Aller au contenu
Warhammer Forum
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt
  • advertisement_alt

Fourberass

Membres
  • Compteur de contenus

    382
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Fourberass

  1. Salut :evilgrin: !!!

    Dommage, c'est trés court. Mais fort heureusement, le peu que tu nous livre est toujours bon ^_^ !!! L'action est toujours bien mené, et on attends avec impatience la suite des évènements. Tu sais donc ce qu'il te reste à faire ^_^ ...

  2. Salut les gens :whistling: !!!

    Et voici le cinquième épisode des aventures de la vie de Gromphall. J'ai encré celle-ci, contrairement aux autres que je n'ai pas eu le courage(pour l'instant...) de reprendre.

    Fourberass, tu es très très fort.

    J'adore.

    Ha cette super Souris :whistling: ...Elle arrive à faire des rimes même dans la section dessin :wink: !!!

    Allez, here come the suite:

    Page 5

    Bonne journées les gens et à bientôt :crying: !!!

    EDIT:

    Pour ceux qui n'aurait pas pu lire la dernière planche, j'ai édité le lien. Merci donc à Xédéos pour me l'avoir signalé :lol: !!!

    Bonne lecture et bonne soirée les gens :D !!!

  3. Salut :evilgrin: !!!

    Hum, le bon texte bien trash :wink: !!! Tout comme je les aime quoi :mrgreen: !!! Tu l'auras compris, je me suis régalé à la lecture de ce txte, même si le style est parfois inégal...

    J'ai beaucoup aimé ce passage:

    Seul dans la tente, une fois la jeune femme partie, Kharlet murmura pour lui :

    Désolé petite sœur, désolé…

    Je ne sais pas pourquoi, mais il m'a interpellé...

    En tous cas, j'aime bien ce récit plein de violence, de passion et corruption :whistling: . L 'intrigue est bien menée et tu maitrise le sujet: félicitation :innocent: !!! J'espère que tu ne te décourages pas et que tu vas bientôt nous pondre une suite :skull: !!!

    Bonne chance :clap: !!!

  4. Salut :whistling: !!!

    Ben voilà un texte ma foi sympathique. La trame est interrressante, le personnage principal attachant...

    Pour est ce qui est du style, quelques tournures me laissent parfois sceptique mais l'ensemble est bon. C'est cohérant, écrit dans un style dépouillé et jamais lourdingue, c'est plaisant à lire...

    En tous cas l'histoire m'a bien accrochée, ce qui fait que j'attends une suite avec impatience :innocent: !!!

  5. Salut à toi le sire :whistling: !!!

    Que dire sinon que j'ai été enthousiasmé par ce texte sympathique. C'est bien écrit, épique et rédigé dans un esprit tres...bretonnien :evilgrin: !!!

    Fait attention dans la dernière partie:

    Tout était quiet

    rapport avec quietude? Tu voulais calme j'imagine...

    comptant les étoiles filantes

    Je doute qu'il en passe suffisement en une seule nuit pour qu'il puisse les compter...

    qu’ils défoncèrent de même

    "défoncèrent" sonne mal (familier), j'aurais plutôt mit "enfoncèrent"

    les chevaliers de la quêtes sortirent aussi et choisirent les ennemis les plus proches qu’ils défoncèrent de même. Puis deux unités de chevaliers errants firent de même… avec le même succès.

    Ca fait beaucoup de même à la suite...

    Voilà, sinon c'est bien. Continu dans cette voie et bonne chance pour la suite :innocent: !!!

  6. Salut les gens :whistling: !!!

    Merci à tous pour vos encouragements et vos compliments, ça fait plasir à lire :innocent: !!! Pour Kososvar: non c'est juste un hobby et ca le restera je pense car je n'ais pas le niveau pour m'imposer face à ce qu'on voit actuellement sur lez marché de la bd...

    Enfin, c'est pas tout ça mais voici la planche 4, et je vais essayer de toutes les encrer d'ici à ce soir...

    Page 4

    Voilou, en espérant que ça vous plaise toujours :evilgrin: ...

    Bonne journée les gens :mrgreen: !!!

  7. Re :blushing: !!!

    Sans plus attendre, voici la suite des (més)aventures de Gromphall <_< !!! C'est toujours du crayonné, mais je pense que je vais quand même encrer les deux dernières planches, ça rends un peu mieux sur certains points...

    Page 3

    Bonne soirée les gens :huh: !!!

  8. Merki Impe pour les encouragements :blushing: !!!

    J'ai finit la seconde planche, mais je l'ai laissé au crayonné. Qu'est ce que vous en pensez? Je trouve que le rendu est parfois meilleur. Au pire, je la retoucherais plus tard...

    Page 2

    Voilà, voilà...A++ les gens <_< !!!

  9. Warf! Une jungle à la sortie de Mordheim :lol: !!! C'est une pub pour le supplément lustrie ou quoi ^_^ ?

    J'ai hate de voir la chute (ou pas, ça dépends <_< ...) de cette superbe bd en commun. Que de talents concentrés sur une même oeuvre, on devrait en laisser un peu aux autres :) B) !!!

