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shasel

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  1. shasel

    la lignée maudite

    Bonne journée a tous! Voici le lien entre l'introduction et la suite de l'histoire bonne lecture. L’Assassin avait commis une grave erreur pendant son voyage dans le Convoi. Il avait pensé qu’il pouvait faire confiance aux convoyeurs. C’était une erreur. Chaque nuit, il avait veillé à dormir dans un véhicule différent de celui de Nalog et Ralik pour éviter tout coup de poignard éventuel. Il ne s’était méfié que d’eux. Pas des autres. Une nuit, alors qu’il dormait tranquillement, Yimbo c’était glissé vers lui et lui avait fait les poches en espérant y trouver quelques objets de valeur. Il avait trouvé bien plus que cela. Il avait trouvé de la poussière d’ivrine, un métal aussi rare que précieux. Il y en avait suffisamment dans les poches de l’assassin pour assurer sa richesse jusqu'à la fin de son existence. Il avait été sur le point de les lui voler, mais quinze assassins l’entouraient et lui feraient la peau au moindre éternuement, aussi avait t’il reposé le fruit de ses découvertes a contrecœur en se jurant qu’a la première occasion, il s’en emparerait, et au diable leur stupide contrat !Bien entendu, il s’en était ouvert à Liera, qui s’était immédiatement proposé de l’aider. Maintenant, il se tenait a coté de Ralik, et tout en beuglant des ordres pour qu’on enterre les cadavres, il le surveillait avec attention. S’il faisait le moindre geste pour récupérer l’ivrine, il lui vidait son chargeur dans le corps. Une amitié naissante d’une semaine ne voulait pas dire qu’il allait laisser ce bouffon en manteau jaune s’enrichir à ses dépends ! L’assassin était condamné. Il se vidait lentement de son sang dans l’indifférence générale, ahanant des gémissements rauques dans sa lutte contre l’affreuse douleur qui le terrassait. Seul, Ralik l’observait. Dès qu’il fut suffisamment près pour que le mourant le remarque, celui ci se mit à hurler, toute douleur oubliée, puis il déversa un flot ininterrompu d’insulte a l’attention de Ralik. Au milieu de sa tirade, il s’étouffa et cracha du sang avant de reprendre son flot d’injure. Il fallait agir vite, sinon l’hérétique allait lui filer entre les doigts. Ralik plongea son esprit dans celui du mort en sursis et écrasa toute tentative de résistance. « Qui t’a envoyé assassiner Haldus ? » L’hérétique cessa de l’insulter et tout son corps se raidit. Puis il murmura de manière saccadée, horrifié par les paroles qui sortaient de sa propre bouche. « Azhadram. » « C’est lui qui dirige les cultes chaotiques de ce monde ? » « Non. » « Qui est ce ? » « Macros. Arrêtez, s’il vous plait. Pitié. Non. Non ! » Sa voix se fit suppliante, implorante alors que Ralik commençait à lui briser mentalement les doigts de la main droite. Ralik continua de poser des questions, imperturbable. « Combien sont ils ? » L’Assassin hoqueta de douleur lorsqu’un nouveau flot de sang s’échappa de son moignon de jambe. « COMBIEN Y A T’IL DE CULTISTE SUR CE MONDE ? » L’hérétique gémit sous le coup de la nouvelle attaque mentale, puis il se mit à ricaner « Trop.Beaucoup trop. Ce monde est condamné, suppôt du faux empereur. Et toi aussi, tu est condamné. » Il hurla lorsque Ralik lui fractura le bras droit « COMBIEN ? » Ralik acheva alors de briser ses barrières mentales et il s’élança, avide, dans son esprit. Puis il recula, stupéfait. « Un million ?Un million d’hérétique ?C’est impossible… » L’Assassin plongea alors dans le coma Il sentit une main se poser sur son épaule. « Eh oh, t’est toujours la ? » Ralik rouvrit les yeux et tourna péniblement la tête vers son interlocuteur. C’était Yimbo. Il tenait dans sa main un fusil laser fumant, était couvert de sang, mais semblait a peine fatigué et un peu nerveux Il ressentit un violent haut le cœur a sa vue. Les intouchables l’avaient toujours mit mal a l’aise. Il se dégagea violemment. Lorsque le Convoyeur reprit la parole, sa voie était dure et emplit d’une menace qu’il ne comprit pas « J’ai quelque question a te poser et, compte tenu du fait que je vous ai sauvé la vie, à toi et a ton chien de garde, vous pourriez peut être envisager d’y répondre." Ralik hésita. La tentation d’inviter cet intouchable dans son groupe était forte, mais il lui faudrait du temps pour l’entraîner. Or, du temps, c’était la principale chose qui lui manquait. D’un autre coté… « Allez-y » « Tu parles avec un accent qui ne vient de nul part sur Syphyris. Pourquoi ? Qui êtes vous ? Qu’est ce que t'a bien put faire pour t'attirer la haine de l’Envoûteur ? » « Eh ? Qu’est ce que l’Envouteur a voir avec cette histoire ? » « Cet assassin était payé par l’Envoûteur pour te tuer ! » « D’abord, il s’appelait Sanghor Frek, et ce n’est pas le style de l’Envoûteur de se payer les services de types de ce genre. » Ralik supposa que, en ce moment, Yimbo devait froncer les sourcils sous son masque. Et il le comprenait L’Envoûteur était un psyker qui avait par miracle échappé aux vaisseaux noirs de l’inquisition. Il avait passé quinze ans de sa vie a jouer au pirate dans les profondeurs de l’espace du sous secteur avant