Edgar, un calme olympien les accueillit, car les elfes étaient silencieux, sachant le sacrifice qu’attendait leur maître de leur part et pourtant ne songeant même pas à refuser cette décision qu’ils n’avaient même pas prise… Il fallait tenir, permettre à Maenotaïs de s’échapper afin de rejoindre sa famille noble et pouvoir, plus tard, les venger. Les archers tirèrent tous leurs épées en même temps, se mettant dans une position d’escrime parfaite, attendant la charge inéluctable, tandis que les esprits ne poussaient plus ni grognements, ni cris destinés à décourager leurs adversaires, car ils s’apprêtaient à quitter ces enveloppes charnelles qui les avaient si bien servies durant cette bataille, ils prirent juste le temps de décapiter deux hommes d’armes avant de se désincarner, devenant translucides au moment où l’épée du duc les touchait, ce qui lui tira un cri de rage, car il n’avait pu se défouler. Pendant ce temps-là, les archers étaient massacrés. Recevant le choc de plein fouet, cinq d’entre eux furent soulevés de terre dans un premier temps, le temps leur paraissant ralentir, jusqu’à ce que les ténèbres les engloutissent, pendant que d’autres étaient tués d’un coup de sabot dans le crâne, renversés puis piétinés par les sabots ferrés des chevaliers en face d’eux, seul deux d’entre eux résistant au choc, mais ils furent tellement abêtit par le massacre si violant de leurs frères que, le visage ruisselant d’un sang qui n’était pas le leur, ils se mirent dos à dos, tournèrent en murmurant une prière au dieu de la mort afin qu’il accueille leurs frères, puis furent eux aussi emportés par la marée qui tournait, inlassable tourmente, autour d’eux. Mais ils avaient tenus, ils avaient remplis pleinement leur rôle, et leur seul regret avant de mourir fut de voir les derniers cavaliers de kurnous s’écrouler, leur corps couvert de flèches, l’aura qui les entourait habituellement ayant disparus, et des larmes de sang leurs coulèrent en voyant cela, avant que les ténèbres ne les engloutissent définitivement…
  11. 5ème tour Elfe Sylvain : le dernier combat avant l’oubli. A présent, Maenotaïs ne se faisait plus d’illusion : sa sœur était morte, la plupart de ses troupes étaient en déroute alors que les humains prenaient position dans la plaine sacrée, gagnant du terrain continuellement. Bref, il n’avait plus une seule chance, il ne lui restait que l’honneur. Les lémures, qui continueraient à se battre jusqu’à ce que leur enveloppe corporelle soit détruite, continueraient à se battre jusqu’à la mort, et les kurnous donnaient à présent la chasse à ce qui restait de l’élite adverse, écrasant le Saint Vivant restant avant de poursuivre sur la grande bannière, qui s’enfuit à son tour… Voyant cela, le noble elfe se réfugia dans un bosquet proche, car la vie d’un noble valait plus que celle d’une poignée d’humains passés au fil de l’épée ou au jugement de l’arc… Il fût tout de même satisfait de voir que les plus destructeurs des humains, ceux qui ne portaient pas encore d’animaux frappés sur leurs armoiries, fuyaient sous les flèches de ses semblables après que l’un deux se fut effondrer, une flèche dans l’œil, une autre dans la poitrine, et une troisième fichée dans le pectoral de son cheval. La charge des Hommes-Du-Dehors est proche, se dit-il, et il faut absolument que ma garde personnelle les retienne !
  12. 4ème tour brettonien : toujours plus fort, toujours plus loin… Mandor Allen exultait, car la victoire et sa vengeance par la même occasion étaient à portée de main. Il lui suffisait de porter le coup de grâce, et il ordonna aux gueux qui avaient l’immense honneur de l’accompagner de se mettre en place pour intercepter les lycanthropes, qui sortiraient bientôt du bois et qu’il faudrait stopper, pour que la victoire soit totale sur ce côté du champ de bataille, ne restant alors plus que cette ennuyeuse unité d’archers qui le harcelaient lui et ses hommes depuis le début de cette bataille entreprise au nom de sa dame. Hettar, ce traître, contrairement à celui qui se prétendait un saint mais n’était qu’un chien, fuit encore, et Mandor voulut pour cela qu’il crève, sa soif de vengeance ne souffrant aucun délai, surtout pas l’incompétence, et ce même si elle provenait d’un proche ! Les serviteurs du Roy, après avoir châtié les elfes comme ils se devaient, revinrent vers le gros des combats, pendant que les chevaliers errants et les sergents montés se mettaient en place pour charger les archers et en finir, ce qui aux yeux de Mandor était une excellente chose ! Partout, les archers se plaçaient pour avoir les meilleures lignes de vue possible, pendant que les tirailleurs descendaient de son cheval l’un des cavaliers de Kurnous, pendant que Gwenaël tentait à nouveau d’invoquer les épines et les ronces, toujours sans succès. De toute évidence, la forêt se refusait à retourner ses artifices contre ses propres serviteurs.