    Fourberass, non!!! Pas 4 jours avant la suite :huh::blushing: !!!

  10. Salut les gens :huh: !!!

    Et voilà la suite (dans les temps :blushing::lol:<_< ...). Pffiou!!! C'est chiant à dessiner les femmes. J'espère que ça vous plaira quand même. En tout cas, le combat promet d'être sanglant ^_^ :

    Page 1

    Page 2

    Vivement la suite :) !!!

    Allez bonne journée et à plus les gens ^_^ !!!

  11. Salut ^_^ !!!

    J'avais commençé à lire ce texte il y a quelques temps, puis j'en avais abandonné la lecture pour diverses raisons...

    J'y reviens à présent avec grand plaisir pour plusieurs raisons également: Et bien ça fait du bien de lire un bon texte fendard de temps en temps, ça change un peu...Et je dois dire que celui-ci est paticulièrement drôle et percutant. Les protagonistes sont bien sur attachant, et on se marre du début à la fin car ton humour est bien particulier, mais pas redondant. Tu manipule bien le sujet (surtout le comique de répition avec les rêves à la con de serge ^_^ !!!), et l'histoire est plaisante à suivre.

    J'attends donc une suite avec impatience, et j'espère que tu vas continuer à nous faire marrer longtemps ^_^ !!!

    Bonne chance pour la suite et à bientôt ^_^ !!!

  12. Du calme les gens :wink: !!! Otaji à encore jusqu'a minuit pour se manifester, rien n'est perdu...

    Mais s'il y a désistement, je ne suis pas présent cette fois-ci :whistling: !!! Laissez la place à Impe, je crois qu'il était bien motivé pour remplacer quelqu'un...

  13. Salut :whistling: !!!

    Pas mal cette suite, tout s'enchaîne vite (qu'est ce qu'il est fort ce Neryme :skull: !!!) et les préludes de chaudes retrouvailles nous laisse tout frétillants d'impatience :wink: !!!

    Quelques petites remarques sur la forme:

    il passerait par là pour se garder les murailles pour sa fuite

    la répétition de "pour" rend la phrase un peu lourde...

    Neryme croisa différents serviteurs mais aucun d’eux ne s’alarma sur sa présence

    Il ne vaudrait pas mieux dire "de" sa présence?

    la porte qui était gravée d’une rose entrelacée de deux soleils.

    J'aurais plutôt vu le contraire. Je vois mal des soleils s'entrelacer autour d'une rose...

    Sinon c'est du tout bon. On attends la suite du coup :evilgrin: ...

    A++

  14. Salut Taurnil ^_^ !!!

    Alors comme ça on écrit au lieu de dessiner sa planche de la bd commune ^_^^_^ !!! Et qui c'est qui se tape le boulot après :clap: ?

    Bon, pour le texte en lui-même c'est pas mal. On sent l'influence d'un fan de manga qui mélange un peu les genre. Au final, ca donne quelque chose d'étrange mais pas gerbogène non plus. J'espère que le récit de bataille sera sanglant et qu'on y retrouvera tout ce qui fait le charme des batailles asiatique (avec moult combat au sabre et tout et tout...)

    Attention à ce que la soupe ne devienne trop dure à digérer en mélangeant trop brutalement certaines choses incompatible avec le fluff 40K...

    Bonne chance pour la suite :clap:!!!

  15. Je vais déménager dans deux semaines et n'aurais pas un accés internet aussi rapide et économique que maintenant. Par conséquent, j'arrète de poster ici et dans ce magnifique forum.

    ^_^ ...Alors ça c'est bien dommage ^_^ ...

    Par contre, si vous voulez suivre l'aventure, envoyez moi un MP ou un e-mail et je vous enverrais le document en format Word pour que vous puissiez le lire à la maison (quand je finirais un bout de l'histoire, bien sûre).

    Compte sur moi en tout cas. Je n'ai pas l'intention de rester sur ma faim ^_^ !!!

    A bientôt donc, ici ou ailleurs :clap: ...

    A++

  16. Saut les gens ^_^ !!!

    J'ai trouve le temps entre deux cours le peinturlurage de figo et ma femme, pour pondre une suite de la loi...L'histoire avance doucement et j'espère que vous suivez toujours le tout avec plaisir ^_^ ...

    Enjoy...

    Un vent glacé et mordant fouettait le visage austère de Franky. Il avançait d’un pas pressé au milieu des ruelles sombres et sordides de Dusts Falls en direction du repaire de la grosse Ursula, là où devaient se trouver toutes les réponses à ses questions. Du moins, il l’espérait…

    Franky, plongé dans ses sombres pensées en tirant nerveusement sur sa énième cigarette de la journée, ne prêtait guère attention à la foule de clochards et autres parias qui croisaient son chemin, ni aux amas d’immondices qu’il enjambait machinalement pour poursuivre sa route. D’une main, il jouait avec le paquet de cigarettes Wild Seven offert par le commodore avant son départ du repaire, et de l’autre il caressait dans sa poche la crosse de l’arme volée quelques heures plus tôt à Bolton. En fait, Franky était inquiet et de néfastes questions venaient assaillir son esprit : Et si Khayleen n’avait finalement rien appris chez Ursula ? Peut-être que les Delaque l’avaient éliminée pour le plaisir ou juste pour l’atteindre lui ?