d’échouer sur Syphyris juste après la révolution. Une fois sur la planète, il avait repris en main un gang minable de Syphyris I et l’avait utilisé pour prendre le contrôle de la citée ruche. Aujourd’hui, il régnait sur tout le système de corruption des mondes proches de Syphyris et était donc probablement l’homme le plus riche du sous secteur. Et sans aucun doute le moins scrupuleux. « Sur ce point, j’ai un doute. » « C’est que vous ne connaissez pas Sanghor Frek. Ecoutez-moi bien, Yimbo. Votre vie ne vaut désormais plus un clou » « Pardon ? » Les Convoyeurs avaient commencé à dégager les cadavres. Liera tentait de consoler ceux qui avaient subi la perte d’être cher tout en tentant de cacher son indifférence devant la mort de ceux ci, dont leurs morts ne signifiait pour elle d’autre qu’une prime plus importante au moment du partage. Elle foudroya du regard Yimbo, qui était en temps normal chargé de ce genre de tache ingrate. Mais il avait autre chose a faire en ce moment, aussi ignora t’il l’appel à l’aide silencieux de la guerrière. Ralik, lui, commença à parler « On va reprendre du début, d’accord ? Pour les Syphyrisiens, l’imperium est le nom donné au gouvernement qui dirigeait cette planète avant l’attaque des orks et la révolution. C’est une confusion idiote, mais compréhensible. En réalité, l’imperium est un gigantesque empire galactique qui règne en maître absolu sur l’humanité. Il est le bouclier invincible qui protège le genre humain des xénos. Il règne d’un bout a l’autre de la galaxie sur près d’un million de monde. Ses armées sont innombrables et terrifiantes, la garde impériale et les spaces marines en étant les deux plus efficace. Néanmoins, le nombre de nos ennemis extérieur n’est rien comparé a ceux venus de l’intérieur. Traîtres, assassin, pirates… l’humanité est agitée depuis bien longtemps d’une soif de s’autodétruire qui force le respect. » « Quel est le rapport avec moi ? » Ralik soupira, fatigué par l’impatience du convoyeur « Le rapport est que,toi et Liera,vous venez de vous opposer aux actes de l’un des ennemis de l’imperium, et pas des moindres : Sanghor Frek. Sur un monde impérial, vous auriez été récompensé et protégé des éventuelles représailles. Mais Syphyris a fait sécession, aussi vos chances d’échapper aux représailles de ces collègue chaotiques sont elles quasi nulles. » Yimbo resta silencieux, abasourdis. Ralik, voyant qu’il ne disait rien reprit : « Sanghor a mené des centaines d’attentats et fait plus d’un million de mort dans tout le secteur. Le dernier en date a eu lieu sur une planète que vous connaissez bien : Trantor IV » Yimbo se ressaisissait lentement car il réussit a murmurer : « La planète des… » « Anges silvers. Il a quasiment anéantit la troisième compagnie, a tué de ses propres mains le capitaine de celle ci et dévasté leur forteresse avant de se réfugier sur Syphyris. » « Que venez vous faire dans cette histoire ? » « Inquisiteur. » « Quoi ? » « Inquisiteur. Mon métier est de chasser les ennemis infiltrés de l’imperium, quel qu’ils soient. J’ai localisé Sanghor et découvert que c’était lui le responsable de l'attentat grâce à une infime blessure qu’il a subi sur les lieux du crime, après quoi je l’ai poursuivi jusqu’ici avec mon équipe Sanghor. » « Et ? » « C’était une erreur. Ce monde est devenu le refuge de tous les ennemis de l’impérium aux alentours.J’ai subi quatorze tentatives d’assassinat avant de retrouver sa trace. Lors de la rencontre finale, j’ai perdu tous les membres de mon équipe, excepté Nalog avant de découvrir que Sanghor n’était qu’un exécutant. » « Qui étaient les… » « Sa n’a aucune espèce d’importance. Nous allons bientôt repartir. Tant que vous restez dans les déserts, vous êtes en sécu… » Son regard s’arrêta sur les cadavres des orks entassé que les Convoyeurs faisaient brûler « Disons, a l’abri des hommes. Mais dès que nous arriverons a Syphyris III, mes ennemis remarqueront l’absence de Sanghor, chercheront a savoir ce qui c’est passé, ils vous retrouveront et, lorsqu’ils auront découvert la vérité, vous mourrez. Votre unique chance de survivre, a vous et a Liera c’est de m’accompagner. » « Et pour quelle raison ? » « La seule chance que vous avez de survivre, c’est de fuir la planète ou de tuer les commanditaires de Sanghor. Or, ces deux actions figurent dans mes plans. » « Et pourquoi vous montrez vous aussi généreux ?Quel avantage en tirez vous ?Pourquoi… » « Comme je vous l’ai dit, j’ai perdu mon équipe, et je me dois de commencer a la reformer rapidement si je tiens a survivre sur ce monde. Or, j’y tiens.” Il y eut un instant de silence, puis Ralik reprit sur un ton sardonique « Ce n’est pas comme si vous aviez le choix, mais je vous laisse y réfléchir. Je compte sur vous pour avertir Liera » Puis il partit vers le camion le plus proche pour embarquer. Yimbo semblait troublé lorsqu’il se baissât pour ramasser l’ivrine En espérant que sa vous a plut Ps:désolé pour le nom de la planète des anges silvers,j'ai rien trouvé de mieux... Pps:L'ivrine n'est absolument pas fluff,mais je ne connais pas le nom des matériaux ultra précieux du quarantéunième millénaire,alors j'ai improvisé
  2. shasel

