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Les huit pattes du Destin


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

hé, mais je suis en train de reperdre le retard que j'avais rattrapé !!!

(j'suis étourdi, des fois...)

Chapitre V
il se précipita vers le paysan. Il avait été assommé par la violence du coup et on pouvait voir qu’il avait la mâchoire cassée. Notre ami l’installa le plus confortablement à l’arrière et décida de reprendre la route assez vite et de s’arrêter à la première ferme rencontrée afin que l’homme reçoive des soins.
il peut quand même être sympa, ça fait plaisir...
-Savez-vous qui étaient ces cavaliers ? Demanda Neryme

-Oui, ce sont les hommes du Baron de Brankburg. Tout aussi fou et excentrique que lui .. A ce qu’il paraît, il recherche un dangereux criminel qui serait de retour.

Il s’était trompé, le baron n’avait toujours pas digéré cette histoire. Neryme ne chercha pas à savoir plus et s’installa le plus confortablement possible sur son lit.

juste pour savoir, comment le baron sait-il qu'il est de retour ???
Chapitre VI
-Nous ne sommes pas dupes, nous savons qui vous êtes. Vous croyez franchement que nous accueillons des étrangers aussi facilement ? Nous ne vous avons pas dénoncé parce que nous sommes humains et que nous n’aimons pas le baron mais sinon, la récompense qu’il y avait sur votre dos aurait suffit pour que nous te dénoncions. Nous savions que vous pouviez nous aider à le tuer.

Neryme ne trouva rien à répondre, il s’était fait avoir tout simplement.

he he he...
-Quand devrait avoir lieu la prochaine attaque ?

-Ce soir …

-Hein ? S’étonna Neryme. Laissez tomber ! Vous ne serez jamais prêt à temps !

-Mais essayez au moins ! Cria l’homme à la limite des larmes. Ma sœur a été enlevé par ces loups .. S’il vous plait…

-Enlevée ? Dévorée, vous voulez dire.

-Non enlevée ! Nous sommes pratiquement sûr qu’un homme, que nous avons banni il y a une demi douzaine d’années, contrôle ces créatures.

-Et puis comment savez vous que ça sera ce soir ?

là, ça donne envie de baffer...

il demande une info, puis met en doute la possibilite pour son interlocuteur d'avoir accès à cette même info...

-Donc … J’ai vu que vous aviez construit une chapelle dans votre village. Dès que la nuit commencera à tomber, je veux que les femmes et les enfants aillent s’enfermer dans cette chapelle qui aura été précédemment renforcée. Ensuite, je veux une tour de guet, ici ! Dit-il en montrant l’endroit où il se trouvait. Et je veux les quatre meilleurs chasseurs sur ce post, ils surveilleront les quatre points cardinaux du village. Si nos défenses viennent à lâcher, ils devront se concentrer sur la défense de la chapelle. De plus, je veux que toutes les femmes se mettent à la création de vêtements. Les loups sont connus pour attaquer n’importe quelle partie du corps : bras, jambes, entre jambes, gorges et tout le reste. Je veux donc que tout le monde soit couvert de protections supplémentaires, surtout à ce niveau clé de la gorge. En attendant, je veux que les hommes creusent des trous autour du village puis qu’ils installent des pieux au fond pendant la première partie de la journée. Pour terminer, vous viendrez me voir pour que je vous apprenne comment aiguiser vos réflexes. Je crois que j’ai tout dit, alors au travail !
...

il se lâche, non ???

(remarque, je ferais pareil: pas le temps pour les amabilités...)

Chapitre VII
Voyant que les bêtes ne bougeaient pas, il porta la main à son cou et hoqueta de surprise quand il vit que le médaillon avait disparu. Cruellement, Neryme leva le pendentif à la lumière. L’homme allait hurler de rage mais se fut un hurlement de peur quand il vit une meute de loup se tourner droit vers lui. En quelques secondes, il fut mis en pièce par des bêtes rancunières.
ahhh...

une bonne petite revanche, c'est toujours bien vu...

-Si peu d’entre vous sont revenus … Se lamenta-t-il. Ses paysans … Ils payeront tous ! Ils regretteront ce qu’ils m’ont fait , ils regretteront de m’avoir chassé ! ! Oui, oui ! Il fut pris d’un rire diabolique. Nous ne les laisserons plus vous faire du mal, oui, oui, oui ! Allez vous couchez mes petits, je veille sur vous.
mais qui donc veille sur toi ??? he he he...

en plus de diabolique, il e st sûrement dément, vu son état...

Notre voleur s’étonna que les animaux ne s’enfuient pas à sa vue, ca se trouve se dit-il, ils ne l’avaient pas vu.
si ça se trouve...
Il en eut vite ras le bol
ras-le-bol...
Mais le problème c’est que cette baie se trouvait dans une zone bien connue
c'est normal, ce présent ???
Neryme ne se trouvait plus qu’à une cinquantaine de lieux de Brankburg
"lieues", non ???
Notre ami l’installa le plus confortablement à l’arrière
j'aurais bien mis un "possible" après l'adverbe...
Notre ami l’installa le plus confortablement à l’arrière et décida de reprendre la route assez vite et de s’arrêter à la première ferme rencontrée afin que l’homme reçoive des soins.

Notre voleur entendit l’homme se réveiller avec des cris de douleurs derrière lui.

vachement proches, ces deux-là...
des hommes du baron étaient à sa poursuite et que s’ils ne le retrouveraient pas, ils seraient pendus haut et court…
retrouvaient...
une massive cheminée de pierre dans laquelle mourraient lentement les restes d’un feu
mouraient... (qu'est-ce que vous avez tous à foutre 2 "r" à "mourir" ???)
au bout desquelles se trouvaient des coffres contenants vaisselles et habits
contenant...
-Oui, ce sont les hommes du Baron de Brankburg. Tout aussi fou et excentrique que lui ..
pourquoi la seconde partie est-elle au singulier ???
Neryme ne chercha pas à savoir plus et s’installa le plus confortablement possible sur son lit.
"à en savoir plus", non ???
Les femmes et enfants s’occupaient des tâches ménagères
ça fait bizarre, l'absence de déterminant devant "enfants"...
il attrapa un casse croûte qui traînait
casse-croûte...
Il quitta le village mais avait-il fait à peine cent mètres qu’une voix l’apostropha
sûr de la place de "à peine" ???
Neryme se retourna alors qu’il pensait que personne ne viendrait le déranger.
la partie en gras passe avant le "-Attendez ! Nous avons besoin de vous !", mais après, ça fait bizarre, il a été dérangé...
-Aidez nous .. on vous en supplie.
"Aidez-nous", non ???
la récompense qu’il y avait sur votre dos aurait suffit pour que nous te dénoncions. Nous savions que vous pouviez nous aider à le tuer
3 points:

-"avait": elle n'est plus valable, la récompense ???

-"te": il passe du vouvoiement au tutoiement, pour repasser au vouvoiement...

-"le": soit c'est une demande d'assassinat du baron, soit c'est "les"...

Vous ne serez jamais prêt à temps !
accord...
Ma sœur a été enlevé par ces loups ..
accord...
-Et puis comment savez vous que ça sera ce soir ?
"savez-vous", non ???
Ca à toujours été ainsi.
a...
L’homme acquiesça de la tête et partit en courant avertir ses paires.
pairs...
notre ami qui se tenait sur une vielle caisse en bois.
vieille...
Et je veux les quatre meilleurs chasseurs sur ce post
poste... (ou alors ton popre perso pense que tu as besoin d'aide pour écrire...)
Si nos défenses viennent à lâcher, ils devront se concentrer sur la défense de la chapelle.
vu que ce sont des suppositions, et que ça n'arrive pas en ce moment, passer la phrase au passé donnerait mieux, je trouve...
bras, jambes, entre jambes, gorges et tout le reste
en un seul mot...
Qu’est ce que vous attendez ?
"Qu'est-ce", non ???
Un non silencieux put se lire sur tout les visages.
accord...
ce qui était assez bien vu le peu de temps qu’ils avaient disposé
"dont", non ???
les brasiers, qu’ils avaient judicieusement placé entre chaque fosses
accord... (x2)
chaque homme qui tenait la torche la planta au centre du triangle qu’il formait avec ses amis
"une", ce n'est pas la même por tous...
Après que les premiers se furent empalés sur les armes des paysans, le gros de la troupe s’organisa et eut vite raison de leur organisation.
"troupe" fait un peu trop... humain... essaie de trouver quelque chose de plus bestial/animal...
Notre héros put voir que les paysans avaient plus de mal
"de plus en plus" passerait mieux, je trouve...
il put voir des hommes encore debout
accord...
Neryme, malgré son mal de doigts, réussit à atteindre l’autre façade de pierre.
charrie pas... il vient de se prendre un mur... là, ça fait trop "aïe, j'ai serré mon stylo trop fort trop longtemps..." mets donc plus de conviction dans les termes...
Allez vous couchez mes petits, je veille sur vous.
coucher...
Rapidement, il défit le nœud retenant le collier puis de l’autre main, il le subtilisa.
commence par préciser qu'il ne se sert que d'une main, sinon "de l'autre" fait un peu ...parachuté...
L’homme allait hurler de rage mais se fut un hurlement de peur
ce...
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Invité Feurnard

J'avais prit beaucoup de retard mais voilà qui est rattrapé.

Mon impression ? Ca ne peut évidemment pas être un voleur normal ; non, il lui faut une corde magique, une fenêtre magique, un poison spécial, une renommée établie et courir. Sans que cela ne porte préjudice au texte, certes, juste un peu... facile.

Tu ne peux toujours pas t'empêcher d'écrire aventure sur aventure, non sans désormais les lier entre elles ; hélas, on voit trop bien leur indépendance, et même à force on ne croit plus trop à ces rapports. Puis il y a le manque d'intérêt, pour des gens comme moi pour qui suivre un voleur fanfaron sur le chemin de la maison n'est pas plaisant. J'en pourrais croire qu'il s'agit d'un jeu de rôles qu'un seul acteur jouerait et qui se disperse peu à peu.

Donc, mais c'est et ce restera le danger du freestyle, ton texte souffre d'un manque de cohésion.

Pour le reste, rien à redire, sinon que tu pourrais tenter un peu plus de t'arrêter sur le détail. Ce reste agréable à lire et conserve une part de mystère qui hélas ne captive pas assez.

