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Warhammer Forum

Les compagnons de la coquille de noix


Fourberass

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Merci à tous pour vos remarques et votre engouement, je suis vraiment touché :( !!! (Ps pour Skuik: où je fais parvenir les droits d'auteurs :wink: ?)

Et comme il y a une fin à toutes choses ^_^ ...

Epilogue :

L’obscurité avait envahie le jardin de Fraü Jessica Winter et la lune, à demi-masquée par de lourds nuages noirs, projetait de grandes ombres qui faisaient paraître démesurés les arbres du parc.

D’enivrants parfums de fleurs envahissaient l’atmosphère de senteurs capiteuses et le silence nocturne n’était perturbé que par le hululement lointain d’une chouette. Fraü Winter, toujours resplendissante dans la pâle clarté de la lune, se trouvait à son balcon humant l’air frais de la nuit et attendait l’arrivée de son prince charmant. Ce dernier l’avait avertit de sa venue prochaine et elle guettait à présent sa silhouette qui devrait apparaître sous son balcon d’un instant à l’autre.

Soudain elle perçut une douce mélodie dont les notes fluettes montèrent jusqu'à son balcon tel de joyeux oiseaux nocturnes.

« Quelle belle mélodie ! », se dit alors la gracieuse Jessica, « Simple, mais belle ! C’est sûrement le marquis de Garienburg qui vient me faire la sérénade… »

Soudain, une fausse note vint briser l’enchantement de la mélodie et Fraü Winter en fronça les sourcil d’étonnement. L’aubade s’arrêta net, au grand regret de Jessica, qui scrutait les buissons en contrebas dans l’espoir d’apercevoir quelqu’un. En effet les buissons s’agitaient légèrement et un léger grognement s’en échappait, comme si l’amas de végétaux était soudain devenu vivant et s’en trouvait, semble-t-il, fort mécontent.

Puis elle entendit comme le bruit d’un instrument à cordes que l’on jette par terre, et une ombre frêle émergea des taillis pour venir se placer sous les fenêtres de Frau Winter.

Elle se pencha en avant par dessus la balustrade pour distinguer plus nettement silhouette. Ce qu’elle vit la fit blêmir d’horreur : le sourire niais aux lèvres, la coupe au bol taillée de frais et les mains chargées d’un rachitique bouquet de fleurs, se trouvait Limnus Von Tanenbaum qui la regardait de son regard naïf. Il se mit alors à claironner de sa voix aigrelette:

« Mon amour, je suis là !!! »

Elle poussa un profond soupir d’agacement puis le vilipenda :

« Limnus ! Qu’est ce que je vous ais dit !!! De ne pas revenir avant… »

« Mais ça y est mon amour !!! J’ai fais tout ce que vous m’avez demandé, je suis prêt à devenir votre amant !!! »

Fraü Winter, interloquée par cette réponse, resta un instant sans voix. Puis alors qu’elle allait rétorquer qu’une telle chose était impossible, un bruit de pas faisant craquer les feuilles mortes retentit dans les ténèbres du jardin. Jessica et Limnus se tournèrent tout deux vers la source de ce bruit et aperçurent une silhouette qui émergeait des buissons avec de grands gestes pour repousser les branchages. C’est alors que dans la faible clarté de l’astre lunaire apparut le marquis de Garienburg, paré de ses plus beaux habits de velours noirs et argent. C’était un bel homme brun relativement grand, au visage plaisant arborant une fine moustache et de long cheveux ramenés en arrière. Il portait également une rapière très ouvragée au flanc.

C’est à sa plus grande surprise qu’il tomba vite nez à nez avec Limnus. Il sursauta, surpris de trouver quelqu’un ici à cette heure, puis leva les yeux vers le balcon de Fraü Winter où il aperçut cette dernière accoudée à la rambarde.

