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Tekniv

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À propos de Tekniv

  • Date de naissance 25/10/1995

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    WarHammer40.000 Garde Impériale
  1. Tekniv

    Ever Psyker

    Je suis de retour après une longue absence mais peut-être ne vous êtes vous aperçus de rien. Enfin bref, voila mon dernier morceau, tout beau tout chaud! ( Et oui ça parle de psyker, comme d'hab' ) [font="Century Gothic"] Les Psykers étaient rassemblés sur un promontoire, à l'abri derrière un écran crépitant qui déviait les plus gros projectiles. Le Mentor, dont tout le visage était couvert, à l'exeption de la bouche par d'étranges machines, câbles et autres tuyauteries, qui entraient et sortaient par tout les orifices qu'ils pouvaient trouver, chantait dans une langue incomprehensible en brandissant son sceptre surmonté d'un oeil, qui rougissait sous l'effet des filets d'énérgie qui émanaient du sorcier. Devant eux s'étendait un champ de tranchées parsemé de lueurs et d'explosions intempestives où luttaient des hommes pour s'approcher d'un bunker défendu par un régiment de renégats. Ceux-ci bombardaient les troupes à l'aide de mortiers, tandis que d'autres descendaient dans les tranchées, torse nu, couverts de symboles tracés avec leur propre sang, armés de longues épées faisant des ravages dans le camp de la garde imperiale. Sur le promontoire, le vent se faisait de plus en plus fort alors que s'emplifiait le chant des psykers, qui suivaient leur mentor dans son chant. Une colonne d'air se mit a tourner autour d'eux, parsemée d'écairs crépitants; lardée de taches rouges, qui montaient vers le ciel, lentement, comme cherchant a atteindre les nuages. Les hommes de trois mondes différents étaient rassemblés dans les tranchées, il ne restait que quatorze escouades du monde minier d'Uran, trente-cinq escouades de conscrits de l'agri-monde de Besret et quatre-vingt de la garnison locale. Les soldats d'Uran étaient équipés de gilets épais en kevlar, renforçés de lames légères de céramite colorées en jaune ocre, d'épaulières de céramite, de gants, de casques à visières et de fusils à canon court, dévastateurs à faible distance. Les conscrits de Besret n'avaient qu'un gilet standart, un casque leger et un fusil à crosse, tandis que la garnison locale avait des gilets en cuir, des casques en metal, des épées et des fusils qu'on leur avait donné cinq semaines auparavant. Le régiment renegat venait de Gera quatre, et disposait de nombreux mortiers, dont ils faisaient usage en ce moment, mais fonçaient sans se soucier de leur équipement, a demi-nus dans la mélée, les yeux exorbités et injectés de sang, pour démembrer a tout va avec leurs lames longues comme un bras. Ils étaient retranchés dans un bunker dont ils avaient pris possession avant de reveler leur allegence et reourner leurs armes contre les gardes restés loyaux a