    la lignée maudite

    Les déserts Syphyrisiens n’avaient rien de désert conventionnel. C’était, en réalité, des prairies de verdures régulièrement arrosées de pluies torrentielles, exposé à l’agréable lueur d’un soleil rutilant. Chacune des nombreuses collines de ce désert abritait des forets d’arbres exotiques grouillant de vie. Ce désert était, en réalité, un désert humain. Les agréables prairies verdoyantes cachaient sous leurs hautes herbes des champs de ronces inextricables ou vivait une faune carnivore et destructrice. Les pluies régulières qui s’abattaient sur ces secteurs déserts crachaient une eau polluée par des millénaires d’activité industrielle humaine. Le soleil rutilant promettait moult cancer de la peau et autres graves maladie a quiconque osait s’exposer a ces rayons. Les profondes forêts exotiques grouillaient en effet de formes de vie, mais l’une d’entre elle, doté d’une peau verte et irrésistiblement attirée par les combats, avaient transformé ces zones en lieu de mort. C’était ce spectacle verdoyant que contemplait Nalog, morose, a l’arrière d’un camion tout en nettoyant sa lame, atteinte pour l’entretien hebdomadaire. Il avait fallut deux jour au Convoi pour quitter les pourtours dévastés par la pollution de Syphyris I, et trois autres pour arriver en vue des déserts. Cela faisait maintenant une semaine qu’ils se déplaçaient au milieu de ceux ci, roulant à toute heure du jour et de la nuit, car le mouvement était l’unique règle a respecter si l’on voulait échapper aux attaques des prédateurs. Les convoyeurs se montraient pour la plupart assez communicatifs,quoi qu’assez stressé, et des amitiés commençaient déjà a ce lier.Yimbo et Ralik, par exemple, s’entendaient comme larron en foire Il restait encore deux jour de voyage, et, déjà, on commençait a apercevoir de larges zone vierge de toute végétation, signe évident indiquant la proximité d’une citée ruche-et des pics de pollution qui allaient avec. Ce fut au cœur de l’une de ces zones que la radio se mit à grésiller « Des véhicules s’approchent du convoi » C’était trop beau pour durer songea Nalog en se relevant. Autour de lui, les Convoyeurs s’agitaient, chargeant leurs armes et montant vers les autocanons situés sur le toit. Il décrocha son fusil a plasma de son harnai, l’arma et emprunta à son tour l’échelle qui menait au toit. Un fusil a plasma. Cette arme lui avait coûté une petite fortune et était la source de bien des jalousies depuis qu’il avait mit les pieds dans le convoi Il ouvrit la trappe du toit et sentit le vent violent causé par la vitesse du véhicule le frapper dans le dos. Il se glissa hors de l’ouverture et examina les environs. Sur le toit de chacun des véhicules, les Convoyeurs montaient leurs armes lourdes, et scrutaient l’horizon. Sur le toit du véhicule de Yimbo, Liera-il aurait reconnu sa silhouette entre mille- échangeait des ordres avec les autres camions par le biais d’un radio émetteur. A coté d’elle, il entrevit Ralik qui armait sa mitrailleuse Les camions formèrent un large cercle pour éviter toute tentative d’encerclement, puis s’arrêtèrent Nalog chercha du regard l’hypothétique menace Ils ne formaient pour l’instant qu’un nuage de poussière au loin, mais il estima qu’ils roulaient bien plus vite qu’eux. Un convoyeur émergea d’une trappe d’un véhicule sur sa gauche, une paire de jumelle a la main, puis il se retourna vers celui qui tenait une radio portative et lui parla. Celui ci transmit le message au reste du convoi. « Des orks ! Fondus d’la vitesse » Eh M**** Les fondus d’la vitesse étaient les seuls orks assez bien équipés pour pouvoir s’attaquer efficacement aux Convois humains. Puis la voie de Yimbo retentit dans la radio portative avec une force impressionnante. « Les véhicules qui transportent les marchandises, au centre du cercle ! Préparez-vous au combat ! Conducteurs, resserrez le cercle ! Il ne faut pas que les truks orks rentrent dans notre formation, ou nous sommes tous mort ! Que ceux qui font les marioles sur les toits redescendent ! Seuls les servants des armes lourdes restent la haut !Exécution ! » Mais qu’est ce qu’il raconte ? La meilleure des manières de mourir pour les orks serait que justement, ils pénètrent dans le cercle des véhicules. Ils seraient pris entre les feux croisés de tous les Convoyeurs et seraient massa… Il comprit alors. Les radios employés par les Syphyrisiens étaient de la bouse technologique. Même les orks pouvaient intercepter leurs communications. Yimbo avait laissé entendre que se serait un massacre s’ils pénétraient dans le cercle. Les orks le croiraient sur parole et rentrerait dans le cercle sans réfléchir, c’était dans leurs natures. Au loin, une quinzaine de Truks ork jaillirent de la ligne de l'horizon. Leurs lourdes carcasses de métal aux formes archaïques s’élançaient à une vitesse ahurissante vers le cercle des guerriers humains. Autour de ses monstres de métal grouillaient des nués de buggy dont les traînes de fumés noirâtres cachaient l’horizon. Le vrombissement de ces innombrables moteurs était insupportable, même a cette distance. Nalog était resté sur le toit car il portait une arme bien plus destructrice que ces malheureux autocanons. Il orienta son fusil a plasma vers le truk le plus proche. Au même moment, les cinq véhicules humains qui pouvaient tirer sur les orks sans menacer leurs confrères ouvrirent le feu. Une formidable explosion retentit lorsque dix tirs d’autocanons heurtèrent la horde mécanique des orks. Trois des truks explosèrent et furent catapultés dans les airs sous la violence de l’onde de choc. En réponse a cette attaque, la horde monstrueuse ouvrit le feu a son tour, larguant sur les véhicules de tête une pluie sans fin de bastos. Un tir plus chanceux que les autres pénétra dans le moteur d’un des camions, qui fut vaporisé en une seconde. Des débris volèrent dans toutes les directions avant de retomber lourdement. Une plaque de blindage grosse comme un homme adulte cisailla l’autocanon du camion ou se trouvait Nalog. La meute de blindé ork fut sur le convoi en un instant. Un truk situé à l’avant de la horde heurta à toute vitesse l’un des camions humains. Pendant une seconde, il sembla que le mastodonte d’acier allait résister au choc. Il se renversa sans toutefois laisser passer, comme animé d’une volonté d’acier, déterminé à ne pas laisser passer l’engeance xénos. Nalog, profitant de l’occasion, tira. Son tir de plasma surchauffé frappa le truk sur le coté droit et le vaporisa. L’onde de choc souleva le camion des convoyeurs et envoya ces cinquante tonnes d’acier valser au loin. Les blindés xénos s’infiltrèrent dans la brèche ainsi ouverte dans un hurlement de rage guerrière et d’enthousiasme. Ils pénétrèrent au cœur du cercle humain en tirant dans tous les sens. Les truks vomissaient des meutes d’orks sanguinaires dont la peau verte ruisselait de bave causée par la rage. Leurs bras musclés soulevaient de gigantesque kikoup luisant sous les rayons mortels du soleil tandis que leurs automatiks crachaient des salves de tirs au bruit apocalyptique. Les Convoyeurs ne tardèrent pas a riposter. Leurs armes lourdes couvrirent le centre du cercle ou se tenaient les véhicules xénos d'épaves fumantes pendant que les traits rouges des fusils lasers clairsemaient les rangs des guerriers peaux vertes. Les monstres se battaient