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Bloodyfol

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Tout ce qui a été posté par Bloodyfol

  1. Bloodyfol

    [Jeu] Le défi

    Voici : sonnet irrégulier suivant les règles des mots-bligés de josh Blanche neige m'a grillé d'une minute. C'est injuste L'aube a depuis longtemps déserté ces vieux bois, En même temps que tombaient les feuilles mordorées, En même temps que mouraient les ombres d'autrefois Mon coeur s'en est allé parcourir la forêt. Il y vit de grands choeurs enchanté de lumière Qui complainte endeuillé sous la voûte entonnaient, C'est ce vieux chant glacé pour la nature altière, Qu'ils faisaient retentir quand le bois frissonnait. C'est le chant d'un hiver qui me suis à deux pas, D'une brise adoucie tirant la sombre bise, Éphémère est l'été dont je vois le trépas, Et bien noir est ce froid dans lequel je m'enlise, Il porte bien des noms lui qui d'horreur exsude, Mais pour moi n'en a qu'un : nommons-le solitude. Je laisse cependant à mon comparse plus rapide le choix des règles suivantes que je redonne ici : deux quatrains alexandrins, rimes embrassées, arbre poétique
  2. que ce soit le dernier haut-fait du garde-loup. josh Le noir gouffre affamé se dresse à ses talons, Devant lui c'est la mort, gloire immense en malheur, Et derrière une fin honteuse et sans honneur, Il a choisi. S'il mourra, nul n'oubliera son nom ! Et j'accepte de rixmer avec plaisir, je suis même prêt à proposer un jeu permettant à tous de participer ! Petimuel, je peux te Mp les régles auquelles je pensais d'ailleurs Edit Petimuel : Fais donc, nous verrons bien.
  3. Caractère de trop ou bien manquant, qu'importe ! Dis-moi, l'important n'est-il pas l'âme qu'ils portent ? Ankwelth Des mots l'âme est portée par les fin caractères Donner aura deux n, et mourir un seul r, Car unique est la mort, mais donner est multiple, Le don se fait de soi et la mort est périple. Pourquoi me moquer, vil troubadour, fat pédant Ankwelth Moquer n'est pas mon but ; amant : ni fat ni vil Voila ce que je suis, amoureux de la langue, Du beau verbe envolé, et des mots si subtils, Aussi je ne saurais tolérer ta harangue ! A la plume acérée et au verbe tranchant ? Bon le même que les deux autres. Ma plume est affûtée ce n'est pas sans raison, Mon verbe est défenseur d'une importante cause, Je protège avec foi cette immense nation, De cet empire écrit je préserve les roses. Celui de nous ravir, de faire naître les rêves et un petit dernier pour la route : Dans ses bras langoureux je m'abandonne enfin, Je caresse ce corps parfait comme une antique Statue blanche d'amour soupirant, onirique, Il sonne à cet instant. Maudit réveil-matin ! Qui n'a jamais ressenti cet instant de profonde solitude quand, au beau milieu d'un rêve sensuel et exaltant, avec la femme que l'on désire, que l'on aime et qui nous manque, le réveil sonne et vous remet les pieds sur terre (enfin dans le lit) ? C'est là que, seul, loin d'elle, on se sent très triste...
  4. Bloodyfol

    [Jeu] Le défi

    Zut, j'étais en train de l'écrire quand tu as posté la tienne, je suis désolé Edit Petimuel : Pas de mal. De toute façon, dans ce jeu, tout le monde se téléscope depuis le début. Je modifie le premier poème pendant que Tarmi fait le sien, Tarmi change ses consignes pendant que Josh est en train d'écrire, on propose nos participations en même temps... vite, quelqu'un pour briser la malédiction !
  5. La Poésie en fait des mages. Petimuel De tous les magos en ce saint lieu, Mentor, seigneur, bienheureux en somme, Petimuel mais très grand bonhomme , Lui tirer son chapeau c'est l'honorer trop peu
  6. Bloodyfol

