morzy l'oye

Salut j'ai trouvé ce petit jeu interdit au moins de 12 ans, qui a tout pour plaire aux amateurs des films de romero et autres films sur la fin de l'humanité et zombies. http://www.hordes.fr/ Pour résumer, disons que l'humanité s'est réfugié dans des villes de fortune suite au réveil des morts (scénario classique du genre), sauf que nous sommes un de ses habitants et que nous devons chaque jour nous entraider pour chercher du matos dans les terres des morts pour construire notre abri et renforcer les défenses de la ville.ici nommé l'espoir de Dunwich. Le jeu compte sur la coopération puisque ce qui nous sert pas peut servir à quelqu'un d'autre, donc on donne. Le jeu se joue au tour par tour. Une dernière chose tous les jours à minuit, la horde de zombie attaque la ville donc on peut potentiellement mourir si on n'est pas protégé ou si on se promène dans les terres.... J'espère vous retrouver là bas, mon nom y est darkhan27 Fred

A mon tour de rater mon jet de sauvegarde contre la nostalgie et une certaine tristesse en apprenant le décès de cet homme qui a révolutionné le monde du jeu. AD&D, "porte, monstre trésor" c'était toute ma jeunesse .... Et sans lui pas de warhammer puisque son 1er jeu dont j'ai oublié le titre (truc & chivalry ?) utilisait des figs. A une période où la qualité du jeu est en baisse, un grand innovateur de son genre qui vient de partir , c'est triste! Fred

slt il est vrai que cela va vite, très vite mais si on prend le temps de le regarder plein de fois peut être que ... En tout cas c'est très original et la musique a beaucoup plu à mon fils d'un an. Voilou Au fait on ne sait pas si le Joli Dragon a été retrouvé.... Bonne continuation Fred

merci de vos précieux conseils quelques précisions tout de même: - le cuistot halfling est le personnage central à tous les récits d'historiques que j'écris lors des tournois joués par cette armée. Pour la petite histoire, Brise Deniss considère ses talents culinaires comme étant irremplaçables donc pour l'instant il ne l'a pas encore dévoré... - mon adversaire était encore période de test avec son armée, alors que la mienne je commence à la maîtriser. Le but c'était de jouer entre ami et non de gagner obligatoirement, et pis pour une fois que je gagne....... - Damien mon adversaire a développé son armée et me demande une revanche qui va arriver et sera je l'espère conté de même manière A bientôt Fred

« Brise Deniss se triturait consciencieusement le nez depuis cinq bonnes minutes, allongé de tout son long sur une paillasse tout aussi énorme que lui. Le tyran ogre patientait sous sa tente le temps que ses troupes coupent quelques arbres dans une grande forêt. Depuis que son navire s’était échoué le long des côtes bretonniennes, Brise Deniss désespérait de ne pas pouvoir reprendre la mer, il errait sur ces terres, sans autre but que de repartir sur les flots. Mais en vain. Nul navire à « emprunter » à l’horizon. Alors quand cette forêt à l’est de la Bretonnie est apparue, Brise Deniss n’a pas hésité : il allait construire son navire. Qu’importe si ce n’est pas si simple que ça ! Qu’importe si son navire n’allait pas être aussi beau que l’ancien ! Brise Deniss s’en moquait ou l’ignorait complètement (c’était un ogre après tout !). Je fus désigné, moi Petit Jean Bon de Bayon, grand architecte (un comble pour un halfing !!) du tyran Brise Deniss le bien nommé. Et me voilà à expliquer à de grosses brutes autour d’un dessin réalisé hâtivement, mes directives concernant la construction du navire. Il faut avouer que je ne suis pas très rassuré car je n’ai jamais construit quoi que ce soit d’autres dans ma vie que des soufflets au fromage et des gratins de choux. Je suis cuisinier, moi, pas architecte ! Mais quand un ogre de plus de trois mètres de haut vous ordonne quelque chose, il faut être vachement dérangé pour refuser… surtout quand c’est un tyran comme Brise et que l’on a déjà vu ce qu’il fait à ses gnoblars porte-bonheur (qu’il nomme toujours Deniss) à chaque fois que ceux-ci ne font pas bien leur travail ! Je me mis rapidement au travail, tout en essayant de ne pas faire rapidement ce bateau par les ogres. J’espérais au fond de moi que ce chantier serait suffisamment important pour des troupes