Donc pour moi ce récit me convient largement.

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hop hop hop !!!

on réduit le retard...

Chapitre VIII
Il y avait une jeune fille qui était vraiment magnifique. Elle était brune, ses cheveux cascadaient jusqu’aux épaules et Neryme vit, lorsqu’elle reprit conscience, qu’elle avait de magnifiques yeux foncés. Notre ami commença à ressentir des choses qu’il avait voulu l’oublier…
franchement ???

cours, Neryme !!!

Neryme avança dans sa direction mais il ne put faire qu’un pas. Deux hommes l’avaient saisi par les bras et deux autres se tenaient prêt à agir. Le capitaine de la garde du baron, que Neryme n’eut aucun mal à reconnaître s’approcha de lui.
...

fallait fuir quand je te l'ai dit...

Chapitre IX
Neryme passa le temps comme il le pouvait : assis, en bougeant, en faisant de l’exercice. Le temps lui parut bien long et il décida de laisser une petite trace de son passage.. en souvenir. Avec l’aide de ses chaînes, il grava son nom sur la pierre. Le voleur recula pour regarder son œuvre et vit que de petits morceaux de roches rendaient la lecture difficile. Il entreprit donc de frotter sa gravure pour la rendre plus lisible. En commençant à frotter, il vit que la roche était de piètre qualité et que de gros blocs commencèrent à se détacher. Au bout d’un moment, il vit qu’il s’était fourvoyé et que si la roche était aussi fragile, c’était parce que des barreaux la complétaient. En effet, il s’agissait d’une grande cage dont les espaces qui se situaient entre les barres de fer avaient été recouverts par cette sorte d’ersatz de roche.
ohhh, moi qui y avait cru... (mais ça aurait été trop simple...)
seules trois inconnues lui étaient étrangères
un peu redondant, non ???
seules trois inconnues lui étaient étrangères. Il y avait une jeune fille qui était vraiment magnifique.
si tu ne parles pas des deux autres, mets en avant qu'elle est particulière: "parmi elles, une jeune fille vraiment magnifique:" par exemple...
des choses qu’il avait voulu l’oublier
un seul complément suffira...
Ils sortirent donc de la grotte comme l’avait fait les loups précédemment
accord...
Ils mirent quarante cinq minutes au lieu d’un quart d’heure à l’aller. Même si la distance n’était pas la même, les blessés ralentissaient considérablement la marche.
ça fait un peu ...remplissage...
et qu’ils avaient demander des renforts
demandé...
ils répondirent qu’ils n’avaient pas assez de biens pour tout laisser et qu’ils avaient demander des renforts à Brankburg mais ils n’étaient jamais venus…
tous les autres "ils" sont les villageois, celui-là pourrait être remplacé par "ceux-ci", ou "mais ils" pourrait devenir "qui"...
Il apprit que le vieillard était le grand père de la jolie fille
"grand-père", non ???
la jolie fille qu’il avait délivré
accord...
Elle le remercia même qu’il est mis fin à la vie d’un homme
d'avoir...
Les pensées qui assaillirent notre héros lui rappela son passé.
accord...
Depuis ces premières aventures dans la guilde quand il avait été trahi par son aimée à aujourd’hui.
ses... jusqu'à ...
Elle l’avait lâchée
Neryme est bien un homme ???
Depuis ces premières aventures dans la guilde quand il avait été trahi par son aimée à aujourd’hui. Elle l’avait lâchée et sa seule solution avait été de laver l’affront dans le sang. Il se rappela leur départ de la ville et toutes leurs aventures. Une des plus dangereuses et des plus d’actualités était ce vol du baron. Ils l’avaient dépouillé en se faisant passer pour des cuisiniers. Cela leur avait pris deux semaines mais ils avaient réussi à endormir tout le château en empoisonnant la nourriture. Il se rappela aussi comment ils avaient berné une compagnie de mercenaires non loin de leur caverne près de leur baie.
tu passes au pluriel sans prévenir... et on dirait vraiment qu'il est parti avec sa copine... essaie d'introduire ça par un "lui et ses amis" ou un truc du genre après "aventures" par exemple...
A chaque actes, chaque lieux où il allait
accord... (x2)
ces chevaliers qui avaient maltraités ce paysan
accord...
Malgré cela, Neryme n’était pas décidé à partir et ils se voyaient régulièrement sans se cacher. Bien que la vie était très dure ici, il décida de s’en satisfaire avec une si charmante personne à ses côtés.

Cela faisait deux jours depuis l’attaque des loups.

c'est court pour que ce soit déjà régulier... ils se voyaient toutes les 4 heures, ou quoi ???
Neryme devait retrouver Pierre et sa fille dans leur logis. Ils avaient rendez-vous à la tombée de la nuit.
là, c'est suspect... il ne veut pas que Neryme approche sa fille, et maintenant ils ont tous rendez-vous...

y a rien qui lui met la puce à l'oreille ???

deux autres se tenaient prêt à agir.
accord...
Neryme se tourna vers la jeune femme en pleur
c'est pas au pluriel ???
Neryme et ses geôliers arrivèrent en vue des épais remparts de Brankburg. Les gros remparts étaient effrayants dans la nuit ambiante. Il y avait quelques braseros sur les remparts et seule l’entrée était bien éclairée.
pour être en vue, ils sont en vue...
Les cavaliers passèrent la porte après que les sentinelles eussent fini de vérifier leurs identités.
"après que" n'est pas "avant que"...
La plupart des soldats dormait à cette heure ci
cette heure-ci...
ces hommes portaient des capes vertes foncées
Les adjectifs de couleur composée sont invariables...
Le voleur lut dans leur yeux la peur de ce châtiment.
accord...
-Alors dites moi pourquoi on va mourir !
"dites-moi", non ???
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salut inxi!

une tres bonne suite, j'ai pris beaucoup de plaisir a lire meme si c'est un peu court!

je ne suis pas du tout d'accord avec Feurnard, je trouverais l'histoire beaucoup plus ennuyeuse si Neryme etait un voleur normal sans tout ces objets spéciaux!

et selon moi tes aventures sont tres bien reliées entre elles comme on a put le voir dans la prison .En plus le fait qu'il y en est beaucoup rend le recit plus palpitant et a mon avis c'est loin d'etre un defaut!

je trouve donc que c'est un tres bon texte et j'attends une suite avec impatience!

fibz

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Chapitre X
mauvaise journée ??? besoin de se défouler ??? parce que ... ça a pas l'air agréable comme traitement... (la "pendaison")
En effet, les soldats attendirent que l’homme soit réveillé pour retirer la chaise et la remplacer par deux épées sur lesquelles l’homme devait tenir en équilibre.
pas compris comment ça marche...
Le plus proche d’ici est un ermite qui possède une amulette capable de contrôler les loups. Il était censé attaquer des caravanes mais nous n’avons plus de nouvelles depuis plus d’un mois.
ils risquent plus d'en avoir... (hi hi hi ...)
Au moment où l’homme allait répondre, la porte du couloir claqua. L’homme commençait visiblement à avoir peur. Il réussit à parler du clergé de Brankburg avant que la porte de sa cellule ne s’ouvre.

-Mais vous n’êtes pas …

c'est très malpoli de couper la parole...

(et en plus, ça rajoute des question dans la petite tête du lecteur que je suis...)

Chapitre XI
chouette, le coup des loups...

par contre... euh ... ils foutent quoi les gardes ??? ils étaient en congé ???

des loups ET un assassin débarquent, et... ils étaient où, les gardes, hein ???

Le loup se retourna, reprit l’amulette et s’enfuit au détour d’un virage laissant Neryme seul avec ses questions et notamment la suivante : qui était ce loup ?
c'est le chef de meute, non ??? c'est pas suffisant comme info ??? ça cache quelque chose ???

(c'est fou comme une simple phrase dans une histoire qui m'intéresse peut me rendre soupçonneux...)

Ensuite, il eut des bruits étouffés
il y eut...
Une fois la corde passée au coup
cou...
il aurait du en mourir en une dizaine de minutes
"dû", non ???
comme si de rien était.
"n'était", non ???
L’homme à la cape verte su que Neryme ne mentait pas.
sut...
Il a été décidé qu’une fois cette campagne terminée, le nouveau réseau devrait être démantelé.
je m'y perd... c'est pas eux, le nouveau réseau ???
Après quelques secondes, il n’eut plus rien.
"il n'y eut", non ???
L’organisation avait du préférer les tuer
"dû", non ???
Notre ami décida de rester éveillé pour profiter de derniers moments de sa vie.
"des", non ???
Notre ami se précipita à sa meurtrière pour regarder une meute de loups s’attaquer aux quelques soldats formant la garde de nuit.
par pure curiosité: pourquoi "sa" meurtrière ???

pour pinailler: si il y va pour "regarder", c'est qu'il sait ce qui arrive; si il ne sait pas, il y va pour "voir"...

Comme lorsque le chef de la meute l’avait quitté, celui--ci tenait dans sa gueule l’amulette.
typo...
nous avons du creuser
"dû", non ???
Il opta pour le dernier capitaine et mis une demi douzaine de minutes à rejoindre le lieu
mit...
un groupe d’aventurier racontait quelques histoires
un seul aventurier ???
j’aurai aimé savoir s’il serait possible que je fasse parti de l’équipage.
"partie", non ???
J’ai appris que vous partiez demain matin et j’aurai aimé savoir s’il serait possible que je fasse parti de l’équipage.

-Oui, bien entendu. Nous avons un compartiment pour les voyageurs. Il en coûtera une pièce d’or par semaine tout compris.

c'est sûr que c'est la même conversation ???
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Salut Inxi !

Alors moi aussi j’ai rattrapé mon retard et c’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé l’histoire de Neryme :o Ton personnage évolue bien, ses aventures sont captivantes, reliées en elles de manière suffisante pour le moment je dirais, en fait je suis prête à parier que l’on ne comprendra tous les liens qu’à la fin (ainsi que le titre) :o C’est surement pour cela que l’ensemble peut par moments paraître un peu décousu, il est vrai qu’on rencontre beaucoup de personnages et on n’arrive pas à deviner lesquels sont à retenir et lesquels on ne reverra jamais.