néanmoins avec courageet nullement effrayé par les pertes monstrueuses qu'ils encaissaient,ils vontinaient envers et contre tous a délivrer des salves de rokettes destructrices Leur acharnement était tel qu’ils réussirent a détruire deux autres véhicules. Et les munitions commençaient à manquer La radio grésilla à nouveau et la voie de Yimbo retentit. « On n’a plus le choix les gars, a l’attaque ! Pour l’Empereur ! » Même si Syphyris était désormais indépendante de l’impérium, l’Empereur-Dieu y était toujours vénéré. « POUR L’EMPEREUR ! » Des dizaines de trappes s’ouvrirent des camions humains, larguant des masses de guerrier résolu a se battre jusqu'à la mort contre leur ennemi héréditaire. Ils chargèrent en hurlant, lame à la main. A la tête de la charge, Liera hurlait des insultes aux xénos sanguinaires. Les orks, éparpillés par le massacre, ripostèrent en faisant s’abattre une pluie de feu sur les groupes de guerrier humain avant de dégainer leurs kikoup et de charger à leur tour. Nalog cessa de tirer et sauta du toit du camion au moment ou les belligérants se heurtaient dans un grand fracas, le tintement de lame brisé, des détonations des automatiks et des pistolets lasers ayant remplacés celle des autocanons et des gros flings. Il se réceptionna parfaitement et plongea vers le combat le plus proche.. Ils chargèrent en hurlant, lame à la main. A la tête de la charge, Liera hurlait des insultes aux xénos sanguinaires. Les orks, éparpillés par le massacre, ripostèrent en faisant s’abattre une pluie de feu sur les groupes de guerrier humain avant de dégainer leurs kikoup et de charger à leur tour. Nalog cessa de tirer et sauta du toit du camion au moment ou les belligérants se heurtaient dans un grand fracas, le tintement de lame brisé des détonations des automatiks et des pistolets lasers ayant remplacés celle des autocanons et des gros flings. Il se réceptionna parfaitement et plongea vers le combat le plus proche. Cinq Convoyeurs affrontaient péniblement trois orks déchaînés. Il rangea son fusil a plasma et dégaina sa lame énergétique. Elle se mit instantanément a luire d’une énergie à peine contenue, de petits arcs électriques jaillissant dans toute sa surface. Il franchit la courte distance qui le séparait des orks en un éclair et porta un coup sur le plus proche d’entre eux qui lui fendit l’abdomen. Un flot de sang rouge surchauffé jaillit de la blessure et l’aveugla momentanément. Il recula en se frottant les yeux, incapable de voir quoi que ce soit. Il entendit un bruit étouffé, suivit d’un cri d’agonie déchirant. Dès qu’il rouvrit les yeux, il ressaisit sa lame tombée au sol et attaqua un ork d’une taille monstrueuse qui avait rejoint la mêlée. Le Nob déchaîné para l’attaque d’un revers de son kikoup en émettant un rire dédaigneux. Qui s’étouffa dans sa gorge lorsque son arme fut coupé en deux par la lame énergétique et s’enfonça dans son estomac. En une seconde, Nalog retira sa lame et porta un nouveau coup qui cisailla de bras du xénos. Celui si s’effondra sur lui en hurlant de douleur. D’une pirouette, Nalog évita la masse imposante de la peau verte s’abattant au sol, puis il se plongea à nouveau dans le massacre. Les orks n’avaient aucune chance de vaincre, mais ils se battirent avec toute la rage qui caractérisait-leur races. Chaque ork se combattait avec la dextérité d’un space marine, encaissant des coups qui auraient pu tuer n’importe quel homme instantanément. Les Convoyeurs, eux, étaient nombreux, sur de leurs victoires et entraînés depuis des années a affronter les orks dans ces déserts hostiles. Nalog perdit le compte du temps, emporté par la spirale des combats. Son excitation était telle que tout devint flou, les lames, les orks morts, les camarades agonisants, les blessures. Une terrible douleur lui vrillait la jambe droite. Ses oreilles étaient saturées de bruit d’explosion, de cri de terreur, d’ordres, d’injure, de tintement de métal et de l’affreux sifflement de la chair déchiré. Puis, l’atmosphère de sang commença à disparaître, les sons devinrent plus rare. Enfin, ce fut le silence. Nalog sentit une violente fatigue s’emparer de lui. Ses jambes devinrent flageolantes et il s’effondra au sol, le souffle court. Il remarqua alors la profondeur du silence qui s’était emparé du Convoi. Aucun cri de désespoir devant la mort d’un être proche, aucun cri de victoire. Il regarda autour de lui et constata que tous les convoyeurs fixaient leur attention vers un homme. Ralik Devant lui, une dizaine de cadavre d’ork étaient étendue sur le sol. Pas la moindre trace de blessure expliquant leur mort. Il entendit un des guerriers survivants, couvert de sang, chuchoter a un colosse situé a coté de lui. « Psyker. C’est bien lui » Nalog entendit les paroles. Il savait que c’était une catastrophe. Mais il s’en fichait. Car il avait reconnu cette voix. Il était sur que, si l’on enlevait à cet homme son armure anti UV, on verrait une profonde déchirure lui traversant tout le torse. L’Assassin. Il s’était enfin révélé. Ralik l’avait pourtant avertit que celui ci était peut être caché parmi les convoyeurs Toute fatigue disparue, il se releva en un éclair et bondit sur l’hérétique. Sa lame énergétique fendit l’air. L’Assassin para instinctivement. Une onde de choc électrostatique se répandit dans le bras de Nalog lorsque les deux lames énergétiques se heurtèrent. La riposte fusa à la vitesse de l’éclair. Elle tomba dans le vide. Nalog s’était jeté au sol dès que son attaque avait échoué. Il effectua une roulade. L’Hérétique tenta de battre en retraite, mais il ne fut pas assez rapide. La roulade lui heurta les genoux et il trébucha. Nalog fut debout en une seconde. Il effectua un demi-tour parfait et fit siffler sa lame. Celle ci découpa la jambe droite de l’assassin. Il s’apprêtait à l’achever lorsqu’une voie retentit dans tête. « Derrière toi ! » Sans réfléchir, il se retourna et vit le Convoyeur avec qui parlait l’Assassin se jeter sur lui sans le moindre bruit. Il para le premier coup sans difficulté, et décapita en un tour de lame le Convoyeur. « Hérétiques ! » Nalog opina alors que cinq hommes fonçaient sur lui. Un tir rouge traversa l’un d’entre eux de part en par et il s’effondra. Une suite de claquement sec retentit tandis que Yimbo, qui avait entraperçut la scène, vidait son chargeur laser sur les quatre assassins restant. Ceux ci hésitèrent, stupéfait par cette trahison. Pas Nalog, qui profita de cette aide impromptu pour charger les quatre assassins encore en vie. Avant qu’ils n’aient le temps de se ressaisir, deux d’entres eux étaient déjà morts. Nalog se retourna et se fendit, sa lame pointée vers le cœur d’un autre adversaire. Celui ci s’effondra avant même que sa lame ne l’ait effleuré. Il se retourna, a la recherche du dernier assassin. Il gisait sur le sol, désarticulé, une blessure suintant au milieu de son front. « Pas mal.» Celui ci sursauta. Liera se tenait devant lui, un ton faussement admiratif présent dans sa voie. « On peut savoir ce qu’ils vous voulaient ? » dit t’elle en désignant les cadavres gisant sur le sol de la pointe de sa lame ensanglanté. Il resta silencieux quelques secondes, en songeant que c’était décidément une très bonne guerrière, puis il répondit en désignant Ralik, penché sur le corps agonisant de l’Assassin « C’est lui qui vous répondra »
  3. shasel

