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Warhammer Forum

fana des gobs

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Messages posté(e)s par fana des gobs

  1. Je dirais qu'il a joué les elfes, au vu de la manière dont il a raconté la bataille  :lol: .

    oui c'est vrai j'ai été plus prolixe avec les elfes car c'est en effet l'armée que je jouais.

    pour ce qui est de la liste je crois comprendre que vous la jugez trop "bourrine" (ce qui pourrait paraître normal pour les unités montées :P désolé pour cette mauvaise "blague"). Si je vous ai mal compris n'hésitez pas à préciser. Donc au niveau de la puissance de la liste c'est un point de vue mais la meilleure preuve de l'impossibilité d'avoir La liste c'est que je me suis fait ratatiné en 5 tours. J'ai raté plusieurs jets décisifs mais j'en ai également réussi de très beaux.

  2. Tour 5 des Elfes

    Une tentative ne fait pas l’autre… Olayelsin invoque le second signe d’Amul mais la damoiselle le dissipe et il ne réussit pas faire tomber la foudre d’Uranon. Les choses se passent de la même façon pour Mank’A’Zel qui ne parvient pas à en appeler à la conflagration fatale. Impressionnés par la proximité des chevaliers du royaume les servants de la baliste rate leur tir et savent que leur fin est proche. Les maîtres des épées en finissent avec les chevaliers pégases remettant un peu de baume au cœur des elfes mais cette joie est de courte durée car les princes dragons, suite à un dernier combat, prennent la fuite et sont rattrapés puis taillés en pièces par les chevaliers du Graal.

    Tour 5 des Bretonniens

    C’est la curée les chevaliers errants qui prennent les maîtres des épées survivants à revers et les chevaliers du royaume qui fondent sur la baliste ne laissent sur leur passage qu’un sol labouré où gisent les corps démembrés des elfes. Un cor résonne alors, le silence se fait et les chevaliers entonnent un chant en l’honneur de la Dame pour la remercier d’avoir su les guider et les protéger dans ce combat.

    Au niveau du débriefing, les deux joueurs ne regrettent aucun des mouvements, des choix de placement ou des décisions stratégiques. L'ambiance était comme à l'habitude extrèmement plaisante : c'est un jeu. Aucune figurine n'a été lancée par la fenêtre, pas plus qu'un joueur.

    Des erreurs ont-elles été commises ? Très certainement, mais si nous ne nous trompions jamais ça ne serait pas aussi drôle.

    On ne fera pas de palmarès du meilleur mage, tireur, ou combattant...

    Quels enseignements peut-on tirer de cette bataille ? Ben ça fait mal une charge... Les décors uniquement bâtiments (deux huttes de paysan, une chaumière, un temple, une crypte, et un muret) c'est pas mal du tout... C'est super la sauvegarde invulnérable... La tarte aux pommes et à la cannelle était très bonne...

    Au final, on remet ça un des ces quatre jours et on refait le monde.

  3. Tour 4 des Elfes

    De tous les côtés les elfes ferraillent, les combats continuent. Certes les choses ne vont pas pour le mieux mais rien n’est perdu, les Asur ont déjà vu pire. Les mages se mettent alors à canaliser l’énergie des vents de magie. Olayelsin en appelle au second signe d’Amul avec une puissance que rien ne saurait arrêter. Conforté par ce succès il invoque la foudre d’Uranon sur le paladin au pégase et la damoiselle ne parvient pas à contrer le sortilège, ceci en termine avec la monture ailée qui s’effondre dans un éclair qui frappe implacablement. Tant bien que mal le paladin se relève indemne. La voie lui ayant été montrée par son condisciple, Mank’A’Zel prononce l’incantation de la conflagration fatale. C’est à nouveau une réussite parfaite, la damoiselle avait déjà sorti son parchemin pour tenter une dissipation mais cela n’est pas possible, rien ne peut stopper la magie contrôlée par les elfes. La joie est toutefois de courte durée car un seul chevalier des royaumes succombe. Il est bientôt rejoint par un autre fauché par le trait de la baliste. Au corps à corps rien ne se passe, la situation reste inchangée.

