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Récit en commun


Invité Snikch, le maître de la nuit

Messages recommandés

Invité Snikch, le maître de la nuit

Voila je viens de voir récit en commun, fait par Fenryll...

Comme le concept me plait je vous un propose un:

Donc tout d'abord il faut un perso:

Alors pour le perso voila un exemple(mon perso)

Nom: Viorala

Origine:Karond Dar

Sexe:Féminin

Age: 175 ans

Origine sociale:Famille noble druchii

Métiers/Carrières: Ex-Assassin, elle parcourt le monde pour racheter ses fautes passées

Compétences martiales: Bien que très bonne avec pratiquement toutes les armes,elle peut très bien tuer un homme a main nue

Langue(s) parlée(s): Elfique,Druchii, Khazalid,Skaven,Langage sombre et Impérial ghotique

Compétences diverses:Équitation,Natation,Escalade

Pouvoirs:MAgie Nécromantique,Camouflage,Vol(ou un grand saut comme vous préférez),Séduction,Regard Fatale,Regard Hypnotique

Dotation/Équipement: Arbalète de poing, Arbalète a répétitions avec munitions,Shurikens,et Ocrist(Épée enchantée)

Signes particuliers visibles:Une peau aussi blanche que l'albatre, d'une grande beauté mais son coeur,aussi froid que la glace, ne connait pas la pitié

Histoire connu: soyez un peu patient... Viorala la dévoilera en temps et en heure

Alors voila si vous etes intéressés dites le plz...

J'attends de voir combien de personne le sont pour commencer l'histoire.

@+

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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Nom: Ticris

Origine: Saphery

Sexe: Masculin

Age: 205 ans

Origine sociale:Famille noble hau elfe

Métiers/Carrières: Maitre des épees

Compétences martiales: Manie très bien toute les épées

Langue(s) parlée(s): Elfique,Druchii, et Impérial ghotique.

Compétences diverses: Équitation, Natation.

Pouvoirs: Il ne sait que peu sur lui meme, ca se devoile en temps et en heure

Histoire connue: Un noble drushi qui part à la recherche de gloire

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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NOM : Lamenoire Gandacier ( Lam' pour les intimes )

ORIGINE : Les landes ténébreuses, cité des Orbes hantés

SEXE : masculin

AGE : 30 ans environ

ORIGINE : noble banni

Métiers/carrières : rôdeur déchu

Compétences martiales : manie à merveille n'importe quel type d'épée ( courte longue, à deux mains )

Compétences culturelles : connaît toutes les langues des oiseaux et des créatures des bois. Etant taciturne et renfermé, il s'exprime par signe avec les autres hommes. Connaît néanmoins les langues des skavens, des hommes-bêtes et des hommes-lézards.

Compétences diverses : ?

POUVOIRS : bersercker : ses orbites deviennent noir et seul perce alors une flamme ténue ; sa force est décuplée et ses coups fusent plus vite que l'ouragan, mais il dépense alors bcp d'énergie et s'épuise vite.

Caractéristiques physiques perceptibles : Cheveux noirs visibles sous un casque à nasal ; grand et impressionnant, forte carrure.

Historique connue : est entré dans la confrérie du Faucon dans sa jeunesse. Quand le chaos s'emapra de sa cité, il organisa avec ses confrères la défense ultime, puis il quitta les remparts et organisa une sortie désespérée qui ne permit qu'à un petit nombre de survivre. Il les guida alors vers la ville de Raturn, où le maître-faucon le bannit pour désobéissance. Dès lors, cherche le moyen de retrouver son honneur, en chassant le chaos des Landes ténébreuses. Il organisa une rebellion qui fut réprimée, et en moins d'un an ses compagnons moururent tous. Il descendit alors vers le midi, en quête de justice.

Equipement : épée finelame, casque à nasal et armure noire, un médaillon du Faucon ( brisé en deux )

Note : respecte hautement les magiciens mais déteste les gnomes

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Bon on est déja trois, c'est pas assez mais c'est déja pas mal...

Je suis en train de créer une base de scénario...

Au fait, qui aime les vampires???

@+

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moi, j'aime beaucoup les vampires, et on se souvient de Viorala dans l'auberge. D'ailleurs voici Sirius Draken-Torin ( non je déc...nne, trop puissant donc pas marrant) mais en revanche:

NOM: Ryu Hayabusa

ORIGINE: Nippon

SEXE: Masculin

AGE: Inconnu

ORIGINE SOCIALE: Inconnue

Métiers/carrière: assassin mercenaire

Compétences Martiales: maître de tous les arts martiaux nippanais, et donc des armes nippanaises relatives à ces arts.