l'Empereur. Le choeur surnaturel continuait de chanter sur le promontoire, les éclairs montaient de plus en plus haut dans la colonne, une lumière émanait des sorciers qui semblaient vibrer sous l'effet de la pulsation d'énergie, leurs yeux crépitaient, et leurs bouches, chantant toutes de toutes leurs voix réunies, bavaient, des filets de bave coulaient sur leurs robes alors que leurs gorges se mettaient à briller aussi d'un éclat aveuglant. Au moment où les eclairs touchèrent les nuages, tous les hommes à plusieurs lieues à la ronde furent éblouis, et le ciel vomit la colère de l'Empereur. L'enfer se déversa sur les tranchées sous la forme d'éclairs violets, fondant comme des lances sur les hérétiques dans un fracas monstre, creusant des trous de plusieurs metres de large et foudroyant des hommes dont il ne resta plus bientot que des corps carbonisés, droits comme des i, noircis jusqu'a l'os au milieu de cratères. La chorale ne baissa pas d'un ton, continuant de briller de milles feux sur leur promontoire et la pluie vint. Une pluie épaisse, lourde, qui ne tarda pas a emplir les tranchées se mélangeant au sang et à la terre, déchargeant les gros nuages noirs sur les hommes. D'autres éclairs, crépitants, fondaient sur le bunker, telles des mains faites d'énergie, quand un des psyker tomba sur le sol, la moitié supérieure de la tête éclatée. Les autres ne se rendirent compte de rien et continuèrent de chanter, tandis que leur camarade se consumait lentement, sa chair parcourue d'éteincelles. A ce moment, la plupart des soldats priaient, dans différentes langues, mais avec la même ferveur, ne sachant ce qui les effrayaient le plus, les dieux du chaos ou le spectacle de la rage de l'empereur se deversant sur des héretiques dont il ne resterait bientot plus rien. Les psykers chantèrent pendant encore plusieurs heures, réduisant en poudre les gardes renegats, quand la colonne disparut, en l'espace d'une seconde, avec tous les nuages, aspirés vers la source de l'orage, puis recrachée sous la forme d'un cylindre de pure noirceur, parcouru d'éclairs et de zébrures surnaturelles, sur le bunker dans un bruit assourdissant. Une fois le cylindre disparu, les psyker titubèrent quelques secondes avant de s'évanouir et de tomber sur l'herbe roussie et fumante qui parsemait le promontoire. La magie sortant de leurs corps en même temps qu'une belle quantité de sang était encore palpable, et des étincelles entourèrent le groupe encore pendant quelques minutes. Le sceptre du mentor était planté dans le sol, chauffé à blanc, fumant et empli d'éléctricité, semblant regarder le ciel dégagé du haut de sa toute-puissance. [/font] [i][font="Palatino Linotype"]=Le reste du rapport a été censuré, codé et caché par l'Inquisition, mais le magos fait tout pour récuperer ne serais-ce que des bribes de l'histoire, pour satisfaire la soif de connaissance de ses lecteurs.= [/font][/i] Et voilàààààà... A vous les critiques etoo etoo
  2. Tekniv