    la lignée maudite

    Merci pour vos commentaires! a Shas'o Benoît: C'est le space marine qui possède une épée énergétique,pas l'assassin La réponse a ta question est situé a la page quarante de l'histoire.Il va falloir prendre ton mal en patience... Ou est le problème?Cinq space marine et une dizaine de scout ne pourront jamais arreter une révolution a eux tous seul,si tant est que sa leur pose un problème qu'il y en ait une,ce qui,en l'occurence,n'est pas le cas. Concernant l'Arbites: Les arbites font partis des fondations du régime impérial.On peut supposer qu'ils sont soit mort,soit en fuite,a moins qu'il n'aient quittés l'Arbites a temps pour rejoindre les gangs. Il y a toujours une frontière entre la théorie et la réalité,mais,pour comprendre les raisons de la non réaction de l'impérium,il faudra attendre la page...Quarante et quelque,je crois. Bon,allez la suite Les rayons de l’aube, filtrés a travers l’épais nuages des gazs toxiques qui entouraient la citée ruche d’un halo de pollution, donnaient a la sinistre ville aux cents pics des reflets sanglants. Réchauffé par cette brûlante apparition, l’implacable machine aux rouages de chair humaine s’éveillait lentement. Dans dix millions de couloirs métalliques, le pas de milliers d’hommes faisait s’agiter des centaines d’ascenseurs s’élevant jusqu’aux plus hauts de tours fumante. Tournant autour des mastodontes d’aciers tel un nuage de mouche tourne autour d’un cadavre frais, milles vaisseaux de contrebande rapportaient au maître de ces lieux le fruit de leurs sombres actions, fondant vers le palais doré de L’Envoûteur de toute la puissance de leurs gigantesques réacteurs. Plus bas, au pied d’un pic d’habitation monumental, quinze camions de guerre se préparaient au départ. Long de plus de quinze mètres chacun, ils se distinguaient des autres camions par les innombrables meurtrières présentes sur leur flanc, par leurs plaques d’adamantium volée qui leurs tenaient lieu de pare choc, par les sentinelles présentent sur le toit de chacun d’entre eux, qui, silencieuses et mortels, finissaient d’assembler des autocanons en prévision du dur voyage qui les attendaient. Les conducteurs de ces véhicules parés pour la guerre étaient des colosses promenant avec eux de lourds fusils laser. Les gardes étaient des hommes recouverts des sinistres combinaisons anti UV qui dégageaient autour d’eux une aura de danger dissuasive. Au cœur de cette sombre assemblé de meurtrier, Yimbo imposait un respect teinté de crainte a tous. C’était un véritable colosse. Il faisait au moins deux mètres de hauts et était extrêmement musclé. Ses cheveux blonds, coupés courts, tranchaient avec sa peau noire. Ses yeux verts aux nuances insondables lui donnaient un regard calculateur qui mettait les gens mal a l’aise. Sentiment renforcé par sa voie glaciale en toute circonstance et, surtout, par son collier en dent d’ork, signe évident d’un danger permanent de sa pare. Comme la plupart des Syphyrisiens, il disait rarement ce qu’il ressentait, mais plutôt ce qu’il pensait, et cette franchise lui avait déjà attiré de nombreuses inimités. Le convoi s’ébranla. Quinze camions traversaient lentement les couloirs obscurs de Syphyris I en crachotant des nuages de fumés noirâtres, ralentit par la masse des piétons. Lorsque les coups de klaxons ne suffisaient pas, un des convoyeurs ouvrait le feu, soit dans la foule, soit en l’air, selon son caractère. S’ensuivait une courte période pendant laquelle la moyenne du convoi augmentait sensiblement. A plusieurs reprises, ils croisèrent des patrouilles de soldats de l’Envoûteur. Ceux ci les saluèrent avec respect avant de s’écarter : La meilleure manière de mourir dans Syphyris I était, de l’avis général, d’éviter les ennuies. Il leurs fallut cinq heures pour arriver à la porte Nord Ouest. L’assassin les attendait, entourés de quinze armoires a glace portant à leurs ceintures des épées aiguisées comme des rasoirs. Sans échanger un seul commentaire, les assassins se répartirent dans les différents camions tandis qu’une meute d’esclaves mutants entreprenait de charger la cargaison sous l’œil d’un Convoyeur. Les Envoûtés (c’était le nom donné au sbire de l’Envoûteur ) entreprirent d’enfiler les combinaisons anti UV. Yimbo fronça les sourcils en constatant qu’ils n’enfilaient pas celles réservés aux Voyageurs, mais celle des Convoyeurs. « Eh la, qu’est ce que vous faites ? » Le maître assassin qu’il avait rencontré hier se glissa vers lui « Vous nous avez peut être mal compris, Convoyeur Yimbo. Je ne désire pas que vos deux autres passagers nous reconnaissent. Vous avez peut être une meilleure idée que celle la ? » Yimbo serra les dents. En tant que maître convoyeur, il n’avait pas l’habitude qu’on le fasse passer pour un idiot. Le maître assassin s’agita, légèrement mal a l’aise. Liera s’approcha d’eux, lame à la main. « Qu’est ce qui se passe ? » Yimbo se retourna et la fixa. Liera était une jeune femme d’environ vingt cinq ans. Musclé, grande, les cicatrices présentes parcourut sur son corps témoignait d’une vie extrêmement animée. Elle était la guerrière attitrée de Yimbo depuis environ cinq an, et une solide amitié s’était noué entre eux. « Rien Liera, rien. » Liera l’observa quelques secondes, puis elle haussa les épaules et repartit s’occuper des esclaves et de leurs cargaisons. L’assassin reprit sèchement. « Les deux personnes que vous êtes censée transporter vont bientôt arriver. Faites votre boulot et faites-moi grâce de vos commentaires. » Il partit enfiler sa combinaison sous le regard chargé d’animosité de Yimbo Quinze minutes plus tard, les deux voyageurs arrivèrent. Le premier était assez grand, sans toutefois dépasser Liera. Il portait un long manteau jaune qu’il enfila par-dessus sa combinaison sous les regards ébahit et légèrement amusé des Convoyeurs. La moquerie resta coincé dans leurs gorges lorsqu’ils virent que, sous ce manteau se cachait une mitrailleuse, arme rarissime et incroyablement chère. Il s’appelait Ralik. Yimbo nota que, comme beaucoup de personnes, il était mal a l’aise en sa présence. L’autre était, lui beaucoup plus inquiétant. Il se dégageait de lui une aura de meurtre qui était sous entendu dans tout ses gestes, toutes ses paroles : La manière dont sa main passait régulièrement et involontairement près de la garde de sa lame de combat, sa voix sèche et cassante, ses muscles saillants... Il affirma s’appeler Nalog, ce qui laissa Yimbo perplexe, car ce mot n’avait l’habituelle consonance sèche des noms donnés dans les cités ruche. Un ancien FDP, peut être ? Voila. En espérant que sa vous a plut
  4. shasel