    [Jeu] Le défi

    Gravement engravé le symbole détourné "Gravé sur le mur, piaffant étalon, nimbé Royalement de luz fièrement andalouse Ysopet incertain d'une nation jalouse, Phalène errant de nuit dans les palais moirés, Histrion historien de légendes embaumées, Onirique Osiris des bois cyclopéens, Narcissique assassin de vaillants prétoriens, Gryphon tu n'es ainsi qu'un conte effrayant ! Raconté dans la nuit pour apeurer l'enfant, Yeux de rocs aquilin se voulant menaçant, Pensez vous terrifier d'autre esprit qu'un manant ? Honte à vous faux seigneur ! Croyez vous qu'effarant ? Ô chimère en rocher, vous nous coupiez la voix ? Nul de vous n'a peur !" Il me répondit : "tu crois ?" Voila j'ai fait une faute mea culpae j'ai cru qu'il fallait caser les mots grave, piaffant, et nimbé dans le premier vers... Et j'ai la flemme de reprendre d'autant que je suis assez content de moi... Enfin je crois pouvoir... Et j'ai utilisé le mot gravé comme participe passé du verbe graver. C'est pas trop grave ? Sur ce je dédie ces vers à Petimuel et vous laisse la main. Règles suivante : Vers de sept syllabes, Trois quintils (strophes de cinq vers) Suivant les règles des Épigrammes ! Sur le joueur de son choix ! Enjoy !
  7. Petimuel je t'aime XD enfin quelqu'un qui me comprend XP Sur ce à Petimuel, modo communautaire section poésie, grand maître ès fermeture de clapet de jeune poètillon en herbe un petit peu trop sanguin (hein ? comment ça une Flûte ?) et grand chevalier de l'ordre de la poésie bien construite, je dédie ces quelques vers chétifs (en espérant sans trop y croire qu'ils seront à la hauteur du personnage-on peut rêver-) Qui ronchonne en alexandrins. Ah ! Quel salaire ! Petimuel Au milieu du désert j'ai vu un livre d'or, Simplement posé là au pied d'une statue, Ce livre était sacré, en pleurant je l'ai lu, Le Verbe y est écrit : Créer ! J'en tremble encore.
  8. Et s'ils veulent ces murs, qu'ils y viennent mourrir! Always the same : Ankwelth Nomdidju de nom de nom ! Non, non, non et non ! Point de rrrroulé, doublé, de r surnuméraire ! On ne meurt qu'une fois ! Et ce r téméraire, Point n'a place en ces vers et non plus de raison ! Sur ce ami prolifique sur ce vers qui me rappelle Légende de notre cher et regretté David Gemmel voici ma réponse : Tel un dieu assassin, j'ai versé des guerriers Sur ce rempart poisseux, le sang noir et vermeil, Dès que l'aube accoucha du plus noir des soleil, J'étais là pour tuer et ne saurait bouger.
  9. Ouais ouais requiescatophile ce que tu veux moi je reste sur requiem. Pour info je n'ai pas fait latin, et j'abhorre viscéralement cette langue vu la façon dont elle est enseignée via l'éducontion natianale. Mais j'ai juré de m'y mettre après le lycée. Promis. Donc je Requiem In pace, et au fait c'est bon le daible prend pas les chèques, mais la CB passe
  10. Brûlez le , brûlez le ! Non je blague quoique... : Je sais, ce n'est pas un quatrain... mais je n'ai pu résister! Mea Culpa! Ankwelth Ainsi vil butor Souiller oserait Le quatrain Parfait ? Viens, je suis ta mort Bon sinon, plus sérieusement, que déjà, de la meute, les cris s'étouffent, josh Les cris noir de fureur jusqu'ici me poursuivent, C'est assez d'ainsi fuir ! Mettant ma lame à nue Fier, fou, un demi tour, je vais à leur venue, Le regard embrasé, attendant l'offensive.
  11. Je pleure car loin de moi tu restes à jamais. Ankwelth J'ai tant cherché la mort que j'ai gloire obtenu, J'ai tant voulu ma fin que j'ai l'ai effrayé, J'ai défié le destin, de moi il s'est moqué, De toi ou de la mort, j'attendrai la venue. Le sang me coulant au visage, Ankwelth La vision trouble encor, je regardai mon corps, La bataille a brisée ce qui était mon âme, Une larme a coulée sur le fil de ma lame, Mon sang en s'échappant sonnait comme un remords,
  12. Que de ça... ça ça ça, ça s'en va et ça revient (vous inquiétez pas je suis déjà sorti au moment où vous lirez cette ligne, et déjà pendu au moment où vous aurez fini de lire ce message) Non sinon je n'ai pas de commentaire autre que j'ai bien aimé... Je sais c'est peu et pauvre, je ferai mieux d'ici un mois. Bloodyfol, regretté (enfin il l'espère) Mort pendu (et oui il fut de sa mort comme de sa vie : c** à pleurer) Requiem in pace (hum ça dépend, le diable prend-il les chèques ?)
  13. Bloodyfol