Langues parlées: nippanais, impérial gothique, elfique.

Compétences diverses: évaporation ( il peut se déplacer instantanément d'un endroit à un autre), équitation, Senseï Ninjitsu ( ensemble de techniques utilisées par les ninjas )

Physique: grand, vêtu d'une combinaison noire ne dévoilant que ses yeux bleus glacials.

Historique:un des ancien maître de l'ordre secret des ninjas nippanais.

Equipement: arsenal ninja

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NOM: Janus

ORIGINE: Norsca

SEXE: Masculin

AGE: 32 ans

ORIGINE SOCIALE: Nomade Ungol

Métiers/carrière: Mercenaire

Compétences Martiales: Hache, épée à deux mains, haches de lancer, couteau.

Langues parlées: Ulgol ancien, Impèrial gothique mais pas bien.

Compétences diverses:

Physique: Musculature imposante, barbe noire hirsute, yeux noirs profonds avec lueure sauvage, porte une tunique simple, des bottes rembourrées et une cape en peau-d'ours-qui-l'a-tué-lu-même-d'abord.

Historique: Né au Nord-Est de l'Urskoï dans une tribu nomade Ulgol, Janus est élevé par ses parents dans le culte d'Ursun. Il découvre en grandissant la ville d'Erengrad. Ayant appris à se battre pour survivre dès sa naissance, il devient rapidement un mercenaire prisé. Une subite envie de voyage le prend après quelques années passées sur les routes de KIslev. Il trouve à Erengrad un navire en partance pour l'EMpire et s'engage en tant que marin. Il est un habitué du combat de contact, il aime la bière, les filles bien bâties comme chez lui.

Moral: Malgré son apparence lourdaude, sa surprenante rapidité de réaction en surprendrait plus d'un: il sait lire, écrire et compter. Cet un june homme pragmatique.

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Nom : Aedraüg Denaktea

ORIGINE: Ulthuan

SEXE: Masculin

AGE: 148 ans

Race : Elfe

ORIGINE SOCIALE: mage à la TDH

Métiers/carrière: mage

Compétences Martiales: inexistante

Langues parlées: Elfique, Impérial, Arcanique

Compétences diverses : Magie (Domaine=feu)

Physique: cheveu blond, yeux bleu turquoise / rouge quant il utilise la magie, grand mince. Suffisant et arrogant. Il porte une longue cape rouge sur sa robe blanche. Entre les deux, une discrète mais néammoins efficace cote de maille en Ilthimar.

Historique: Dés que son niveau en magie normale fut suffisant, il se passiona pour l'étude des runes naines. Sa théorie était qu'elle n'était qu'un autre moyen de faire appel au vent de magie et qu'il devait être possible de la combiner avec la méthode normal pour obtenir une très puissante magie.

L'idée déplu car la rancune était encore vive dasn le coeur de chacun et il fut exclu de la tour blanche et décida de se rendre dasn le vieux monde pour avancer sa théorie.

-- Aenario --

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Bien, la petite bnde c'est reformer...

On va commencer, et si d'autres veulent nous rejoindre, qu'il me MP et ils prendront le train en marche...

Bon je vais faire un post spécial discussion,pour pas polluer le topic...

Donc la descritpion des lieux se fera en italique(utilisé par moi...) et l'histoire des persos normalement

Ensuite que dire d'autre sinon a vos claviers je commence desuite...

@+

Ps:Au fait, et l'auberge ca en est ou???

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Bon voila le début de l'histoire...

Ce sera aussi un résumé des personnages, et de l'action en cours.

Malgrés la lumière faiblarde du soleil, les alentours du batiment étaient sinistres.

Bien que la foret s'étende non loin de la, aucun chant d'oiseau, aucun cris d'animaux ou de bruissement de feuille ne venait troublé le silence de ces lieux.

C'était un silence lourd et insoutenable. Comme le calme avant la tempete.

C'était un silence digne de la mort.

Bien qu'elle ne fut d'habitude pas très fréquentée,a l'intérieur de l'auberge se trouvaient de nombreux voyaugeurs, tous aux origines plus divers les unes que les autres.

Le couple qui habitait ici aurait du se réjouir, pour les affaires autant de clients était très bon.

Mais l'évènement qui c'était déroulé le matin même empechait Wilheim et Tara de se sentir joyeux. Alors que leurs filles était dans la salle principale, elle reçu un careau d'arbalète en plein épaule.

Heuresement pour elle une cliente lui sauva la vie en usant de magie,lui permettant ainsi de vivre et sans le savoir de commencer la réalisation d'une ancienne prophétie.