    la lignée maudite

    Re bonjour Tiens, bizarre, je m'attendais a une moins bonne appréciation. Bon,allez ,la suite Quelques mois plus tard,bien plus loin... Yimbo en avait marre. Ce satané masque a oxygène lui collait à peau et il avait mal a l’épaule à force de tenir son fusil laser. Et dire qu’il lui restait encore une heure a attendre au milieu de gens qui dormait tranquillement ! Il soupira, puis se retourna vers la fenêtre. Les pics de la cité ruche se dressaient devant lui ,gigantesques et saisissants. Même en tordant le coup, ses pointes n’était pas visible. La lumière que ces colonnes titanesques émettaient par toutes ces fenêtres balayait l’ombre de la nuit et donnaient l’impression que la journée n’était pas encore finie. De ses innombrables cheminés sortait une fumée opaque qui, le jour, rendait celui ci presque invisible. Ses mégas-forges accrochés a ses flancs fourmillaient d’une agitation à peine contenue, leurs gueules voraces engloutissant des milliers de tonnes de métaux pour ensuite les recracher sous forme d’ustensiles de mort dans des explosions d’essence brûlé. Il semblait que la cité était un gigantesque brasier rutilant , dont les innombrables crépitements alourdissaient l’atmosphère d’une affreuse chaleur qui parvenait jusqu’aux bidonville de la ville basse avant de s’engouffrer dans les profonds tunnels qui menaient à la cité souterraine. Il mit un moment a émerger de sa contemplation de la formidable citée ruche. Il se tenait adossé à une fenêtre brisée dont le verre avait fondu, les fesses posées sur un planché rendu trop sec par les désagréables émissions de Syphyris I. Plongé dans une pénombre aux reflets rouges, entouré d’hommes qui dormaient tranquillement au milieu de centaines de caisses d’armement, il attendait la fin de son tour de garde en pestant contre tout ce satané équipement de survie, décidément trop lourd pour lui. Il baissa les yeux et constata qu’une forme s’approchait du refuge. Il réarma son fusil laser et se prépara à tirer. La silhouette s’arrêta à quelque mètre de lui et leva les bras en l’air, puis il effectua un geste étrange avec sa main droite. Le mot de passe. Il réveilla Liera pour qu’elle prenne sa place, puis il descendit ouvrir au visiteur. Un homme maigre entra dans l’antichambre. Il était torse nu et arborait ostensiblement une profonde déchirure qui partait de l’épaule gauche et descendait jusqu’au bas ventre. Son masque a oxygène était orné d’un point levé écrasant une colombe, symbole du gang de l’Envoûteur « Bonjour Yimbo » « T’est qui ? » « Un agent de l’Envoûteur, sa se voit, non ? » « Qu’est ce qu’il me veut ? » « Une cargaison d’armes légères et de drogue a transporter vers Syphyris III » « La routine, quoi. Au tarif habituel, évidemment ? » « Exact. Mais on va aussi te charger d’une mission un peu plus spéciale. » « Quel genre ? » « Deux hommes ont demandé à faire le voyage entre Syphyris I et Syphyris III.Tu est chargés de les transporter jusque la bas » « Transport d’hommes ? C’est d’accord, avec un petit bonus évidemment. Mais en quoi est-ce une commande spéciale » « Tu devras aussi transporter quelques soldats de l’Envoûteur, dont moi. Sans le préciser aux deux autres passagers » « Des assassins ? » Le regard du gangster se fit éloquent. Il n’accepterait aucune question sur le sujet. Mais Yimbo savait qu’il avait raison. L’homme se déplaçait dans la pièce avec une agilité qui trahissait son habileté : Il ne se mettait jamais devant les fenêtres, tenait inconsciemment une garde de combat au couteau parfaite, réagissait au moindre bruit venu de l’extérieur immédiatement. Liera elle-même n’avait aucune chance contre cet homme « C’est d’accord. » « Je t’attends demain a la sortie nord ouest du premier quartier, Convoyeur » La planète Syphyris était placée depuis plusieurs décennies sous le signe de la violence. Il y avait de cela vingt cinq ans, une waghhh ork d’une taille impressionnante c’était écrasé sur la planète. L’attaque fut tellement puissante que même les régiments de la garde impériale dépêché par l’impérium n’enrayèrent pas l’invasion. La planète était alors le centre industriel et économique du sous secteur, la seule cité ruche des alentours dans une zone constituée d’agro monde et de monde minier. Les stratèges impériaux comprirent qu’ils ne devaient la laisser tomber en aucun cas, aussi mirent t’ils en application un système d’extrême urgence exptionnel : Les forces impériales armèrent massivement la population du monde ruche, dérivant pendant plusieurs semaines la fabrication de près de quatre mondes forge dont les usines d’armement fonctionnèrent vingt quatre heures sur vingt quatre. Les orks étaient nombreux, puissant et entraînés. Néanmoins, confrontés à la population de trois cités ruches armée et prêtes au combat, ils furent submergés, écrasé dans le sang. Les survivants s’éparpillèrent dans les déserts de la planète. Cette victoire, a première vue éclatante de l’imperium, prit un détour imprévu par les hautes autorités de l’Adeptus Terra : les nobles qui régnaient sur la planète avaient toujours sciemment tenu la population de la planète dans une misère noire. Profitant de l’occasion offerte par cette armée indestructible que formait la masse populaire, un jeune noble ambitieux fomenta une révolution en manipulant la foule. Le phénomène échappa vite a tout contrôle, et, après un mois de guerre civile, l’intégralité des forces de l’impérium et des maisons nobles furent détruites. Les quelques survivants de l’ancien régime (des gardes impériaux et des membres des FDP pour la plupart)s’enfuirent à leurs tours dans les rares zones n’étant pas occupés par les orks. Ceux ci furent désormais désignés comme les FDP. Pendant ce temps, la révolution, privée de guide et de véritable chef, s’écroula, laissant place a une période de chaos absolu qui dura plusieurs mois durant lesquels la population locale fut décimé. L’ordre finit par être rétabli par les gangs : certains d’entre eux prirent une telle importance qu’ils s’emparèrent des cités ruches et achevèrent de détruire les fondations du Régime impérial. Après trois ans de guerre sans merci entre ces gangs, un statu quo finit par s’établir entre les trois plus puissant d’entres eux, qui s’entendirent pour mettre fin aux rivalités des gangs et pour augmenter leurs pouvoirs communs. Un an plus tard, de faux vaisseaux marchands débarquèrent sur un agro monde tout proche de Syphyris et débarquèrent un groupe de soldat issu des trois gangs qui entreprirent de mettre en place un efficace réseau de corruption sur cette planète. La corruption du sous secteur avait commençé C’était une question de vie ou de mort pour Syphyris .D’une part, même si la riposte de l’imperium était longue à venir car le chapitre des anges silvers, qui recrutait ses guerriers sur la planète, opposait toute sa puissance politique a ces représailles, pour éviter la honte d’une intervention armée sur leur monde, mais ils ne pourraient pas l’empêcher éternellement.En étendant son réseau de corruption les trois gangs paralysèrent l’administration impériale et bloquèrent la riposte impériale avant même qu’elle ait commencé. D’autre part, Syphyris était un monde désespérément vide : son atmosphère empoisonné empêchait toute les cultures tandis l’absence d’eau pure rendait impossible l’élevage .Pour nourrir sa population, les gangs durent mettrent en place le plus vaste réseau de marché noir de tout les temps Aujourd’hui, Syphyris agissait comme une sangsue, pompant à l’aide de ses tentacules de corruption les richesses des mondes voisins, attirant armes, eau, nourriture et crédits vers ses gueules voraces qu’étaient les cités ruches pour les engloutir. Les gigantesques déserts qui séparaient les différentes cités ruches étaient les lieux les plus dangereux de Syphyris. La couche d’ozone y avait totalement disparu depuis bien longtemps, détruite par la pollution qu’émettaient les méga usines planétaires, aussi les rayons UV formaient une barrière mortelle a tout type de colonisation humaine, et ce malgré la présence de nombreuses réserves d’eau. Les orks grouillaient dans cette zone, innombrables et assoiffé de carnages. Les seules personnes assez courageuses pour oser traverser ces zones étaient les convoyeurs. Ces commerçants assuraient la liaison économique entre les différentes cités ruches, aux prix de combats sanglants s’il le fallait, et de beaucoup de sueur dans tous les cas. Voila. En espérant que sa vous plait Bonne journée
  5. shasel