    Franky essaya de se persuader du contraire mais alors qu’il se rapprochait du terrier de la grosse Ursula, d’autres angoisses venaient le tourmenter :

    Et si les Delaques s’étaient également attaqué à la Mère Maquerelle ? Sachant qu’elle possédait des informations sur leur trafic, peut-être avaient-ils voulu la faire taire à son tour ? Cela paraissait peu probable pour deux raisons : Premièrement on ne s’attaquait pas impunément à la grosse Ursula, et cela aurait peut-être eu raison de leur secret. Ensuite, il n’y avait pas de raison pour que les Delaque s’inquiètent à propos de ces informations, puisque Franky et ses hommes étaient censés être morts à l’heure qu’il était.

    Franky jeta sa clope à moitié fumée dans un caniveau tout proche où elle vint se noyer dans une flaque d’eau saumâtre.

    Franky passa ensuite nerveusement une main dans sa tignasse blonde ébouriffée et tacha de se ressaisir. Il se dit que réfléchir et se tourmenter à propos de tout cela n’était guère constructif. Le mieux était de constater les faits sur place et d’agir en conséquence. Il avait toujours procédé ainsi, et il se devait de garder la tête froide dans cette affaire. Aucune erreur ne lui serait pardonnée, il devait donc agir avec sang froid…

    Quelques minutes plus tard, Franky se trouvait devant la façade brinquebalante et bariolée de l’antre des plaisirs de la grosse Ursula.

    Irma, la vieille Ratskin diseuse de bonne aventure, détourna le regard lorsque Franky passa devant elle, son grand manteau de synthé-cuir noir frôlant la vielle femme dans un bruit de froissement sinistre. Après un bref coup d’œil à l'ancêtre Ratskin, Franky gravit les quelques marches qui menaient vers le porche et se retrouva face à Rothus, le videur. Franky ne pouvait apercevoir le regard de l’athlétique gardien, caché derrière ses lunettes noires fumées, mais nul doute qu’il aurait pu y lire une certaine animosité. En effet, Franky n’était guère en bons termes avec la plupart des membres de l’établissement. Ses manières musclées et son franc-parlé n’avait pas plu à tout le monde. Et c’était à cause de lui que Khayleen, leur meilleure pensionnaire, était partie…

    Le grand balaise vint se poster juste devant Franky, lui barrant ainsi le passage. Puis il s’adressa à lui d’une voix grave et profonde :

    « Qu’est-ce que tu fous ici Franky ? Je croyais que toi et ta bande vous vous étiez fait tuer il y a quelques jours de cela… »

    « Comme quoi il ne faut pas écouter les ragots… », répliqua Franky d’un ton sarcastique, « Maintenant laisse moi passer… »

    « Tu n’es pas le bienvenu ici Franky, et tu le sais… », dit Rhotus d’un air mauvais.

    « Je ne plaisante pas Rothus, laisse moi passer ou ça va mal aller pour toi… », insista Franky qui le foudroya du regard.

    Rothus hésita un instant. Lorsqu’il était en colère, Franky était vraiment effrayant, et peu de gens pouvait soutenir son regard noir et haineux lorsque celui-ci s’énervait. Néanmoins, le videur tint bon et répliqua d’une voix ferme:

    « Inutile de me menacer…Tu ne rentreras pas un point c’est tout !!! », un léger tremolo dans l’intonation de sa voix à la fin de sa phrase trahit néanmoins l’inquiétude qui était la sienne.

    Puis il entendit un déclic et sentit quelque chose de dur s’enfoncer dans son abdomen. Il tressaillit puis baissa les yeux vers son ventre :

    Dans l’ombre de son manteau, Franky avait dégainé un revolver et l’avait profondément enfoui dans l’abdomen du videur. Et son pouce venait d’armer le chien de l’arme…

    Paniqué, Rothus leva les yeux vers Franky qui le fixait d’un air calme mais résolu :

    « Ecoute moi bien Rothus : Aux yeux de tout le monde, je suis mort. Je n’ai plus rien à perdre maintenant alors sache que je n’hésiterai pas à tirer… »

    Rothus poussa un profond soupir. Franky ne bluffait pas. Il était tout à fait capable de l’abattre sur place. Rhotus n’en revenait pas : Qu’est-ce qui avait bien pu arriver à Franky ? Qui avait voulu les tuer, lui et Khayleen ? Quelque chose lui dit que s’il était venu ici, ce n’était pas pour rien.

    « D’accord Franky…T’as gagné… », répondit le videur d’une voix résignée, tout en faisant un pas en arrière.

    Il regarda Franky ranger son arme et avancer d’un pas déterminé, sans même lui porter un regard.

    « Mais tâche de ne pas faire de bêtise à l’intérieur, Ok ? », ajouta-t-il en ouvrant la porte pour laisser passer Franky. Des accords de musique suave venus de l’intérieur résonnèrent dans le silence lugubre de la ruelle.

    Ce dernier passa devant lui et repondit d’une voix glaciale :

    « Ca, ça dépend de ta patronne… »

    Puis sa silhouette disparut dans les ténèbres de l’établissement.