Le lieu: taverne de la choppe brisée

Résumé de l'action:

Aléa, la fille de l'aubergiste,a recus un carreau d'arbalète dans l'épaule.

Cette dernière se repose a l'étage après avoir été soignée.

Ses parents la veille tandis que Viorala et Frederich surveillent la porte.

En bas après le remue ménage due a la découverte d'une étrange prophétie et a la poursuite du tireur, tout les clients finissent de manger et discutent de la tournure des évènements.

Personnages:

PNJ:

-Wilheim:Aubergiste

-Tara:Aubergiste, femme de Wilheim

-Aléa:Leur fille

et quelques clients.

PJ:

-Viorala(Snikch,le maitre de la nuit):Elfe Ex-Assassin, elle parcourt le monde pour racheter ses fautes passées

-Frederich Hertzenger(Feurnard):Ingénieur impérial en permission

-Aedraüg Denaktea(Aenario):Mage a la tour blanche

-Janus(Warzazat):Mercenaire Ungol

-Ryu Hayabusa(Elladan, Seigneur Elfe):assassin mercenaire Nippon

-Ticris(Inxi-Huinzi):Maitre des Épées haut elfe

-Barildor(Blackangel):Humain ayant été enchanté par un mage gobelin,se définit lui meme comme un"gros boulet"

- Lamenoire(Shas'o Benoît): Rodeur sachant parler aux animaux

Heure: L'après midi, vers 15 h

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Elle arriverait bientot a la fin de son voyage, de sa quete.

Après avoir rechercher, et trouver la fiole de sang de dragon, dans les sous sols de Marienburg, Viorala devait maintenant s'acquitter de sa mission.

Elle éspérait pouvoir, retrouver ses amis un fois cette dernière fini.

Elle éspérait retrouver Sirius.

Mais l'important n'était pas Sirius, l'important était de trouver ce problème, et de l'éliminer.

Une fois cela fait elle pourrait...

Viorala, perdu dans ses pensées n'eut pas le temps d'éviter la corde tendue au milieu du chemin.

Elle et son cheval firent une chute magistrale.

Elle rattrapa son pur sang avant qu'il ne s'enfuie, puis elle attendit.

Trois hommes sortirent des fourés en hurlant:

"La bourse ou la vie!!!"

Quels idiots, cils feraient mieux de penser a sauver leurs misérables existence plutot que d'essayer de s'en prendre a moi.

Enfin, ce sont des humains.

Le meneur du groupe, un homme de forte stature, de haute taille et a la figure balafrée de nombreuses cicatrices avanca vers elle alors que les deux autres semblait décider a l'encercler.

Elle prit alors la parole:

"Et bien, ce n'est pas la une facon de traiter une damoiselle.

Les brigands s'aretterent nets, et le chef rétorqua:

Nous n'avons pas souvent la chance de détrousser d'aussi jolie pucelle que vous...

Et lui et ses comparses partirent alors d'un rire gras.

Pauvre idiots, je parcourait déja le monde que votre mère n'était pas encore née.

Cracha l'elfe furieuse.

Les brigands stoppèrent immédiatement leurs rires.

Mais revenons a nos affaires, continua Viorala, vous souhaiter me voler mon or c'est bien cela?

Je vous propose un marché...

Pas de marché, c'est nous qui te ranconons.

Laisser moi finir, gronda t'elle, disons que je vois a vos tetes que vous n'avez pas du... vous divertir depuis longttemps,et ce faisant elle commenca a déboutonner son habit de cuir moulant.Que diriez vous de vous amusez, un peu, avec moi, puis de me laisser partir??? Puis elle ajouta sur un ton langoureux: je suis peut etre plus vieille mais j'ai aussi une plus grande éxpérience, a ce niveau...

Les larrons se regardèrent, avec ce regard qu'on les prédateurs lorsque ils viennent d'acculer leur proie.

Puis il dirent d'une seule et meme voix: C'est d'acord...

Le chef s'approcha alors et s'adressa à viorala: Bon moi d'abord...

Puis il capta son regard, un regard qui semblait comme un puit sans fond,sans fond...

Viorala ouvrit la porte de l'auberge, s'était une auberge accueillante mais différente de celle de maitre azéno.

La salle aux multiples tables était totalement vide, mis a aprt une enfant humaine qui jouait près de la cheminée.

Bonjour,que puis-je pour vous demanda l'aubergiste?

Pour moi juste un vin élfique et si vous n'avez pas une Bugman XXXXXX et une chambre pour passer la nuit,quant a mon cheval de l'avoine et un box.

Bien il sera fait comme vous le désirerez, mais je vous en prit installer vous.

viorala ne se fit pas prier, s'assit a une table, et essuya nonchanalement le sang a la comissure de ses lèvres.