    Ecrits d'Ankwelth

    Hum... Je n'ai pas tout lu (il y en a un paquet), mais quand tu auras lu ces lignes ce sera chose faite. Je me permet de réagir à ceci : Article 1 : ceci va être une réaction un brin épidermique... Eluard, Breton, Rimbaud, est il vraiment besoin de nous demander si on connaît ?! Enfin quand même là c'est de mon point de vue un peu le minimum culturel vital... Je suis d'accord que tout le monde ne connaît pas, mais en général, il est assez rare que quelqu'un qui vient poster ici ne connaisse pas Eluard ou Rimbaud... quand ce ne serait que de nom ! Donc pardon mais la question même purement rhétorique, et la tartine explicative qui suit, ben... ça me fait un peu l'effet d'excédent de bagage. Pour résumer ma pensée : est-ce véritablement nécessaire de nous renvoyer nos cours de collège/seconde/première surtout quand on se le est farci pendant un an (l'année dernière grrr !) ? Aaaaaaaahh... ça fait du bien... Non pardon, c'est peut être un peu rude, mais la réflexion véritable c'est plutôt : pas besoin d'en mettre autant et aussi serré, ça fait mal aux noeils, dis juste l'essentiel : après si quelqu'un te demande, tu lui donne toute ces infos, mais là, surtout sur écran et serré ainsi, ça ne donne pas envie de poursuivre (brûlure de la rétine au troisième degré ça ne pardonne pas ! xp) Bon cela dis passons à : L'ARTICLE 2 Bon l'effet d'annonce est pas top... Je ne suis pas (totalement) d'accord avec toi ! La poésie que tu dis "classique" certes demande un travail important de finalisation, de ciselure. Soit. Est-ce que ça enlève de la sincérité, de la spontanéité au poème (et au poète) ? Je ne le pense pas. Pour être franc je pensais la même chose quand je suis arrivé dans cette antre du diable, dans ce repaire du vice, dans ce lupanar infâme, dans cette immonde maison close, dans cette gueule de l'enfer la section poésie du warfo. Force m'a été de constater qu'en dépit que j'en ai (quoi démodé mon expression ?) j'écrivais des mochetés absolument infâme. Donc je suis passé par la relecture et la réécriture. Et là j'ai très vite compris que ce processus d'affinage, et de travail de la forme n'enlevais rien au poème. Je me suis rendu compte qu'en retravaillant mes textes j'allais plus loin, plus profondément dans ma mémoire, dans mes sentiments, dans mon coeur, dans la bouteille de vodka et le pétard , bref je revivais intensément le moment, le sentiment, ou l'objet qui m'avait inspiré le texte produit. Donc loin d'enlever quoi que ce soit, ce travail sur la forme m'a permis d'approfondir le fond de mes textes, afin de mieux les transmettre au lecteur. Enfin je dirais que l'écriture automatique demande déjà une certaine habitude de la poésie "classique", car c'est en pratiquant des formes régulières qu'on acquiert des connaissances, et justement des automatismes qui nous permettent de trouver la juste sonorité et le juste mot d'instinct, sans avoir à le chercher. Quand à dire qu'un poème donne une vision faussée de l'âme du poète... C'est un jugement, et en poésie le jugement, du moins sur le fond d'un poème, n'a de mon point de vue aucune valeur. Pourquoi ? Parce que tout poète quand il écrit met un peu de son âme dans sa plume. Je n'ai jamais eu ou vu de contre-exemple à