    Fawless Knight

    Alors, pour la barge, je suis désolé, moi, niveau vaisseau, je suis au point mort, la barge, je voyais ça comme un gros bazar de plusieurs miliers de tonnes pour acheminer des troupes. Le destroyer, je suis désolé, je sais pas ce que c'est (Y'a pas toute une compagnie, max 20/30 marines, si c'est l'image du capitaine Mirkus qui t'a envoyé dans cette direction, il n'est pas vraiment présent) Voila la suite: Petite planète du segmentum ultima, Adria II et sa jumelle, Adria Prime, étaient deux mondes relativement prospères, deux agri-mondes sans problème apparent. Mais en ce millénaire de guerres et de massacres, les dieux n'aiment pas la tranquillité. La peste s'était donc déclarée sur Adria prime, ravageant sa surface à une vitesse telle que les premières troupes déplacées ordonnèrent l'exterminatus, et la planète fut purgée. Quelques années plus tard, sur Adria II, un homme n'espérait plus rien de l'imperium, voyant ce qu'était devenu la planète jumelle de son monde. Lui et un groupe de rebelles idéalistes prirent le pouvoir en infiltrant le palais du gouverneur, l'assassinant et se nommant maitres de ce monde et proclamant sa cession d'avec l'Iimperium. Celui-ci lui avait donné un mois pour retirer ses actes contre une peine de prison à vie, plus douce que tout ce que les forces impériale pourraient lui donner. Le fou avait refusé! L'imperium allongea son offre a trois mois, puis une tempête warp se déclara au milieu du deuxième mois. Elle ne se calma que six mois plus tard, des forces impériales furent levées et envoyées, mais perdues dans une anomalie, sortie du warp pour les engloutir. L'imperium attendit que la tempête disparaisse puis envoya d'autres armées, un an après la rupture entre Adria II et le saint Empereur. Les sondes envoyées révélèrent que le traitre en avait profité pour faire construire un système anti-aérien très puissant à l'aide du matériel et de technoprêtre renégats du Mechanicus laissé sur ce monde avant sa trahison, mais possédant un point faible: un petit astroport au sud de la planète. Les spaces marines seraient envoyés sur cet astroport pour se déployer sur ce monde, désactiver le système de défense et ainsi permettre l'assaut du gros des troupes. Les vaisseaux avançaient lentement puis la barge et ses escorteurs se stoppèrent, le vaisseau rouge et bleu continuant d'accélérer vers le sud de la planète, suivi de petits vaisseaux de la flotte imperiale censés lui servir de couverture. Une cérémonie avait lieu a bord du vaisseau alors même qu'il avançait vers l'affrontement. Des marines vêtus de robes blanches et dotés d'encensoirs marchaient en psalmodiant dans une langue très ancienne autour de space marines, qui eux étaient agenouillés, la tête baissée, casque dans la main. Le chapelain, vêtu lui d'une robe noire, versait de l'eau sur les cranes des guerriers agenouillés, les bénissant en chantant une litanie de courage. Damian, vêtu de son armure, marquée du symbole devastator sur l'épaulière droite, attendait, la tête baissée. L'odeur de l'encens, habituellement relaxant, était aujourd'hui étouffant et le jeune marine avait des hauts-le-cœur qu'il masquait tant bien que mal. Quand le chapelain vint à son niveau, il aspergea son crane d'eau en continuant de chanter son ode au courage. Damian se releva et croisa le regard du chapelain dans le même mouvement, ses yeux emplis de sagesse rassurèrent Damian, qui se détourna de la cérémonie pour aller rejoindre son escouade dans la cale du vaisseau. Une fois arrivé, lui et ses camarades firent une courte prière pour Lui demander la victoire et entrèrent dans le drop pod. Harnaché dans le drop pod, Damian et ses frères étaient secoués et seul le sergent n'était pas dérangé par ces tressautements intempestifs, alors qu'il consultait des données sur un petit ecran devant lui. -Attention les gars, cria-t-il pour couvrir le vacarme ambiant, dix secondes avant impact. Damian serra son Bolter contre lui. -Neuf, Hurla le sergent. La peur de ne pas le mériter le tiraillait. -Huit! Damian se mit a paniquer. -Sept! Il s'effondra, retenu par le harnachement du pod. -Six! Dans son crane, les paroles du chapelain lui revenaient. -Cinq! "Peur est mère de sagesse, mais terreur fille de mort" -Quatre! Damian émergea et se redressa. -Trois! Il tint fermement son Bolter. -Deux! Le casque de Damian lui présentait en temps réel des centaines de données mais lui n'en voyait qu'une clairement. -Un! Un choc sourd secoua le module, les harnachements se détachèrent dans un chuintement et les portes s'abattirent à terre avec un fracas à faire trembler un titan. Damian n'avait pas à se poser de questions, il n'était plus un scout. -Pour l'Empereur! Les marines se mirent à tirer sur les renégats, tous emplis de foi et de courage. Damian était un space marine, et à présent, il ne connaissait plus la peur.
  3. Tekniv

    Fawless Knight

    Bien, tout d'abord, merci a toi tu es le seul a avoir commenté Alors le briefing, après coup, je me suis rendu comte que l'assaut n'était pas sur, si les marines se font cramer ( je sais, je suis un hérétique), ben, y'a pas d'assaut, et que même si ils passent, le plan d'action n'est pas établi, juste dans les grandes lignes, ils n'ont pas de rapports de la géographie, un an après le schisme. Les structures et les points stratégiques ont sans doutes étés modifiés. ( je sais, les sondes, bla-blah..., elles étaient en très haute altitude, elles ont révélé le système de défense car il était très voyant et très gros ) Voila, la suite va suivre ( logique) Merci
  4. Tekniv