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Aedraüg courrait depuis maintenant deux jours. Ce n'était pas sa faute. Il ne pouvait pas prévoir que le chevla ne suporterait pas ce sortilège d'accélération. "Il ne devait pas aimer le feu", se dit l'elfe en apercevant au loin une petite auberge fort attirante car il était fatigué.

En ouvrant la porte, il put apercevoir une de ces compatriote, mais étrangement pale, presque blanche. Il alla s'asseoir à une table proche et demanda un vin elfique chaud. Le tavernier fit une grimace puis lui apporta l'étrange breuvage. Tourant la tête vers l'elfine, il lui demanda :

" Dites moi gente dame, si je ne suis pas trop indiscret, qu'est ce qui vous attire en ces contrées inhospitalière ?"

-- Aenario --

Edit : l'auberge est au milieu de la seconde page. Si tu veux la faire remonter, ne te prive pas.

Modifié par Aenario
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Ticris sortit sa lame, qui avait bien pu commettre un tel massacre ? Il reconnaissait la marque des elfes noirs. Les corps étaient éparpillés et massacrés, certains semblaient même vidés de leur sang. Mais leur agresseur semblait déjà parti... Il y avait une ville non loin d'ici, Ticris allait essayer d'y tenter sa chance.

L'auberge qui se présenta sous ses yeux lui sembla acceuillante, il y poussa donc la porte et s'assit à une table en attendant que quelqu'un viennent prendre sa commande..

@+

-= Inxi =-

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Invité Snikch, le maître de la nuit

ok merci...

Bon maintenant on évite les discusssions, après tout il y a un post pour ca...

Viorala sirotais son vin lorsque un autre elfe entra.

Il portait l'uniforme blanc de la tour de Saphéry.

que pouvez bien faire ici un de ses cousins d'Utlhuan???

Il s'adressa alors a elle, eet lui posa une question qu'elle ne voulait pas trop aborder.

Et bien vous avez raison, vous etes qulques peut indiscret.

Mais d'abord je me présente, Viorala.

Et vous, vous devez etre mage a la tour de saphéry si mes yeux ne me trompent pas.

pour répondre a votre question, disons qu'il me faut y trouver une personne, quelque peu dérangeante.

Mais, je vous retourne laquestion. Que peut bien faire ici un des prestigieux mage de la tour blanche???

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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L'auberge se découpait nettement sur l'horizon, ses murs de chaux flamboyants d'ôcres et de rouges dans la lumière du crépuscule. Au loin, là où la route se poursuivait, la masse informe des montagnes se mêlait à l'obscurité naissante.

Le temps n'était pas froid dans ces régions du Sud, par rapport à la lointaine Kislev. Janus se dit qu'il pourrait bien dormir à la belle étoile ce soir là, un dicton de son père lui revint en mémoire: les mateles de paille, ça vous ramollit les pattes...Janus pensa qu'il avait raison: il dormirait dehors, mais le fumet du diner préparé qui s'échappait de la masure fit gargouiller son ventre, des voix retentirent alors qu'il approchait. Janus décida qu'il prendrait bien quelques bières pour se rafraîchir et une bonne assiette de viande à se quarrer sous les crocs. Tout en pensant à l'appétissante chaire grillée, l'Ungol réajusta sa prise sur le sac pesant qu'il trainait et pénétra dans l'auberge.

A son entrée, quelques regards se levèrent curieux, mais il n'y fit pas attention.Il claqua la porte et se dirigea d'un pas lourd vers le comptoir du tenancier.

"Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous?" lui dit l'aubergiste.

Wilhelm s'efforça de respirer par la bouche alors que le barbare se tournait vers lui: Il empestait la sueur et le crasse, sa barbe était grasse et ses habits n'étaient pas des plus reluisants: avec sa peau d'ours et sa tunique sale, on aurait dit un sauvage. Mais c'était un client et, foie de Wilhlem, il y aurait un tub rempli ce soir là.

"Je veux manger, et boire: bière là." dit l'Ungol en désignant un tonneau derrière l'aubergiste.

"Vous avez de quoi payer?" lui répondit ce dernier.

Janus eut un sourire et hocha la tête en signe de dénégation, puis il saisit son sac des deux mains et le posa brtualement sur le comptoir. Le sac était énorme et les yeux de Wilhelm s'aggrandirent lorsqu'il vit la défense d'un sanglier dépasser de l'ouverture.

"Bonne viande! Tu peux faire cuire ça. Couper je m'occupe. Toi je donne viande et toi tu donnes bière."

