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Warhammer Forum

la lignée maudite


shasel

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Auto-quote

2) Tu as systématiquement remplacé "ça" par "sa". C'est une faute qui me tape beaucoup sur les nerfs. Et elle est facile à éviter. Quand tu veux écrire "ça" ou "sa", pour savoir quel mot tu veux utiliser, essaye de mettre "cela" à la place. Si "cela" marche, écris "ça", sinon écrit "sa".

Alors pense-y s'il-te-plaît, parceque c'est une faute qui me tape vraiment sur le système. X-/

Sinon, il est sympa ce passage.

« Et sinon, toi sa va ? Comment se passe ton commerce ?Tu as réussi à vendre cet éclateur sonique que tu nous as montré l’année dernière? »

« Non. Celui là je le garde pour calmer mes voisins lorsqu’ils se montrent trop bruyant. Trois cents décibels dans les oreilles à deux heures du matin, sa leur à fait passer le goût des fêtes tardives et bruyantes. »

:wink::P:lol:
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Eh bien,bonne rentrée à tous!

Voici la suite.

Vardrian avait l’air furieux. Son éclateur sonique qu’il tenait dans ses mains tremblantes semblait sur le point de cracher la mort à tout moment. Liera saignait violemment là où le tir de pistolet shuriken l’avait atteint, et Yimbo ne pouvait même pas intervenir. Qu’est ce qui avait donc pris à Liera d’aller voir la fille de ce paranoïaque de Vadrian ? Le tir du pistolet du technaugure était partit à la demi seconde ou il l’avait vu avec sa fille. Maintenant, il la regardait avec un regard haineux ou dansait des flammes de vengeances .

« Si elle a fait quoi que ce soit à ma fille… »Murmura t’il en se penchant vers l’un de ses nombreux appareils électroniques.

Il y eut une seconde de flottement, puis la fille de Vardrian se releva comme une flèche en bondissant hors de son lit tandis que le technaugure se mettait à crier :

« Elle est guérie !! Elle l’a guér… »

« Bonjour, monsieur. »

Le technaugure écarquilla les yeux en sifflant mais, avant qu’il n’ait put dire un mot, sa fille bondit sur lui en lui décochant des uppercuts d’une telle force qu’il en lâcha son éclateur sonique.

Yimbo se jeta sur le corps saignant de Liera en sanglotant tandis que la fille du technaugure envoyait valser son père à l’autre bout de la salle.

« Liera, Liera !Sa va ?Attend, j’appelle un méde… »

« Oh sa va, pas la peine de chialer, hein ! »Déclara d’une voie stridente la jeune fille du trafiquant d’arme. « Fait lui plutôt boire sa ! »Dit-elle en lui jetant à la figure un tube rempli de cachets verdâtres.

Les mains tremblantes agitées de spasmes de l’intouchable enfoncèrent un comprimé dans la bouche saignante de la guerrière.

Pendant ce temps, la jeune fille saisissait l’éclateur sonique de son père et l’observait , intrigué.

« Absolument pas légal, ce truc. Ou vous vous etes encore fourrés ? »

Yimbo se retourna vers lui, tous ses muscles bandés. Cette manière de parler…

« Ralik ? »

« Sans dec ? T’en as mis du temps à comprendre ! Ramasse Liera rejoins-moi au repaire des dragons, on à des gros problèmes. Syphyris III n’est plus sur. »

« Ralik ? »

La jeune fille possédé ne semblait pas l’écouter, et observait le vide en ricanant, un léger sourire au lèvre.

« Ralik ? »

Son sourire s’effaça momentanément de son visage pâle.

« Qu’est ce qu’il y a ? »

« Pourquoi t’est intervenu ?Qu’est ce qui se passe, au nom de l’Empereur ?! »

« Nalog est mort, tué par un agent des forces du chaos. »

Il y eut un moment de silence total, que même le bruit des discutions des voisins ne vint pas interrompre.

Mais Yimbo était habitué aux deuils éclairs, et il ne fut pas troublé bien longtemps par cet état des faits. Il s’apprêtait à poser une autre question, mais l’inquisiteur reprit d’un ton précipité sa phrase sans se soucier de la réaction de son acolyte.

« Et il y a autre chose. »

« Hein ? »

« Syphyris II est en flamme. »

« QUOI ? »

« Si si, je te jure. Les mutants des principales mégas forges de la ville se sont révoltés et ont envahi tous les étages inférieurs. Et le pire, c’est qu’ils ont un meneur. »

« Un meneur ? »

« Un certain Roth. Quoi qu’il en soit, c’est un agent du chaos et d’après mes informateurs, un space marine. »

Silence total.

« Pardon ?Je croyais que les spaces marines renégats se cachaient quasiment tous dans l’œil de la terreur, situé à des dizaines de milliers d’années-lumière du Segmentum Tempestus, qu’est ce qu’il fait là ? »

« D’abord, il n’est pas seul. Ily a au moins trois marines du chaos sur la planète. Ensuite il existe un repaire de space marine du chaos pas loin d’içi. On l’appelle l’œil de la mort, une zone trouble ou les lois gravitationnelles cessent d’agir à cause d’un trou noir relativement grand dont la force d’attraction s’équilibre avec celle du trou noir central de la galaxie »

« Ah. »

« B »

« Cette blague, je la sortait quand j’avais quatre an. »

« Désolé. »Marmonna l’inquisiteur, l’air agacé. Lorsque je suis stressé, je n’arrête pas d’en sortir des comme sa. »

« Qu’est ce tu compte faire ? »

« C’est trop tard pour faire quoi que ce soit, Yimbo. Syphyris est trop profondément corrompus, son air est trop vicié, ses habitants trop égoïstes. J’entends déjà les murmures d’espoirs des démons qui s’agitent aux portes de la réalité en se nourrissant des émotions de ces ingrats. Cela fait des années qu’une flotte de combat campe dans le sous secteur en attendant le feu vert de l’impérium pour purger ce monde. Seul les Anges Silvers empêchent le démarrage de la campagne. Direction Trantor IV. Il est temps de forcer la main de l’astartes. »

« Et si Syphyris II tombe ? »

Ralik ne répondit pas. La force avec laquel il brisa l’éclateur sonique parlait pour lui.

Voilà

En espèrant que sa vous plait.

Shasel

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Bonjour à tous.

Avant tout:

2) Tu as systématiquement remplacé "ça" par "sa". C'est une faute qui me tape beaucoup sur les nerfs. Et elle est facile à éviter. Quand tu veux écrire "ça" ou "sa", pour savoir quel mot tu veux utiliser, essaye de mettre "cela" à la place. Si "cela" marche, écris "ça", sinon écrit "sa".

Alors pense-y s'il-te-plaît, parceque c'est une faute qui me tape vraiment sur le système.

Sinon, il est sympa ce passage.

Sincèrement désolé,j'essaierai d'y penser.

Je profite de ce poste pour publier un résumé rapide des évènements qui ont eu lieu depuis le début du sujet.

Ceux qui suivent l'histoire depuis longtemps peuvent directement sauter le passage en italique. Les autres peuvent le lire pour comprendre un peu ce qui se passe.

Attention:c'est un résumé très bref,il est probable que vous ne compreniez pas tout à ce qui se raconte,juste le principal.

Ralik:inquisiteur

Nalog:assassin personnel de Ralik

Yimbo:Convoyeur,possède des capacités d'intouchables

Liera:Guerrière,bras droit de Yimbo,intouchable

Nicrarios:sorcier du chaos servant Nurgle

Azhadram:Sorcier du chaos servant Tzeentch

Roth:Marines du chaos servant shlanesh

Sanghor Frek:terroriste

L'Envouteur:chef du gang qui dirige la citée ruche Syphyris I

Vardrian:Technaugure renégat.Ami de Yimbo et Liera,spécialiste dans la vente d'arme exotique.

l'Homme noir:Nom du gang qui dirige la citée ruche Syphyris II.Spécialisé dans l'esclavage.

Dragon Rouge:Nom du gang qui dirige la citée ruche Syphyris III.Spécialisé dans l'amour de son prochain...

Macros:Chef du chaos.

Syphyris était un monde ruche localisé dans le Segmentum Tempestus, raccordé au pouvoir du chapitre space marine des Anges Silvers. Oui, était, car il y a de cela vingt-cinq an, une Waghhh ! ork gigantesque s’abattit sur la planète en écrasant toutes les forces impériales présente sur ce monde. Débordés, les Anges Silvers prirent une décision d’extrême urgence en armant la population de Syphyris. Les orks se retrouvèrent dès lors à cent contre un et furent écrasés. Mais, alors que les ultimes survivants xénos s’enfuyaient dans les déserts et les jungles locales, la population du monde ruche fit exactement ce que redoutait les Anges Silvers et se refusa de déposer les armes. Une révolte ne tarda dès lors pas à éclater, et Syphyris devint immédiatement un champ de ruine. En trois mois, sa population fut divisée par deux et les forces impériales situées sur la planète, détruite. Les rares survivant de l’ancien régime s’enfuirent et devinrent des terroristes peu recommandable.

L’apocalypse prit finalement fin lorsque trois gangs "convainquirent" la population de revenir dans le droit chemin. Après avoir rétablit l’ordre, ils se partagèrent la planète selon l’ordre suivant :

Syphyris I(la plus grande et la plus imposante des trois citées ruches) revint au gang de l’Envoûteur, un psyker très célèbre dans l’impérium, mais pas pour les bonnes raisons. Ce gang, très riche, reprit à son compte les activités de pirateries de l’ex-gouverneur, ainsi que toute les entreprises de vente de drogue et de marché noir interstellaire qu’entretenait la planète avant la révolution.

Syphyris II fut accordé au gang de l’Homme Noir, qui découvrit une occupation pour tout les miséreux et les mutants qui jonchaient les rues de sa ville. Sa ville est depuis lors une gigantesque forge ou des dizaines de millions d’esclaves triment dur(et gratuitement) pour maintenir son commerce en marche.

Syphyris III,quand à elle, fut offerte aux Dragons Rouge. C’est ce gang qui réussit à convaincre la population. C’est donc celui-lui qui s’occupe des contestataires, des raids orks et de l’assassinat des terroristes FDP.