    Fawless Knight

    Voila, alors c'est un texte (encore?) qui parle de SM( encore aussi ?) Il y aura une suite, j'ai déjà écrit quelques pages mais je veux pas vous donner une indigestion donc... (Enfin un texte avec suite, je suis fier de moi!) Une barge colossale avançait silencieusement dans le vide vers une petite planète, à son bord, plus de six cent mille hommes et des centaines de tanks. Des vaisseaux plus petits l'escortaient, dont un marqué de l'héraldique des Fawless Knights: une étoile dans un U majuscule. A l'intérieur de la barge, les hommes de la garde impériale étaient rassemblés pour un dernier briefing. -Messieurs, Mesdames, dit un homme, la voix amplifiée par des portes-vox gigantesques, Nous allons, sous la bénédiction de l'empereur, aller trucider de l'hérétique! Un holo-plan s'activa, projetant une image d'une planète de quinze mètres de large. -Cette planète est pour ceux qui dormaient, reprit l'homme, Adria II, sous la domination de l'empereur jusqu'à l'an dernier, les sommations n'ayant rien donné, on va leur montrer le bon chemin à coup de fusil laser. Bon, les marines du chapitre des fawless knights vont attaquer l'astroport de Steran, au sud de la planète, pour que nous puissions débarquer sans encombres. Merci à eux car sinon, la barge aurait été canardée par les défenses antiaérienne et réduite en poussière en une vingtaine de minutes! Donc, après avoir atterri, nous allons remonter de plus en plus vers le nord, jusqu'à Hermes, la capitale, où on récupèrera le commandement de cette foutue planète. Pour ceux qui pensent qu'on est seuls, non, les renforts arriveront dans deux semaines. Pas de questions? Non, très bien, Rompez! On y sera dans trois jours! Les Fawless knight descendaient des Ultramarines de la dix-huitième fondation, et depuis ce temps, jamais aucune défaillance n'était apparue, jamais. A l'image de leurs géniteurs, les Fawless Knights symbolisaient la pureté et l'héroïsme. L'un d'eux avançait à travers un couloir dont le sol renvoyait son image, des bannières accrochées aux murs rappelant les exploits du chapitre. Sa grande silhouette, renforcée par son armure, ne projetait pas d'ombres, le couloir étant éclairé par de puissantes torches qui donnait l'impression d'être en plein jour. Le marine bifurqua à un carrefour et poussa la porte du réclusiam. -Bonjour, frère Damian, Que puis-je pour vous, demanda le chapelain. -J'ai besoin d'aide, frère chapelain, je porte le doute en moi. -Prions, voulez-vous, répondit-il en désignant les bancs. -Oui, bonne idée. Damian prit place, agenouillé, les mains jointes, suivi du chapelain. L'encens donnait au réclusiam une atmosphère de sérénité, aidant à la prière. -De quoi doutez-vous, Damian, demanda le chapelain. -Je doute de moi, j'ai peur, frère chapelain, c'est ma première mission avec cette armure et je doute d'en être digne. Le chapelain prit un air songeur. -Savez-vous, Damian, combien de Marines m'ont dit cela? Damian secoua la tête. -Des dizaines, voire des centaines de jeunes serviteurs de l'empereur, depuis que je suis chapelain, m'ont confiés leurs craintes. Il fit une pause, contemplant la statue de l'empereur en armure qui trônait au bout de la pièce. -Et saviez-vous que le capitaine Mirkus lui-même doutait à l'aube de son premier combat en armure? -Le capitaine Mirkus, peur ? Répondit Damian, l'incrédulité se lisant sur son visage, impossible! -Et pourtant, répondit, le vieux chapelain, nous avons tous connu la peur au cours de notre existence. -Vous-même, risqua le jeune homme... -Oui, lors de ma formation, dit il en réfléchissant, ma troisième mission en tant que scout, isolé, seul survivant de mon escouade au milieu de la jungle contre les tyrannides. J'ai tenu trois semaines sans aide, puis j'ai été récupéré par un landspeeder. Je me suis caché pour échapper à un carnifex, je l'ai vu passer à trois mètres devant moi. Je l'avoue, j'ai eu peur, dit il-en se relevant, mais la peur peut vous aider, Damian, même si la terreur vous condamne. Le chapelain tendit la main au jeune space marine, qui la saisit pour se relever. -Comment la peur peut-elle nous aider ? -Si je n'avais pas eu peur, j'aurais attaqué le tueur hurleur, répondit le chapelain, et je serais mort. Si j'étais mort, jamais je n'aurais pu guider tant de jeunes gens, qui doivent mes conseils à la peur que j'ai éprouvé face au carnifex, et à la sagesse dont j'ai fait preuve en l'écoutant, Damian. Un scout, seul dans la jungle ne peut tenir face à un tueur sanguinaire extraterrestre surarmé. Peur est mère de sagesse, mais terreur fille de mort. Gardez bien cela en mémoire Damian, dit-il en l'amenant à la sortie. -Merci, frère chapelain, je pense que j'ai compris. -Je vous en prie, Damian, je n'ai fait que mon devoir. -Rendez-vous dans trois jours, à Steran ! La porte du réclusiam se referma tandis que Damian s'éloignait.
  5. Tekniv