L'aubergiste hocha de la tête pour montrer son accord. Qu'est ce que c'est que cet oiseau là? pensa t-il.

"Dites moi mon brave, d'où venez vous?"

Le barbare pointa le doigt en dirction du nord. " Là-bas. Loin."

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L'assassin courait depuis maintenant plusieurs jours. Son contrat était rempli, l'homme était mort et le ninja avait été payé. Maintenant il devait mettre un peu de distance entre lui et son crime. Un peu essouflé après sa course de plus de cent lieues, il aperçut une auberge à quelques distances et décida de s'y reposer. S'arrêtant, il disparut brusquement, ne laissant que quelques feuilles vertes voleter à son emplacement. Il réapparut devant la pôrte de l'auberge et entra, repérant instantanément les éventuels ennemis, et il alla s'installer dos au mur près de la fenêtre.

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Invité Feurnard

- Messieurs, vous ne me croirez pas !

Frederich était heureux. Plus de dix mois qu'il avait délaissé ses rancoeurs et son malheur, désormais oubliés aux tréfonds de son âme. Ne lui restait plus que l'insouciance si aisée d'une jeunesse qu'il se retrouvait à l'âge d'avoir des rides.

- De toutes les contrées impériales que mes yeux auront pu visiter, celle-ci aura sans doute eu le plus de succès ! Il ne s'y passe pas un mètre sans que je rencontre un fait étrange !

Légèrement voûté, le visage vieilli par son service militaire, il se tenait devant l'assemblée désintéressée, débitant des phrases qu'il se plaisait à entendre pour lui. Et puis, il avait besoin de se confier, ne serait-ce même qu'au mur. A sa ceinture, l'attirail métallique émit son timbre clair. Des habits modestes, en très bon état : il avait voyagé par les écuries puis fait les dernières lieues à pied. Une besace bien remplie pendait sur le côté, tenue par une lanière de cuir.

- Je n'avais pas fait vingt pas que je tombe sur une bande de cadavres tués fraîchement et croyez-m'en à mon expérience : c'est pas fait par un être normal. Pis y avait cette silhouette toute blanche tenant quelque chose à la main ; attention, je dis pas que c'était une arme, mais tout comme.

Il n'avait même pas pensé à regarder l'assemblée, trop ému d'avoir enfin de quoi raconter. De toute façon, en passant les portes de ce bouge, il n'avait aucune idée précise. Enfin, son arme le démangeait.

- Après ça, quoi ? Pas douze mètres que mon regard tombe sur une pile de crânes dans un creux d'arbre. A peine je m'éloigne qu'il y a une grande ombre qui traverse le chemin, entre deux bosquets : pas le temps de voir ce que c'était que c'avait disparu.

Oui, il s'en était passé des choses. La sylvanie toute proche, avec sa réputation affreuse et pour la moins rebutante. Mais on disait aussi pouvoir y trouver quelques techniques rares et, en bon élève de l'école d'ingénieur à Nuln, il n'avait pas hésité. Simple prétexte, sans doute.

- Et maintenant, j'arrive devant l'auberge quand une ombre inhumaine apparaît sous mes yeux éberlués, là, au même endroit où je me tiens. Je crois la voir entrer mais en un clignement d'oeil, elle a disparu. J'en profite pour regarder par terre, au sol et je vois qu'on a traîné quelque chose de lourd... moi je vous dis, il se passe des choses louches dans le coin.

L'ingénieur impérial, malgré ses quatre années de services aux armes de l'Empereur, n'avait pas encore compris la titanesque erreur qu'il commettait à l'instant même. Mais quitte à faire une entrée réussie, Frederich Hertzenger, du haut de ses 29 ans, saurait s'en rendre maître.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Bon comme vous l'aurez sans doute remarqué Feurnard se joint a nous.

Je vous mets ci dessous le profil de son personnage:

Nom : Frederich Hertzenger

Origine : Weissbruck

Sexe : Masculin

Age : 29 ans

Origine sociale : bourgeoisie

Métiers/Carrières : Ingénieur impérial

Compétences martiales : armes à poudre noire, très limite à l'arbalète. En dernier recours la dague ou les poings, contre un gobelin par exemple... et encore ! Par contre, un canon et a pu ennemi !

Langue(s) parlée(s) : Impérial gothique

Compétences diverses : euuuuhhh... lecture, ça compte ? Réparation, entretien et fabrications de fortune en tous genres.

Pouvoirs : de quoi ???

Dotation/Equipement : Micro-projecteur de plomb pernicieux à haute vélocité, outillage complexe d'ingénieur, lunette de visée et dague. Une besace pour les vivres, un couteau, des pierres à feu, une mauvaise carte et une boussole (extorquée à un prix de malade). Ah, j'oubliais : une armure de cuir conçue par son ami d'école.