L’impérium monta sur pied une croisade pour mettre fin à cet état des choses, mais les Anges Silvers retardèrent autant que possible le départ de la croisade car l’idée que les forces impériales se mêlent de leurs affaires ne les faisait pas vraiment hurler de joie.

L’histoire en elle même commence vingt-cinq ans plus tard, sur Syphyris même, qui est toujours au main des gangs. Si vous avez lu le paragraphe précédent, vous saurez que les orks grouillent désormais dans les jungles et les déserts de la planète. Or, la traversée de ces lieux mortels est indispensable a l’entretien du commerce inter-citée ruche. Pour ce faire, les gangs emploient une caste de guerrier assez spécial : Les Convoyeurs.

Yimbo est l’un d’entre eux. Il dirige un convoi blindé de quinze camions de guerre depuis déjà plusieurs années, soutenu par la guerrière Liera, l’une des plus redoutable de Syphyris III.

Alors que le Convoyeur fait reposer son équipe dans Syphyris I en attendant de trouver un nouveau contrat, il est contacté par un assassin du gang de l’Envoûteur, un certain Sanghor Ferk, qui désire se débarrasser de deux cibles rapidement. Néanmoins,ces employeurs ne veulent surtout pas que le meurtre ne se sache, aussi demande t’il son appuie a Yimbo. Sanghor sait que ces deux cibles comptent fuir Syphyris I pour rallier Syphyris III. Le plan est simple :Sanghor s’arrangera pour que ces futurs cadavre embarquent dans le convoi de Yimbo, puis ils mouront dans le désert d’un coup de couteau mal placé, et officiellement,les orks auront fait deux nouvelles victimes. Yimbo, qui en a vu d’autre, accepte sans trop poser de question.

Mais, pendant le voyage, les orks s’en mêlent et attaquent le convoi. Le chaos qui en résulte est tel que, lorsque la bataille se termine, les deux cibles(qui se nomment respectivement Nalog et Ralik) ont finalement éliminé l’assassin(avec l’aide de Yimbo, qui avait découvert, pendant le voyage que Sanghor transportait sur lui des richesses improbables faciles à voler.)

Ralik fait alors comprendre à Yimbo qu’il vient de se faire une quantité astronomique d’ennemi mortel qui vont l’obliger à mettre fin à sa carrière. En effet, Sanghor Frek était un assassin et un terroriste à la solde d’une secte maléfique(du chaos, au cas ou vous n’auriez pas compris ) . Il ferait donc mieux de mettre les voiles. Arrivé à Syphyris III,le convoi se disloque, ses deux leaders s’évaporant avec Ralik(qui se révèle être un inquisiteur)

Mais les choses se compliquent très vite :les cultes chaotiques ont manipulé les gangs pour qu’ils s’entretuent allègrement. La mission de Ralik sur ce monde est de le nettoyer de toute trace de corruption. Hélas, il n’est pas dans l’impérium, aussi ces pouvoirs sont t’ils limités. Pour remédier à cet état des choses, il décide de s’immiscer dans la politique locale. Il s’infiltre dès lors dans une réunion mené par les plus haut officiers du gang des dragons rouges. Mais alors que la réunion bat son plein, une révolte mutante dirigé par un agent du chaos nommé Azhadram(on en reparlera de lui) s’invite dans le cercle des Hauts Dragons de manière explosive(très). Lorsque la bataille se termine, les rares survivants du coté des dragons sont obligés d’élire Ralik en tant que chef du gang(c’est un peu complexe que ça, en réalité, mais si vous voulez savoir toute l’histoire…ben vous avez qu’à la lire).

Dès lors les choses se compliquent :les cultes du chaos mènent de vastes offensives sur toute la planète, encouragent les révoltes des esclaves mutants, répandent des maladies mortelles dans les bas fonds des trois cités ruches et ainsi de suite…Rajoutez à cela le fait que les gangs se tapent toujours dessus comme des charretiers, vous aurez une vague idée du chaos qui règne sur Syphyris.

Ensuite, les évènements se déroulent selon trois axes plus ou moins parralèle.

Ligne n°1 :Nalog, l’assassin personnel de Ralik, est envoyé en mission spéciale pour assassiner le chef du gang de l’Homme Noir et capturer l’Envoûteur pour interrogatoire. La première partie de la mission est un succès, mais avant qu’il n’ait put faire un geste, un marines du chaos servant Nurgle entre en scène et le fait fondre avant d’essayer de faire taire définitivement l’Envoûteur.

Ah zut, j’ai oublié de vous dire…Lorsque les Anges Silvers ont empêché les forces de l’impérium de mater la révolte de Syphyris, ceux ci l’avaient mauvaises. Aussi, lorsque l’inquisiteur intervint, il reçut pour consigne officieuse de trouver au plus vite une affaire à jeter dans les pattes du chapitre. Ralik pense avoir trouvé quelque chose, mais il doit pour cela faire cracher la vérité à l’Envoûteur, d’ou l’intervention du marine de chaos(qui s’appelle Nicrarios, au passage).

Ligne n°2 :Pendant que Nalog se dissout sur le sol dans une flaque de vomi, Yimbo et Liera sont envoyés par l’inquisiteur assassiner un psyker renégat. La mission finie, les deux intouchables contactent secrètement un ami de longue date pour procéder à la vente des stocks de matières précieuses que Yimbo à volé sur le cadavre de Sanghor Frek. Leur ami déclare alors que cette matière, si elle ressemble à de l’ivrine(le nom de la matière précieuse qu’ils veulent revendre), n’en à que l’apparence. A ce moment là, Ralik prend contact avec les deux intouchables par l’intermède de la fille de leur ami, dont il possède le corps. Il dit alors d’un ton précipité que Syphyris II est en train de subir une monstrueuse révolte mutante et que, si elle tombe, il devra faire appel à l’imperium pour purger la planète.

Ce qui va me permettre de rebondir sur la troisième ligne de l’histoire, à savoir :

La suite .

Les murs de la salle du Haut Conseil étaient recouverts d’une tapisserie noire qui contrastait avec l’intense lueur dorée émanant du lustre de cristal accroché au plafond. Une table de bois massif envahit de centaines de documents englobait tout le centre de la pièce noyé par la fumée des cigarettes. Une vingtaine d’officiers du gang de l’Homme Noir s’apostrophaient en faisant remuer leurs lourds manteaux de velours au milieu du brouillard opaque qui occultait la pièce. La large baie vitrée qui trouait le mur Sud révélait à tout les yeux les épaisses volutes de fumées brûlantes qui s’élevaient de la citée ruche. La plupart des membres du conseil s’efforçaient néanmoins de ne pas regarder vers ce coté, car ils savaient tous à quoi était dut cette fumée, et ils n’appréciaient pas sa signification.

Cette fumée venait des mégas forges que ces millions de locataire forcés avaient brûlés en hurlant leur envie de revanche.

Les mauvaises nouvelles affluaient de toute. Un réseau de prostitution appartenant au gang avait été démantelé et éradiqué par les Dragons rouges. Il y avait des troubles au cœur même du QG du gang et de nombreuses rumeurs affirmaient que la ruche numéro quatre était en flamme. Le ton montait de plus en plus, preuve que les officiers n’avaient pas la conscience tranquille.

Alors que deux officiers nerveux commençaient à hausser la voie en se jetant des regards de défi, un bip sonore retentit dans la pièce, signifiant que quelqu'un se venait d’entrer le mot de passe magnétique nécessaire à l’ouverture de l’unique porte blindée qui permettait d’entrer dans la salle du Haut Conseil.Tous se turent et portèrent la main à leurs armes. De nombreux meurtres avaient été découverts dans l’enceinte du quartier général, qui avait été placé en état d’alerte maximale pour l’occasion

Deux gardes se placèrent devant la porte, armèrent leurs fusils lasers, puis l’un d’entre eux cria :

«Mot de passe vocal. Et plus vite que sa ! »

Il y eut un instant de silence à l’extérieur, puis une voie lui répondit d’un ton étrange, presque moqueuse.

« Et si on ne l’a pas ? »

Trente fusils laser se pointèrent sur la porte blindée tandis que les officiers se préparaient à évacuer la pièce par l’issue de secours.

« Essayez d’entrer pour voir. »

La voie hurla alors férocement.

« D’ACCORD ! »

A ce moment précis, la porte blindée fut arraché de ses gonds et propulsé au travers de la pièce dans un grondement de métal disloqué.

Une demi-seconde plus tard, l’intégralité du mur en béton armé qui avait soutenu la porte explosa à son tour dans un nuage de poussière. Celle ci n’avait pas encore commencé à retomber que six monstrueux géants en armures noirs rentrèrent dans la pièce en larguant des pluies de bolts dans toutes les directions. Les gardes du corps des officiers étaient tous des combattants vétérans qui s’étaient illustrés dans de nombreuses batailles. Ils ouvrirent immédiatement le feu tout en se jetant à couvert sous les débris de la salle dévastés. La volée de laser qui s’ensuivit stoppa net l’avancée des géants, tuant sur le coup l’un d’entre eux. Les autres se jetèrent à leurs tours à couvert et engagèrent immédiatement une violente fusillade auquel les officiers, constatant qu’ils ne pourraient pas sortir sans en finir avec leurs assaillants, se mêlèrent à leurs tours. L’action avait duré sept seconde. Deux géants et quatorzes gardes étaient déjà morts

Une seconde et demi plus tard, cinq autres géants entraient en scène, l’un d’entre eux maniant une arme au design étrange. Lorsqu’il en pressa la gâchette , un hurlement cacophonique abominable retentit dans la pièce…à plus de cent quarante décibels. Sept gardes et cinq officiers qui s’étaient trouvés tout près s’effondrèrent en hurlant, les tympans percés.

Trois secondes plus tard, un nouveau géant entrait dans la pièce. Il faisait une tête de plus que tous les autres monstre,et ne semblait guère plus commode. Sa tête sans casque était bouffé par une triplette d’yeux noirs luisant d’amusement. Il hurlait de rire tout en fonçant vers le combat à une vitesse affolante, et son épée vibrante d’une énergie noir lui répondait en riant elle aussi.