bretonniennes viennent et me sauvent de ces brutes affamées. Au bout de quelques jours, je ne fus pas déçu. Ce fut le troisième jour, alors que j’exposais mes plans à Brise Deniss, et que celui-ci écoutait, plus absorbé par son doigt dans son nez, que ce que j’espérais arriva. Zaarg, un des fidèles lieutenants de Brise Deniss arriva en courant dans la tente. « Chef, y’a comm’ un problèm ! Y’a des trucs qui bougent dans les arbr’ et pis y’a Yorg qui vient de disparaîtr’ ! » Un cri suivi d’un chant lugubre s’éleva de la forêt. Le campement était attaqué. Brise Deniss mit alors son doigt à la bouche et avala goûlument ce qu’il y avait dessus puis se leva rapidement. Dehors, le camp était en effervescence : La forêt semblait être vivante et se rapprochait dangereusement des tentes. Le chant se poursuivait et semblait devenir de plus en plus puissant à chaque instant. Et des temps en temps, semblaient s’y ajouter des voix surnaturelles semblables au son du vent dans les branches. Je me trouvais près de Brise, les plans à la main. Trois énormes ogres s’approchèrent de lui. Tous se poussaient à leur approche, car visiblement ils étaient très respectés par la horde. Brise Deniss les salua l’un après l’autre par de longues accolades chaleureuses et de brutaux coups de plaques ventrales, signe de très grands respects dans les tribus ogres. Les plaques ventrales, en se cognant résonnèrent dans tout le campement. « Vous v’là enfin, on va pouvoir commencer !, s’écria Brise Deniss. Ce fut à ce moment que le chant issu de la forêt cessa. » PREPARATION DU JEU Voici sous forme un peu « nouvellisée » du rapport de bataille jouée le jeudi de l’Ascension. Nous avions décidé de jouer 3000 points et d’opposer deux armées totalement différente : les Elfes sylvains pour mon adversaire contre mes ogres de Brise Deniss. Pour faire ma liste, je dois avouer que je n’aime pas me battre contre les ES car ils possèdent de types de troupes vachement costauds : les lémures et les Hommes Arbres. A chaque fois que je me suis trouvé face à ces troupes en tournoi, j’ai souffert plus que de raison, alors je me suis dit que cette fois ci on allait frapper fort, très fort pour pouvoir les réduire en fagots. Et puis il y avait 3000 points. Cela allait me permettre de prendre un grand nombre d’unité ce qui est assez rare avec une armée d’ogres. Voici ma liste d’armée : * un tyran, Brise Deniss *2 bouchers, L’Gros Mac et Charrag * Seerwall le Chasseur avec deux tigres * 2 unités de 20 gnoblars * 8 trappeurs gnoblars * 2 unités de 4 buffles * 2 unités de 3 et 4 ventres durs *2 unités de 3 crache plomb * 1 lance ferraille * 2 chevaucheurs de Rhinox * un géant et 3 mangeurs d’hommes J’avais optimisé la force et l’endurance pour pouvoir lutter efficacement contre mes Némésis et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis en face le choix de troupes de Damien mon acolyte : * un seigneur archimage sur licorne * un seigneur combattant avec des gardes éternels * un mage * encore un mage niv 2 * un héros niv2 * une unité d’au moins 10 archers * une unité de forestiers *une unité d’éclaireurs * une unité de danseurs de guerre * 2 unités de chevaliers sylvains avec des arcs bien sûr * une unité de dryades * une unité de 3 lémures Je crois que c’était tout. Damien pourra corriger si je me suis trompé. Mais en tout cas, je disposais de plus de troupes que lui ! C’est extrêmement rare avec des ogres mais cela voulait dire aussi qu’en face, j’avais des personnages et de unités très coûteuses donc très dangereuses. Trois mages dont un seigneur, et que des unités de tirs (sauf les dryades et les lémures). Ca allait chauffer pour mes troupes ! « Stupéfait, je pus apercevoir que la forêt semblait vouloir se déchaîner contre les ogres. Les arbres semblaient observer le campement. Le chant ayant disparu,, le silence était très angoissant,, enfin pour moi.. Les ogres en effet, se préparaient tranquillement à se battre, avec une joie non dissimulée au visage. Les gnoblars s’emparèrent de ce qui leur servaient d’armes et les plus courageux d’entre eux entrèrent discrètement dans la sombre forêt. L’un d’eux revint quelques minutes plus tard. - Maître, ce sont des zoreilles pointues. Ils arrivent ! Zaarg, le mangeur d’elfe