    Une minute plus tard, Franky se trouvait dans la grande salle principale du bordel et scrutait les environs de son regard sombre. La salle était emplie d’une odeur oppressante de tabac, de sueur et de parfum bon marché, tout comme la dernière fois qu’il était venu ici.

    La plupart des prostituées avaient remarqué son entrée et chuchotaient entre elle d’un air étonné, craintif, ou méfiant. Certaines furent même effrayées par l’apparition de cet homme censé être mort et qui charriait derrière lui une bien mauvaise réputation au sein de ce lieu. La plupart des clients vinrent à se demander qui était cet homme qui provoquait autant d’émoi auprès de leurs conquêtes d’un soir. Puis soudain ils le virent se diriger d’un pas assuré vers le comptoir. La plupart des jeunes pensionnaires s’écartèrent sur le passage de Franky qui de toute façon ne leur prêtait guère attention.

    Seule une d’entre elles vint se mettre en travers de son chemin. Franky s’arrêta net et la reconnut tout de suite : c’était Katrina, une pute qui faisait office de bras droit de la grosse Ursula. Cette jeune femme, qui fut belle dans le temps, s’occupait du recrutement des nouvelles venues et d’une partie de la gestion des affaires du bordel. C’était également une des meilleures amie de Khayleen, autrefois…Ses yeux verts et félins, dans lesquels brillait une lueur de colère, le fixaient froidement.

    « Qu’est-ce que tu viens faire ici !?! », gronda-t-elle. Elle contenait à peine sa colère.

    « Je suis venu voir Ursula. Où est-elle ?!? », demanda-t-il en la regardant droit dans les yeux.

    « Elle n’est pas là…Et de toute façon tu n’as rien faire ici, alors vas-t’en !!! », répliqua-t-elle avec fureur.

    « Je ne partirais pas d’ici avant d’avoir vu Ursula… », répondit Franky d’un ton glacé.

    Katrina frissonna mais resta fermement campée devant Franky. Elle refusait de céder face à lui…

    « Va-t’en Franky !!! », dit-elle en haussant le ton.

    « NON !!! », hurla Franky. Toute l’assemblée sursauta et de nombreux clients étonnés se retournèrent vers Franky et Katrina qui regardait l’assistance d’un air embarrassée.

    « Je veux voir Ursula et je veux la voir tout de suite… », gronda Franky qui perdait patience.

    « Je t’en prie ne reste pas là, tu déranges la clientèle… », murmura Katrina en jetant à la ronde des regards angoissés.

    « Je n’empêche pas ces gens de baiser que je sache !!! », s’écria Franky qui comptait gâcher la sérénité des lieux jusqu'à ce qu’il obtienne ce qu’il voulait.

    « Arrête Franky… »

    « Où est Ursula !?! »

    « Je suis là… »

    Franky tressaillit un instant puis se retourna lentement vers la voix qui venait de retentir. Comme il s’y attendait, la grosse Ursula se tenait là et le fixait d’un air désobligeant tout en tirant sur son immense fume-cigarette.

    « Qu’est ce que tu veux Franky ? », demanda-t-elle d’un ton glacial.

    « Je suis venu te parler de Khayleen…Je veux te voir en privé… », répondit Franky tout en s’avançant lentement vers elle.

    Ursula fut parcourue par une sorte de frisson et son visage flasque se tordit en une moue dégoûtée.

    « Je n’ai rien à te dire Franky… », répliqua la grosse tenancière d’un air méprisant.

    « Ho que si !!! Tu vas me dire de quoi vous avez parlé toutes les deux lorsqu’elle est venu te voir la dernière fois… »

    « Va te faire voir Franky !!! », s’écria Ursula, « Je ne veux rien avoir à faire avec toi !!! »

    Puis l’opulente matronne tourna furieusement les talons et commença à s’éloigner d’un pas dandinant. Elle fut aussitôt stoppée par Franky qui lui agrippa fermement le poignet et l’obligea à faire volte-face. Aussitôt Franky entendit un puissant déclic sur sa droite. Sans même tourner la tête, il dégaina son pistolet automatique et le braqua vers le comptoir du bar sur sa droite. Un murmure de stupeur et d’appréhension parcourut alors l’assistance. Franky tourna lentement la tête sur sa droite et aperçut ce qu’il pensait bien avoir entendu : la serveuse du bar avait sortit un énorme fusil à pompe de derrière son comptoir et le braquait sur Franky en le fixant d’un air mauvais.

    La tension dans la salle était palpable et nul n’osait bouger de peur d’entendre soudain une puissante détonation. Franky retourna alors son regard vers Ursula qui ne se débattait pas mais le fixait d’un air mêlé de crainte et de colère.

    « Dis à ta porte-flingue du dimanche de baisser son arme… », lui dit calmement Franky , « De toute façon elle tremble trop pour viser droit… »

    Une grimace haineuse vint déformer le visage adipeux de la grosse Ursula qui se mit à hurler de rage :

    « Comment oses-tu !?!Tu débarques dans mon établissement, tu me menaces et en plus tu oses me donner des ordres !?! Tu ne manques pas de culot !!! »

    « Je veux savoir ce que tu as dit à Khayleen lorsqu’elle est venue te voir !!! », cria Franky qui gardait son arme braquée sur la serveuse.