Son premier coup fut quasiment invisible tant il était rapide. Le bras d’un vétéran s’envola.

Le géant démoniaque jetait hors de sa route le malheureux amputé tandis que les autres assaillants quittaient leurs couverts pour s’élancer à la suite de celui qui était probablement leur chef.

Dès lors, le combat ne dura plus que cinq secondes.

Aucun officier n’y survécut.

Roth dévoila une rangée de dents blanches qui illumina son visage assombri. Sa compagnie allait maintenant dévaster le reste du bâtiment. Après quoi, le gang de l’homme noir détruit…

Syphyris II tomberait entre les mains du chaos.

Roth s’apprêtait à sortir pour porter la destruction dans le reste du bâtiment lorsqu’il remarqua un vétéran agonisant sur le sol. Il était couvert de blessure et son torse avait explosé site à l’impact d’un bolt. Il hurlait de douleur et se lamentait en suppliant ses agresseurs de l’achever.

Roth reconnut dans cette voix plaintive une once d’orgueil qu’il avait déjà entendu. Il saisit le malheureux par les cheveux et le souleva du sol en lui décochant un regard terrorisant.

« Je suis rentré. Qu’est ce que j’étais censé voir ? »

Le vétéran s’apprêtait à répondre, mais Roth ne lui en laissa pas le temps. Il courut au centre de la salle et l’y déposa en ricanant, puis il recula et tira dans le lustre de cristal accroché au plafond à l’aide de son pistolet bolter. Celui ci se décrocha et s’abattit sur le vétéran, l’aplatissant comme une crêpe sous les yeux goguenards des marines présents dans la salle.

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L'histoire avance donc avec l'apparition d'un nouveau personnage et l'arrivée des marines.

Ça ne nous laisse pas beaucoup de suspense, mais ça nous ouvre quand même des possibilités d'imagination en attendant la suite

Ah, j'allais oublier!

Et plus vite que sa
:whistling:
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Bon,eh bien voici la suite.

Bonne journée à tous.

Au cœur d’une rue noyé dans le brouillard, un homme avançait. Ses bottes cirées résonnaient sur les pavés humides. Le col de son manteau remonté camouflait à moitié le masque à oxygène noir qui lui dévorait le visage. Des volutes de fumés grises stoppaient les lueurs de la lune et des étoiles, plongeant l’homme dans une obscurité totale ou se mouvaient des ombres fuyantes.

Son pas était lent, méthodique, raisonné.

Il longeait une large rue bondée de monde le jour, mais déserte la nuit.

Trois jeunes hommes en mal d’argent avaient déjà tenté de s’en prendre à lui.

Ils se réveilleraient dans quelques heures, et se demanderaient ce qui leur était arrivé.

Alors qu’un croisement se présentait à lui, un rayon de lumière se mit à percer de la nappe de lumière, éclairant un pan de mur délavé.

L’homme se retourna vers le mur, le fixa un moment avant de s’accroupir contre une poubelle et de sortir deux tiges de métal qu’il cogna l’une contre l’autre dans un sifflement strident

Au même moment, un nouveau bruit de pas retentit dans une artère sombre. Un bruit de pas. Qui se rapprochait excessivement vite.

Avant que l’homme aux tiges de métal ait put de nouveau les entrechoquer, une main se posa sur son épaule. L’homme aux tiges se crispa légèrement, mais avant qu’il n’ait put réagir,la main desserra légèrement la prise sur son épaule et son propriétaire chuchota quelque mot à l’homme d’un ton étrange.

« Inquisiteur Ralik ? »

« Oui. »

L’agent impérial se retourna lentement pour fixer son interlocuteur. Un homme de taille moyenne, col roulé, masque à oxygène, vêtements qui se fondaient dans la nuits, muscles saillants une aura de menace se dégageant de sa personne.

« Et vous. Vous etes l’Envoûteur ? »

« Oui. »

« Vous avez demandé à me voir. Je suis là. Que me voulez vous ? »

Il y eut un moment de silence inquiétant. Puis l’Envoûteur tourna les yeux vers le ciel enfumé en soupirant d’un ton rêveur.

« Les consignes ont changé. »

« Les consignes ? Les consignes de qui ? »

« Des Anges Silvers. »

« Alors ce qu’on m’a dit est vrai. »

« Vraiment ?Qu’est ce qu’on vous à donc dit sur moi ? » Murmura l’Envoûteur d’un ton lassé.

« Que vous avez aidés les Anges Silvers à accomplir leurs crimes sur ce monde. »

Son interlocuteur le dévisagea d’un regard exaspéré.

« Vos informateurs parlent sans savoir. En temps de guerre, il n’y a pas de crime. Juste des combats »

« Ce monde n’est pas en guerre. Il est certes plus agité que la moyenne, mais sans plus. »

Le rire incrédule sec de l’Envoûteur résonna dans la rue froide avec une force troublante.

« Cela fait vingt-cinq ans que les combats entre agents de l’impérium et agents du chaos ont commencés sur ce monde. C’est le chaos qui à orchestré la révolte pour rendre la planète vulnérable à ses futures attaques. C’est l’impérium qui à financé l’émergence des gangs pour contrer son avancé. Tout les évènements qui ont eut lieu sur ce monde ont un rapport avec la guerre secrète que se livrent les services secrets des deux camps.Si vouqs saviez le nombre d’agents du chaos que j’ai tué de mes mains…Mais pour chaque hérétique que nous exécutons, deux autres atterrissent clandestinement. Nous sommes débordés, et en passe de perdre la guerre. Même les interventions répété de la troisième compagnie des Anges Silvers n’ont pas suffi à renverser la situation. Pourquoi croyez-vous que le capitaine Haldus à été assassiné et sa compagnie détruite ? »

L’inquisiteur ne répondit pas. Il tournait et retournait ses informations dans sa tête, à la recherche d’une faille. Finalement, ce fut le néant alentour qui lui souffla ces paroles.

« Ce n’est pas logique. »

L’Envoûteur dévisagea Ralik

« Ah ! Et pourquoi ? »

« Trantor IV est la planète chapitrale des Anges Silvers, est à trois jour de voyage warp de Syphyris ! Les forces du chaos se soucient certes peu des pertes, mais ils savent bien que toute attaque aussi près de cette forteresse impériale déboucherait sur des combats apocalyptiques qui pourraient menacer tout le fragile empire maléfique qu’ils dirigent depuis l’œil de la mort ! On attaque pas un tel monde sans de bonne raison. Si ils veulent corrompre des planètes, décimer des peuples, brûler des villes, il existe des dizaines de mondes en marges du secteur qui peuvent faire office de cible !S’ils sont là, ce n’est pas pour le plaisir des dieux noirs. »

« Bonne déduction. Vous etes plus intelligent que je ne le pensais. Alors laissez-moi donc répondre à vos questions. Ceux qui dirigent cette invasion ne sont effectivement pas là uniquement pour corrompre Syphyris. Ce qui les pousse à attaquer ce monde est mille fois plus complexe. Ils sont là pour détruire les Anges Silvers. »

L’inquisiteur hoqueta de surprise

« Pardon ? »

L’Envoûteur ne se laissa pas interrompre.

« C’est logique, après tout. Vous avez vu la forteresse des anges Silvers ? Vous oseriez attaquer une place forte pareille ? Elle est imprenable ! La seule manière de détruire le chapitre, c’est de le pousser à sortir de son cocon d’acier pour le détruire sur la surface de l’unique planète pour laquelle ils sont près à mourir :Syphyris,le monde sur lequel ils sont tous nés. »

« Détruire un chapitre space marine nécessite la mobilisation de ressources gigantesques. Il faut avoir de bonne raison de tenter un tel acte de guerre…pourquoi voudraient t’ils tenter un tel suicide ? »

L’Envoûteur tiqua.

« Très intelligent. Ils ont de bonnes raison, je vous assure, mais je ne peut pas vous répondre. La réponse à vos interrogation est sur Trantor IV. Les Anges Silvers vous attendent. Ils ont besoin de vous voir le plus vite possible. C’est la raison pour laquelle j’ais demandé à vous voir. Ils m’ont demandés de vous faire passer le message. Le croiseur space marine l’Indomptable est à l’heure actuelle en orbite autour de Syphyris et n’attend que vous pour le quitter. »

« Je préfère attendre un peu avant de quitter la planète. J’aimerais d’abord savoir comment vont se terminer les émeutes de Syphyris II. »

« Syphyris II est tombé depuis déjà quelques heures entre les mains du chaos. Nous sommes véritablement en train de perdre la guerre, inquisiteur. Si nous échouons, les Anges Silvers devront se battre en personne. Ce serait une catastrophe pour l’impérium tout entier. »

Il y eut un moment de silence pesant, les deux hommes fixant les rues désertes et sombres des alentours, songeurs. Le bruit de leurs paroles se répétait à l’infini dans ces lieux vides, et, lorsqu’ils se taisaient, ils éprouvaient tous les deux l’impression étouffante que quelqu'un les écoutaient. C’était étrange, déroutant.

Effrayant. Leurs voies semblaient atténués par le silence ambiant, presque mis en sourdine.

« Combien nous reste t’il de temps avant le début de la guerre ? »

L’Envouteur haussa les épaules.

« Trois mois ? Quatre ? Ils attaqueront après la saison troublée, et vite. Si l’on ne peut l’éviter, on doit au moins s’arranger pour que l’impérium soit de la partie. »

Un souffle de vent froid fit frissonner les deux psyker.

« Finalement, c’est tant mieux. Depuis que j’ai posé les pieds sur ce monde, j’ai l’impression de changer. Je deviens plus agressif, plus nerveux, comme si l’atmosphère de ce monde me rendait…Mauvais. »

« Ca n’a rien à voir avec l’atmosphère. Les Anges Silvers vous expliqueront tout. Une dernière chose…»

« Quoi ? »

« La guerre entre votre gang et le mien est finie, n’est ce pas ? »

« Hum…Oui. »

« Parfait. Alors maintenant, fuyez. »

« Hein ? »

Les deux psykers s’immobilisèrent en sentant une force psychique gigantesque s’approcher d’eux à une vitesse effrayante. L’Envoûteur haussa les épaules.