Une autre chose qui me chifonne dans le comportement de Neryme : si je me souviens bien, assez tôt dans l’histoire tu avais décris ses souvenirs d’une histoire amoureuse avec une femme qui l’aurait trahi… enfin bref, ça s’était mal terminé et j’avais alors perçu Neryme comme un voleur qui n’a désormais plus aucun sentiment autant pour ses victimes que pour les gens qu’il exploite au passage pour obtenir des information par exemple.

Or dans ces derniers chapitres, on voit trop souvent Neryme atteindre son but en passant par la séduction d’une jeune demoiselle naïve, et ce qui me frappe le plus, c’est qu’il reste dans un village où les gens connaissent son identité (et il le sait très bien) à cause d’une jeune femme. Pour moi, un voleur aussi expérimenté que lui, et de plus ayant déjà vécu une mauvaise expérience dans le genre, pourrait se douter qu’un jour l’appât de l’argent serait plus fort que l’amitié des villageois et que l’un d’eux le dénoncerait.

Peut-être que cette évolution de la psychologie du personnage est voulue, et en soit l’évolution est progressive et bien décrite, seulement elle ne me semble pas logique pour autant. La seule explication que j’arrive à trouver c’est que Neryme en a marre d’être sentimentalement isolé et donc il se met à négliger la prudence, ce qui revient à agir d’une manière illogique pour un voleur (dans ma vision des choses du moins).

Voilà, sinon c’est très bien et j’attends la suite avec impatience !

Elgalen :wub:

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Bon, je n'ai pas relevé les fautes, mais il y en a quand même pas mal, par exemple "coup" ou lieu de "cou", "celui" au lieu de "celui-ci", et des erreurs de style (dans le tout dernier passage, juste avant la course poursuite, tu as dans une phrase deux "alors" à trois ou quatre mots... La phrase est à peu près: "Il rentra alors dans le bâtiment alors que les flammes arrivaient jusqu'à lui".

Tu peux remplacer le premier alors par donc, voire par rien du tout.

Sinon l'histoire est pas mal, mais il manque des descriptions: dans toutes tes actions, je n'arrive jamais vraiment à bien suivre le déroulement. Pour la fuite, au début j'ai cru que les loups attaquaient la muraille, pas la prison, donc ça manque de clarté.

Ensuite, lors de l'attaque du château du Duc, on ne comprend absolument pas comment il précère pour entrer: dans un premier temps tu dis qu'il va passer par la cuisine, et il escalade la muraille, puis se cache derrière je ne sais plus quoi, mais on ne voit aucun lien entre ces trois actions.

De même pour la trappe, on ne comprend pas trop au début, peut-être décrire un peu plus le couloir où il est :wub: .

Ensuite, tu uses à mon goût de trop de changements de comportements pour être plausible, par exemple dans la prison l'autre gars qui accepte de parler d'un coup (remarque, ça peut se comprendre si l'on considère qu'avant il se retenait par peur de son autre ami de parler).

Par contre, je n'ai pas du tout compris s'ils étaient dans la même cellule ou non, là encore léger problème de description (et surtout, pourquoi il se fait tuer comme ça dans une cellule sans faire de spectacle à l'extérieur :o (à ce propos, très très belle description de la pendaison :wink: ))

L'attaque des loups peut à la limite se comprendre, mais il faudra quand même expliquer comment les loups peuvent être au courant des affaires de la ville :o .

Pour les actions de Neryme, j'ai aussi l'impression que tu crées une sorte de show en le faisant agir des manières les plus impressionantes possibles, mais rarement cohérentes :huh: .

Pour discuter avec le prisonnier et en tirer quelque chose, dire simplement que l'ami est mort... Niveau compassion c'est pas top :P .

Ensuite, quand il fuit, qu'il prenne un bateau, je n'ai pas encore vraiment compris, mais à la limite, ça se tient sans aucun problème.

Par contre, pour se faire de l'argent facilement, soit il est très bête, soit il est très revanchard, soit voler un "simple" marchand riche n'est pas assez pour lui...

Car bon, quand tu viens de t'échapper de prison et quand le duc de la ville te recherche à mort, à mon avis tu n'as pas intérêt de te faire remarquer juste avant ton départ :o , surtout qu'une fois repéré, même si tu fuis à bord d'un bateau, tu es poursuivi...

Surtout qu'il ne savait même pas où était l'argent... Aller voir son ancienne conquête est pas mal risquée, soit elle le pardonne et l'aime encore, soit elle crie... Là il serait dans la mouise :P .

Ensuite, pour la fuite par la cheminée, il devrait sentir les flammes dessous, la température qui monte...

Et après, dans la paille, il a quand même de la chance, il trouve une trappe et débouche en plus sur l'écurie...

Un peu trop de heureux hasards pour être plausible (sans compter les changements de caractère de Neryme :wink: ), et aussi beaucoup de rebondissements sur une seule action, il n'y a pas vraiment de trame (remarque, c'est le style d'à peu près tous tes récits, c'est peut-être simplement moi qui ne parvient pas à m'en remettre :P .

L'action est pas mal quand même, mais je trouve qu'il n'y a pas vraiment de fil rouge, ça donne un texte un peu décousu.

Ah oui, dernière remarque, tu confonds souvent les "sur" avec "de"... tu fais un mélange dans certaines propositions un epu dur à comprendre par moment. Mais bon, avec de la bonne volonté on y arrive :o (et aussi parce qu'on aimerait bien lire la suite) :wink:

Au passage, je pense bien avoir compris une part du titre, du moins les huit pattes (mais je pense que tout le monde l'a compris...).

Je visualise bien la scène finale, à chaque patte un destin: d'une l'araignée tue le duc, de l'autre elle tue celui qui a dénoncé Neryme au village, de deux autres elle rapporche la fille du duc et son ancien amant, de deux autres encore elle rapproche Neryme et Shenglora, et d'une autre encore elle envoie valser un garde et de la dernière elle tient debout pour ne pas retomber et tuer tout ce petit monde. Comment ça, je me laisse emporter :lol: .

Iliaron

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Tout d'abord, merci pour toutes ces réponses, qui, je dois dire, m'ont surprises ! Je pensais pas qu'il y avait encore tant de monde :D

Ensuite, pour Gemini essentiellement, les fautes sont corrigées, ne t'inquiete pas ! Je les ai corrigé sous word et j'attends que tu arrives à la fin pour modifier tous mes paragraphes :)

Pour Iliaron notement et les autres, j'ai pris en compte vos remarques et je corrigerai un peu plus tard car pour l'instant, j'ai perdu ma motivation sur ce texte :P J'ai commencé à retourcher certain passage comme le foin et le feu :clap: Je posterai tout ca quand ca sera bon ( En tout cas, sachez qu'il y a un nouveau texte qui se prepare ! J'en ai ecris autant que ce texte ci !)

Allez la suite sans plus attendre :

Chapitre XV

Le cheval galopa toujours plus vite mais ses adversaires n’en étaient pas en reste, ils ne lâchaient pas prise. Le destrier arriva jusqu’aux champs d’entraînements. Il foula rapidement le sable fin et traversa la piste en largeur. Le cheval sauta par-dessus la barrière ce qui permit à Neryme de remettre de la distance entre lui et ses poursuivants. Ce que notre voleur ne vit pas, c’est que le champ d’entraînement était en fait une sorte d’arène à sortie unique. Neryme était en ce moment dans l’anneau extérieur et tournait en rond. Les autres soldats à sa poursuite étaient dans l’anneau central et se préparaient à l’intercepter.

Quand Neryme vit la même sortie qu’il avait empruntée, il eut comme un doute sur ses chances de survie. En effet, quelques archers s’étaient mis en position et se préparaient à décocher leurs traits. Neryme fit tourner sa monture et passa devant les autres cavaliers qui reprirent la chasse. Les archers, quant à eux, avaient tiré trop tard ce qui fit que les flèches se perdirent dans le vent.

Neryme se remit à slalomer dans l’arène centrale alors que les cavaliers du Duc tentaient une manœuvre d’encerclement. Ils réussirent même à le plaquer contre la barrière de l’anneau interne. Neryme motiva son cheval en lui flattant l’encolure. L’animal sembla comprendre sa demande, et après que Neryme se soit bien cramponné, l’animal s’élança. Le cheval fonça droit sur un cavalier qui était en train de sortir son arme. L’homme se baissa juste à temps pour éviter la bête qui le frôla.

Neryme, lorsqu’ il se retourna, vit ce dernier chuter au sol. Et un cavalier de moins ! Essaya-t-il de positiver. Sa joie fut de courte durée quand il vit arriver deux cavaliers supplémentaires en renfort. Ceux-ci étaient aussi équipés d’arcs. Neryme allait donc devoir tenter une nouvelle sortie. Il fit un dernier tour pour pouvoir récupérer la selle du cheval qui n’avait plus de cavalier. Il ralentit sa monture, coupa la selle et fonça vers la sortie. Les adversaires ne le lâchèrent toujours pas d’une semelle mais ils étaient trop maladroits pour qu’une flèche ne puisse le menacer.

L’animal arrivait à pleine vitesse. Les archers attendirent la dernière seconde pour tirer. Les flèches fusèrent dans les airs et se heurtèrent à une barrière de cuir. En effet, Neryme avait lancé la selle ce qui permit de dévier deux traits ainsi que d’en arrêter deux autres. Les tireurs, voyant que leurs missiles n’avaient pas atteint la cible, s’écartèrent avant que Neryme, et sa monture, ne les piétine. Ce dernier, au lieu de se rediriger vers la cour principale toujours en feu, tourna à droite en direction du petit village qui avait la chance d’être dans l’enceinte du Duc.

Notre ami se demanda ce que les habitants devaient faire pour le Duc pour avoir ce privilège… Le cavalier sauta par-dessus une petite charrue et traversa le village. Derrière lui, Neryme entendit des bruits sourds : A priori, tous les chevaux n’étaient pas aussi doués que le sien. Surtout lorsque la bête devait transporter un homme en armure. Il continua à travers le village en zigzaguant. La porte de l’enceinte fut bientôt en vue.

Neryme talonna de plus belle sa monture. Mais à peine fut-il à quelques mètres de l’arche que la herse s’abaissa violemment. Le voleur fut assez désespéré mais il encouragea sa monture de nouveau et la poussa en direction opposée des assaillants qui arrivaient : en direction des remparts. L’animal monta les marches rapidement et trotta sur le chemin de ronde. Par chance, la corde que Neryme avait dissimulée était toujours là. Il descendit de l’animal et lui envoya une grande claque sur la croupe pour qu’il reparte d’où il vennait et gêne ainsi la progression des hommes du Duc.