cela. Donc dire qu'il en met plus qu'un tel, ou moins qu'un autre... Qu'en sais tu ? N'est ce pas par ailleurs une façon de se montrer sincère que de passer du temps sur un écrit, à le retravailler, afin de transmettre exactement ce qu'on a ressenti, éprouvé ? A partir du moment où l'on essaie de transmettre quelque chose qui relève du ressenti, ou de la pensée, à travers le langage, par définition, c'est faussé. Les mots sont insuffisant, le langage limité. On ne peut pas exprimer la totalité d'un sentiment, l'infini de ses nuances et de ses variations, à travers les mots. On peut essayer de le faire. De s'approcher de cette intensité, de cette forme de perfection, mais on ne peut l'atteindre. Le fait de retravailler son poème dans sa forme, si c'est bien dans la volonté de transmettre non pas justement la forme que l'on travaille, mais bien le fond pour lequel on travaille, est pour moi plus sincère que d'écrire automatiquement. Car même là, on ne peut capter les infinies nuances de l'âme humaine : ce n'est jamais qu'une tentative. Le fait de passer par l'outil du langage, d'emblée, fausse le jeu, et empêche une parfaite transmission de ce que l'on veut exprimer. Donc au final, l'écriture automatique donne une vision aussi faussée que les autres formes de poésie de l'âme du poète. J'espère que tu comprend ce que je veux te dire. Je ne fait pas le procès de l'écriture automatique, je fais la défense de la poésie classique que tu fustiges. Bon en tout cas, bienvenue sur la section ! Bloodyfol : en attendant avec impatience ta réponse !
  14. D'airain percée mon âme éclate, explose douleur et ténèbres. Ankwelth Le corps à vif brûlé, le coeur réduit en cendres Ne pouvant plus bouger ne serait-ce qu'un cil, Que fis-je alors ami ? Ce que fait l'imbécile, Debout, lame à la main : refuser de se rendre...
  15. Ô Dieu ! Emporte-moi ! comme tu pris ma chance. Blanche_neige Mais que peut ce dieu mort pour qu'ainsi tu l'invoques ? De sa pitié pour moi je n'ai jamais eu preuve ! Jamais port je n'ai vu sur ce silencieux fleuve, Onde au cours reflétant ma vie sombre et baroque...
  16. Seul, j'attendais la mort comme une dernière aide. Blanche_neige Depuis bien des années sur les sentiers de verre, Je chemine à pas lent écrasés de malheur, Mon soleil ne vient pas et tardive est mon heure Je n'ai encor trouvé l'entrée du chemin vert.
  17. Hiroki tomba à genoux, et s'inclina devant le vieux militaire. Celui-ci le regarda comme s'il était devenu fou. "Relève toi mon garçon. Les coutumes des tiens n'ont pas cours ici, et tu n'as pas à t'humilier devant qui que ce soit. Tu fait partie de la garde, sache que c'est un honneur, alors montre-t'en digne" Le jeune elfe se releva en rougissant sous les paroles de Patos, et planta son regard dans celui de l'aubergiste. "Je suis infiniment désolé pour vôtre établissement, je vous promet de vous déd... "Tais toi. C'est ton tour de garde, maintenant, va voir si tout se passe bien du coté des sentinelles." "A vos ordres" Il sortit, arrachant au passage son sabre et le reste de ses possessions des mains du jeune garde qui les lui tendait, et sortit sans un mot. Alors qu'il quittait la pièce, il entendit Patos parler à Dérouss. "Qu'est ce qui t'as pris de lui sortir ton discours