Signes particuliers visibles : un sale caractère tempéré par une curiosité sans borne. Irascible sur certains points tels que l'amour, la liberté des femmes ou les problèmes fondamentaux. Pas vraiment beau, le visage imprégné par quatre ans de service auprès d'un gros canon et un ceinturon portant l'outillage complexe.

Histoire connue : né à Weissbruck, il s'engage à l'âge de 8 ans dans l'armée comme musicien, puis rejoint Nuln et les écoles d'ingénieur à 11. Sorti plus ou moins moyennement à 23 ans, il suit une carrière mouvementée de 4 années au service de l'Empereur, avant de voir chavirer son coeur pour une jeune pucelle. Arrivé à Marienburg à 28 ans pour le mariage, il voit sa fiancée au bras d'un autre et sombre dans la dépression.

N.B. : a attendu un ami de l'école (Adrien Fosshro, le même que pour l'armure) dans une auberge appelée "le Guerrier Honorable" pour rentrer à Nuln. Dispose actuellement d'une permission exceptionnelle de trois mois dont il profite depuis deux semaines.

Wilheim était éberlué, en une seule matinée il y avait eu presque plus de clients qu'en une demi semaine.

Il fallait profiter de cette oportunité, peut etre que si ses clients rstaient suffisament longtemps il aurrai suffisament d'argent pour emmener Tara et Aléa vivre a Nuln.

Mais le moment n'étais pas aux réfléxions.

Il héla sa femme et lui dit de commencer a préparer le repas du midi.

En plus du sanglier apporté par le barbare,la cuisine était bien remplie et on pouvait y trouver pratiquement tout les mets succulent de la région.

Tara commenca donc a s'affairer, demanda a sa fille de commencer a disposer le couvert.Ensuite il se dirigea vers un elfe récemment arrivé pour demander ce qu'il désirait.

Une fois sa commande passer,l'aubergiste commenca a faire de meme avec les autres clients.

Viorala était surprise, elle ne s'attendait pas a voir autant de gens dans cette auberge.

Si elle l'avait choisi c'était d'abord pour sa tranquilité.

De plus les personnes qui s'installaient dans la salle n'avait rien de commun avec les voyageurs qui parcouraient habituellement les routes de l'empire.

Un mage haut elfe, un barbare du nord,un maitre des épées, un humain tout de noir vétu,et enfin un impérial particulièrement bruyant.

Viorala eut furieusement envie de le faire taire mais a ce moment la une fillette arriva avec une pile d'assiette, apparemment trop lourdes pour elles.

Soudain elle s'écroula a terre, accompagné des assiettes dans un grand bruit de porcelaine brisée.

Viorala se dirigea vers elle pour l'aider a se relever, quant elle remarqua le trait d'arbalète qui dépassé de l'épaule de la jeune fille,et la flaque de sang qui se répandait, lentement mais surement, sur le sol.

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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"Eh bien ma fois, il se trouve que les autres mages qui vivent la bas n'ont pas aprécier l'étendu de ma magie", allait déclamer Aedraüg en pensant à l'explosion accidentel qui avait emporter tout le pan droit d'un des batiments secondaires. Mais il fut interrompu avant d'avoir commencé sa phrase car Viorala se leva et se dirigea vers la jeune fille qu était tombé. Jetant aussi un coup d'oeil, son regard accrocha la tache de sang qui coulait de son épaule. Il se retourna soudain, et obseva les alentour pour essayer de comprendre d'ou venait ce bout ce bois. Ces yeux commencèrent à briller d'un éclat écarlate.

-- Aenario --

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Invité Blackangel

Barildor se dressait devant l’entrée de la petite auberge. poussant la porte il alla au contoire pour se prendre une bonne petite bière. alors il sorti de sa poche quelques pièce d'or et montra le baril

- Le baril est à vous cher ami dit l'aubergiste.

alors il répondit en remerciement d'un petit hochement de tête et écris au commerçant sur un petit papier:

c'est ma tournée

Alors le gérant pris la parole:

- Cher ami notre inconnu vous offre une tournée donc tous à vos chopines!

- Euh c'est toi qui a tiré sur la jeune fille?! dit un homme de l'assemblée en s'adressant à Barildor tout en se levant prêt à lui mettre une raclée. bon d'accord c'est un p'tit peu petit mais je vous laisse continuer

Modifié par Blackangel
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Invité Feurnard

- Tiré sur la jeune fille ? s'exclama Frederich.