ne put retenir un cri de joie mais Brise Deniss resta plus calme. - Allez réveiller mon jouet, ça pourra servir. Le gnoblar partit en courant vers le fond du campement où dormait une énorme créature, jouet de Brise Deniss, depuis que celui-ci l’avait reçu en cadeau de la part de son demi-frère, Seerwall le chasseur. Le géant, fut aiguillonné par des gnoblars qui prenaient un malin plaisir à lui faire du mal. La grande créature, malgré l’imposante taille semblait trembler quand le tyran lui ordonna de s’avancer à la suite des trappeurs gnoblars. Seerwall, accompagné de ses deux tigres le suivit promptement. Ensuite Brise Deniss, son sabre à la main entra dans la forêt, suivi par sa horde. Je dus le suivre, moi aussi, car Brise Deniss tenait toujours à ce que j’écrive toutes ses aventures, même si j’avoue que j’aurais préféré rester à l’abri. Mais on ne refuse rien à un tyran comme Brise Deniss. Les gnoblars montés sur l’immense lance ferraille furent les premiers à apercevoir des elfes. Ils armèrent alors la machine de guerre et envoyèrent tout un tas d’objets hétéroclites sur une unité d’elfes richement vêtus (je sus plus tard que s’y trouvait le chef des elfes !). Mais les gnoblars furent trop optimistes quant à leur estimation. Charrag et l’Gros Mac invoquèrent les pouvoirs de la Gueule, la divinité affamée des ogres, mais la contre magie elfique était très puissante. Cependant, Charrag fut investi d’une force mystique et j’aperçus que certains Ventre Durs semblaient alors protégés par une aura rosâtre. Mais Le Boucher lui, cracha une grande gerbe de sang, quand son système digestif rejeta violemment les tripes de trolls qu’il avait avalé. L’Gros Mac croqua dans une pierre noire, brillante. Cela eut pour effet de lui casser deux dents, mais les Crache Plomb situés non loin de lui, se mirent eux aussi à briller, leur résistance semblant accrue. Les ennemis, cachés parmi les arbres mouvants semblaient insaisissables. On pouvait distinguer des ombres se déplaçant dans les broussailles, avançant et reculant devant la menace des ogres. On put apercevoir seulement à droite, des elfes chevauchant des montures très rapides avancèrent face aux deux chevaucheurs de rhinox. Puis ce fut l’explosion de magie : les elfes invoquèrent des puissances sombres et horribles. Les ogres furent illuminés par les invocations elfiques. Les gnoblars hurlèrent de terreur quand ils aperçurent les arbres qui se mirent à bouger ; les broussailles se mirent à croître ; les branches des arbres formèrent des murs végétaux. Les sentiers que suivait la horde ogre changeaient sous nos yeux et bientôt les troupes de Brise Deniss furent séparées les unes des autres. L’unité d’elfes richement vêtus qui comportaient leur seigneur de guerre se mit à briller d’une manière inquiétante. Mais ce furent les nombreux archers cachés qui furent les plus dangereux : des dizaines et des dizaines de traits partirent en direction de la horde. Ce furent les chevaucheurs de rhinox, les véritables cibles de cette attaque, ce qui les mit véritablement en colère. Beaucoup de flèches atteignirent les ogres mais aucun ne fut gravement blessé. Par contre au centre, les Ventre Durs furent aussi pris comme cible et l’un d’aux fut gravement blessé. Enfin, l’un des Crache Plomb s’écroula, une flèche dans la gorge, dans une mare de sang. Sur notre flanc gauche, on entendit alors un grand craquement. Je compris alors que le géant approchait des elfes en passant sur les flancs et en arrachant les arbres qui le dérangeaient. TOUR 1 La horde avançait toujours malgré le déluge de flèches. L’ennemi était désormais visible et cela mettait les ogres dans une fureur sanglante. De plus, on pouvait apercevoir le géant qui hurla de toutes ses forces alors qu’il gravissait la colline sur notre gauche. La terre trembla quand celui-ci se mit taper contre sa poitrine ses puissants poings. Les crache Plomb sur le flanc gauche s’engagèrent dans un défilé qui venait de s’ouvrir devant eux. Les gnoblars , quant à eux s’engouffrèrent entre deux énormes bosquets, malgré les branches qui fouettaient l’air autour d’eux. Les chevaucheurs de rhinox chargèrent les elfes montés, mais ceux-ci se retournèrent et disparurent dans les bois, laissant les deux