« Vous n’imaginez pas ce qu’est devenu Syphyris après le départ de l’impérium. Il existe des choses qui rôdent sur ce monde…Des choses qui vous feraient trembler si vous les voyez. »

« Fuyez. Quittez Syphyris avant qu’ils ne vous retrouvent. »

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Whohoho !!! C'est ultra classe cette histoire, le rythme est bon, l'atmosphère me rappelle quelque bon moment de lecture et même de cinéma (notamment certains passage de Matrix, de V pour vendetta aussi :wink: )

Cependant :

-les fautes, les fautes, que de fautes ! Mon vieux, c'est un point noir dans toute ton histoire : tu as une très bonne plume, mais des fautes récurrentes qui nuisent au plaisir du lecteur. Notre cher Haldu a notamment relevé l'une d'entre elle que je laisse deviner.

Corrige les, ça ira mieux après.

-Ensuite d'accord le chaos est super fort, mais pour foutre en l'air (excuser la trivialité de mon propos) une compagnie complète de SM, et espérer faire de même avec le reste du chapitre... J'espère pour eux qu'ils vont y aller à coup d'invocations de Princes démon, parce que sinon, ils vont avoir des problèmes, tes gugus. Et de même je me demande comment est il possible qu'un chapitre laisse un capitaine et sa compagnie se faire massacrer sans vengeance... Moi personnellement je ego, successeur des Blood Angels, que ma propre planète m'ai trahie, et qu'une compagnie complète s'y soit fait massacrer, et j'aurais laissé le monde en question à l'état de pulvérulence interstellaire : un bon exterminatus, et on en parle plus !

Mais sinon que du tout bon, to be continued very very quickly please !

(Oh no, I'm addicted...)

Modifié par Bloodyfol
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Bonjour à tous

Merci à Bloodyfool pour son commentaire,je commençais à me sentir un peu seul,malgré la participation d'haldu(que je salut :hat: )

Pour répondre à tes questions et suggestion:

-les fautes, les fautes, que de fautes ! Mon vieux, c'est un point noir dans toute ton histoire : tu as une très bonne plume, mais des fautes récurrentes qui nuisent au plaisir du lecteur. Notre cher Haldu a notamment relevé l'une d'entre elle que je laisse deviner

C'est pas aussi simple que ça n'en à l'air de tout corriger(surtout que moi et l'orthographe...)j'en ais déjà écrit pas mal et,meme si ça ne se voit pas(oui,j'ai deviné de quelle faute tu parles),j'ai déjà enlevé une bonne partie des fautes dans chaqune de mes lectures,mais si j'essayais de tout éliminer...ben faudrait que je me couche vers deux heures du mat tout les soirs pendant un an,et encore...

Ta seconde question,je n'y répondrais pas,le passage suivant le fera à ma place :lol:

Allez,au boulot

Les choses bougeaient autour de Syphyris III.

Des nuages de poussières de plusieurs kilomètres se soulevaient des déserts et s’engouffraient dans les bidonvilles désertés de leurs habitants. Les jungles bruissaient du bruit du vent dans les feuillages touffus tandis que des millions d’animaux fuyaient vers les montagnes. Le ciel était empli de nuages vertigineux tourbillonnant autour de nuages de gaz toxiques descendant lentement vers le sol. L’atmosphère se réchauffait chaque jour un peu plus, et déjà le brouillard lugubre qui envahissait chaque nuit la citée ruche était remplacé par des pluies torrentielles qui ruisselaient dans les ruelles sombres de la citée ruche. Virevoltant tels des frelons effrayés, de monstrueux vaisseaux pirates débarquaient par centaines sur tout les spatioports pour débarquer des cargaisons de nourritures de qualité douteuses dans la ville en ébullition. Cet essaim de vaisseau bigarrés et rouillés enchaînait un va et viens incessant dans le ciel agité par les déplacements de montages nuageuses.

Partout dans la ville, les pas de milliards d’habitants anxieux faisaient trembler les fragiles fondations du monde souterrain, s’agiter dix milles ombres furtives fuyant la venue de ces funestes nuages gris. Grossissant, grondant, crachant des rais de lumière grinçante dans toute les direction, ces émissaires de la fureur des éléments n’allaient pas tarder à se changer en vastes ouragans dont la rage allait obnubiler le ciel pour les trois prochains mois. Les étés sur Syphyris étaient toujours un évènement terrorisant, surtout depuis que les hommes avaient commencé à répandre les effluves nocifs de leurs gazs à effet de serre. Pendant trois mois, des vents à plus de quatre cent kilomètre allaient balayer la surface dévasté de la terre tandis que la fonte des banquise polaires transformerait les courants marins en rats de marrés impétueux. Pendant trois mois, toute la population de Syphyris allait vivre dans les sous-sols des cités ruches, dans une promiscuité totale, coupé du reste de la galaxie. Tout ces vaisseaux qui bourdonnaient autour de chaque citée ruche étaient là pour veiller à ce que la population puisse tenir tout ce temps sans mourir de faim. Ils débarquaient au cœur d’une débâcle totale, leurs équipages découvrant, stupéfait, des bidonvilles que l’on démontait entièrement pour les emmener dans les profondeurs.

Tous ceux qui désiraient quitter la planète n’avaient guère plus de trois jour pour le faire.

Car,dans trois jour, la saison troublée allait commencer.

Sur le sol déjà humide du spatioport, faisant fit de des vents et des nuées déchaînées, un vaste vaisseau ronflant hurlait de toute la force ses émetteurs psychiques des messages en direction des nuages grondant. Sa vaste carcasse teintée d’or attirait les regards de tous les esclaves mutants qui déchargeaient les marchandises sur la plate forme. Leurs regards blasés et épuisés passaient sans s’arrêter sur les cinquante mètres de structure métallique affiné sans s’arrêter, ni sur les larges canons qui bardaient sa proue, ni sur l’immense aigle bicéphale gravé sur la coque du vaste vaisseau, qui, le coup levé, défiait les nuées déchaînées de son regard d’acier.

A plusieurs kilomètre de là, une vaste limousine noire traversait la ville aspergé à toute vitesse, ses pneus crissant atrocement sur l’asphalte usé. Vitre teinté, portière blindée et marqué du sceau du gang des dragons rouges, le bolide déchaîné semait la terreur dans la masse des conducteurs.

Assis confortablement dans un siège, son manteau jaune trempé de sueur posé en vrac sur le siège voisin, Ralik, plongé dans un dossier aux pages jaunies par le temps, tremblait de fatigue sous les yeux inquiets de Liera et Yimbo. Ses vêtements trempés et rongés par l’acidité de la pluie pendaient lamentablement, déjà à moitié déchirés. L’inquisiteur leur jeta un regard lassé en murmurant quelques mots à moitié inaudible.

« Ce n’est rien. Aucun problème.»

Les deux intouchables l’observèrent encore plus intensément. Ils le laissèrent souffler un long moment, sentant que ce n’était pas le temps des questions Ce fut Liera qui prit finalement la parole au bout d’un bon quart d’heure. Ralik sortit de son demi-sommeil en réprimant un bâillement. Il nota la présence d’une once d’agressivité dans la voie posée de la jeune femme.

« Est ce qu’on peut te poser quelques question,ou est ce franchement impossible? »

Méfiance. songea Ralik. Il avait suffisamment fréquenté Liera pour savoir qu’elle s’énervait vite et que sa colère était toujours un événement mémorable.

« Tout dépend de la question. Que veut tu savoir ? »

Lorsque Liera commença à parler, l’once d’agressivité était empreinte d’un accent de reproche. Elle se montrait extrêmement acide avec lui depuis la mort de Nalog, phénomène d’autant plus inquiétant que cette acidité n’avait pas l’air de vouloir disparaître de sitôt.

« Tu disparais pendant trois heures du quartier général des Dragons en semant la panique générale pour retrouver l’Envoûteur en personne dans une réunion ultra privée… »

« Comment sais tu… »

« …Tu reviens pour finir en sueur et trempé jusqu’aux os en ayant déclenché une véritable émeute dans un quartier mineur de la citée ruche. Sans prendre le temps de t’expliquer, tu annonces sans transition que nous partons pour une mission spéciale, et tu nous embarque immédiatement pour une destination inconnue en refusant de nous donner plus d’explication. Et tu ose affirmer que tout va bien ?. Nous prends tu pour des imbéciles ? »

« Pas pour des imbéciles, mais nous sommes extrêmement pressés, et je craignais de vous en parler devant tant d’oreille indiscrète. »

Il soupira longuement avant de se lancer dans son réçit. Il occupa l’attention des deux intouchables pendant de nombreuses minutes. Son discours long et monocorde occulta le bruit des trombes d’eaux qui s’abattaient au dehors. Le courant étrange de sa voie envoûtante de psyker reflétant une atmosphère funeste qui envahi très vite la pièce. L’étrange sensation qu’il avait eut hier revint avec plus de force. C’était comme si quelque chose-ou quelqu'un l’observait avec attention. Elle dura tout le long de son récit, et se raffermit lorsqu’il l’eut fini.

« Lorsque l’Envoûteur m’a dit de fuir, nous avons senti quelque chose qui s’approchait à toute vitesse de nous. J’ai fuit, et j’ai sentit la force de ce qui s’approchait. Elle m’a poursuivit jusqu’au quartier général des dragons avant de rebrousser chemin. Voilà.

Il y eut un moment de vide pendant lequel personne ne dit rien, plongé dans ces pensés, puis Ralik décida à livrer ses impressions aux autres membres du groupe. Peut être qu’ils auraient une idée qui lui avait échappé ?

« Ce que je ne comprends pas, c’est la raison qui pousse les Anges Silvers à laisser le chaos accomplir ces crimes . Ils arrêtent la riposte impériale, mais maintiennent le système sous le contrôle des gangs, repoussent la proposition d’exterminatus faite par l’inquisition, mais laissent la planète se faire ravager et tomber en ruine !Qu’est ce qui peut bien leur passer par la tête ? »

Le silence s’appesantit, et avec lui l’impression désagréable. Finalement, ce fut Yimbo qui trouva la solution.