sur l'honneur et je ne sais quoi encore ?! "J'ai connu des gens de son peuple. Ils mettent l'honneur au dessus de tout. Avant tu avais un guerrier humilié et revanchard qui aurait tout fait pour se venger une fois sa dette payée, maintenant, tu as un soldat prêt à mourir si tu le lui demande. Tu ne perd pas au change" "Des fois je me dis qu'on devrait échanger nos places" Hiroki entendit un bruit de chaises raclant le sol, et les deux hommes commencèrent à parler de leur passé. Le bushi souris. L'aubergiste était plus fin qu'il n'en avait l'air. Et il avait de fait su comment s'attacher sa loyauté. Laissant derrière lui la sensation de s'être fait berner, le jeune elfe s'éloigna, usant de ses sens aiguisé pour guetter le moindre bruit suspect. La journée allait être longue...
  18. J'adore ces images, je vais en piquer une ! Sinon ok je vais prendre la main, juste une ou deux petites choses à préciser, avec mon acolyte (hi hi hi) Bon sinon, à plus !
  19. J'aime cet homme là qu'on appelle affectueusement le Palouf'. j'adore ce poème, la puissance évocatrice qu'il dégage, la douceur de ses images, et le sens qu'il porte. En un mot comme en cent, j'adore !
  20. Je disais juste que si besoin était d'utiliser mon perso en tant qu'introducteur/perso secondaire/trouffion de base, il n'y avait pas de souci. MJ fait le dialogue entre Hiroki (mon samourai) et dérous, qu'on enchaîne. Et toi mynyrve, tu m'inérve ! (ok trop facile) attend que Mj fasse son boulot et toi de ton coté tu fera un récapitulatif de ce que t'as fait jusqu'à l'heure H
  21. Je précise : j'autorise toute personne à utiliser mon perso si c'est pas pour le casser. Là je demande comment et pourquoi XP Sinon bienvenue Nejh, tu as toute ma bénédiction à un détail prêt : je suis actuellement prisonnier... Alors soit le MJ intercalle la conversation dans le style "quelques heures plus tôt" soit on a un problème... Sinon, je peut tomber amoureux de ton perso et vivre une histoire d'amour passionnelle et rafraîchissante avec elle ? Parce que là, miam ! ça fait envie, si t'es comme ça dans la vrévie je veux un rencard ! XD
  22. Sniff... Pourquoi faut il toujours que les plus belles femmes soient sur du papier ou en marbre blanc... J'adore ton dessin, celui de la jeune demoiselle... Tu prend qui (quoi ?) comme modèle ? Et oui ellenitnes j'ai bien le droit de rêver non ? Des femmes comme ça, c'est le cas de le dire à part en peinture/sculpture...
  23. et le grand vide en vibre encor s'illuminant (SoK) De nos vides vies l’immensité spatiale, L'univers si fécond de nôtre impermanence, Des amours naissants, de leur lueur vitale, Je guéris les plaies noires de mon errance. Pour briser le thème voici mon anthem Siguiente
  24. Bloodyfol

    La menace venue du ciel

    C'est pas mal, mais je mets un méga moins à la couleur, on dois pouvoir suivre tes dialogues justement à partir de ton texte... Ensuite j'ai hâte de voir la suite XD
  25. Bloodyfol

    la lignée maudite

    Alors là il va vraiment falloir que tu trouve une très bonne excuse fluffique si tu espère que tes gugusses s'en sortent, parce que si la bulle de réalité qui les entoure a été crevée par le chaos, en l'état, ils sont morts.
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