    De grosses larmes se mirent à couler sur les joues graisseuses d’Ursula et elle se mit à mordre sa lèvre inférieure charnue et vermillon.

    « Espèce d’enfoiré !!! », se mit-elle à vociférer, « Elle est morte par ta faute !!! Si tu ne me l’avais pas enlevé, elle serait vivante à l’heure qu’il est !!! »

    « Si je ne te l’avais pas enlevé, elle serait en train de pourrir dans ce bordel minable où tu essayes de te faire passer pour une mère du peuple auprès de toutes ces pauvres filles que tu exploites !!! », répliqua Franky fou de colère. Ursula se mit à pleurer de plus belle et la plupart des clients décidèrent de quitter discrètement les lieux, sous les regards navrés ou envieux des filles qui auraient aimé en faire autant.

    Franky lâcha violemment le poignet de la grosse tenancière et abaissa son arme d’un air dépité. Ursula s’affala lourdement sur un vieux canapé tout proche et se mit à éclater en sanglot. La vue de cette grosse femme en larmes inspira un profond sentiment de pitié à Franky qui ne put réprimer un soupir de lassitude. Il rangea son arme dans son manteau et s’approcha doucement d’Ursula.

    « Pleurer et se lamenter ne servira rien… », le ton de Franky s’était adouci et sa voix était presque apaisante à présent, « Je peux venger Khayleen, la solution est à portée de main. Mais tu dois absolument me révéler ce que tu as dit à Khayleen avant qu’elle ne meure… »

    Murée dans le silence, Ursula se contentait de pleurer, le visage profondément enfoui dans ses mains. Plusieurs filles s’approchèrent timidement d’elle en restant à distance de Franky et Katrina vint s’assoire à côté de sa patronne dans l’espoir de la consoler. Franky jeta un regard vers la serveuse et vit que celle-ci avait aussi abaissé son arme et le regardait d’un air navré.

    Franky tourna à nouveau son attention vers Ursula, puis reprit la parole :

    « Je sais que tu penses que j’ai battu Khayleen et que je lui ai fait subir d’autres choses encore plus immondes, mais il est temps de cesser de te voiler la face. Tu as médit sur mon compte juste parce que tu étais amère et frustrée d’avoir perdu Khayleen. Mais maintenant elle est morte et il est temps de mettre de côté nos différends. Rien de ce que nous pourrons faire ne pourra la ramener, mais à présent nous pouvons la venger, nous en avons les moyens. Venger sa mémoire, c’est tout ce qui nous reste, et elle le mérite… »

    Toutes les filles baissèrent les yeux et certaines s’écroulèrent en sanglot sur des fauteuils tout proches. La grosse Ursula par contre ravala ses larmes et leva ses yeux dégoulinant de rimmel bon marché vers Franky, qui la regardait profondément.

    « Je n’ai jamais aimé quelqu’un comme Khayleen…Tu dois m’aider… », la voix de Franky n’était plus qu’un murmure tant cette douloureuse révélation semblait lui avoir ôté toute force.

    Lui et Ursula se fixèrent longuement, puis finalement l’énorme gérante se redressa péniblement tout en séchant ses larmes. Puis il y eut un long silence au bout duquel elle finit par dire :

    « Suis-moi. Allons discuter dans l’arrière boutique… »

    Puis elle se tourna vers Katrina et ajouta :

    « Ferme la boutique, tu veux ? Plus personne ne viendra ce soir…Et amène nous une bouteille de Whyskar… »

    Puis Ursula fit signe à Franky de la suivre et celui-ci lui emboîta le pas. Bientôt, ils disparurent dans le bureau d’Ursula et les filles s’activèrent pour tout ranger avant de terminer la soirée.

  17. Salut ^_^ !!!

    Je m'excuse pour cette réponse tardive mais on ne fait pas toujours ce qu'on veut ^_^ ...

    Une erreur technique m'ayant fait foiré (boulet...)mon beau commentaire, je me contenterais d'une impression générale que j'étayerais ultérieurement...

    Je dois dire que ce récit m'a envouté, et ce pour plusieurs raisons:

    -Les descriptions. Elles sont nombreuses, chargées mais digestes, et véhiculent une atmosphère baroque et ténébreuse tout à fait propice au sujet du texte.

    -La trame, palpitante et dans laquelle l'action est présente mais pas au détriment du récit lui même (ce qui est trop courant dans la plupart des textes). Les personnages sont également attachants, si je puis me permettre...

    -Enfin, le style. Fluide et agréable à lire, il contribue énormément au charme de ce texte, et ton vocabulaire et étendu et choisie...

    Je ne corrigerais pas les fautes d'orthographe car mon confrère Gemini Dragon s'en charge déjà, et il le fait bien mieux que moi :clap: ...

    Tout ça pour dire, encore bravo à toi pour ce trés bon texte dont j'ai hate de lire la suite ^_^ !!!