  13. 4ème tour Elfe Sylvain : luter encore et toujours ! Au moment le plus critique de la bataille, alors que les elfes qui commençaient à être submerger par la glorieuse charge de leurs adversaires, Lemnouï, l’Aigle, s’enfuit hors de la bataille, considérant sans doute que cette lutte ne le concernait plus… Ne perdant pourtant pas courage, Maenotaïs montra l’exemple, chargeant les chevaliers du Graal afin de libérer l’unité de cavaliers de kurnous de leurs terribles adversaires. Pendant ce temps, prenant exemple sur leur meneur, Oriour mena une charge qu’elle voulait héroïque contre les chevaliers errants, conscient en le fait qu’être chargé valait moins bien que de charger face à leurs lourdes lances. La Colère des bois, personnifiée en les lémures, alla se réfugier au sein du bois le plus proche, craignant la charge des hommes d’armes qui approchaient et choisissant ainsi le terrain qui lui était le plus approprié. Les archers, véritables héros après leur exploit face aux croisés, manoeuvrèrent avec sang-froid avant de lâcher dans le même geste une volée de trait, abattant un autre des cavaliers lancés à la poursuite de Quylimna. Maenotaïs lança un défi à l’un des chevaliers du Graal, qui le releva avant de périr, criblé de traits lancés à coup portant. Son compagnon, voyant la situation vira en sa défaveur, s’enfuit, talonné par les cavaliers de kurnous dont la rage semblait palpable après le meurtre des leurs. Oriour, cependant, n’eu pas la même chance, et voyant l’infructueuse mêlée dans laquelle elle s’était engagée préféra se retirer vers les bois, mais les chevaliers errants les écrasèrent dans leur retraite, projetant des échardes et de la mousse en tout sens lors de leur folle cavalcade, auxquelles vint se mêler du sang lorsque Quylimna, la propre sœur de Maenotaïs, fut écrasé par la poursuite effrénée lancée par les chevaliers. Il faudrait jouer serrer afin de remporter la victoire, car elle semblait plus que jamais prête à échapper aux elfes.
  14. 3ème tour brettonien : la victoire à portée de main… La victoire commençait à lui échoir, Mandor en était conscient, mais il fallait maintenir la pression sur ceux qui étaient responsables de la mort de sa bien aimée… Ils allaient payer, le duc allait s’assurer que pas un seul d’entre eux ne survive… Les gueux arrivaient enfin au contact, d’ici quelques minutes ils pourraient charger les lycanthropes responsables du déshonneur des jeunes nobles, et Mandor se porta à leur hauteur afin que, de leurs charges combinées, il ne reste rien des lémures ! Les serviteurs du Roy, quant à eux, repérèrent les éclaireurs elfes qui se repliaient et, profitant de leur élan, les piétinèrent avant de ralentir. De l’autre côté du champ de bataille, dont l’herbe était à présent teintée de carmin, les saints vivants chargèrent, accordant en même temps qu’ils poussaient leurs cris de guerre une prière à la Dame, puis abaissèrent leurs lances et foncèrent dans le flanc des chevaliers de Kurnous. Le Croisé restant, accompagné du baron Hettar, mais là charge se changea en déroute pour ce dernier lorsque, d’une pluie de flèches, les elfes qu’ils chargeaient abattirent son compagnon qui soufflait toujours dans son cor, beaucoup de flèches ayant ricochées contre le bouclier de la Dame… Une fois de plus, Gwenaël en appela à la nature afin de châtier les elfes responsables du déshonneur du plus fidèle vassal de son suzerain, mais les forces de la nature restaient sourdes à ces appels, affaiblis par la présence de la magicienne elfe. Partout, les arcs se tendirent, tels autant de volontés tendues vers un seul but, abattre les elfes ! Les sergents montés, bandant leurs arcs dans un concert de « nontidjiu » et autres insultes paillardes, blessèrent l’elfe qui leur faisait face, un cri de triomphe montant de la bouche de Fernand, le responsable plus que chanceux de cet heureux résultat. Les archers qui poursuivaient Lemnouï s’arrêtèrent, le criblant de flèches que son altitude et le cuir épais de son corps arrêtèrent facilement ; un peu plus loin, les rats de Languille criblèrent eux Maenotaïs, qui fût blessé à la cuisse car son attention un instant avait été retenue par la charge des chevaliers du Graal sur ses compagnons, et se jura de faire payer cela au pitoyable humain qui en était responsable… Les saints vivants, chargeant avec la furie qui leur était propre, fauchèrent un Cavalier, rejoint par un autre qui succomba sous les coups de fers de l’une des montures de leurs adversaires, mais malgré cela, les cavaliers tinrent leur position, résolus à défaire leurs ennemis.