« Le sacrifié de l’honneur. »

« Pardon ? »

« C’est le nom d’une stratégie employé par les Convoyeurs lorsqu’ils veulent venger des confrères tombés au combat ou exterminer une tribu d’ork particulièrement menaçante.

Un ou plusieurs camions de guerre se portent volontaire pour une mission suicide en se plaçant dans le territoire de la tribu à détruire. Ils serviront d’appât pour pousser les orks hors de leurs campements et les forcer à se battre en terrain découvert. En supposant que ce ne soit pas la première fois que ces chaotiques tentent de détruire le chapitre des Anges Silvers, ceux ci doivent avoir une bonne raison d’en vouloir à ceux ci. Donc… »

Ralik compléta la phrase de Yimbo.

« …Syphyris est l’appât qui va servir aux Anges Silvers pour détruire les forces du chaos. Mais pour que ceux ci tombent dans le piège, il faut leur faire croire que Syphyris est vulnérable et pour cela, les forces impériales ne doivent surtout pas camper autour de la planète !De plus, pour préparer et planifier la suite des combats, ils avaient besoin de temps, alors ils ont acquis les gangs à leur cause pour retarder la corruption du chaos sur la planète. Lorsqu’ils ont constaté que cela ne suffirait pasils ont déployé la troisième compagnie du capitaine Haldus, d’ou… »

Ce fut Liera qui termina la phrase, emporté par la déduction de ces deux confrères

« …l’assassinat de ce dernioer sur Trantor IV ! »

Il y eut un instant de silence, puis Ralik hocha la tête, l’air satisfait

« Merci. Je n’y aurais pas pensé tout seul. Votre expérience m’a été très utile. Et maintenant, j’estime avoir droit à un peu de… »

Il bailla

« …Repos. Réveillez-moi quand on est arrivé. »

Il sombra dans le sommeil comme une pierre, épuisé. Au bout de quinze minutes d’embouteillages supplémentaires, la Limousine finit par atteindre enfin son objectif final,au grand soulagement du chauffeur. C'était un vaste bâtiment métallique bardés de fil barbelé et entouré d'une armée de mercenaire qui s'agitaient dans tout les sens,en proie à une frénésie stupéfiante. Les hauts pilliers de ces étages supérieurs étaient noyés dans un océan de goutte cachant à tous la vue de ces larges sommets.Il fallut un long momentà Yimbo pour identifier le batiment devant lequel il se tenait.

« Mais, c’est le spatioport n°4 ! Qu’est ce qu’on fout là ? »

« On part. Un appareil de débarquement de classe Shark nous attends sur la passerelle N° 54-B.Il nous mènera à l’Indomptable, vaisseau impérial à destination de Trantor IV.Nous n'avons plus rien à faire içi. »

Un murmure psychique parvint à ses oreilles, signe que le vaisseau n’attendait que l’inquisiteur pour partir. Il soupira d’aise. Quitter Syphyris pour retourner vers la civilisation le rassurait grandement.

Espéront que le voyage se passera bien.

Modifié par shasel
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Malgré l'absence d'action, se passage m'a plus intéressé que les précédents.

rats de marrés
Rat, avec un T, désigne le rongeur du même nom.

Dans ton cas, je suppose que tu veux dire "raz-de-marrée" avec un Z, et qui reste invariable (normalement, le "raz" devrait s'accorder, mais un mot finissant par Z ne change jamais, et le "de-marée" s'accorde avec "raz")

J'ai aussi relevé d'autres faute, mais je vais éviter de toutes les mettre, car je ne suis pas un expert en orthographe non plus.

LA SUITE! LA SUITE! LA SUITE!

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Hmmm... Je ne sais si tout cela est très cohérent, fluffiquement parlant. La manière de faire des SM est beaucoup plus manichéenne et directe.

S'ils ont un grief contre un ennemi x, ils vont porter la guerre chez cet ennemi x, mais ne se battront pas chez eux en laissant l'ennemi s'implanter, et tout un monde impérial basculer es sortir un tant soit peu de la sacro-sainte lumière de l'Empereur (béni soit son nom pour toutes les éternités)

Donc sincèrement, je reste très perplexe face à ce fil rouge. Ça fait trop "subtil" mais pris dans un sens plus péjoratif, c'est assez fourbe ; et ensuite laisser un monde impérial -a fortiori leur monde de recrutement- tomber aux mains du chaos, même si c'est pour éradiquer tout un tas d'ennemi, ça ne colle pas. Primo, c'est trop éloigné de la façon de faire des marines, qui sont plutôt du genre à prendre l'initiative s'ils doivent mener la guerre contre un ennemi, (même si habituellement, ils répondent plutôt à des appels à l'aide, ils sont intrinsèquement des croisés, et c'est dans la Croisade, pour la conquête ou la reconquête, qu'ils sont le plus à l'aise). Alors les voir sacrifier un monde pour prendre un avantage stratégique, c'est plutôt une façon de faire très Garde Impériale (à mon sens) : on les laisse croire qu'ils ont gagné, et on les poutre avec du bombardement et de l'artillerie lourde. Un SM en général c'est plus : on y va vite, on y va fort, et on frappe au coeur dans un combat glorieux.

Là ça fait plus préparation à l'affrontement de masse, où les SM ne sont pas à l'aise du fait de leur grande faiblesse : le nombre. Donc là à mon avis il y a un truc qui colle pas

Ensuite, face au chaos, c'est une grave erreur que de le laisser s'implanter sur une planète. Parce qu'ils s'en serviront comme base, et comme porte vers le monde matériel. Donc stratégiquement il y a un bug. Et même en considérant que cela représente un combat d'autant plus glorieux de par sa difficulté, il serait plus logique pour le chapitre de mener une croisade dans l'oeil de la terreur ou dans le maelström. Ce serait plus glorieux, plus intelligent, et moins risqué.

Après, tout ceci n'est que mon avis, mais à mon sens, ce n'est pas cohérent comme manière d'agir pour un chapitre SM. Donne peut être une autre raison qui rendrai par exemple l'exterminatus ou le bombardement massif impossible, mais attirer comme cela un adversaire dans un piège avec une préparation de très longue date, c'est peu SM.

(Ah et une chose encore : je trouve qu'on ne sent pas assez chez Ralik son coté véreux, qui semble pourtant être l'une des caractéristiques principales du gugus, à ce que tu as dit :hat: )

Sinon, que du bon, on veut voir la suite !

Pense à ce que je t'ai dis

Bloodyfol.

PS : je suis dispo si tu le désire pour corriger tes fautes :lol: dis moi juste quand tu veux les corriger, et je te fais ça dans un délai d'une semaine :D C'est gratuit et sans obligation d'achat XD )

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Vu que t'a pas mal de question en stock,et que je ne posterai pas avant une bonne semaine,je vais prendre de l'avance et te répondre en privé(pour éviter le spoil sur le sujet)

S'ils ont un grief contre un ennemi x, ils vont porter la guerre chez cet ennemi x, mais ne se battront pas chez eux en laissant l'ennemi s'implanter

D'après un proverbe de l'empire Tau,on ne peut tuer que ce que l'on voit.Si tu as très bien lu mon texte,tu à fatalemnt entedu parlé de l'oeil de la mort.Normalement,j'aurais du en parler plus,mais je me suis laissé emporté par le sujet...En gros,cette zone annule la gravité lorque celle ci s'applique à un stade très important(pour les déplacements des systèmes solaires dans la galaxie,par exemple)Cela signifie que les gigantesques nuages de poussières qui suivent les courants stellaires se retrouvent bloqué dans cette zone,bloqiant toute luminosité intérieur.En gros,ça veuit dire qu'à partir du moment ou un système pé&nètre dans l'oeil de la mort, il est impossibkle de le localiser à l'aide de la lueur d'une étoile.Impossible donc de localiser une planète se trouvant dans cette zone.Or,c'est là que se cache les forces du chaos qui leurs en veulent,donc,la seule manière qu'ils ont de les détruire,c'est d'attendre qu'ils attaquent.

Voilà.

Bonne journée!

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Hmmm... de ce point de vue là... pourquoi pas, ça se tient, mais là où je bloque c'est une chose : comment les chaoteux peuvent se déplacer hors de l'oeil de la mort si cette zone est une zone de non gravité absolue ?

Et enfin, pourquoi leur laisser leur propre planète de recrutement ?! Tout ceci mérite d'être creusé :lol:

Bon aller j'arrête de chercher la pt'tite bête Xp

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Quelques incohérences au niveau de l'histoire effectivement, mais rares sont les textes (surtout les longs) à ne pas en accumuler quelques unes ^^

Pour ma part, je trouve le texte toujours aussi bien, et je suis la lecture régulièrement :lol:

Modifié par sebastus
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Hey qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dis !

S'il y a quelque "incohérences", il serait (je pense) aisé de trouver une raison intégrée au texte pour l'expliquer

Sinon, c'est que du tout bon ! la suite, la suite !

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Bonjour à tous.

Je m'excuse d'avance de la petite taille de ce que je poste,mais j'ai été pris par le temps et par la quantité de devoir(4 DS et 2 DM pour le meme jour,si c'est pas de l'abus...).

Voici donc la suite

La nuit s’abattait sur la citée ruche tel une linceul. Déjà, elle avait enserré dans son étreinte glaçante les bas quartiers et les ghettos, qui, envahis par une nuée d’ombre froide et de brume opaques, s’enfonçaient lentement dans le néant. Remontant à travers les rues et les immeubles, les ténèbres envahissaient la ville toute entière, chassant par sa fraîcheur les nuées déchaînés qui grondaient au loin. Ses bras langoureux s’accrochaient aux murs des plus hautes tours et des plus impressionnant immeubles pour commencer une lente escalade vers le ciel déjà parsemé d’étoile. Un souffle de froid s’engouffrait partout, engourdissant les membres des plus solides mercenaires emmitouflés dans leurs capes en cuir d’ork.

Mais il était encore un lieu qui n’avait pas encore sombré dans les ténèbres tant il était vaste.

Le spatioport N°4 ,envers et contre tout, continuait à refléter les rayons ardents du soleil sur ses murs de cuivre flmboyant.