ogres pantois. Le reste de la horde avança prudemment, tout en se couvrant les flancs. Tous cherchaient du regard l’ennemi insaisissable. Brise Deniss hurla alors un ordre : - Mes Buffles, ram’nez vous ! Couvrez notre arrièr ! Sur la petite colline, les Ventre Durs aperçurent des elfes qui servaient d’éclaireurs à l’armée ennemie. Mais ceux-ci s’enfuirent tout aussi rapidement qu’ils avaient apparus. Derrière eux, les gnoblars hurlèrent des insultes à ces couards d’elfes, mais ils ravalèrent rapidement leurs propos, car ils aperçurent dans les arbres des elfes outrageusement tatoués qui s’apprêtaient à sauter sur les Ventre Durs, tandis que face aux peaux vertes, s’élançait l’unité du seigneur elfe. La Gueule fut à nouveau invoquée par les deux bouchers. A nouveau, l’un des deux bouchers ravala les longues tripes d’un troll, ce qui pour effet, de le faire vomir du sang. Les Crache Plomb situés au centre de la ligne se mirent à briller. Les gnoblars envoyèrent de nouveau tout un bric à brac d’armes rouillées sur les elfes. Cette fois-ci ce fut l’unité du seigneur elfe qui fut touchée. De nombreux elfes tombèrent. Mais la fière unité continuait sa course vers les gnoblars apeurés. Tout à coup, surgirent des arbres les elfes curieusement tatoués. Ils tombèrent sur les Ventre Durs. Ceux-ci ne purent guère répliquer, car ils furent littéralement massacrés par ces elfes. Ils dansaient,,tournoyaient, autour des mastodontes, d’une telle vitesse que je pouvais à peine les voir. Mais au vu du résultat, je ne pouvais pas douter de leur efficacité. Les autres elfes richement vêtus évitèrent les multiples cailloux que leur envoyèrent les gnoblars. Et en quelques instants, ils massacrèrent les peaux vertes. Les survivants gnoblars s’enfuirent de quelques pas avant d’être rattrapés et leur corps piétinés. Les rhinox furent surpris par ces massacres et fuirent à l’opposé des combats, emmenant les deux ogres vociférants, sous les tirs des elfes. La forêt bougeait toujours, et je pus entendre les cris de frayeurs des autres gnoblars quand ceux-ci se trouvèrent absorbés par l’ombre de la forêt. Quelques instants plus tard,, les survivants sortirent des broussailles. Au centre, d’immenses arbres morts sortirent des bois et s’approchèrent des ogres. Ils furent reçus par la décharge des canons des Crache Plomb, mais les créatures ne bronchèrent point. A gauche, des êtres de bois appelés dryades s’approchèrent des Crache Plomb, qui délivrèrent un tir fourni sur ces êtres. Certains tombèrent mais la plupart avancèrent promptement sur les ogres. Les Crache Plomb prirent alors leur canon et les tournèrent dans l’air comme d’immenses masses. Tour 2 et 3 Le flanc droit de nos lignes venait de s’effondrer ! Brise Deniss hurla sa rage en dégainant ses deux arquebuses et en tirant sur les arbres morts qui avançaient maintenant rapidement dans un simulacre de course vers les deux Crache Plomb. Ceux-ci prirent alors leurs jambes à leurs cous et s’enfuirent vers Charrag. Un hurlement se fit entendre : Le rhinox qui tirait la machine des gnoblars venait d’apercevoir les elfes sur sa droite. Je pus imaginer ses yeux devenir comme fous, alors que l’immense bête raclait le sol de ses sabots. Les gnoblars qui s’affairaient autour ne purent que s’accrocher à ce qu’ils pouvaient avant que le rhinox ne chargeât les elfes. Le choc fut plus que brutal : les elfes furent littéralement broyés sous les coups de cornes, de sabots du bestiau. Rapidement, il ne resta plus rien de la fière unité elfe. Le seigneur elfe fut quant à lui empalé sur l’une des immense cornes du rhinox. Les Ventre Durs, au centre, chargèrent les arbres morts. Mais ceux-ci demeurèrent inébranlables à la puissance des ogres. Les immenses branches frappèrent les ogres, et deux d’entre eux tombèrent. La magie de la Gueule se vit alors, car les blessures se refermèrent et l’un des ogres se releva, à peine égratigné. Les dryades frappèrent les Crache Plomb du flanc gauche, mais ceux-ci rendirent coup pour coup, et les morts étaient importants pour les deux camps. Quelque chose me frappa alors : la forêt cessait peu à peu de bouger, comme si la présence des ogres limitait la magie elfe. En fait- et je ne le sus que bien plus tard- les elfes