    Tour 4 des Bretonniens

    Les chevaliers du royaume n’ont pas apprécié le tir des servants elfiques et ils amorcent alors un virage pour se mettre en position de charge en face d’eux. Les chevaliers errants se placent quant à eux derrière les maîtres des épées contre qui les chevaliers pégases relancent l’attaque. De chaque côté un combattant mord la poussière et les adversaires ne lâchent pas prise. Le duel du commandeur et du général bretonnien prend fin avec la mort de l’elfe, sa bannière tombe au sol sans que personne n’ose la relever. Les princes dragons réussissent tout de même à tuer un chevalier du Graal et perdent deux des leurs mais tiennent la position.

  4. Tour 3 des Elfes

    Mais pourquoi donc les maîtres des épées ont-ils quitté leur position ? Bien Mal leur en a pris car ils gênent maintenant la progression des princes dragon qui ne peuvent plus se déplacer comme ils l’avaient escompté. Ils se contenteront donc simplement de se positionner pour recevoir l’assaut des chevaliers du Graal. Les heaumes d’argent pour le même motif se retournent pour recevoir sous peu la charge des chevaliers du royaume. La magie va s’avérer prépondérante pendant cette phase de la bataille, et l’on peut en effet dire que ce sera un tournant car Olayelsin perd le contrôle des vents de magie empêchant toute autre incantation. Il se met alors à jurer avec des termes que la décence interdit de reproduire ici. Les tirs de la baliste n’arrangent rien, décidemment ce jour était placé sous le signe de la malchance. Les maîtres des épées sauveront peut être la situation sûrs qu’ils sont de l’emporter contre un homme seul mais c’est sans compter sur la protection de la Dame car ce ne sont pas moins de 4 blessures que le chevalier évite grâce à elle. En retour avec sa monture il parvient à terrasser quatre elfes qui malgré ces lourdes pertes tiennent leur position.

    Tour 3 des Bretonniens

    Tout va pour le mieux car les chevaliers errants qui avaient poursuivi les archers reviennent sur le champ de bataille et les chevaliers pégase se rallient. Chez les Bretonniens, les trompes résonnent à nouveau pour lancer les charges. Les chevaliers du Graal fondent sur les princes dragon. Le choc est terrible. Le général bretonnien lance un défi au commandeur elfe qui le relève et reçoit une blessure. Dans la mêlée deux princes dragons succombent mais le pouvoir de la grande bannière magique des elfes leur permet de maintenir le statu quo. Les chevaliers du royaume attaquent les heaumes d’argent et en tuent trois en se protégeant de toutes les blessures. C’en est trop pour les elfes qui prennent la fuite ; du moins ils essayent de le faire car ils sont rattrapés par les humains qui les annihilent jusqu’au dernier. Seule ombre au tableau, le paladin qui luttent contre les maîtres des épées lâche prise et préfère fuir, poursuivi par les elfes qui sont trop lents par rapport à sa noble monture ailée.

  5. Tour 2 des Elfes

    Confiant en leur rapidité les cavaliers elfes ne peuvent réprimer un sourire en voyant les deux principales unités ennemies s’engager là où ils les attendaient. Mettant leur plan à exécution, les princes dragon et les heaumes d’argent prennent la direction de la crypte mais du côté inverse à celui de leur adversaire, certains de pouvoir à terme les prendre à revers ou du moins les attaquer à des moments différents. Il y a à peine un petit regret en voyant que les chevaliers pégases auraient pu être atteints par les princes dragon.

    La magie pose autant de problèmes que précedemment. Mank’A’Zel manque encore l’invocation de la conflagration fatale mais réussit l’explosion flamboyante que la damoiselle s’empresse de dissiper grâce à un parchemin ; son comparse Olayelsin concentre toute son énergie pour la foudre d’Uranon avec une telle maîtrise que nul n’aurait été capable de l’arrêter mais il n’inflige qu’une seule blessure à un chevalier pégase. Pour couronner le tout, le pouvoir de l’anneau de Khaine est à nouveau contré et il se brise. Les cordes des arcs et de la baliste vibrent en prenant les chevaliers errants pour cible. De nombreux archers touchent leur cible mais les armures sont trop résistantes, la baliste terrasse néanmoins deux des chevaliers.