En attendant, Neryme se jeta dans le vide. Il attrapa la corde de ses mains gantelées et se laissa choir jusqu’en bas. Il fit claquer la corde et celle-ci lui revint comme d’habitude. Il courut ensuite jusqu’à la palissade en se moquant éperdument si on le voyait ou pas. Il se hissa en haut de la barrière et sauta de l’autre côté. Neryme ne vit pas de patrouilles dans les environs. Il profita de cette aubaine pour disparaître dans la nuit avec son petit butin.

Quelle journée ! Pensa-t-il en s’adossant à un petit muret. Il l’avait échappé belle.. Tout ça pour ces quelques bourses ! Il aurait pu cambrioler un marchand pour deux fois plus. Mais au moins, son honneur était sauf et son orgueil ne criait plus vengeance.

Alors que Neryme reprenait ses esprits, il entendit des cris qui montaient de la forteresse. L’armée personnelle du Duc franchit les portes de la forteresse sous les ordres effrénés d’un capitaine. Neryme se remit debout en un clin d’œil et courut dans le centre ville. Après deux carrefours, Neryme perçut des bruits de festivité. Le voleur partit dans cette direction. Une fois arrivé sur la place du bal, il rabattit sa capuche et se joignit à la fête alors qu’au même moment, des gardes prenaient position.

Neryme dansa rapidement avec une demoiselle, bras dessus dessous, puis il se glissa dans une petite rue aussi large que lui. Après quelques mètres, il découvrit ce qu’il cherchait : une petite bouche d’égout. Sans hésiter, Neryme la souleva et disparut dans les souterrains de la ville. Notre voleur se demanda s’il n’avait jamais autant emprunté ces passages. Après quelques secondes, l’homme en noir parvint à la conclusion que non.

Il ressortit quarante-cinq minutes après, au niveau des docks. Neryme calcula rapidement le temps qu’il s’était écoulé depuis sa sortie de prison. Il ne lui restait plus beaucoup de temps… Il leva la trappe et sortit derrière une grosse caisse en bois. Après d’être assuré que ces maudits gardes n’étaient pas là, il courut sur les quais à la recherche du navire. Au grand damne de Neryme, il ne le trouva pas. D’après un homme sur le port, il l’avait raté de peu.

Après quelques secondes de réflexion, Neryme décida d’acheter un petit navire. En fait, cela était même mieux car il pourrait choisir où il voulait aller. Le voleur n’était pas à l’aise à chaque fois qu’il partait seul sur l’eau. C’était un des rares endroits où les chances de réussite ne dépendaient pas de lui. De toute manière, Neryme avait juste à suivre la côte, il ne risquait rien.

Il guetta donc le retour d’un pêcheur. Au final et en vue de l’heure, Neryme décida plutôt de miser sur quelqu’un allant sur l’eau. Un homme d’un certain âge apparut alors sur le quai. Le voleur approcha tranquillement de l’homme qui prit peur en voyant le sombre individu arriver vers lui. Neryme, voyant sa réaction, abaissa sa capuche et tendit les mains en signe de paix.

L’homme parut soulagé et attendit que Neryme prenne la parole.

-Bonjour l’ami ! Je souhaite acheter un navire ! En vendrais-tu un par hasard ?

-C'est-à-dire que j’en ai un, dit-il de sa voix éraillée, mais il n’est pas à vendre. Je dois aller pêcher et sans barque c’est impossible ! Et si je vous le vendais, il y aurait des pertes dues au temps que je récupère ma nouvelle chaloupe.

Neryme n’avait pas de temps à perdre, il abrégea la négociation que l’homme voulait entreprendre indirectement.

-Je t’en offre le double !

-Vendu ! Se réjouit l’homme. C’est le navire là-bas…

Neryme monta donc dans le navire et détacha les cordes qui le maintenaient à quai. Le bateau glissa lentement sur l’eau. Ce dernier n’était pas très grand et permettait seulement à deux hommes d’être dessus. Après une brève inspection, Neryme espéra que la barque n’allait pas couler car il était en piteux état. Il aurait pu en acheter dix des comme ça avec la somme qu’il avait payée…

Maintenant, notre ami devait prendre une décision : Faire quelque chose contre l’organisation ou aller à la baie pour transmettre le message.

Le message était d’une importance capitale. Il devait absolument prévenir son chef que son frère n’était pas dans ses régions. Une fois chose faite, il pourrait même très bien revenir ici avec des renforts pour contrer cette guilde. Mais d’un autre côté, Neryme savait que s’il n’agissait pas maintenant, il ne pourrait plus rien faire…

Il hésita encore quelque minutes avant de mettre cap vers la ville de l’ex-magicien Tycontrel et cette maudite organisation : le message attendra, Neryme avait des comptes à régler.

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Invité Kroxigor

Tout d'abord bravo :) car c'est toujours aussi bien écrit et ce chapitre est dans la continuité de cette histoire.

Mais il y a quelques "bizarreries". :D

Notamment, au moment où la monture de Neryme bondit au dessus de celle d'un de ses adversaires. Un cheval aurait quand même du mal, surtout avec un cavalier et tout son attirail(couteau, or...).

Une autre aussi. C'est le moment où il va prendre la selle d'un cavalier pour ensuite s'en servir comme bouclier.

Plusieurs questions se posent:

Pourquoi prend il une selle alors que le début de la chevauchée il l'a passée à cru?

Pourquoi l'envoie-t-il contre les flèches alors qu'il l' a prise pour la mettre sous ses fesses? :P

Et puis, une selle, c'est assez lourd à lancer surtout d'un bras puisque l'autre devait s'agripper à la crinière du cheval.

Sinon la suite et vite!

:clap: ouais une suite!!!

Kroxigor

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Ensuite, pour Gemini essentiellement, les fautes sont corrigées, ne t'inquiete pas ! Je les ai corrigé sous word et j'attends que tu arrives à la fin pour modifier tous mes paragraphes :clap:
OK... je devrais arriver à la fin dans pas trop longtemps... le truc c'est que lire sur l'écran de l'ordi me fait bobo aux yeux, et pour l'instant je ne peux pas imprimer (soupir...)
Chapitre XII
Ensuite, Neryme irait voir sa conquête qu’il avait abandonné ici après leur fuite.
ohhh,le pas-beau...

d'un autre côté, ça colle avec le "plus jamais" du début...

Neryme se retint de lui couper la langue et se contenta de baisser la tête et de marmonner.
pauvre petit Neryme.. c'est si dur...
Elle le regarda ensuite avec de grands yeux, lui envoya une grande claque, l’embrassa et dit :

« Comment oses tu ? »

la totale, quoi...

pratique pour évaluer la situation...

Chapitre XIII
Neryme ne savait pas sur quel pied danser. Elle lui appliquait deux comportements opposés.
je connais certains médisants qui affermeraient que c'est la norme avec les représentantes du sexe dit "faible"...(je m'arrête là, avant qu'il y ait une prime sur ma tête...)

tê... il est gonflé le Neryme, il s'absente quelques mois, et il revient la bouche en coeur: "Mais m’amour !"

-Je ne suis pas naïve, que veux-tu de moi ?

-Comment peux-tu … Commença à feinter Neryme.

-Ne t’enfonces pas Neryme… S’il te plait …

pas naïve, elle a dit, t'écoutes pas, ou quoi ??? (hi hi hi...)
Chapitre XIV
Alors qu’il pensait être dehors, il resta coincé à sa grande surprise : En effet, les bourses, formant un relief sous sa combinaison, l’empêchaient de passer. Neryme avait tout sauf envie de se débarrasser de sa fortune…
la main qui reste coincé" dans la boîte de gâteaux, ça m'a toujours fait sourire...
Ce que Neryme n’avait pas vu pendant son ascension, c’est qu’il avait été repéré et qu’un gros feu avait été allumé dans la cheminée pour tenter de l’étouffer. Neryme, trop occupé à monter, ne l’avait remarqué que lorsqu’il sortit à l’air libre car des petites volutes de fumée montèrent à sa suite.
??? il n'avait même pas senti la chaleur ??? wow !!!

au fait, c'est un baron ou un duc ??? j'ai l'mpression qu'il y a eu une sorte de ...bascule au chapitre IX, de baron à duc ...

Neryme irait voir sa conquête qu’il avait abandonné
accord...
La maison, ou plus exactement, le château du Duc n’avait pas franchement changé en ces quelques mois. Les tuiles et les murs semblaient plus écarlates ce qui laissait supposer que ce dernier avait été rénové récemment. Le château se composait
répétition...

juste pour pinailler: c'est le Duc qui a été rénové ???

Notre ami ne pensait pas que le plan qu’ils avaient utilisé soit, encore aujourd’hui, obsolète.
peut-être ai-je mal compris la phrase, auquel cas, je demande la clémence, mais j'ai l'impression que le sens en est que le plan est aussi valable maintenant qu'alors; si c'est le cas, "même" conviendrait mieux que "encore", car ce dernier indiquerait que le plan avait été obsolète à un moment donné et qu'il ne l'est plus, alors que même signifierait qu'il ne l'a pas été, et qu'il ne l'est toujours pas...
des changements avaient du avoir lieu
"dû", non ???
et juste après que la ronde soit passée
c'est "avant que" qui demande le subjonctif...
Le voleur, en embuscade, attendit que la majorité du groupe passe avant d’assommer le plus lent du groupe.
un peu lourd, non ???
Il enfila ses habits, ce qui n’était pas forcement agréable avec ceux qu’ils portaient avant et qu’ils refusaient d’enlever
qui sont "ils" ???
Grouilles toi donc !
"Grouille-toi", non ???
de façon à ce qu’on le croit ivre
"croie" non ???
La fille du Duc était la fille qu’il allait essayer de retrouver
c'est pas le même "fille", et ça passerait inaperçu en anglais, mais là...
A gauche, il y avait un nouvel escalier qui menait au salon et salle à manger et de l’autre, une volée de porte plus finement décorée les unes que les autres.
"à gauche/à droite" ou "d'un côté/ de l'autre" ou encore "à gauche/de l'autre côté"...
Celle de son ex conquête était la porte qui était gravée
"ex-conquête", non ???
A gauche des tapisseries, il y avait une commande en bois de chêne
y a un rapport avec une commode ???
A gauche des tapisseries, il y avait une commande en bois de chêne et une table surmontée d’un large miroir.