« Ha !!! Ma douce Jessica, je vous retrouve enfin !!! », s’exclama-t-il avec emphase, « Mais qui est donc ce manant qui viens vous importuner jusque sous vos fenêtres ? »

« Hé !!! Je ne suis pas un manant !!! », s’écria Limnus, offusqué, « Je suis Limnus Von Tanenbaum et je suis ici pour déclarer ma flamme à Fraü Winter !!! »

Le marquis se mit à ricaner doucement puis s’adressa à nouveau à Jessica :

« Madame, voulez-vous que je vous débarrasse de ce cloporte ? »

Jessica, en pâmoison devant le beau marquis, acquiesça discrètement de la tête. Mais soudain à la surprise générale Limnus se mit à hurler, faisant ainsi sursauter tout le monde :

« Comment !?! Vous osez me comparer à un cloporte :ce crustacé atteignant les deux centimètres de long, de l’ordre des isopodes, vivant sous les pierres et dans les lieux sombres et humides ?!? Je ne le permettrais pas !!! »

Le marquis de Garienburg et Fraü Winter, qui n’avaient guère saisit l’étrange jargon de Limnus, restèrent interdit l’espace d’un instant. Limnus, dans un élan de passion, se tourna alors vers dame Jessica et lui déclara sa flamme d’une manière des plus étrange :

« Je vous en conjure mon amour : n’écoutez pas les belles paroles de ce marquis d’opérette !!! Moi, je vous aime d’un amour sincère, je ne convoite pas la richesse de votre père comme le fait monsieur de Garienburg !!! »

« Comment !?! », s’offusqua le marquis. Fraü Winter, interdite, écoutait le discours de Limnus avec plus d’intérêt qu’elle ne l’aurait cru. Limnus ne laissa pas au marquis le temps de répliquer et poursuivi sa déclaration :

« Moi je n’aime que votre âme et votre beauté mon amour ! Je vous suis entièrement dévoué : tel le blaireau des régions australes de la Grande Forêt, je régurgiterais mes aliments pour vous ! Je suis prêt à me sacrifier pour vous !!!»

Le marquis de Garienburg, qui pas plus que dame Winter, n’avait compris le charabia de Limnus sentit la moutarde lui monter au nez. Dans un grand sifflement métallique, il dégaina sa rapière et en brandit la pointe vers Limnus :

« Il suffit !!! Ni moi ni Fraü Winter n’accepterons de nous faire insulter plus avant par votre verbiage incompréhensible !!! Je vous défie paltoquet !!! Et le vainqueur se verra attribuer le droit de courtiser dame Jessica»

Limnus, autant que Frau Winter, resta sans voix face à cette provocation inattendue. Il regarda la lame du marquis briller sous la douce lueur de la lune et l’éclat du métal froid sembla briser son bel engouement :

« Heu…je suis vraiment obligé de me battre ? », demanda-t-il au marquis d’une voix peu assurée.

« Evidemment ! Votre honneur de gentilhomme vous y oblige ! », rétorqua ce dernier avec fermeté.

Limnus avala péniblement sa salive puis leva les yeux vers sa bien aimée et lui demanda d’une petite voix :

« Si je le bat, j’ai le droit de vous courtiser donc ? »

« Si vous le battez, vous aurez même le droit de m‘épouser… », répondit Jessica d’un ton altier, « De toute façon je ne risque pas grand chose… »

« C’est vrai !?! », s’exclama Limnus, étonné.

« Mais oui… »

« Juré ? »

« Oui »

« Craché ? »

« Oui ! »

« Juré sur la tête de Sigmar ? »

« Oui !!! »

« Alors d’accord !!! », grâce à cette promesse Limnus semblait avoir retrouvé quelques forces. Il se préparait à présent à affronter son adversaire.

Jessica regarda Limnus avec un sentiment étrange au cœur. Que pouvait bien signifier les curieuses paroles qu’il lui avait adressé ? Ou avait-il appris la musique ? Quelle était cette confiance qui brillait au fond des yeux de Limnus ? Le marquis en voulait-il vraiment à sa fortune ? Pourquoi avait-elle fait une telle promesse à Limnus ? Il n’avait aucune chance de gagner ce duel, mais tout de même…

Toutes ces questions et beaucoup d’autre se bousculaient dans sa tête, si bien qu’elle ne prêtait plus guère attention à se qui se passait sous son balcon…

« En garde freluquet, et que le meilleur gagne !!! », s’exclama le marquis avec une dédaigneuse assurance alors qu’il se mettait en position.

Limnus, malgré toute sa bonne volonté, se rendit compte soudain qu’il lui manquait quelque chose d’essentiel pour mener à bien ce duel : une arme…Il resta interdit un instant puis brandit son pouce en l’air pour demander une pause :

« Heu…excusez-moi mais…j’ai comme qui dirait oublié mon épée chez moi…est-ce que je peux aller vite la chercher, je reviens tout de suite… »

« Hors de question !!! », s’écria le marquis, « Ce duel aura lieu ici et maintenant !!! »

« Mais comment je fais sans arme ? », demanda timidement Limnus, qui n’avait visiblement aucune expérience des duels.