    VRAC

    Un GI de l'agri-monde de ST-Martin un petit brain-storming sur St-Martin ( la perspective de l'autocanon est moche, je sais...)
  6. Tekniv

    VRAC

    Alors voila une nouvelle fournée: Un Kasrkin ( sur le sceau de pureté, c'est pas du latin, c'est du yaourt latin ) Une chevauchée fantastique!!! Voila, a vos coms! (désolé pour le format )
  7. Tekniv

    Entre l'homme et le heros

    Je crois que je vais uppper parce que apparemment, y'a plus personne qui lit, et je ne pense pas qu'il n'y ait rien a dire, si c'est pas comme ça qu'on fait dites le moi! (j'ai pas fait ça pour avoir 5 coms au lieu de 4, mais pour que vous sachiez que j'ai mis la seconde partie...)
  8. Tekniv

    VRAC

    Merci pour vos commentaires et vos encouragements! J'essayerais d'en tenir comte pour les prochains... Bye
  9. Tekniv

    Concours Croisé Inter-sections

    Chic, un concours Moi aussi... Si c'est toujours bon, cela va sans dire...
  10. Tekniv

    Entre l'homme et le heros

    Et alors tu crois plus au père noël? Non, mais en fait c'est possible, au niveau codex du moins, après, hein, on peut chipoter le fluff, effectivement... Alors sinon, pour les fautes je suis désolé mais (attention un peu de mauvaise foi ) mon clavier bugge et tape 3 lettre sur 4, ce qui m'oblige a relire chaque ligne après tape et quand je suis lancé j'y pense plus trop, ce qui fait que , a 1 h du mat', dans le froid, crevé, ben, je relis pas tout. faut aussi savoir que je n'écris pas sur le même pc que celui ou je poste, j'ai pas le net sur le premier, j'ai eu 5 minutes pour poster et bon, pas plus pour corriger, désolé... beeeeeeen, ch'ais pas c'est L'ennemi par exellence, de base, par défaut, LE mechant... après en fait c'est parce que mes textes concernent tous la même guerre sur la même planète ( et m*rde, j'ai détruit le suspens...) je vous jure que je ferais attention la prochaine fois! et oui, effectivement, il y a une suite...( c'est pour ça que c'est "partie un") Edit: Et voila la deuxième partie! Entre l'homme et le héros Partie 2 Le lieutenant Heigler avait été rapatrié en quatrième vitesse du bourbier d'où il été revenu avec un bras en moins vers l'hôpital Ste-Lucy, à quelques dizaines de kilomètres de là à bord d'une chimère. Il faisait partie du flot ininterrompu de soldats qui défilaient sous les yeux des infirmiers et médecins de l'Officio medicae, on avait néanmoins réussi à lui trouver une place entre deux brancards. De temps à autres, il ouvrait les yeux et baragouinait des mots sans suites, comme s'il se trouvait encore dans la bataille. Les infirmiers l'avaient anesthésiés assez vite, et avaient désinfecté ses plaies pour éviter que son état empire, puis l'avaient laissé dormir. Le lieutenant voyait des ombres qui bougeaient dans son sommeil, puis les ombres disparaissaient, mais réapparaissaient toujours, elles ne s'arrêtaient jamais de réapparaitre, jamais. Ses yeux s'ouvrent, un homme, penché au dessus de lui un dossier à la main, il regarde le lieutenant, qui n'entend pas de sons, rien d'autre que l'image. L'homme s'adresse a un infirmier et l'infirmier hoche la tête. Heigler replonge... Encore des ombres, sans répit, toujours, elles reviennent, mais elles ne disent rien, Heigler n'entend plus, des ombres silencieuses hantent ses rêves faits de batailles, de morts et de souffrances. Alors qu'il mène ses soldats a l'assaut, des ombres survolent le champ de bataille... De nouveau, il ouvre les yeux, cette fois, des gens en blouse blanche ternies se tiennent autours de lui, l'un d'eux lui enfonce une seringue dans l'épaule, il ne la sent presque pas. Une fois de plus, il retombe dans ses rêves étranges, peuplés d'ombres qui bougent, autour de lui, il se voit, tuant des orks, sans relâche, étrangement, chaque fois qu'il tue un ork, une ombre disparait, comme aspirée par le néant... Il sent du mouvement autour de lui, instinctivement, il se réveille. Un médecin du Médicae fait claquer ses doigts près de ses oreilles, mais il n'entend pas le claquement . L'homme secoue la tête et prend un bloc-notes, écrit quelque chose dessus, le retourne et le montre au lieutenant. "Vous