De l’autre, il y avait une autre porte d’où s’élevait une douce musique.

"à gauche/à droite" ou "d'un côté/ de l'autre" ou encore "à gauche/de l'autre côté"...
Son ex conquête était en train de jouer d’un instrument à corde
"ex-conquête", non ??? une seule corde ???
Neryme allait voir si ses anciennes attirances étaient aussi puissantes qu’ils en avaient l’air.
elles...
J’ai eu pleins de problèmes !
plein...
Je ferai bien d’appeler la garde sur le champ !
ferais...
Neryme n’aimait pas ce jeu dans lequel il était pas à son aise.
"n'était pas", non ???
Il continua quand même son jeu de séduction en se collant derrière d’elle.
d'elle ???
ne le nies pas !
sans "s"...
Elle s’écarta à nouveau de lui pour chercher un regard un objet inexistant par la fenêtre.
"du regard", peut-être ???
Comment peux-tu … Commença à feinter Neryme.
"feindre", non ???
-Ne t’enfonces pas
sans "s"...
alors que je les avais sauvé des loups
accord...
saches qu’on ne tari pas d’éloge
sans "s" tarit...
je pourrais te faire rentrer mais pas te faire sortir
pourrai...
Prend le minimum !
manque un "s"...
fille n’était pas au courant de tout les agissements de son père
accord...
Au bout de quelques essais, le voleur retrouva ses réflexes et après deux autres essais, il vint à bout du mécanisme.
répétition...
Il commença l’escalade en appuyant son dos contre une des parois et en planquant ses pieds de façon à monter par étape.
"plaquant", non ???

sûr pour l'accord de "étape" ???

Sur les derniers mètres, il dut planter se servir de ses dagues car le boyau s’était rétréci.
il dut quoi ???
Neryme tâtonna le mur à la recherche de quelques choses qui pourraient le sortir de cette fournaise.
"quelque chose" est invariable...
Après avoir reprit son souffle et remit de l’ordre sur lui
repris... remis...
Il lui faire quelques pas en direction de la porte de sortie.
manque un mot là, non ???
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Alors plusieurs remarques sur cette suite où Neryme nous montre encore toutes ses capacités surnaturelles :wink:

Alors d'abord quelques fautes dans ce chapitre XV (d'ailleurs j'admire Gemini pour tout ce qu'il trouve, vraiment, chapeau):

Ceux-ci étaient aussi équipés d’arc.

d’arcs

tourna a droite

à

Neryme entendit des bruits sourds : A priori

Pas de majuscule

pour qu’il reparte d’où il vienne

venait

Il attrapa la corde de ses mains gantelées et se laisse choir jusqu’en bas.

laissa

une petite bouche d’égouts.

d’égout

les chances de réussites

réussite

notre ami devait prendre une décision : Faire quelque chose

Pas de majuscule

Et puis une répétition:

Mais au moins, son honneur était vengé et son orgueil ne criait plus vengeance.

Ensuite, une bonne volonté pour trouver des synonymes (pour éviter justement les répétitions):

Neryme monta donc dans le navire et détacha les cordes qui le maintenaient à quai. Le navire glissa lentement sur l’eau. Le bateau n’était pas très grand et permettait seulement à deux hommes d’être dessus.

Je ne crois pas que l'on puisse appeler une petite embarcation pour deux personnes un "navire". Essaie plutôt "barque", "chaloupe" ou le terme général "embarcation".

Finalement, au sujet de toute sa course à cheval...

Une autre aussi. C'est le moment où il va prendre la selle d'un cavalier pour ensuite s'en servir comme bouclier.

Plusieurs questions se posent:

Pourquoi prend il une selle alors que le début de la chevauchée il l'a passée à cru?

Pourquoi l'envoie-t-il contre les flèches alors qu'il l' a prise pour la mettre sous ses fesses?

Et puis, une selle, c'est assez lourd à lancer surtout d'un bras puisque l'autre devait s'agripper à la crinière du cheval.

Etant déjà montée à cheval plusieurs fois (sans pour autant me prétendre aussi héroïque que Neryme :P ), il est absolument impossible de prendre une selle d'un autre cheval en étant au galop et soi-même à cheval car la selle est attachée en dessous du ventre du cheval avec plusieurs attaches qui, de plus, sont bien serrées.

Ensuite, une fois qu'il a une selle en main, il est difficile de la glisser sous ses fesses, mais bon, avec un peu d'acrobatie et beaucoup de muscles (c'est assez lourd quand même), admettons que notre héros en soit capable. Cependant, il aurait du mal à l'attacher sous le ventre du cheval et à bien serrer (il faudrait même serrer à plusieurs reprises car les chevaux n'apprécient pas et gonflent exprès leur ventre, alors il faut resserrer après quelques minutes, une fois que le cheval est plus détendu). Or, chevaucher avec une selle non attachée serait beaucoup plus dangereux et inconfortable que de chevaucher à cru, parce que la selle va fatalement glisser tôt ou tard, surtout lors d'un course.

Donc au final, il est encore plus intelligent de balancer la selle contre les flèches, quoique il faut de la force.

Voilà, je sais qu'on peut se permettre un peu de surréalisme et de fantaisie dans le monde de Warhammer, et d'ailleurs j'ai apprécié l'idée de la corde et finalement même celle du poison, mais un cheval reste un cheval... A toi de voir, mais honnêtement, je trouve que ton récit est de plus en plus invraisemblable et tourne au bourrinisme, à la parodie.

Elgalen :hat:

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Cho :wink: !!!

Bon ben cette suite est plaisante à lire malgré quelques anomalies précedemment citées par mes confrères :P (il est vraiment fort ce Neryme)...

Perso j'avais juste une remarque:

Le voleur fut bien embêté

Je trouve ça presque risible :clap: !!! J'imaginais bien Neryme en train de s'exclamer: "Ho flute alors, saperlipopette :hat: !!!". J'aurais bien mit plus d'intensité dramatique dans cette prhase. Après c'est peut-être moi qui suis bizarre.

Allez, bonne continuation dans la rédaction des aventures de notre astucieux voleur préféré :P !!!

A++

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Bon j'ai plein de changements à faire mais je vais juste expliquer ce passage que personne n'a compris visiblement :P

Il fit un dernier tour pour pouvoir récupérer la selle du cheval qui n’avait plus de cavalier et fonça vers la sortie. Les adversaires ne le lâchèrent toujours pas d’une semelle mais ils étaient trop maladroits pour qu’une flèche ne puisse le menacer.

L’animal arrivait à pleine vitesse. Les archers attendirent la dernière seconde pour tirer. Les flèches fusèrent dans les airs et se heurtèrent à une barrière de cuir. En effet, Neryme avait lancé la selle ce qui permit de dévier deux traits ainsi que d’en arrêter deux autres. Les tireurs, voyant que leurs missiles n’avaient pas atteint la cible, s’écartèrent avant que Neryme, et sa monture, ne les piétine. Ce dernier, au lieu de se rediriger vers la cour principale toujours en feu, tourna a droite en direction du petit village qui avait la chance d’être dans l’enceinte du Duc.

Donc il va vers le cheval de l'homme que Neryme a desarsonner, noté

cheval qui n’avait plus de cavalier

Il se penche pour prendre la selle ( je vais mettre qu'il la coupe, merci Elgalen ), noté :

récupérer la selle

Et pour terminer, Elgalen, tu dis :

Donc au final, il est encore plus intelligent de balancer la selle contre les flèches, quoique il faut de la force.

Et moi j'ai marqué :

Les flèches fusèrent dans les airs et se heurtèrent à une barrière de cuir. En effet, Neryme avait lancé la selle ce qui permit de dévier deux traits ainsi que d’en arrêter deux autres.

Donc voila, pour moi c'était assez clair :hat: Enfin si vous me dites que non, je changerai ce passage aussi :wink:

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Comme on est en plein débat de selle, autant s'insérer^^

Déjà, sur un cheval sellé on peut tenir sans les mains... A cru, je ne pense pas :clap: (il faut les étriers pour tenir et pouvoir serrer des genous contre l'encolure).

Sinon, je suis d'accord avec Elgalen, ça vite un peu au bourrinisme: je veux dire: archers trop maladroit, une horde de chevaux lancés contre lui... Bon, il y a de bonnes idées, mais il a vraiment trop de chances de s'en tirer sain et sauf (même s'il ne tue personne).

De plus, tu augmente un peu les capacités du cheval... par chance il a pris le seul cheval habile :hat: , capable de sauter au-dessus d'une charrue (pas mal le cheval quand même... Dans les championnats, les obstacles sont certes de l'ordre de hauter d'une charrue, mais ils font quelques cm de longs :wink: , surtout que les chevaux sont de races pour ce qu'ils font, avec un entraînement spécifique...

Enfin bon, tu as l'idée d'une poursuite rythmé, mais n'exagère pas non plus.

Il se penche pour prendre la selle ( je vais mettre qu'il la coupe, merci Elgalen ), noté :

En plein galop... Rapide quand même le Neryme.

Je l'imagine encore mieux prendre par la bride l'animal, qu'il courre côte à côte avec son cheval. Il se baisse ensuite et tirant, les archers tuent le cheval sellé, et Neryme peut repartir. Certes ça fait tuer un cheval, mais je n'imagine pas non plus Neryme comme ayant un coeur immense...

Enfin, pour la guilde ennemi, j'espère que ce sera mieux expliqué car là il y a beaucoup de zones d'ombres, si tu comprend ce que je veux dire (le magicien, l'explication non complète du prisonnier...)

J'imaginais bien Neryme en train de s'exclamer: "Ho flute alors, saperlipopette  !!!".

C'est pourtant bien dans le comportement de Neryme ça :P .

Iliaron, prions que le forum ne bug pas, pas envie de retaper la critique :P .

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Il se penche pour prendre la selle ( je vais mettre qu'il la coupe, merci Elgalen ), noté :
récupérer la selle

Et pour terminer, Elgalen, tu dis :

Donc au final, il est encore plus intelligent de balancer la selle contre les flèches, quoique il faut de la force.