  15. 3ème tour Elfe Sylvain : les choses se corsent… Il fallait reprendre l’initiative, les elfes en étaient conscients, car les humains prenaient l’avantage et cela ne pouvait être… Conscient de cela, les lémures partirent de la forêt, énormes lycanthropes fonçant dans l’arrière des chevaliers errants. Pendant ce temps, les danseurs de guerre commencèrent leur danse hypnotique, et ils savaient que cela les rendrait invulnérables, du moins, pour un temps… L’aigle, repérant ceux qui étaient responsables de la mort de ses frères, fondit sur les archers postés sur la colline. Oriour se rallia, mais les éclaireurs fuirent vers des positions plus sûres en voyant se rapprocher l’élite adverse, tandis que les archers de la colline se rapprochèrent des chevaliers du royaume, résolus à en venir aux mains si cela s’avérait nécessaire. Maenotaïs ainsi que les chevaliers de Kurnous, sentant que le combat était ailleurs, courût vers les combats, suivant haroith qui se réglait sur son allure. Quylimna tenta d’accorder aux esprits de la forêt la puissance nécessaire pour vaincre leurs ennemis, mais cette tentative de célérité accrue ne se fit pas entendre par les dieux primitifs qu’elle servait, ce qui priva d’attaques supplémentaires les lémures… Les archers descendus de leur point supérieur sur la colline criblèrent de flèches les croisés ne laissant que le musicien et le baron Hettar de vivants, ce qui ne les freina pas dans leur course à la gloire. Puis vint la mêlée, où la douce mélopée des corps entrelacés sur la morne plaine se mit à raisonner tel l’appel oublié de la faucheuse lancé. Les lycanthropes, contre les chevaliers errants lancés, se mirent à lacérer, à piétiner, à arracher et à massacrer, trois chevaliers étant jetés à terre par la puissance des bêtes qui leur faisaient face. Le restant de l’unité, perdant la bénédiction de la déesse, continuèrent sur leur lancée, parvenant à distancer facilement les lémures lancés à leur suite, mais à quel prix… Lemnouï, par contre, ne parvint à rien face aux archers, et l’aigle, maître des nuées, abandonna, les archers aux talons, tout rêve de les neutraliser, pendant que sur la plaine, les danseurs de guerre recevaient la charge des chevaliers du royaume, leurs tatouages s’animant soudain d’une lueur obscure, un bouclier se formant autour d’eux… Seul l’un d’eux mourût ensuite, un jeune qui n’avait pas eu le temps d’activer la puissance magique qui animait les marques qui parcouraient son corps, mais, ayant perdu leur concentration, ils voulurent faire une retraite, se faisant piétiner par les chevaliers lancés à leur poursuite. Il fallait agir vite, ou les gardiens de la forêt seraient engloutis par la marée qui leur arrivaient dessus !