    Bonne continuation et bonne chance pour la suite de ton récit :clap: !!!

  18. Bon ben voilà, c'est pas grand chose mais ça fait avancer un peu l'histoire. Enjoy ^_^ ...(la suite bientôt j'espère ^_^ ...)

    Quelques minutes plus tard, Franky était assis devant un verre de Whyskar du Serpent aveugle et fumait avec délectation sa seconde cigarette « Wild Seven » de la journée.

    En face de lui, immobile et imposant comme une montagne, se trouvait le Commodore : tout dans le physique et dans l’attitude de cet homme imposait le respect. C’était une véritable force de la nature avec des épaules larges comme celles d’un Zek et une stature trapue mais massive comme celle d’un guerrier Squat.

    Son visage buriné et taillé à la hache était figé en une expression de profonde concentration. Son crâne rasé surmontait un front proéminent et des sourcils fournis, dans l’ombre desquels se dissimulaient des yeux bleus comme l’acier qui fixaient Franky avec attention. Le menton du Commodore, large et carré, remuait doucement au rythme de l’énorme cigare qu’il mâchouillait mécaniquement, puisqu’il était éteint depuis longtemps. Voir sourire cet homme était un privilège rare, qui ne fut accordé qu’a peu de personnes. Pour parachever le rude tableau de cet homme à l’aspect inflexible, une large cicatrice traversait la partie droite de son visage de haut en bas, souvenir de ces nombreuses années de guerres dans le sous-monde.

    En effet le Commodore Falco A. Drake, ou tout simplement surnommé le Commodore, n’était pas le premier venu.

    Il était le chef du redoutable Gang Orlock « la Camarilla », et de ce fait le plus puissant représentant de la Maison de Fer Orlock dans cette partie du sous-monde. Durant toutes les années où il avait dirigée la Camarilla Orlock dans son ascension vers la gloire et le contrôle de Dusts Falls, le Commodore avait acquis une solide réputation de dur à cuire et de fin stratège. A présent, il était l’un des chefs de gang les plus craint et les plus respecté de Dusts Falls et de toute la zone alentour.

    Sa réputation n’était égalée que par quelques autres légendes urbaines, et notamment le célèbre Baron Vladimir des « Revenants » Delaque, son adversaire de toujours.

    En effet, Franky n’était pas venu voir le Commodore pour rien, car il savait que lui et sa bande de redoutables Orlock serait un atout majeur dans sa guerre contre le Baron. Sans l’aide de ce vénérable chef de gang, Franky n’avait quasiment aucune chance de parvenir à ses fins, c’est pourquoi il devait jouer serré sur ce coup là.

    Franky fixait le Commodore avec un mélange d’amusement et de profonde considération. En effet, ce dernier était l’une des rares personnes qu’il respectait vraiment dans ce lieu corrompu qu’était le sous-monde. Le Commodore était l’un des derniers représentants de cette race d’homme de principes, régit par un code de l’honneur et respectant des valeurs primordiales tel que la loyauté et le respect. Tel l’esprit de la ruche adoré par Mehani, il était généreux dans sa bonté mais implacable dans sa vengeance. Et plus que tout, c’était un homme de parole sur lequel on pouvait compter. Lorsqu’il promettait récompense, il l’a donnait, et lorsqu’il promettait la mort, il l’a dispensait aussi…

    Franky et son frère avaient travaillé pour la bande du Commodore en tant que mercenaires.

    Les services des deux frères avaient été fort apprécié par le vieux routard et ce dernier leur avait même proposé de rejoindre définitivement le gang. Mais à l’époque, pour plusieurs raisons, Franky et Johnny avaient préféré quitter le groupe pour former leur propre gang. Franky et le Commodore s’étaient quitté en bons termes et il avait toujours prit garde à entretenir de bonnes relations avec le vieux chef de gang Orlock.

    C’est pourquoi le Commodore avait accueillit Franky avec chaleur mais aussi beaucoup d’étonnement :

    En effet, la rumeur de la mort de Franky et de l’extermination de son gang avait rapidement fait le tour des milieux autorisés de Dusts Falls, c’est pourquoi les Orlock avaient tout d’abord été surpris et certains avaient même cru à un piège…

    Finalement, après une âpre discussion avec les gardiens du repaire, Franky avait réussit à obtenir une entrevue avec le Commodore. Cela n’avait pas été simple, mais si le puissant chef de gang en était arrivé jusque là, c’est parce qu’il avait toujours su agir avec une extrême prudence.

    Un silence pesant régnait donc dans la pièce alors que chacun évaluait silencieusement l’autre. Franky et le Commodore n’étaient pas seuls dans la pièce : outre les deux hommes de mains armés jusqu’aux dents qui gardaient la porte du bureau, il y avait Zeke le rouquin, le bras droit du commodore. Zeke était un officier du vieux chef mais aussi son plus vieil ami, son homme de confiance. Engoncé dans un perfecto noir clouté, ses yeux verts et perçant observait Franky par dessus sa tignasse rousse qui lui avait valu son surnom. Et curieux mimétisme, son visage buriné et mal rasé était barré par un gros cigare à l’aspect passé qu’il mâchonnait rêveusement, tout comme son supérieur.