semblaient être perdus après la mort de leur seigneur, Ils se déplaçaient beaucoup, semblant se rendre compte de la menace ogre. Et puis, le géant venait de s’élancer vers eux en beuglant fortement. Le géant traversa rapidement les bois, mettant à terre chaque arbre qui freinant son avancée. Mais alors, qu’il écartait deux immenses arbres, il fut accueilli par un véritable déluge de flèches : Tous les elfes l’avaient choisi comme cible. Des centaines et des centaines de traits le frappèrent. Si certaines ne lui provoquèrent que bien peu de mal, d’autres ralentirent dans un premier temps sa marche. Puis, à un moment, il mit un genou à terre. Le déluge de flèches ne cessait pas. Le géant mettait son bras pour protéger ses yeux, mais cela ne suffit pas. Il fut gravement touché : Aveuglé, le visage plein de sang,, il s’écroula violemment au sol, faisant trembler la forêt. Dans un dernier effort, le géant tenta de se relever, avant de tomber raide mort, face contre terre. Cette victoire sur cette immense créature fit émerger des rangs elfiques un cri de joie. Mais cela ne dura pas longtemps. Au centre, Brise Deniss et ses compagnons vétérans de plusieurs campagnes, surgirent de l’ombre et fracassèrent les arbres morts. Les Ventre Durs poursuivirent les esprits qui guidaient ces créatures. Mais ils tombèrent alors sur ces elfes tatoués. Le combat s’engagea alors violemment. Il ne resta bientôt plus qu’un ogre esseulé au milieu de corps démembrés. A la mort du géant, Brise Deniss et les mangeurs d’homme furent la cible des archers elfes. De nouveau, un déluge de flèches frappa les ogres. Deux des compagnons de Brise Deniss tombèrent, ce qui fit hurler le tyran qui considérait ces ogres comme ses frères. Sur le flanc gauche, Seerwall envoya ses tigres sur les dryades. Ce combat qui s’éternisait entre les Crache Plomb et les dryades ne laissa qu’un seul ogre gravement blessé. Les autres Crache Plomb qui fuyaient auparavant se regroupèrent autour de Charrag. Tour 4 et 5 Le combat aurait pu continuer encore des heures. Brise Deniss visiblement en rage désignait ses adversaires tout en moulinant de son sabre l’air autour de lui. Puis tout à coup, aussi rapidement qu’ils étaient arrivés, les elfes disparurent. Le silence revint dans la forêt. Les arbres cessèrent tout mouvement. Les ogres auparavant si vaillants rejoignirent Brise Deniss qui arracha de son torse une flèche. Toute menace avait disparu. Mais la colère du tyran ne baissa pas, et ce fut bien sûr Deniss le gnoblar porte bonheur de Brise qui paya de sa vie la fuite des elfes. Le tyran compta ses ogres Un, deux, beaucoup, j’imagine que c’est ce que Brise Deniss a dû se dire quand il a vu tous ses buffles apparaître en vie. Le combat ayant cessé, nous rentrâmes au campement. Alors que je marchais, je me suis dit alors que j’avais intérêt d’être vachement efficace dans mes explications pour ne pas partager le même sort que Deniss le gnoblar. Finalement, la bataille a tourné en ma faveur. Malgré un début de partie plutôt négatif, c’est au moment de la disparition des Gardes Eternelles avec un héros et le général elfe que j’ai vu la victoire à portée de mes mains. De plus, malgré ses dix dés de pouvoir, Damien n’a pas pu user de la magie pour correctement m’affaiblir. Son chant de Loren a été finalement bloqué quand mes troupes empêchaient les forêts de bouger. Pour une fois que les ogres étaient nombreux, cela m’a permis de multiplier les menaces. Damien a été pris par les flancs et même si il a réussi à éviter le contournement, notamment en élimant la menace du flanc droit. C’est l’arrivée du géant sur le flanc gauche qui a libéré la pression que je subissais au centre depuis le début. J’ai perdu mon géant en un tour de tir, mais j’ai gagné la partie (victoire mineure, mais victoire tout de même) Nous avons joué 5 tours mais le 6ème n’aurait pas changé le résultat de ce combat puisque je n’allais pas perdre beaucoup de points en un tour alors que des unités de Damien étaient en position d’être chargés. Ce fut une partie bien intéressante surtout dans l’opposition de ces deux armées : bourrins coûteux que sont les ogres face à agiles et rapides elfes. A la prochaine donc. Fred « Brise Deniss », plus connu ici comme Morzy l'oye