« Débrouillez-vous mon vieux, c’est votre affaire… », rétorqua le marquis avec une certaine lassitude.

Limnus, prit de court, se mit à scruter les alentours à la recherche d’une arme improvisée. Puis une idée brillante lui vint.

Il se dirigea vers un vieil amandier tout proche et se mit en tête d’en arracher une grosse branche qui lui servirait de gourdin de fortune. Mais alors qu’il s’acharnait sur le tronc de l’arbre, sous le regard étonné de son adversaire, Fraü Winter se mit à crier furieusement du haut de son balcon :

« Hé ! Arrêtez Limnus ! Il est hors de question que vous touchiez aux arbres de mon jardin !!! »

« Ho zut ! vous êtes sur? », demanda-t-il, penaud, « Pour une fois que j’avais une bonne idée... »

Mais Jessica insista et Limnus dû trouver autre chose…

Ce dernier se mit à examiner les alentours d’un air désemparé à la recherche d’un quelconque objet qui pourrait lui éviter d’affronter le marquis et sa rapière à mains nues. Ce dernier, d’ailleurs, commençait à perdre patience :

« Bon ! C’est pour aujourd’hui ou pour demain !?! »

C’est alors que Limnus aperçu la solution à son problème : un vieux râteau qui traînait non loin d’un buisson de rose rouges. Le jardinier de Fraü Winter avait du le laisser là par mégarde. Limnus s’en empara puis, se retournant vers le marquis, se mit à le brandir au dessus de sa tête en criant :

« Ca y est !!! J’ai trouvé !!!

En voyant cela, le marquis ne put retenir un ricanement en se disant qu’un pecno pareil, qui plus est armé seulement d’un outil de jardin, n’avait aucune chance de le vaincre…

« Et bien allons-y alors !!! Je n’ais pas envie d’avoir votre mort sur la conscience, alors ce sera un duel au premier sang !!! »

Limnus s’approcha de son adversaire avec hésitation, brandissant son râteau en avant tel une flamberge pour se donner de la contenance. Mais intérieurement, le pauvre n’en menait pas large…

« Bon récapitulons : C’est un excellent bretteur avec une lame et moi j’ai un râteau… »

Cette conclusion plongea Limnus dans de nouveaux abymes d’angoisse et il se mit à suer abondamment.

Limnus, serrant fermement le manche de son râteau, se lança dans une séance d’auto persuasion mentale pour tenter de se redonner confiance en lui :

« Courage Limnus !!! Tu as vaincu les Snotlings !!! Tu as vaincu les Snotlings… »

Et pourtant, malgré toutes ces tentatives pour se convaincre du contraire, le marquis et sa rapière paraissait en cet instant plus impressionnant que les petits gobelinoïdes verdâtres qu’il avait récemment affronté. Face à un adversaire de cette trempe, il allait devoir ruser et mettre en pratique les techniques de son maître : Terreur « le bien nommé ». Soudain, alors que Limnus était toujours plongé dans une profonde réflexion, le marquis de Garienburg sembla perdre patience face à cet adversaire qui ne faisait rien d’autre que rester immobile en étreignant bêtement son ridicule râteau.

L’impétueux marquis, avec un grognement de rage, se rua lame en avant vers Limnus qui poussa un petit cri de surprise étranglé.

Il se mit à réfléchir aussi vite que son esprit le lui permettait, puis il se souvint d’un adage de Terreur en ce qui concernait le combat. Quel était-il déjà ? Ha oui !….

« Attention Marquis ! », s’écria Limnus alors que son adversaire était presque sur lui, « Votre lacet est défait !!! »

« Comment ?!? », le marquis, surpris par cette remarque baissa instinctivement les yeux vers ses bottes.

L’erreur lui fut bien entendu fatale. Profitant de la distraction de son ennemi, Limnus abattit violemment son râteau sur le crâne de ce dernier qui tomba net dans les pommes.

«…A vaincre sans gloire, on triomphe facilement… »

L’instant d’après, un lourd silence planait sur la scène du combat, qui avait été aussi bref qu’intense.