  16. Tour 2 des brettoniens : les chevaliers de la déesse entrent en scène. Les chiens fous cédèrent finalement à leurs pulsions, fondants sur les dryades en face d’eux tandis que les serviteurs du Roy fonçaient sur Lathain. Les éclaireurs, mettant pour une fois en pratique les plans ingénieux de leur maître, se mirent en position dans le dos des lémures, prêts à foncer dessus au prochain tour. Les gueux armés pour le corps à corps s’avancèrent, se disant sûrement qu’il y aurait quelque chose à piquer après la mêlée qui s’engageait sous leurs yeux. Une fois de plus, Gwenaël tenta de projeter des épines dans les guerriers couvèrent de tatouages qui s’avançaient vers les sujets de son maître, et une fois de plus, les forces de la nature refusèrent de se déchaîner, sans doute le crottin et l’odeur de cheval qui se dégageait autour d’elle la perturbait-elle, elle qui était habituée à l’odeur douce d’une tour parfumée à l’encens ou à celle, plus forte, des livres de la bibliothèque du château. Unissant leur force par le plus pur des hasards, chacun visant la même cible sans le savoir, les rats de Languille et les pleutres tuèrent le restant des chevaliers sylvains, stoppés en plein galop par le nombre de projectile qu’ils avaient reçus. Oriour reçu le choc des lances de cavalerie des chevaliers errants de plein fouet, tandis que la nymphe de l’unité défiait Carmelion, héraut des chiens fous, qui dirigeât sa monture vers la nymphe après avoir compris ses intentions. Dirigeant sa lance contre elle, il la transperça de part en part, tandis que son cheval, un pur-sang d’un noir de jais au caractère ombrageux du nom de Lorethian, la piétinait, projetant des échardes en tout sens… Le reste des dryades survécurent miraculeusement au choc, mais s’enfuirent en voyant le carnage causé par Carmelion, parvenant même à le distancer dans leur course folle vers la vie, tandis que les chevaliers poursuivaient celui, plus noble, de la gloire. Pendant ce temps, Lathain succombait sous les coups des chevaliers du royaume, la seule perte à déplorer par les serviteurs du Roy étant leur champion, Magnus Fecus, déchiré par la nymphe qui avait esquivé sa lance avant de se glisser sous sa garde, lacérant le pauvre chevalier du Royaume à coups de griffes. Elles fuirent pourtant devant le carnage causé par leurs ennemis, prestement rattrapées par eux qui poursuivirent en direction des danseurs de guerre, les atteignant de plein fouet…
  17. 2ème tour Elfes Sylvains : la forêt ainsi s’éveilla… Répondants à la menace, Lemnouï, l’Aigle, s’envola, atterrissant dans le dos des chevaliers. Le reste de l’armée se mit en position afin que le courroux de la forêt puisse s’abattre sur les profanateurs dès le prochain tour… Confiant en les capacités de Quylimna, Oriour alla se mettre en place, prêt à être propulsé par la magie qui l’animait au cœur de l’armée adverse. Celle-ci, en invoquant aux arbres eux-mêmes, tenta de les y envoyer, mais la déesse accorda un peu de ses pouvoirs à Gwenaël, de sorte qu’elle parvint à dissiper le sort en un clin d’œil… Pendant ce temps là, les archers qui avaient pris de meilleures positions sur la colline noircirent le ciel de traits, tuant deux errants à qui la déesse ne daigna pas accorder sa bénédiction, pendant que Maenotaïs tuait l’un des croisés, qui mourût le sourire aux lèvres, sûr de rencontrer la dame dans l’au-delà.
  18. et maintenant: le 1er tour brettonien! 1er tour brettonien : les fidèles de la déesse se mettent en marche. Mandor Hallen, voyant l’un des bénis du Graal tomber au bas de sa selle, se promit de le venger… Aboyant ses ordres, il dirigeât ses hommes en expert, car il avait acquis au fil des ans une expérience des batailles unique… Les gueux qui fuyaient se rallièrent sous les exhortations des serviteurs du Roy, pendant que l’armée entière, en un ordre parfait, s’élançait à travers la clairière en direction des couards elfes postés de l’autre côté. Maîtrisant tant bien que mal leurs pulsions guerrières, les chiens fous s’élancèrent, toujours sous la surveillance de Mandor… Les croisés allèrent se poster au bas de la colline ; ils avaient survécus à une guerre sainte, une bande d’elfes ne leur faisaient pas peur ! Le reste de l’armée se mit en position afin de pouvoir charger les défenseurs des bois dès le prochain tour, pendant que Gwenaël commençait son appel à la déesse. Elle projeta un nuage d’épines sur les danseurs de guerres, mais les forces de la nature n’avaient pas en ce jour décidé de se retourner contre leurs protecteurs, ce qui aida Quylimna à dissiper le sortilège. Ensuite, ce fût aux gueux de jouer, et les rats de Languille ouvrirent le bal, criblant de flèches les chevaliers sylvains de l’autre côté du champ de bataille. Malgré leur habilité naturelle, l’un des Sehenlus tomba de selle, rejoint dans sa chute par son cheval. Les pleutres, repérant ce qui semblait être le chef de l’armée adverse, bandèrent leurs arcs en direction de Maenotaïs, qui ricana sur le manque de savoir faire de ces humains tout en esquivant les quelques flèches parvenues à sa position. Les gueux restants ne firent pas mieux, ayant visés les agiles danseurs de guerre.