C’était le plus gigantesque de tout les spatioports de Syphyris. C’était une ville à l’intérieur de la ville, un assemblage de plus trois milles immeubles bardés de plates formes d’atterrissage suspendu au cœur de gouffres abyssaux. C’était une véritable forteresse qui avait résisté aux outrages du temps, des orks et des hommes malgré trois cent an d’existence troublée.

C’était la matrice de la piraterie interplanétaire, un bastion des gangs de l’Envoûteur et de l’Homme Noir au cœur d’une ville acquise aux Dragons Rouge.

C’était la partie émergé d’un complexe souterrain d’esclavagisme qui faisait régner la terreur sur Syphyris III depuis des années, symbole de la force des trois gangs terrifiante lorsqu’ils unissaient leurs forces.

Aucun homme ne pouvait pénétrer en ces lieux sans être immédiatement repéré. A tout heure du jour et de la nuit, des esclaves mutants traînaient leurs carcasses endolori sous les regards chargés de haine de leurs contremaîtres. Un bastion, une forteresse inexpugnable que personne ne pouvait prendre d’assaut par la force.

Par la force…

Dents-d’argile manqua de trébucher lorsque l’électro-fouet claqua sur son visage. L’amer goût du sang lui agita les papilles.

« Du nerf, sales chiens, ou je vous fait bouffer vos entrailles ! »

Une réplique cinglante mourut aux lèvres de Dent-d’argile lorsqu’il croisa le regard bleuté du contremaître. Il avait déjà pris tant de coup…

Le fouet partit deux fois avant qu’il n’ait le temps de réagir, et ses membres le lâchèrent.

« Qu’est ce que t’a à rêvasser ? Relève toi, ou tu vas avoir droit à six heures, connard ! »

Il serra les dents. Le froid de plus en plus intense le faisait frémir. Tout son corps souffrait le martyr, ses innombrables blessures s’étaient rouvertes et dégoulinaient. Les autres esclaves se taisaient et baissaient piteusement le tête. Que pouvaient t’ils faire d’autre, de toute façon ?

Il jeta un regard lassé vers les alentours. Le soleil couchant lui-même semblait travailler à rendre plus dur encore leur calvaire. Ses rayons faisaient luire la peau sensible de sa fille enchaîné, aveuglait sa femme épuisé, faisait suer les dizaines d’autres esclaves qui, sur la plate-forme brûlante, déchargeaient de pesante caisse d’arme, de munition et de nourriture.

Et dire que c’est à cause de moi qu’on en est là…

Il ferma les yeux et se releva en murmurant une prière chevrotante, avant de se relancer dans son travail. La gigantesque machine qu’il devait entretenir ronflait et grondait, menaçant de surchauffer à tout moment. Si cela arrivait, il finirait exécuté et pendu avant que le moment ne soit venu.

Alors qu’il pressait violemment un levier à la texture étrange, un murmure retentit dans son esprit endolori.

La voie ruisselante de fiel envahit son esprit, en chassant la douleur et la fatigue d’un seul souffle Il ne comprit pas un traître mot de ce qu’elle racontait, mais l’intention était clair.

Il le devint d’autant plus lorsqu’un grésillement vit vibrer sa mâchoire, signe évident que tout était en place.

Enfin.

Prétextant une violente quinte de toux, il porta la main à sa bouche, puis glissa deux doigts sous sa langue pour y récupérer un infime objet métallique placé là il y avait de cela des semaines. Du sang coula dans sa bouche lorsqu’il arracha l’objet à sa chair.

L’objet serré dans sa main froide, il contourna le vaste générateur qu’il devait entretenir et s’approcha du panneau de contrôle de la plate-forme. La voie furieuse de son contremaître retentit derrière lui.

« Eh là Toi ! Qu’est ce que tu fou ? Retourne à ton poste, et plus vite que ça, ou je te fais exploser la cervelle ! »

Il accéléra brusquement et se jeta sur le panneau de contrôle. Avant que quiconque ait put réagir, il avait inséré le morceau de métal dans une fente prévu à cet effet.

D’un seul coup, toute les lumières du spatioport s’éteignirent.

Les systèmes de défense aérien cessèrent de fonctionner et les voix stridentes des haut-parleurs se turent.

Il y eut une seconde de flottement.

Dent d’argile toisa sa femme et ses confrères stupéfait en souriant.

Les haut-parleurs recommencèrent alors à cracher des sons stridents.

Mais plus les même.

Dans l’intégralité du spatioport, une voie se mit à résonner, portant partout les même paroles déjanté.

« Allons, allons, un peu de silence, s’il vous plait ! »

Plus un bruit ne résonna dans tout le bâtiment alors que les hommes tentaient de comprendre de ce qu’il y avait de si dérangeant dans cette voie. Elle portait en elle quelque chose d’inhumain, de particulièrement pervers et mesquin.

« Laissez moi tout d’abord me présenter. Mon nom est Roth. Certain d’entre vous me connaissent peut être de réputation… »

Un crissement atroce se répandit dans tout le spatioport alors que les chaînes de plus d’un million d’esclave mutants tombaient au sol dans toute la citée ruche.

«…Car c’est moi qui ait détruit le gang de l’Homme Noir. »

Les mutants stupéfait commencèrent à s’agiter.

« Mais me prendre pour un simple chef de gang plus habile que les autres serait une erreur. J’ai un caractère bien particulier, comme vous tous je n’en doute, sauf que ce caractère est plutôt orienté vers les loisirs. »

Des cris et des hurlements commencèrent à se répandre dans le spatioport alors que les mutants commençaient à tenter de prendre des armes pour affronter leurs tortionnaires.

«Or, s’il y a bien un loisir auquel je préfère m’adonner plus que tout les autres… »

Une explosion phénoménale retentit dans les airs alors qu’un gigantesque bâtiment de béton de six cents étages s’écroulait dans un grondement apocalyptique

« …C’est le terrorisme. »

Le spatioport s’embrasa sous la force de la révolte mutante.

Dans les étages inférieur, c’était le chaos. Des foules de clients se ruaient vers les sorties de secours en hurlant de terreur. Les mercenaires étaient emportés par ce flot intarissable d’êtres terrorisés. Les formulaires d’inscriptions voletaient dans des bureaux ravagés et abandonnés par leurs propriétaires. Déjà, des opportunistes profitaient du chaos pour se livrer à des pillages un peu partout.

Au bout de quelques minute de chaos absolu, les lumières s’allumèrent et le courant revint dans les ascenseurs.

« C’est le moment! Go ! »

Le cri de Ralik galvanisa Liera. Elle envoya un coup de pied dans l’entrejambe de l’homme qui tentait de l’empêcher de passer avant de se jeter à la suite de l’inquisiteur dans la cage d’ascenseur.

Elle repoussa un homme paniqué qui se tenait à l’intérieur et le propulsa vers l’extérieur juste avant que les portes se referment en claquant.

L’ascenseur violement suite à une puissante détonation qui résonna dans les airs. Liera saisit son lance grenade et l’arma alors que la cage d’ascenseur les propulsait vers les hauteurs.

« Je maintiens tout de même que c’est du suicide. »Répéta tranquillement Yimbo en rechargeant son fusil laser.

« Qu’est ce que tu veut dire par là ? »Le questionna Ralik alors que sa lame énergétique éclipsait la puissance faiblissante des lampes locale.

« Enfin, c’est évident !Cet attentat à été perpétré par le chaos, il semblerait donc logique qu’on s’écarte de la zone des troubles, pas qu’on s’y jette ! »

« Si on rate notre billet de sortie vers Trantor IV,nous sommes mort. On doit rejoindre le vaisseau impérial avant qu’il ne parte, il n’y à pas d’autre solution. »

« Je maintiens que c’est un piège. »

« Alors, on à pas beaucoup d’autre choix que de se jeter dedans. »

Merci Roth.

C’est toujours un plaisir de rendre service, Nicrarios. Simple question, toutefois. Pourquoi ne te contente tu pas de massacrer cet inquisiteur et de reprendre l’Essence du Warp sur le cadavre de son acolyte, ce Yimbo ?

«Azhadram veut que ce fouineur d’inquisiteur reste en vie. Il à un plan en ce qui le conçerne. .Je me débarrasserais de Yimbo une fois sur Trantor IV, après quoi je détruirais toute les preuves de l’existence de l’Essence du Warp. J’espère que ça ne t’a pas trop dérangé ? »

« Non ! Un certain Dent d’argile m’a aidé à accomplir cette petite apocalypse. C’est un type plein de talent que je pense engager dans ma compagnie. Il me sera très utile Les jeunes talents dans son genre sont toujours très utiles. »

« Bonne chance, Roth »

Bonne chasse, Nicrarios. »

« Attention ? Près ?Go ! »

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent brusquement, dévoilant au groupe de l’inquisiteur un spectacle stupéfiant.

Il n’y avait rien.

Dans toute les plates-formes alentours, des brasiers s’élevaient haut dans le ciel, crachant de noirs fumées vers le ciel étoilé. Des cris et des hurlements retentissaient un peu partout, éclipsés par les explosions spectaculaire des missiles qui grondaient au cœur du néant.

Des raies de lumières rouges tissaient une toile dans tout le spatioport.

Mais pas ici. Le gigantesque vaisseau marqué du sceau de l'impérium semblait émettre un champ répulsif qui faisait fuir les révoltés loin de la plate forme rempli de garde impériaux.

Avant que Liera ait put faire un geste, une violente détonation retentir,et une raie de lumière partit du vaisseau impériale à toute vitesse pour aller s’écraser sur une plate-forme qui fut vaporisé par la puissance de l’impact.

Une soixantaine de fusil laser se pointèrent sur le groupe inquisitorial alors qu’un second tir allait pulvériser une batterie antiaérienne.La voie menaçante d’un homme au gilet pare-balles aux longs cheveux blonds lui vrilla les oreilles.

« Identifiez vous ! »

Ralik fit jaillir de son manteau un document jaunie par le temps.