Et moi j'ai marqué :

Les flèches fusèrent dans les airs et se heurtèrent à une barrière de cuir. En effet, Neryme avait lancé la selle ce qui permit de dévier deux traits ainsi que d’en arrêter deux autres.

Donc voila, pour moi c'était assez clair Enfin si vous me dites que non, je changerai ce passage aussi

En effet, cette dernière phrase était une réaction à la proposition suivante de Kroxigor:

Pourquoi l'envoie-t-il contre les flèches alors qu'il l' a prise pour la mettre sous ses fesses?

et elle te donnait raison Inxi: en gros Neryme a récupéré la selle pour l'utiliser comme un bouclier contre les flèches - alternative plausible et maligne - et non pour se la glisser sous les fesses - alternative impossible et un peu bête. Je m'étais un peu étalée sur la deuxième alternative qu'avait proposée Kroxigor, mais que n'a jamais envisagé Inxi dans son récit, pour dire que ce serait encore plus invraisemblable.

Voilà, j'espère que c'est plus clair et qu'on s'entend <_<

Elgalen :whistling:

Modifié par Elgalen
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  • 2 semaines après...

Bon j'ai fait les changements qui s'imposaient ! Il me reste deux trois trucs à changer mais comme il datait un peu, je changerai plus tard :D

Pour commencer,

Kroxi

Une autre aussi. C'est le moment où il va prendre la selle d'un cavalier pour ensuite s'en servir comme bouclier.

Donc j'ai préciser des infos sur la scène, notement qu'il ralentit et qu'il coupe la scène, j'espère qu'avec les explications que j'ai données, cela va mieux.

Iliraon

archers trop maladroit

Ca, j'ai laissé, ca me parrait possible :wub:

une horde de chevaux lancés contre lui

J'ai réduit le nombre ^_^

De plus, tu augmente un peu les capacités du cheval... par chance il a pris le seul cheval habile  , capable de sauter au-dessus d'une charrue (pas mal le cheval quand même...

J'ai changé en reduisant la hauteur de la charrue ( il peut donc aller plus loin ) et en précisant que les hommes sur les chevaux derrière sont en armures contrairement à Neryme.

Je l'imagine encore mieux prendre par la bride l'animal, qu'il courre côte à côte avec son cheval. Il se baisse ensuite et tirant, les archers tuent le cheval sellé, et Neryme peut repartir. Certes ça fait tuer un cheval, mais je n'imagine pas non plus Neryme comme ayant un coeur immense...

Bonne idée ! J'ai failli remplacer mon passage tu sais :wink:

Et enfin,

Fourberass, Elgalen et Gemini

La forme (et fond) ont été corrigé, merci d'avoir notifié les erreurs que je me suis empressé de corriger ! ^_^

Maintenant, j'aimerai venir sur une remarque de Iliaron qui est la suivante :

Enfin, pour la guilde ennemi, j'espère que ce sera mieux expliqué car là il y a beaucoup de zones d'ombres, si tu comprend ce que je veux dire (le magicien, l'explication non complète du prisonnier...)
*

Ben voilà, en fait, ces temps-ci j'ai un peu de mal avec ce texte car j'ai perud toute motivation d'écrire dessus. En fait, c'est bizarre à dire mais des qu'on change sa facon d'ecrire, la psychologie change aussi.

En fait, on m'avait beaucoup fait remarquer sur mes textes précédents que je laissais pleins d'évenements ou persos en route ce qui rendait mon texte au final, pas achevé. Sur ce texte, j'ai voulu faire croiser tout ce que je disais pour que ca soit coherent et qu'un personnage ne disparait du recit que de facon expliquée et admise ( sans solution de facilité )

Maintenant, j'ai foutu un beau bordel dans mon recit a tel point que je sais pas par ou continuer ! Je sais un peu près quelle ligne adoptée mais ca me plait plus, j'aime pas être entravée à raconter certains trucs car ca ne me passionne pas en tant qu'écrivain..

Il va donc falloir que je fasse un gigantesque plan par papier pour tirer tout ça au clair... Mais comme ça fait deux ou trois chapitres que c'est comme ça, je voulais savoir entre autres si ca se ressentait dans votre lecture (en ce cas, je stop tout et j'attends d'avoir trouvé la bonne solution!)

Mais sachez que je ne reste pas inactif, qu'en attendant j'écris un nouveau récit ! Il fera environ une centaine de pages word et je l'écris n'importe comment ^_^ Je l'écris à ma manière et au final seulement, je ferai les ajouts pour le rendre plus solide et coherent :wub:

Enfin voila, si vous avez des remarques, tout cela est le bienvenue !

EDIT : Ce qui me laisse donc à la conlusion que je risque de plus retoucher ce texte pour un certains temps :D

@+

-= Inxi, qui s'il a oublié des trucs, bin je reviendrai ! =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Invité Kroxigor

D'accord, j'admets m'être un peu tromper. Il est vrai que Neryme ne va pas essayer de mettre une selle en plein galop surtout avec toutes les attaches qu'il y a (ma soeur m'a tout expliqué). Mais n'empêche il est super balèze Neryme pour porter la selle et la lancer ^_^

Kroxigor qui attend la suite.

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wow, toute une semaine sans rôder dans le coin, ça me fait bizarre...

archers trop maladroit

Ca, j'ai laissé, ca me parrait possible :evilgrin:

la loi de Murphy...
Fourberass, Elgalen et Gemini

La forme (et fond) ont été corrigé, merci d'avoir notifié les erreurs que je me suis empressé de corriger ! ^_^

ah, ben euh... de rien...
Il va donc falloir que je fasse un gigantesque plan par papier pour tirer tout ça au clair... Mais comme ça fait deux ou trois chapitres que c'est comme ça, je voulais savoir entre autres si ca se ressentait dans votre lecture (en ce cas, je stop tout et j'attends d'avoir trouvé la bonne solution!)
je dois dire que là, ça faisait un peu beaucoup le coup du magicien qui fait partie de la guilde...

ça donne l'impression que quoi qu'il arrive, c'est lié, comme si, où qu'on aille, quoi qu'on fasse, il y avait une gigantesque ...toile d'araignée...

le hasard n'existe pas, c'est pas une raison pour qu il ne soit pas présent...(je sais, ça veut rien dire...)

Le cheval galopa toujours plus vite mais ses adversaires n’en étaient pas en reste
ce "en" représente quoi ???
Le destrier arriva jusqu’aux champs d’entraînements. Il foula rapidement le sable fin et traversa la piste en largeur. Le cheval sauta par-dessus la barrière ce qui permit à Neryme de remettre de la distance entre lui et ses poursuivants. Ce que notre voleur ne vit pas, c’est que le champ d’entraînement était en fait une sorte d’arène à sortie unique.
un ou plusieurs ???
et après que Neryme se soit bien cramponné
c'est "avant que" qui amène le subjonctif...
Les adversaires ne le lâchèrent toujours pas d’une semelle
l'imparfait passerait mieux, non ???
à droite en direction du petit village qui avait la chance d’être dans l’enceinte du Duc.
c'est une figure de style, ou le Duc a les bras vraiment très longs...
pour qu’il reparte d’où il vennait
...
Notre voleur se demanda s’il n’avait jamais autant emprunté ces passages.
la négation est en trop...
Neryme calcula rapidement le temps qu’il s’était écoulé depuis sa sortie de prison.
"qui", non ???
Au grand damne de Neryme
dam...
Au final et en vue de l’heure,
c'est pas "au vu" ???
il y aurait des pertes dues au temps que je récupère ma nouvelle chaloupe.
"des pertes, le temps que" allège la phrase...
Neryme espéra que la barque n’allait pas couler car il était en piteux état
serait-ce Neryme qui est en piteux état ???
Il devait absolument prévenir son chef que son frère n’était pas dans ses régions
les régions du chef ???
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Voici l'avant avant dernier chapitre ! Tenez le coup si vous le pouvez ( meme si je vous livre de gros morceaux :wink: ) Allez bonne lecture ! J'espere que j'ai pas trop laissé de fautes : J'en ai corrigé pas mal mais je suis sûr qu'il y en a d'autres ! ^_^

Chapitre XVI

La barque montait et descendait au rythme des vagues. Par chance, la mer n’était pas trop agitée et Neryme n’avait pas trop de mal à contrôler sa frêle embarcation de bois. Il bougea le gouvernail improvisé et se rapprocha de la côte. Après quelques minutes à scruter la roche, il découvrit ce qu’il cherchait : une entrée qui se découvrait par intermittence. Si Neryme ratait son coup, il se retrouverait écrasé contre la roche.

Avec une maîtrise insoupçonnée, Neryme passa pile poil dans l’intervalle. La grotte était assez sombre et spacieuse. On pouvait entendre des gouttes s’écraser à l’autre bout du lieu. Neryme sortit une torche qu’il alluma prestement. Il fit dériver son bateau jusqu’à une plage de sable fin. Il sauta par-dessus bord et grimpa des escaliers qui avaient été creusé directement dans la roche. Après une centaine de mètre, il tenta de pousser une porte de bois qui ne bougea que très peu. Après trois coups d’épaule, la porte céda enfin. Neryme se retrouvait à l’air libre dans une épaisse végétation.

La ville n’était pas bien loin. Neryme se mit donc à suivre le sentier qui passait tout près. Il suivit celui-ci jusqu’à l’orée de la forêt. Comme sur l’aller, il attendit qu’un paysan passe pour sortir de sa cachette. A la différence de la première fois, Neryme assomma l’homme et le laissa au milieu de la route. Après s’être assuré que l’homme vivait toujours, il enfila ses vêtements et glissa les siens à l’arrière. Neryme fit claquer ses fouets ce qui provoqua la mise en route de l’attelage.

Il passa devant les gardes sans le moindre problème. Une fois qu’il se fut assez écarté de la porte principale, il descendit du chariot et fouetta violemment les bêtes. Celle-ci poussèrent des cris stridents et s’élancèrent en direction de la porte. Neryme espérait ainsi que le chariot sortirait de la ville et que les gardes, le poursuivant, tomberaient sur l’homme inanimé. Neryme savait que cette conduite ne lui ressemblait pas et pourtant…Il annonçait à tout le monde qu’il était là et en plus il se souciait de quelqu’un d’autre que lui… Sûrement l’amour ! Se dit-il heureux.