    Tour 2 des Bretonniens

    Chez les Bretonniens, c’est l’hallali. Les chevaliers errants lancent la charge sur les archers qui tirent en pure perte pour les arrêter, et les chevaliers pégases plongent vers les maîtres des épées en un piquet majestueux qui rend la protection du mur inutile. Le Champion sur pégase reste sagement en arrière s’orientant simplement vers les princes dragons. Du côté de la crypte, les chevaliers du royaume poursuivent leur mouvement tandis que les chevaliers du Graal font demi tour pour ne pas être pris à revers.

    C’est le choc sur le champ de bataille. Les chevaliers errants embrochent quatre archers sans recevoir la moindre blessure en réponse. Les elfes cèdent à la peur et s’enfuient quittant le champ de bataille dans le désordre le plus complet poursuivi par les chevaliers qui ne peuvent réfréner leur ardeur. Les chevaliers pégases sont moins heureux car bien qu’ayant tué trois maîtres des épées, ils perdent l’un des leurs qui avait déjà été blessé précédemment, et battent en retraite. Ils sont poursuivis mais pas rattrapés et les maîtres des épées rentrent en contact avec le paladin sur pégase. Le destin serait il en train de jouer un mauvais tour aux humains ?

  6. Tour 1 des Elfes

    Les Bretonniens ayant posé genou à terre pour prier et implorer la protection de la dame, ce sont les elfes qui font le premier mouvement. Les Maîtres des épées accompagnent les deux mages (dont l’un a été désigné général) et prennent position derrière le muret qui constituera une bonne position défensive. Les autres troupes ne bougent pas préférant laisser l’ennemi s’engager entre les bâtiments. Pendant la phase de magie, la présence du node semble affoler les vents de magie : Olayelsin Mank’A’Zel le devin ne parvient pas à déclencher la conflagration fatale et Olayelsin échoue également pour invoquer le second signe d’Amul et la foudre d’Uranon. Quand à l’anneau de Khaine, la damoiselle contre sans mal son pouvoir. Au moment des tirs la corde de la baliste vibre pour lâcher un seul trait qui rate sa cible, et les archers ne font pas mieux avec une blessure infligée mais qui ne passe pas l’armure de la cible. En tous points c’est vraiment un tour nul mais sans aucun doute, le suivant sera meilleur.

    Tour 1 des Bretonniens

    Face à l’invraisemblable maladresse de leurs adversaires qu’ils voient comme un signe de la Dame, les Bretonniens se lancent sur le terrain. Partant en ligne droite les chevaliers errants se dirigent vers les archers. Le paladin sur pégases et les chevaliers pégase quittent l’abri du temple pour aller se placer face au muret défendu par l’infanterie elfe. Quant aux chevaliers du Graal et aux chevaliers du royaume, ils avancent sur le flanc droit pour passer au large de la crypte et affronter les deux cavaleries adverses. La damoiselle n’utilise aucune magie (elle ne le fera d’ailleurs pas de toute la bataille, certainement consciente des difficultés particulières à cet endroit) et aucun chevalier n’est équipé d’arme de tir.

  7. Rapport de bataille

    Le hameau de Bois Cerf vient d’appeler à l’aide son seigneur car des elfes s’en sont pris aux paysans. A la tête d’un détachement Sire Benjamin de Bretonnie vient affronter l’Ost elfique qui reprochait aux paysans d’avoir défriché un terrain qui cache un node de pouvoir. Nul n’étant décidé à lâcher prise, les deux contingents s’affrontent au petit matin entre quelques bâtiments de Bois Cerf.