  19. Bon, c'est parti, ça va déferler maintenant: le premier tour Elfe Sylvain: 1er tour elfe sylvain : premier sang… Après s’être déployée en ligne, l’armée entière avança… Les cavaliers sauvages de kurnous chevauchèrent pour ce mettre à l’abri de la maison de l’ermite, recevant une avalanche de malédiction de la part du vieillard tiré de son sommeil. Pendant ce temps là, les dryades allèrent se loger au cœur des bois, afin de rapidement communier avec leurs frères et sœurs en attendant la charge… Lemnouï alla se mettre à l’abri derrière les bois, tandis que les nobles chevaliers faisaient de même, prêt à surgir de n’importe quel côté de la forêt sur les intrus… Les lémures se mirent en position sur le flanc, menaçant ainsi tout humain ayant l’imprudence de passer à porter de leurs crocs, de leurs gueules et de leurs griffes, tandis que les éclaireurs prenaient fermement position dans les roches célestes, rejointes par Quylimna qui sentit à l’approche des pierres les énergies magiques se troubler sous une telle puissance … Elle tenta de se concentrer afin que l’esprit de la chasse prenne possession des danseurs de guerre, mais elle relâcha sa concentration trop tôt, et Gwenaël put en profiter pour faire se rebeller la nature contre les danseurs de guerre, forçant Quylimna à lire prestement l’incantation d’annuellement inscrite sur son parchemin… Les gardes sylvains prirent position sur la colline, criblant méthodiquement les lanciers en contrebas d’un geste fluide, en tuant 5 tandis que les survivants détalaient sans demander leur reste, malgré les injonctions de leurs maîtres, mais s’arrêtèrent lorsqu’ils furent sur le point de quitter définitivement la bataille, se rappelant qu’une pièce de cuivre serait offerte à chacun d’eau si ils restaient en vie le temps de la bataille…De leur côté, les éclaireurs montrèrent le véritable sens du mot précision, tuant l’un des archers qui leur faisaient face… Enfin, Maenotaïs banda son arc, témoignage du savoir-faire elfique, et trois flèches partirent en direction des saints vivants, tant il était bon tireur… L’un d’eux glissa de sa selle, une flèche empennée de blanc en travers de l’œil, la Dame n’ayant pas daignée répondre à ses prières… Déjà, l’un des chevaliers du Graal n’était plus…
  20. Et c'est reparti avec le champ de bataille:
  21. 5les croisés 5 chevaliers du royaume dont champion. 1 les serviteurs du Roy 5 chevaliers du royaume dont champion et porte-étendard. 10 les éclaireurs5 sergents montés équipés de bouclier et d'un musicien. 8 les pleutres10 archers déployés en tirailleurs. 4 les rats de Languille10 archers équipés de brasero. 7 les gueux 10 archers 2 "l'infanterie"18 hommes d'armes équipés d'armes d'Hast. 3 la chair à canon18 hommes d'armes équipés de lances. 6 les chiens fous 9 chevaliers errants dont état major complet. 9 les saints vivants 3 chevaliers du graal. P.S: en rouge, il s'agit bien sûr de l'ordre de marche
  22. L'ost de Guerre du Pénitent Duc Mandor Allen, paladin doté d'un bouclier, d'une lance de cavalerie, d'un destrier caparaçonné et de la vertu du pénitent. Baron Hettar, porteur de la grande bannière doté du grand heaume de Gromril, de l'épée de puissance et d'un destrier caparaçonné. Gwenaël, sorcière de niveau 2 montée sur un destrier et doté de 2 parchemins de dissipation.
  23. l'escorte de Maenotaïs: Maenotaïs, noble doté d'une armure légère et de l'arc de loren. 112 pts Quylimna, enchanteresse de niveau 2 dotée d'un parchemin de dissipation. 150 pts 2les gardiens, 10 archers. 120 pts 8les Arahain, 7 éclaireurs 119 pts 3 Lathain, 8 dryades menées par une nymphe. 96 pts 4Oriour, 8 dryades menées par une nymphe. 96 pts 6 Sehenlu, 5 chevaliers sylvains dont musicien et maître des chevaux. 138 pts 7 Lumrath, 5 cavaliers sauvages de Kurnous dont état major complet. 138 pts 9la colère des bois, 4 lémures dont ancien. 280 pts 5les Caidath, 9 danseurs de guerre dont chantelame. 176 pts 1Lemnouï, grand aigle 50 pts TOTAL: 1505 pts
  24. Salut les gars ^^ Et voilà, je vous l'annonçe, le RdB est FINI!!! Reste plus qu'à mettre tout ça ici, et je préfère le mettre en un seul coup, histoire que ce ne soit pas haché par d'autres messages de votre part
  25. Oui, mais pour les schémas, je posterai tout en un coup, histoire que ça le fasse +++
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