Limnus, brandissant toujours son ustensile de jardinage, contemplait avec stupéfaction le corps inanimé du marquis qui gisait dans l’herbe grasse devant lui. Frau Winter, qui n’avait pas manquée une miette du combat, considérait la scène avec encore plus d’incrédulité.

« C’est impossible ! », pensa-t-elle avec effarement, « Il a vaincu le marquis de Garienburg…Avec un râteau !!! »

De son côté, l’esprit lent de Limnus avait toujours du mal à traiter l’information:

« C’est impossible ! », pensa-t-il avec étonnement, « J’ai vaincu le marquis de Garienburg…Avec un râteau !!! »

Lorsqu’il se rendit enfin compte de l’ampleur de la situation, il brandit son outils vers les cieux et poussa un cri de victoire comme jamais il n’en avait poussé. En effet, jusqu'à ce jour, Limnus Von Tanenbaum n’avait jamais eu l’occasion de crier victoire.

Pour la première fois de sa misérable existence, il triomphait !

Et les conséquences de cette victoire, plus que la victoire elle-même, le transportaient de joie : il avait vaincu le marquis et à présent il allait pouvoir demander la main de l’amour de sa vie, la belle Jessica Winter !

Limnus se mit à bondir en tous sens dans le jardin en poussant de grands cris de joie fébrile.

Du haut de son inaccessible balcon, la belle Fraü Winter réfléchissait également aux conséquences de cette victoire.

Elle n’en revenait toujours pas, Limnus avait triomphé du marquis et le souvenir de sa promesse lui revenait nettement en tête : «Si vous le battez, vous aurez même le droit de m‘épouser… », elle l’avait même juré devant Sigmar lui-même. Fraü Winter, n’était pas une femme malhonnête et était du genre à tenir ses promesses même si elle ne craignait guère de finir foudroyée par l’Homme-Dieu si elle ne le faisait pas. Mais au-delà de ces considérations, un étrange sentiment étreignait Jessica alors qu’elle regardait Limnus s’ébattre gaiement sous ses fenêtres.

En effet, Limnus, au-delà de son apparence approximative et de sa vraisemblable médiocrité, pouvait bien se révéler être pour elle le mari idéal :

En effet, au contraire de beaucoup d’autres hommes, il l’aimait profondément et ne voyait pas dans un mariage avec elle, l’occasion de s’enrichir ou de trouver une belle épouse pour faire jolie dans les soirées. Contrairement à de nombreux jeunes nobles, il ne la tromperait jamais avec une quelconque soubrette par ennui ou pour le simple plaisir des sens. Il serait toujours un mari aimant, qui s’occuperait d’elle sans relâche, et n’irait pas faire le beau à la cour de l’Empereur pendant qu’elle se morfondrait dans l’immense salon vide de leur hôtel particulier. Il n’était pas riche, mais qu’avait-elle besoin de plus de richesse ? Son père en avait tellement. Pas besoin de le convaincre d’ailleurs, le paternel, tant que son époux est un noble qui pourra apporter du sang bleu à le famille Winter…

« Et puis une fois que je l’aurais déniaisé, avec un peu de sport et une nouvelle coupe de cheveux, on pourrait sûrement en faire quelque chose de plus que potable… », se dit-elle en souriant. «Je vais peut-être me laisser tenter… »

Elle aperçut alors Limnus qui, dans son enthousiasme bondissant, venait de trébucher sur une racine et de chuter lourdement sur le sol. Il se releva, penaud, et lui adressa un large sourire gêné.

« Mais quand même... », se dit-elle avec humour, « ...Quelle andouille ce Limnus… »

Modifié par Fourberass
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Limnus dû trouver autre chose…

Une 'tite faute :(

Sinon, c'est bien marrant ce passage :wink: Heuresement que c'est l'épilogue parce que ca rompt franchement avec le reste du texte : j'ai eu un sourire tout au long ..

Bon bah voila la fin d'un texte dont j'ai pris un enorme plaisir à lire ! Je suis trop triste que se soit fini ^_^ Surtout que c'était pas comme ca que je voulais que ca termine !!

Bon je em demandais comment il allait prouver son talent de guerrier et j'ai pas été décu ! Donc je te souhaite beaucoup de succes avec tes prochains textes !!

@+

-= Inxi =-

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Je commente la troisième journée e tl'aube, pas l'épilogue que je n'ai encore lu.