    Enfin, tapis dans l’ombre à la gauche du chef se trouvait Slide le furtif, un personnage aussi frêle que le Commodore était large.

    Ce jeune homme fin et élancé d’une vingtaine d’année avait fait ses débuts en tant que Kid au sein de «la Camarilla », mais avait gravit les échelons de la hiérarchie à une vitesse stupéfiante. En effet, derrière son visage angélique, ses beaux yeux bleus rêveurs et ses cheveux blond rasé façon militaire, se cachait une intelligence retorse et un sens inné de la stratégie doublé d’une formidable aptitude à la guérilla urbaine et aux combat furtif, d’où son nom. Tout comme son homologue roux, il ne quittait pas des yeux Franky, que contrairement à Zeke, il n’avait jamais connu de part son jeune age. Cela expliquait peut-être l’apparente méfiance avec laquelle il considérait cet invité surprise, que jusqu'à peu on croyait mort.

    Soudain, le Commodore brisa le silence d’un raclement de gorge. Puis, une fois qu’il eut écrasé son vieux cigare dans le cendrier devant lui, il prit la parole. Sa voix de stentor résonnait gravement dans l’exiguïté de la pièce enfumée :

    « Ecoute Franky, tu as joué, tu as perdu. », la voix rauque et profonde du Commodore était à la fois rassurante de part sa chaleur, mais sa puissance imposait le respect, « Tout cela ne me regarde pas. Si ton frère s’est foutu dans la merde, c’est ton problème, pas le mien… »

    Franky se redressa vivement en frappant du poing sur la table :

    « Merde Drake !!! Tu ne comprends pas que ce n’est pas qu’une simple histoire de vengeance!!! », Franky était furieux mais il devait conserver la tête froide. S’énerver face au Commodore, cela revenait à foncer la tête droit dans un mur de Rocbéton.

    « Les Revenant préparent un coup !!! Ca va bien plus loin qu’un simple trafic de drogue !!! Les Delaque fomentent quelque chose, je ne sais pas exactement quoi, mais mon instinct me dit qu’il se trame quelque chose de pas net !!! »

    Un silence suivit la déclaration enflammé de Franky. Lorsque celui-ci s’était levé, tous sauf le Commodore avaient porté la main à leurs armes. Puis le Commodore reprit d’une voix calme et posée :

    « Assis-toi Franky… », le ton de sa voix bien que placide, était sans appel. Il n’avait même pas besoin de rajouter « tout de suite »…

    Franky le fixa d’un œil furieux, puis se rassit lentement tout en allumant nerveusement une nouvelle cigarette. Le Commodore put alors reprendre la parole :

    « Franky, je ne déclencherais pas une guerre avec les Delaque sous prétexte que ton putain de petit doigt te l’a soufflé à l’oreille…Tu sais très bien où cela peut nous mener. Inutile d’essayer de m’impliquer dans tes histoires de vengeance…»

    « Arrête de te voiler la face Drake », Franky devait trouver l’argument décisif, alors il se dit qu’il fallait tenter le tout pour le tout, « Depuis des années tu cherches un bon prétexte pour t’attaquer au clan Meinkoff, mais tu ne le fais pas parce que les dirigeants de la maison ruche ne te suivront pas sans une bonne raison…Alors tu ronges ton frein et tu te contente d’un Statu Quo merdique où tu n’as rien à gagner… »

    « Ca c’est ton point de vu Franky… », reprit le Commodore d’un ton glacé.

    « Ecoute Drake… », Franky se pencha vers le Commodore en brandissant sa cigarette pour appuyer son propos, « Je t’offre le Baron Vladimir sur un plateau d’argent. J’ai remué de la merde, j’ai la certitude que lui et sa troupe prépare quelque chose de fumant et ça risque de ce retourner contre toi… »

    Le Commodore fixait Franky et dans ses yeux se lisait un sentiment mêlé de considération et d’agacement. Le Commodore appréciait le culot de Franky, qui refusait même de l’appeler par son titre honorifique, mais il devait faire attention à ne pas dépasser les bornes :

    « Tout ça c’est du bluff Franky. Tu essayes de m’embobiner avec tes belles paroles, mais je ne vois rien de concret dans tout ce que dis… »

    Cette échange verbal galvanisait Franky, son sang bouillait dans ses veines car il savait qu’il était proche du but :

    « Et si je t’apporte la preuve que le Baron et ses Revenants prépare quelque chose de gros ? Tu serais prêt à me suivre ? », Franky observait intensément Drake avec un petit sourire au coin des lèvres.

    « Khayleen a apprit quelque chose chez la grosse Ursula, c’est pour ça que les Delaques l’ont éliminée et moi aussi par la même occasion. J’en mettrais ma main au feu !!!»

    Un lourd silence s’abattit à nouveau sur la pièce. Tous les regards étaient à présent tournés vers le Commodore. Le front de ce celui-ci s’était barré d’un pli soucieux et il se frottait le menton d’un geste nonchalant. Ses yeux se plissèrent jusqu'à devenir deux fentes obscures et les doigts de sa main droite se mirent à marteler nerveusement la table.