Il n'avait pas même eu le temps de s'asseoir. Bien sûr, il y avait eu la vaisselle brisée mais il ne s'en était pas soucié. Maintenant, la vague de stupeur l'atteignait et submergeait ses sens. Le souvenir des batailles lui revinrent. Traversant la salle, cherchant à fendre la foule, il rejoint une dame de belle parure penchée sur une jeune gamine. Un carreau d'arbalète.

- Que quelqu'un monte pour vérifier l'étage ! D'autres volontaires à l'extérieur ! Attention à ne pas acculer l'agresseur !

Ce disant, il ne cesse d'observer la plaie et la position du corps. Impossible de soigner la plaie mais il lui faut savoir d'où on a tiré. Voyant un manque de réaction, il s'arrache un pan de la chemise et le noue autour du bras, jusqu'à la clavicule. D'un coup sec, il resserre son bandage de fortune et souffle. Toute son attention revient sur la trajectoire supposée du projectile. "Enfin de l'action." pensa-t-il silencieusement, excité par une mission nullement désirée jusqu'alors.

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Ticris se dévoua pour monter à l'étage. Il dégaina sa longue lame éfilée et privint les autres occupant de l'auberge. Il commenca à monter les escaliers mais voyant que l'espace se rétrecissait, il tira une épée un peu moins longue. Le couloir donnait sur une demi-douzaine de chambre. Il se positionna derrière la première porte, écouta et entra arme au poing. Il utilisa cette tactique pour le reste des chambres. Mais ces recherches furent vaines... De toute facon le tireur n'aurait pas fuit dans l'auberge où sa victime s'est prit le carreaux... Il redescendit alors au rez de chaussée.

@+

-= Inxi =-

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Invité Blackangel

Pendant ce temps là, Barildor et Aedraüg inspectaient les alentours.

- Mououh chuchote barildor montrant des traces de pas dans la neige.

Alors son compagnon se mit à rire.

- Quoi arrête tes conneries c pas le moment, dit-il.

-Y a des traces de pas, reste discret répondit l'homme à moitié mué.

-attends j'en ai trouvé d'autres, dit -il du voix bassse et intrigué.

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ps: il se la raconte un peu ton personnage feunrard à donner des ordres a tout l'monde :whistling:

Modifié par Blackangel
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Le silence était tombé sur l'assemblée(Aïe!!!) seulement troublé par les sanglots de la mère de l'enfant.

Viorala entreprit alors de monter l'enfant dans une chambre pour la soigner.

Quant quelques un des clients proposèrent de l'aider elle précisa bien qu'elle voulait etre seule.

Empoignant alors le petit corps parcourus de spasmes de douleur,elle se dirigea vers l'escalier.

Une fois dans la chambre elle entreprit de nettoyer l'épaule de la fillette.

Une fois cela fait il lui fallait retirer le careau.

Tout d'abord elle le cassa au niveau de l'empenage, puis empoignant a pleine main le fer coupant, elle tira d'un coup sec, ce qui eut de plus pour effet de réveiller Aléa.

Écoute petite, il faut que tu sois forte, dit elle. Ca risque de te faire mal mais si tu veux guérir il faudra en passer par la.

Au fait, quel est ton nom?

A.. Aléa, je m'apelle aléa.

Et quel age a tu Aléa?

J'ai treize ans, murmura la petite fille entre deux sanglots.

Tout en détournant l'attention de la petite fille de sa douleur, Viorala commenca a inspecter la plaie.

Dans le meilleure des cas la petite fille ne pourrait plus se servir de son bras droit, dans le pire elle mourrait.

Le trait avait en effet couppé l'os en deux et sectionner de nombreux tendons.

Viorala s'empara d'une fiole, elle en vida une partie du contenu sur des bandages puis les apliqua sur la blessure.

La petite fille ne tarda pas a s'endormir tant les effets du baume étaient grand.

Viorala redescendit alors.

Les conversations étaient très agitées, mais quand elle arriv su r la dernière marche, tous attendait en silence.

Sans bruit elle se dirigea vers Wilheim et sa femme, toujours éfondrée, et les leur demanda de s'entretenir avec elle. En privé.

Ils se dirigèrent alors vers l'arrière salle ou elle peut parler en tranquilité.

Tout d'abord j'ai une mauvaise nouvelle.

Tara blêmit en regardant son mari, s'attendant au pire.

Votre petite fille ne pourra plus utilisé son bras droit, et il serait sage de l'amputer.

L'aubergiste laissa échaper un sanglot, Wilheim par contre était de glace.

Il existe une autre solution.

Il serait trop long de vous expliquer pourquoi, mais je possède de puissants pouvoir.Dont celui de régénération.