Il se mit à trottiner jusqu’aux quais. Pas question de perdre du temps. Il trouva son ami toujours au même endroit.

-Oh ! Neryme ! Tu es fou, que fais-tu ici ?

-Grouille-toi ! On bouge de là avant que je me fasse repérer…

-D’accord, suis-moi, je sais où aller !

Les deux compagnons s’enfuirent dans des routes évitées de tous les gens normaux. Dans une rue pas plus large qu’un homme, ils tournèrent sur la gauche et passèrent une porte.

-Nous voilà chez moi !

-C’est mignon ! Dit Neryme avec ironie.

En effet, à part un lit, il n’y avait rien. Sûrement quelques coffres de camouflés mais rien de visible au premier abord.

-Que fais-tu ici Neryme ? Tu sais qu’il y a des gens qui souhaitent ta mort ici !

-Justement, c’est pour ça que je suis revenu ! Je suis peut-être tout seul mais je suis sûr qu’il y a quelque chose que je peux faire pour les arrêter ou au moins les ralentirent un bon coup.

-Je ne sais pas ! C’est vrai que tout seul, tu ne peux pas faire grand-chose ! Et les attaquer de front est suicidaire !

-Dis-moi tout ce que tu sais d’eux ! Et vite ! Déjà que tu m’as caché leur existence la première fois… je devrai te tuer !

-C’était pour ton bien que j’ai fait ça ! Je sais de quoi ils sont capables ! Tu n’es pas de taille !

-C’est ce qu’on verra ! Dit notre ami.

-Tu es malade, hein ? Tu le sais ça ? Bon alors… Voilà ce que je sais : Cette guilde a été crée à la base pour détruire toutes les guildes de voleurs qui, je cite, « polluent » les belles cités. Elle a pris le nom de Confrérie de l’Ombre en hommage à une ancienne action qui aurait… enfin je sais pas trop de trucs là-dessus. En tout cas, les seigneurs les plus pourris des cités qui forment cette région du monde se sont unis… Sauf le Duc de Brankburg qui est contre cette idée. Ils ont engagé en majorité des mercenaires pour former la guilde ce qui permettra à la fin à l’un d’eux d’asseoir le contrôle sur cette guilde et ainsi, sur les cités voisines. Ah oui ! Ils ont aussi détruit quatre guildes et la votre est la prochaine sur la liste…

-Tu seras gentil de mettre de l’ordre dans ton récit la prochaine fois ! Dit notre ami. Enfin bref… J’ai aussi entendu parler de la Confrérie de l’ombre, dit Neryme en s’asseyant au bord du lit. Je n’en sais pas plus mais je sais que mon chef y avait eu affaire. Il l’avait détruite pourtant !

-A priori, pas entièrement…

-Mouais... Le Duc de Brankbrug tu m’as dit ?

-Oui, c’est ça… Tu comptes t’en faire un allier ?

-J’aimerai bien, dit Neryme, mais je crois que quelques petits différents nous séparent encore…

Le nabot eut un petit rire.

-Ah d’accord, je vois ! Dit-il avec un clin d’œil.

-Je pense que je vais quand même essayer, je n’ai pas bien le choix… Sais-tu pourquoi ils s’en prennent à moi ?

-Il pense que ton chef est au courant et que tu as envoyé dans ces régions pour enquêter…

-Mais c’est faux ! Se plaint Neryme.

-Mais ils ne le savent pas…

-En plus, ils n’auraient pas essayé de me tuer, je n’aurai jamais été au courant.

-Où vas-tu aller alors ?

-Je crois que j’ai gagné un retour vers Brankburg…

-Pars maintenant alors ! Le temps presse, plus tu t’attardes, plus ils se renforcent…

-Merci pour tout ! Dit Neryme avant de partir…

-De rien… Je dois être la première personne vivante à l’avoir entendu, tiens ! Ajouta le petit gars une fois que la porte eut claqué.

Neryme, quant à lui, ne repartit pas par la voie de la mer mais bien par la voie terrestre. En effet, comme il en rêvait depuis longtemps, il lui était impossible de ne pas aller voir celle qu’il aimait…

Il sortit donc de la ville le plus discrètement possible. Après avoir attendu quelques minutes pour voir si une filature n’avait pas été engagée, il s’enfonça dans la ténébreuse forêt pour trois heure et demi de marche.

Plus il se rapprochait de la petite bourgade, plus son cœur s’accélérait. Oui, il était retombé amoureux ! Et il savait que cela était dangereux ! Mais que faire dans ces conditions ? Il ne faisait que penser à elle, il s’était adouci et avait gagné en compassion… Si cela continuait, il allait devoir arrêter son métier. Neryme eut un grand sourire, cela ne le dérangeait peut-être pas au fond…

Il arriva à une centaine de mètres du village sur les coups de midi. Il croisa le regard de Dinelgera et elle vint à sa rencontre. Neryme rabattit sa capuche et eut un sourire qui lui remonta jusqu’aux oreilles. Leurs visages s’approchèrent et il reçut un unique bisou.

-Que de distance… Pensa Neryme.

Elle lui prit la main et partit vers une maison. C’était sûrement pour ça que les retrouvailles n’avaient pas été aussi émouvantes qu’il ne se l’était imaginé : Ils étaient sûrement pressés et il ne fallait pas que le père ne leur tombe dessus.

Et ce fut comme ça pendant cinq jours, il se trouva des excuses. Elle était distante et au bout du deuxième jour, elle dit enfin :

-Tu sais la dernière fois que tu es venu ? Et bien, j’étais assez gêné, je suis assez indépendante et je n’aime pas trop qu’on soit tout le temps ensemble… Et j’aimerai aussi que ça ne soit pas aussi intime que la dernière fois, que cela reste plus calme et amical…

Sur le coup, Neryme n’avait pas su quoi répondre. Une énorme boule s’était formée dans son estomac, il avait du mal à mettre deux idées en place consécutivement. Une seule question lui brûlait les lèvres : Etait-ce terminé ? Il n’eut pas le courage de demander : Ils étaient en plein repas et Neryme se promit de demander après. Pierre, à l’autre bout de la table, n’avait rien dit ni manifesté au retour de notre ami… Il devait être terrorisé.

A la fin du repas en tout cas, tout se termina bien, ils s’embrassèrent avant de dormir ce qui eut le mérite de démontrer à Neryme qu’il s’en faisait un peu trop.

Mais la suite ne fut en rien rassurante. Elle était toujours aussi distante et Neryme se posait de plus en plus de questions qui se dissipèrent à chaque fois sur leur câlin post réveil et pré nocturne.

Mais un jour, au détour d’une maison, Neryme tomba sur une conversation plus qu’intéressante. En effet, Dinelgera était en train de discuter avec l’un de ses amies.

-Non, quand je l’ai revu, j’ai su que c’était différent, je ne ressentais plus les mêmes choses pour lui…

Neryme faillit s’évanouir. Il s’adossa au mur de la maison et retint son envie de crier. Il pivota lentement et s’enfuit dans la forêt. Il n’en ressortit que bien plus tard, quand la nuit fut tombée depuis longtemps. Il rentra dans la maison, gelé par le froid et tremblant comme une feuille.

-Ou étais-tu ? Demanda Dinelgera.

-Je ne sais pas… Je suis allé prendre l’air.

-Ca ne va pas ? Demanda-t-elle.

-Pourquoi tu demandes ça ? Demanda Neryme.

-Parce que d’habitude, quand on fait ça, c’est que quelque chose ne va pas !

Neryme avait du mal à retenir ses larmes.

-Tu as entendu ma conversation ? Demanda-t-elle.

-Non, pourquoi j’aurai du ? Mentit notre ami.

-Alors dis moi ce qu’il ne va pas !

-Devine… Dit Neryme.

-Ma distance ?

-Entre autre ! Répondit notre ami.

Elle soupira.

-Tu sais, ce n’est pas facile d’attendre si longtemps. Au début, quand ils t’ont emmené, j’étais triste mais je savais qu’il ne t’arriverait rien. Et puis cette absence, on s’y fait, loin des yeux, loin du cœur, dit-on…

-Il y a bien qu’à toi à qui ça fait ça ! Dit Neryme qui avait du mal à contenir son désespoir.

-Je sais, mais c’est toujours comme ça quand ça devient sérieux pour moi… Mes sentiments ont changé depuis la dernière fois…

-A table ! Entendirent-ils.

Les deux protagonistes s’arrêtèrent donc de parler et sortirent de la maison. A son grand réconfort, elle tendit la main. Neryme eut un pâle sourire et lui attrapa : Ils étaient toujours ensemble !

Les deux derniers jours se passèrent un peu mieux, l’abcès ayant été crevé. Mais cela aurait été trop bien pour notre jeune voleur…

Alors qu’il travaillait dans les champs, il reçut une missive :

Je ne peux pas simuler mes sentiments, je suis désolé… Tu es quelqu’un de bien mais je ne crois pas que cela serait utile qu’on continue d’être ensemble… Il serait bon qu’on coupe tous les ponts et qu’on refasse notre vie chacun de notre côté. Comme ça, si jamais je suis de nouveau avec quelqu’un, tu n’en souffriras pas.

Ce ne fut qu’un demi coup de couteau pour notre ami. Il s’y était déjà préparé et avait déjà pleuré pour ce moment. Cela n’empêcha pas son cœur de se briser pour la seconde fois. Il resta un instant les bras balans puis partit : Plus rien ne le retenait maintenant.

Sur le chemin, il croisa Pierre qui se permit de sourire à son passage. Neryme lui dessina un nouveau sourire sur la gorge. Le vrai tueur était de retour. Jamais il n’aurait du replonger dans l’amour. Il l’avait failli faire mourir, il l’avait amolli, il l’avait surtout encore trahi. Neryme reprit la route de Brankburg, tous ses sentiments définitivement morts derrière lui…

@+

-= Inxi =-

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On va enfin connaître le fin mot de cet histoire. :wub:

Sinon, ce chapitre est très bien écrit malgré quelques fautes encore présentes.

Kroxigor, qui attend la suite de ce texte :evilgrin: avec impatience :lol:

P.S: Euh, mais comment ça va finir :'( ?