    L’ost d’Ulthuan (42 figurines)

    Certes ce n’est pas là une ost de plusieurs milliers de lances telle que celles qui emplissent les récits d’antan. Mais la force et la détermination de ceux qui ont été appelés par le Roi Phénix n’en sont pas moins importantes. La présence du noble commandeur Khorïel brandissant un étendard couvert de gemmes (commandeur avec grande bannière de bataille) y est peut-être pour beaucoup. Il chevauche à la tête de la noblesse de Caledor, les Princes Dragons (8 dont état-major, bannière de juste équilibre et amulette de pureté) qui ne connaissent aucune peur. Le soleil darde ses rayons sur la barde d’ithilmar de leurs coursiers. Mank’A’Zel (mage niveau 2, devin et pur de cœur) et Olayelsin (mage niveau 2, anneau de Khaine et parchemin de dissipation), deux disciples de l’école de Saphery sont à ses côtés dans cette noble épopée. Ils ont quitté les rivages orientaux de la Mer des Rêves et la Tour Blanche de Hoeth pour peser dans la balance du destin durant la bataille avec la toute puissance des Arcanes. Comme il se doit ils sont escortés par un contingent de Maîtres des Epées (11 dont état-major, bannière de sorcellerie) qui les assisteront pour contrôler les vents de magie. Des citoyens archers (10) et quelques heaumes d’argent (8 dont état-major) sont également venus des diverses provinces pour combattre sous la bannière d’Ulthuan mais l’éloignement des champs de bataille n’a hélas permis de n’en requérir qu’un nombre bien modeste. En dernier lieu une Griffe des Aigles et ses servants (baliste à répétition) sont là pour décimer l’ennemi.

    Le contingent bretonnien (29 figurines)

    Un paladin monté sur un pégase (vertu de discipline,serment du graal, bouclier du graal) et trois chevaliers pégase survolent le terrain où le sol tremble sous les pas des destriers qui s’élancent au galop. Ils sont là pour en terminer avec ceux qui ont oser s’en prendre aux sujets du royaume. Une damoiselle (niveau 1, deux parchemins de dissipation) et le général (vertu impétueux) sont accompagnés de six chevaliers du graal (avec état-major, bannière de défense). Un autre paladin porteur de la grande bannière (bannière de bravoure) mène huit chevaliers du royaume (avec état-major, bannière de guerre) et enfin huit chevaliers errants (avec état-major, sainte bannière) complètent l’ensemble.

  8. Heu juste une sugestion c vrai que les fanas font sortir d'otrs fana??

    Sinon c trés bien!!

    :lol:

    oui puisque les fanas font partie de l'armée d'en face ce sont donc des ennemis et ils provoquent la sortie de tes propres malades tourbillonants.

    en provenance de chez karateninja :

    Question

    Est-ce que vos squigs égarés ou bien les fanatiques que vos unités ont déjà lancés lors d’un tour précédant déclenchent la sortie de vos propres fanatiques ?

    Réponse

    Non, bien que ces figurines puissent blesser vos troupes, elles ne sont pas ennemies pour autant.

    Source

    Equipe de conception de Warhammer – Question posée en juin 2003 sur le forum de Games Workshop.

    ça c'est pour tes propres fanatiques

  9. :P J'adore la technologie dans le jeu : génial de favoriser le déplacement en utilisant les boites de CD comme plateau de mouvement.:P

    Trêve de plaisanterie bon rapport de bataille. Sur la prochaine table un petit élément de décor ou deux pour amener un peu plus de stratégie dans le mouvement.

    En plus je suis heureux parce que ce sont des peaux vertes qui ont gagné. :P

  10. foultitude de conseils :D mais tel est l'objet d'un forum. Mais tout le monde y allant de son "moi je préfère" ou "il ne faut surtout pas" on se trouve très vite submergé.

    Le seul conseil vraiment judicieux est je crois le dernier "va faire un tour dans les autres tournois" là tu verras ce qui te plait, ce qui à ton sens peut être amélioré, et tu feras ce que tu veux , ce que vous voulez devrais je dire car j'espère que l'organisation de ce tournoi est un travail d'équipe sinon tu es très courageux ^_^

    sur ce les gens qui aiment jouer viendront malgré les règles particulières et autres exigences qui seront les votres

    pour terminer dès que la date le lieu et le format seront arrêtés, fais nous signe on s'inscrira.

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