« Inquisiteur Ralik, envoyé spécial du seigneur stellaire Maraxis. Tout se trouve là dessus, colonel. »

Le colonel en question hésita un moment avant de faire un signe à ses soldats. Ceux ci baissèrent leurs armes tandis qu’il saisissait le document. Après quelques secondes de lecture intense, il le rendit à l’inquisiteur en déclarant sèchement.

« Tout est en ordre. Nous embarquons dans dix minutes, seigneur. Rentrez au plus vite dans le vaisseau. La zone n’est pas sure. »

Puis il se retourna brusquement vers ses hommes pour leur hurler des ordres.

Bizzare ce type. Songea Liera en observant son coup décalé par rapport à sa tête. Elle n’aurait jamais cru qu’un homme puisse avoir des articulations suffisamment souple pour orienter sa tête sur un tel degré.

Un bref regard vers les autres gardes lui fit comprendre qu’il n’était pas le seul dans ce cas. Elle haussa les épaules. Après tout, si Ralik ne s’en alarmait pas, c’était qu’il n’y avait rien de dangereux dans cette bizarrerie .

Modifié par shasel
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(4 DS et 2 DM pour le meme jour,si c'est pas de l'abus...).
Ouille! :blushing: Je compatis avec toi. (Je sais déjà ce que ça fait...)

Par contre, je ne suis pas d'accord pour t'excuser de la courte longueur de ton texte. Tout simplement parcequ'il n'y a rien à t'excuser. Je le trouve qu'il est parfaitement dans une taille longue-mais-pas-trop. Prends le comme un compliment.

Sur l'histoire, ça avance. Rien à redire, sauf que je sens que le colonel est un agent du Chaos.

Et maintenant, je pars en croisade contre une autre faute:

il n’y à pas d’autre solution.
Et je l'ai repérée 2 autres fois.

Quand tu dois écrire a ou à, remplace le part "avait". Si la phrase est correcte, mets "a", sinon mets "à".

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Bizzare,j'ai eut l'impression que cette semaine,la section était un peu endormi...

Enfin bon..

Quand tu dois écrire a ou à, remplace le part "avait". Si la phrase est correcte, mets "a", sinon mets "à".

Je le sais,mais j'oublie à chaque fois :)

Bref,bon week end à tous,et voivi la suite:

L’émeute s’étendait inlassablement. Les mutants avaient forcés l’accès des dépôts d’armes et des générateurs centraux. La forteresse, prévu pour être défendu contre toute les attaques externes, se révélait extrêmement fragile lorsqu’elle était attaqué par l’intérieur. De nombreuses plates formes de tirs c’étaient retournés contre les mercenaires du spatioport et causaient des dommages catastrophiques aux infrastructures. Le cercle infernal des destructions semblait ne pas avoir de fin, les ombres projetés par les torrents de flammes apocalyptiques s’étendant toujours plus haut à mesure que la fureur des anciens esclaves s’étanchait sur leurs anciens maîtres. Des sirènes retentissaient un peu partout, leurs hurlements discordants se couplant avec l’image de ce monde en décomposition.

Qui sème le malheur récolte les attentats.

Liera était à peine troublée par ce spectacle .Combien de fois en avait t’elle vu de semblable ?Elle n’aurait sut le dire. Elle était née dans cette ville, s’y était habitué. Elle avait côtoyé des terroristes pendant des années.

Révolutionnaires. Agents des FDP. Fou furieux.

Mutant.

Les attentats mutants sur Syphyris avaient commencés bien avant la chute de l’impérium.

Les gouverneurs planétaire de l’époque, pour être sur de régner sans contestation sur la planète(et pour épurer le trop plein d’habitant pauvres) avaient aidés aux développements des nationalismes des citées ruches. Naïfs, les habitants étaient tombés dans le panneau et, alors qu’ils concentraient leur haine sur des gens qu’ils n’avaient jamais connus et ne connaîtraient jamais, le gouverneur et la noblesse les plumaient sans aucun scrupule.

Les mutants avaient étés les premiers à se révolter. Au départ, à l’aide de simple slogans(: la patrie à besoin de toi !Tu n’as pas besoin d’elle !), les émeutes et les attentats n’avaient pas tardés à suivre. Cinquante ans de terrorisme actif avait eut finalement raison de la fierté nationaliste de la population, qui avait bien été forcé d’ouvrir les yeux sur leurs conditions.

Mais même après la révolution et la pendaison du gouverneur, les mutants avaient conservés leurs vieilles tradition destructrices, qu’ils avaient cette fois ci orientés contre les gangs.

Non, décidément, ce spectacle ne la surprenait pas.

La voie désagréable du colonel retentit à nouveau dans les airs.

« Il est temps de partir, ou nous allons être pris dans l’émeute. Tout le monde dans le vaisseau ! »

Dans un ensemble parfait, les gardes impériaux rompirent leur formation et reculèrent lentement vers le vaisseau impérial, leurs fusils laser pointés vers toute menace extérieur.

La cape de l’inquisiteur claqua lorsqu’un violent coup de vent balaya le spatioport, soufflant momentanément la fumée noires qui brouillaient le ciel étoilé.

Le froid s’insinuait maintenant partout, et même les brasiers lointain des quartiers révoltés ne suffisaient plus à réchauffer l’atmosphère.

Liera se releva, récupéra son lance-grenades posé négligemment sur le sol, puis elle emboîta le pas à Yimbo. Les portes du vaisseau d’embarquement s’ouvrirent brusquement, dévoilant un couloir plongé dans une obscurité quasi totale.

Ralik s’en étonna immédiatement.

Le colonel, qui s’aggripait ce dernier comme une sangsue depuis quelques minutes déjà, répondit immédiatement.

« On à redirigé toute l’énergie inutile vers le réacteur central du vaisseau pour le décollage. Cela inclut l’éclairage interne. »

« Ah »

L’inquisiteur et le colonel durent s’écarter de l’entré pour laisser passer le reste de

Liera observa les couloirs ténébreux la compagnie. Un silence tendu s’établit entre les deux officiers impériaux. Finalement, ce fut Ralik qui rompit le silence régnant dans le couloir.

« Vous portez l’insigne de l’Ombre rouge ? »

Le colonel se mit à rayonner de fierté devant le regard appréciateur de l’inquisiteur.

« Eh oui ! »

« Donc vous avez participés à la campagne d’Hycarion III ? »

La question étant purement rhétorique, l’inquisiteur enchaîna immédiatement d’un ton enjoué :

« J’y était aussi !J’ai mené les forces réquisitionnés par l’ordo malleus pendant la bataille de Harnam ! »

« Vous aussi ? »

Liera sourit intérieurement. Ralik leur avait raconté jusqu'à plus soif la façon dont il avait participé à cette campagne, qui avait été sa première vraie mission. Maintenant qu’elle y pensait, Ralik avait passé quasiment tout ces moment libre à leurs narrer ces exploits. C’était peut être un inquisiteur exceptionnellement doué au combat(d’après ce que lui avait dit Nalog avant sa mort),mais il fonctionnait décidément comme un vieux disque rayé.

Ce fut à ce moment là qu’elle remarqua une chose étrange.

En dehors de la discussion des deux vétérans, il n’y avait aucun bruit.

Les pas des gardes impériaux ne résonnaient absolument pas sur le plancher d’acier du vaisseau. On aurait dit qu’ils planaient au-dessus du sol en se contentant de l’effleurer dans un sifflement.

Les cris de l’émeute lointaine s’étaient tus.

Au final, il n’y avait plus rien.

Plus le moindre bruit

Et en plus, ce vaisseau empestait.

« Bon, Liera, on y va ? »

Les paroles de Yimbo la tirèrent de sa réflexion. Pendant une seconde, elle fut tenté de parler de son impression à son vieil ami.

Puis elle haussa les épaules. Depuis le mort de Nalog, elle se montrait fatigués et, de temps en temps, elle était prise de trouble violent pendant lequel il lui semblait que le monde se fissurait. Ce devait être çà.

Ralik acheva la conversation en s’excusant auprès du colonel, puis, après lui avoir demandé ou se trouvaient sa chambre et celle de ces deux acolytes, il s’éclipsa au travers d’une porte transversale.

Lorsque le dernier membre du groupe inquisitorial eut disparus, un silence de mort s’abattit sur l’assemblée des gardes impériaux survivants. Plus un bruit ne résonnait dans le couloir bondé de gardes impériaux. Seuls, le bruit des moteurs thermonucéaire défiant la gravité retentissait dans les couloirs vides et obscurs.

Des bruits de plomberie disjonctés en provenance du plafond retentirent alors qu’une odeur abominable se répandait dans le couloir. La bouche du colonel impérial s’étendit en un sourire rendu encore plus étrange par la fumée violette qui sortait de sa bouche.

Des flaques d’un liquide verdâtre commencèrent à s’écraser sur le sol, à l’endroit précis ou l’inquisiteur s’était tenue il y à une quinzaine de seconde. L’odeur affreuse qui s’en répandit fit vaciller plusieurs gardes impériaux.

Le colonel ricana avant de commencer à marmonner des paroles dénués de sens d’un ton amusé.

« Et cependant voilà des siècles innombrables »

Les bruits de plomberies disjonctés se turent alors qu’une force psychique d’une densité incroyable se répandait dans la pièce.

« Que vous vous combattez sans pitié ni remord »

Le bruit d’une épée que l’on dégainait retentit alors que tout les gardes alentours pointaient leurs armes sur le colonel exalté.

« Tellement vous aimez le carnage et la mort, »

Un chuintement odieux retentit juste avant qu’un marines du chaos aux doigts parcourus d’éclairs ne jaillisse des ombres du plafond en s’écrasant sur le sol,des litres de liquide verdatre fumant jaillissant de son corps pour aller souiller les parois du vaisseaux

« O lutteurs éternels, o frères implacables ! »

Le marines se releva brusquement et toisa d’un regard inquiet le colonel. Ce dernier partit d’un grand éclat de rire avant que le marines ne le coupe brusquement d’une voie agressive, sa gigantesque masse s’agitant sous l’effet de spasmes involontaires. Les gardes impériaux s’écartèrent en désordre du colonel à moitié fou dont la peau s’effritait à toute vitesse tandis que ses dents se striaient lentement de veines noirs luisantes de corruption.