On continue avec les délires (pas mal la techinque pour quitter la femme, encore mieux l'oubli du prénom^^), et ce qui était amorcé au tout début se révéle vrai: ils ont donné confiance à cet homme, et l'amour est bien la plus belle des choses, qui réalise de véritables miracles.

Il y a une prise de conscience des personnages, qui leur donne toute leur grandeur, tant à Lars qu'à Limnus. Derrière leur apparence, il y a un être caché, et les personnages sont inversés par rapport au début, et pour cet effet de style, j'applaudis.

Avant: Lars confiant et Limnus bégaye, ne sait que répondre.

Là c'est le contraire, et cela donne vraiment bien.

Vraiment c'est ce changement qui à mon goût donne toute sa saveur à ce texte.

Et puis les souvenirs amoureux de Lars. Finalement, il découvre qu'être sincère, ça a du bon.

Par contre une relecture ne serait pas de trop ^_^ .

Maintenant, j'imprime l'épilogue et vais finir cette super histoire :wink:

Iliaron

PS:

Bon vélo (dans le var aussi il pleut  ...) et vraiment merci pour ton travail de commentaire et le temps que tu y as consacré  !!!

Finalement ça a vraiment été vélo (24h sans vélo, je n'aurais pu survivre :) )

Arrg, le Var, Hyères, la plage de la Bergerie, les pistes cyclables, le Speedkart, le mini-golf du Lavandou, Porquerolles, le sentier du littoral... Sigh, mes vacances sont bien loin :(

Modifié par Iliaron
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Quoi, c'est dèjà fini ? ^_^:(:wink:

Bon bah, voilà.

Encore bravo. :)

Et bonne chance pour tes prochains textes, j'espère qu'ils seront aussi bien que celui-ci.

Pour les droits d'auteur, on s'arangera quand j'aurais finis d'écrire le texte en question. :P ( autant dire que tu as encore pas mal de temps devant toi).

Salut, et a plus.

Skuik

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Bon, j'ai lu la fin, et c'est vraiment réussi, rien à redire, de l'humour, mais aussi du romantisme. Tu as réussi à lier les deux sans rendre l'un stupide, et l'autre trop sérieux, donc bravo :wink: .

Par contre, au niveau de l'intrigue, il y a des menus problèmes:

Le carnet, on ne sait pas encore ce qu'il y a réellement dedans (une chanson, on imagine, mais c'est tout).

L'amour de Lars, on ne sait pas qui c'est, tu l'évoques et c'est tout. On en veut plus.

Que vont réellement faire les trois amis?

Bref, tu ne vas pas t'en tirer comme ça ^_^ , flemmard qui poste si lentement (juste cinq fois plus vite que tous les autres auteurs réunis, lopette :P )

Je comprends que tu aies voulu créer une fin ouverte, mais là, ça l'est un peu trop: n'ouvre pas une intrigue dans la dernière page pour la laisser ouverte. A moins que tu nous prépare en fait un autre texte, et que ce texte n'est qu'un livre d'une trilogie :) .

En un mot, ton récit est grandiose, car, quand on a envie qu'un texte continue, cela prouve qu'il est réussi, et seuls les plus grands auteurs avaient auparavant réussis à me faire sentir ce sentiment.

Iliaron

PS: en lisant les critiques, j'ai compris que tu n'tais dans le Var que pour les vacances... Bonnes vacances alors, sous la pluie (chanceux, tu n'attraperas pas de coup de soleil :( )

Ah la la, je vais bénir (qui ça d'ailleurs?) Pour arriver avec la pluie et repartir avec la pluie, tout le reste du temps du soleil (et la voiture même pas en panne, chose rare :P )

PPS: comme tu ne peux profiter du soleil, profite de ta connexion wifi (arf, fourberasso-dépendant :P )

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Salut les gens :P !

Je reviens d'une journée de randonnée et les commentaires que je retrouve me transportent de joie :wink::wink::wink: !!!

Merci à tous pour votre engouement, je crois que c'est la meilleure récompense pour un auteur...

Bon bah voila la fin d'un texte dont j'ai pris un enorme plaisir à lire !

Non, en fait je crois que c'est celle ci ^_^ ! Savoir que j'ai donné du plaisir au gens

^_^ ...

Par contre, au niveau de l'intrigue, il y a des menus problèmes:

Le carnet, on ne sait pas encore ce qu'il y a réellement dedans (une chanson, on imagine, mais c'est tout).