m'entendez?" Hochement négatif. Le médecin reprend son bloc et recommence a écrire. Alors Heigler se rend comte que son bras manquant est froid, il tourne la tête et voit un bras en métal brillant qui débute a hauteur de son épaule. "Que pensez-vous de votre nouveau bras?" Hochement positif. Un dialogue sourd-muet s'engage alors entre le bloc de feuilles et l'homme allongé. "Vous allez faire au moins un mois de rééducation, vous comprenez que ça va être douloureux?" hochement positif. "Souhaitez-vous réentendre?" Hochement positif. "La semaine prochaine, on vous refile des oreilles neuves, ça vous va?" hochement positif. "bien, dormez, vous avez besoin de sommeil!" Sur ce, l'homme pose son bloc et s'en va. Heigler pense qu'il a raison, il vaut mieux dormir. Il fait toujours les mêmes rêves, mais maintenant, il voit un hangar rempli de gens, des soldats, sur des brancards, pour chaque soldat, il voit une ombre qui flotte un peu au dessus, parfois, l'ombre disparait et des infirmiers arrivent et emportent son corps. Il voit les ombres se débattre avant de disparaitre, il en vient même a penser qu'elles souffrent, qu'elles luttent, avant de retourner au néant. Quelque jours plus tard, Heigler se redresse et pose ses pieds sur le sol. Cela fait deux semaines qu'il est allongé sur un lit, mais il ne le sait pas, pour lui, le temps est devenu abstrait, il ne voit plus que des rêves et des ombres. Heigler se rend comte que le hangar qu'il voit en rêve est le centre médical ou il se trouve, il parvient, lorsqu'il se met debout, à voir des ombres, même sans rêver. Après la pose de ses implants auditifs, Heigler ne dors plus, il ne parvient plus à trouver le sommeil, l'hôpital est trop bruyant après trois semaines dans le silence total et les cris des soldats agonisants sont bientôt son seul environnement; il n'est plus a l'hôpital, il est juste entouré de cris. Un mois après sa venue au centre medicae, Heigler sait faire de petits mouvement avec son bras, et bouger les doigts. Il commence a apprivoiser ce nouveau membre, froid mais faisant partie de lui. Dans son sommeil, il entend désormais les ombres crier et gémir quand elles se tordent, il les voit et a pitié d'elles. Il voudrait les aider mais ne peut pas, il est bloqué, incapable de sortir du rêve. Au matin, un homme est penché au dessus de lui, un officier impérial, à voir ses galons, mais Heigler ne parvient pas à identifier son grade. "-Theodore Heigler, né sur Valan prima, brillante recrue, promu sergent, puis lieutenant, et enfin, reçoit la médaille pourpre lors de la bataille de la ruche Halian." Heigler acquiesce, c'est bien lui. "Vous savez quoi, Théodore, demande l'officier, on l'a gagnée, cette bataille, et c'est en partie grâce a vous!" Heigler s'en fiche d'avoir aidé a gagner la bataille, sauf si cela lui permet de dormir tranquillement, sans hurlements... "Ce que le général Hank voudrait vous faire comprendre, dit alors un homme resté dans l'ombre, derrière l'officier, c'est que vous allez rejoindre son escouade." Ce faisant, l'homme s'approche et s'expose a la vue de Heigler, il est grand, maigre et vêtu simplement d'une robe de bure. Un aigle impérial barre son crane couturé de cicatrices. "Mais je manque à tous mes devoirs, s'exclame l'homme en lui tendant la main, je suis le psyker numéro 178, je pense que vous savez des choses intéressantes, lieutenant Heigler!"
  11. Entre l'homme et le héros Partie 1 -Kyle, nom d'un Hellhound, où sont les renforts, hurlait le lieutenant Heigler a travers le micro de la radio, on est sous le feu ennemi, on peut pas tenir plus longtemps! -Désolé, on peut rien vous envoyer, un barrage sur Beta 4, répondit son interlocuteur, je peut rien pour vous. -Et merde, cria Heigler en raccrochant brutalement le tele-vox. Autours de lui, les tirs fusaient et accroupis sous un muret, cinquante hommes attendaient, haletant, dans la nuit. -Rien pour nous, les gars, je suis désolé, on va devoir se démerder tout seuls. Le fracas d'un obus a une vingtaine de mètres du peloton emplit l'air d'un silence puis de l'enfer, le souffle brulant de l'explosion fit vaciller le lieutenant et ses