« Epargne moi ton rire de malade, Azhadram !Que fait tu içi ? »

Azhadram se tut et observa d’un œil hilare le regard stupéfait du marine. Lorsqu’il commença à parler, sa voie semblait complètement désordonné, comme s’il était sur le point d’en perdre le contrôle. Le ton moqueur restait néanmoins présent dans sa voix

« Ta puissance psychique augmente énormément ces derniers temps, Nicrarios. »

« Ta folie également. »

« Merci. Qui aurait crut qu’un jour, tu puisse corrompre l’esprit de plus de cents être humains simultanément en près de vingt secondes ?Pas moi, en tout cas. Tu m’impressionne. Quel dommage que ce corps d’emprunt ne dispose pas de pouvoirs psychiques !Tu dois resplendir de dix milles lueurs d’aciers dans le warp ! »

Le visage du marines du chaos se couvrit lentement de tache jaune. Du pus, à n’en pas douter.

Azhadram continuait toujours à parler alors que le vaisseau commençait à s’agiter sous les grondements des moteurs.

« Tu peut décidément remercier mille fois Roth pour ce service rendu. Sans son petit attentat diversion, L’inquisiteur serait arrivé sur la plate forme alors que tu submergeais l’esprit des derniers gardes impériaux. Tu n’aurais alors eut d’autre choix que de le tuer. »

« Est ce que ça t’aurais dérangé »

La lueur féroce qui voleta dans le regard de l’émissaire de tzeentch était une réponse suffisante.

« Il est temps de mette aux points quelques détails, Nicrarios. J’ai appris que tu avais réussi à perdre la cargaison d’Essence du Warp que je t’avais envoyé. Maintenant, c’est l’acolyte de cet inquisiteur, ce Yimbo, qui l’à, n’est ce pas ?Il l’a confondus avec de l’ivrine. Sauf que si Ralik touche à l’Essence du Warp… »

« Nous sommes mort. »

« Non. Tu est mort. C’est toi qui nous as mis dans cette merde, c’est à toi de nous en sortir. Toutefois, je préfère t’avertir: Si l’inquisiteur touche à l’Essence du Warp, Macros te tueras. Si par contre, tu touche à l’inquisiteur, c’est moi qui te tuerais. Avec plaisir d’ailleurs,suppot de nurgle. J’ai des…projets pour Ralik, et nul ne m’empêcheras de les accomplir. Ni toi, ni tes… »

Il pointa un doigt vers le plafond, qui s’illumina brusquement.

Des dizaines de spaces marines du chaos observaient Azhadram, perchés sur des poutres instables, leurs bolters parés à cracher la mort au moindre geste du sorcier de tzeencth

« …Guerriers. »

La fureur disparus brusquement du regard du sorcier. Son habituelle jovialité revint brusquement lorsqu’il s’écria tout haut :

« Bon voyage sur Trantor IV. Si tu croise Tironus, tue le de ma part ! »

Le corp du colonel possédé tomba brusquement au sol alors qu’une énergie psychique terrorisante se répandait dans la pièce. Plusieurs gardes impériaux furent pulvérisés par la densité maléfique de cette forçe. Des plaques de blindages se détachèrent des murs et furent transformés en magma bouillant alors que la force s’éclipsait brusquement.

Le couloir puant sombra à nouveau dans l’obscurité alors que le vaisseau s’élançait dans l’atmosphère .Lorsque la lumière revint, Nicrarios avait disparus, ainsi que tout les gardes impériaux.

Modifié par shasel
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Un chuintement odieux retentir juste avant qu’un marines du chaos aux doigts parcourus d’éclairs ne jaillisse des ombres du plafond en s’écrasant sur le sol,
retentit

Et il faut éviter de mettre des des parenthèses dans les récits, à moins de faire la retranscription d'un texte.

Sinon, pour l'histoire: je dirais que tes persos sont dans la mouise. Ca m'étonne un peu qu'un psyker aussi puissant que Ralik n'ai pas senti l'énergie chaotique.

Aller, suite.

(Pour ma soeur, qui veut absolument que je le mette dans mon commentaire: :blink::) )

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Invité SilverInTheDark

Clair cette section semble carrément endormie surtout depuis que les autres en fantastique ont mis leur sujet auberge. Mais c'est cool d'avoir ton histoire à lire!

Modifié par SilverInTheDark
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Yop,

Ouf, me voilà enfin au bout de ce que tu as déjà écrit... C'est qu'il y en a de la matière dans ce sujet. :wink: D'ailleurs, félicitation déjà pour ton courage et ta motivation, si si, écrire un texte de cette longueur... :P

Sur le fond, l'histoire dispose de bonnes bases, même si j'attends de comprendre plus clairement les méthodes des Anges Silvers qui, comme l'a remarqué Bloodyfol, ont des réactions peu classiques.

Je pense par contre que la forme mériterait que tu travail un peu plus.

En effet, en dehors des fautes de français que tu pourrais corriger d'une bonne relecture, je trouve aussi que tu vas parfois un peu vite. Tu es capable d'enchainer de bonnes descriptions, très bien maniées, avec des passages où tu survol l'action.

Je pense en fait que tu as plein d'informations a donner au lecteur, alors tu dois te rappeler que si c'est clair pour toi en tant qu'auteur, tout n'est pas forcément évident pour tes lecteurs. Prends le temps d'intégrer subtilement dans ton récit les morceaux que tu as dû rajouter en commentaire suite à des remarques.

Vu le nombre de protagonistes aussi, il serait bon je pense que tu soigne particulièrement les phrases qui introduisent de nouveaux personnages. Elles doivent contenir suffisamment d'informations pour que le lecteur mémorise la position / le statut / l'importance du nouvel arrivé, mais pas trop pour ne pas qu'on s'y perde.

Un autre point que j'ai remarqué, c'est peut être subjectif mais je te le signal tout de même. De temps en temps il y a des références qui m'ont fait sortir un peu de l'ambiance, par exemple :

Tout ce que les dragons c’étaient contentés de faire, c’était d’ouvrir les vannes, puis de jeter dans les torrents qui tenaient lieu d’escaliers tout les déchets indésirables. Ceux ci coulaient jusqu’au rez-de-chaussée avant d’être évacué dans la ville souterraine. Il avait l’impression d’être dans un parc d’attraction aquatique.
Existe-t-il encore des parcs d'attraction aquatiques au 41ème millénaire ? :wink:

La référence est drôle mais dessert l'ambiance à mon humble avis. Tu aurais par exemple pu comparer ça aux conduites forcées d'alimentation électriques de la cité ruche ou encore aux chutes d'eau des jungles du sud de Syphyris (je ne sais pas si il y en a, c'est pour l'exemple hein :) ) etc. Non ?

Bref, je m'étale mais c'est parce qu'il y a de quoi dire sur ton texte, les bases sont là, la forme reste un peu brouillonne, mais on sent bien qu'un peu d'entrainement feront de tes textes de vrais moments de plaisir.

Continue comme ça... Et envoie la suite :wub:

++

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Mea culpa,je pose sans texte,mais vu les questions de M3mn0ch07,çà s'impose.

Tout d'abord:

Vu le nombre de protagonistes aussi, il serait bon je pense que tu soigne particulièrement les phrases qui introduisent de nouveaux personnages. Elles doivent contenir suffisamment d'informations pour que le lecteur mémorise la position / le statut / l'importance du nouvel arrivé, mais pas trop pour ne pas qu'on s'y perde.

Sincèrement désolé,mais j'ai une excuse!Ce qu'il faut comprendre que,au début de mon écrit"l'histoire" n'était pas fixé:j'ai la forme,la façon générale dont ce déroulera l'affaire et comment elle se terminera,mais les actions des différents personnages,je les décide au fur et à mesuire.Ceux qui s'en étonneront prendront en notes que vous n'etes pas encore arrivé à la moitié de l'oeuvre,et que gèrer une telle quanttée d'action en détail est extrèmemùent dur de ma part,sachant que je dois veiller à ce que chaque personnage accomplisse bien certaines actions,sans quoi l'histoire dévierais totalement.

La raison pour laquelle j'ai si peu décrit les personnages au tout début est que je commençais juste,c'était mon premier réçit véritable(si l'on exepte mes quelques tentatives de rédaction de rapports de batailles romancés)et je me suis laissé débordé par les évènements,d'ou le manque flagrant de description des personnages principaux,comme Ralik et Nalog.Rebelote vers la période de la rentrée.La,j'était adapté,mais j'ai mis un petit moment avant de réussir à me remettre sur les rails scolaires,d'ou l'absence de description sur l'oeil de la mort.

avec des passages où tu survol l'action.

Est ce un reproche?

Si c'est le cas,nous n'allons pas nous entendre :P

Contrairement à la plupart des gens qui préfèrent employer,pour décrire l'action,la méthode"britannique"(à savoir que toute la bataille est vue depuis l'oeil d'un des bélligérants), j'applique la méthode "tolkienne"(une vue de la bataille plus globale,avec forçe description).C'est une méthode que j'aime beaucoup,et je ne n'apprécies vraiment pas qu'on la critique.

Pour le reste...

CITATION

Tout ce que les dragons c’étaient contentés de faire, c’était d’ouvrir les vannes, puis de jeter dans les torrents qui tenaient lieu d’escaliers tout les déchets indésirables. Ceux ci coulaient jusqu’au rez-de-chaussée avant d’être évacué dans la ville souterraine. Il avait l’impression d’être dans un parc d’attraction aquatique.

Existe-t-il encore des parcs d'attraction aquatiques au 41ème millénaire ?

La référence est drôle mais dessert l'ambiance à mon humble avis. Tu aurais par exemple pu comparer ça aux conduites forcées d'alimentation électriques de la cité ruche ou encore aux chutes d'eau des jungles du sud de Syphyris (je ne sais pas si il y en a, c'est pour l'exemple hein ) etc. Non ?

Entièrement désolé.C'était un délire personnel que j'essayerais de rectifier

je trouve aussi que tu vas parfois un peu vite

Je vois de quel passage tu parles. Normalement,ça n'arrivera plus,c'était dut à une panne subite d'imagination...

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