L'amour de Lars, on ne sait pas qui c'est, tu l'évoques et c'est tout. On en veut plus.

Que vont réellement faire les trois amis?

Je comprends que tu aies voulu créer une fin ouverte, mais là, ça l'est un peu trop: n'ouvre pas une intrigue dans la dernière page pour la laisser ouverte. A moins que tu nous prépare en fait un autre texte, et que ce texte n'est qu'un livre d'une trilogie  .

Mais vous êtes bien impatient!!! Attendez jusqu'a leurs prochaines aventures :wink: !!!

En un mot, ton récit est grandiose, car, quand on a envie qu'un texte continue, cela prouve qu'il est réussi, et seuls les plus grands auteurs avaient auparavant réussis à me faire sentir ce sentiment.

:o !!! La tu me laisses sur l'arrière train :o !!! Merci, vraiment c'est trop B) :clap:^_^ !!!

A bientôt les gens, et passez tous de bonnes vacances ^_^ !!!

PS pour Xédéos: Toi aussi je te dois un copyrigth pour ta phrases. J'ai trouvé ta remarque fort pertinente alors j'ai remplacé l'ancienne par celle-ci :wink: !

Modifié par Fourberass
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Oups, j'avait pas vu la suite :D:mrgreen: . J'suis un doué quand même.

Donc, commentons:

-Enfin ce cher Limnus déclare sa flamme après son retour d'étude. Enfin, j'attends qu'il se prenne un gros rateau de derrière (ben quoi? :lol: , c'aurait été marrant qu'il se suicide ^_^ ) Il est vrai que je m'attendait pas à ça: à la limite Limnus aurait pu épouser Frau contre son gré, mais que même Frau soit totalement d'accord: là, c'est pas mal: un vrai tour de force. C'est ça que je pourrait (si je le voulait) reprocher à cet épilogue: il est quelque peu improbable. On pourrait croire que c'est afin de critiquer les conte à fin heureuse ("ils se marrièrent et eurent plein d'enfants"), mais c'est si impromptu que... ça fait bizarre... Sinon, vu que l'humour est encore au rendez-vous, tout va bien, et on passe encore un bon moment devant son écran ^_^ .

-Maintenant, j'aimerait commenter le texte dans son entier, et non pas par épisodes. Donc la seule chose à déplorer est la longueur: elle est déjà pas mal, mais quand on aime on en redemande :whistling: .

Sinon, c'est un récit très construit, découpable en quatre parties : 1/demande de mariage de Limnus; 2/ Rassemblement de la commaunauté; 3/ Apprentissage de Limnus par la commaunauté de la coquille de noix; 4/ Déclaration et mariage de Limnus. La transition entre ces parties est plutot bien sauf entre la 1/ et la 2/ (entre le prologue et la suite du texte) où l'on part d'une déclaration d'amour jusqu'à une attaque de brigands sur une route, on a un autre héros (Herbert), on ne sait pas si ça se passe avant, pendant ou après la déclaration de Limnus... et ce passage passe particulièrement mal à mon gout. Un simple "A quelques miles de là, sur une route ..." Permetrait déjà une bien meilleure compréhesion et éviter un catapultage du lecteur dans ce qui peux sembler un autre récit.

Sinon, la phase 2) me parait bizarre: ils se rassemble trop vite: Terreur prends Herbert sous son aile d'un coup et là aussi ça aparait bizarre mais pas génant.

La phase 3/ de loin la plus drole, n'a pas dereproche particulier venant de moi.

La phase 4/ est décrite au-dessus.

Donc en gros ce texte est excellent, et j'espère que les rédacteur de la Tour blanche s'y pencherons assez vite.

@+

Xédéos, critiqueur inutile 8-s

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Donc en gros ce texte est excellent, et j'espère que les rédacteur de la Tour blanche s'y pencherons assez vite.

Merci, ca me va droit au coeur :mrgreen: !!! Les rédacteurs de la tour blanche :D ? Ca marche comment cette histoire?

Xédéos, critiqueur inutile 

Je ne le permettra pas 8-s !!! Toute critique est utile, surtout quand elle passe en revue tout le texte!!! Et surtout quand elle est flatteuse :whistling: ...

Merci à toi en tous cas et à tout les autres :lol: !!!

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