hommes, voler des soldats agonisants, et des membres d'hommes qui étaient (Heigler l'espérait) déjà morts. Des cris suivirent, des cris qui enlevèrent a Heigler tout soupçon sur la survie des hommes touchés. Le lieutenant hurlait des ordres mais lui-même n'entendait rien, sa voix était couverte par le bruit de la guerre. -A trois, on y va, compris? Compris ou pas, Heigler allait courir, il espérait juste que ses hommes le suivraient. -UN ! Tous ses hommes étaient transis de peur. -DEUX ! Cette peur se transforma en détermination -TROIS ! Heigler enjamba le muret, épée énegétique brandie et pistolet bolter crachant, il courait depuis une fraction de secondes quand un cri de guerre se fit entendre, Il tourna la tête et vit cinquante hommes, courants, hurlants de toutes leurs tripes vers une mort certaine, en tirant de leurs fusils lasers ou dégoupillant des grenades. Le lieutenant sentit le courage affluer en lui, la confiance qu'il avait en ses hommes fut renouvelée et sa fureur décuplée. Les hommes et les Orks arrivèrent au contact. Contact de l'acier froid contre sang chaud, contact entre la vie et la mort... Heigler ressentit en lui l'ardeur du combat, qui lui sortait du ventre par la gorge en un cri sauvage. Il décapita un ork de son arme et fit exploser la tête d'un autre d'un bolt entre les yeux. Ses hommes plantaient des baïonnettes dans les ventres de peaux vertes hurlants et les finissaient à coup de talons ou de fusil lasers. Un homme alluma son lance-flammes non loin du lieutenant, lâchant une vague de flammes liquides de cinq mètres de long, grillant quelques orks surpris. L'air se remplit d'une odeur de porc grillé, et de cris orks et humains, mêlés par la guerre et le sang. L'homme au lance-flammes explosa en un feu d'artifice qui embrasa l'espace pendant une seconde, envoyant voler tout ce qui était à proximité dans les airs. Le lieutenant Heigler fit un bond de cinq mètres dans les airs et atterrit sur le bitume, sentant son nez se briser. Il se releva, tant bien que mal, la main droite plaquée contre son nez ensanglanté, il avait perdu son pistolet bolter. Il éventra un ork qui s'approchait de son épée et se baissa pour eviter un tir. Où était son pistolet? Heigler shoota dans un cadavre pour le dégager et retourna trois orks grillés pour trouver un pistolet laser, mieux que rien. Il se servit de cette arme pour tirer dans l'œil d'un ork arrivé en hurlant sur lui, brandissant son kikoup', qui fit un saut en arrière en esquissant un râle, couvert par le fracas ambiant. Le lieutenant fit un rapide comte-rendu de la situation: la moitié des ses hommes étaient morts et il y avait toujours autant d'orks. Il aperçut le cadavre de son opérateur-vox, le visage en sang, la moitié du bras en moins, il rampa jusqu'à lui, se saisit du télé-vox et le régla sur la fréquence QG: -Ici Heigler, Zone Beta 6, besoin de renforts! -Heigler, le barrage Beta 4 à cédé, on vous envoie des gars tout de suite! -Bien joué ! Heigler raccrocha le télé-vox et tira sur les orks en hurlant, se battant comme un démon, tuant des peaux vertes avec une rage plus terrifiante encore que celle des possédés, abattant des orks puis se jetant la où il pourrait faire plus de dégâts, décapitant, tirant, bousculant sans relâche, sans fatigue. Mais Heigler n'était pas un possédé ou un démon et un ork lui déchira le bras gauche de sa hache, le projetant a terre. La vision du lieutenant était limitée par le sang et les larmes qui s'accumulaient, mais il vit l'ork rire en élevant son arme, puis la tête du peau verte exploser, perforée d'un obus a la base du cou. Il vit l'ork basculer en arrière et s'effondrer d'un bruit sourd tandis qu'un marcheur avançait au rythme des chuintements en tirant des rafales de son autocanon tout en progressant parmi les cadavres. Il tourna la tête au prix d'un effort et vit des chimères et un leman russ arriver, chenilles hurlantes. -Les ... Renforts, haleta-t-il Bien... joué... Il vit des hommes en descendre, puis s'abandonna au néant qui le guettait au fond de lui. Heigler sentit qu'on le soulevait, puis qu'on le transportait dans un blindé et ce fut le noir.
  12. Tekniv