    la lignée maudite

    Bonjour a tous. Première fois que je poste dans cette section. C'est un essai,donc j'espère que sa vous plaira. Bonne lecture! Isolé au milieu d’un océan de ténèbres, la forteresse se dressait, silencieuse et mortel. Ces gigantesques murs entouraient de leurs plaques d’acier dix sinistres tours aux lueurs bleutés. De larges couloirs en verre s’élançaient dans le vide, reliant chacune des montagnes d’acier a ses sœurs de métal. De grands tubes luisant sous la lumière bleuâtre du plasma qu’ils transportaient striaient chacune d’entre elles telles des veines d’adamantium. Celles ci descendaient ensuite lentement jusqu’aux forges situé a leurs pieds qui,en retour, vomissaient des nuages de fumés rougeâtres tourbillonnant autour des mastodontes d’acier avant de s’élancer vers les profondeurs étoilées. Dans l’un des couloirs de verre suspendu au milieu du vide, une silhouette obscure contemplait le spectacle en souriant silencieusement. Il voyait les rapides Thunderhawcks effectuer leur bal aérien, glissant entre les couloirs et les tours pour débarquer leurs cargaisons de machines de morts sur le sol froid avant de repartir vers les fournaises impériales. Il voyait bien des choses. Mais rien de tout cela n’attirait vraiment son regard. Son regard restait fixé sur l’œil de la mort. Cette tache noire défigurait le ciel, effaçait la lueur de toutes les étoiles qui osaient passer dans son emprise. La silhouette déclama à haute voie une prière qui perdit lentement en intensité avant de se terminer dans un murmure. Sur le même ton, quelques mots sortirent, presque inaudibles « Nous sommes prêts. Prêts à vous tuer. Prêt a nous venger et a venger l’affront qui nous a été fait. » Alors, contre toute attente, une voie s’éleva et lui répondit. Il bondit dans la direction d’ou émanait la voix. « Permettez-moi d’en douter. » IL s’avança, tournant lentement la tête en tout sens a la recherche de l’origine de ses étranges paroles. Il entendit un léger bruit derrière lui. Il fit volte face tout en dégainant une flamboyante épée. Celle ci éclipsa les ténèbres de sa lueur argentée, sa puissance énergétique à peine contenue perforant la nuit de ses gigantesques arcs électriques. Cette lueur dévoila son visage buriné couvert de cicatrice et son gigantesque corps recouvert d’une armure aux teintes irisé. Elle révéla aussi la position de son interlocuteur. L’être l’observait en souriant, sa silhouette squelettique adossée contre l’un des murs de verre. Il tenait dans sa main droite un étrange objet carré et dans la gauche une épée aux teintes bleutées qui débordait-elle aussi d’énergie « Qui êtes vous ? » « Azhadram, pour vous servir » dit il en effectuant une légère référence Ce nom le frappa de plein fouet. « Azhadram…mais, vous etes… « Mort. Oui, j’ai entendu parler de cette rumeur. Malheureusement pour vous, elle est fausse. Macros ne m’aurait jamais pardonné si j’étais mort avant l’heure » dit il en éclatant de rire Au nom de Macros, le guerrier au visage buriné se ressaisi. Il fit passer sa lame énergétique dans sa main droite et dégaina un pistolet bolter. Trois bolts fondirent sur Azhadram. L’un d’entre eux passa largement au-dessus de sa tête, les deux autres s’arrêtèrent à quelques centimètres de son torse, bloqués par une force invisible « Passons. Il se trouve, que si je suis ici, c’est pour accomplir une action bien précise qui est… » Azhadram sourit en voyant les bolts stoppé à quelques centimètres de son ventre « …De vous tuer. » Il pressa la chose carré qu’il tenait dans main. A Six cent mètres de la, au cœur d’une des dix tours d’adamantium pur, une bombe a fusion accroché a un générateur a plasma s’enclencha. L’explosion se répandit dans chacun des tubes a plasma, embrasant des hectolitres de liquide brûlant… Avant d’atteindre le générateur central de la tour. L’onde de choc pulvérisa celle ci, propulsant dans un grondement apocalyptique des morceaux de métaux surchauffés dans toutes les directions. Des centaines de couloirs suspendus s’effondrèrent dans un cliquetis de métal brisé, les débris plongeant vers les forges. Le space marine resta stupéfait devant ce spectacle apocalyptique, toute idée de combat oublié. Le rire narquois d’Azhadram le tira de sa transe. Une lueur de haine dansa dans les yeux du marine qui s’élança vers lui en hurlant des imprécations au meurtrier. Il fur sur lui en une seconde, sa lame brandit au-dessus de sa tête pour frapper le monstre qui souriait toujours, moqueur au milieu des débris de l’explosion cataclysmique. La lame ne s’abattit jamais sur l’insolent. Un bolt surchauffé vint s’abattre sur l’arrière de son crane, qui explosa dans une gerbe de sang. Son hurlement se perdit dans les vrombissements insupportables de la tour foudroyé qui s’effondrait dans un nuage de poussière. Un homme jaillit de l’ombre derrière le corps foudroyé. Il tenait un bolter fumant dans ses mains « Joli tir. »Déclara, appréciateur, Azhadram. « Merci. » Un grand sourire éclaira le visage de l’homme adossé contre le mur tandis qu’il regardait la tour volant en éclat et les flammes qui commençaient à gagner le reste de la forteresse. « Quel réjouissant spectacle. Je resterai bien pour l’admirer, mais nous n’en avons pas le temps. Dépêchons nous.» Il commença à sortir, et l’homme au bolter fumant lui emboîta le pas. A ce moment la, une boule de plasma embrasé perfora le couloir de part en part, projetant des éclats de verre dans toutes les directions. Un minuscule morceau de verre vola vers l’homme au bolter et traça sur la peau de son avant bras une infime égratignure qu’il ne sentit même pas. Une goutte de sang en perla et s’écrasa sur le sol. Infime grain de poussière menaçant une mécanique implacable fabriqué il y avait de cela des millénaires. Voila.Je posterais la suite plus tard dans la semaine. Merci d'avance pour vos commentaires
  6. shasel

    Question sur les modos

    2 minutes!!! Pourquoi,dans certaine section,il ya plusieurs modo?C'est que les sections sont plus grosses,ou ce sont justes des stagiaires? Tu n'a pas répondu a ma première question... Un dieu majeur peut t'il rouvrir un sujet fermé par un dieu mineur(par exemple l'un des siens,et autre genre de coup en traitre)? Eh oui je suis curieux...et j'en ai plein d'autre des questions comme ca,mais je n'ai pas le temps de les écrire(moi,j'ai une vie )Demain peut etre... PS:Attention...TOP!
  7. shasel