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tres bonne suite ! j'ai hate de savoir comment ça va se passer, je ne m'attendais pas a voir la femme le repousser, ça avait l'air d'etre un tombeur !

mais c'est tres bien, il devenait un peu trop mou pour sa mission!

en tout cas bravo !

fibz

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Bon je post une courte suite maintenant puis le reste demain ! Je m'explique... En fait, j'ai eu une subite inspiration et le vrai dernier chapitre sera différent par le point de vue du narrateur. Bref, vous verez bien :)

Chapitre XVII

Neryme regrettait déjà son plan… En effet, notre ami arrivait sans aucunes armes dans le siège de la milice. Notre voleur comptait se rendre pour obtenir un entretien avec le Duc. Si cela tournait mal, il ne pourrait se défendre. Après une grande inspiration, Neryme poussa la porte et entra dans la bâtisse. A peine l’eut on reconnu, que quatre gardes se jetèrent sur lui et le rouèrent de coups. Grâce au ciel, le sergent ordonna que ses hommes se calment.

-C’est bon, si je suis là c’est que je me rend, imbéciles ! Dit Neryme dans un râle.

Pour son impudence, Neryme reçut un nouveau coup.

-Foutez-le moi au trou et qu’on le lâche pas des yeux ! Erik, va chercher le Duc et grouille-toi !

L’homme partit en courant.

Neryme fut jeter manu militari dans une cage des plus sordides… Où qu’il aille, il finissait toujours dans les mêmes prisons, se dit-il. Mais malgré les douleurs qui lui tiraillaient le ventre et le sang qui perlait de son visage, Neryme avait eu ce qu’il voulait : Un rendez-vous avec le Duc. Notre voleur attendit donc patiemment que celui daigne se montrer. En attendant, Neryme se roula en boule en espérant que cela atténuerait les douleurs.

-Que fais-tu ici ? Dit une voix grave et autoritaire alors que le voleur avait perdu toute notion du temps.

Neryme ouvrit les yeux et put voir le Duc. Exactement le modèle vivant des tableaux qui ornaient son château… L’homme, d’une soixantaine d’années, se portait plutôt bien. Une petite moustache grise dessinait le haut de ses lèvres et une calvitie bien avancée s’occupait de ses cheveux déjà courts.

-Je me suis livré… Dit Neryme assez faiblement.

-C’est pas ce que m’on dit mes hommes ! A priori, tu les aurais attaqués…

-Croyez-vous sérieusement que si j’avais voulu les attaquer, il n’y aurait pas eu de morts ?

L’argument sembla faire mouche et le Duc caressa sa petite moustache en faisant des allers-retours devant la cage. Dans un pénible effort, Neryme réussit à s’adosser contre le mur.

-Pourquoi cette soudaine reddition ? Demanda l’archi-Duc.

-J’aimerai vous proposer un marché, dit Neryme.

-Penses-tu honnêtement que tu sois en position de négocier ? Demanda le Duc avait un petit rire.

-A votre avis, Monsieur le Duc, serai-je venu ici si mon offre n’en valait pas la peine ?

Le duc scruta avec intention la forme sombre qui se tenait contre le mur.

-Je pense que non… Dit moi ce que tu veux !

-Je sais tout à propos de la Confrérie…

Le Duc se retourna à la vitesse de l’éclair. Il jeta des regards à gauche et à droite puis s’approcha des barreaux.

-Comment es-tu au courant ? Chuchota-t-il.

-La question que vous vous posez le plus n’est pas comment je sais mais comment les arrêter, non ?

-Je dois admettre que c’est exact ! Je n’ai pas envie qu’un homme prenne le contrôle de toute cette partie du monde ! Et encore moins mon domaine…

-Passons un marché ! Dites moi comment les arrêter et on sera quitte ! Vous m’oubliez et vous n’aurez plus jamais à entendre parler de moi ni de cette Confrérie.

Neryme était sincère, jamais plus il ne voudrait revenir dans ces régions. Ils s’étaient passés trop de mauvais souvenir. Des choses et sentiments qu’il aimerait oublier.

-Tu ne peux pas les arrêter ! Personne ne le peut ! Mais tu peux les freiner, que si tu n’as rien à perdre, bien évidement…

Le Duc se retourna ce qui donna à la scène un aspect assez théâtral.

-Je n’ai rien à perdre ! Dit Neryme dans un souffle… On m’a déjà enlevé ce à quoi je tenais.

-Dans ce cas là, j’ai un plan… Dit le Duc. Mais comment savoir si je peux te faire confiance ? Comment savoir si tu ne vas pas t’enfuir ?

-A votre avis, serai-je venu sinon ? Si je voulais partir, je l’aurai déjà fait…

-Bien alors écoute : Dans trois jours, les quatre seigneurs les plus influents de la Confrérie vont se réunir en secret. Ils se rejoindront dans une auberge, au beau milieu de la forêt. Tue-les et je réussirai à démanteler la Confrérie de façon diplomatique. Ils seront bien évidement escortés et ces seigneurs sont habitués aux tentatives d’assassinat. C’est donc une mission suicide.

-Et je l’accepte ! Dit Neryme qui arrivait enfin à se remettre debout. Je ne sais pas encore comment mais je les tuerai !

-Si tu y arrives, je fais disparaître toutes les charges qui reposent contre toi…

-Marché conclu alors ? Demanda Neryme.

-Marché conclu ! Répondit le Duc en faisant signe à ses hommes de venir. Messieurs, continua-t-il, je ne veux pas de questions, escortez cet homme jusqu’à la sortie de la ville. Donnez-lui de la nourriture, un cheval et une carte qui pourra le mener jusqu’à l’Auberge du Fanfaron. Je ne pense pas que tu aies besoin d’or…

Neryme sourit puis suivit les gardes. Quand il sortit, le Duc se contenta de dire :

-Bonne chance, tu en auras bien besoin !

Neryme fut donc accompagné jusqu’à la sortie de la ville où un cheval l’attendait bien patiemment. Notre voleur le chevaucha puis partit en direction d’une cachette où il avait dissimulé toutes ses affaires. Il récupéra rapidement ses bourses, son épée, ses dagues et poignards, ses fioles ainsi que tout ses ustensiles.

Il s’assit ensuite sur une bûche puis étudia la carte. Neryme plongea ensuite ses yeux dans les étoiles à la recherche de l’inspiration. Un plan naquit très vite dans son esprit. S’il était exécuté à la perfection, c’était le succès assuré. Maintenant, l’important était de tout mettre en place.

@+

-= Inxi =-

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bon, bon,bon...

Alors, je trouve le texte toujours aussi bien construit. Ton texte est dans la continuité des autres chapitres.

Mais, ta subite inspiration ne t'a-t-elle pas chambouler un peu ton histoire?

Sinon, sur le texte, je trouve le marché conclut avec le Duc, un peu rapide et avec pas assez de cynisme, vu que les deux hommes se détestent. D'accord, il y en a avec les questions rhétoriques du genre, pourquoi serais-je venu.

Et puis, le duc souhaite bonne chance au voleur qu'il haït. Tout ça semble bizarre compte tenu des sentiments qu'ils ont l'un envers l'autre. Il y a quelque chose qui me gêne, mais j'arrive pas à trouver quoi.

J'attends la suite de demain.

Kroxigor.

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Toujours bien, mais ça part aussi comme toujours dans tous les sens :lol: .

Ton plus grand défaut est de considérer de nombreuses choses comme dites, alors qu'elles n'ont été qu'évoqués à un moment lointain.

Par exemple, quand il part en bâteau, on comprend qu'il va aller dans le repaire de la confrérie, et en fait, il y retrouve un ami. Qui est-il? On ne le sait même pas, surtout que tu n'utilises à aucun moment son prénom.

De même, le fait que le Duc soit contre la Confrérie, on a limite du mal à y croire: le meilleur moyen de permettre à une Confrérie de péricliter n'est sûrement pas de lui asseoir son hégémonie :lol: . C'est un peu ce qu'il faisait en tuant les membres des guildes.

En fait, tes histoires, lu d'une traite, doivent sûrement être plus structurées qu'on le pense, mais comme ça, on a plus de mal: au début, il y a une lutte contre une araignée, après il s'enfuit de sa ville natale... Dur à tout comprendre :) .

De plus, de nombreuses erreurs restent dans ton texte, pour la plupart erreurs d'inattention, un "avait" à la place d'"avec" par exemple... Dommage que tu ne parviennes pas à bien te relire, ton texte gagnerait vraiment en intensité, et certaines phrases alambiquées comprenant des éléments de réponses à l'intrigue seraient explicitées!

Iliaron

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De même, le fait que le Duc soit contre la Confrérie

Il ne l'est pas justement puisque dans le chapitre précédent je dis qu'il est le seul a etre contre cette Confrérie parmis les seigneurs :o

Par exemple, quand il part en bâteau, on comprend qu'il va aller dans le repaire de la confrérie, et en fait, il y retrouve un ami. Qui est-il? On ne le sait même pas, surtout que tu n'utilises à aucun moment son prénom.

En fait, c'est l'informateur du début ! Celui qui lui fournit le plan de la maison du magicien... Je pensais que vous alliez vous en souvenir ^_^ Bon je lui trouverai un prenom alors :lol:

il y a une lutte contre une araignée

En fait, ca, ca me sert surtout au début pour introduire le texte et aussi quand .. :) Je peux pas en dire plus pour l'instant :lol:

De plus, de nombreuses erreurs restent dans ton texte, pour la plupart erreurs d'inattention, un "avait" à la place d'"avec" par exemple

Mea culpa... Je l'ai écris hier soir, je l'ai relu deux fois ( et pourtant j'ai trouvé pas mal de fautes pour te dire -_- ) mais a priori, c'est pas suffisant !! -_-

Sinon, sur le texte, je trouve le marché conclut avec le Duc, un peu rapide et avec pas assez de cynisme, vu que les deux hommes se détestent.

C'est toujours chiant ces passages ! J'ai mis des marques pour montrer que les negociations sont pas si facile mais je ne sais jamais quand j'en ai mis assez ...

Et puis, le duc souhaite bonne chance au voleur qu'il haït.

Il a beau le hair, le voleur va faire une tache des plus dangereuses pour lui :lol: Donc je me suis dit un petit bonne chance et un "tu en auras besoin" pour montrer la difficulté de la chose ne serait pas de trop ^_^

@+

-= Inxi =-

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