    VRAC

    Bonjour, moi c'est tekniv, appelez moi tek, je dessine de tout mais aussi des choses en rapport avec WH et Wh 40k, alors voila, dites moi ce que vous en pensez si vous voulez ( je vais pas vous forcer non plus) merci! alors ben un mage un guerrier, avec le coeur dans la main une frappe en profondeur la c'etait un projet d'affiche un pique nique sur catachan c'est comme le port-salut, c'est marqué dessus; un carnifex voila, d'autres devraient venir...
  13. Tekniv

    Récit(s) warhammer 40k

    Wééééé! Ces gars sont de véritables héros je suis choqué! Sinon ben c'est bien fait et tout mais effectivement, c'est monobloc...
  14. Tekniv

    La menace venue du ciel

    c'est sympathique et pis ,ben, ça reflète parfaitement mon esprit GI, tout particulièrement: yeah, les gars, bon courage!
  15. Tekniv

    Les archives impériales

    Connexion en cours...( bip-bip) veuillez patienter...( musique d'ambiance ) Accès autorisé! (bling!) +++Réserve impériale de documents divers réunis par Tekniv+++ Cette liste est non-exhaustive et le magos Tekniv recherche activement d'autres textes... Petits textes courts et probablement sans suites =20 hommes face a la marée verte...= =Le passé d'un psyker= =Entre l'homme et le heros...= =La rage de l'Empereur= Déconnexion ( biout... )
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