    Franky jubilait intérieurement : il avait acculé le Commodore et l’avait forcé à reconsidérer sa proposition. Il fallait que ça marche, il le fallait…

    Puis la voix grave et guttural du Commodore retentie à nouveau :

    « J’imagine que je ne perd rien à te laisser allez là-bas… Et si tu dis vrai, je pourrais peut-être reconsidérer ta proposition. Mais si tu t’es foutu de moi, il est inutile de revenir ici…», une sombre menace pesait sur les dernières paroles du Commodore.

    Un large sourire satisfait se dessina sur le visage de Franky qui se renversa en arrière dans son fauteuil d’un air triomphant.

    « Tu ne regretteras pas de m’avoir fait confiance Commodore… »

    Puis il ferma les yeux et inspira profondément une nouvelle bouffée de fumée en réfléchissant au prochain coup qu’il allait jouer sur l’échiquier de sa vengeance.

    Il finit sa cigarette d’un seul trait, l’écrasa dans un cendrier tout proche, puis se leva prestement de son fauteuil.

    « A bientôt Drake. A très bientôt.… », il prit congé des Orlock d’un signe de la main, puis quitta le bureau d’un air empressé. Bientôt, il disparu dans les ténèbres des couloirs du repaire.

    Le Commodore resta seul avec ses hommes de main qui se rapprochèrent de lui, prêts à recevoir les ordres. Le Commodore reprit un cigare dans un petit coffret métallique et s’apprêtait à l’allumer lorsque le jeune Slide prit soudain la parole :

    « Commodore, ce type ne m’inspire pas confiance. Laissez moi le suivre discrètement. »

    « Franky est trop impulsif, mais ce n’est pas un foie jaune… », répondit le Commodore alors qu’il allumait précautionneusement son cigare, « Inutile de prendre des gants avec lui. Si tu le suis, tout ce que tu arriveras à faire c’est te faire buter… »

    Slide se raidit mais n’ajouta rien, la parole de son chef était sans appel.

    « Tout ce que j’espère pour lui, c’est qu’il ne s’est pas gouré… », ajouta Zeke de sa voix éraillée.

    Le vieux chef prit une profonde inspiration puis entama son nouveau cigare avec un plaisir sobre et mesuré. Puis d’un geste rapide de la main, il congédia ses deux acolytes et ses gardes. Bientôt, il fut complètement seul dans le bureau sombre et austère. Immobile tel un roc derrière son bureau, il plongea profondément dans ses pensée tout en fumant doucement son cigare. La fumée grise brouillait son regard et les braises rougeoyantes faisaient luire ses pupilles dans l’obscurité.

    Murées derrière son front épais et majestueux, ses pensées n’appartenaient qu’a lui. Mais si quelqu’un avait été présent à ce moment, il aurait aperçu un spectacle exceptionnel : un sourire narquois sur le visage impassible du vieux Commodore…

  19. Merci à toi Tano pour ton engouement ^_^ !!! Ca fait bien plaisir ^_^ !!! En effet, le blues est passé, et malgré le fait que j'ai déjà un texte en cours section fantastique, je vais tacher de poster la suite des aventures de Franky au plus vite B) ...

    Fourberass, la rentrée "c tro relou, san dec koi" ^_^ !!!

  20. Salut les gens ^_^!!!

    Merci pour toutes ces gentilles critiques!!! Pour un dessin fait en 3 heures, ça fait bien plaisir ^_^ !!!

    "haaa, ce lapin ! " entend-on à tout bout de champs, mais n'était-il pas précédemment devenu un Lapin-Killer-Terminator après avoir absorbé une "pierre verte" ?

    Il est revenu sous sa forme mignonesque dans l'excellente planche de Ch13 et était dailleurs sur le point de se faire manger par le skaven (d'ou sauvetage magique plus ou moins foireux :lol: ...)

    Mais c'est quoi la pierre verte ? une règle spé à battle ? une invention de toute part pour la bd ?

    C'est de la malepierre, de la pure magie noire concentrée aux pouvoir mutagènes puissants, trés prisée des Skavens ^_^ ...

    A++ les gens :innocent: !!!

  21. Bien...

    Donc le plus simple dabord: le parchemin est en effet one shot, mais pour ce qui est de la description, j'ai reprit mot pour mot le texte de GW ^_^ ...^(les bottes et le parcho étaient aussi dans l'encart du WD...)

    Pour ce qui est des pierres, c'est là que le bas blesse ^_^ ...Ta proposition d'objets de sort me paraît plutôt pas mal, je n'y avais pas pensé. Mais il faudrait réduire l'utilisation des pierres à une ou deux par tour sinon ça reste gros bill (mais c'est ce que tu avais dans l'idée j'imagine :lol: ...).

    Voilou, pour le cout du Gusgus, j'avoue que le coût la règle des pierres a été complètement calculé au pifomètre, et je ne vois pas comment le fixer ^_^ ...

    Merci en tous cas pour cette réponse constructive :innocent: ...

    Fourberass, va falloir changer tout ça, bonne soirée les gens :lol: !!!

×
×
  • Créer...

Information importante

By using this site, you agree to our Conditions d’utilisation.