    Question sur les modos

    Ben peut etre que si justement,je vais en profiter pour assouvir ma curiosité. Sa fonctionne comme sa pour tous les forums? 2ème question: Un modo peut il empiéter sur le territoire d'un autre(genre aller fermer des sujets chez les voisins)ou est ce que c'est malpoli?Je me doute que c'est le cas chez les dieux majeurs,mais entre les mineurs? PS:je chronomètre le temps pour la réponse
  8. Bonjour a tous. Je n'ai put m'empecher de remarquer que les modérateurs du forum semblait avoir un don incroyable pour réagir en une demi seconde(bon j'exagère peut etre un peu,mais pour donner un exemple,la dernière fois que j'ai posté dans cette section ,en quatre minute Arkaal m'avait répondu).Je me suis donc demandé comment vous faisiez.Trois théories: -Vous passez vos après midi devant votre section,a attendre qu'un membre poste un message,puis vous vous jetez dessus pour voir si il n'y a aucune raison de le massacrer de fermer son sujet(peu réaliste a mon gout) -Vous avez un système d'alarme qui vous avertit immédiatement dès qu'un membre poste un message. -C'est juste de la chance Merci d'avance pour vos réponses.
  9. Je ne suis pas entièrement convaincue pour la stratégie des conscrits pour une raison: -Dans une citée ruche,chaque mètre de terrain gagné est dur a reprendre(voir très).Laisser le terrain aux mains de soldat inexpérimenté,c'est risquer de perdre des quartiers entiers très dur a reconquérir(en tout cas au pris de perte extrêmement importante,même du point de vue de la garde impériale) Désolé,mais je conteste(eh oui,je suis têtu ) Tout d'abord ,le marine ne peut décemment pas débarquer au cœur de la cité ruche(sauf en se prenant les bâtiments extérieurs).Donc,il est utile au début de la bataille quand l'ennemi n'est pas encore rentré dans la ville,mais les troupes infiltrés dans la citée seront très dur a attaquer pour eux:des kilomètres de couloir a parcourir et toute les chance d'être ralentie par une armée ennemie qui passaient par la,c'est pas vraiment ce que j'appelle une frappe rapide(surtout que les débarquements marines,c'est loin d'être discret).Ralentie,ils pourraient arriver sur la position(ton Usine Octobre Rouge,pour l'exemple),alors qu'elle est déjà prise ou qu'elle a été sécurisé par d'autre troupe qui passaient par la.Pour moi l'utilité des spaces marines dans un siège,c'est: "commandeur,les hérétiques ont percé la porte nord et se répandent dans la ville" "envoyez les marines combler la brèche le temps que nos troupes se redéploient" "et les troupes hérétiques déjà dans la cité?" "La garde impériale s'en chargera" L'utilité des spaces marines ,c'est de refermer les brèches qui apparaissent dans le dispositif,pas de détruire les troupes qui rentrent par ces brèches. Quand aux Tau,ils ont des techniques bien particulière pour les sièges: la caste du feu et de l'air(destroyer mantas) couvrent des kroots qui détruisent les avants postes ou des exo-armures frappent les points clés(compte tenue des aptitudes des tau pour l'embuscade et le coupe-approvisionement,ce serait plutôt les réserves de nourriture Je lance un appel aux joueurs eldars pour qu'ils puissent donner leurs connaissance sur les stratégies eldars en matière de siège
  10. Quelle rapport?C'est pas parce que sa arrive sur une planète que c'est une généralité.
  11. Qui a dit UN lictor?Une opération commando n'est pas forcément discrète,elle est juste trop rapide pour être repoussé a temps(cf les modules atterrissage space marine,c'est pas discret) Je sais que les FDP ,milice et autres sont la pour protéger la ville,mais contre une attaque majeure,ils ne seront peut surement pas suffisant pour protéger les alentours de la ville A condition qu'ils aient le temps de les fermer:les véhicules eldar c'est discret(voir citation livre de règle)en attaquant de nuit c'est jouable et les portes,sa m'étonnerait que sa se ferme en trente seconde C'est pas tant une histoire de destruction de bâtiment:juste qu'a partir du moment ou la muraille qui protège la ruche n'existe plus,c'est bien plus facile de rentrer dans cette dernière(même si la cité ruche est bien équipé en armement Mais je vous taquine :j'avoue que meme comme sa,prendre une flotte ruche n'est pas aussi simple que ce que je pensais
  12. Soyons réaliste:Outre les orks qui sont un cas bien a part,la plupart des races se soucient bien peu de ce détail:les races employant des stratégies basés sur la rapidité(Eldar,Eldar noir,nécron)attaqueront bien avant que les régiments de la garde impériale n'arrivent.Les tyranides écraseront toute résistance extérieure sous l'avantage du nombre.Les Tau se soucient bien peu des positions:Quinze ou vingt destroyer manta bombarderont sans difficulté une cité ruche tandis que les orcas débarquent des troupes en masse,les gardes impériaux devront vite faire le siège de leurs propre cité,coupé de tout ravitaillement. Un bon millier de tir d'artillerie,concentré sur une zone assez grande(ou petite,selon l'échelle),peut ouvrir sans difficulté une faille d'un bon kilomètre dans son dispositif,et comme je l'ai dit un peu plus haut, submerger très vite l'ennemi Toutes les races sont pourvues de commando(oui,meme les tyty:leurs trygons et leurs lictors).Compte tenu du gigantisme de la cité ruche,quelques uns d'entre eux pourraient sans difficultés s'introduire dans la ville et saboter leurs système de bouclier Même les orks règlent vite la question du gigantisme:les tyrranides et les orks disposent d'une armée suffisante pour entourer la ville,les tau placent des guetteurs autour de la ville et avertissent les forces aéroportés de la moindre tentative de sortie et/ou de ravitaillement,les eldars sont une armée qui est basé sur l'embuscade et la rapidité:une sortie serait vite anticipé par les grands prophètes et les guerriers aspects auraient vite fait de décimer les troupes adverses dès qu'ils seraient hors de portés des armes de la cité ruche. Finalement,le seul avantage de la cité ruche,c'est bien les spaces marines(enfin de mon point de vue,hein)
  13. Bonjour a tous. Ayant vaguement remarqué qu'au 41ème millénaire,les batailles se déroulent souvent dans les mondes ruches(entre autre),je me suis demandé comment faisait les défenseurs pour tenir aussi longtemps dans leurs cités:a chaque fois que je lis le récit d'une campagne,il semble évident que la prise d'une cité ruche exige un siège de plusieurs mois.Or une cité ruche ne me semble pas être aussi facilement défendable qu'on le dit,car: -Les armes du 41 ème millénaire peuvent(dans le fluff tout du moins)atteindre une portée importante,on peut donc tirer sur la tour centrale elle même sans avoir besoin de s'emparer des faubourgs. -La concentration très importante de la population fait qu'on peut difficilement l'évacuer de la ville,ni la regrouper dans des bunkers ou autre assemblage fortifié pour les protéger.Or,a la moindre faille dans le dispositif,les forces de réserves devront se déployer très vite pour repousser les assaillants,la population locale paniqué risquerait fort de les retarder. -En mettant le feu aux quartiers inférieures de la cité ruche(quelques bombes incendiaire pourraient bien le faire),on risque fort de faire s'embraser la ruche entière(ou de la faire s'effondrer),ce qui révèle une certaine fragilité. -La population des cités ruches n'est pas la plus calme de tout l'impérium,loin de la.Outre les risques de trahison,l'approvisionnement de tels ensembles est difficile,et la population locale pourrait bien se révolter si elle n'est pas nourrit correctement. -Une cité ruche semble être le point parfait pour une bonne frappe orbitale:une grande concentration de troupes et d'habitant en un même lieu,c'est,pour les sadiques comme le chaos ou les orks,la cible parfaite Qu'en pensez vous? Merci d'avance pour vos réponses
  14. Oups,désolé. Justement,il arrive quand ce nettoyage de printemps?
  15. Bonjour a tous En parcourant le warfo,j'ai remarqué que depuis quelque temps(jour ou semaine,je l'ignore),nous avions dépassé les 20000 adhérents! Cela ne mériterait t' il pas une petite place dans les annonces importantes? Merci d'avance pour vos réponses.
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