Si je mélange un peu de mon sang a celui d'Aléa elle guérira vite.

Par contre sa vie risque d'etre bouleversée.

Elle risque de manifester d'étranges pouvoir, et il y a des risques que votre vie ne soit plus du tout comme avant.

C'est a vous de décider car vous etes ses parents, mais faite vite car si nous tardons trop la maladie risque de la prendre.

Sans un mot de plus viorala sortit de la pièce, laissant Wilheim et Tara a leur réfléxion.

L'elfe retourna veiller la jeune fille pendant que dans la salle les conversations reprenaient de plus belle.

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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Invité Feurnard

Un coup de poing rugit sur le mur. Les phalanges usées par des années d'écritures et de dessins millimétrés subirent la douleur de la pierre. Il aurait volontiers hurlé de rage s'il avait pu mais rien ne lui permettait une telle attitude. Car quoi ? Etait-il en rien concerné par cette affaire ? Avait-il seulement le droit de s'y interposer ? Non, il n'était que l'un de ces milliers de manants déboulant dans cette pièce, avalant un bol de soupe et repartant le lendemain. "Il me fallait laisser mener l'interrogatoire." se répéta-t-il dans sa tête. Trop bête. Il n'avait pu que constater ce mouvement extérieur à son emprise s'opérer sous ses yeux sans qu'il n'y puisse rien.

le crépis souffre d'une nouvelle atteinte. La main fermée n'a pas hésité une seconde. On a tiré, sous ses yeux, sans qu'il n'en sache rien. Il n'avait pas su même repérer le lieu du tir, ni l'auteur possible. Toutes les pistes se brouillaient aussitôt. On le délaissait pour ce qu'il n'avait jamais cessé d'être : un passant parmi tant d'autres. La construction centenaire ne refusa point d'offrir à son vaincu une aile protectrice. Il lui restait bien des cheveux d'un noir charbon que la poudre n'avait pas arrangé. Sa main y passa en geste dédaigneux, inutile.

Le dernier soupir qu'il laissa passer se rompit lorsqu'il aperçut cette femme de charme quitter la pièce. Un instant il se vit l'empoignant, lui hurlant dessus les quatre vérités. Mais en avait-il le pouvoir ? Lui, l'incapable, le nuisible, venu de nul part et à destination de l'inconnu, pouvait-il s'imposer dans une pareille situation ? "Quelqu'un le peut-il vraiment ?" se jugea-t-il bon de rajouter. Peut-être appartenait-elle à la famille. Peut-être savait-elle tout de la médecine. Que pouvait-il, lui, avec ses trois ans de service comme musicien, ses treize années d'étude parmi les meilleurs ingénieurs de l'Empire et ses quatre ans de guerre ?

Une larme coula sur sa joue, petite, toute menue et discrète. Ses deux mains tentèrent de la trouver, de la soulager. Mais aucun réconfort ne parvint à l'empêcher de se jeter dans le vide immmense, terre étrangère pour cette fine goutelette d'eau pure. "J'aurais dû être là." Une fille. Une jeune dame destinée à produire la vie et qui peut mourir sous ses yeux, sans qu'il ne puisse rien faire. Et lui ne pense qu'à enquêter qu'à son prestige ou son mérite. Pauvre victime, touchée d'un trait qu'elle n'a nullement mérité. "Non, il me faut en savoir plus."

Ses premiers pas sont vers cette femme si étrange. Il ne l'a toujours pas réellement regardée. Pourtant, il sait déjà que sa mémoire photographique lui renverra ces traits n'importe où dans le monde. Elle a la grâce d'un rêve mais il n'y a pour lui que la femme qui lui brise son contrôle précaire de la situation. A nouveau lui viennent les images violentes d'une dispute qu'il se sent déjà perdre. Pourquoi ? Une simple question. A quoi bon se battre pour cela ? Simplement lui demander. Et espérer qu'il sera moins pitoyable si l'occasion s'en présente à nouveau.

Une dernière fois, sa conscience hésite. Qui est-elle ? Que vient-elle faire dans l'équation ? Il pourrait la délaisser, passer immédiatement à l'essentiel ; cet être a pris parti et continuer serait l'affronter sans cesse. Il n'y a plus le choix : s'il veut continuer, il lui faut savoir à quoi s'en tenir. Parler, dire quelques mots, voir ce qu'il peut attendre d'elle. Une question si simple et qui pourtant va décider de tant de choses : s'il peut ou non, si elle est prête ou pas, s'il a encore une raison de rester.

- Madame, pensez-vous que l'aubergiste pourra me recevoir un instant ?

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